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Education pour la santé de la population en République de Guinée. Cas de la commune de Dixinn

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par Malato OUYA BOURMA MALATO
Université générale Lansana Conté de Sonfonia Conakry ( Guinée) - Maà®trise 2006
  

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Section 2 : Santé

Selon le NOUVEAU LAROUSSE MEDICAL (1981), la santé est un terme signifiant l'état de fonctionnement normal de l'organisme ou l'absence de maladies. Le terme s'emploie aussi bien à l'égard des individus (santé physique, santé mentale, etc.) qu'a celui de la société (santé publique). Pour un individu, la santé se caractérise avant tout par l'absence de graves maladies pouvant entraîner l'invalidité totale ou partielle et augmenter le risque d'une mort prématurée. Un des rôles de la médecine est de prévenir les risques d'altération du fonctionnement corporel. La santé est aussi un problème social : les maladies ont une histoire et une influence sur la société. Toutes les catégories de la population n'ont pas le même rapport à elle et les politiques sanitaires diffèrent selon les pays.

La santé est aussi appréhendée selon l'AXIS UNIVERSALIS (1996), comme un état physique et psychologique de la personne humaine. La préservation est la raison d'être de l'hygiène de vie que l'on observe, de la médecine, des dispensaires de soins que l'on sollicite en cas de maladies. Cette dernière notion induit toute une organisation politique et sociale par laquelle se caractérise la santé publique et dont le coût de plus en plus élevé est à l'origine d'interrogations nouvelles.

Toujours selon l'AXIS UNIVERSALIS (1996), au niveau mondial divers organismes d'assistance et de coopération visent à améliorer l'état des populations. La santé de l'individu qui conditionne sa vie personnelle et celle de son entourage, est en partie tributaire de la santé publique. C'est-à-dire dans un pays donné, des mesures politiques et sociales sont prises en matière de santé, de salubrité et d'hygiène pour bénéficier des progrès de la santé de l'homme défini par sa constitution, son mode de vie, ses activités et son environnement qui ont eu position des moyens préventifs et curatifs.

Toujours en matière de la santé, jusqu'à la définition de l'OMS en 1946, la santé était principalement abordée par ses dimensions physiques et psychologiques, de façon très normative. Pour avoir la santé, il faut répondre à certains critères : masses, capacités visuelles, auditives, respiratoires, etc. (MSP, 1998).

En 1946, l'OMS (1960 : 4) introduit la dimension sociale en définissant la santé comme : « Un état de complet bien être physique, mental et social et qui ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité ». L'évolution de la santé va ensuite vers un sujet acteur de sa santé. On prend en compte les besoins du sujet, l'histoire individuelle du sujet. C'est ainsi qu'en 1997, le réseau du Centre Français d'Education pour la Santé (CFES), définit la santé globale comme la santé de l'être humain vivant en société, avec ses composantes physiques, psychiques et sociales (CFES, 1997).

Dans le cadre ce mémoire, nous nous inscrivons dans la définition de l'AXIS UNIVERSALIS (1996), qui définissait la santé de l'individu comme étant tributaire de la santé publique. Reflétant ainsi tous les besoins et effets d'une société, de par ses moyens préventifs et curatifs qui en découlent.

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"Ceux qui rĂªvent de jour ont conscience de bien des choses qui échappent à ceux qui rĂªvent de nuit"   Edgar Allan Poe