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Etude de l'assainissement de l'éclairage public et de l'amélioration des conditions de sécurité

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par Sadam Useni Bin Useni
 -  2010
  

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INTRODUCTION GENERALE

L'éclairage public de la route poids lourds est devenue une discussion dans des milieux de plupart des citoyens qui utilisent cette voie ceinture de la capitale.

I). PROBLEMATIQUE

Le problème de l'éclairage public de la route poids lourds avait déjà trouvée solution avec l'arrivée de la société MALT- FOREST, cette société avait créée un réseau d'éclairage public à partir de la gare centrale jusqu'au pont MATETE.

Malheureusement aujourd'hui, tout a été rendu à néant par la population même bénéficière de la lumière de ce réseau.

Le problème qui se pose maintenant est celui de :

1. l'assainisement de ce réseau d'éclairage

2. comment assurer la sécurité des installations au regard du niveau de pauvreté de la population.

II). BUT ET INTERT DU SUJET

Le but poursuivi dans ce travail est celui de pouvoir assainir l'éclairage public de la route poids lourds, et de montré comment on peut implanté un réseau de l'éclairage avec toute les condition de sécurité contre les antivaleur.

III). OBJECTF DU TRAVAIL

Nous allons dans le cadre de ce travail chercher à redimensionner les équipements de l'installation pour l'éclairage public de la route poids lourds.

Nous parlons du redimensionnement ici parce que l'ancienne installation n'existe plus, il est question de ramener le réseau d'éclairage public de la route poids lourds dans des conditions de bon fonctionnement en toute sécurité.

IV). METHODOLOGIE DU TRAVAIL

Un travail scientifique doit se reposer sur un plan méthodologique qui doit justifier sa fiabilité et sa crédibilité.

Ainsi, pour l'élaboration de ce travail, les méthodologies et techniques suivantes ont été utilisées :

· documentaires

· interviews

· analytiques

V). SUBDIVISION DU TRAVAIL

Ce travail est subdivisé en 3 chapitres y compris une conclusion dont à savoir :

· chapitre I : généralités sur l'éclairage public

· chapitre II : description de la route poids lourds

· chapitre III : étude de l'assainisement de l'éclairage public

CHAPITRE I. GENERALITES SUR L'ECLAIRAGE PUBLIC

I.1.0. NOTIONS DES PHOTOMETRIES

Il est difficile de parler objectivement de l'éclairage sans parler de quelques notions simples de photométrie qui est la science de la mesure de l'intensité lumineuse.

Ses données de base sont l'intensité, le flux lumineux, l'éclairement et la luminance, ces quatre facteurs sont liés comme ceci : une source d'éclairage artificielle, une lampe électrique rayonne dans toutes les directions.

I.1. DEFINITION DE L'ECLAIRAGE

L'éclairage est une radiation émise par une source lumineuse qui n'est pas perçue par l'oeil humain.

La sensibilité de l'oeil humain est uniquement au rayonnement d'une certaine longueur d'onde qui varie entre 380 et 760 nm avec une sensibilité maximum S=1.

Cette source peut être le soleil, les étoiles, bois, bouse, le brasero.

Pour le rayonnement de longueur d'onde ë = 555nm.

L'éclairage nécessite la connaissance des grandeurs photométriques qui servent à caractériser les propriétés des sources lumineuses et leurs applications.

La puissance émise transformée ou reçue sous forme de rayonnement est appelée flux énergétique qui s'exprime en Watt ou en joule par seconde son symbole est Fe ou c.

Le flux lumineux est la grandeur caractéristique d'un flux de rayonnement exprimant son aptitude à produire une sensation.

Son unité est le lumen (lm).

Son symbole :, le flux lumineux c'est aussi la grandeur qui précise la quantité de lumière émise par une source dans un certain cône qui tombe sur une surface. =E.S ou =1.Ù ou S=1 [I. 1]

L'éclairage est mesuré avec le photomètre ou lumen mètre.

Bien s'éclairer, c'est mettre en oeuvre un ensemble d'éléments ou d'équipement nécessaire qui donne à l'oeil des conditions de travail optima parmi ces éléments, on peut relever :

- l'absence d'éblouissement

- un niveau des luminances

- le dosage des luminances

- le choix des couleurs

I.1.2.Caractéristique d'une radiation.

Une radiation est caractérisée par la fréquence (f) et la période T.

i

T= -- [I, 2]

F

Ou i = radiation.

De la vitesse de propagation V qui comme (300.000km/s). On en déduit la longueur d'onde ë

v

ë = -- [I, 3]

f

la période s'évalue en seconde (s), la fréquence en Hertz (Hz) ou en période par seconde.

La longueur d'onde toujours très petite s'évalue en sous multiple du mètre (1A0 =10-10m)

I.1.3. Eclairement

L'éclairage, en un point à éclairer, est le quotient du flux lumineux émis par la surface éclairée : E=ø /S. [I, 4]

E en lux

 

Lx ; ø en lumen.

Lm ; s en mètre carré :(m2).

- L'angle formé par la surface éclairée et la direction de la surface.

- Le carré de la distance entre la source et la surface éclairée.

Tableau I. 1

Valeurs d'éclairement

Pleine soleil jusqu'à 100.000lux

Prés d'une fenêtre par temps couvert 1000 à 3000 lux

Pleine lune dans un ciel claire : 0,25lux

I.1.4.Projet d'éclairement simplifié

Indice du local et rapport de suspension.

Si la pièce étudiée est de forme rectangulaire et que le rapport de deux cotés reste inférieur à 3, l'indice du local se détermine par :

k= (ab) / h (a+b) [I, 5]

a : longueur du local

b : largeur du local

h : hauteur des luminaires par rapport au plan utile.

La destination de ce local, en fonction de l'activité prévue sur le plan utile, détermine le niveau d'éclairement souhaité conforme aux recommandations ci-dessous.

Le rapport de suspension tient compte de la position du plan de fixation des sources lumineuses. J=h' / (h+h').  [I, 6]

h : distance des appareils par rapport au plafond

h : distance des appareils au plan utile.

La valeur recommandée de l'éclairement est exprimée en lux.

Pour l'éclairage public la valeur de l'éclairement est de 100 lux.

I.1.5. Courbe d'efficacité lumineuse

La sensibilité de l'oeil est nulle de part et d'autre des limites de ce qui est appelé la lumière visible.

· En dessous de 380nm le rayonnement ultraviolet est fourni par les sources : soleil, lampes fluorescente

Ce rayonnement ultraviolet doit être filtré pour éviter les brûlures de la peau, et l'agression de l'oeil

On utilise la lumière ultraviolette pour :

- le bronzage de la peau

- l'impression de surface sensible

- les effets spéciaux (lumière noire)

· au dessus de 780nm le rayonnement infrarouge est utilisé pour transmettre des messages invisibles par la lumière ambiante.

Ex : capteurs photoélectriques.

L'utilisation de lumière infrarouge pour les capteurs, évite la perturbation due à la lumière ambiante (éclairage artificiel, soleil).

I.1.6. Types d'éclairage

Nous distinguons deux types d'éclairage à savoir :

- l'éclairage naturel

- l'éclairage artificiel

I.1.7. L'éclairage naturel

Nous avons deux sources de l'éclairage naturel qui sont :

- le soleil, qui préside le jour,

- la lune et les étoiles président la nuit.

Pendant la journée, l'éclairement du soleil peut atteindre des valeurs suivantes

- E = 500 flux, en site dégagé

- E = 27,5% en moyennée la lumière disponible en site dégagé à la fenêtre des locaux

- E = 3% au centre des locaux.

I.1. 8. Éclairage artificiel

Autres foi, à défaut de disposition d'appareil d'éclairement artificiel suffisant, et l'activité s'arrêtait pratiquement lors que tombait la nuit pour reprendre lors que le jour se levait.

L'homme moderne exerce une grande part de ses activités durant les heures d'obscurité naturelle.

I.1.9. Source de l'éclairage artificiel

Les sources de l'éclairage artificiel sont :

- la bougie

- la lampe tempête

- luminances (les lampes électriques)

I.1.10. Caractéristiques des sources

Une source lumineuse est convertisseur d'énergie dont la puissance d'entrée est électrique et s'exprime en watts. P= u.i.cosá. [I, 7]

La grandeur de sortie est le flux lumineux Ö Qui s'exprime en limen sont symbole lm.

Ce flux lumineux Ö représente l'énergie de chaque bande de longueur d'onde des spectres émis par une source interprétée par l'oeil ou un récepteur physique ayant la même sensibilité.

Si wë = f(ë) représente la repartions spectrale d'une source, son flux est défini par : Ö = km É 780 wë .vë .dë [I, 8]

Vë étant la courbe d'efficacité lumineuse relative moyenne définie internationalement.

La puissance absorbée et le flux lumineux émis par deux sources sont différents :

· En incandescence P = 40w Ö = 430 lm

· En fluorescence P = 40w Ö = 3500 lm

C'est le flux émit par unité de surface. L'unité de l'éclairement est le lux (Lx) son symbole : E.

En considérant le fluxe émit dans un faisceau lumineux corrigé de sommet A d'axe AX, reçu normalement par l'éclairement moyen Em, dura pour expression Em = /S avec : Em : éclairement moyen

Ô : le flux

S : surface éclairé

I.1.11. L'INTENSITE LUMINEUSE

C'est la quantité de lumière émise par seconde, par une source, dans une direction déterminée, par unité d'angle solide. En considérant toujours le cône correspondant un certain angle solide r si la surface MN. D'où S est disposée normalement à l'axe du cône, à une distance de son sommet, l'angle solide Ù a pour mesure S/d2 ou, si la normale à la surface fait un angle y avec la direction du rayon lumineux, Ù = S cos Y/d² [I, 9]

Avec : Y : angle

d: direction du rayon

Pour une surface normale en rayon :

IL =/Ù = (S) /d²/ = (.d²), et soit que = Em.S [I, 10]

Alors l'intensité lumineuse deviendra : Im= Em.S.d² = Em.d² [I, 11]

S

Pour une surface qui fait un angle Y avec la direction du rayon lumineux moyen.

IL =/r pour r = s.cosY/d²; on aura [I, 12]

IL = = .d² = Em.S.d² =

S.cos Y/d² S. Cos Y S.cos y

IL = Em. D²

Cos Y [I, 13]

Si la surface distribue le flux lumineux identiquement dans toute l'espace, l'intensité lumineuse sera  IL = .d²/2 [I.14]

L'unité de l'intensité lumineuse est Candela (Cd) son symbole est I.

I.1.12. Efficacité lumineuse

Lampes à incandescence

Tableau N° I.2

Puissance absorbée(w)

40

60

75

100

150

200

300

500

1000

Flux lumineux (lm)

430

730

960

1380

2220

2950

4950

8400

18800

Efficacité lumineuse (lm/w)

10,50

12,2

12,8

13,8

14,8

14,75

16,8

16,8

18,8

Lampes fluorescentes de substitution

Tableau N° I.3

Puissance absorbée (w)

10

13

18

26

36

40

55

Flux lumineuse (lm)

600

900

1800

1800

2900

3500

4800

Efficacité lumineuses (lm/w)

60

69,2

66,2

69,2

80,5

87,5

87,3

Tube fluorescent diamètre 26 mm

Tableau N° I.4

Puissance absorbée(w)

15

18

30

36

58

Flux lumineuse (lm)

1000

1300

2300

3250

5200

Efficacité lumineuse (lm /w)

66,7

72,2

76,7

90,3

89,6

La gamme de puissance des tubes fluorescents est plus restreinte que celle des lampes à incandescentes.

I.1.13. Perception lumineuse

L'oeil perçoit la couleur des corps qui émettent des rayons lumineux. Ce sont des sources lumineuses, qui peuvent être naturelles (soleil, étoile,) ou artificiel (flamme de bougie, lampe étrique etc....).

Les autres corps, qui sont invisibles quand ils sont placés dans l'obscurité deviennent visible quand ils reçoivent de la lumière d'une source lumineuse ce sont des corps éclairés, ces corps revoient une partie de la lumière reçue et c'est cette lumière que l'oeil perçoit.

Au total, l'oeil ne reçoit que les sources lumineuses et les corps éclairé, un corps non lumineux est dit " transparent " lors qu'il se laisse traverser par la lumière, un corps non lumineux est dit " optique " lors qu'il ne se laisse pas traversé par la lumière.

Un corps non lumineux est dit " translucide" lors qu'il ne se laisse traversé que très particulièrement par la lumière en différassent celui-ci (les verres dépolis sont translucides).

I.1.14. La luminance

Si une surface émulsive, d'air s, rayon dans la direction normale une intensité de bougies, on appelle luminance le quotient de l'intensité lumineuse sur la surface L=I/S.

Si la normale à la surface fait un angle Ü avec la direction d'émission correspondant à l'intensité I, la luminance devient : L= I/S cos Ü

Avec : L : luminance ; I : intensité lumineuse ; S : la surface

Il est à noter que pour une nature et une caractéristique quelconque du revêtement de la chaussée correspond une luminance Lo représentant la luminance d'un point d'une chaussée en direction de l'observateur.

Lo = IL/S. Cos Y [I, 15]

Avec :

IL : intensité lumineuse en direction d'observation

Y : respectivement angle en direction d'observation.

- Pour une petite remarque : nous savons que l'intensité lumineuse dont dépend la notion de la lumière n'est définie que pour une source ponctuelle, donc la notion de la luminance est une fiction commande de l'esprit comme celle du point et de la droite en géométrie. Alors, si l'on a à faire à une voie à éclairer on devra diviser cette surface en éléments assez petits pour que chacun d'eux puisse être considéré comme ponctuel et calculer la luminance moyenne. L'unité de la lumière est candela par carré ou (Cd/m²)

- Symbole : L

- Le coefficient d'efficacité lumineux

C'est le quotient du flux lumineux total émis par une source par la puissance totale consommée.

Symbole : fe

Unité : C'est le Lm/W

Fe = /P [I, 16]

I.1.15. Quantité de lumière

Parallèlement à l'intensité lumineuse on définie également la qualité de lumière d'une source, ceci donne l'idée de la quantité du flux lumineux produit par une source pendant un temps donné.

L'unité : c'est le lumen - heure ou (Lm-h)

Q = .h [ I , 17]

I.2. ORIGINE DE LA LUMIERE

La lumière est une forme d'énergie que la matière peut conserver et émettre. La matière est donc constituer d'atomes qui peuvent stocker cette énergie. Le soleil bien avant l'apparition du premier homme sur la terre, voilà à peu près quatre milliards années, notre étoile, que nous appelons le soleil, inondait déjà de lumière son cortège de planètes depuis, notre globe tourne autour du soleil en 365 jours 6 heures 8 minutes, tout en tournant sur lui-même, d'ailleurs, de nos jours, l'instauration de l'heure d'été et de l'heure d'hiver reste une contrainte économique dans laquelle la part énergétique due à l'éclairage n'est pas négligeable.

Le foyer la combustion des matériaux disponible directement ou indirectement dans la nature (bois, bouse, tourbe) constituent encore aujourd'hui une source d'éclairage pour la population qui n'ont pas accès d'autres technologies. Des tripodes, braseros et autres améliorent la luminosité par rapport à un foyer disposé à même le sol.

A. Lampes à huile

B. Lampes à pétrole

L'huile très tôt après la découverte du feu, on trouve la trace du plus vieux système d'éclairage : la lampe à huile. Les plus anciennes lampes à huile étaient constituées d'une simple pierre évidée dans laquelle une mèche trempait. On estime à 20.000 ans avant JC. La datation de ces lampes, il est alors probable qu'elles furent utilisées ou par les hommes des cavernes préhistoriques.

I.2.1. La lampe a huile

Se complexifie jusqu'au XVIIIème siècle, lorsque apparut l'huile de paraffine tirée de la houille et plus tard du pétrole.

Le perfectionnement des lampes à huile vise à obtenir un plus grand pouvoir éclairant et aussi à améliorer la stabilité de la flamme. Afin d'exciter les battements, on réalise un écoulement constat, suivant le principe des vases Communicants en plaçant le réservoir à la hauteur de la flamme et non plus en dessous c'est le vase de Mariotte. On employait surtout des huiles de plantes très cultivées comme le colza, le navet ou l'oeillet. Gérard Carcel invente en système d'horlogerie qui actionne une pompe horizontale assurant une bonne stabilité de la flamme. En 1784, la lampe d'Argand possède sa forme définitive pour l'éclairage domestique. Ce sont Argand et le pharmacien quinquet qui assurent la commercialisation de leurs lampes.

I.2.2. La bougie stéarique

Inventée au milieu du XIXème rien ensuite envahir l'habitation en raison de son faible prix. Son inventeur se nomme Eugène Chevreul. Bien sûr avant lui la bougie de cire était connu, et malgré son éclairage relativement brillant, son prix restait trop élevé, pour pénétrer dans tous les foyers.

Le gaz : c'est aussi au XVIIIème siècle que l'éclairage au gaz connu en Chine depuis longue date, parvient en occident. Ceci grâce au principe de la distillation de la houille dans une enceinte close, dû à l'Ecossais William Murdoch et au Français JP Minckelers en 1792 qui rend la lampe au gaz véritablement utilisable. En 1920, on assiste réellement à la production industrielle de gaz par distillation de la houille, proposée par William Murdock. C'est à cette date que le gaz apparaît à Londres. En 1829 la rue de la paix est théoriques promenés entre 1800 et 1850 en photométrie et en combustion avec l'apparition du gaz, influant favorablement sur l'évolution technique des lampes.

I.3. COMPOSITION DE LA LUMIERE

La lumière est une onde magnétique de forme et de champ électrique.

La lumière est une composition d'abord relative, la lumière fournit par le soleil est nécessaire aux plantes et aux êtres vivant pour se développer. Elle voyage sous forme d'ondes lumineux transports de minuscules particules d'énergie appels protons. Lorsque les protons entrent en contact avec nos yeux, ils stimulent des cellules sensibles qui nous permettent de voir. La lumière comme les ondes radiophoniques et les rayons x. Toutes ces ondes sont des ondes électromagnétiques.

Il existe un spectre électromagnétique, tout comme il existe un spectre de couleurs dans la lumière. Les ondes lumineuses et toutes les autres ondes électromagnétiques voyagent à environ 3.108m/s au 300.000 km par seconde à cette vitesse elles pourraient faire huit fois le tour du monde en l'espace d'une seconde.

La lumière est l'élément qui voyage le plus vite dans l'univers. La lumière voyage en ligne droite lorsque les rayons lumineux butent contre un objet non transparent, certains sont réfléchis et d'autres sont absorbés par l'objet.

La zone située derrière l'objet reste dans l'ombre car les rayons lumineux ne l'atteignent pas. Plus on se trouve loin d'une source lumineuse, plus son intensité est faible. La lumière se diffuse en effet dans toutes les directions à partir de sa source. De nombreuses étoiles, par exemple, sont plus une vaste zone en raison de leur éloignement. Ainsi, vues de la terre et les scintillent faiblement.

Dans la composition de la lumière nous avons encore un non comme une collection de lumière, c'est le nom de l'ensemble des composés :

- D'une alimentation en énergie (câble, réservation, etc...) parfois complété par un système annexe (ballast au transformateur) ;

- D'une fixation de la source (culot, porte mèche, etc....) ;

- D'un système de guide de lumière ou de réflexion (réflecteur, lentille, etc...) ;

Les lumières actuelles comportent en autre des systèmes de protection qui doivent être conformes à la réglementation (mise à la terre, etc...). Au-delà de l'esthétisme, un luminaire est aussi défini par les critères de la source.

I.3.1. Puissance des lampes

Certains luminaires n'acceptent qu'un modèle de la lampe, d'une seul puissance) forme de la lampe et position de fonctionnent par exemple certaines lampes à décharge ne fonctionnement pas à l'horizontale.

I.3.2 Nature de la lumière

Nous avons trois sorte de nature de la lumière assavoir :

- nature vibratoire

- nature énergétique

- nature corpusculaire

I.3.3.Nature vibratoire

La lumière est associée à des vibrations périodiques, cette vibration étant caractérisées par leurs fréquences, leurs vitesses de propagation et leurs longueurs d'ondes.

I.3.4. Nature énergétique

Les rayons lumineux transportent de l'énergie qui se manifeste sur toute forme calorifique de piles thermoélectrique, effet photochimique.

I.3.5. Nature corpusculaire

Certains phénomène ne peuvent s'expliquer qu'en admettant que la lumière est formée des particules ou photons véritables grains de lumière porteurs d'énergie.

I.4. DEFINITION DU MILIEU PUBLIC

Un milieu c'est quoi ?

Selon Larousse page 269 définit un milieu comme étant un centre d'un lieu, les milieux d'une place, point également éloigné des deux termes et un espace ou d'un temps (ex : milieu de la routes du jour) endroit à peu près également éloigné d'un commencement et d'une fin. Espace matériel dans lequel le corps est placé.

I.4.1. Milieu populaire :

Le milieu populaire est défini comme étant les gens qui appartiennent à un groupe déterminé par une classe sociale

I.4.2. Milieu géographique :

Ensemble des caractéristiques physiques qui influent sur l'existence des êtres vivants à la surface de la terre.

a) Sur le plan Physique (géomètre) : le milieu, c'est le point équidistant d'un segment de droit, d'une surface plane ou d'un secteur quelconque.

Ex : cas d'un cercle = milieu c'est le centre.

b) Sur le plan Sociale ; un secteur de vie quelconque ou d'activité déterminées par un élément ou un ensemble d'éléments.

Exemple

- Là où on apprend (école) milieu scolaire ;

- Là où on pratique (le sport) milieu sportif ;

- Là où on trouve la forêt milieu forestier ;

- Là où il y a un espace entre les tropiques milieu tropical.

Public selon Larousse dans sa 343 ème page.

Public qui concerne tout un peuple, Relatif au gouvernement d'un pays manifeste, commun de tout le monde.

- Charges publiques impasif. Droit Public ensemble des règles juridiques relatives à l'organisation de l'état et à ses rapports avec les personnes de droit privé.

Le mot public est un objective en rapport avec le substantif peuple, c'est un adjectif qui qualifie ou indique ce qui appartient au revient à tout le peuple, tout ce qui est en l'intérêt de tous est public parce que quand on parle du public comme on a définit si ....

La classe sociale en interviens pas que tu sois riche au pauvre tous on le même droit à partagée ou à contribuer.

Donc le milieu public est un secteur de vie ou d'activité sociale appartement au propre à tout le monde (peuple à la population ou habitant d'une cité, d'une zone ou d'un secteur...).

I.5. CLASSIFICATION ET SORTES DES MILIEU PUBLIC

Classification des Milieu Public :

Nous avons défini trois catégories du milieu public, et ces milieux se définissent de la manière suivante :

I.5.1. Milieu Public par exemple qui n'appartient pas à personne et dont l'usage est réservé à toute personne faisant membre de la communauté et la gestion est quasi-nulle ou confiée au pouvoir public.

Exa : Territoire nationale, est un milieu public qui appartient à tous les nationaux mais la gestion est réservée à une personne qui peut être un président, un gouverneur ou un bourgmestre.

Exb : Fleuve, est un milieu public à qui l'usage est réservé au navigant et aux pêcheurs mais la gestion ne peut ou pas être assumée par le pouvoir public.

Exc : Route ou avenue, est un milieu que tous le monde on le même droit de l'exploitation ou de la fréquentation mais la gestion est réservée à l'Etat.

I.5.2. Milieu Publique réservé est un milieu qui n'appartient à personne et dont l'usage est réservé à une catégorie des personnes mieux identifiée et la gestion n'est quasi-nulle au confiée à une institution de l'Etat.

Exa : Camp Militaire, est un milieu public que l'usage est réservée au militaire et la gestion est confiée à une institution de l'Etat.

Exb : Résidence officielle, est un milieu public mais qui ne donne pas tant le monde l'accès au pouvoir de la gestion de l'usage celui-ci confiée à une personne bien déterminer.

Exc : Ecole public, est un milieu qui n'appartient à personne et dont l'usage est réservé aux élèves et une institution de l'Etat pour la gestion (Ministère de l'enseignement)

I.5.3 Milieu public dont l'usage est réservé à une catégorie des personnes et la gestion est confiée à un organisme ou institution privée

Ex. A  Eglise, est confiée aux pasteurs ou prêtre.

Ex.b  Ecole privée est un milieu public que l'usage aux élèves qui sont inscrit pour qu'il bénéficie de l'enseignement et la gestion est réservée à un organisme ou une institution privée.

Ex.c  Bar est un milieu public que l'usage est réservé aux ivrognes, la gestion est confiée à un organisme ou institution privée.

Ex.b  Taxi bus un milieu public que l'usage est réservé aux clients mais la gestion est réservée au propriétaire qui peut être une personne ou un organisme ou encore une institution privée.

I.5.4 SORTES DES MILIEUX PUBLICS

Les milieux publics c'est classe en plusieurs sortes mais ici nous allons définir trois sortes des milieux publics que nous avons :

I.5.4.1 Milieu public réservés

Ex1 : Jardin, lieu ordinaire enclos, où l'on cultive des fleurs, des légumes, des arbres (fruitiers ou berger).

Ex2 : Parc nationaux, enclos baisé, d'une certaine étendue, pour la promenade, la chasse etc...

Ex3 : Zoo lieu public où sont rassemblés des animaux rares en captivité.

I.5.4.2 Milieu public ouvert à usage commun

Ex 1 : Route, voie corrodable aménagée lors agglomération, moyen de communication utilisant ce genre de voie : transport par route ou encore direction qu'on suit, itinéraire, ligne de conduite

Ex 2 : Terrain de jeux, surface du sol du point de vue de son utilisation ici l'utilisation sont des jeux pratiqués

Ex3 : Parc récréatif une certaine étendu pour la promenade, qui recrée et divertit

I.5.4.3 Milieu public réservé pour être utilisé en communauté

Ex1 : Ecoles, établissements où se donne un enseignement collectif, ensemble des élèves qui le fréquentent

Ex2 : Eglise, société religieuse, communauté chrétienne.

Ex3 : Faire, grand marché public, exposition commercial périodique.

Chapitre II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS LOURDS

II. 1. HISTORIQUE DE LA ROUTE POIDS LOURDS

Selon le dictionnaire le mot historique signifie qui appartient à l'histoire vérité historique. Dont l'histoire fait mention, fait histoire sur les quels on possède des relations écrites. Aux temps fabuleux narration des faits dans leur ordre chronologique, faite historique d'une science.

La route selon le dictionnaire signifie, la voix de communication artificielle terrestre, possédant un revêtement dont la résistance est suffisante pour le passage des véhicules, route pavée voie suivie pour aller à un autre espace que parcourent les astres, les cours d'eau: la route du soleil, faire fleuve grossi sur sa route.

Ce qu'on suit pour arriver à un résultat. Faire fausse route, s'écarter de sa route, s'égarer, et au code de la route, ensemble des règlements prévus pour assurer la sécurité et la liberté de la circulation des véhicules sur la voie de communication, ainsi que la conservation de la celles-ci.

Poids signifie ce qui pèse, qualité d'un corps pesant, force exercée sur un corps par la pesanteur : le poids de l'air, poids atomique d'un élément, poids moléculaire d'un corps poids molécule-gramme de ce corps, quotient du poids spécifique ou volumique d'un corps.

Morceau de métal d'un poids déterminé servant à peser d'autres corps. Corps pesant suspendu aux chaînes d'une horloge, pour lui donner le mouvement.

Lourds signifie ce qui pesant difficile à porter, à remuer : lourds fardeau se dit de marchandises pèsent plus d'une tonne au mètre cube.

Poids lourds, gros camion automobile.

Kinshasa et du Stanley pool au XIXe siècle. Sont notamment déjà identifiés kitambo, lemba, kalima, et le village de kinshasa.on remarque également le village de kindolo (voir aéroport de ndolo).

L'Afrique centrale possède des traces d'occupation humaine remontant au premier millénaire avant notre ère. Les siècles précédant la colonisation voient des peuples bantus s'installer dans la région du moyen et bas Congo, précédemment exclusivement occupée par les pygmées.

Différentes tribus et peuple composent la nouvelle population. Au niveau du Pool Malabo, le trio téké peuples à la rive droite (nord) du fleuve et des peuples assimilés aux téké (humbu et mfinu) peuplent la rive gauche (sud).

La région voit la traite d'esclave et le commerce d'ivoire enrichir les peuples téké, alors érigé en royaume.

Dès le XVIe au XVII e siècle, la région du pool dévient une vraie plaque tournante entre le bassin du fleuve et la région côtiers.

Des légumes des Amériques sont aussi introduits à l'intérieur du continent grâce au commerce et les esclaves, le plus souvent des vaincus dans différents conflit partent vers Loango, l'embouchure du fleuve et au sud du royaume kongo, au cours des XVII et XIXe siècles des pécheurs et surtout des commerçants téké venus du nord installent des marchés et des villages au sud du pool Malebo et sur le plateau qu'on nommeras tard le plateau de Batéké.

Ces villages sont des colonies car les téké se limitent à la pèche et au commerce.

Les tribus de la région, humbu et mfinu, étaient considérées comme les propriétaires de ce coté du fleuve.

Au fil du temps, les intérieur des collines.

Les principaux villages tékés de la rive sud étaient nsasa avec prés de 5.000 habitants, ntambo avec moins de 3.000 habitants.

Lemba, parmi une multitude des humbu était la capitale marchande et politique des humbu, avec environ 3.000 habitants.

Les marchés du fleuve voyaient des caravanes d'esclaves porteurs d'huiles, d'amandes, de palme, d'arachides, de sésame et d'ivoire aller et venir.

Henry Morton Staley atteint pour la première fois le site de la ville au niveau de ntambo le 12/03/1881 lors de sa traversée d'est à l'ouest du continent africain.

En 1881, il signale « traité de l'amitié » avec un chef téké, ngaliema, obtenant ainsi le droit d'établissement à l'emplacement de l'actuelle commune de kitambo, sur les bords de la baie de ngaliema, et il chargea le capitaine Charles-marie de braconnier d'y fonder un poste qu'il baptisa plus tard Léopoldville en l'honneur de son commandant Léopold II de Belgique.

Staley avait choisi l'endroit ou le fleuve Congo devrait être navigable en direction de l'amont.

