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Diagnostic psychosocial sur la santé des étudiants

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par Julie et Nadège Boussoco et Enert
Université de Provence Aix en Provence - Psychologie sociale de la santé 0000
  

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Résultats des différentes variables

Fiche 1 : Santé perçue

- Représentations sociales de la santé

- Qualité de vie liée à la santé (Échelle MOS SF-12) - Comportements de santé

- Raisons du recours au médecin

- Gravité perçue

Fiche 2 : État de santé

- Problèmes de santé - Maladie chronique

Fiche 3 : Connaissances

- Connaissance des structures de soins sur Aix

- Connaissances sur la sécurité sociale et les mutuelles - Connaissances sur le système de santé

Fiche 4 : Pratiques

- Parcours de soins - Lieux de soins

- Recours aux soins

Fiche 5 :

Attentes

 
 

Fiche 6 :

Besoins

- besoins perçus

- besoins personnels perçus

Fiche 1A : Une représentation sociale axée sur le bien-être, l'hygiène de vie, les maladies et les personnels soignants.

Beaucoup de mots avaient un effectif très faible, et nous semblaient pouvoir être regroupés dans des catégories plus larges. Nous nous sommes donc inspirées des classifications de Herlich (1969), d'Houtaud (1994), et Schulze et Welters (2009) (Annexe 4). , pour classer les mots obtenus dans l'évocation hiérarchisée. (Annexe 5)

Par exemple, la catégories « bien-être » regroupe les mots: Bien être (33)1, Équilibre (10), Bonne (6), Bonheur (4), Est la santé (4), Spiritualité (4)...

Après analyse des évocations hiérarchisées, nous obtenons les résultats suivants :

Fréquence de citation

Rang de classement

Catégories

fréquence

Catégories

Rang

hygiène de vie

158

Valeur de la santé

1,571

Forme physique

123

Bien-être

1,678

maladies

121

Prévention

1,826

bien-être

90

hygiène de vie

1,911

personnels soignants

73

maladies

1,950

Santé publique

62

personnels soignants

1,959

Médicaments

51

Travail

2,000

Vie hédoniste

38

Négatif

2,000

Structures

37

Santé publique

2,016

Vitalité

23

Vie hédoniste

2,026

Soins

23

Forme physique

2,065

Prévention

23

Soins

2,174

Négatif

17

Vitalité

2,174

Valeur de la santé

7

Structures

2,216

Travail

6

Médicaments

2,255

Figure 5 : Tableau d'analyse des évocations hiérarchisées

Les catégories les plus citées par les étudiants et ayant un rang d'importance élevé sont : bienêtre, hygiène de vie, maladies, personnels soignants. C'est ce que l'on appelle le noyau central de la représentation.

Remarque : les catégories « social » et « chance » n'ont pas été reportées dans le tableau cidessus car leur fréquence de citation était très faible.

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les femmes citent plus les catégories :

« personnels soignants » (cité 26 fois pour les hommes versus 47 fois pour les femmes ; t = 2,10 ; p < 0,01)

« prévention » (7 fois pour les hommes versus 16 fois pour les femmes ; t = 1,67 ; p < 0,01). Les étudiants étrangers citent moins la catégorie « Vitalité » (7 fois pour les étudiants étrangers versus 15 fois pour les étudiants non étrangers ; t = 1,84 ; p < 0,01).

1 Le mot a été cité par 33 étudiants.

Fiche 1B : Les étudiants déclarent une meilleure qualité de vie physique que mentale.

Rappel : Le score de qualité de vie est sur 100.

Les étudiants ont globalement une qualité de vie moyenne, tant au niveau physique (52,61) que mental (41,23 ). La dimension « vitalité » obtient le moins bon score (55,10) tandis que la « fonction physique » obtient le meilleur score (82,70).

Items du questionnaire

Domaines

Score

Dimensions

Score

2a) Activités modérées

2b) Monter plusieurs étages

PF : fonction physique

82,70

DIMENSION
PHYSIQUE

52,61

3a) Moins de choses accomplies

3b) Arrêt de certaines activités

RP : limitations liées à l'état physique

75,53

5) Répercussions des douleurs

BP : douleurs physiques

80,50

1) Évaluation état de santé

GH : santé générale

71,29

7b) Énergie

VT : vitalité

55,10

DIMENSION
MENTALE

41,23

6) Fréquence gène vie sociale

SF : Vie sociale et relations avec les autres

66,15

4a) Moins de choses accomplies

4b) Moins de capacité d'attention

RE : limitations liées à l'état psychique

61,85

7a) Calme

7c) Tristesse

MH : santé mentale

61,12

Tableau 1. Scores moyens de qualité de vie des étudiants

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les hommes ont un score de qualité de vie mentale plus élevé que celui des femmes (44,45 pour les hommes versus 38,38 pour les femmes; t = 4,85 ; p < 0,001). Les hommes portent donc un jugement plus positif sur leur vie et leur équilibre psychique.

Les étudiants vivant seuls ont un score de qualité de vie physique est plus élevé que les étudiants ne vivant en communauté2 (chez leurs parents, en colocation, ou en couple). Et ils sont significativement différents (F(3,295) = 3,579, p < 0,014). Les étudiants vivant seuls ont donc un jugement plus positif sur leurs capacités physiques et leur santé.

Pour les étudiants étrangers, le score de qualité de vie physique est plus faible que celui des étudiants n'ayant pas le statut étranger. (48,94 pour les étudiants étrangers versus 53,03 pour les étudiants non étrangers). Les étudiants étrangers ont donc un jugement plus négatif leurs capacités physiques et leur santé.

2 C'est sur la base de tests post-hoc que nous avons établi ces résultats.

l'activité physique, le sommeil et l'alimentation.

Rappel : le codage du rang de classement va de 2 : « le plus important » à 0 : « le moins important »

Les trois comportements de santé considérés comme étant les plus importants pour préserver sa santé sont « Pratiquer une activité physique régulière » (1,56), puis « dormir au moins 7 heures pas jour » (1,39), et « avoir une alimentation équilibrée » (1,35).

Les comportements jugés neutres sont « ne pas fumer » (1,11), « avoir de bonne relations avec vos amis, vos proches » (0,97), et « ne pas avoir de rapport sexuel à risque (0,89).

Enfin, les comportements jugés comme les moins importants sont d' « avoir une pensée positive » (0,80), de « ne pas boire plus de 2 à 3 verres d'alcool par jour » (0,70), et d' « aller voir régulièrement son médecin » (0,25). On remarque d'ailleurs que ce dernier score se détache nettement des autres.

Comportement de santé

Rang moyen

Pratiquer une activité physique régulière

1,56

Dormir au moins 7 heures par jour

1,39

Avoir une alimentation équilibrée

1,35

Ne pas fumer

1,11

Avoir de bonnes relations avec vos amis, vos proches amis

0,97

Ne pas avoir de rapport sexuel à risque

0,89

Avoir une pensée positive

0,8

Ne pas boire plus de 2 à 3 verres d'alcool par jour

0,7

Aller voir régulièrement son médecin

0,25

Tableau 1. : Comportements de santé avec les rang moyen de classement.

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Pour les filles, la proposition « ne pas boire plus de 2 ou 3 verres d'alcool par jour » est plus importante pour préserver sa santé (0,77) que pour des garçons (0,61).

Pour les garçons, la proposition « Pratiquer une activité physique régulière » est plus importante pour préserver sa santé (1,70 ) que pour les filles (1,42)

Pour les étudiants boursiers, la proposition « avoir une alimentation équilibrée » est moins importante pour préserver sa santé (1,26 ) que pour les non boursiers (1,45).

Pour les étudiants étrangers, la proposition « avoir une pensée positive » est plus importante pour préserver sa santé (1,09) que pour les non étrangers (0,76).

~ Variations avec la qualité de vie mentale :

La corrélation est positive avec les items « pratiquer une activité physique régulière » (r = 0,223**) et « ne pas fumer » (r=0,153**). Les personnes ayant une bonne qualité de vie mentale jugent ces comportements importants pour préserver leur santé.

La corrélation est négative avec les items : « avoir de bonnes relations avec ses amis » (r= - 0,176**) ; « avoir une pensée positive » (r = -0,185**). Les personnes ayant une faible qualité de vie mentale jugent importants ces comportements pour préserver leur santé.

Fiche 1D : Le recours au médecin justifié par la gravité et le non contrôle des symptômes.

Rappel : L'échelle de décision allait de 1 : « pas du tout d'accord » à 7 : « tout à fait d'accord ».

Nous avons réalisé une analyse ACP3 afin de regrouper les questions en facteurs plus généraux afin d'augmenter la significativité statistique. Nous obtenons 4 facteurs différents : « Gravité et non contrôle », « accès aux soins », « interaction sociale » et « méconnaissance ». Les étudiants justifient principalement leur dernier recours au médecin par la gravité et le non contrôle du problème de santé (moyenne de 4,21).

Avant analyse factorielle

Après analyse factorielle

Questions

Moyenne

Facteurs

Moyenne

q7.g) La non maîtrise du problème de santé

4,13

Gravité et non
contrôle

4,21

q7.f) La durée du problème de santé

4,14

q7.d) Les conséquences de ce problème de santé sur ma vie courante

3,99

q7.c) Les symptômes physiques que je ressentais

4,39

q7.m) L'impossibilité de me guérir tout(e) seul(e)

4,61

q7.i) La proximité des services de soins

3,51

Accès aux soins

3,41

q7.j) Ma disponibilité

3,62

q7.h) Le prix de la prise en charge

3,11

q7.n) Mon apparence physique

2,77

Interaction
sociale

2,88

q7.o) Les conseils de mon entourage

3,46

q7.l) Le besoin d'être écouté(e)

2,45

q7.b) L'absence de localisation de l'origine de la maladie

2,66

Méconnaissance

3,10

q7.a) La méconnaissance de ce problème de santé

3,56

q7.e) Les symptômes psychiques que je ressentais

3,23

 

q7.k) L'envie de savoir/ d'avoir un diagnostic

4,22

Figure 1 : Tableau sur le score moyen d'accord avec les raisons de consultation d'un médecin avant et après analyse factorielle

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

La dernière fois que les étudiants dont les parents sont « non scolarisés » (notamment le père) sont allés voir le médecin, c'était plus à cause du facteur « interaction sociale » que pour les étudiants dont les parents ont été scolarisés4.

La dernière fois que les étudiants ayant le statut étranger sont allés voir le médecin, c'était moins à cause du facteur « gravité et non contrôle » (3,49 ; ET= 1,71) que pour les étudiants non étrangers (4,30 ; ET=1,56 ; t=2,590 : p<0,010).

3 ACP : Analyse en Composante Principale

4 C'est sur la base de tests post-hoc que nous avons établi ces résultats.

~ Variations avec la qualité de vie:

La qualité de vie physique est corrélée significativement et négativement avec la dimension interaction sociale (r=-0,129*). Donc, au plus les étudiants ont une qualité de vie physique faible, au plus le facteur « interaction sociale » est important pour justifier le recours au médecin.

La qualité de vie mentale est faiblement et négativement corrélée avec la dimension interaction sociale (r=-0,128*), gravité et non contrôle (r=-0,150*) et accès aux soins (r= - 0,147*). Donc, au plus les étudiants ont une qualité de vie mentale faible, au plus les facteur « interaction sociale », « gravité et non contrôle » et « accès aux soins » sont importants pour justifier le recours au médecin.

Fiche 1E : Des problèmes de santé avec une gravité perçue moyenne.

Rappel : L'échelle de décision allait de 1 : « pas grave» à 5 : « très grave ».

On obtient 324 problèmes cités, avec un score de gravité moyen de 2,40. Moins d'un problème sur cinq est jugé « Grave » (18,1%). Ensuite, 23,6% des problèmes sont jugés « Moyennement grave » et 55,6 % sont considérés comme « Pas grave ».

18,1%

23,6%

13,5%

4,6%

24,8%

32,8%

55,6%

Assez grave Très grave

Pas grave Peu grave

Moyennement grave

« Pas

« Grave »

Figure 14. Niveau de gravité perçue des problèmes de santé ou maladies. (Score de 0 à 5) ~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Pour les filles, la gravité perçue moyenne (2,50) est plus élevé que celle des garçons (2,20) ( t=2,337 ; p<0,020). Les filles jugent donc leurs problèmes plus graves que les garçons.

Fiche 2A :

Un étudiant sur deux déclare avoir eu un problème de santé

au cours des 12 derniers mois.

Un étudiant sur deux (54,4%) déclare avoir eu un problème de santé ou maladie au cours des 12 derniers mois.

44,70%

Avez vous eu des problèmes de santé au cours
des 12 derniers mois?

54,40%

oui

non

Ils sont 98,2% à citer au moins un problème de santé, 61,3% à en citer au moins deux et seulement 34,5% à en citer trois.

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les filles déclarent plus avoir eu des problèmes de santé au cours des 12 derniers mois (66,2 %), que les garçons (42,5 %) (Chi-2 = 17,442 ; ddl 1, p <0,000).

Les étudiants étrangers, quant à eux, déclarent significativement moins avoir eu des problèmes de santé au cours des 12 derniers mois (37,8%) que les non étrangers (57,3%) (Chi-2 = 4,998 ; ddl 1, p <0,020).

Les problèmes de santé cités sont de nature diverses :

PROBLEMES DE SANTE

Effectif

Pourcentage

RHUME

69

21,2 %

MALADIE VIRALE (Mononucléose, grippe)

44

13,5 %

ANGINE

36

11,0 %

PROBLEME RESPIRATOIRE (Sinusite, respiration de fumée, rhinopharyngite, toux, asthme, bronchite, rhino-trachéite, poumons)

31

9,5 %

MIGRAINE

25

7,7 %

DIGESTIF (Gastroentérite, gastrite, intoxication alimentaire, mal au ventre, douleur estomac, adénite mésentérique, appendicite, gueule de bois)

22

6,7 %

MUSCULAIRE (Tendinite, courbature, lésion ligamentaire, dos, rupture ligaments croisés, tension nerf-muscles, mollets, entorse cervicale, entorse, contracture musculaire, déchirure)

22

6,7 %

ALLERGIES

11

3,4 %

PSYCHIQUES (Stress, anxiété, crise d'angoisse, dépression, insomnie, boulimie, baisse de motivation)

10

3,1 %

OS (Fracture, fracture cheville, vertèbres, épanchement du genou, croissance osseuse, déboîtement d'épaule)

9

2,8 %

PEAU (Zona, mycose, acromie claviculaire, galle, brûlure, dermite séborrhéique du cuir chevelu)

8

2,5 %

Figure 15 : Nature des problèmes de santé les plus fréquents et nombre d'étudiants les ayant cités.

Fiche 2B : Un étudiant sur cinq déclare avoir une maladie chronique

Un étudiant sur cinq (20,1%) déclarent avoir une maladie chronique. Tous les étudiants ont répondu à cette question.

79,90%

Avez-vous une maladie chronique?

20,10%

oui

non

Figure 1. graphique sur la déclaration d'une maladie chronique.

Par soucis de lisibilité, nous avons essayé de regrouper en catégories plus générales les problèmes qui avaient un effectif faible.

Pour 23,8%, il s'agit pour de problèmes respiratoires. Ensuite, viennent d'autres problèmes ayant un plus faible pourcentage : 9,5% pour les problèmes d'ordre psychiques, 7,9% pour les problème d'allergies et 7,9% pour ceux touchant la circulation sanguine. Enfin, d'autres problèmes sont cités mais avec un très faible pourcentage (< 5%).

MALADIE CHRONIQUE

 
 

Effectif

Pourcentage

PROBLÈMES RESPIRATOIRES allergique, polipose naso-sinusienne)

(asthme, rhinopharyngite,

rhume,

rhinite

15

23, 8%

PSYCHIQUES

 
 
 

6

9,5%

ALLERGIES

 
 
 

5

7,9%

CIRCULATION SANGUINE

 
 
 

5

7,9%

Figure 2. Tableau des maladies chroniques les plus citées

') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Aucune de caractéristiques socio-démographiques testées n'influence significativement le fait de déclarer avoir une maladie chronique.

Fiche 3A : Une bonne connaissance du CROUS, des centres de sécurité sociale et hôpitaux.

A la question, connaissez vous cette structure, 71,8% des étudiants ont répondu « oui » pour le CROUS. Par ordre décroissant, viennent ensuite : la LMDE (66,30%), Le Centre hospitalier spécialisé Montperrin (54,4%), la MEP (54,4%), le Centre hospitalier du Pays d'Aix (51,10%%), Médecins du Monde (49,8%), le planning familial (42,4%), l'infirmerie de l'Université (38,80%), la Médecine préventive universitaire (35%), la polyclinique Rambot (31,7%) et à 18,4%, la structure Stop violences femmes.

Structures

Connaissance

CROUS

71,80%

LMDE

66,30%

Centre hospitalier spécialisé Montperrin

54,40%

MEP

54,40%

Centre hospitalier du pays d'Aix

51,10%

Médecins du monde

49,80%

Planning familial

42,40%

Infirmerie de l'université

38,80%

Médecine préventive universitaire

35,00%

Polyclinique Rambot

31,70%

Stop violences femmes

18,40%

CIDAG-CIDDIST

15,90%

Centre de santé mutualiste

15,90%

Centre de planification

13,30%

MADE

12,60%

BAPU

12,30%

CMPP universitaire

12,00%

PAEJ

8,10%

CCAA

6,50%

Centre médical d'urgence rue Montmajour

5,20%

Direction de la santé publique

4,90%

Tremplin

3,90%

Association l'Elf

2,90%

Aslya

1,60%

Figure 1. Tableau sur la connaissance des structures de soins.

') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les personnes déclarant ne jamais se soigner sur Aix ont un score de connaissance des
structures sur Aix significativement inférieur à ceux se soignant sur Aix. (F=5,136 ; p<0,001)

Il n'y a pas d'influence significative des caractéristiques sociodémographiques.

Fiche 3B :

Une bonne connaissance sur la sécurité sociale et les

complémentaires santé (mutuelles)

Plus de neuf étudiants sur dix (92,60%) savent quel est leur centre de sécurité sociale. Parmi les étudiants interrogés, 55,0% sont affiliés à la LMDE, 31,7% sont affilié à la MEP, 3,6% ne savent pas et 5,8% sont affilié à un autre centre tel que la CMU ou Sécurité sociale des travailleurs.

je sais quel est mon centre de sécurité sociale

je ne sais pas quel est mon centre de sécurité sociale

6,80%

93,20%

Figure 1 : Connaissance du centre de sécurité sociale

11%

LMDE MEP Je ne sais pas Autre

18%

33%

57,20%

Figure 2 : Nature du centre de sécurité sociale

Plus de six étudiants sur dix (62,8%) ont une complémentaire santé. 21,4% ne savent pas s'il en ont une ou pas et 14,6% n'en n'ont pas. Parmi ceux qui en ont une, 44,8% ne connaissent pas son nom.

21,60% 14,80%

63,60%

je n'ai pas de complémentaire santé

j'ai une complémentaire santé

je ne sais pas

47,00%

je connais le nom de ma complémentaire santé

je ne connais pas le nom de ma complémentaire santé

53,00%

Figure 3 : Possession d'une complémentaire santé et connaissance de son nom.

Pour ce qui est du côut de la mutuelle, 33% des étudiants savent combien leur coûte leur complémentaire santé (par mois, ou par an) et 67% d'entre eux ne savent pas combien ça leur coûte. La mutuelle coûte en moyenne 26,32 euros/mois ou 185,23 euros/an.

77,50%

je sais combien ça me coûte par mois/an je ne sais pas combien ça me coûte

22,50%

Figure 4 : Connaissance du prix de leur mutuelle

') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les étudiants étrangers connaissent tous leur centre de sécurité sociale, et sont plus nombreux à ne pas avoir de mutuelle que les autres étudiants. (33,3% versus 12,4% ; Chi-2=11,785 ; dl 2 ;p>0,003).

Les filles ont plus souvent une mutuelle que les garçons (71,3% versus 55,9% ; Chi-2=9,042 ;dl 2 ; p<0,011).

Fiche 3C : Une bonne connaissance sur le système de santé

Afin de calculer un score moyen de bonne réponse, nous avons attribué 0 pour une mauvaise réponse et 1 pour une bonne réponse. Ce score est de 7/10 avec un écart type de 1,63.

Items

Réponse
attendue

% de
bonnes
réponses

Q7. On a le choix entre la LMDE et la MEP comme centre de sécurité sociale étudiante.

Vrai

81,9%

Q9. Selon la complémentaire santé (ou mutuelle) qu'on choisi, on sera remboursé différemment.

Vrai

79,6%

Q1. Quand on va chez le médecin généraliste, ça ne coûte rien.

Faux

75,1%

Q10. Les complémentaires santé (ou mutuelles) ont un prix fixe.

Faux

74,8%

Q5. En tant qu'étudiant(e), on a le droit de garder la complémentaire santé (ou mutuelle) de ses parents.

Vrai

74,4%

Q4. En tant qu'étudiant(e), on est obligé(e) d'avoir une complémentaire santé (une mutuelle)

Faux

74,1%

Q3. En tant qu'étudiant(e), on est obligé(e) d'être affilié à la sécurité sociale étudiante.

Vrai

74,1%

Q2. En tant qu'étudiant(e), on peut consulter un psychologue gratuitement.

Vrai

58,9%

Q6. L'inscription à la sécurité sociale étudiante, c'est payant pour tous les étudiants.

Faux

57,9%

Q8. Le régime obligatoire de Sécurité Sociale assure le remboursement des frais de santé à hauteur de 70% maximum.

Vrai

56,0%

Figure 1. Tableau sur les connaissances des étudiants sur le système de santé. ') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les étudiants étrangers ont un score de bonnes réponses tendanciellement inférieur aux autres étudiants (6,48 versus 7,07 ; ET=1,61 ; t=1,919 ; p<0,056).

Les autres caractéristiques socio-démographiques n'ont pas d'influence significative.

Fiche 4A :

Des étudiants qui attendent que ça passe et cherchent des

informations dans leur environnement social.

Le parcours de soin semble le même selon le problème cité problème 1, 2 ou 3.

Sur les 326 maladies ou problèmes de santé cités dans la question précédente, nous en avons 315 pour lesquelles le parcours de soin a été donné (= actions successives réalisées face à un problème de santé ou maladie).

Fréquence de citation :

Certains items ont été plus choisis que d'autres par les étudiants, certaines actions semblent donc plus courantes que d'autres. En effet, il est courant, (47,9%), face à un problème de santé, d'attendre que ça passe. Il est aussi fréquent (40,3%), de chercher des informations dans l'environnement social (famille, camarades, Internet) et d'aller voir un médecin (36,2%) ou d'aller voir un spécialiste (33,3%).

Rang moyen de classement :

Rappel : 1 = première action réalisée, 2= seconde action réalisée etc... le tout allant de 1 jusqu'à 10 actions possibles.

La première action faite par les étudiants face à un problème de santé est donc d'attendre que ça passe (1,24), puis chercher des informations dans l'environnement social (1,83) et la dernière est d'aller à l'infirmerie de l'université (3,25).

Items

Effectif

Fréquence de
citation

Rang moyen

1.Vous avez attendu que ça passe

151

 

47,9%

1,24

2.Vous avez demandé conseil à votre famille

67

 
 
 

3.Vous avez demandé conseil à vos camarades

34

127

40,3%

1,83

4.Vous êtes allé(e) chercher des informations sur internet.

26

 
 
 

5.Vous êtes allé(e) chez le médecin

114

 

36,2%

2,20

6.Vous êtes allé(e) voir un spécialiste

105

 

33,3%

2,04

7.Vous êtes allé(e) directement à la pharmacie

63

 

20,0%

2,33

8.Vous êtes allé(e) aux urgences

28

 

8,9%

2,11

9.Vous êtes allé(e) à l'infirmerie de l'université

8

 

2,5%

3,25

Figure 1. Tableau sur le parcours de soin : fréquence de coche (effectif et pourcentage) pour chaque item et rang moyen.

') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les filles vont donc, plus tôt dans le parcours de soin, que les garçons, demander conseil à leur famille (1,64 versus 2,26 ), directement à la pharmacie (1,98 versus 3,22), à l'infirmerie de l'université (1,00 versus 4,60), ou encore, consulter un médecin (1,95 versus 2,56).

Les étudiants étrangers demandent, plus tard que les autres étudiants, dans le parcours de soin, des conseils à leur famille (4,00 versus 1,80).

Les étudiants boursiers vont, plus tôt dans le parcours de soin, que les non boursiers, chercher des informations sur Internet (1,38 versus 2,30).

Les étudiants dont le père a un niveau inférieur au Baccalauréat vont plus tôt que les autres dans le parcours de soins, aux urgences. (F=2,417 p<0,027)5.

5 C'est sur la base de tests post-hoc que nous avons établi ces résultats.

Fiche 4B :

Des étudiants se soignant dans les bouches du Rhône, car

c'est proche de leur domicile personnel ou parental.

· Département du lieu de soin :

Les étudiants se soignent, en général, pour la plupart d'entre eux, dans les Bouches du Rhône (62,5%) et plus particulièrement à Aix en Provence (21,4%) ou Marseille (15,5%)

· Raison du choix géographique des soins :

Les étudiants choisissent leur lieu de soin parce que c'est proche de leur domicile personnel (43,2%), soit parce que c'est proche de leur domicile parental (40,5%). Les autres raisons (6,6%) sont par exemple : La qualité du médecin (bon médecin, médecin homéopathe) et le fait que ce soit une connaissance de la famille (amis de mon père, père de ma meilleure amie).

45%

40%

50%

35%

30%

25%

20%

15%

10%

5%

0%

43,0%

40,5%

7,4% 6,5%

2,6%

C'est proche de
mon domicile
personnel

 

C'est proche de chez mes parents

C'est proche de mon lieu d'étude

Autre (médecin
traitant, bon
docteur, une
connaissance de
la famille)

Non réponse

Figure 1 : Raisons du choix géographique des soins

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les étudiants étrangers choisissent plus le lieu de soin proche de leur lieu d'étude que les non étrangers (25,7% versus 5,3%)

Fiche 4C : Un recours aux structures de soins mitigé.

Fréquence de recours aux soins sur Aix :

Un peu plus de deux étudiants sur cinq n'ont jamais recours aux soins sur Aix (43%). Et même si 55,6% déclarent y avoir recours (total des réponses « oui »), c'est pour la plupart exceptionnel (32%).

45%

40%

50%

35%

30%

25%

20%

15%

10%

5%

0%

Non, jamais Oui,

exceptionnellement

43,0%

32,0%

Oui, de temps en
temps

15,9%

Oui, souvent Oui, tout le temps Non réponses

6,1%

1,6% 1,3%

Figure 1 : Fréquence du recours aux soins sur Aix en Provence.

Structures fréquentées et raisons :

Les structures de soin auxquelles les étudiants ont le plus recours sont : le CROUS (28,2%), la LMDE (25,2%), le centre hospitalier du Pays d'Aix (23,0%), la MEP (17,5%), la Médecine préventive universitaire (12,9%) et la polyclinique Rambot à 11,7%. (voir figure 2 ci après) Les raisons du recours sont diverses.

') Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Les caractéristiques socio-démographiques n'ont pas d'influence significative sur cette variable.

 

Structures

J'y suis déjà
allé(e)

Raison(s) pour laquelle j'y suis allé(e), lorsqu'elles sont évoquées (effectif)

1

CROUS

28,20%

Bourses (17), logement (8), renseignements (2), pour déjeuner(2)

2

LMDE

25,20%

Secu (6), mutuelle (12) ,remboursements (5), réclamation (1), information (1)

7

Centre hospitalier du pays d'Aix

23,00%

Maladie (25) urgences ( 5) dépistage (4) visite ( 7) radio (6)

4

MEP

17,50%

Mutuelle (18), remboursement (4)

5

Médecine préventive universitaire

12,90%

Visite obligatoire (17), certificat médical (1)

6

Polyclinique Rambot

11,70%

Maladie (10), visite (5), opération (3), radio (5)

7

Planning familial

7,80%

Informations (2), Dépistage (4), gynéco (8)

8

Infirmerie de l'université

6,50%

« petits bobos »(10), rdv psy(1)

9

Centre hospitalier spécialisé Montperrin

6,10%

Concours (2), visite (7), rdv psy (5)

10

CIDAG-CIDDIST

4,20%

Dépistage (4)

11

CMPP universitaire

3,60%

Problème de santé (2), entretien (1), décès (1), visite universitaire (1)

12

MADE

3,20%

Papiers (5)

13

Centre de santé mutualiste

2,30%

Médecin (2), dentiste (1), gynéco (1)

14

BAPU

1,60%

Aide psy (1) et finance (1)

15

Centre médical d'urgence rue Montmajour

1,60%

Médecin (3)

16

Médecins du monde

1,30%

Stage (1)

17

Centre de planification

1,00%

 

18

Direction de la santé publique

1,00%

Sport (1)

19

Stop violences femmes

1,00%

Stage (1)

20

CCAA

0,60%

Stage (1)

21

Aslya

0,30%

 

22

PAEJ

0,30%

 

23

Association l'Elf

0%

 

24

Tremplin

0%

 

Figure 2 : Tableau sur le recours aux structures de soins et les raisons du recours

Fiche 5 :

Des attentes sur le prix des soins, l'informations sur les

mutuelles et la création d'infirmeries universitaires.

Rappel : Pour répondre, ils doivent se prononcer sur une échelle de Lickert en 7 points : 1 pas du tout d'accord à 7 : tout à fait d'accord.

Le Facteur « Attentes en termes d'informations » fait l'objet d'une plus grande adhésion (5,10). Vient ensuite le facteurs « Attentes en termes de dispositif dédiés aux étudiants » (4,80)

Avant analyse factorielle

Après analyse factorielle

Items

Moyenne

Facteurs

Moyenne

q10.d Avoir plus d'informations sur les complémentaires santé (mutuelles)

5,22

Attentes en
termes
d'informations

5,10

q10.c Avoir plus d'informations sur la sécurité sociale

5,05

q10.e Avoir plus d'informations sur les structures de soin existantes

5,02

q10.f Créer une infirmerie dans chaque université

5,20

Attentes en
termes de
dispositif dédiés
aux étudiants

4,80

q10.g Faire des actions de sensibilisation et de prévention

4,62

Q10.h Aménager un dispositif dédié aux étudiants

4,59

q10.b Améliorer la proximité des structures de soin avec la faculté

4,78

 

q10.a Diminuer le prix des soins

5,61

Tableau 1 : Score moyen d'accord avec les attentes avant et après analyse factorielle ~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

Pour les étudiants boursiers, il est plus important de faire diminuer le prix des soins que pour les non boursiers (5,93 versus 5,38)

~ Variations avec la qualité de vie mentale:

Les attentes en terme de dispositifs dédiés aux étudiants sont faiblement corrélées et négativement avec la qualité de vie mentale (r= - 0,148**). Donc, plus la qualité de vie mentale est bonne, plus les attentes en terme de dispositifs sont faibles.

~ Variations avec les besoins (voir fiche suivante en complément) :

Pour ce qui est des attentes en terme d'informations, elles corrèlent significativement et positivement avec les besoins perçus en termes de professionnels de soins tels que l'assistante sociale (r=0,157**), (et l'infirmière (r=0,101*) en plus pour les besoins personnels perçus). Donc, plus les étudiants ont des attentes en terme d'informations, plus ils déclarent que les étudiants ont besoin d'assistante sociale et plus ils déclarent avoir personnellement besoin d'infirmière.

Pour ce qui est des attentes en termes de dispositifs dédiés aux étudiants, elles corrèlent avec les besoins perçus en termes de professionnels de soins tels que l'assistante sociale (r=0,224**), le psychologue (r=0,258**), le psychiatre (r=0,191**), l'infirmière (r=0,181**) et le sophrologue (r=0,120*) (les corrélations sont du même ordre pour les besoins personnels perçus). Donc, plus les étudiants ont des attentes en terme de dispositifs, plus ils déclarent que les étudiants et eux-même, ont besoin d'assistante sociale, de psychologue, de psychiatre, d'infirmière et de sophrologue.

Fiche 6A et 6B : Les professionnels dont les étudiants ont besoin sont les médecin généraliste, les dentistes, les gynécologues et les ophtalmologiste.

Pour les besoins perçus, les étudiants ont le plus besoin à d'un médecin généraliste (88,3%). Vient ensuite le besoin d'un dentiste (75,1%), d'un gynécologue (63,4%), d'un ophtalmologiste (50,2%), d'un psychologue (49,2%), d'une assistante sociale (44,7%), d'un dermatologue (40,5%), d'une infirmière (36,9%), d'un kinésithérapeute à 32,4%), d'un ostéopathe (29,1%), d'un psychiatre (20,4%).

Pour les besoins personnels perçus, Les étudiants ont le plus besoin d'un médecin généraliste (69,9%). Vient ensuite le besoin d'un dentiste (47,6%), d'un gynécologue (34%), d'un ophtalmologiste (30,7%), d'un dermatologue (25,8%), d'un ostéopathe (25,2%), d'un kinésithérapeute (24,3%), d'un psychologue (18,8%), d'une assistante sociale (13,3%), d'une infirmière (11,7%), d'un médecin homéopathe (20,40%).

Besoins perçus

100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0%

 
 

1

Besoins personnels perçus

100% 90% 80% 70% 60% 50% 40%

30%
y
20%

10% p 0%

 
 
 
 
 

1

médecin généraliste dentiste

gynécologue ophtalmologiste dermatologue Ostéopathe Kinésithérapeuthe psychologue assistante sociale Infirmière

Médecin homéopathe Psychiatre

Acupuncteur Autre

Sophrologue

~ Variations avec les caractéristiques socio-économiques et culturelles :

- Pour les besoins perçus:

Les filles sont plus nombreuses à déclarer que les étudiants ont besoin d'un dentiste, d'un psychologue, un gynécologue, un ophtalmologiste, un médecin généraliste tandis que les garçons sont plus nombreux à déclarer que les étudiants ont besoin d'un acupuncteur.

Les étudiants boursiers sont plus nombreux à déclarer que les étudiants ont besoin d'assistante sociale et d'infirmière.

Les étudiants étrangers sont plus nombreux à déclarer que les étudiants ont besoin d'ophtalmologiste.

- Pour les besoins personnels perçus:

Les filles sont plus nombreuses à déclarer avoir personnellement besoin d'un dermatologue, d'un médecin homéopathe, d'un gynécologue, d'un ophtalmologiste.

Les étudiants boursiers sont plus nombreux à déclarer avoir personnellement besoin d'une assistante sociale.

Les étudiants étrangers sont moins nombreux à déclarer avoir personnellement besoin d'un ostéopathe, d'un ophtalmologiste, d'un gynécologue.

Les étudiants travailleurs sont plus nombreux à déclarer avoir personnellement besoin d'un kinésithérapeute et d'une assistante social.

~ Variations avec la qualité de vie :

- Pour les besoins perçus :

La qualité de vie physique est corrélée significativement et positivement avec l'item médecin généraliste (r=0,132*). Donc, plus la qualité de vie physique est bonne, plus ils déclarent avoir besoin d'un médecin généraliste.

La qualité de vie mentale est corrélée négativement avec le nombre de professionnels cochés (r=-0,232**), et avec les items sophrologue (r=-0,138*), psychologue (r=-0,251**), gynécologue (r=-0,222**), ophtalmologiste (r=-0,138*), dermatologue (r=-0,159**) et assistante sociale (r=-0,150**). Donc, plus la qualité de vie mentale est bonne, moins leurs besoins sont importants et ils ont notamment moins besoin de sophrologue, psychologue, gynécologue, ophtalmologiste, dermatologue et assistante sociale.

- Pour les besoins personnels perçus,

La qualité de vie mentale est corrélée négativement avec le nombre de professionnels cochés (r=-0,255**), et avec les items sophrologue (r=-0,118*), psychologue (r=-0,182**), gynécologue (r=-0,198**), ophtalmologiste (r= 0,127*), dermatologue (r=-0,146**) et assistante sociale (r=-0,133*). Donc, plus la qualité de vie mentale est bonne, moins leurs besoins sont importants et ils ont notamment moins besoin de sophrologue, psychologue, gynécologue, ophtalmologiste, dermatologue et assistante sociale.

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"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille