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Analyse des relations entre les femmes et les autres acteurs dans la chaine de valeur du poulpe à  Pointe Sarène, Nianing et Mbour

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par Daba NDIONE
Université Gabriel Berger de St Louis - DEA 2009
  

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Chapitre VIII : Analyse des relations genre dans la chaine de valeur du poulpe

VIII.1 Place des femmes dans la chaîne de valeur du poulpe

Les femmes sont très motivées à participer dans les activités de la chaîne de valeur du poulpe. Cependant, elles sont confrontées à d'énormes problèmes qui entravent le développement de leurs activités dans la chaîne où les acteurs n'ont pas les mêmes pouvoirs et potentiels.

· Répartition des acteurs selon le sexe

A Pointe Sarène, les femmes sont pratiquement inexistantes dans la chaîne de valeur du poulpe car elles ne s'y activent qu'en période de forte production. En plus, leurs activités se limitent au « terral ». Ainsi, elles achètent les « terral » et les revendent aux mareyeurs. C'est pour cela que par rapport aux hommes, les femmes ont une place secondaire dans la chaîne.

A Nianing, les femmes sont aussi très effacées dans la chaîne non seulement par rapport à leur activité se limitant au micro-mareyage mais aussi par rapport à leur nombre (figure 6).

Figure 6 : RÉPARTITION DES ACTEURS ET ACTRICES DANS LA PÊCHE ET LA COMMERCIALISATION DU POULPE À NIANING

Source : Enquête de chaîne de valeur REPAO, 2008

Au regard de la figure 6, l'on note la présence majoritaire des hommes, acteurs de la chaîne, à hauteur de 94,6 % contre 5,4 % de femmes.

Par contre à Mbour, les femmes sont assez nombreuses dans la chaîne. Elles y occupent une place importante car elles déterminent l'heure de vente des produits à l'usine du fait des techniques de trempage qu'elles utilisent.

La pêche en mer est en fonction du sexe car elle est uniquement pratiquée par les hommes alors que les femmes s'activent dans le mareyage. Avec les exigences physiques de l'activité de pêche et d'autres raisons qui trouvent leurs origines dans la culture et l'organisation de la société, la femme ne trouve guère la possibilité de pratiquer la pêche.

Par ailleurs, les difficultés d'accès aux ressources matérielles et financières ne permettent pas aux femmes de participer à l'amélioration de leurs activités de micro-mareyage face à l'agressivité des hommes plus nantis en ressources. Ceci a même amené beaucoup de femmes à se limiter au "terral" ou à se retirer complètement de la chaîne. Aujourd'hui, seules deux femmes micro-mareyeuses sont dans la chaîne à Nianing alors que le nombre avoisinait 10.

D'après elles, cette situation est due au fait qu'elles n'ont pas les moyens financiers pour s'investir dans la commercialisation du poulpe. En effet, pour être acteur déterminant dans la commercialisation du poulpe, il faut avoir un capital financier assez important pour pouvoir financer des pirogues. En plus, même pour acheter les « terral » les femmes de Pointe Sarène obtiennent des financements de la part des mareyeurs ce qui n'est pas le cas pour celles de Nianing qui sont plutôt concurrencées par les hommes.

La baisse des captures a été considérée comme un obstacle pour l'accès des femmes au poulpe. En effet, en période de forte production du poulpe, les femmes de Pointe Sarène parviennent à disposer d'importantes quantités du produit seulement avec les « terral », comme indiqué plus haut.

Pour expliquer la place des femmes dans la chaîne de valeur du poulpe à Pointe Sarène, d'autres idées ont été soulevées. D'abord, certaines femmes ont émis l'idée selon laquelle il y'a une division du travail à Pointe Sarène car les femmes se sont spécialisées dans la transformation du poisson et du cymbium (ou « yeet ») alors que les hommes assurent le mareyage des produits destinés à l'exportation comme le poulpe. C'est ainsi que les femmes ne s'activent pas dans la commercialisation du poulpe même si certaines d'entres elles affirment qu'elles ont eu à s'investir dans la vente du poulpe lors des années 99 (période d'abondance du poulpe au Sénégal). C'est dans cette perspective que les financements qu'elles acquièrent à travers l'AFET (Association des femmes transformatrices) sont orientés dans les activités de transformation et non dans l'achat du poulpe.