Le site spécieux et facile à défendre était déjà peuplé de 66 villages antérieurs à Stanley, celle-ci prés du hameau de Kinshasa (nshasa signifiant « marché »), avec l'accord du chef nsuvila.

Ce village donna son nom aujourd'hui se trouve le quartier des (kingabwa)

II. 1.1 .CAPITALE GRANDISSANTE

En 1929, hérita de la fonction de centre administratif assumée jusque là par Boma, par la mise en application de l'arrêté royal du 1er juillet 1923. A cette époque, Léopold ville est confirmée aux communes des Kitambo et de la Gombe actuelle communes de Kinshasa, de Barumbu et de Lingwala.

Dans les années 1930, la majorité des logements était pour les employés de la Chanic, la Filstisaf et L'utex africa.

Léopold ville ne dévient juridiquement une ville que le 25 juin 1941 (avec 5.000 hectares et 53.000 habitants) ; depuis 1923, elle était seulement un « district urbain ».

Par la même occasion, elle devient capitale de la colonie, chef-lieu de la province du Congo Kasaï et du district du moyen-Congo.

Elle était divisée en deux zone : la zone urbaine avec Léo II, ouest, kalina, Léo-I ou Léo-est, et de ndolo ; et la zone indigène au sud.

La croissance de la ville commence en 1945 avec la fin du travail forcé qui permet aux populations noires d'augmenter.

Arrivant alors de nombreux paysan de la campagne à la recherche d'un emploie, s'entassant dans les cases de la zone indigène.

La ville commence à se peupler majoritairement de Bakongo, dans les années 1950, les cités planifiées de Lemba, Matete, et une partie de N'djili furent aménagées pour loger les employés de la zone industrielle de Limete.

Et comme Kinshasa était un village des Téké, kingabwa aussi fut d'abord un village des autochtones Tékés, et comme il était des commerçants et de pécheurs pour transporter les ivoire qu'il vendait il est faut une route, vu l'évolution de l'urbanisation vers les années 1954, l'Etat colonial reconnaissait Kingabwa comme une zone annexe de Léopoldville.

Comme la route était déjà exploitée par les autochtones, les colonisateurs aussi à leurs tours venaient exploiter la route pour leurs besoins et comme Liméte est une commune industrielle il falle qu'il yait une route pour de poids lours.

Tout ça grâce à un blanc qu'on appelait MUNDELENGULU qui habitait Kingabwa là où se trouve la poste de la police waya-waya, c'est lui qui avait proposé aux blancs la modernisation de cette route.

Cette route avait aussi été appelait BOBOZO qui fut un générale, mais le nom qui ne durant pas pour redevenir encore la route poids-lourds.

II. 2. DIMENSIONS DE LA ROUTE POIDS-LOURDS

Selon la rousse dimension signifie étendue mesurable d'un corps dans tel ou tel sens, objet de dimension, mesure, prendre les dimensions de la pièce, importance, donner une nouvelle dimension à un sujet.

Dans notre cas ici nous avons commencé les mesures au niveau de la Gare centrale parce que la route poids lourds, commence au niveau de la gare centrale jusqu'au pont matete, par sa longueur, on a trouvé 10. 400m et sa largeur est de 9m.

II.3. OBJECTIF DE LA ROUTE POIDS-LOURDS

Comme nous avons dit dans l'historique, le quartier Kingabwa est un quartier industriel dans lequel nous avons beaucoup d' usines, d' entrepôts, de sociétés, etc.

Il faut qu'il yait une route pour leur transporter des marchandises et qui va permettre aux exploitant d'oeuvrer dans des bonnes conditions.

Malgré le nom de cette route, aujourd'hui la route est exploitée par toute la population de l'est pour aller facilement au centre ville.

Nous avons plusieurs compagnies des transports qui exploitent aussi cette route pour des lignes comme :

- Gare Centrale-kingasani

- Boulevard-Kingasani

- Gare Centrale-pont matete

- Gare Centre-ndanu (17emRUE)

- Kigabwa-Marche centrale

- Kingasani-Ndolo

- Kigabwa-Boulevard

- Kingasani-Kigabwa

- Pont Matete-sonas

- Kingabwa-Ndolo

- Kingabwa-Bon marchée (barumbu).

Ces linges sont parcourus par des moyens de transport de sociétés privées et de l'Etat dont la Société de Transport Urbain (STUC) et la société publique City Train qui exploite la ville.

D'outres sociétés assurent aussi le transport en commun :

-Urbaco

-Tshatu trans

-Socogetra

-Gesac

-MB sprl

Les bus de la ville transportent un maximum de 67.000 voyageurs par jour, Plusieurs sociétés gèrent des taxis et taxi bus.

La majorité (95,8%) du transport est assurée par des particuliers, la route poids lourds accueille un maximum de 1675 voyageurs par jours et 24,7% des taxis et taxis bus, des gros camions, et des voitures des particuliers.

II. 4.1. SITUATION GEOGRAPHIQUE DE LA ROUTE POIDS-LOURDS

La géographie est une science qui a pour objet la description de la terre, ensemble des caractères physiques et humains d'une région.

La ville province s'étend sur une surface de 9965 km2 composée d'un grand plateau (Plateau du Kwango), d'une chaine de collines dont :

- Mont Ngaliéma

- Mont Amba

- Mont Ngafula.

D'une plaine et de marécages au bord du Pool Malabo.

La plaine est la partie la plus peuplée et s'étend en forme de croissant de la baie de ngaliema à l'est jusqu' au plateau du Kwango à l'ouest du pool malebo.

II. 5. SUBDIVISIONS

La ville de Kinshasa est divisée en 4Districts et 24 Communes qui sont

· District de la Funa constitué des communes suivantes :

- Bandalungwa

- Bumbu

- Kasa-vu bu

- Makala

- Ngiri-ngiri

- Selembao

· District de la Lukunga composé des communes de :

- Barumbu

- Gombe

- Kinshasa

- kintambo

- Lingwala

- Mont-ngafula

- Ngaliema

· District de la Tchangu comprenant les communes de :

- Kimbanseke

- Maluku

- Masina

- N'djili

- Nsele

· District du mont amba nous avons des communes suivantes :

- kinsenso

- Lemba

- matete

- Ngaba

- Limete

En face, sur la rive droite du fleuve, on trouve Brazzaville, capitale de la République du Congo.

Pour bien différencier les deux Pays ayant « Congo » pour nom, on appelle parfois la RDC Congo-Kinshasa par opposition à la République du Congo dite Congo-Brazzaville au Kinshasa est également le point de départ et d'arrivée des marchandises à l'exportation et à l'importation depuis le port de Matadi qui accueille les navires de haute mer.

A ce titre, il a souvent été considéré comme l'arrière- port de Matadi.

La route Poids-lourds est limitée à l'est par le quartier Kingabwa et une partie de la commune de Gombe, à l'ouest par le quartier industriel de la Commune de Limete et une partie de la commune de Gombe, au Nord par la commune de Gombe entière et en fin au Sud par la commune de Matete toute entière.

II. 5. CARACTERISTIQUE GEO TOPOLOGIQUE DE LA ROUTE POIDS-LOURDS

Pour la caractéristique géo topologique de la route poids-lourds, elle commence de la Gare Centrale au Pont Matete. Des côtés droits nous avons le chemin de fer de L'ONATRA qui a deux lignes qui sont :

- La ligne principale relie la gare centrale au pont matete jusqu'à l'aéroport de N'djili, et compte 9 stations, dont 4 tout au long de la route Poids- lourds à savoir : Gare Centra, Ndolo, Amicongo, Uzam.

- La deuxième ligne relie la gare centrale à Kasangulu dans le Bas-Congo en passant par Matete, Riflard et Kimwenza, à depart de la Gare Centrale elle passe toujours à coté de la route poids-lourds.

- A gauche de la route poids-lourds nous avons plusiéres dizaines d'usines, d'entrepôts, d'industries de production et transformation telsque :

- Safricas

- Bat

- Bracongo

- Toyota

- Iveco

- Soforma

- Office de route

- Bec

- Station Elf service

La route poids-lourds n'est pas seulement parsenée des usines, des entrepôts, des industries. Comme nous venons de le voir ci- haut, main aussi elle est entourée de ports, des marchés et des maisons des particulier.

Les différents marchés qu'on peut trouver sur la route poids-lourds sont :

- Marché des statuts au niveau de la gare-centrale

- Marché Socimex

- Marché Uzam

Les ports qui sont à coté de la route poids-lourds sont :

- Port Baramoto

- Port Nzimbi

- Port Ndolo

- Port Ngobila

- Port à triaque

- Port Bwamanda, etc...

Certaines avenues sortent sur poids-lourds à différents niveaux de de cet axe aux notamment :

- Bat

- TP

- Iveco

- Uzam, etc ...

Ces croissements constituent des arrêts des Bus de transport en commun pour la population habitant les quartiers environnent et les travailleurs et autres visiteurs des entreprises installées dans le secteur de KINGABWA.

CHAPITRE. III. ETUDE DE L'ASSAINISEMENT DE L'ECLAIRAGE BUPLIC SUR LA ROUTE DES POIDS-LOURDS

III. 1. DETERMINATION DE NOMBRE DES POTEAUX ET NOMBRE DES LAMPES

Nous avons déterminé le nombre des poteaux et le nombre des lampes sur poids lourds, de la Gare Centrale jusqu'au quartier Debonome au croisement de la route Poids Lourds et le boulevard Lumumba et on a trouvé 220 poteaux plus trois (3) poteaux qui partent vers le Pont Matete, et dans l'ensemble nous avons 223 poteaux.

Mais parmi les 223 poteaux il ya deux (2) poteaux qui ne sont plus à leurs places Tel est le cas des poteaux n° 117 à l'entrée de rond point TP et le n° 179 au niveau de la 16eme rue.

Parmi ces 223 poteaux implantés sur la route des poids lords, il faut que l'on puisse avoir 223 lampes.

Nous avons remarqué qu'il ya des poteaux qui n'ont plus de lampes, c'est le cas des poteaux suivants :

- N° 95 au niveau de la BAT

- N° 117 au niveau de TP

- N° 147 au niveau de l'com (Uzam).

Dans l'ensemble, nous avons 221 poteaux sur les 223 qui sont en bon état et 220 lampes qui fonctionnent.

