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Séroprévalence de la trichinellose dans la région de Tlemcen (Algérie )

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par Ibtissem Sebbagh
Université d'Alger - Diplome d'études médicales spécialisées en parasitologie-mycologie médicales 2011
  

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1- 2. Répartition géographique des espèces et génotypes de Trichinella: (De Bruyne A., 2006)

Des méta-analyses ont permis depuis les années 1970 de définir des souches biologiquement et géographiquement distinctes de l'espèce originale Trichinella spiralis : T1 découverte par Railliet en 1896.

Les critères qui ont suscité le reclassement des espèces de Trichinella se basaient sur des caractères biologiques: différences dans le pouvoir infectieux vis-à-vis des hôtes éventuels, spécificité de leur répartition géographique ainsi que la présence ou l'absence de capsules entourant les larves dans les tissus infestés.

Ainsi, deux nouvelles sous-espèces et une nouvelle espèce avaient alors été identifiées: T. nativa : T2 (zone arctique), T. nelsoni : T7 (zone tropicale) et T. pseudospiralis : T4 (non encapsulée) en 1972. Mais les faibles différences

morphologiques et la répartition cosmopolite des parasites rendaient les critères d'identification usuels insuffisants (Figure n°4).

Figure n°4: Répartition géographique des espèces du genre Trichinella.
(De Bruyne A., 2006)

Des méthodes enzymatiques se basant sur les activités fumarate réductase, succinate déshydrogénase et malate déshydrogénase ont permis de mettre en évidence les différences entre les espèces et les sous-espèces.

Ces travaux ont conduit à une nouvelle classification en huit génotypes distincts : les quatre espèces initiales (soit T1, T2, T7 et T4), une nouvelle espèce : T. britovi T3, et trois autres populations T5, T6, T8 (La Rosa G. et al., 1992 ; Pozio E., 1992).

En 1999, les méthodes de biologie moléculaire ont permis de caractériser une autre population parasitaire : T9 (Nagano I. et al., 1999).

Deux nouvelles espèces non encapsulées, T. papuae : T.10 et T. zimbabwensis : T.11 ont été décrites respectivement en 1999 et 2002 (Pozio E. et al., 2002) et T5 renommée en 2000 T. murelli (Pozio E., La Rosa G., 2000) (Figure n°4).

En Argentine, une nouvelle population semble avoir été découverte ; il s'agit de T12. Parmi ces espèces, six ont été isolées chez l'homme.

Le tableau ci-dessous (Tableau n°I) résume l'état actuel de la classification : le genre Trichinella est classé en huit espèces et quatre génotypes additionnels (T6, T8, T9 et T12).

Tableau n°1: Re'partition des especes et genotypes de Trichinella. (d'apres Ripert C., 2007)

Une nouvelle classification a vu le jour (Pozio E., Murrell D., 2006). Celle-ci est basée sur l'aptitude de la larve à s'encapsuler ou non, ce qui a aboutit à la dichotomie suivante : les espèces encapsulées (uniquement chez les mammifères) et les espèces non encapsulées (chez les mammifères, les oiseaux et les reptiles).

Les espèces encapsulées sont décrites ainsi : - Trichinella spiralis (Railliet, 1896) : T1

C'est la première trichine découverte et la plus étudiée, du faite de son importance en santé humaine et de son utilisation comme modèle pour les enquêtes au cours des recherches biologiques de base, ceci est en grande partie attribuable à sa fréquence relativement élevée, à la fois, chez les animaux domestiques et sauvages et à sa forte infectiosité pour les animaux de laboratoire.

La diffusion du parasite et de ses hôtes a été particulièrement facilitée par la colonisation européenne du Nord, l'Amérique centrale et celle du Sud, la NouvelleZélande, Hawaï, et l'Egypte à partir du 16 au 20 e siècle. Sa faible résistance aux basses températures de l'environnement peut avoir inhibé sa propagation parmi les animaux vivant dans des zones glaciales.

Trichinella spiralis a été identifiée dans des isolats provenant de porcs domestiques, de sangliers (Boadella M., et al ; 2012), de chevaux domestiques, de rats synanthropes et à partir d'isolats provenant de tatous synanthropes (Chaetophractus villosus) (Pozio et Murrell, 2006), ainsi qu'à partir de chiens (Sandoval L. O. F., et al ; 2012).

Dans de nombreuses régions du monde, cette espèce a été transmise à certains animaux de la faune qui sont devenus hôtes du parasite (p. ex les blaireaux [Meles meles], les renards [Pseudolopex gracilis, Urocyon cinereoargentatus, Vulpes vulpes], les loups [Canis lupus], les ours noirs et bruns [Ursus americanus et Ursus arctos], les lions de montagne [Puma concolor], le lynx roux [Lynx rufus], ainsi qu'aux chiens raton laveur [Nyctereutes procyonoides]) du fait de l'exposition à des dépotoirs, ou la recherche de nourriture près des lieux de vie des hommes, à partir des restes de viande de porc et d'abats ou provenant d'animaux abattus qui ont été dispersés dans la nature (Pozio et Murrell, 2006).

Dans certains pays d'Amérique, d'Europe et d'Asie, T. spiralis est aussi un parasite de la faune maintenu dans la nature par un cycle sylvatique (Pozio et Zarlenga, 2005).

Cette espèce est l'agent étiologique de la plupart des trichinelloses humaines et est responsable de nombreux décès dans le monde.

- Trichinella nativa (Britov et Boev, 1972) : T2

Cette espèce est connue pour résister au gel de l'Arctique, elle est très répandue au sein de la faune des régions arctique et subarctique d'Amérique, d'Europe et d'Asie.

La limite sud de sa distribution a été identifiée entre les isothermes -5 ° C à -4 ° C en Janvier (Pozio et Zarlenga, 2005).

Les principales caractéristiques biologiques de T. nativa sont un indice de faible capacité reproductive chez les rongeurs de laboratoire et chez le porc domestique et sauvage ainsi qu'une grande résistance à la congélation dans les muscles de carnivores (Pozio et Murrell, 2006).

Les hôtes communs sont des carnivores terrestres et marins vivant dans les régions arctiques et subarctiques (plusieurs espèces de mustélidés [Martes pennant, Martes martes, Martes zibellina, Meles metes, Gulo gulo, Musteta erminea, Mustela nivalis]; le renard arctique [Alopex lagopus]; le renard rouge [Vulpes vulpes]; le loup [Canis lupus]; le chien viverrin [procyonoides Nyctereutes]; les chats domestique et sylvestre [Felis silvestris, Felis euptilura], le lynx [Lynx lynx], le tigre de Sibérie [Panthera tigris], l'ours noir [Ursus americanus], l'ours brun [Ursus arctos], l'ours blanc [Ursus maritimus], les morses [Odobenus rosmarus] et plusieurs espèces de phoques [Phoca groenlandica, Phoca fasciata, Erignathus barbatus, Pusa hispida]).

Cette espèce a rarement été isolée chez les porcs domestiques ou sauvages.

L'importance des carnivores sylvestres autant que réservoirs de T. nativa dans la nature, est attestée par le fait que ce parasite survit dans la musculature de ces hôtes pendant au moins 20 ans.

Les populations humaines (esquimaux +++) vivant dans ces régions glaciales s'infestent par T. nativa en consommant de la viande crue des morses (Odobenus rosmarus), des ours et d'autres gibiers (Pozio et Murrell, 2006).

Cette trichine a tendance à induire chez l'homme une affection grave et chronique.

- Trichinella britovi (Pozio et Al, 1992) : T3 (Pozio E., Zarlenga D.S., 2005)

Les isolats européens et asiatiques de cette espèce ont été précédemment nommés T. nelsoni par les scientifiques russes: Britov et Boev, 1972; Shaikenov et Boev, 1983.

Parmi les espèces sylvestres, T. britovi possède la plus grande aire de répartition géographique, se répartissant dans la faune des régions tempérées d'Europe et d'Asie, de la péninsule ibérique à l'Extrême-Orient et s'étendant vers le sud à l'Afrique du nord et de l'Ouest. La limite nord de sa distribution est déterminée par les isothermes -6 ° C à -5 ° C en Janvier.

Cette espèce est sympatrique avec T. nativa entre les isothermes -4 ° C et -6 ° C, et il ya plusieurs cas rapportés, d'infections mixtes au sein d'un même hôte en Estonie, Finlande et en Lituanie (Pozio et Murrell, 2006).

Cette espèce est répandue chez les carnivores sylvestres tels que les mustélidés (Meles meles, Martes foina, Martes martes, Lutra lutra), les Viverridae (Nandinia binotata, Viverra civetta), le renard roux (Vulpes vulpes), le chacal (Canis aureus), le loup (Canis lupus) et l'ours brun (Ursus arctos).

En Europe, elle a été identifiée dans des isolats provenant de renards roux (Boadella M., et al ; 2012) (Vulpes vulpes), de sangliers (Sus scrofa) et de porcs domestiques. L'infestation des rats (Rattus norvegicus) vivant dans des fermes ou des dépotoirs a été signalée en Italie et en Estonie, bien que les larves de cette espèce aient un temps de survie très court au sein de cet hôte.

Cette espèce peut être transmise à l'homme par la consommation de viande de sanglier (Sus scrofa), de renard roux (Vulpes vulpes), de chacal (Canis aureus), de cheval et de porc domestique à partir d'étendus systèmes de pâturage ou d'alimentation avec des restes de carnivores sylvestres (Pozio et Murrell, 2006).

Cette trichine a une faible capacité de reproduction et de résistance à la congélation et s'avère modérément infestante pour l'homme.

- Trichinella murelli (Pozio et La Rosa, 2000) : T5

Cette espèce est répartie au sein des carnivores sylvestres (par exemple le lynx roux [Lynx rufus], l'ours noir [Ursus americanus], le coyote [Canis latrans], le raton laveur [Procyon lotor], la martre des pins [Martes americana] et le renard roux [Vulpes vulpes]) et des animaux domestiques (par exemple le chien domestique, le cheval et le chat) à travers les États-Unis d'Amérique (USA) (Californie, Connecticut, Géorgie, Illinois, Indiana, Maryland, Nouveau-Mexique, Pennsylvanie, Virginie, Wisconsin et au Texas) et dans la région de Vancouver au Canada (Pozio et Murrell, 2006).

L'isotherme -6 ° C en Janvier peut être un facteur déterminant de la limite nord de sa distribution. La limite méridionale est inconnue en raison de l'absence de données d'enquêtes suffisantes en provenance du Mexique et d'Amérique centrale.

Une infestation mixte par les larves de 7'. murrelli et 7'. spiralis a été mise en évidence chez un ours noir (Ursus americanus) en Californie.

Cette espèce n'a, à priori jamais été isolée lors d'une infestation naturelle chez le porc.

7'. murrelli peut être transmise à l'homme suite à la consommation de viande d'ours noir (Ursus americanus) et de cheval.

Une grande partie des caractéristiques cliniques sur cette espèce a été étudiée lors d'une épidémie en 1985 en France, suite à la consommation de viande chevaline importée du Connecticut (Ancelle, 1998).

- Trichinella nelsoni (Britov et Boev, 1972) : T7

Cette espèce se répartit en Afrique de l'Est, du Kenya à l'Afrique du Sud, mais ceci est basé que sur quelques enquêtes, de ce fait, son aire de répartition peut être beaucoup plus large.

La gamme d'hôtes comprend la hyène rayée et tachetée (Hyène hyène et Crocuta crocuta), le chacal à flancs rayés (Canis adustus), le chacal à dos noir (Canis mesomelas), la chauve-souris à oreilles de renard (Otocyon megalotis), le chien domestique, le lion (Panthera led), le léopard (Panthera pardus), le guépard (Acinonyx jubatus), et le serval (Leptailurus serval), et dans quelques rares cas les potamochères (Potamochoerus larvatus) et les phacochères (Phacochoerus aethiopicus), dont certains ont été la source d'infections pour l'homme (Nelson, 1970).

Cette espèce montre une infectiosité faible pour les rongeurs de laboratoire et les porcs (Nelson et al, 1966;. Kapel et Gamble, 2000) par rapport à T. spiralis.

T. nelsoni est plus résistante que les autres aux fortes températures de cuisson.

Moins de 100 cas d'infection humaine ont été documentés pour cette espèce au Kenya et en Tanzanie.

- Trichinella 6 (Pozio et al. 1992) : T6 (La Rosa G. et al., 2003).

Ce génotype est très répandue chez les carnivores (l'ours noir et brun [Ursus americanus et Ursus arctos]; le loup [Canis lupus]; le renard gris [Urocyon cinereoargenteus]; le coyote [Canis latrans]; le carcajou [Gulo gulo]; le pêcheur [Martes pennanti]; le lion de montagne [Puma concolor]; le lynx roux [Lynx rufus]) de l'Arctique et des régions subarctiques du Canada et le long des montagnes Rocheuses et les Appalaches aux Etats-Unis (Alaska, l'Idaho, Montana, Ohio, la Pennsylvanie, du Wyoming et de l'Ontario) (Pozio et Murrell, 2006).

Ce génotype se distingue de T. nativa par des caractères biochimiques et moléculaires différents, malgré leur capacité à se croiser, tant au laboratoire que dans la nature (des hybrides ont été retrouvés chez les loups [Canis lupus] de l'Alaska, ce qui suggère une séparation récente) (La Rosa et al. 2003).

Trichinella T6 et T. nativa sont très similaires concernant leurs caractéristiques biologiques: la résistance au gel élevé des larves dans les muscles de carnivores; ainsi que l'infectiosité faible chez les souris de laboratoire, les rats et les porcs domestiques et sauvages (Kapel et Gamble, 2000).

- Trichinella 8 (Pozio et al. 1992) : T8

Trichinella T8 n'a été identifié qu'à partir d'un lion (Panthera leo) du Parc national de l'Ethosa en Namibie et d'un autre lion (Panthera leo) et d'une hyène tachetée (Crocuta crocuta) du Parc national Kruger de l'Afrique du Sud, où il vit en sympatrie avec T. nelsoni.

Ce génotype peut être facilement distingué par certains caractères biochimiques et moléculaires de T. britovi (Pozio et al. 1992).

Aucun cas humain dû à ce génotype n'a été rapporté.

- Trichinella 9 (Nagano et al. 1999) : T9

A l'origine identifiée comme étant T. britovi (Pourtant l'étude génique montre une ressemblance plus importante avec T. murrelli) de la faune japonaise (chien viverrin [Nyctereutes procyonoides]; ours noir japonais [Ursus thibetanus]) il a été maintenant démontré par des méthodes moléculaires que ce génotype diffère des souches européennes, et est désigné par Trichinella T9.

Les larves musculaires de ce génotype ont été également détectées chez les renards roux (Vulpes vulpes) de lile d'Hokkaido, où ils vivent en sympatrie avec T. nativa.

Aucun cas humain dû à ce génotype n'a été rapporté (Pozio et Murrell, 2006).

- Trichinella 12 : T12

Uniquement détectée chez des couguars en Argentine.

C'est le dernier génotype identifié à ce jour (Dupouy-Camet J. et al., 2010).

Les différentes espèces non encapsulées sont décrites ainsi :

- Trichinella pseudospiralis (Garkavi, 1972) : T4

T. pseudospiralis est une espèce cosmopolite infestant les mammifères et les oiseaux. Trois populations, qui peuvent être distinguées sur une base moléculaire, ont été isolées en Paléarctique, Néarctiques et en Australie (Tasmanie) (La Rosa et al, 2001).

Cette espèce est caractérisée par l'absence de capsule dans les kystes intramusculaires. De plus les larves sont plus petites que celles de T. spiralis. Elle est aussi pathogène pour l'homme mais son pouvoir pathogène est nettement moins marqué que celui de T. spiralis ; la réaction inflammatoire étant beaucoup moins sévère.

Chez la souris il faut au minimum 20 000 larves pour atteindre la dose létale, tandis que le même effet est obtenu par une infestation avec 4 500 larves de T. spiralis.

Ce parasite a été isolé chez 14 espèces de mammifères et 13 espèces aviaires (Pozio, 2005), où le nombre de cas rapportés chez les mammifères est beaucoup plus élevé que ceux chez les oiseaux.

C'est probablement le résultat d'un biais en faveur de l'examen de mammifères à la recherche de ce parasite par rapport au nombre de volailles examinées.

Un seul cas humain, sans doute contracté en Tasmanie, et trois foyers impliquant 92 personnes, dans le Kamchatka, la Thaïlande et la France ont été documentées (Pozio et Murrell, 2006).

- Trichinella papuae (Pozio et al, 1999) : T10

Cette espèce a été isolée chez les truies domestiques, les cochons sauvages (Sus scrotum) et les crocodiles d'élevage d'eau salée (Crocodylus porosus) de PapouasieNouvelle-Guinée nourris avec de la chair des porcs sauvages (Sus scrotum) (Pozio et Murrell, 2006).

Au cours d'infestations expérimentales, cette espèce montre une grande capacité de reproduction (RC) chez les crocodiles et les varans (Varanus exanthematicus, Caiman crocodylus), mais une RC très faible chez les tortues et les pythons (Python molurus, Pelomedusa subrufa).

La découverte d'espèces de Trichinella infestant aussi bien les mammifères que les reptiles peut fournir une explication de cas humains rapportés, en relation avec la consommation de viande de tortue et de lézard brun (Varanus nebulosus) en Thaïlande (Khamboonruang, 1991).

- Trichinella zimbabwensis (Pozio et al. 2002) : T11 (Pozio et al., 2002) Cette espèce est très similaire à T. papuae, en effet, elle partage avec elle d'importantes caractéristiques biologiques telles que l'infectiosité pour les mammifères et les reptiles (Python molurus, Pelomedusa subrufa, Varanus exanthematicus, Caiman crocodylus).

Elle a été isolée seulement chez les reptiles sauvages et d'élevage (Crocodylus niloticus et Varanus niloticus) d'Afrique (Zimbabwe, Mozambique et Ethiopie) bien qu'expérimentalement, elle est capable d'infecter des souris, rats, hamsters, renards (Vulpes vulpes), les porcs et singes (Papio spp, Cercopithecus aethopis.) (Pozio et Murrell, 2006; Pozio et al, 2007.).

Lors de la première découverte en 1995, les larves de T. zimbabwensis ont été isolées à partir de 256 élevages de crocodiles du Nil (Crocodylus niloticus), et à partir de 18 fermes de crocodiles du Zimbabwe.

Des cas humains n'ont pas encore été signalés.

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery