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Rôle des infirmiers diplômés d'état dans la prise en charge de la douleur postopératoire

( Télécharger le fichier original )
par Oussama Merabeti
Institut national de formation supérieure paramédicale de Constantine - Infirmier diplômé d'état 2012
  

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3. Résultats et interprétation de l'enquête :

a. Résultats de l'enquête :

Sur les questionnaires diffusés,

· 15 ont été rendus dans les temps impartis.

· 20 questionnaires ont été récupérés un mois après et ce, après avoir fait l'objet d'une relance.

· 05 questionnaires ont été rendu vides.

b. Interprétation de l'enquete et analyse des données :

Une fois qu'on a recueillis les questionnaires qui ont été diffusé, on a procédé à l'interprétation des réponses obtenues. Ces interprétations ont fait l'objet, tout à tour :

· D'une analyse quantitative.

· D'une analyse qualitative.

RESULTATS ET ANALYSE DE L'ENQUETE

Question1 : Sur l'ancienneté des IDE :

Vous êtes infirmier (ère) depuis combien de temps ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Moins de 5 ans.

 

6

 

17%

Entre 5 à 10 ans.

 
 
 
 
 

4

 

12%

 

Entre 11 à 15 ans.

 

5

 

14%

Entre 16 et 20 ans.

 
 
 
 
 

12

 

34%

 

Plus de 20 ans.

23%

12

10

8

8

6

4

2

0

Momns de 5 Entre 5 à Entre 11 à

ans. 10 ans. 15 ans.

Plus de 20 ans.

Entre 16 et 20 ans.

Sur l'ancienneté des IDE

Analyse :

expérience dans le domaine des soins et de la prise en charge des douleurs postopératoires.

Son classé en second lieu les IDE qui ont plus de 20 ans d'expérience.

Les nouveaux IDE qui ont moins de 5 ans de travail arrivent en troisième position.

Question 2 : Sur l'ancienneté au niveau du service de chirurgie.

Vous travaillez au niveau du service de chirurgie du CHU de Constantine

depuis combien de temps ?

Proposition

Nombre

%

Je suis nouveau (moins d d'un an).

5

14%

Moins de 5 ans.

4

12%

Entre 5 et 10 ans.

6

17%

Entre 11 et 15 ans.

4

12%

Entre 16 et 20 ans.

12

34%

Plus de 20 ans.

4

11%

 

12

10

4

8

6

0

2

Je suis Moins Entre 5 Entre 11 Entre 16 Plus de

nouveau de 5 ans. et 10 ans. et 15 ans. et 20 ans. 20 ans.
(moins d'un

an).

Sur l'ancienneté au niveau du service de chirurgie

Analyse :

Selon les réponses obtenues, on a observé que 34% des IDE questionnés travaillent au niveau du service de chirurgie du CHU de Constantine entre 16 et 20 ans.

Donc, l'expérience dans le domaine des soins en postopératoire existe.

Question 3 : Sur la fréquence des douleurs postopératoire.

Les patients opérés dans votre service se plaignent de douleurs Postopératoire ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 
 
 
 
 
 
 

Souvent.

 
 
 

16

46%

Parfois.

 

2

 

6%

 
 
 
 
 

Rarement.

 

0

 

0%

Jamais

 

0

 

0%

 
 
 
 
 

Tout dépend du type de chirurgie.

 

17

 

48%

 

18 16 14 12 10 8 6 4 2 0

 
 
 

Sur la fréquence des douleurs postopératoire

Analyse :

46% disent que la fréquence des douleurs postopératoire est élevée dans leurs services.

Et 6% disent que parfois les patients se plaignent de douleur postopératoire. Donc, selon la population enquêtée, la douleur postopératoire existe toujours.

Question 4 : Que représente pour vous la douleur postopératoire? La douleur postopératoire représente selon la population enquêtée :

· Douleur après les opérations chirurgicales qui nécessite une prise en charge (31%).

· Douleur peut être psychique (23%).

· Douleur apr~s la disparition des effets de l'anesthésie (14%).

· Signe clinique très importants (6%).

· Pas de réponse (26%).

Donc on remarque qu'il existe une différence quand à la compréhension de la douleur postopératoire sur le plan définition et reconnaissance de cette douleur.

