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La régularité lipshtzienne des courbes minimisantes pour un problème de contrôle optimale géométrique

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par Nedjoua Driai
Université de Sétif - Algerie - magister 2005
  

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Chapitre 3

Stabilité et stabilisation des systèmes

hybrides

3.1 Stabilité des systèmes à commutations non linéaires sur le plan [MS.9]

Un système à commutations est une famille de systèmes dynamiques équipée d'une loi qui détermine à tout moment quelle dynamique est responsable de l'évolution temporelle.

Dans le cas des systèmes en temps continu, un système à commutations peut s'écrire sous la forme

qÿ = fá(q), q ? M, á ? I, (3.1)

I est un sous-ensemble mesurable de R, M est une variété différentielle et F = {fá | á ? I} est une collection de champs de vecteurs sur M. Si la forme est la même que celle d'un système de contrôle, l'interprétation est différente : nous voulons déterminer des propriétés sur l'évolution du système qui ne dépendent pas de la loi de commutation, qui est une fonction á : [0, 8) ? I appartenant à un sous-ensemble G de L8([0, 8), I) (cf. [73]).

Dans cette section, nous nous intéressons en particulier au problème suivant : si un point q0 de M est globalement asymptotiquement stable pour chaque fá, quelles autres conditions sur F sont nécessaires pour garantir que q0 soit globalement asymptotiquement stable pour (3.1) indépendamment et uniformément par rapport au choix de la loi de commutation á ? G ?

Plus précisément, nous nous intéressons ici aux systèmes à commutations non linéaires du type

qÿ = á X(q) + (1 - á)Y (q), q ? R2 , á ? {0,1}, (3.2)

où les deux champs de vecteurs X et Y sont lisses et G = L8([0, 8), {0, 1}). Nous supposons que X(0) = Y (0) = 0 et que les deux systèmes dynamiques qÿ = X(q) et qÿ = Y (q) sont globalement asymptotiquement stables à l'origine. Nous cherchons des conditions sur X et Y (faciles à vérifier et invariantes par petites perturbations) telles que le système (3.2) soit globalement uniformément asymptotiquement stable à l'origine par rapport à á ? L8([0, 8), {0, 1}) (GUAS dans la suite), c'est-à-dire si, (i) pour tout ä > 0 il existe å > 0 tel que toute trajectoire de (3.2) démarrant d'un point de norme inférieure à å reste dans la boule de centre l'origine et rayon ä et (ii) pour tous ä1, ä2 > 0, il existe T > 0 tel que l'évaluation au temps T d'une quelconque trajectoire de (3.2) démarrant d'un point de norme inférieure à ä1 ait norme inférieure à ä2.

Notons

Z = {q ? R2 | dim(span(X(q),Y (q))) < 2}.

Un premier résultat que nous pouvons démontrer est le suivant.

Théorème 3.1 Si Z est compact, alors (3.2) est uniformément stable par rapport à á. Si, en plus, Z = {0} alors (3.2) est GUAS.

D'autres conditions peuvent être obtenues en tenant compte de la position relative de X et

Y le long de Z. En particulier, il est facile de voir que s'il existe une composante connexe de

Z \ {0} sur laquelle X et Y pointent de façon opposée, alors (3.2) n'est pas GUAS.

Introduisons l'hypothèse suivante, qui est générique dans la classe des couples de champs de vecteurs globalement asymptotiquement stables à l'origine (au sens de la topologie C2) : nous disons que (X, Y ) satisfait l'hypothèse (h0) si (i) Z \ {0} est une sous-variété immergée de R2, (ii) X et Y changent orientation en traversant Z et (iii) X et [X, Y ] ne sont pas colinéaires aux points de Z \ {0} auxquels X est tangent à Z.

