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Le coma chez le sujet age : facteurs étiologiques, prise en charge et pronostic dans le service d'anesthésie-réanimation du CHU Gabriel Toure

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par Mary Audry MOGHOMAYE
Mali - Médecine générale 2009
  

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Les encéphalites

L'hypothèse d'encéphalite herpétique, ou à HIV sera évoquée devant un coma fébrile d'aggravation rapide associé à des signes cliniques (signes méningés, mouvements involontaires, myoclonies, asymétrie des réflexes ostéotendineux, un nystagmus, une paralysie faciale, voire une hémiparésie) et des signes électriques de souffrance temporale. Une tomodensitométrie et les examens virologiques du sang et du LCR seront nécessaires.

Les encéphalopathies des états septiques

Compliquant habituellement l'évolution d'un foyer septique profond non ou mal drainé, le coma est d'installation très progressive, précédé d'une phase de confusion mentale puis d'obnubilation. Rarement profond, il s'accompagne d'une hypertonie de type extra-pyramidale. Il ne requiert aucun traitement spécifique et guérit très rapidement dès drainage du foyer infectieux.

Le paludisme grave

La forme neurologique, avec coma est due au Plasmodium falciparum. Elle s'accompagne assez souvent de crises convulsives, de signes méningés et d'une hypotonie entrecoupée de phase d'hypertonie. Des signes neurologiques focaux sont rarement observés. Une diarrhée accompagnatrice est fréquente.

Dans certains cas survient une défaillance, et parfois un oedème pulmonaire.

Le frottis sanguin, une goutte épaisse, et des tests de diagnostic rapide permettent de faire le diagnostic.

Coma épileptique

Les troubles de la conscience post- critiques n'excèdent pas 20 à 30 minutes. Au-delà, il faut envisager une complication traumatique, vasculaire, tumorale, infectieuse, toxique, iatrogène ou métabolique. L' « état de mal épileptique » se définit comme étant un « état caractérisé par une crise d'épilepsie qui persiste suffisamment longtemps ou qui se répète à des intervalles suffisamment brefs pour créer une condition fixe et durable »

Devant un coma, en l'absence de notion de crise tonicoclonique, on recherchera systématiquement une perte d'urine, une morsure de langue, une respiration stéatoreuse. En l'absence de phénomènes convulsifs, l'hypothèse d'un état de mal épileptique non convulsif justifie la réalisation d'un EEG qui montrera une activité paroxystique infraclinique.

EXAMENS COMPLEMENTAIRES

Leur stratégie s'oriente en fonction des présomptions cliniques et des implications thérapeutiques.

1- Les examens systématiques

· L'électrocardiogramme.

· L'ionogramme sanguine

· L'urée sanguine et la créatininémie.

· La crase sanguine : le taux de prothrombine, le temps de céphaline activée.

· La numération formule sanguine

· La radiographie du thorax.

· Le dosage de la glycémie

· Le dosage des gaz du sang artériel.

Les examens selon l'orientation

..5.a.a- Le Scanner cérébral

De nos jours, la tomodensitométrie cérébrale est l'un des examens complémentaires de prédilection devant un coma. Si cette attitude est le plus souvent justifiée, la recherche et l'attente d'une TDM ne doit pas faire retarder la prise en charge des fonctions vitales. La TDM cérébrale est toujours réalisée d'abord sans injection de produit de contraste. Cet examen permet de réaliser un diagnostic lésionnel en mettant en évidence :

· La plupart des lésions traumatiques, en particulier les hématômes intra- crâniens pouvant justifier d'une intervention neurochirurgicale en urgence

· Des signes indirects évocateurs d'oedème cérébral : taille anormalement petite (en fonction de l'âge) des ventricules, disparition des sillons corticaux, disparition des citernes de la base du crâne ; et de façon plus aléatoire, diminution du contraste entre substance grise et substance blanche