III.2. ETAT ACTUEL DE L'ECLAIRAGE PUBLIC SUR LA ROUTE DES POIDS-LOURDS

La route poids lourds comme nous l'avions dit porte cette dénomination parce qu'elle constitue la voie d'accès aux entrepôts des sociétés et les populations qui vivent dans les environs.

Depuis sa création, elle accueille des milieux d'usagers 24h/24h.

Depuis qu'on à crée cette route, elle ne jamais été éclairé, elle entraînent chaque jour des accidents de circulation pendant la nuit, des crimes, des vols et des violences.

Pour remédier à cette situation, il est devenu impérieux d'éclairer cette voie publique.

Fort heureusement, au programme des cinq châtiées, cette route est en voie d'électrification complète.

L'éclairage de la route des poids lourds a été confié à la société Malta Forest qui a réalisé une grande partie du tronçon.

Malheureusement, les fils ont été volés par des bandits.

Le danger est permanent suite au manque de la lumière

III.3. DIMENSIONNEMENT DE L'ELEMENT CONDUCTEUR ET ELEMENT DE PROTECTION

III. 3. 1. Elément conducteur

Résistance maximale de conducteur à 20°de cuivre de section circulaire

Tableau III.1

Section (mm2)

Ù/km

0,5

36,0

0,75

24,0

1

18,0

1,5

12,1

2,5

7,41

4

4,61

6

3,08

10

1,83

16

1,15

25

0,727

35

0,524

50

0,387

70

0,268

95

0,193

120

0,153

150

0,124

185

-

240

-

300

-

Le cas de la route poids lourds ils ont utilisé le cuivre et la section était de 2,5mm2.

III. 3. 2. Elément de protection

On sait que la puissance d'une lampe est de 250w, la tension est de 220v, le circuit est triphasé.

Comme la puissance d'une lampe est de 250w, ils ont multiplié par le nombre des poteaux qui sont 223 et nous avons la puissance totale de 44600w pour l'ensemble de lampes.

Le cosö est de 0,95

D'où nous avons utilisée la formule suivante pour trouver la valeur de l'élément de protection

P

I= ______________  [III.1]

v3.u.cosö

44600 44600

= __________________ = ____________ = 123 125 A

1, 73.220.0, 95 361, 57

III. 4. ANALYSE DE L'ELEMENT DE TRANSFORMATION

Comme la canalisation est aérienne nous avons pris 10 transformateurs (dix) et chaque transformateur dessert 22 lampes.

Pour avoir la puissance de chaque transformateur.

P =?3.U.I. cosö [III.2]

v3 = 1, 73

I = 125 A

Cosö = 0, 95

P = 220.v3.125.0, 95 = 45196, 25 W

P

S= _____ [III. 3]

Cosñ

45196,25

= _____________ = 47.575 50 AV

0,95

= 5 KVA par transformateur

III. 5. PROBLEME DE LA CONDITION DE SECURITE ET D'AMELIORATION DE L'INSTALLATION

III. 5. 1. Condition de sécurité

La société Malta Forest à implanté le réseau de l'éclairage sur la route de poids lourds sans pour autant faire l'analyse de mentalité de la population locale.

La canalisation choisie est aérienne avec des conducteurs en cuivres, et quelque mois après tout a été volé car le réseau n'a pas été sécurisé.

III. 5. 1. 2 Améliorations de sécurité

Pour que le réseau de l'éclairage de la route poids lourds soit sécurisé nous avons pensée à deux méthodes :

- la première méthode consiste à utiliser les câbles électriques isolés (lignes souterraines)

- la deuxième est de mettre une signalisation de sécurité

III. 5.1. 3 Choix de la canalisation souterraine

Les linges souterraines doivent être armées afin d'éviter le contant et l'effet chimique qui peuvent endommager les câbles.

Dans le cas de la distribution, les avantages techniques par rapport aux lignes aériennes sont évidents, pour les personnes, la continuité de service et la distribution de grandes quantités d'énergie en des lieux d'espace restreint.

Le problème majeur de l'utilisation des câbles isolés, nécessite des coûts des travaux de loin supérieurs à celui d'une ligne aérienne.

III. 5. 1.4. Conducteur

Les matériels conducteurs employés dans la fabrication des câbles électriques sont choisis selon la norme CEI 228.

Dans cette norme, on explique que le matériel conducteur peut être :

· Du cuivre recuit, nu ou couvert d'un revêtement métallique.

· De l'aluminium et ses alliages (almélec, aldrey), nu ou recouvert d'un revêtement métallique.

Les conducteurs utilisés sont choisis en fonction des qualités suivantes :

· Conductibilité élevée (résistance électrique faible)

· Résistance mécanique élevée (résistance aux efforts mécanique dus à leur mode de pose)

· Etre souple pour faciliter les manutentions.

· Donner toute garantie de sécurité et de durée.

Ici nous allons utiliser l'aluminium parce qu'il est préféré pour les raisons suivantes :

· Son prix de revient bon marché que le cuivre

· Sa bonne conductibilité (61% de celle du cuivre)

· Son excellente tenue en présence des agents atmosphérique.

· Non envié par des voleurs.

III .5.1.5. Signalisation de sécurité

Elle permet de faire respecter une réglementation définie à l'avance, ici on utilise l'alarme ou une sirène.

III. 5. 1.6. Alarme contre le vol

Ce système d'alarme doit être efficace contre les tentatives de violation et d'infraction.

Il doit comprendre :

· Une source d'alimentation qui peut être soit la tension secourue par des batteries en cas de panne.

· Des détecteurs d'infractions placés sur câble, il peut être un contact de choc.

· Des détecteurs de présence qui sont :

- le radar infrarouge

- le radar hyperfréquence

- la cellule photoélectrique.

Ces appareils détectent l'intrusion d'une personne dans la zone surveillée.

· Une centrale d'alarme qui gère le système anti vol qui a aussi pour rôle :

- de contrôler les indications données par les différents détecteurs

- de donner l'alarme sonore ou téléphonique

- d'afficher la zone concernée par l'infraction

· une alarme sonore c'est un klaxon ou une sirène qui doit s'autoalimenter en cas de fonctionnement

· une alarme téléphonique (éventuellement) qui déclenche automatiquement la venue de vigiles.

· Les câbles de liaison qui relient tous les éléments du circuit à la centrale d'alarme.

Remarque : pour une meilleure efficacité, tous ces appareils doivent être protégés contres les stockages ; ils sont munis de contacts d'autoprotection qui changent d'état et donnent l'alarme lors d'une ouverture de boiter.

Il en est de même en cas de coupure des câbles de liaison.

Les centrales d'alarme d'aujourd'hui ne sont plus fabriquées en logique à relais mais en composants électroniques, ce qui permet :

· De diminuer l'encombrement du coffret

· De prévoir des batteries de secours de plus faible capacité.

Schéma développé d'un système d'alarme simple

Figue III. 1

F1 : fusible d protection du circuit principal

F2 : fusible de protection du circuit sirène

Q1 : interrupteur mise en fonctionnement actionné par une clé

S1 : contact d'auto protection du coffret sirène

S2 : contact d'autoprotection du coffret relaya gé

K1A : relais d'alarme autoprotection

K3T : relais d'alarme sonore

H1 : voyant de signalisation alarme autoprotection

H2 : sirène

Description du fonctionnement de l'ensemble.

- mise en état de veille de l'alarme par la fermeture de l'interrupteur Q1

- bobine K1A excitée, les contacts S1 et S2 sont actionnés

- bobine K2T et K3T non alimentées

- bobine K2A excitée, les contacts d'autoprotection S1, S2 sont actionnés

- bobine K3T non alimentée

- bobine K3 excitée

- voyant H1 et H2 éteints

- sirène non alimentée.

a) ouverture du sol

Lorsqu'un des contacts des sols s'ouvre, la bobine K1A se désexcite et K2T s'excite.

Après une temporisation de deux secondes (pour éviter un fonctionnement intempestif lors de la mise en route), la bobine K3T s'excite, ce qui provoque :

- son auto alimentation

- l'allumage du voyant H1

- la désexcitation de la bobine K3A ; la sirène se met en route au bout de quelques munîtes, la bobine K3T se désexcite (ouverture de son contact temporisé), ce qui entraîne :

- l'excitation du voyant H1

- l'excitation de la bobine K3A; la sirène s'arrête.

Deux cas se présentent ; d'une part, si le sol est refermé

- contact de sol fermé

- bobine K1A excitée

- bobine K2T désexcitée

- bobine K3T non désexcitée

Les système est remis en état de veuille.

D'autres part, si le sol est toujours ouvert contact de sol ouvert, K1A désexcité, K2T excité, la bobine K3T se ré excite ce qui provoque le cycle d'alarme décrit précédemment, et ceci indéfiniment tant que le sol n'a pas été refermée ou tant que l'interrupteur Q1 n' pas été ouvert.

b) ouverture `d'un coffret de contact de sol

Lorsqu'un des contacts d'autoprotection (S1etS2) s'ouvre, la bobine K2A se désexcite, ce qui provoque son auto alimentation.

III. 5. 2. Amélioration de l'installation

A l'origine, l'éclairage public était surtout considéré comme une signalisation.

Les anciennes lanternes d'éclairage public étaient du faite de leur construction utilisée comme jalonnement.

Dans les centres de communes où le passage des piétons est plus important, on place l'éclairage public pour éclairer les voies et les objets qui peuvent y être placés.

Abstraction faite de la chaussée, les éléments suivants sont déterminés pour l'éclairage.

- hauteur de foyer

- distance de foyer

- types de source

- types d'appareil

III. 5.2.1. Eclairage de différents types de voie

Types de voie

Hauteur du foyer = à la hauteur de la chaussée

Rapport hauteur/ distance entre poteaux

Disposition de foyer

Voie à trafic rapide

8 - 12 m

3 à 5 fois de la hauteur du foyer

latéral

Voie à faible trafic

6 - 8 m

5 à 8

A choix

Rue principale

8 - 12 m

3 à 4

A choix

Rue commerciale

6 - 10 m

3 à 4

Alternée au dessus du milieu de la voie

Voie résidentielle avec trafic du camion

6 - 8 m

4 à 5

A choix

Voie résidentielle avec faible trafic

4 - 6 m

5 à 8

Latérale

Place, noeud de trafic

10 - 15 m

3 à 5

Sur le bord extérieur et des endroits particuliers

Place distraction

10 - 15 m

3 à 4

Idem

Tableau III. 2.