Par rapport aux équipements, peu de femmes disposent de pirogues à Pointe Sarène mais ne peuvent pas revendiquer la production car souvent, le capitaine est financé par un mareyeur.

VIII.2 Relations des femmes avec les autres acteurs et leurs accès aux services

Les femmes entretiennent des relations familiales ou des relations basées sur le financement avec les autres acteurs de la chaîne. En effet, elles affirment avoir des liens de parenté avec tous les acteurs car dans chaque famille, on retrouve des pêcheurs et des mareyeurs. En outre, ces derniers peuvent leurs accorder des financements pour développer leurs activités.

· Relations entre les pêcheurs et les femmes

Il y a toujours eu une relation étroite entre les pêcheurs et les femmes. En effet, les femmes interviennent non seulement auprès des unités familiales mais aussi mettent parfois à la disposition des pêcheurs les crédits nécessaires aux frais de sortie et de campagne. Cette place dans l'appui ou le financement des activités de pêche leur accorde certes une certaine notoriété et un statut social mais ne leur garantit pas la priorité aux mises à terre. En effet, à Nianing, les femmes rencontrent souvent un problème d'accès à la ressource auprès des pêcheurs qui préfèrent vendre leur production aux micro-mareyeurs ou aux mareyeurs alors qu'elles sont parfois propriétaires de l'équipement (pirogue, moteur) ou épouses, soeurs, mères, cousines... du capitaine. Il arrive aussi dans certains cas qu'elles financent les pêcheurs pour l'achat de carburant et d'engins de pêche. Mais malgré cela leur accès est limité du fait que leur prix d'achat est souvent inférieur à ceux proposés par les autres acteurs. A Pointe Sarène aussi c'est le même problème qui se pose : les femmes appuient leurs maris ou fils pêcheurs pour la sortie mais la production est vendue aux mareyeurs. La seule différence c'est que dans ce site, les femmes ne se positionnent pas comme acheteurs de poulpe, elles sont présentes dans les débarquements mais se limitent au « terral ».

· Relations entre les mareyeurs et les femmes

Avec les mareyeurs, les femmes de Pointe Sarène ont aussi des rapports financiers. En effet, ce sont les mareyeurs qui assurent les financements des femmes en cas de forte production pour l'achat du poulpe. Ils entretiennent aussi de fortes relations sociales c'est pour cela que certaines femmes ont pensé que leur intégration dans la chaine de valeur du poulpe pourrait être un problème d'autant plus que les pêcheurs et les mareyeurs entretiennent déjà de bons rapports comme mentionné plus haut. Par ailleurs, elles ne voudraient pas que leur intégration dans la chaine porte préjudice aux mareyeurs car jusqu'à présent, elles n'achètent pas le poulpe auprès des pêcheurs. Donc, cette production revient toujours aux mareyeurs.

D'ailleurs, c'est dans cette logique que certaines pensent que les femmes ne peuvent pas avoir la même place que les mareyeurs dans la filière car même si elles arrivaient à financer des pirogues, les pêcheurs ne leur accorderaient pas l'exclusivité de la production du fait des relations de confiance tissées avec les mareyeurs.