· Un effet de masse avec déplacement des structures médianes, témoignant d'une lésion focale

· L'existence d'une hémorragie méningée

· Une hypodensité focale évocatrice d'ischémie cérébrale (celle-ci ne s'observe que plus de quarante-huit heures après l'accident initial) ou, au contraire d'une hémorragie spontanée intracrânienne

· La TDM peut aussi révéler des lésions anciennes qui, parfois, expliquent les signes focaux et d'autres anomalies de l'examen neurologique en dehors de l'altération de l'état de conscience

· Enfin, d'autres diagnostics plus rares peuvent être parfois évoqués sur la TDM cérébrale sans injection (présence de lésions calcifiées par exemple).

La réalisation d'un scanner cérébral avec injection du produit de contraste ne doit se faire qu'après un premier examen sans injection du produit de contraste et après élimination des contre- indications à cette injection : contexte traumatique, lésion spontanée hémorragique, hypertension intracrânienne menaçante, insuffisance rénale, allergie connue pour l'un des produits de contraste. Cette injection du produit de contraste pourra révéler ou préciser un certain nombre de lésions non spontanément visibles, en particulier les lésions tumorales ou infectieuses.

..5.a.b- L'examen de la goutte épaisse

Il est réalisé devant tout coma fébrile, en période et en zone d'endémicité, et en cas de séjour en pays d'endémie paludique.

..5.a.c- L'échographie cardiaque

Elle est nécessaire en cas de suspicion d'une endocardite infectieuse.

..5.a.d- Les hémocultures

Sont systématiques devant tout coma fébrile.

..5.a.e- La ponction lombaire

La ponction lombaire est réalisée en cas de suspicion d'infection méningée ou d'hémorragie méningée si le scanner est normal.

Elle est indiquée en extrême urgence devant un contexte infectieux et doit être précédé d'une TDM s'il existe des signes focaux. En absence de scanner rapidement disponible, devant un coma fébrile avec signes de localisation ou d'hypertension intracrânienne la PL doit être réalisée sans délai [9].

..5.a.f- L'échographie abdomino-pelvienne

Elle va rechercher un foyer infectieux, des signes de cirrhose hépatique ou d'hypertension portale et doit être complétée par les tests hépatiques.

..5.a.g- Les prélèvements toxicologiques

Ils sont demandés si le contexte l'impose, au niveau du sang, des urines et du liquide de lavage gastrique. Le laboratoire doit être informé de l'état clinique du patient en précisant le ou les toxiques suspectés être responsables du coma.

..5.a.h- Le fond d'oeil

Il garde son intérêt, en l'absence de scanner, pour la détection d'une hypertension intracrânienne (stase papillaire).

..5.a.i- L'électro-encéphalogramme

C'est l'enregistrement de l'activité électrique du cerveau. Elément primordial pour la surveillance d'un coma prolongé, son principal intérêt, au plan étiologique, est de mettre en évidence une activité paroxystique, parfois infraclinique, ou de fournir des éléments de localisation en présence d'un coma profond.

TRAITEMENT

Le patient dans le coma est obligatoirement hospitalisé en urgence, puis surveillé strictement. Le traitement a pour but de maintenir les fonctions vitales et éviter les complications grâce à un traitement symptômatique permettant d'assurer une respiration efficace, un équilibre hémodynamique, la prévention des infections et les complications de décubitus ; prévenir les situations d'agression cérébrales secondaires d'origine systémique (ACSOS). Le traitement étiologique doit être envisagé ensuite très rapidement.

1- Mesures immédiates

Quatre mesures sont prioritaires quelle que soit l'étiologie.

a) Le maintien de l'état respiratoire

· L'oxygénothérapie

L'oxygénation par sonde nasale, lunettes ou masque est systématique.

Le débit d'oxygène doit être élevé, de l'ordre de 8 à 10 litres par minute en cas de détresse respiratoire (tachypnée, cyanose, tirage) ou circulatoire associée.

· La libération des voies aériennes supérieures

Elle consiste en la mise en position latérale de sécurité, le retrait d'un corps étranger oro-pharyngé (appareil dentaire ou autre), l'extension de la tête (contre-indiquée en cas de doute de traumatisme), la sub-luxation de la mâchoire inférieure et la mise en place d'une canule oro-pharyngée.

· L'aspiration

Est pratiquée en cas d'encombrement trachéo-bronchique.

· L'intubation trachéale et la ventilation artificielle

Pratiquées si nécessaire, elles préviennent le risque d'inhalation.

b) Le maintien de l'état hémodynamique

Il comprend :

· la prise d'une voie veineuse périphérique ou centrale de bon calibre

· la correction d'une hypotension artérielle

· l'administration de vasopresseurs qui se fera en cas d'inefficacité ou de contre-indication du remplissage

· la correction d'une hypertension artérielle doit se faire avec prudence. Une hypertension artérielle doit être respectée sauf dans les rares cas où elle est responsable d'une défaillance cardiaque (OAP, infarctus), d'une dissection aortique ou s'il s'agit d'une hypertension artérielle maligne [16].

c) La recherche d'une hypoglycémie

L'évaluation de la glycémie au doigt par la bandelette semi-quantitative doit être systématique devant tout trouble de la conscience. En cas d'hypoglycémie l'absence d'administration rapide de glucosé peut être fatale alors que la perfusion de glucose est sans danger en cas d'erreur diagnostique (glycémie normale ou hyperglycémie même importante).

d) L'arrêt des crises convulsives

Les produits les plus couramment utilisés sont le diazépam et le phénobarbital.

· Le diazépam est administré à la dose de 10 mg en intraveineuse directe (IVD) lente sur 1 à 2 minutes et doit être fait sous contrôle de la ventilation, à cause de la dépression respiratoire que produit le diazépam (le matériel d'assistance respiratoire doit donc être disponible).

· Le phénobarbital déprime peu la respiration mais sa préparation nécessite quelques minutes. Il est disponible sous forme de flacon unitaire de 40 mg. La dose est de 10 à 20 mg/kg (soit 15 à 30 flacons pour un adulte de 60 kg) en perfusion rapide dans 100 à 200 ml de sérum physiologique, éventuellement répété à raison de 5 à 10 mg/kg [9].

Sur le plan pratique, le diazépam et le phénobarbital peuvent être associés de manière intéressante avec peu de risque de dépression respiratoire, à raison d'une injection de 10 à 30 mg de diazépam en IVD lente permettant de disposer du temps nécessaire pour la préparation de la perfusion du phénobarbital.

En cas d'état de mal, il faut utiliser la phenytoïne (dilantin, 500mg en 1heure à la seringue autopousseuse et sous surveillance ECG) ou les barbituriques (1g de nesdonal en 1heure en surveillant la PA). La ventilation assistée devient obligatoire.

Les urgences neurochirurgicales

Relativement rares au stade de coma, elles relèvent essentiellement d'une part des processus expansifs intracrâniens, d'évolution rapide, surtout en pathologie traumatique (hématome extradural), parfois en pathologie vasculaire (hématome ou infarctus massif du cervelet) ou infectieuse (abcès ou empyème cérébraux, surtout en vue d'une identification bactériologique) et d'autre part d'hémorragie méningée par rupture d'anévrisme.

Les urgences médicales

Certaines pathologies sont justiciables d'un traitement spécifique :

· en pathologie infectieuse, les méningites bactériennes ou mycotiques l'encéphalite herpétique et le paludisme grave représentent les urgences majeures.

· en pathologie toxique, le naloxone est utilisé en cas d'intoxication morphinique (0,4 à 1,2mg en IV) ; l'oxygénothérapie hyperbare dans l'intoxication oxycarbonée ; le flumazénil (1à 2 mg) comme antidote des benzodiazépines. Ils constituent un test diagnostique et le retour momentané à la conscience ne doit pas alléger la surveillance.

· dans certaines endocrinopathies (coma myxoedémateux), la mise en route d'un traitement hormonal supplétif doit se faire sans délai.

· l'état de mal épileptique nécessite la mise en oeuvre rapide d'un traitement anticonvulsivant par voie veineuse.

· l'HIC doit être contrôlée, et son existence fait appel à des mesures générales : maintien de la tête en surélévation en absence d'hypotension, sédation, contrôle respiratoire.

· la lutte contre l'oedème cérébral se fera par la corticothérapie pour les oedèmes des tumeurs et des abcès ; dans les autres cas, des mesures visent à faire baisser la PIC par des solutés osmotiques (mannitol), une hyperventilation mécanique contrôlée, les barbituriques, dont l'utilisation demande une surveillance étroite, en gardant à l'esprit que la perfusion cérébrale doit être privilégiée. En cas d'urgence (engagement cérébral), ces mesures sont efficaces à courtes échéances, dans l'attente d'une solution chirurgicale.

· la protection cérébrale suggère l'exploitation d'agents qui interfèrent avec le transfert intracellulaire du calcium, la libération d'aminoacides excitateurs, la production de radicaux libres ou la destruction des phospholipides membranaires. Ces molécules sont en cours d'expérimentation.

Les mesures générales

Dans la situation de dépendance totale qui caractérise le coma, certaines mesures s'imposent.

· Prévention des complications de décubitus (accidents thromboemboliques, escarres, attitudes vicieuses des membres.

· Apports énergétiques équilibrés avec supplément en vitamine par la sonde gastrique.

· Préventions des surinfections, en particuliers pulmonaires par le drainage des voies aériennes et une antibiothérapie sélective.

· Protection des yeux par instillation régulière de collyre.

· Lutte contre l'hyperthermie ou le réchauffement progressif en cas d'hypothermie profonde.

· Surveillance des fonctions vitales : scope, saturation en oxygène, monitoring de la pression artérielle et surveillance de la diurèse (mise en place d'une sonde urinaire).

INDICES DE GRAVITE ET FACTEURS EVOLUTIFS

Des systèmes de cotation ont été mis au point pour mesurer la gravité de l'état clinique des malades, l'intensité et l'efficacité des interventions thérapeutiques, les besoins en soins infirmiers ainsi que pour améliorer l'attribution des ressources et contribuer à la prise des décisions cliniques.

Notre attention s'est principalement portée sur le développement et l'utilisation des indices de gravité.

· Trauma Score de CHAMPION

Ce score fait autorité en matière de triage préhospitalier des détresses d'origine traumatologique et comporte 5 items auxquels on attribue respectivement une cotation. La somme des cotations peut s'échelonner de 1(très mauvais pronostic) à 16(très bon pronostic).

· RTS (Revised Trauma Score)

Il détermine les chances de survie chez les polytraumatisés et prend en compte le Score de Glasgow, la Pression Artérielle Systolique et la fréquence Respiratoire. La mortalité des patients gériatriques traumatisés est plus élevée que celui des autres groupes d'âge. Toutefois, peu de recherches ont été le fait des méthodes ou des critères de triage pour les patients gériatriques traumatisés. Cette étude a évalué une signification clinique de la tri-revised trauma client (t-RTS) pour le triage des patients gériatriques traumatisés.

Un score total <11 est en faveur d'un traumatisme potentiellement grave pour une probabilité de survie de 50% ou moins ; le meilleur score de bénignité est égal à 12. L'application du RTS dans le triage des patients gériatriques traumatisés sur le terrain et dans les salles d'urgence serait très utile. La probabilité de décès chez les patients gériatriques traumatisés est élevée lorsque le T-RTS est inférieur à 10.

· PHI (PreHospital Index)

C'est l'un des scores les plus utilisés à ce jour. Développé en 1986, il permet une évaluation de la gravité en surveillant quatre paramètres : la pression artérielle systolique, le pouls, la respiration, le niveau de conscience et la présence ou non d'un traumatisme pénétrant. Il existe une corrélation entre la valeur du PHI et la probabilité que le malade nécessite une intervention urgente ou décède dans les 72 heures. Un malade ayant un PHI = 4 doit être considéré comme traumatisme grave. Afin d'augmenter la sensibilité et la spécificité du PHI, on peut prendre en compte le mécanisme de l'accident.

· ISS (Injury Severity Score)

C'est un système d'évaluation de la gravité d'un patient polytraumatisé, en fonction du siège des lésions présentes sur le corps, divisé en six régions anatomiques distinctes : tête et cou, face, thorax, abdomen/organes pelviens, extrêmités/ceinture pelvienne et atteintes superficielles. Il permet une classification en dégré de gravité et une estimation pronostique. L'ISS correspond à la somme du carré de chacune des trois valeurs les plus atteintes et ne peut dépasser 75.

· IGSA (Indice de Gravité Simplifié Ambulatoire)

Evalue la gravité des détresses dont l'origine n'est pas traumatologique et permet l'évaluation de l'activité des SMUR en terme de morbidité et de mortalité. La mortalité augmente avec l'IGSA. Celui-ci est bien corrélé à la probabilité de survie (IGSA <8 signifie une probabilité de survie= 94%).

· CRAMS

Ce score de triage a été proposé en 1982 par GORMICAN. Son nom est un acronyme qui représente les cinq paramètres observés : Circulation, Respiration, Abdomen, Motor (motricité), Speech (parole), chaque item ayant une valeur allant de 0 à 2. Un score = 8 correspond à un traumatisme majeur. La corrélation avec le pronostic reste correcte mais son efficacité est contestée par rapport au Trauma Score de CHAMPION.

· TRISS (Trauma score Injury Severity Score)

Il intègre le RTS, l'ISS et l'âge des patients.

METHODOLOGIE

1- CADRE D'ETUDE

Notre étude a été réalisée dans le Service d'Anesthésie et de Réanimation (SAR) adulte polyvalent du CHU Gabriel Touré. Le CHU Gabriel Touré est situé au centre de la ville de Bamako, et de ce fait est le premier centre hospitalier sollicité dans les situations d'urgence. Il s'agit d'un service polyvalent accueillant des patients en provenance d'autres services et d'autres structures sanitaires du District (hôpitaux, cliniques, CS Réf, CSCOM) et de toutes les régions du mali.

Dans son fonctionnement, le SAR se divise en deux unités dirigées par un chef de service assisté par 2 médecins anesthésiste- réanimateurs.

· L'unité de réanimation polyvalente dispose de 9 lits d'hospitalisation et d'un personnel constitué d'un major, 4 infirmiers non spécialisés, 2 aides soignantes et de 4 garçons de salle .Cette unité reçoit les patients évacués des autres structures sanitaires de la ville ou de l'intérieur du pays et les patients hospitalisés ou opérés des autres services du CHU nécessitant des soins intensifs.

· L'unité d'anesthésie couvre les activités anesthésiques sur l'ensemble des sites d'anesthésie du CHU. Son personnel est constitué de 12 assistants médicaux spécialisés en anesthésie, 4 garçons de salle, ainsi que des stagiaires du centre de spécialisation des techniciens de santé (CSTS).

· Les étudiants de la Faculté de Médecine de pharmacie et d'Odontostomatologie (FMPOS) faisant fonction d'interne sont à cheval sur les 2 unités.

2- PERIODE D'ETUDE

Il s'agissait d'une étude prospective et descriptive. Le recrutement a été fait sur une période de 12 mois allant de février 2008 à janvier 2009.

PATIENTS

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"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe leur portée"   François de la Rochefoucauld