WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Etude des déterminants de la corruption passive

( Télécharger le fichier original )
par Boubacar KABORE
ENSP - Administrateur des hôpitaux et des services de santé 2007
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

Chapitre III- Méthodologie de l'étude.

3.1 Cadre d'étude.

3.1.1 Quelques statistiques sur le Burkina Faso.

- une superficie de 274 200 km²

- une population estimée à 13.730.258 habitants1(*)0.

- Le taux brut de scolarisation dans l'enseignement de base est de 40,90% pour l'année 1997-1998.

- Les religions sont dominées par l'islam (52%), le christianisme (24,3%) et l'animisme (23,3%).

- 45,3 % de la population vit en dessous du seuil absolu national de pauvreté.

- Le taux brut de natalité est estimé à 46,1/1000;

- Le taux de mortalité générale est de 15,2 /1000

- L'espérance de vie à la naissance de 53,8 ans.

- La morbidité générale de la population du Burkina Faso est élevée : 15,8% en

1995.

- Le taux de mortalité infantile était de 105,3 pour mille en 1998.

- Le taux de mortalité infanto-juvenile était de 219,1 pour mille.

- La mortalité maternelle était de 484 pour 100 000 naissances vivantes en 1998.

* 10 résultats préliminaires du RGPH 2006

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"I don't believe we shall ever have a good money again before we take the thing out of the hand of governments. We can't take it violently, out of the hands of governments, all we can do is by some sly roundabout way introduce something that they can't stop ..."   Friedrich Hayek (1899-1992) en 1984