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L'action stratégique de l'entreprise dans l'ère de la mondialisation et la recherche de la compétitivité

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par Fatima zahra EZZIDI
Université Hassan II - licence en économie et gestion 2006
  

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Section 2 :

Globalisation et dynamique des entreprises marocaines

S'il on veut analyser l'environnement de l'entreprise marocaine en terme d'opportunité et de menace, on pourra les définir ainsi.

§ En ce qui concerne les opportunités : l'entreprise marocaine connaît de nouvelles perspectives de croissance avec l'ouverture des marchés, une possibilité d'ouvrir le capital à de nouveaux associés se présenter, elle pourrait bénéficier du savoir faire des entreprises adossées à des multinationales, elle bénéfice aussi de la proximité géographique et culturelle du Maroc par rapport à l'Europe, et de création et de l'innovation.

§ Pour ce qui est des menaces : l'entreprise marocaine connaît l'existence d'une concurrence même sur le marché local, l'augmentation des salaires non compensée par l'augmentation du faible pouvoir d'achat, la présence d'un système éducatif anachronique en plus d'une mauvaise circulation de l'information, le tout renforcé par un manque d'un projet social clair, et le décalage entre la vitesse de l'application des politiques de développement et celle de l'exigence de la mondialisation.

L'ouverture de l'économie marocaine dans un contexte de libération des marchés est devenue irréversible.

La libération annonce une disparition des frontières et des barrières douaniers non tarifaires qui deviennent une entrave aux échanges, il s'agit notamment du respect de l'environnement et ou des critères non commerciaux.

Cette nouvelle donné non tarifaire contraint les PED à revoir leurs visions et stratégies.

La libéralisation ne générée des bénéfices que si elle est accompagnée d'une dynamique de concentration, c'est-à-dire la mobilisation des opérateurs nationaux pour mieux assimiler les nouvelles règles du jeu qui régissent le contexte international.

Mais aussi les impliquer dans une stratégie nationale, constamment réévaluée afin de mieux se préparer aux échanges. L'objectif est d'établir une répartition juste et équitables des marchés et des échanges commerciaux entre les pays riches et les PED, ainsi on entende parler d'une « intelligence économiques » basée sur un certain nombre de principes :

§ Les principes d'une politique de promotion entreprenariale :

La dimension de l'entreprise marocaine et du tissu industriel est constituée de PME :

Le Maroc a signé des accords, l'accord du GATT, l'accord de l'Association de l'union européenne, et la compétitivité à travers la globalisation des économies est devenu le seul langage possible, la compétitivité devient seul garante de la survie.

Le Maroc est de plus en plus préoccuper par la promotion des entreprises marocaines. Ainsi il détermine, des principes de base et sur lesquels il va être capable de concevoir une action en matière de technologie, de développement industriel. Parmi ces principes on va essayer de citer les plus important, et ils sont au nombre de quatre :

- Principe de cohérence

- Principe d'ouverture

- Principe de continuité

- Principe d'approximité

§ Le principe de cohérence : la cohérence, dans ce cadre, peut se définir en ordre qualitatif ou quantitatif, précisant que cette division converge vers le même objectif : celui ce la promotion de l'entreprise marocaine.

La cohérence d'ordre qualitatif se mesure par l'action de l'Etat ainsi que des différents acteurs intervenants dans le cadre de politique en faveur de l'entreprise marocaine.

En terme quantitatif on fait allusion au moyens notamment financiers pour faire des politiques de développement industriel, ces moyens restent notamment relativement faibles ce qui pousse l'Etat à prévenir un certain nombre de systèmes qui cherchent à favoriser par les petites et moyennes entreprises l'utilisation de consultat. Sauf que la promotion de ce tissu industriel exige plus que ça, il exige des investissements qui restent seul garant de la croissance et de l'expansion en plus de susciter des dynamiques de modification des comportements. On sent plus qu'on est en présence d'ambitions et non de simples buts, ce qui exige de l'Etat et des organismes publics une prise en compte de l'ensemble des préoccupations essentielles des entreprises qui sont celle des différents intervenants dans le cadre de la politique de développement industriel. La réponse des entreprises marocaines sur leur situations au Maroc dévoilera et mettra l'accent sur les difficultés qu'elles rencontrent pour avoir un système de formation professionnelle qui leur donne des agents de quelques niveau que ce soit et qui soient adaptés à leur besoin de développement et à leur besoin d'amélioration de compétitivité.

§ Le principe d'ouverture : elle exige, de la politique de développement industriel et de la politique de développement technologique en faveur des entreprises, une prise en compte des besoins et des opérations des différents intervenants, ce qui impose une action très importante en matière de veille technologique et en matière de prospective technologique.

§ Le principe de continuité : une politique de développement en faveur des entreprises et, singulièrement, une politique de développement technologique, ça se conduit sur le temps, ça se conduit sur la durée, c'est au minimum des politiques de moyen terme quand il ne s'agit pas de politique de long terme. La continuité, ça ne veut pas dire le rigorisme, l'immobilisme, mais ça peut simplement montrer, notamment aux entreprises, que l'Etat est engagé dans une politique de long terme.

§ Le principe de proximité : il est très rare de mentionner la proximité autant que principe de base mais son importance réside dans les difficultés que l'on peut rencontrer en terme de politique de diffusion de la technologie, est tout simplement une question de proximité géographique, et le simple fait qu'un certain nombre de réforme aient été entreprises pour déconcentrer quelques administrations de l'Etat et les rapprocher physiquement des entreprises est très certainement une des raisons qui ont facilité la mise en oeuvre d'un certains nombre de politique.

L'intelligence économique se fonde sur la participation active de l'ensemble des compétences des différents régimes de notre pays sont générées par une connaissance plus précise de l'environnement.

L'incertitude et l'ambiguïté de cet environnement reste renforcées par la fermeture et la délocalisation d'un certain nombre d'entreprises, absence d'un ordre économique national et international, genèse des crises (dette, pétrole...) qui affectent la croissance des entreprises qui se sentent serrées par les enjeux et les tendances stratégiques auxquels elles doivent faire face.

Le défi principal réside dans la capacité de l'entreprise à mesurer et cerner et appréhender cette complexité dans le but de mieux la gérer par la suite.

L'insertion des économies émergentes dans l'économie mondiale n'est pas facile, mais cela peut se faire grâce au soutien des entreprises et de l'ensemble du tissu industriel.

Le processus d'investion au Maroc consiste à ce que l'économie marocaine se mette dans la position de mettre en oeuvre, de manière maîtrisée, les choix stratégiques appropriés à ses contraintes économiques, et à son identité socio-culturelle.

Quand on parle de l'intelligence économique on évoque une transaction symbolisée par le passage d'une économie dite traditionnelle à une économie dite de la connaissance est issue de la prise en compte du rôle de la compétence pour la croissance de l'économie, l'économie et la connaissance sont devenues un enjeu majeur qui regroupe à la fois les acteurs individuels et les pouvoirs publics.

Pour que l'intelligence économique devienne un levier de compétitivité pour nos entreprises, elle devrait être une vrai grande politique publique de l'Etat à l'instar de ce que sont les politiques de santé, d'environnement ou de fiscalité que cette politique soit nationale, décentralisée ou internationalisée, elle ne pourra s'épargner un effort de formation et d'information calibré à cette ambition et adapté à une certitude : l'intelligence économique et le patriotisme économique.

L'intelligence économique reste liée au pôle de recherche et développement qui s'opère dans le cadre du développement des processus d'innovation, prend alors dans ce contexte une importance déterminante dans la course au positionnement dominant à l'échelle mondiale. Or, cette recherche implique l'engageant de dépenses importantes, se qui peut constituer une véritable barrière à l'entrée pour le secteur. La nécessite de disposer d'un large marché à l'échelle mondiale, devient dans ces conditions, un des éléments de la compétitivité et par la même occasion, un puissant vecteur d'éviction des concurrents qui n'atteignent pas le seuil critique.

La réalisation d'un niveau de compétitivité pour les entreprises marocaines dépend d'une grande partie de sa capacité d'investissement, or, les entreprises marocaines reconnaissent un handicap majeur à ce niveau et dont la faiblesse grève lourdement tout processus d'accumulation et partent tout perceptive de croissance réelle, qui serait de nature à engager le Maroc sur une trajectoire de modernisation, de ses capacité de financement et de promotion du tissu industriel qui renforce la structure entrepreunarial et crée de nouvelles bases productives, nous avons cité auparavant le processus national de la mise à niveau visant la promotion et le développement de l'entreprenariat au Maroc, ne nous manquerons pas de préciser qu'il a pu créer un support de continuité de processus de création de l'entreprise sur de bonne base financières, technologique et informatives. Nous citerons le rôle des banques dans la promotions de ce secteur Soutenant la culture de l'entreprenariat : Attijari Wafa Bank à été partenaire "Challengers", émission révélatrice de talents, organisée en Mai 2005 par la chaîne de télévision 2M par sa forme et son contenu, ce programme vise à encourager l'esprit d'innovation et le goût de défi chez les jeunes créateurs d'entreprises au Maroc.

Convaincu par les valeurs véhiculées par cette opération et par sa dimension citoyenne, le groupe s'est engagé à assurer le financement des projets des 10 lauréats. Un système de parrainage, assure par des collaborateurs de la banque, à en parallèle été mis en place pour favoriser la réussite de ces projets en herbe, en leur apportant un soutien technique et une expertise financière par ailleurs, Attijariwafa Bank s'implique activement dans l'association : « Réseau Maroc entreprendre » et ce depuis sa création. Cette association qui réunit des chefs d'entreprise, a pour objet l'action aux porteurs de projet préalablement sélectionnés de prêts d'honneur et surtout leur accompagnement pendant les trois premières années.

Parallèlement à cette implication dans "Maroc entreprendre" et "challengers", c'est 1 milliard de dirhams qui a été consacré, depuis 1erJuin 2006, au financement des jeunes porteurs de projets.

L'entreprise marocaines était souvent analysée statistiquement pour des fins comparatives visant une mise à niveau énumérée, certes les statistiques restent représentatifs de la réalité, mais "notre" réalité implique à ce que la réalité soit changée en faveur de l'économie que nous présentons et dans laquelle nous vivons et avec laquelle on est lié, l'analyse n'est qu'un préambule visant le développement au minimum à moyen terme en sein d'un environnement en perpétuelle évolution.

Le tissu Marocain est représenté par des PME/PMI leur structure est simplifiée par rapport aux entreprises étrangères qui vont tôt ou tard renforcer leur présence dans nos marchés locaux, les écrits et analyses peuvent être unis par n'importe quel acteurs du ce tissu, mais la méthode ne veut que son l'exécution.

Le Maroc possède une richesse assez importante afin de permettre plus ou moins un certain développement et évolution de la croissance au niveau national.

Le plus important pour la réussite d'un stratégie compétitive au Maroc c'est de renforcer la solidarité et la culture de l'appartenance, puisqu'on a cité que les entraves culturelles restent des barrières devant la concurrence, jouant dessus et renforçant la culture autant que seule garante de la périnnité et de la compétitivité de entreprises marocaines.

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"Qui vit sans folie n'est pas si sage qu'il croit."   La Rochefoucault