Cependant, à Nianing les mareyeurs et les femmes entretiennent une relation concurrentielle. Le nombre de femmes en activité dans le site a baissé de 10 à 2 à cause de leur manque de moyens financiers. En outre, les mareyeurs n'acceptent pas de financer les femmes alors qu'ils assurent le financement des lag-lagal hommes jusqu'à hauteur de 100 000. Les mareyeurs s'approvisionnent à travers le système d'estimation du poids du produit auprès des pêcheurs pour vendre le poulpe à leurs mareyeurs. Ainsi, les femmes sont parfois obligées d'aller exercer leurs activités à Mbour où elles peuvent recevoir des financements. En effet, à Mbour, les femmes entretiennent de bonnes relations avec les mareyeurs. Ainsi, ces derniers assurent quotidiennement le financement pour l'achat du poulpe. Cette relation est aussi basée sur la confiance et l'entre-aide. Par ailleurs, chaque mareyeur, dans le souci de collecter le maximum de poulpe, collabore avec plusieurs femmes micro-mareyeuses aux quelles il remet à chacune une somme pouvant aller jusqu'à 500 000 FCFA. Ces femmes achètent le poulpe le plus souvent auprès des pêcheurs ayant financé eux mêmes leurs activités. Elles n'achètent pas par pesée mais par estimation ou « keudd » en espérant faire des bénéfices lors de la revente au mareyeur, revente qui se fait par pesée et après calibrage. Mais il arrive que les femmes s'aperçoivent qu'elles ont perdu du fait d'une mauvaise estimation. Dans ce cas, elles trempent le poulpe dans de l'eau douce avec un peu de glace des heures durant et parviennent à récupérer ainsi le poids perdu voire même plus. Cette pratique est fortement décriée par le service des pêches de même que les industriels. Cependant, elle permet aux femmes de gagner une place dans la chaîne car elles peuvent lors des ventes par estimations proposer des prix élevés car sachant qu'elles pourraient récupérer les pertes par le trempage.

· Relations entre les micro-mareyeurs et les femmes

A Nianing, les micro-mareyeurs forment souvent de petits groupes pour concurrencer les femmes auprès des pêcheurs en proposant de meilleurs prix que ces dernières lors des ventes par estimation. C'est à cause d'eux que les femmes commencent à être marginalisées dans la chaîne.

· Relations entre l'usine et les femmes

L'usine s'approvisionne au niveau des mareyeurs disposant de quotas alors que les femmes n'ont pas les moyens financiers pour avoir des cartes de mareyage.

L'accès à l'usine est donc un des problèmes soulevés par les femmes. En effet, vu la faible quantité de produit qu'elles mobilisent, aucune d'entre elles n'a accès à l'usine et les quantités qu'elles achètent sont revendues aux mareyeurs.

En somme, nous pouvons dire qu'à Pointe Sarène, même si les relations entre les femmes et les autres acteurs sont souvent de nature financière, elles ont un soubassement social du fait que tous les acteurs ont des liens familiaux. A Nianing, la relation est concurrentielle alors qu'à Mbour elle est marquée par une volonté d'affirmation des femmes.

Concernant leur accès aux institutions, les femmes affirment que les services répertoriés à savoir le CGRH, le service des pêches, le COOPEC RESOPP et l'AFET leur apportent un appui technique ou financier.

· L'accès au service des pêches

Pour les femmes, l'appui du service des pêches se situe dans l'encadrement et la sensibilisation concernant l'hygiène et la qualité des produits.

· L'accès aux structures de financement

A Nianing, parmi les 22,4 % des acteurs qui ont adhéré aux structures de financement 31% sont des femmes et 69% sont des hommes. Ainsi on note un taux non négligeable d'acteurs qui n'ont pas accès aux structures de financement surtout les micro-mareyeurs et les micros mareyeuses du fait de leurs faibles moyens. Ces structures de financement sont au nombre de trois: PAMECAS, CNCAS, CMS et se situent au niveau de Mbour. Cependant, les acteurs affirment que les conditions à remplir pour accéder au crédit sont difficiles, surtout les garanties demandées par lesdites structures. C'est pourquoi la plupart des adhérents sont ceux qui disposent d'équipements c'est-à-dire les femmes propriétaires de pirogues et de moteurs, les pêcheurs et les mareyeurs.

Figure 7 : L'ACCÈS DES FEMMES DE NIANING AUX STRUCTURES DE FINANCEMENT

Source : Enquête chaîne de valeur REPAO, 2008

· Accès à la FENAGIE pêche

C'est grâce à la FENAGIE que les femmes de Nianing ont reçu des équipements pour leur site et des formations sur la transformation des produits halieutiques et l'hygiène.

· Accès au CGRH

Le comité de gestion des ressources halieutiques appuie les femmes transformatrices en termes d'encadrement et de recherche de partenariats. A Pointe Sarène, le CGRH a facilité l'organisation des femmes autour de L'AFET.

· Accès à l'AFET

L'Association des femmes transformatrices de Pointe Sarène a été mise sur pied par les femmes en fédérant leurs GIE. Les femmes font des cotisations mensuelles (500 FCFA) et reçoivent des financements des organisations comme le PADER12(*). Ainsi, elles ont bénéficié d'un financement de 4 millions de FCFA du PADER, prêt qu'elles ont déjà remboursé. Et elles continuent de travailler mais dans le cadre de la transformation des produits des produits halieutiques avec les intérêts générés et leurs cotisations mensuelles.

Figure 8: Matrice des relations des femmes avec les autres acteurs et services

La figure 8 résume les relations financières (représentées par des flèches rouges), techniques (représentées par les flèches noires) et de concurrence (représentées par les flèches vertes) qu'entretiennent les femmes avec les différents acteurs de la chaine de valeur du poulpe et les services et institutions présents dans les villages de Pointe Sarène, Nianing et à Mbour.

CONCLUSION

La principale question de cette étude est centrée autour de la problématique de la position des femmes dans la chaine de valeur du poulpe dans un contexte de crise du secteur de la pêche artisanale. Sous ce rapport, notre objectif était d'analyser les déterminants sociaux de la place des femmes dans la chaine de valeur du poulpe à Pointe Sarène, Nianing et Mbour.

Pour atteindre cet objectif, nous avions formulé une hypothèse de recherche, selon laquelle les types de relations qu'entretiennent les femmes avec les autres acteurs déterminent leur place dans la chaine. Cette hypothèse a été confrontée aux réalités des faits. Pour ce faire, d'une part nous avons construit un cadre d'analyse se référant aux modèles causal et actanciel et d'autre part, nous avons élaboré des techniques de recueil des données basées sur l'analyse qualitative.

L'approche qualitative nous a permis d'aboutir à un certain nombre de résultats confirmant notre hypothèse de recherche. Ainsi, nous avons montré que certaines relations sociales qu'entretiennent les femmes avec les mareyeurs constituent un frein à leur implication effective dans la chaine du poulpe ce qui limite leur place. Cette situation se justifie par le fait que les femmes ayant des liens forts de parenté avec les mareyeurs ne veulent pas faire la concurrence à ces derniers dans la commercialisation du poulpe.

A travers ce travail, nous avons compris l'importance des liens sociaux dans les communautés de pêche. En effet, malgré la recherche de profit, les acteurs maintiennent de bons rapports sociaux ce qui fait qu'à Pointe Sarène par exemple les femmes préfèrent se spécialiser dans la transformation des produits halieutiques et laisser les hommes dans le mareyage du poulpe. Ainsi, dans ce site, si les femmes n'ont pas acquis une place de choix dans la chaîne de valeur du poulpe, ce n'est pas par manque de conditions physiques, ou de moyens matériels comme pourraient le prétendre d'aucuns mais plutôt à cause de facteurs sociaux qui contribuent à leur mise à l'écart.

En somme, tout porte à croire que le secteur de la pêche artisanale subit des mutations et qu'on assiste à une réelle division du travail et d'une tendance à la spécialisation dans tel ou tel domaine d'activité à partir des facteurs discriminants que sont le sexe et les réalités socio culturelles de la localité.

Cependant à Nianing, la réalité est tout autre. En effet, dans ce site, on ne retrouve pas réellement ces considérations sociales car d'après les femmes, les mareyeurs préfèrent vendre leur production aux hommes micro-mareyeurs.

