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Caractérisation de la réaction interfaciale entre une couche mince de tungstène et un substrat d'acier

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par Mourad Khechba
Université de Constantine - Magister 2008
  

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III.3.1.2. Les conditions expérimentales :

L'enregistrement des spectres, d'intensité I diffractées en fonction de par rapport à la surface de l'échantillon, est effectué par un diffractomètre de poudre, automatisé Siemens de type (BRUKER-AXS type D8) (figure III.3) opérant en géométrie Bragg - Brentano, suivant les conditions suivantes:

Figure III.3 : Diffractomètre de type (BRUKER - AXS type D8).

 

Procédures expérimentales et méthodes de caractérisation.

La source des rayons X est produite par une anticathode cuivre, alimentée par un générateur tension - courant de 35 kV 30 mA.

Le rayonnement X utilisé est K du cuivre ( Cu = 1.54056Å) obtenu par un monochromateur germanium.

L'échantillon est placé sur une tête goniométrique.

Les spectres de DRX des échantillons sont enregistrés pour 2 compris entre 20° et 120° avec un pas de 0.02°.

L'identification des phases présentes dans les spectres de DRX a été faite en utilisant les fichiers ASTM.

III.3.1. 3. Détermination de la taile des gains:

Dans un premier temps, il est possible,à partir des spectres de diffraction, de calculer la taille des cristallites des phases des dépôts en utilisant la formule de Scherrer [71-72] donnée par la relation III.2. Celle-ci ne tient pas compte des effets des microdéformations sur la

considérés.

0,9 .

D

.cos

Où :

à mi-

(figure III.4) ; en anglais FWHM (Full width half maximum).
D est la taille moyenne des cristallites ([D] = nm).

est l'angle de diffraction en degrés.

est la longueur d'onde du faisceau de rayon X.

 

Procédures expérimentales et méthodes de caractérisation.

Figure III.4: Illustration montrant la définition de à partir de la courbe
de diffraction des rayons X.

III.3.2. La microscopie électronique à balayage (MEB).

Le microscope électronique à balayage (MEB) (scanning electron microscopy-SEM en anglais) a été imaginé pour la première fois en Allemagne, dans les années 1930, par Knoll et Von Ardenne et développé par Zworykin, Hillier et Snyder dans les laboratoires RCA aux Etats-Unis (1940). Mais La microscopie électronique à balayage a connu son véritable essor entre 1948 et 1965, grâce aux progrès techniques de la télévision et des détecteurs d'électrons et grâce aux recherches d'Oatley et de ses condisciples à Cambridge. Cette nouvelle technologie a permis, du fait de sa profondeur de champ, l'observation du relief d'échantillons massifs.

III.3.2.1. Le principe :

Les microscopes à balayage utilisent un faisceau d'électrons très fin qui balaye point par point la surface de l'échantillon. L"interaction du faisceau avec l'objet crée différentes émissions de particules qui sont analysées à l'aide de détecteur approprié : électrons secondaires, électrons rétrodiffusés, électrons transmis, émission de rayons X (figure III.5). Captée de façon synchrone avec le balayage du faisceau sur l'échantillon, l'intensité de chacun de ces signaux module la luminosité d'écran de télévision donnant des images noir et blanc que l'on peut mixer entre elles.

 

Procédures expérimentales et méthodes de caractérisation.

Figure III.5 : Représentation schématique de l'interaction entre un faisceau d' électrons et la
surface d'un échantiion.

Le principe de fonctionnement d'un microscopeélectronique à balayage ayant un filament de tungstène comme source d'extraction desélectrons est décrit dans le schéma cidessous (figure III.6).

Figure III.6 : Représentation schématique du principe de fonctionnement du MEB.

 

Procédures expérimentales et méthodes de caractérisation.

III.3.2.2. Les conditions expérimentales:

Dans ce travail, pour étudier la topographie de la surface de noséchantillons, nous avons utilisé un microscope électronique à balayage (MEB) de la marque Philips XL 30, opérant avec une t KV.

III.3.3. Le microscope optique :

détails in

III.3.3.1. Le principe :

Le microscope optique se base sur les lentilles pour obtenir une image agrandie de

On peut faire un microscope simplifié (figure III.7) avec deux lentilles convergentes. objectif ». - delà de la distance focale, cela forme une image réelle inversée et de taille différente

, si celui-ci est situé à une distance inférieure au double de la

: elle est positi

», donc en relâchant les muscles

Figure III.7: Le principe du microscope optique.

 

Procédures expérimentales et méthodes de caractérisation.

III.3.3.2. Les conditions expérimentales :

Le microscope optique est un appareil qui donne la micrographie des surfaces des échantillons. Il donne des informations telles que la répartition de nouvelles phases, la taille des grains, les joints de grains, les fissures, etc. L'observation de noséchantillons (W/acier) recuit et non recuit est effectuée par un microscope optique de type EURO-MAX microscope (Hollande) relié à un micro-ordinateur pour faciliter le traitement des images. Les grossissements varient entre 10 et 400.

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