Théorème 3.2 Soit (X, Y ) une couple de champs de vecteurs globalement asymptotiquement stables à l'origine satisfaisant l'hypothèse (h0). Alors : (A) si l'origine est isolée dans Z et X n'est nulle part tangent à Z \ {0}, alors (3.2) est GUAS; (B) si Z \ {0} contient une composante connexe non bornée sur laquelle X et Y pointent de façon opposée, alors (3.2) admet des trajectoires qui divergent.

La figure 3.1 donne, graphiquement, la clé de la preuve de l'énoncé (A). Les courbes Tj indiquent les composantes connexes de Z \{0}. Nous considérons les deux trajectoires démarrant de q et qui commutent à chaque croisement de Z. Nous montrons qu'elles convergent vers l'origine et que le champ de vecteurs X + Y pointe toujours à l'intérieur de la région bornée qu'elles délimitent (sauf, éventuellement, à l'origine). Nous pouvons ainsi exclure toute intersection des deux trajectoires en dehors de la composante connexe de R2 \ ?jTj qui contient l'origine. Nous concluons en utilisant la structure ainsi caractérisée de l'ensemble des points atteignables à partir de q par des trajectoires admissibles de (3.2).

T4

0

X

Y

X

Y

0

Y

X

T3

Y

T3

X

Y

X

T2

X

T2

X

Y

Y

Y

Y

X

q

X

q

T1

T1

FIGURE 3.1 Idée de la preuve du théorème 3.2, énoncé (A)

3.2 Systèmes soumis à une condition d'excitation persistante [MS.6,23]

Nous étudions dans cette section des systèmes de contrôle du type

xÿ = Ax + á(t)bu, x ? Rd, (3.3)

oh A est une matrice n × n, b est un vecteur de Rd, (A, b) est un couple commandable, la commande u est scalaire et á est une loi de commutation dépendant du temps à valeurs dans l'intervalle [0, 1] qui satisfait une condition d'excitation persistante du type

Z t+T

t

á(s)ds = 1a, pour tout t = 0, (3.4)

oh 0 < 1a = T sont indépendants de t.

A 1a et T donnés, notons G(T, 1a) l'ensemble des á : [0, 8) ? [0, 1] mesurables qui satisfont (3.4). Un élément de G(T, 1a) est dit un (T, 1a)-signal.

Nous disons qu'un vecteur K est un (T, 1a)-stabilisateur si le retour d'état u = -Kx stabilise (3.3) à l'origine, uniformément par rapport à tous les éléments de G(T, 1a). Plus précisément, K ne peut dépendre que de A, b, T, 1a et pas de á. La question de l'existence d'un (T, 1a)-stabilisateur a son origine dans des problèmes d'identification et commande adaptative (cf. [12]). La condition d'excitation persistante peut aussi modéliser des contraintes sur l'action de stabilisation qui dépendent de phénomènes périodiques ou quasi-périodiques. Elle peut aussi être utilisée pour étudier des situations dans lesquelles le contrôleur n'a pas la possibilité, par moments, d'agir sur le système (par exemple, à cause d'interruptions de la transmission entre le contrôleur et l'actionneur) et il n'est pas possible de savoir a priori à quels instants cela arrivera, mais seulement de garantir que cela n'arrivera pas « trop souvent ».

Nous nous intéressons en particulier au cas oh la matrice A n'est pas stable. Il paraît difficile dans cette situation d'utiliser des méthodes de type Liapounov. Nous avons donc développé une méthode démonstrative par contradiction qui permet d'associer, par une procédure asymptotique, un système à commutations au système excité. En démontrant que ce système limite est stabilisable, nous obtenons la (T, 1a)-stabilisabilité du système excité. La stabilisabilité du système à commutations est prouvée en généralisant un résultat d'observabilité uniforme obtenu par Gauthier et Kupka dans [60].

Nous obtenons ainsi le résultat suivant.

Théorème 3.3 Soit (A, b) commandable et supposons que toutes les valeurs propres de A sont à partie réelle inférieure ou égale à zéro. Alors, pour tout T, 1a avec T = 1a > 0 il existe un (T, 1a)-stabilisateur de (3.3).

Pour tout (A, b) commandable, pour tout K dans Rd, pour tous T, 1a avec T = 1a > 0, et pour tout á ? G(T, 1a), soit ë+(á, K) l'exposant maximal de Liapounov associé à xÿ = (A - ábKT)x, à savoir :

ë+(á, K) = sup lim sup

11x011=1 t?+8

log(kx(t; 0, x0, K, á)I)

 

t

.

Ici x(t; 0, x0, K, á) indique l'évaluation au temps t de la solution de xÿ = (A - ábKT)x avec condition initiale x0 au temps 0.

Le taux de convergence associé à (A, b, T, 1a, K) est défini par

tc(A,b,T,1a,K) = - sup ë+(á, K).

á?G(T,u)

Les changements de variables linéaires n'affectent pas les exposants de Liapounov et donc tc(A, b, T, 1a, K) = tc(PAP -1, Pb, T, 1a, (P-1)TK), (3.5)

pour toute matrice inversible P.

Le taux maximal de convergence associé à xÿ = Ax + ábu, á ? G(T, pi), est défini par

TC(A, T, pi) = sup

K?Rd

tc(A, b, T, pi, K).

Il ne dépend pas de b à cause de (3.5) (on peut toujours transformer le système en forme compagnon par un changement linéaire des variables).

Proposition 3.4 Il existe ñ* ? (0, 1) (ne dépendant que de d) tel que pour tout (A, b) commandable, pour tout T > 0 et tout ñ ? (ñ*,1] nous avons TC(A,T, ñT) = +8.

La proposition précédente peut être démontrée par un argument de type grand gain. Dans le cas d = 2, nous pouvons obtenir le résultat complémentaire suivant.

Proposition 3.5 Soit d = 2. Il existe ñ* ? (0, 1) tel que pour tout (A, b) commandable, pour tous T > 0 et ñ ? (0, ñ*), nous avons TC(A,T, ñT) < +8.

Nous ne sommes pas en mesure d'établir si la proposition 3.5 peut être généralisée au cas d > 2. La technique à la base de notre preuve n'est pas facilement généralisable, reliant sur la construction explicite de certaines courbes dans le plan. Nous croyons, néanmoins, qu'il soit raisonnable de conjecturer l'extensibilité du résultat au-delà de la dimension deux.

Une conséquence de la proposition 3.5 est l'existence d'une matrice A telle que, si pi/T < ñ*, le système (3.3) n'admet pas de (T, pi)-stabilisateur. Nous pouvons prendre, par exemple,

( ë 1 ) 0 )

A = , b =

0 ë 1

avec ë suffisamment grand. L'intérêt de cette propriété vient de sa compatibilité avec les trois faits suivants : primo, toute limite faible-? dans L8([0, +8), [0, 1]) d'une suite (án)n?N avec án ? G(Tn, ñTn) et limn?+8 Tn = 0 est à valeurs dans [ñ,1]; deuxio, la topologie faible-? rend l'application entrée-sortie á 7? x(t; 0, x0, K, á) continue ; tertio, le système à commutations

xÿ =

0 1 )

x + á?bu

0 0

peut être stabilisé, uniformément par rapport à á? ? L8([0, +8), [ñ, 1]), avec un taux de décroissance arbitrairement grand. Une conjecture à priori plus faible (mais probablement équivalente) de celle concernant l'extensibilité de la proposition 3.5 au cas d > 2 est qu'il existe, en toute dimension supérieure à deux, un couple commandable (A, b) et des valeurs 0 < pi = T tels que (3.3) n'admet pas de (T, pi)-stabilisateur.