26% des IDE n'ont pas répondu à la question, ce qui prouve que le niveau de connaissance des IDE quant à la douleur postopératoire est insuffisant.

Question 5 : Sur l'implication des IDE dans la prise en charge des douleurs postopératoires :

Pensez- vous être concerné par la prise en charge de la douleur postopératoire ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Oui.

Non.

29

6

83%

17%

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non.

Implication des IDE dans la prise en charge des douleurs postopératoires Analyse :

La grande majorité des IDE se sentent concerné par la prise en charge des douleurs postopératoire ce qui laisse supposer que le soulagement de la douleur postopératoire est leur priorité. Quand on leur a demandé en quoi consistait cette prise en charge, ils ont a obtenu trois types de réponse à cette question :

· La majorité des IDE (42%) administrent des antalgiques aux patients algiques.

· (10%) utilisent le placebo et disent que c'est psychique.


· (31%) se contentent de surveiller les malades.

Cependant 17% des IDE questionnés n'ont pas répondu à cette question et donc cela laisse supposer qu'ils ne savent pas prendre en charge la douleur postopératoire.

Question 6 : Sur la prise en charge des IDE des douleurs postopératoires :

Avez-vous eu à prendre en charge des patients se plaignants de douleurs post opératoire ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 
 
 
 
 
 
 

Oui.

 
 
 

31

 

89%

 

Non.

4

11%

40

30

20

10

0

Oui. Non.

La prise en charge des IDE des douleurs postopératoires

Analyse :

La majorité des IDE (89%), ont déjà eu à prendre en charge une douleur postopératoire, ce qui implique que c'est tr~s fréquent dans leur pratique quotidienne, et qu'ils ont un rôle primordial dans cette prise en charge.

Cependant 11% de la population enquêtée n'ont jamais eu à prendre en charge ces douleurs, cela laisse supposer que :

· Soit ils n'ont jamais eu de cas de patient qui a mal en postopératoire ce qui est contradictoire avec la question N°3, oil tous disent que la douleur postopératoire existe.

· Soit qu'ils ne savent pas prendre en charge les douleurs postopératoires, et la nécessité de faire des formations est impérative.

Question 7 : Sur l'attitude de l'IDE devant une douleur postopératoire :

Que faites-vous devant un malade qui présente des douleurs postopératoires ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Rien.

 

6

 

17%

Administrer des antalgiques.

 

20

 

57%

 

9

 

26%

 

0

 

0%

 

Appeler le médecin.

Faire d'autres méthodes pour calmer la douleur
(Lesquelles si vous cochez

20

18

16

14

12

10

8

4

0

6

2

Rien. Administrer

des antalgiques.

Appeler le médecin.

Faire d'autres méthodes pour calmer la douleur (Lesquelles si vous

cochez

Attitude de l'IDE devant une douleur postopératoire

Analyse :

La majorité des IDE administre systématiquement des antalgiques devant une douleur postopératoire, d'autres préfqrent appeler le médecin, d'autres font les deux.

Donc un IDE réagit toujours devant une douleur postopératoire, ce qui est bénéfique pour le patient algique.

Cependant 17% des IDE ne font rien, parce qu'ils ne se sentent pas concerné par la prise en charge des douleurs postopératoires. Ceci représente une mauvaise attitude, car l'IDE est celui qui est en contacte permanent avec le patient, et laisser un patient algique sans rien faire (ni contacter le médecin, ni administrer un antalgique) est une faute professionnelle de la part de ces IDE.

Question 8 : Sur l'attitude de l'IDE seul devant une douleur en l'absence de médecin :

En l'absence de médecin, que faite vous devant un malade qui présente des douleurs postopératoires ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

8

19

Rien.

Administrer des antalgiques.

23%

54%

6

2

Attendre le médecin.

pas de réponse

17%

6%

20

15

10

0

5

Rien. Administrer

des antalgiques. médecin.

Attendre le

pas de repense

Attitude de l'IDE seul devant une douleur en l'absence de médecin Analyse :

La majorité des IDE en l'absence de médecin ne sont pas indifférent à ce patient qui souffre et réagissent en administrant des antalgiques, ce qui prouve qu'ils sont impliqué dans cette prise en charge, et leur rôle dans le soulagement de ces douleurs est primordial.

Question 9 : Sur les formations en douleur postopératoire :

Avez-vous déjà suivi une formation spécialisée dans la prise en charge des douleurs postopératoires ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 
 
 
 
 
 
 

Oui.

 
 
 

9

 

26%

 

Non.

26

74%

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non.

Les formations en douleur postopératoire

Analyse :

La majorité de la population enquêtée n'a jamais suivi de formation spécialisé dans la prise en charge des douleurs postopératoires.

Ceci implique que cette prise en charge n'est pas faite correctement, et cela nécessite d'essayer d'organiser des formations spécialisées dans ce domaine.

Question 9.1 : Si oui, qu'avez-vous appris? Si non, pourquoi ?

Ceux qui ont répondu oui, n'ont pas donné de réponse à cette question, ce qui est étonnant car on aura aimé qu'ils nous transmettent le savoir qu'ils avaient appris. On ne sait pas si ce n'est pas de la mauvaise volonté ou par oubli, ou par ignorance car la formation pouvait être médiocre ou insuffisante.

Ceux qui ont répondu non, nous ont donné les réponses suivantes :

· 58% Disaient qu'il y avait trop de monde à la formation, donc ils n'ont pas été sélectionnés pour y assister.

· 8% Disent qu'ils n'en ont pas eu l'occasion.

· 34% n'ont pas donné de réponse.

Question 9.2 : Sur la réalisation des techniques enseignées dans leurs services :

Les techniques enseignées durant cette formation sont-elles réalisables en pratique dans le service oil vous travaillez?

Proposition

Nombre

%

Oui.

1

3%

Non.

8

23%

pas de réponse

26

74%

 

30

20

25

15

10

0

5

OUI NON PAS DE REPENSE

La réalisation des techniques enseignées dans leurs services

Malheureusement, on constate que la grande majorité (89%) des IDE qui ont suivi une formation dans la prise en charge de la douleur postopératoire, disent ne pas pouvoir appliquer ce qu'ils ont appris. Quand on leur a demandé pourquoi, ils ont donné les réponses suivantes :

· Manque de matériel (raison la plus évoquée).

· Certains disent qu'ils n'ont pas pu mettre en pratique ce qu'ils ont appris en théorie.


· Et certains (25%), n'ont pas donné de raison. Donc cela suppose d'une part :

· Que la qualité de formation était insuffisante.

· Et d'autre part on suppose que la prise en charge des douleurs
postopératoires, n'est pas une priorité absolue pour l'hôpital.

Question 9.3 :

Si vous n'avez jamais suivi de formation spécialisée dans la prise en charge de la douleur postopératoire, voudriez-vous la suivre?

Proposition

Nombre

%

Oui.

26

74%

Non.

0

0%

pas de réponse

9

26%

 

30

25

20

15

10

0

5

pas de repense

Oui. Non.

Analyse :

Effectivement comme on le voit, la grande majorité des IDE (74%) souhaiterait suivre une formation spécialisée dans la prise en charge de la douleur postopératoire. On leur a demandé pourquoi et ils ont dit que c'était pour :

· Améliorer leurs connaissances.

· Que c'est trIs important dans leur métier, et pour les malades.

· Qu'il faut toujours évoluer dans le domaine de la santé.

Ces réponses sont tr4s encourageantes, car on voit tr~s bien l'intérêt porté par les IDE quant à la prise en charge des douleurs postopératoires, et leurs motivation est grande pour tout apprendre dans ce domaine.

Cependant 26% de la population enquêtée n'a pas répondu à cette question, cela prouve que certains IDE

choquant, car c'est anti déontologique et inhumain que de laisser un être humain souffrir sans réagir, sans le soulager.....

Question 10 : Sur l'évaluation de la douleur postopératoire : Savez-vous évaluer la douleur postopératoire ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Oui.

 

5

 

14%

Non.

 
 
 
 
 

30

86

 

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non.

Evaluation de la douleur postopératoire
Analyse :

La majorité de la population enquêtée (86%) ne sait pas évaluer une douleur postopératoire, ce chiffre ne nous a pas étonné vu le grand nombre d'IDE qui n'a jamais fait de formation dans le domaine.

Ceci montre l'importance de faire des cycles de formations pour ces infirmiers(ères) vraisemblablement motivé et prêt à apprendre tout ce qui concerne la prise en charge des algies postopératoires.

14% de la population enquêtée qui avait répondu oui, utilisait les moyens suivants pour évaluer la douleur postopératoire :


· Echelle numérique (40%).

· Observer le patient (40%).

· Questionner la famille (20%).

D'apr~s ces réponses, on constate que l'utilisation de l'échelle numérique est utilisée à égale fréquence avec l'observation de l'attitude et de la mimique du patient, le fait d'observer le patient ne peut nous permettre d'évaluer correctement le degré de la douleur. Les IDE qui compte sur la famille pour leur donner l'intensité de la douleur ne peuvent être sr du degré et de l'intensité de la douleur car, c'est seulement subjectif, la famille a toujours tendance à exagérer .Seul le patient peut dire exactement le degré de ses souffrance qui ne peut être évalué correctement que gr1ce à des échelles d'évaluation spécialisées.

Question 11 :

D'après vous quelle est l'intéret de l'évaluation de la douleur ? A cette question, les IDE avaient répondu :

· Pour choisir la dose des antalgiques et donner le bon traitement et également
ça a une importance pour réajuster le traitement médicamenteux (40%).

· Pour éviter les complications tardives (23%).

· Pour aider le malade psychiquement (11%).

· 26% n'ont pas répondu à cette question.

Donc d'aprcs cette question, on voit tr~s bien que le confort et le soulagement des souffrances des patient est prioritaire pour notre population enquêtée.

Pensez-vous que savoir évaluer la douleur postopératoire permet de faciliter sa prise en charge ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Oui.

 

35

 

100%

 

Non.

 

0

 

0%

 

35

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non.

L'analyse :

La totalité de la population enquêtée pense que la bonne prise en charge de la douleur est facilitée par une bonne compréhension des techniques d'évaluation de la douleur.

Pensez- vous que l'évaluation de la douleur postopératoire est la meme que l'évaluation des autres douleurs.

Proposition

Nombre

%

Oui.

21

3%

Non.

5

14%

Pas de réponse

9

83%

 

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non. pas de repense

L'analyse :

La majorité des IDE questionnés (83%) n'ont pas répondu à cette question, vu le manque de formation dans ce domaine.

03% ont répondu oui, mais n'ont pas dit pourquoi.

Ceux qui ont répondu non (14%), et qui ne pensent pas que l'évaluation de la douleur postopératoire soit la même que les autres douleurs, ont donné les explications suivantes :


· Que chaque douleur avait son intensité (51%).


· Les douleurs des bébés étaient différentes (09%).


· Le risque chez les patients opérés est plus important que les autres patients (06%).

Effectivement, l'évaluation de la douleur postopératoire n'est pas la même que les autres douleurs. Ceci est important à connaître, car ça permet de faire une bonne évaluation en fonction de la situation.

Penser vous que l'évaluation de la douleur postopératoire est la meme devant tout les patients quelque soit leurs âge ?

Proposition

Nombre

%

Oui.

21

60%

Non.

5

14%

pas de réponse

9

20%

 

25

20

15

10

0

5

Oui. Non. pas de repense

L'analyse :

La majorité des IDE questionnés (60%) pensent que l'ge joue un rôle important dans les techniques d'évaluation de la douleur, ceci est logiquement vrai.

Selon eux, c'est parce que :

· Les bébés ne peuvent exprimer exactement leurs douleurs.

· Et que chaque personne a sa propre capacité de résister à la douleur.

Cependant 14% de la population enquêtée pensent que l'évaluation de la douleur n'a aucun rapport avec l'âge. Ce qui n'est pas vrai, évidement.

26% de notre population enquêtée n'a pas donné de réponse, on suppose que c'est parce qu'ils ne connaissent pas la réponse à cette question.

Que pensez-vous que la prise en charge des douleurs postopératoires dans votre service ?

Proposition

Excellente.

Nombre

2

%

6%

Moyenne.

 

24

68%

 
 
 
 
 

Mauvaise.

 

9

 

26%

 

25

20

15

10

0

5

Excellente. Moyenne. Mauvaise.

L'analyse :

La majorité des IDE questionné (68%) pensent que la prise en charge de la douleur postopératoire est moyenne dans leurs services , cela reste à vérifier, car le manque de formation des IDE dans le domaine, laisse souvent supposer que la prise en charge doit être mauvaise, et c'est l'avis de 26% des IDE, qui disent srement vrai, pendant que 6% pensent qu'elle est excellente mais sans dire pourquoi..., ce résultat même s'il est trop faible, est encourageant et ouvre la porte à l'espoir de voir un jour ce chiffre augmenter.

Ceux qui pensaient que la prise en charge de la douleur dans leurs services était moyenne ont évoqué pour raison principale : la prise en charge médicamenteuse non adaptée, et ils ont évoqué également le manque d'écoute de la part des médecins, ce qui est désolant, car la bonne prise en charge de la douleur postopératoire doit être faite par une équipe multidisciplinaire.

Question 16: D'après vous, quelle est l'intéret de la prise en charge de la douleur postopératoire ?

On a été étonné de voir que 77% de la population questionnée pensait que l'intérêt de la prise en charge de la douleur postopératoire, était pour éviter l'apparition des complication, alors qu'on s'attendait à voir comme réponse majoritaire le soulagement de la souffrance des patient, mais seulement 23% des IDE avaient donné cette réponse.

Les deux réponses sont vraies, mais le soulagement de la souffrance est la priorité de tout soignant qui est là au service du malade.

Peut-on prévenir la douleur post opératoire ?

Proposition

 

Nombre

 

%

 

Oui.

3

8%

Non.

10

29%

Je ne sais pas.

22

63%

 

25

20

15

10

0

5

Oui. Non. Je ne sais pas.

L'analyse :

63% de la population enquêté ne sais pas si la douleur postopératoire peut être prévenue.

29% ne le pensent pas.

8% pensent pouvoir la prévenir par l'utilisation d'antalgique fort en période préopératoire. C'est une attitude qui n'est pas fausse, car la prise en charge préopératoire que ça soit psychique ou physique est importante.

Question 18 : Selon vous, quel est le retentissement (physique et psychique) de la douleur postopératoire sur le patient ?

Notre population enquêtée a donné les réponses suivantes quant au retentissement physique et psychique de la douleur :

· 20% Angoisse.

· 5% Amaigrissement.

· 20% Fatigue.

· 26% Altération de l état général.

· 26% La douleur détruit l'état psychique des malades.

· 3% n'ont pas donné de réponse.

C'est vrai que la douleur peut entrainer un retentissement tant physique que psychique si on ne la prend pas en charge. D'où l'intérêt d'accorder de l'importance à sa prise en charge.

Question 19 : Sur le rôle primordial de l'IDE dans la prise en charge des douleurs postopératoire :

Pensez-vous que l'infirmier joue un rôle primordial dans la prise en Charge de la douleur postopératoire ?

Nombre

26

Proposition

Oui.

Non. %

 
 

74%

9 26%

30

25

20

15

10

0

5

Oui. Non.

Le rôle primordial de l'IDE dans la prise en charge des douleurs
postopératoires

L'analyse :

La majorité de notre population enquêtée (74%) pensent que l'IDE joue un rôle primordial dans la prise en charge de la douleur postopératoire, parce qu'ils pensent que :

· La surveillance apr~s l'opération c'est le rôle des infirmiers.

· Les infirmiers sont les plus proches du malade.

· Les infirmiers sont responsables de l'administration des traitements.
Ceci est tout à fait vrai, car l'IDE est le pilier principal de cette prise en charge.

Cependant 26% de la population enquêtée ont répondu non, ils ont donné comm

arguments :

· La prise en charge de la douleur c'est le rôle des médecins.

· Et la grande majorité dit que l'infirmier(ere) joue son rôle quand le médecin

prescrit.

Question 20 : Qu'envisageriez-vous pour améliorer et organiser cette prise en charge dans votre service ?

· 40% pensent que la sensibilisation est ob

charge des douleurs.

· 49% Attendent une formation dans la prise en charge de la douleur

postopératoire.

· 11% proposent d'organiser le travail entre les infirmiers et les médecins.

T

propose déjà des solutions judicieuses et qui ne peuvent qu'être bénéfiques et pour

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