Parallèlement, cette réflexion à la fois théorique et pratique nous a donné l'opportunité d'apprécier les stratégies développées par certaines femmes pour gagner de la place dans la chaîne. Ainsi, à Mbour, les femmes pratiquent le trempage pour avoir une plus value afin de maintenir leur place dans la chaîne.

En définitive, ces remarques n'épuisent pas la liste des déterminants de la place des femmes dans le développement en général et dans le secteur de la pêche en particulier mais ont posé les jalons pour cette problématique qui ne manquera pas d'être l'objet de réflexions plus approfondies dans le cadre de nos futures investigations.

BIBLIOGRAPHIE

1. BERTHELOT Jean-Michel, L'intelligence du social : le pluralisme explicatif en sociologie, paris, PUF, 1990, 294 pages.

2. CORLAY Jean-Pierre, Du poisson pour se nourrir, du poisson pour vivre : les enjeux de la pêche et de l'aquaculture du 3ème millénaire.

3. Enda DIAPOL/REPAO, WWF, Libéralisation du commerce et gestion durable des secteurs halieutiques en Afrique de l'Ouest. Etude de cas du Sénégal, Enda éd., Dakar, 2007, 116 pages.

4. Enda DIAPOL/REPAO, WWF, Programme pêche, commerce et environnement en Afrique de l'Ouest (PCEAO), rapport final, 2004

5. Enda DIAPOL/REPAO, Etude de faisabilité de l'éco-labellisation dans les sites du projet GIRMAC, Avril 2007.

6. Enda DIAPOL/REPAO, Rapport de réception du projet de recherche-action sur la chaîne de valeur du poulpe dans la zone de Mbour, document de travail, Septembre 2008, 82 pages

7. Enda DIAPOL/REPAO, Rapport de progrès du projet de recherche-action sur la chaîne de valeur du poulpe dans la zone de Mbour, document de travail, Septembre 2008, 54 pages

8. FAO, Accroissement de la contribution des pêches artisanales à la lutte contre la pauvreté et à la sécurité alimentaire, Rome, 2008.

9. FAO, La situation mondiale des pêches et de l'aquaculture, Rome 2007, 180 pages.

10. Fish for all, Plan d'action du NEPAD pour le développement des pêcheries et de l'aquaculture.

11. KA Rouguiyatou, Impact de la pratique du mareyage et mutations sociales en milieu pêcheur Sénégalais. Exemple de la langue de Barbarie à Saint-Louis, Mémoire de DEA, 2000-2001.

12. NDOYE Fatou et al, Aperçu de la filière halieutique au Sénégal, Enda Graf, 21 pages.

13. OCDE, Enda DIAPOL/REPAO, Cohérence des politiques dans le secteur des pêches en Afrique de l'Ouest, les éditions de l'OCDE, France 2008, 133 pages.

14. PORTER Michael, L'avantage concurrentiel, 1986.

15. PNUE, Mise en oeuvre de mesures de conservation et gestion durable des ressources halieutiques. Le cas du Sénégal, 2004, 76 pages.

16. SALL Aliou, La globalisation et les rapports de genre dans le secteur de la pêche au Sénégal, 1999.

17. SALL Aliou, DEME Moustapha et DIOUF Pape Samba, L'évaluation des emplois dans les pêcheries artisanales maritimes sénégalaises, Août 2006.

TABLES DES MATIERES

DEDICACES.......................................................................................... i

REMERCIEMENTS................................................................................. ii

LISTE DES ACRONYMES........................................................................ iii

LISTE DES FIGURES ET TABLEAUX......................................................... iii

SOMMAIRE..........................................................................................iv

INTRODUCTION....................................................................................1

PREMIERE PARTIE : APPROCHE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE......3

CHAPITRE I : Approche théorique..............................................................4

* 12 Programme d'appui au développement rural

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"L'imagination est plus importante que le savoir"   Albert Einstein