La constante qui discrimine entre taux de convergence arbitrairement grand et taux de convergence borné peut être étudiée en fonction de A et T. Soit

ñ(A,T) = inf{ñ ? (0,1] | TC(A, T, T ñ) = +8}. (3.6)

Remarquons que ñ(A,T) est égal à ñ(A/T, 1) et ne dépend pas de la trace de A. La définition de ñ et le résultat qui suit sont valables pour d ? N quelconque.

Lemme 3.6 La fonction T 7? ñ(A, T) est localement Lipschitz sur (0, +8). Les deux limites limT?+8 ñ(A,T) et limT?0+ ñ(A,T) existent et sont égales, respectivement, à supT>0 ñ(A,T) et infT>0 ñ(A,T).

Le comportement de la fonction ñ est loin d'être complètement compris et suscite des nombreux problèmes ouverts et conjectures. Par exemple : quelles sont les matrices A pour lesquelles T 7? ñ(A,T) est constante ? Est-ce que la valeur constante de ces fonctions dépend de A? Si oui, comment ? La même question de l'éventuelle dépendance par rapport à A se pose pour les limites limT?0+ ñ(A,T) et limT?+8 ñ(A,T).

3.3 Analyse de stabilité des systèmes linéaires à commutations à temps discret par le biais de fonctions de Liapounov quadratiques [MS.27]

Nous considérons dans cette section la stabilité uniforme de systèmes a commutation linéaires a temps discret du type

x(k + 1) = (k)x(k), k ? N, (3.7)

où la suite x est a valeurs dans Rd. Les matrices , de taille d × d, dépendent d'un paramètre î ? ? RM qui varie en fonction du temps (discret).

L'intérêt principal de ce type de systèmes est son aptitude a modéliser des situation où la dynamique est sujette a perturbations dépendantes du temps trop difficiles a décrire précisément, mais que l'on peut borner (cf. [73, 96]).

La stabilité d'un système du type (3.7) peut être caractérisée grâce au rayon spectral conjoint ([32, 93]). Celui-ci n'étant pas calculable exactement en un nombre fini de pas, il en résulte que l'analyse de stabilité de (3.7) reste un problème ouvert, même dans le cas d = 2. (La situation est différente dans le cas des systèmes a temps continu : voir [34] et [14] pour une classification des systèmes globalement uniformément stables et aussi [5] pour la réduction au cas d = 2 d'une classe de systèmes de dimension supérieure.)

La recherche de critères viables pour tester la stabilité de ces systèmes a donné lieu récemment a une intense activité scientifique (cf., par exemple, [28, 61] et les références qui y sont citées).

Un des critères les plus populaires est celui de la stabilité dite quadratique, qui correspond a l'existence d'un fonction de Liapounov quadratique V (x) = xTPx commune a toutes les dynamiques (cf. [20]). Nous appellerons dans la suite cette stabilité quadratique statique. L'avantage pratique de ce type de critère est qu'il peut être reformulé de façon équivalente en termes d'inégalités matricielles linéaires (LMI dans l'acronyme anglais utilisé habituellement) qui peuvent être testées par des solveurs classiques ([38]).

Le critère de stabilité quadratique statique peut être étendu au cas où la fonction de Liapounov dépend du paramètre î, prenant la forme V (x, î) = xTP(î)x (cf. [56]). On parle alors de stabilité quadratique dépendant des paramètres. Dans le cas où les matrices appartiennent a un polytope, î 7? Aî est une paramètrisation affine et l'application î 7? P(î) est contrainte a être affine, l'existence d'une telle fonction de Liapounov peut a nouveau se tester grâce a des LMI ([50]).

La contribution présentée ici a pour but de garantir que la structure imposée a î 7? P(î) dans [50] n'est pas contraignante par rapport a celle plus général de la stabilité quadratique dépendant des paramètres, dans le sens que si A( ) est un polytope convexe et une fonction de Liapounov dépendante de î existe, alors il en existe une qui est affine (et sa recherche peut donc être effectuée par le biais d'une LMI). Nous montrons aussi que, même en rajoutant une dépendance explicite de P par rapport au temps k, la classe de systèmes dont la stabilité peut être testée grâce a P ne croît pas.

Definition 3.7 Nous disons que (3.7) est uniformément asymptotiquement stable si, pour tout x0 ? Rd, la solution de (3.7) avec condition initiale x(0) = x0 converge à zéro uniformément par rapport à (k)}k?N ? et si, pour tout R > 0, il existe r > 0 tel que, pour tous Ix(0)I < r, (k)}k?N ? et k ? N, nous avons Ix(k)I < R.

Une condition suffisante pour la stabilité uniforme asymptotique de (3.7) est la suivante.

Definition 3.8 Nous disons que (3.7) satisfait la propriété de stabilité quadratique dépendant des paramètres (SQDP) s'il existe á012 > 0 et

V (x, î) = xTP(î)x (3.8)

tels que

á1IxI2 = V (x, î) = á2kxk2

et, pour tous x(0) ? Rd, (k)}k?N ? et k ? N, nous avons

V (x(k + 1), î(k + 1)) - V (x(k), î(k)) = -á0Ix(k)I2.

La souplesse de la propriété SQDP est donnée par le fait qu'elle autorise P à dépendre du temps, par le biais du paramètre de commutation î. Nous pouvons obtenir une autre condition suffisante, a priori plus générale, pour la stabilité uniforme asymptotique de (3.7) en ajoutant dans P la dépendance explicite par rapport au temps.

Définition 3.9 Nous disons que (3.7) satisfait la propriété de stabilité quadratique dépendant des paramètres et du temps (SQDPT) s'il existe á012 > 0 et

V (k, x,î) = xTP(k, î)x

tels que

á1IxI2 = V (k,x, î) = á2kxk2

et, pour tous x(0) ? Rd, (k)}k?N ? et k ? N, nous avons

V (k + 1, x(k + 1), î(k + 1)) - V (k, x(k), î(k))=-á0 Ix(k) 12.

Soit le simplexe conv{e1,... , eM} de RM, où {e1,... , eM} dénote la base canonique. Nous supposons dans la suite que A est de la forme

A(î) = XM îiAi.

i=1

Nous disons que V , définie par (3.8), est polyquadratique si P(î) est linéaire par rapport à î.

Remarque 3.10 Le système (3.7) est uniformément asymptotiquement stable si et seulement si cela est vrai pour le système où est remplacé par {e1,... , eM}. En effet, en utilisant la convexité de la norme des matrices, il est possible de vérifier que le rayon spectral conjoint des deux systèmes est le même.

L'équivalence entre les différentes notions de stabilité quadratique est énoncée dans le théorème suivant.

Théorème 3.11 Soient = conv{e1,...,eM} et A(î) = PM i=1 îiAi pour î ? . Alors (3.7) satisfait la propriété de SQDPT si et seulement s'il satisfait la propriété de SQDP avec V polyquadratique.

Nous pouvons aussi montrer que la stabilité asymptotique uniforme n'est pas équivalente à la stabilité quadratique, dans le sens suivant.

Proposition 3.12 Il existe des systèmes du type (3.7) qui sont uniformément asymptotiquement stables mais qui ne satisfont pas la propriété de SQDP.

L'équivalent de la proposition 3.12 dans le cas à temps continu avait déjà été remarqué (cf. [53, 78]). Le passage au cas du temps discret peut se faire en discretisant un système à commutions à temps continu vérifiant GUAS et n'admettant pas de fonction de Lyapounov quadratique commune et en faisant tendre le pas de discretisation temporelle vers zéro.

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"La première panacée d'une nation mal gouvernée est l'inflation monétaire, la seconde, c'est la guerre. Tous deux apportent une prospérité temporaire, tous deux apportent une ruine permanente. Mais tous deux sont le refuge des opportunistes politiques et économiques"   Hemingway