III.5.2.2. Le principe de base

Les critères de qualité en éclairage doivent essentiellement permettre une perception visuelle, précise et confortable ; à ce titre, on retiendra :

III. 5. 2. 3. Le niveau moyen de la luminance

Le niveau moyen de la limiére de la chaussée par un automobiliste regardant la route par un certain mètre devant lui ; par sec.

Le niveau requis dépend essentiellement de la nature de la voie (trafic, vitesse, zone urbaine à la rurale,...) et s'entent dans la condition normale de service.

La surface de la route à prendre en considération est celle observée sous des angles de 0,5° à 1,5° et s'étendant de 60 à 170 m devant l'observation.

III. 5. 2 4. La limitation de l'éblouissement d'inconfort

La limitation de l'éblouissement d'inconfort, source de gène et de fatigue due au nombre et à l'aspect des lumières apparaissant dans le champ de vision, en corrélation avec la luminance moyenne de la route.

On définie alors un «  indice d'éblouissement » G (glaire index), noté sur échelle de 1 (intolérable) a 9 (imperceptible) qu'il faut maintenir au moins au niveau de 5 (juste admissible).

III. 5. 2. 5. Efficacité du guidage visuel

L'efficacité du guidage visuel, fonction de la position de foyer de la nature de source un itinéraire, du pré signalisation des endroits difficiles (ronds-points, péonages, carrefours est...) aussi que les abords de la chaussée.

III. 5. 2. 6. Hauteur du foyer

Les paramètres caractéristiques d'une implantation sont définis de la manière suivante :

H : hauteur du foyer

L : largeur de la chaussée

S : saillie du foyer par rapport au pied de condé labre

C : intervalle entre deux luminaires consécutifs

A : avancé du foyer

III. 5. 2. 7. Disposition des appareils

La disposition des appareils peut être :

- unilatérale

- en quinconce

- en apposition

- axial

III. 5. 2. 8. Disposition unilatérale

C'est les cas des chaussées relativement étroites, au bordées d'arbres sur un coté, au présentant une courbure, auquel cas l'implantation se fera à l'extérieur de la courbure afin d'assurer un guidage visuel permettant d'apprécier l'importance du virage.

L'uniformité transversale de luminance sera assurée pour de valeurs de h tells que : H = L où H : hauteur

Figure III.2 L : largeur

III. 5. 2. 9. Disposition en quiconque

Pour les chaussées à double sens de circulation l'uniformité générale d'éclairement sera meilleure, mais il faut veiller à éviter l'aspect de serpentement nuisible à la conduite.

L'uniformité transversale de luminance nécessite des hauteurs de foyer telles que :

2

H = -- L [III. 3]

3

III. 5 .2. 9. disposition en opposition

Figure III. 4

Pour les chaussée très large au lorsqu'on est tenu de respecter une certaine hauteur de foyer.

L'uniformité transversale de luminance nécessite cependant que :

H = 0,5 L

III. 5. 2. 11. Disposition axiale

Utilisée dans le cas des chaussées à sable terre-plein centrale, cette implantation permet d'utiliser qu'un fut poteaux crosse, ce qui signifie également l'alimentation électrique.

En principe la disposition des sources alumineuse le long d'un seul coté de la voie est en général déconseillée.

III. 5. 3. Espacement

Comme nous a montré le tableau de l'éclairage de différents types de voie que la distance entre deux poteaux doivent être 3 à 5 fois la hauteur des poteaux.

III. 5. 3. 1. Puissance du foyer

III. 5. 3. 2. Eclairement moyen de la chaussée

Selon la nature du revêtement de la route et le types de luminaire employé, on a pu définir expérimentalement un rapport R tels que :

Eclairement moyen (lux)

R = ____________________________________ [III. 4]

Luminance moyenne (cd / m2)

La luminance moyenne désirée ayant été fixée, l'éclairement à réaliser sera d'autant plus élevé que la chaussée est sombre.

III. 5. 3. 3. Facteur d'utilisation de la lumière

C'est le résultat du flux émis par lampe tombant sur la partie utile de la chaussée, de largeur L.

Pour un luminaire donner ce facteur fu dépend de l'ouverture des angles dièdres, du foyer intercepte la chaussée.

La ligne de foyer et le côté de la route opposée au foyer, définie par (L - a)/ h.

On distinguera donc deux facteurs d'utilisation :

- fu av et fu AR donc on fait la somme pour a > 0

- fu av et fu aR dont on fait la différence pour a < 0

III. 5. 3. 4. Facteur de vieillissement

Due au vieillissement des lampes et à l'accroissement de luminaire il est calculé pour une durée d'un an de services.

La chute de flux des lampes peut ainsi être Selon la durée d'allumage.

Tableau n° III. 3.

L'encrassement de l'appareil est causé par une réduction de flux annuelle V2 telles que :

Tableau n° III. 4.

Il est à remarquer qu'un luminaire a vasque retrouve, après nettoyage ses qualités initiales, ce qui peut être le cas d'une optique non protégée.

Quand on considère que les lanternes ont une durée de vie moyenne de 20 ans, l'intérêt de la vasque de protection est indiscutable.

Flux émis par l'appareil après 1 an

V = V1. V2 = ______________________________________________ [III. 5]

Flux émis initialement

III. 5.3 5. Choix des lampes

On peut alors déterminer le flux lumineux qui peut émettre la lampe pour garder la luminance requise au bout d'un an :

L. e. Lmoy. R

Ø lampe = ______________________ [III. 6]

V. fu

III. 5. 3. 6. Rendement d'éclairage moyen de lampes

Tableau N° III. 5.

III. 5. 3. 7. Éclairage public point clés influe sur la consommation d'énergie

a) candélabre

Les candélabres peuvent être assainis pour adapter aux nouveaux besoins, optimiser l'inclinaison et le bras (raccourcir, allonger, optimiser l'inclinaison du luminaire).

b) luminaire

User des réflecteurs à haut rendement et une source lumineuse horizontale.

La lumière doit être diffusée sur la surface à éclairer et ne permettra qu'une faible diffusion au dessus de l'horizon (pollution lumineuse).

c) source lumineuse

Utiliser des lampes au sodium haute pression ou d'autres lampes à fond rendement d'éclairage.

d) appareil d'exploitation

Les ballasts électroniques engendrent moins de pertes que le système conventionnel.

Leur utilisation n'est cependant à envisager qu'en cas de remplacement de luminaires.

e) heures de fonctionnement

La déconnexion ou la réduction de l'intensité d'éclairage permet des économies d'énergie considérable.

Il s'agit généralement de diminuer la puissance aux faibles fréquentations.

Prévoir une connexion et une déconnexion via un détecteur crépusculaire.

La commande par interrupteur crépusculaire est procédée dans les ordres d'allumages et d'extinction.

Son principe de fonctionnement tient compte du temps et certaines conditions atmosphériques telles que :

- l'obscurité

- le brouillard

- la lumière du jour

- la pluie

- l'éclipse du soleil

Ces information sont recueillies par une photo thyristor à dispositif exploitant une propriété du thyristor selon la quelle un flux éclairant sa fonction de commande donne naissance à un courant.

Ce dernier provoque l'amorçage du thyristor, et le rend conducteur.

Les opérations d'ouverture et de fermeture s'effectuent à l'aide de ce thyristor associé à un conducteur qui reste normalement fermé donc c'est pendant le fonctionnement normal que le courant peut circuler dans le conducteur.

La cellule photo électrique quant à elle, est caractérisée par le seuil de fermeture qui varie entre 80 à 100 eux, mais elle ne nécessite pas d'entretien.

Elle est installée dans le centre qui le plus de 10.000 foyers lumineux vu les avantages et les inconvénients de ce système de commande par interrupteur crépusculaire pour la commande de notre installation publique.

Cet interrupteur sera placé sur la cabine à l'extérieur

N

T

PHC

R

S

Rr s

B

F1 F1 F1

KM

F2 F2 F2

Figure III. 5

Légende :

F1 : fusible d'arrivée

PHC : photo cellule

PH  : phase F1 : fusible du départ

N : neutre

RL : retour

Km : contacteur

B : base de 2

f) énergie renouvelable

Couvrir le besoin en électricité pour l'éclairage public issu de sources renouvelables.

Les chemins non électrifiés peuvent être équipés de lampadaires solaires.

III. 5. 3. 8. Calcul de nombres des poteaux et de la puissance des lampes

III. 5. 3.8 a. Calcule de la puissance des lampes

III. 5. 3. 8. b. Implantation

Nous désirons éclairer la route poids lourds avec les éléments aux caractéristiques suivantes :

- longueur utile 10, 400 m

- largeur utile 9 m

- disposition, en opposition

- type de luminaire, semi défilé

III. 5. 3. 9. Disposition des appareils

a) hauteur du foyer

Ce comme on nous a montré dans le tableau III.5 de différents types de voie que la hauteur du foyer sera = à la largeur de la chaussée.

Pour notre cas nous allons prendre la hauteur de 12 m.

b) espacement

Toujours comme on a vu dans notre tableau que l'espacement entre deux poteaux sera égaux à 3 à 5 fois la hauteur des foyers d'où nous prenons l'écartement entre deux poteaux de 36 m.

III. 5. 3. 10. Calcul de flux

Pour trouver le flux nous avons cette équation :

l. é. Lmoy. R

Ø = __________________ [III. 7]

f u

Avec: l = largeur

e = espace entre poteaux

L = la luminan ce

E moy

R = le rapport _________ [III. 8]

L moy

f u = le facteur d'utilisation global.

9. 36. 0,5. 20

D'où Ø = __________________ = 8286 lum

0,391

III. 5. 3. 11. Puissance de lampe

Les lampes au sodium haute pression ayant efficacité lumineuse de 100 lm / w, la puissance d'une lampe sera de : 250W

Comme nous somme dans l'éclairage public nous allons prendre la lampe au sodium haute pression de250w.

Parc qu'elle doit être allumée, de 18h°° à 6h°° soit 12h

III. 5. 3. 12. Détermination de la puissance apparente

Pt = N p x P u [III. 9]

= 250 x 290 = 72500W

Pt

S = ____________ [III.10]

Cos p

72500

= __________ = 76315 VA

0.95

= 76 KVA

Np : nombre de poteaux

Pt : puissance totale

En tenant compte, des considérations ; le résultat de l'éclairage de point de vue sécurité peut se ramener à la condition suivante :

- d'assurer une perception sure et rapide en les sécurisant, en protégeant leurs biens.

- L'amélioration considérable de la visibilité pendant la nuit pour les automobilistes à une distance de plus d'uniformité en tenant compte de la distance autorisée qui est de 50 à 100 m ; l'obtention de ce résultat suppose de l'éclairement des chaussées assez élevées.

La relation suivante nous permettra d'avoir les nombres de poteaux à placer :

L

Np = _____ + 1 [III. 12]

e

Ou Np : nombre de poteaux

L : longueur total de la route

e : espace entre deux poteaux.

Nous aurons alors :

10,400

Np = ____________  + 1 = 289.8 290poteaux

36

Comme les poteaux et en opposition alors :

Np = 580 poteaux et lampadaires.

III. 5. 3. 12. Calcul des paramètres électriques

III. 5. 3. 13. Chutes de tension

Pour calculer la chute de tension entre deux points d'un fil conducteur, la loi d'ohm nous donne la tension relation existante, lorsque la d.d.p constante de 1 volt est appliquée entre les deux points produits dans le conducteur d'un courant de 1A.

ÄU= R. I

Avec : ÄU : chute de tension de la ligne (v)

R : résistance du linge (Ù)

I : intensité de la ligne (A)

La résistance :

L

R= ñ ____ [III.13]

S

Donc ñ : la résistivité du conducteur à 20°

S : résistance du linge (Ù)

I : intensité d le linge (A)

On va pouvoir exprimer cette chute en pourcentage, alors on admettra une chute de tension = à 5% pour la distribution.

III. 5. 3. 14. La puissance installée

La puissance totale de toute cette installations sera donnée par :

PT : puissance totale

PL : puissance des lampes

Les lampes luminaires des parcours auront une puissance de 250W pour éviter une grande chute tension sur la route, cette puissance sera équilibrée limitation partielle des cabines à implanter.

III. 5. 3. 15. Intensité du courant

L'intensité à considérer tiendra compte de la puissance totale et de la tension

P = U.I. COSñ [III. 14]

P

I = _____

U. COSñ

III. 5. 3.16. Intersistance du point lumineux

En tenant compte du point de vue de la sécurité, l'éclairage rationnel de routes à grande circulation couvre une importance de la première nécessité, la disposition dépend de la longueur de voie.

Le tableau ci-dessous donne quelques paramètres à considérer

Figure III. 6

H

En sachant que : a = ___ + 0,60

h

On a : a = 1,80m

H = 12m

H = H - a

h = 12 - 1,80 = 10,20m h = 10 m

La partie des foyers est donnée par l'expression suivante :

P = n. h [III.15]

Alors : p = 4.10

P = 40m

III. 5.3.17. Calcul de l'angle d'incidence

Nous pourrons alors connaître l'angle d'incidence à partie de la théorème de Pythagore.

AB2 = OA2 + OB2

AB = v OA2 + OB2

AB = v (20)2 + (10)2

AB = v 400 + 100

AB = v 500

AB = 22m

Nous savons que:

OA

Sin á = ____

BA

20

Sin á = _____

22

Sin á = 0,9

á = arc sin 0,9

á = 64°

B

p

R = _____

2

h á

40

R = _____ = 20 m

H 2

A

O R

a

Figure III. 6

III. 5. 3. 18. Calcul de l'intensité lumineuse

L'éclairement horizontal varie de 1 à 4 lux mais cependant nous prendrons 3 lux.

E. h2

I L = ________ [III.17]

Cos3 á

3. (10)2

I L = ___________

Cos3. 64°

3. 100

= __________ = 4687,5 cd

0,064

Nous avons 4 caractéristiques des lampes à sodium à haute pression :

P = 250w

Ô = 2000 lum

C = 45 uf

Cos ñ = 0, 9

III. 5. 3. 19. Éclairement moyen de la chaussée

L'éclairement moyen est donné par l'expression suivante :

ÔL

E moy = ______ [III. 18]

S

S : ð. R2 [III. 19]

Avec, E moy : éclairement moyen en lux

Ô L : flux lumineux en Lim

S : surface d'éclairement en m2

R : rayon d'éclairement en m

R = 20 m

S = (3,14). 202

= 3,14. 400

= 1256 m2

Pour les lampes choisies Ô L = 2.000 lum

2.000

E moy = _________ = 1, 59 2 lux

1256

III. 5 4. Puissance installée

En sachant que la Pi = Ó Pn

Avec : Pn : puissance nominale de lampe

Pn : 250 w

Alors, Pi = 580 õ 250 w

Pi = 145000 w

= 145 kW

Pour le cas de l'éclairage public, la puissance demandée vaut :

Pd = Ku. Ks. Pi

Avec Ku = 1

Ks = 1

Pd = 145 kW

III. 5. 4.1. Détermination de nombre de cabine et de puissance d'une cabine

Pour les réseaux d'éclairage public alimenté dans une même cabine que données la chute tension va jusqu'à 6% pour un rayon d'action de 1 km.

Pour un rayon d'action de 1 km, la chute de tension de 6% le nombre de poteaux qu'elle comportera sera :

L1

Np1 = ______ + 1 [III. 20]

p

Avec, L1 : longueur d'action d'une cabine

L1 = 1km = 1000 m

Np1 = nombre de poteaux d'une cabine

1000

Alors, Np1 = _________ + 1

36

= 28,7 29

Np1 = 29 poteaux

Le nombre des poteaux par cabine ayant été trouvé, nous pourrons calculer la puissance d'une cabine qui sera égale à.

Pc = Np1. PL [III. 21]

Avec, Pc : puissance nominale à sautieré par cabine

PL : puissance d'un point lumineux

Np1 : nombre des poteaux par cabine

Alars : Pc = 29 õ 250 = 7250 w

= 7 kW

Pc 7250

Sc = _____ = _________

Cosñ 0,9

= 8055 Va

Sc = 8 KVa

Connaissant la puissance à soutirer par cabine, nous pouvons déterminer le nombre de cabines.

Pt

Nc = _____ [III. 22]

Pc

Avec, Pt : puissance totale de nombre des points lumineux

Pc : puissance à soutirer

145000

Alors : Nc = ___________ = 20

7250

Donc il faut soutirer l'énergie électrique dans vingt (20) cabines.

III. 5. 4. 2. Résultat du calcul de l'éclairage public

Cela est résumé dans le tableau ci-dessous

III. 5. 4. 3. Lampe à vapeur de sodium (Na)

Les lampes à vapeur de sodium (Na) ne sont que des lampes à décharge utilisant la vapeur de sodium comme gaz principal et d'autres éléments tels que :

- le néon pour des lampes à vapeur de sodium basse pression BP

- xénon et mercure pour des lampes à vapeur de sodium HP.

III. 5. 4. 4. Lampe à vapeur de sodium (BP)

1. présentation

- Culot en porcelaine

- Embase métallique

- Tube en décharge, verre spécial contenant du néon et du sodium

- Cloche à vide formant le manchon iso thermique protégeant la lampe contre la variation de la température extérieur, couverte à l'intérieur d'une couche d'indium.

Nb : la couche d'indium laisse passer les rayon visibles mais reflète les rayon invisibles ; ce qui augmente la température intérieur de la lampe, le flux lumineuse et le rendement de la lampe.

Figure III. 7

2. Fonctionnement

Des la mise sous tension, la décharge s'amorce dans le néon.

Cette décharge de la température qui amène le sodium à se vaporiser et à s'ioniser.

Durant l'amorçage, la lampe donne une lumière rouge due au néon, cette couleur devient progressivement jaune orage et de plus en plus intense à cause du sodium lorsque la décharge atteint son plus maximum.

3. Caractéristiques

Les caractéristiques de lampes à vapeur de sodium BP sont :

- donne sa pleine lumière après 5 à 10 minutes.

- Durée de vie plus au moins 6000 heurs

- Efficacité lumineuse 150 Lum par watt.

- Pas d'éblouissement

- Accroissement de l'acquitté visuel dans un milieu brimé.

4. Utilisation

Les lampes à vapeur de sodium BP sont utilisées :

- dans l'éclairage public (route, carrefour, pont et passage dangereux)

- dans l'éclairage industriel, châtier, engard.

III. 5. 4. 5. Lampe à vapeur de sodium HP

1. Présentation

Figure III .8

- culons à vis

- remplissage sous HP de sodium (donne une haute efficacité lumineuse)

- remplissage dans le brûleur du :

· xénon : facilité la décharge initiale

· mercure : réduit le temps de mise en régime.

NB : la haute pression dans le tube à décharge permes de réduire la dimension du brûleur de telle sorte que ces lampes peuvent entre considérées comme ponctuelles.

 2. Fonctionnement

La décharge initiale est provoquée dans le brûleur par une pointe de tenson fournie par démarreur dans le brûleur par ce générateur de pointe de tension ne fonctionne que pendant l'amorçage de la lampe.

La décharge dans le néon suit le même processus que les lampes à vapeur de sodium basse pression, tan disque la mise en régime est obtenue en 4 minutes.

3. Caractéristiques.

Lampe à vapeur de sodium HP donne :

- une lumière blanche dorée à cause de la pression élevée

- un bon rendu de couler

- une haute efficacité lumineuse : 75 à 100 Lum / watt.

L'installation d'un système d'éclairage public engendre souvent d'importants travaux de raccordement au réseau électrique.

De tels projets s'avèrent onéreux, voir mêmes impossibles lorsqu'il s'agit de sites isolés.

L'énergie protodorique dont les caractéristiques de fonctionnement répond exactement aux contraintes de ces types d'applications sans problème de raccordements.

Ces lampadaires présentaient les caractéristiques suivantes :

- autonomie énergétique

- performances élevées

- fiabilité

- faible maintenance

CONCLUSION GENERALE

Il est parfois malheureux de parler de l'éclairage public sans en avoir au préalable localisé le site, c'est ainsi que dans le cas de notre travail, nous avons parlé d'un site connu de tous, qui n'est autre que la route de poids lourds :

1. De cette étude nous avons d'abord donnée les faits généraux sur l'éclairage public.

2. ces analyses et renseignement qui sont ici considérés comme de la définition et des origines de la lumière, nous avons pensé porter nos attentions sur les définitions des milieux publics et leur classification.

La route de poids lourds sur laquelle notre étude est portée, nous conduit à nous orientés vers son historique qui remonte à l'époque coloniale vers les années 1954 lorsque le quartier kingabwa alors habité par les autochtones était devenu commune annexe à la zone de Léopoldville.

L'importance de la route devenant alors très élevée, car non seulement elle servait de sentier pour les TEKES et HUMBUS, mais aussi elle devait à cette époque servir de la voie d'évacuation des produits car la commune de limete était devenue un secteur industriel très important ; d'où la nécessité de son électrification.

Portant de ce qui précède, nous avons d'abord commencé à faire l'inventaire de ce qui existe c.a.d, connaître le nombre des poteaux, lampes et conducteurs électriques qui peuvent encore être récupérés et en plus faire le redimensionnement de ce réseau d'éclairage public de la route poids lourds.

De cette étude il se dégage le résultat suivant, il nous faut :

BIBLIOGRAPHIE

OUVRAGE

1. LA ROUSSE

2. Hubert LARGEAD, SCHEMA ELECTRIQUE: PROF de techniques générales au centre de formation de paris troisième édition revue et corrigée G1, paris 1991

3. pierre Yves Beaurepaire, l'Europe des lumières. Paris, puf, 2004

4. Christine le bozec, la Normandie au XVIII em siècles : croissance, lumières et révolution, rennes, éditions Ouest-France, 2002

5. Pierre Colan : siècle de lumière, Bibliographie chronologie, Genève, Dalloz, 1983.

NOTE DES COURS

1. Prof : André BANDEKELA KAZADI

ASS : KASINDI LUBATI

SCHEMA ELECTRIQUES, II emeEdition, 2009

2. Prof : Bernard NDAYE NKAKA

PRODUCTION, TRANSPORT ET DISTRIBITION DE L'ENERGIE ELECTRIQUE. Editions express press, 2007

3. C.T : Jacques NYEMBO BIYULE Doctorant en science applique à UPN

APPLICATION DE L'ENERGIE ELECTRIQUE

TFC :

BUELA ALEMBAMI héritier : avant projet d'implantation d'un réseau d'éclairage public dans les av périphérique de la commune de

Matete

SITE WEB:

Http/ fr. wikipedia. Org/ wiki/ Kinshasa.

Catégories: Kinshasa/ démographie de la république du Congo

www. Romande-énergie. Ch., romande énergie

www. Efficace. Agence suisse pour l'efficacité énergétique

www. Slg. Ch., association suisse pour l'éclairage.

INTRVIEW :

Papa MBOYO chef du quartier chargée des populations de

Kingabwa Limete

(0895557787)

TABLE DE MATIERES

INTRODUCTION GENERALE :....................................................1

PROBLEMENTIQUE :.................................................................1

BUT ET INTERT DU SUJET :.......................................................1

OBJECTIF DU TRAVAIL :...........................................................1

METHODOLOGIE :....................................................................2

SUBDIVISION DU TRAVAIL :......................................................2

CHAPITRE I. GENERALITES SUR L'ECLAIRAGE PUBLIC :............3

I. 1. NOTOINS DES PHOTOMETRIES :..........................................3

I. 1. 1. Définition de l'éclairage :............................................................3

I. 1. 2. Caractéristique d'une radiation :................................................4

I. 1. 3. Eclairement :.......................................................................4

I. 1. 4. Projet d'éclairement simple :....................................................5

I.1. 5. Courbe d'efficacité lumineuse :..................................................5

I. 1. 6. Types d'éclairage :................................................................6

I. 1. 7. L'éclairage naturel :..................................................................6

I. 1. 8. L'éclairage artificiel :.............................................................6

I. 1. 9. Source de l'éclairage artificiel :.................................................7

I. 1. 10. Caractéristiques des sources :..................................................7

I. 1. 11. L'intensité lumineuse :.............................................................8

I.1. 12. Efficacité lumineuse :...........................................................9

I. 1.13. Perception lumineuse :.........................................................9

I. 1. 14. La luminance : ..................................................................10

I. 2. ORIGINE DE LA LUMIERE :................................................19

I. 2. 1. La lampe à huile :................................................................12

I. 2. 3. La bougie stéarique :................................................................12

I. 3. COMPOSITION DE LALUMIERE :.........................................14

I. 3. 2. Nature vibratoire :...................................................................14

I. 3. 3. Nature énergétique :.............................................................14

I. 3. 4. Nature corpusculaire :...........................................................14

I. 4. DEFINITION DE MILIEU PUBLIC :.......................................14

I. 4. 1. Milieu populaire :...............................................................14

I. 4. 2. Milieu géographique :..........................................................15

I. 5 : CLASSIFICATION ET SORTES DU MILIEU PUBLIC..............16

I. 5. 1. Milieu public qui n'appartient pas personne :..............................16

I. 5. 2. Milieu public réservées :.......................................................16

I. 5. 3. Milieu public don usage est réservé une catégoriel des personnes :......16

I. 5. 4. Sortes des milieux publics :...................................................17

I. 5. 4. 1. Milieu public réservées :....................................................17

I. 5. 4. 2. Milieu public ouvert en usage commun :.................................17

I. 5. 4. 3. Milieu public réservées pour utilisation en communauté :.............17

CHAPITRE II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS LOURDS :.......18

II. 1. Historique de la route poids lourds :............................................18

II. 2. Capitale grandissante :.............................................................20

II. 3. Dimensionnement : ...............................................................21

II. 4. Objectif de la route poids lourds :................................................21

II. 5. Situation géographique : .........................................................22

II. 6. Subdivisions : ......................................................................23

II. 7. Caractéristiques géo topologique de la route poids lourds :..................24

CHAPITRE III. ETUDE DE L'ASSAINEMENT DE L'ECLAIRAGE PUBLIC SUR LA ROUTE POIDS LOURDS :...................................26

III. 1. Détermination de nombre des poteaux et nombre des lampes :.............26

III. 2. État actuel de l'éclairage public sur la route des poids lourds :............26

III. 3. Dimensionnement de l'élément conducteur et élément de protection :...27

III.3.1. élément conducteur :............................................................27

III. 3. 2. élément de protection :.......................................................27

III. 4. ANALYSE DE L'ELEMENT DE TRANSFORMATION :..........28

III. 5. PROBLEME DE LA CONDITION DE SECURITE ET DE L'ELIRATION DE L'ISTALLATION :..........................................29

III. 5. 1. CONDITION DE SECURITE :..........................................29

III. 5. 1. 1. Améliorations de sécurité : ...............................................29

III. 5. 1. 2. Choix de canalisation souterraine : ......................................29

III. 5. 1. 3. Conducteur : ................................................................29

III. 5. 1. 4. Signalisation de sécurité :..................................................30

III. 5. 1. 5. Alarme contre vol :.........................................................30

III. 5. 2. AMELIORATION DE L'INSTALLATION :................................34

III. 5. 2.1. Éclairage de différents types de voie :....................................34

III. 5. 2. 2. Le principe de base :........................................................35

III. 5. 2. 3. Le niveau de la luminance :................................................35

III. 5. 2. 4. La limitation de l'éblouissement d'inconfort :..........................35

III. 5. 2. 5. Efficacité du guidage visuel :.............................................36

III. 5. 2. 6. Hauteur du foyer :..........................................................36

III. 5. 2. 7. Disposition des appareils :................................................36

III. 5. 2. 8. Disposition unilatérale :...................................................36

III. 5. 2. 9. Disposition en quiconque :................................................37

III. 5. 2. 10. Disposition en opposition :...............................................37

III. 5. 2. 11. : Disposition axiale :.......................................................37

III. 5. 3. ESPACEMENT :............................................................38

III. 5. 3. 1. Puissance du foyer :........................................................38

III. 5. 3. 2. Éclairement moyen de la chaussée :.....................................38

III. 5. 3. 3. Facteur d'utilisation de la lumière :.......................................38

III. 5. 3. 4. Facteur de vieillissement :.................................................38

III. 5. 3. 5. Choix des lampes :.........................................................39

III. 5. 3. 6. Rendement d'éclairage moyen de lampes :............... ..............40

III. 5. 3. 7. Éclairage public point clés influe sur la consommation d'énergie :..40

III. 5. 3. 8. Calcul de nombres des poteaux et de la puissance des lampes :......43

III. 5. 3. 8. a. calcul de la puissance de lampes :.....................................43

III. 5. 3. 8. b. Implantation :............................................................43

III. 5. 3. 9. Disposition des appareils :................................................43

III. 5. 3. 10. Calcul de flux:............................................................44

III. 5. 3. 11. Puissance de lampes :.....................................................44

III. 5. 3. 12. Détermination de la puissance apparente :.............................44

III. 5. 3. 13. Calcule des paramètres électriques :....................................46

III. 5. 3. 14. Chutes de tension :.........................................................46

III. 5. 3. 15. La puissance installée :...................................................46

III. 5. 3. 16. L'intensité du courant :...................................................46

III. 5. 3. 17. Intersistance du point lumineux :............................. ...........47

III. 5. 3. 18. Calcul de l'angle d'incidence :..........................................47

III. 5. 3. 19. Calcul de l'intensité lumineuse :........................................49

III. 5. 3. 20. Éclairement moyen de la chaussée :....................................49

III. 5. 4. PUISSANCE INSTALLEE :...............................................50

III. 5. 4. 1. Détermination de nombre de cabine et de puissance d'une cabine :.50

III. 5. 5. 2. Lampes à vapeurs de sodium  :...........................................52

III. 5. 5. 3. Lampes à vapeurs de sodium (BP) :.....................................52

III. 5. 5. 4. Lampes vapeurs de sodium (HP) :......................................54

CONCLUSION GENERALE :......................................................56

BIBLIOGRAPHIE :....................................................................57

TABLE DES MATIERES :...........................................................59






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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams