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Dynamique de la dégradation des terres et techniques de gestion de l'eau et du sol: les terres Bour dans la commune rurale des Shoul.

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par Ismail Farhaoui
UNIVERSITE MOHAMMED V-AGDAL Faculté des Lettres et des Sciences Humaines Département de Géographie Rabat  - Master 2008
  

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Conclusion

A partir de l'évaluation environnementale et socio-économique de la technologie de rotation culturale on remarque que, la pratique de la technologie de rotation culturale a instauré un meilleure gestion de la fertilité des terres et un maintien de fertilité des sols et ne nécessitant pas une grande connaissance en matière de CES également c'est une technique qui peu coûteuse mais, cela ne veut pas dire que cette technologie ne pas des inconvénients.

Les inconvénients de cette technologie sont tout d'abord, le risque d'érosion pour les cultures printanières (maïs) car le sol reste à nu pendant la période de fortes pluviosités, en plus c'est une technologie qui demande beaucoup de main d'oeuvre familiale et d'animaux de trait, en outre la pratique de cette technologie réduit le recours à la jachère et éloigne le troupeau des terres de l exploitation occupée par les cultures toute l'année.

48 Au-delà du doute sur la validité de ce chiffre c'est l'existence de la relation entre équilibre économique des exploitations favorisé par la pratique de la rotation et les caractéristiques du fait migratoire dans une zone situé au seuil d'une ville capitale du pays que nous comptons révéler.

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Conclusions générales & Recommandations

L

a région des Shoul présente dans sa totalité des conditions physiques et socio-économiques qui favorisent la dynamisation des processus de dégradation des terres. Sur le plan physique, le substrat géologique comporte des couches friables à dominance marneuse facilement érodables par le ruissellement et les sols sont peu épais, pauvres en matière organique et de texture limoneuse fortement sensible à la battance, les pentes sont généralement assez fortes et la couverture végétale, soumise à l'action anthropique.

Aussi Le régime pluviométrique est-il caractérisé par une forte irrégularité des volumes de pluies annuelles et l'opposition de deux saisons contrastées: une saison sèche allant de mai à octobre avec un déficit hydrique important et une saison humide sur le reste de l'année caractérisée par des précipitations de forte intensité et violentes.

Sur le plan socio-économique la dynamisation des processus de dégradation des terres est liée à des facteurs comme le surpâturage, les techniques de labour et la gestion des terres cultivées, en plus de la pauvreté et des faibles revenus des exploitants.

Pour faire face au problème de la dégradation, la population applique un certain nombre de techniques de conservation des eaux et des sols qui permettent, l'amélioration de la fertilité des terres et la gestion de l'eau, et par conséquent l'affaiblissement des effets du ruissellement violent.

Ces techniques, appliquées dans le cadre des exploitations privées, relèvent d'une initiative individuelle et s'inscrivent en même temps dans des modes d'organisation institutionnelle. Ces derniers sont, soit hérités d'une époque révolue où la jemâa jouait un rôle dans la réglementation des pratiques agraires, soit actuelles et relèvent de l'action de l'état.

Les techniques de conservation des eaux et des sols appliqués dans la région concernent des techniques agronomiques (rotation culturale, labour isohypse, apport de fumier dans le sol), végétale ou biologique (les haies, correction biologique des ravins, plantation fruitière) et physique (murettes en pierres sèches, gabions, terrasses).

Les techniques agronomiques et végétales sont les plus répandues dans les terres bour de la commune des Shoul. Par contre, les techniques physiques restent peu développées dans la zone et limitées aux exploitations qui, dans le cadre du projet de mise en valeur en bour, ont adopté la gabion comme solution pour freiner l'extension des ravins.

Mais malgré la mise en place, des techniques physiques et végétales, les paysans, ne prêtent pas beaucoup d'attention à l'entretien. Les seuils en gabion sont débordés par les matériaux d'érosion, et aucune plantation n'a été envisagée sur les atterrissements.

Pour dégager les techniques les plus prometteuses en terme de conservation des eaux et des sols et évaluer leur efficacité, nous nous sommes basés sur le questionnaire Wocat.

L'évaluation de la technologie agronomique de rotation culturale sur la base de ce questionnaire a donné les résultats suivants:

> Sur le plan environnemental.

- Le taux de matière organique et l'azote

Le taux de matière organique et l'azote dans le sol varie en fonction du type rotation appliquée. La comparaison de deux rotations, blé /légumineuses, blé /maïs, et la monoculture d'orge montre une augmentation de la matière organique et l'azote (2,21%, 0,11%) dans la parcelle où est pratiquée la rotation blé /légumineuses, par contre dans les parcelles ou est

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Conclusions générales & Recommandations

pratiquée la rotation céréalière et la monoculture le taux de la matière organique et d'azote est faible, les différences de la matière organique et d'azote entre les deux rotations et la monoculture d'orge sont dues essentiellement à la pratique de la succession blé/légumineuses. - L'état de l'humidité du sol.

La pratique de la technologie de rotation culturale permet aussi une augmentation de l'humidité du sol. A partir des mesures effectuées sur terrain on relève une augmentation des taux d'humidité dans les parcelles où sont pratiquées les rotations céréales-légumineuses et céréale-céréale. L'augmentation du taux d'humidité dans ces deus types de rotations sont liées principalement : (i) aux pratiques culturales, (ii) au travail du sol, et (iii) à la teneur en matière organique.

- Ruissellement et perte en terre.

La pratique de la technologie de rotation permet la réduction du ruissellement et la perte en terre. La comparaison entre la rotation blé/légumineuses et la rotation blé/avoine, révèle le déclenchement tardif du ruissellement dans la rotation blé/légumineuse, et le coefficient de ruissellement est moins élevé (2,5%) par rapport en rotation blé /avoine où le déclenchement du ruissellement est très précoce. Ce dernier a eu lieu dans les 10 premières minutes de simulation et le ruissellement et plus rapide (8,6%) même si le sol est complètement sec.

La perte en terres dans la rotation blé/légumineuses est faible, presque 0,42 g/h/m2, contre 1,92 g/h/m2 en rotation blé/avoine.

De ce faite, la pratique de la technologie de rotation culturale contribue à la conservation de l'eau et à l'amélioration de la structure du sol et de sa stabilité structurale, en plus de l'accroissement de la biodiversité et de l'activité biologique.

> Sur le plan socio-économique.

-Augmentation des rendements: la pratique de la rotation culturale augmente les rendements grains réalisés. Ils sont en moyennes de 25 qx /ha dans le blé tendre de rotation blé/légumineuse, et 20qx/ha dans la monoculture d'orge et 19 qx/ha dans le blé tendre de rotation blé/maïs. Les rendements enregistrés dans la rotation blé/légumineuses sont des rendements acceptables par les paysans de la région, également selon eux la moyenne de 25qx/ha constitue une moyenne qui peut se produire dans une région à climat semi-aride comme celle des Shoul.

-Augmentation des revenus: l'analyse du bilan économique de la technologie de rotation culturale montre que cette technologie génère un revenu net de 9020 dh pour une exploitation de deux hectare (hectare de blé tendre et un hectare de fève) .

-Utilisation des engrais: la rotation culturale permet de réduire la quantité des engrais utilisés dans la culture de blé par 50% par rapport aux quantités utilisées avant l'application de la rotation (150 kg/ha contre 300 kg/ha). Les légumineuses jouent un rôle très important dans la fertilisation des terres.

-Sécurité alimentaire: La pratique de la rotation aussi améliore la sécurité alimentaire et l'autosuffisance des paysans.

Malgré les avantages présentés par la rotation culturale sur le plan environnementale et socio-économique, son développement dans la région est soumis à une série de contraintes:

Les contraintes naturelles

Le climat de la région des Shoul, appartient à l'étage bioclimatique semi-aride caractérisé par des fluctuations inter-annuelles et la sécheresse peut intervenir à n'importe quel moment du

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Conclusions générales & Recommandations

cycle de croissance des cultures. Deux types de sécheresses sont généralement distinguées49 : la sécheresse de début de cycle qui coïncide avec le démarrage de la culture et qui, réduit le nombre de plantes et le tallage et donc la quantité de biomasse totale. Le deuxième type est la sécheresse de fin du cycle qui est la plus fréquente et qui affecte le remplissage des grains, l'effet du déficit hydrique de fin de cycle est souvent marqué par les hautes températures qui caractérisent cette période. Un troisième type de sécheresse est parfois observé, il concerne le milieu du cycle.

Par ailleurs, la plupart des sols rencontrés dans la région sont des sols peu favorables aux cultures bour, pauvres en matière organique, peu profonds et érodable dont les capacités de conservation de l'eau sont très limitées.

Les contraintes socio-économiques

Parmi les problèmes socio-économiques qui nuisent à la production des céréales et les légumineuses dans la région, on peut citer la taille des exploitations et le système de production adopté.

En ce qui concerne la taille des exploitations, il est important de souligner que 50% de la superficie des céréales et des legémineuses sont cultivés dans des exploitations de moins de 5 ha. En plus le morcellement des parcelles ne permet pas l'utilisation des trains techniques améliorés.

Le système de production dans la région est complexe, car la pratique de la céréaliculture sous ses différentes formes de rotation est associée à la pratique de l'élevage avec différents niveaux d'intensification.

Après la récolte, la plupart des paysans nécessitent des disponibilités en argent pour financer l'achat des fourrages au cheptel et satisfaire les besoins alimentaires de leurs familles.

Dans un marché caractérisé par l'augmentation de l'offre et la baisse de la demande, les paysans sont souvent poussé à vendre leur production à des prix bas qui ne leur permettent pas de réaliser des bénéfices substantiels et avoir une trésorerie équilibrée. Ce qui se traduit par des difficultés de financement de la campagne agricole suivante en matière des semences et des engrais, surtout chez les paysans qui pratiquent la rotation culturale.

Par ailleurs le taux élevé d'analphabétisme chez les paysans de la région limite souvent la communication et constitue une entrave au programme de transfert de nouvelles technologies.

Les contraintes techniques

La conduite du blé est caractérisée, chez plusieurs paysans de la région, et surtout ceux des petites et moyennes exploitations, par des travaux du sol étalés sur plusieurs périodes (deux passages de cover crop), un semis à la volée, un apport périodique et non raisonné des engrais, un désherbage souvent manuel et tardif et une récolte mal maîtrisée et engendrant beaucoup de perte en grains.

La méthode de semis décrite, associée à la faible utilisation des semences certifiées conduisent à un taux de levée faible et hétérogène.

Pour remédier au problème de la préparation du lit de semences et des adventices précoces, les paysans attendent les premières pluies automnales pour travailler le sol et enfouir les mauvaises herbes. Le retard de la préparation du lit de semences et le travail du sol sous des conditions humides entraînent des pertes considérables d'eau par évaporation.

49 El Mourid. M et al (1988): Rainfall patterns and probabilities in the semi-arid cereal production region of Morocco USAID Project No.608-0136.Aridoculture Centre INRA-Settat, Morocco.

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Conclusions générales & Recommandations

Le semis tardif ne permet pas aux plantes de profiter des premières pluies et expose les cultures aux stress hydrique et thermique de fin du cycle.

En outre, les herbicides qui font place au désherbage manuel sont souvent appliqués à des époques tardives ; ce qui permet aux plantes adventices de concurrencer les plantes pour l'eau et les éléments fertilisants et d'entraîner la chute des rendements de la culture.

De ce fait, la période d'épandage d'engrais de couverture est parfois mal appropriée, vu les prix élevés des engrais, il est aussi constaté que les doses pratiquées sont généralement faibles par rapport aux besoins de la culture.

Les maladies cryptogamiques et les attaques d'insectes constituent une contrainte majeure devant la production du blé et des légumineuses dans la région. Parmi les maladies les plus importantes il y a les rouilles, la septoriose pour le blé et l'orobanche pour les légumineuses.

En considération des résultats obtenus sur les pratiques locales en matière de conservation et de gestion des eaux et du sol par l'utilisation du questionnaire WOCAT, et en considération du contexte géographique et socio économique où les paysans appliquent leurs systèmes de cultures fondés sur la double combinaison entre l'activité agricole et l'élevage, et entre des terres à vocations différenciées, il peut s'avérer judicieux, dans l'objectif d'une meilleure gestion des ressources eau et sol, d'orienter l'utilisation des terres dans la zone étudiée, selon le schéma suivant:

Dans les terres à pente faible à moyenne il serait préférable de pratiquer la rotation céréale/légumineuse et rotation céréale/jachère, à cause de son rôle dans la gestion de la fertilité des terres et la restauration des terres dégradées.

Les terres à pente forte seraient orientées vers un système d'agroforesterie sur terrasses à base de plantes fruitière adaptées au milieu et plus rentables pour la population locale.

Pratiquer une culture dérobée comme précédent cultural des légumineuses ou du maïs pour couvrir le sol durant la période de fortes pluies.

La rotation serait améliorée par l'utilisation des semences sélectionnées et la maîtrise de la conduite technique des cultures pratiquées par les paysans et de labourer les terres directement après la récolte (enfouissement des résidus de récoltes).

La sensibilisation des populations aux problèmes de dégradations des terres et la recherche de moyens pour perfectionner les méthodes de conservation utilisées ou adopter de nouvelles technique. Un effort de communication et de vulgarisation pourrait être mené à différents niveaux par les différents acteurs concernés par le développement local de la commune des Shoul (services agricoles, conseil communal, associations, groupement des agriculteurs..).

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Références bibliographiques

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Site webe

www.fao.org

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote