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Kant et la problématique de la promotion de la paix. Le conflit entre l'utopie, la nécessité et la réalité de la paix durable

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par Fatié OUATTARA
Université de Ouagadougou - Maitrise 2006
  

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3. La négociation de la paix.

Un monde de la faim, de la pauvreté, des maladies et des guerres, voici l'image désolante de notre siècle de haute compétition où, la quête du consensus, le dialogue, la compréhension et la solidarité, doivent être les maitres-mots.

En effet, le perfectionnement des moyens de destruction massive fait du XXIè siècle, un siècle de méfiance, d'intolérance et de complaisance vis-à-vis des problèmes de violence. On assiste, de plus en plus, à des oppositions conflictuelles dues aux besoins, aux intérêts, aux idéaux politiques ou religieux et au nationalisme exagéré, augmentant ainsi nos inquiétudes devant l'incertitude de l'avenir. La responsabilité du citoyen est de mise sans se réduire à une pratique quotidienne de la violence, ni à un repli sur soi qui serait fatal. Mais, le citoyen doit rester à l'écoute de la voix de la Raison en recherchant et en favorisant toute synergie qui crée, qui créera et qui construira de nouveau le tissu social à travers la promotion de la paix mondiale. Nous devons rechercher à instaurer le consensus, tant bien que mal, dans les relations individuelles qu'internationales.

Dans cette optique, la maîtrise de la violence sous toutes ses formes passera nécessairement par l'expérience de la guerre coûteuse et jamais profitante. Ce qui est condamné, ici, c'est l'adoption d'une solution violente comme réaction à la guerre qui traduit un désir de vengeance, de guerre, ou qui ramène la guerre à la rivalité mimétique des belligérants en maintenant le rapport à la mort : « La paix n'est pas, ne peut pas être et ne sera jamais l'absence de conflit, mais la maîtrise, la gestion et la résolution des conflits par d'autres moyens que ceux de la violence destructrice et meurtrière105(*) ».

La solution non-violente ou approche pacifique du conflit est encouragée en ce sens qu'elle nous engage tous dans la gestion et la résolution du conflit en vue de satisfaire tous les protagonistes réunis autour de la table des négociations. Il n'est pas question ici d'une démission face à l'état de guerre qui consiste à ne pas affronter l'obstacle à la paix, mais il s'agit de proposer des solutions fiables par la tenue des colloques. En termes clairs, qu'est-ce que la négociation de la paix pour qu'elle continue de jouer un rôle toujours actuel ? Quelles seraient les différentes phases de la négociation d'un conflit ? Quels sont les modes et les conditions d'une négociation de la paix ?

L'idée de négociation de la paix est inscrite chez Kant dans ses OEuvres Philosophiques (1986, 362) où il est écrit que les citoyens et les Etats se croient « obligés de travailler au noble ouvrage de la paix, quoique sans aucune morale, et quelque peu que la guerre éclate, de chercher à l'instant même à l'étouffer par des médiations ».

La négociation de la paix est donc le moyen infaillible de résolution des litiges, conflits ou divergences entre les citoyens d'une même communauté, entre les Etats ou entre des organisations nationales, régionales ou internationales. En réalité, la négociation se manifeste dans la prise de décisions, dans la signature des accords, dans la détermination de la valeur des biens et des services. Les conférences de Yalta, de Camp David, d'Oslo, sont des exemples parmi tant d'autres qui ont marqué de leur sceau l'histoire de la négociation de la paix mondiale.

