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Etude de l'assainissement de l'éclairage public et de l'amélioration des conditions de sécurité

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par Sadam Useni Bin Useni
 -  2010
  

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Chapitre II. DESCRIPTION DE LA ROUTE POIDS LOURDS

II. 1. HISTORIQUE DE LA ROUTE POIDS LOURDS

Selon le dictionnaire le mot historique signifie qui appartient à l'histoire vérité historique. Dont l'histoire fait mention, fait histoire sur les quels on possède des relations écrites. Aux temps fabuleux narration des faits dans leur ordre chronologique, faite historique d'une science.

La route selon le dictionnaire signifie, la voix de communication artificielle terrestre, possédant un revêtement dont la résistance est suffisante pour le passage des véhicules, route pavée voie suivie pour aller à un autre espace que parcourent les astres, les cours d'eau: la route du soleil, faire fleuve grossi sur sa route.

Ce qu'on suit pour arriver à un résultat. Faire fausse route, s'écarter de sa route, s'égarer, et au code de la route, ensemble des règlements prévus pour assurer la sécurité et la liberté de la circulation des véhicules sur la voie de communication, ainsi que la conservation de la celles-ci.

Poids signifie ce qui pèse, qualité d'un corps pesant, force exercée sur un corps par la pesanteur : le poids de l'air, poids atomique d'un élément, poids moléculaire d'un corps poids molécule-gramme de ce corps, quotient du poids spécifique ou volumique d'un corps.

Morceau de métal d'un poids déterminé servant à peser d'autres corps. Corps pesant suspendu aux chaînes d'une horloge, pour lui donner le mouvement.

Lourds signifie ce qui pesant difficile à porter, à remuer : lourds fardeau se dit de marchandises pèsent plus d'une tonne au mètre cube.

Poids lourds, gros camion automobile.

Kinshasa et du Stanley pool au XIXe siècle. Sont notamment déjà identifiés kitambo, lemba, kalima, et le village de kinshasa.on remarque également le village de kindolo (voir aéroport de ndolo).

L'Afrique centrale possède des traces d'occupation humaine remontant au premier millénaire avant notre ère. Les siècles précédent la colonisation voient des peuples bantus s'installer dans la région du moyen et bas Congo, précédemment exclusivement occupée par les pygmées.

Différentes tribus et peuple composent la nouvelle population. Au niveau du Pool Malabo, le trio téké peuples à la rive droite (nord) du fleuve et des peuples assimilés aux téké (humbu et mfinu) peuplent la rive gauche (sud).

La région voit la traite d'esclave et le commerce d'ivoire enrichir les peuples téké, alors érigé en royaume.

Dès le XVIe au XVII e siècle, la région du pool dévient une vraie plaque tournante entre le bassin du fleuve et la région côtiers.

Des légumes des Amériques sont aussi introduits à l'intérieur du continent grâce au commerce et les esclaves, le plus souvent des vaincus dans différents conflit partent vers Loango, l'embouchure du fleuve et au sud du royaume kongo, au cours des XVII et XIXe siècles des pécheurs et surtout des commerçants téké venus du nord installent des marchés et des villages au sud du pool Malebo et sur le plateau qu'on nommeras tard le plateau de Batéké.

Ces villages sont des colonies car les téké se limitent à la pèche et au commerce.

Les tribus de la région, humbu et mfinu, étaient considérées comme les propriétaires de ce coté du fleuve.

Au fil du temps, les intérieur des collines.

Les principaux villages tékés de la rive sud étaient nsasa avec prés de 5.000 habitants, ntambo avec moins de 3.000 habitants.

Lemba, parmi une multitude des humbu était la capitale marchande et politique des humbu, avec environ 3.000 habitants.

Les marchés du fleuve voyaient des caravanes d'esclaves porteurs d'huiles, d'amandes, de palme, d'arachides, de sésame et d'ivoire aller et venir.

Henry Morton Staley atteint pour la première fois le site de la ville au niveau de ntambo le 12/03/1881 lors de sa traversée d'est à l'ouest du continent africain.

En 1881, il signale « traité de l'amitié » avec un chef téké, ngaliema, obtenant ainsi le droit d'établissement à l'emplacement de l'actuelle commune de kitambo, sur les bords de la baie de ngaliema, et il chargea le capitaine Charles-marie de braconnier d'y fonder un poste qu'il baptisa plus tard Léopoldville en l'honneur de son commandant Léopold II de Belgique.

Staley avait choisi l'endroit ou le fleuve Congo devrait être navigable en direction de l'amont.

Le site spécieux et facile à défendre était déjà peuplé de 66 villages antérieurs à Stanley, celle-ci prés du hameau de Kinshasa (nshasa signifiant « marché »), avec l'accord du chef nsuvila.

Ce village donna son nom aujourd'hui se trouve le quartier des (kingabwa)

II. 1.1 .CAPITALE GRANDISSANTE

En 1929, hérita de la fonction de centre administratif assumée jusque là par Boma, par la mise en application de l'arrêté royal du 1er juillet 1923. A cette époque, Léopold ville est confirmée aux communes des Kitambo et de la Gombe actuelle communes de Kinshasa, de Barumbu et de Lingwala.

Dans les années 1930, la majorité des logements était pour les employés de la Chanic, la Filstisaf et L'utex africa.

Léopold ville ne dévient juridiquement une ville que le 25 juin 1941 (avec 5.000 hectares et 53.000 habitants) ; depuis 1923, elle était seulement un « district urbain ».

Par la même occasion, elle devient capitale de la colonie, chef-lieu de la province du Congo Kasaï et du district du moyen-Congo.

Elle était divisée en deux zone : la zone urbaine avec Léo II, ouest, kalina, Léo-I ou Léo-est, et de ndolo ; et la zone indigène au sud.

La croissance de la ville commence en 1945 avec la fin du travail forcé qui permet aux populations noires d'augmenter.

Arrivant alors de nombreux paysan de la campagne à la recherche d'un emploie, s'entassant dans les cases de la zone indigène.

La ville commence à se peupler majoritairement de Bakongo, dans les années 1950, les cités planifiées de Lemba, Matete, et une partie de N'djili furent aménagées pour loger les employés de la zone industrielle de Limete.

Et comme Kinshasa était un village des Téké, kingabwa aussi fut d'abord un village des autochtones Tékés, et comme il était des commerçants et de pécheurs pour transporter les ivoire qu'il vendait il est faut une route, vu l'évolution de l'urbanisation vers les années 1954, l'Etat colonial reconnaissait Kingabwa comme une zone annexe de Léopoldville.

Comme la route était déjà exploitée par les autochtones, les colonisateurs aussi à leurs tours venaient exploiter la route pour leurs besoins et comme Liméte est une commune industrielle il falle qu'il yait une route pour de poids lours.

Tout ça grâce à un blanc qu'on appelait MUNDELENGULU qui habitait Kingabwa là où se trouve la poste de la police waya-waya, c'est lui qui avait proposé aux blancs la modernisation de cette route.

Cette route avait aussi été appelait BOBOZO qui fut un générale, mais le nom qui ne durant pas pour redevenir encore la route poids-lourds.

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