La négociation apparaît être étroitement liée à l'exercice de la violence : elle est une confrontation pacifique qui doit précéder l'affrontement violent pour prévenir la guerre, soit elle intervient pendant la guerre (négociation secrète) pour ralentir les combats, soit à un moment moins violent du conflit pour rétablir la paix et la stabilité, et ainsi renouer les liens entre les belligérants. En fait, la négociation de la paix est la recherche d'un compromis qui dépendrait de la nature du conflit, de la disposition mentale et psychologique des protagonistes de la crise qui peuvent accepter le compromis comme ils peuvent saboter les accords conclus. Vu cette attitude d'insouciance des fossoyeurs de la paix vis-à-vis des souffrances humaines, nous dirons avec Leibniz que la négociation est une affaire de bonne volonté, de conscience et de responsabilité, sinon « quelle paix perpétuelle peut-on faire avec des gens qui autorisent publiquement des maximes absolument contraires à toute la force des traités, paroles et serments, lesquels étant reçus il n'y a plus de droit des gens, ni de traité durable à faire ? Ce ne seront plus que des mômeries et vains amusements des crédules. --La paix est bonne en soi, j'en conviens ; mais à quoi sert-elle avec des ennemis sans foi106(*) ? »

Pour l'auteur de la Monadologie, aussi bien que pour Kant, il n'y a que la bonne volonté, la foi, qui manquent aux hommes pour négocier ensemble et faire la paix, c'est-à-dire pour se délivrer d'une infinité de maux telle la guerre. La bonne volonté, « celle de faire ce qu'on doit, et simplement parce qu'on le doit. Il ne s'agit pas seulement, comme un commerçant loyal qui l'est par souci de son intérêt, d'agir comme le devoir le demande, mais pour quelque autre motif. La droiture de faire son devoir par devoir 107(*)».

La négociation de la paix nécessite une bonne disposition mentale; elle ne doit pas faire l'objet de manipulation, de clientélisme ou de marchandage parce que ces maux corrompent, pervertissent et souillent les bonnes âmes qui veulent la paix. Telle qu'elle, la négociation de la paix est d'actualité. Elle est un outil jamais usé malgré ses échecs par endroits. Négocier devient d'autant plus utile que les relations citoyennes et internationales gagnent en intensité. Plus ils éprouveront le désir de vivre ensemble, plus le désir de négocier justifiera leur condamnation à vivre ensemble dans la paix. Et, plus la négociation de la paix sera le lieu par excellence de la confrontation des idées, de la discussion à l'amiable et de l'exposition des intérêts, plus cela nécessitera de la concentration dans la recherche d'un palliatif à la violence meurtrière : « Coopérer, s'entendre, construire quelque chose ensemble, surmonter les différences, en bref, trouver un arrangement acceptable pour préserver et développer sa propre liberté, son moi, son identité, face à l'autre, aux autres, ou aux règles, aux objectifs, aux évolutions du monde et de ses structures108(*) », c'est négocier à l'intérieur et à l'extérieur d'un Etat, puisque c'est le seul moyen de vivre ensemble. Or, vivre ensemble ne signifie pas éliminer totalement les guerres, mais pouvoir étendre partout la paix comme absolue, c'est-à-dire opter pour une vision optimiste et objectiviste de la réalité humaine en choisissant de cohabiter pacifiquement.

En revanche, même s'il est reconnu et accepté par certains que la guerre est aussi naturelle que la pluie, qu'on n'arrive pas toujours à l'éviter et à la prévenir, néanmoins la seule alternative qu'on puisse avoir elle, c'est de mettre davantage l'accent sur l'ultime arbitrage des guerres et, sur le contrôle de la guerre pour pouvoir la contenir.

Dès l'abord, disons que la prévention d'un conflit est aussi la satisfaction des besoins des citoyens par un partage équitable des ressources ou des biens vitaux afin d'éviter les frustrations de part et d'autre. Sur ce point, Hobbes écrit dans le Léviathan (1971, chap.8) que « la nature a fait les hommes si égaux quant aux facultés du corps et de l'esprit que, bien qu'on puisse parfois trouver un homme manifestement plus fort, corporellement ou d'un esprit plus prompt qu'un autre, néanmoins, tout bien considéré, la différence d'un homme à un autre n'est pas si considérable qu'un homme puisse de ce chef réclamer pour lui-même un avantage auquel un autre ne puisse prétendre aussi bien que lui ».

La monopolisation des revenus de l'Etat, souvent constatée dans certaines contrées, par une fraction de la population, une ethnie souvent minoritaire, ou du moins par un dictateur, une famille ou un clan, provoque nécessairement la frustration sociale et le mécontentement des démunis qui se révoltent contre les seuls bénéficiaires des biens et devises de la nation au détriment des travailleurs. Cette attitude gabegique, de vol des deniers publics est entretenue et soutenue par des élites politiques avides de gain facile ; ils spolient le peuple, vivent de luxe pendant que celui-ci meurt de faim, de la maladie et croupit dans la misère issue des tensions dont ces "gorilles démocratiques" sont eux-mêmes responsables. Les tensions ethniques issues de ces injustices sociales et économiques marquent la dérive actuelle de nos jeunes Etats démocratiques.

En plus, la satisfaction des besoins vitaux des citoyens est une fonction assignée aux dirigeants qu'on pourrait nommer "pourvoyeurs", en ce sens qu'ils ne donnent pas seulement la possibilité de bénéficier des ressources de la nation, mais savent créer de l'emploi pour les populations. Tant que les ressources s'épuiseront, il est de leur ressort de les recréer par leur travail quotidien qui assurera non pas la nourriture d'une journée, mais celle de la vie. Le pourvoyeur est donc l'Etat qui veille à la protection des personnes et des biens et à la sécurité collective. Tout cela participe à la consolidation ou à la solidification du tissu social à travers l'intégration sociale ou l'insertion sociale. La persistance des injustices socio-économiques participe à la vivification du sentiment nationaliste exagéré et à la haine contre son prochain; ils contribuent à leur tour à la ruine du tissu social et politique dûment établi.

Pour prévenir la déconstruction du tissu social, un accent singulier a besoin d'être mis sur le respect de la personne humaine en tant que valeur morale : nous devons respecter l'identité culturelle, individuelle et collective de chaque homme. C'est le moment de rechercher l'unité, l'intégration des peuples comme le dit William Ury : « À nos yeux, la diversité doit contribuer à l'intégration au sein de la collectivité et permettre à chacun de se sentir membre à part entière de la communauté, évalué à sa juste valeur109(*)». Selon l'auteur, la dignité humaine est antérieure à l'appartenance à une Nation ou à une communauté ethnique donnée. L'idée, une inspiration kantienne, suggère qu'il faut voir en l'homme non pas seulement une personne, mais aussi toute l'image de l'humanité qui se cache derrière un visage, même inconnu.

L'avenir des Etats, c'est l'avenir de leur politique en matière d'intégration des personnes, rapatriées, chassées de chez elles ou d'ailleurs. Ce qui suppose sur une politique humanitaire et non pas sur des tracasseries policières. Pour ce faire, les citoyens doivent apprendre à réinventer les moyens de leur adaptation, ou de leur appropriation des questions éthiques et morales, en ayant une prise directe et constante sur les institutions. Il s'agit pour eux de cultiver la solidarité et la fraternité, de rétablir le consensus, afin de consolider le tissu social en ouvrant, bien sûr, un champ nouveau sur la politique locale, celle qui développera la citoyenneté. Nous osons penser que la démocratisation réelle est l'unique voie à emprunter pour solidifier les rapports sociaux, voire les relations internationales  car, « l'exercice concret de la démocratie dans un lieu donné est le seul acte créateur possible d'un lien social. C'est celui qui cimente le groupe, quelle que soit l'origine de chacun 110(*)».

On assiste de plus en plus à une grande adhésion de la communauté mondiale au dessein d'assurer au mieux la sécurité des peuples qui est intrinsèquement liée à la justice sociale et au développement socio-politique des Etats en vue de la paix. Cette sécurité ne s'assure pas par la fourniture d'armes, pas forcement par le déploiement des forces d'intervention qui pourrait se révéler précaire, mais par la consolidation des relations internationales autour de la paix ; puis par la consolidation des liens sociaux. Sans oublier la révision de la constitution des régimes d'exception. Mieux, pour fortifier ces relations, pour éviter la désintégration du tissu social, l'instabilité due à la guerre, il faut que nous assumions notre responsabilité vis-à-vis des obstacles socio-politiques et économiques à la paix mondiale. Il faut partager équitablement les biens et revenus de l'Etat, créer des emplois, assurer le développement, réussir le processus de démocratisation, et enfin faire la lumière autour des injustices sociales. Toutefois, si l'on n'a pas pu éviter la désintégration de la sphère sociale malgré les efforts consentis pour produire l'effet nécessaire, alors ce qui reste à faire, c'est de "jeter les passerelles", c'est-à-dire essayer de nouveau de rétablir l'ordre, de créer de nouvelles relations par-dessus la guerre en encourageant le dialogue social comme le veut la tradition africaine:« Les paroles valent mieux que la guerre ».

En résumé, il est clair que le dialogue est un moyen d'échange, de communication qui joue un rôle prépondérant dans la négociation de la paix comme moyen de quête du compromis. Par le dialogue on arrive à bout de certains malentendus qui pourraient prendre une option sérieuse si rien n'est fait de ce genre: les divergences peuvent devenir difficiles à résoudre. Mais, au cas où ils le deviennent, et que les hostilités atteignent une ampleur jamais souhaitée, le désarmement doit toujours s'imposer comme facteur de détente et de pacification temporaire des relations entre les Etats qui entrent en conflit, ou entre forces loyalistes et forces rebelles, par exemple.

Le désarmement est une politique de dépôt des armes, de réduction ou de limitation des armements. Il est devenu, depuis la signature en 1945 à San Francisco de la Charte des Nations Unies en ses articles 11 et 26, une affaire de la diplomatie internationale, un moyen de renforcement de la paix mondiale et de la sécurité internationale de ses Etats membres. Cependant, une restriction est à faire au sujet du désarmement : «  le désarmement négocié ne s'apparente pas au désarmement imposé par le vainqueur comme sanction d'une défaite militaire, ni à la renonciation unilatérale à toute défense armée, prônée par certains pacifistes. Il s'inscrit dans la perspective d'une organisation régionale ou mondiale de la sécurité et doit être jugé en fonction de sa contribution au maintien de la paix et de la sécurité internationales111(*) ».

Ce qui revient à dire qu'aucune tierce personne, qu'aucun Etat ne peut décider du désarmement si ce n'est avec l'aval de l'Organisation des Nations Unies. À cet effet, le désarmement est un outil de résolution pacifique des conflits armés. Cette gestion constructive obéit à une approche sans doute non-violente mettant en jeu certains mécanismes de régulation dans le dessein de désamorcer le conflit quelle que soit sa gravité ; c'est-à-dire de substituer à la violence une issue positive qui apparaît être en mesure d'apaiser les coeurs meurtris. Dit autrement, gérer un conflit, c'est lui apporter des esquisses de réponses en adoptant un comportement, une attitude conséquente vis-à-vis de l'allure que prendraient les hostilités. Cette gestion intervient dans le souci de maintenir la relation humaine, de renforcer et de préserver les relations entre les nations du point de vue de l'éthique et de la morale. Car, rester indifférent au déferlement néfaste de la guerre, c'est prendre aujourd'hui le risque majeur de vouloir, tôt ou tard, la disparition totale de l'espèce humaine. La seule alternative valable est de réagir à temps.

Comme l'a si bien dit Kant (1985, 207), « tous les sentiments, spécialement ceux qui doivent déclencher un effet inaccoutumé, doivent produire leur effet au moment où ils sont dans leur ardeur et avant qu'ils ne se refroidissent, sinon, ils ne font rien. Car le coeur revient naturellement à son mouvement naturel et modéré, et finit par retomber dans la largeur qui lui était propre auparavant ; en effet on lui a apporté de quoi l'exciter, mais rien pour le fortifier ». Symboliquement parlant, on n'a vite raison d'un incendie qu'à ces débuts, sans doute à le laisser avancer et des fleuves entiers ne pourront l'éteindre: l'oiseau de Minerve pacifique doit toujours prendre son envol rien qu'à l'aube de la guerre.

Devant l'urgence de notre action, nous devons savoir gérer le conflit, c'est-à-dire, faire de telle sorte que la poursuite des objectifs par les belligérants ne puisse pas remettre constamment en cause la relation sociale d'homme à homme et celle internationale d'Etat à Etat. La gestion d'un conflit n'étant jamais mécanique, elle est devient le résultat de l'effort que fournissent des personnes ressources et qui dépend de leurs comportements, de leurs sentiments désintéressés ou d'impartialité, et de leur perception de l'état de guerre. L'issue de la guerre n'est seulement pas liée à la psychologie et à la conscience des acteurs de la paix; elle est liée aussi à la connaissance des hommes, des réalités socio-politiques des Etats qui s'affrontent, de la nature de leurs intérêts, de leurs besoins et de leurs valeurs.

Il serait vain de penser une gestion constructive de conflit qui n'est pas conditionnée par des qualités requises. En ce sens que la paix ne s'improvise pas mais se construit.

Les conditions à réunir pour réussir une gestion politique des conflits sont : la motivation, la patience et la créativité. La motivation pour un acteur de la paix concerne l'énergie qu'il se donne comme leitmotiv pour pouvoir mettre la violence hors-jeu, c'est-à-dire hors d'état de nuire. Il s'agit de contenir le conflit. La motivation se fonde sur la confiance en soi, la bonne volonté qui donne foi dans la voie de la paix. La patience est une qualité que doit avoir toute personne qui lutte pour la paix. Quant à la créativité, elle consiste à savoir dénouer de façon constructive un conflit en favorisant du coup la possibilité d'une nouvelle vie communautaire.

Elle est l'oeuvre des personnes ressources, neutres et impartiales nommées " Tierce personne " composée de gens, d'hommes politiques, d'autorités religieuses ou coutumières, qui ont une renommée, une personnalité influente sur les parties en conflit, parce qu'ils les connaissent mieux. Ces caractères leur permettent de réussir la médiation. Certes, aucun texte de Kant ne nous indique qu'il a été une fois médiateur d'un conflit, négociateur de la paix ou ambassadeur de la paix quelque part dans le monde ; cependant, notons que l'esprit pacifique kantien a dirigé le monde de la paix ; et il n'aurait pas démérité en essayant de la médiation une fois en passant, puisqu'il sert de référence à des organisations et à des personnes qui ont inscrit la promotion de la paix dans leur agenda.

* 105 Jean-Marie Muller, Comprendre la non-violence, Non-violence Actualité, 1995,

* 106 Leibniz, oeuvres, (L-A. Foucher de Careil), T.III, pp.124-125, voir aussi sa Lettre à l'abbé de St Pierre en date du 07 /02/1715, ibid, T.IV, p.325

* 107 Fondements de la métaphysique des moeurs, Présentation J. Costilhes, Paris, Hatier, 1963,p.09. La volonté étant une raison pratique, ll n' y a que les hommes raisonnables qui puissent avoir une volonté, celle qui fait seule des biens mérités, indépendamment de ses fruits, des calculs trop soigneux qui nous font manquer le bonheur commun.

* 108 Lionel Bellenger, La négociation, Paris, PUF, 1984, p.14

* 109 William Ury, 2001,p.119

* 110 Bernard Crozel, Urbanité et citoyenneté, Attention démocratie urbaine, L'harmattan, Paris, 1998, p. 40

* 111 Maîtrise des armements et désarmement, Etudes de la documentation française, international, Paris, 1992

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