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Prévention des infections sexuellement transmissibles en milieu scolaire : cas du Lycée de Bertoua rural( Télécharger le fichier original )par Gervais Eleuthère Ndongo Ecole des infirmiers diplômés d'état de Bertoua - Diplôme d'état d'infirmier 2011 |
REMERCIEMENTSNous re saurions terminer ce mernoire de fin d'etude sans toute lois remercier gincerernent opus ceux qui de pres ou de loin on( contribue !Tune maniere significative a sa realisation et a ma formation a 1 'Ecole des lnfirrniers Diplomes d'Etat de Bertoua ; no tam ment 4- DIEU TOUT PUISSANT qui rri' a guide, protégé et assiste durant ma formation.
.4- M. MENTABOT SOUME Berlin, Ancien Directeur de 'TIDE de Bertoua pour l'encadrernent qu'il a donne a noire promotion durant les deux premieres annees de noire formation.
incomparable, leurs conseils a nous prodigues ; particulierernent M. NOUBI NOUBI Christian, M. NDJEMBA EKOTO Jean Louis, M. BEKONO Bernard. v41- Tons les medecins de Fikgional de Bertona: Pour leur disponibilite et leurs conseils dispenses pendant nos stages acaderniques dans cette institution hospitaliere rarticulierernent Dr DZUKOU ThietTy, Dr NGUELE MEKE Huguette, Dr NSENGA DJ AP A Guy Rog er. Mes Parents: Papa MBOUKENG Gaston et Maman NGUEGIAM Marie. 'ous qui avez connus tant de peine et de malheur. Recevez en guise d'apaisemeni ce travail. "41- Mon Petit frere: NGUEGUlM Bernard. Loin oil to to trouve Merci infinirnent pour ton soutient moral et financier. N16- Mes ami s MBENGFANG Judith ; ATEBONG Fernand ; WOG° ETOGA Lucien ; ABEBAGUE Cyrille pour leur encouragement et leur soutient Tous mes camarades de la premiere promotion de 1'Ecole des Infirmiers Diplom& if Etat de Bertoua, particulierement a : NGNAM4 Prospere ; BAKAM Marceline ; MOUKOUET KOUG221 Jeannette ; MEKAZOU O vier ; 1-10A7S1R MOLISSA ; NGA ATANGANA Bernadette ; KENCIIOUNG Navvoussi SAMDIINE K4YE Donald. Pour leurs franches collaborations. .41- Ivies Freres et Sceurs, NGUE GUM Bernard ; TS ORGUl M Sorel ;NDONGNANG Joel ; IVIBOLTICENG TSA.110 Cathy Lea ; MEZATIO Lionel. Que ce travail vous serf de bide dans votre vie. LISTE DES 'TABLEAUXFT DES FIGURES
LISTE DES ABREVIATIONSIP. All :Autres auteurs. IP. AIDS : Acquired immunodeficiency syndrome. CDE: Camerounaise des eaux.
SES : Service des etudes et des stages. Pk SUM : Syndrome d'Immuno-Leficience Acquise. Pk ST I : Sexually transmitted infections, T le: Terminale. 01. UNESCO Organisation des Nations Unies pour ]'education, la science et la culture. VIH : Virus de l'immuno deficience humaine. Ilk Vol : Volume. Ilk WHO World health organization. ID. Pere : Premiere ilk 2"de: Seconde. 31All e Troisieme. IN. Vine quatrieme. : cinquieme. Ilk sixieme. : Po urcentage. RESUME . L'un des defis auxquels Mum anite a, de tout temps, ete confrontee est de preparer les enfants et les jeunes a entrer dans l'Age adulte. Au cceur de ce defi, Ia sexualite hurnaine et les relations interpersonnelles occupent une place centrale. Dans notre monde actuel confronts aux IST/SIDA relever ce defi est pour nous, une occasion extraordinaire de briser Ia trajectoire de l'epidemie. Aujourd'hui, trop peu de jeunes regoivent une preparation suffisante dans le dornaine de Ia sexuality, ce qui les rend vulnerables aux aims, a !'exploitation, a des grossesses non desirees et a des 1ST, notamment !Infection a V1H. Selon (2009) : « 111 millions de nouveau cas &1ST curable concernent les jeunes de 10 a 24ans. Par ailleurs, elle estime que dans les pays en developpernent 2,5 millions de filler a'gees de 15 a 19ans avortent, Ia moitie d'entre elles dans les conditions a risque, 11% des naissances dans le monde sont le fait de mere adolescents une tranche &Age eau le taux de mortalite nnaternelle est plus eleve que pour les femmes plus alees. Face aux nornbreux cas d'IST/SIDA rencontre au cours de notre formation a l'exemple de Mlle X Agee de 19ans, eleve en classe de 3ier" au Lycee de Bertoua Rural et interne au service de medecine de l'Hopital Regional de Bertoua pour syphilis au Stade (III) avec ulceration vulvaire, ce qui lui a value 3 semaines d'hospitalisation dans cette formation hospitaliere. Conscient de cette situation nous nous sommes propose de rnener une etude exploratoire sur le theme : 4 Prirention des infer/ions sexuellement transmissibles en milieu svolaire Cas du lye& de Bertoua Rural » La question de recherche associee a ce theme etait oQuelles sont les connaissances, attitudes et pratiques des elves en matire de prirention des 1ST ? » Le but etait de: Contribuer a l'amiliaration de la prevention des 1STSIDAen milieu sealaire. Pour atteindre ce but, nous nous somrnes fixes les objectifs suivants
N. Plus de deux tiers d'eleves interroges (68%) ne save nt pas ce qu'est la sexualite. I Is assimilent la sexualite au rapport sexuel et /ou a la fecondation et pourtant ils sont 89% qui affirment avoir rebus une education a la sexualite. IN- Pres d'un tiers des eleves pensent gulls peuvent entretenir des rapports sexuels des l'Age de 15a ns ; Preuve qu'ilsielles ne maitrisent pas les consequences !ides aux activites sexuelles precoces.
Au vue de ces resultats, nous co nstato ns que, les eleves du Lycee de Bertoua Rural presentent de nombreuses lacu nes en matiere de prevention des IST/SIDA; pour l'essentiel nous avons
Cette situation nous pousse a formuler les suggestions suivantes I) Aux niveaux des parents d'eleves. II est necessaire que les parents se forment pour mieux comprendre ('importance de reducation a la sexua lite, etre surtout attentif lorsque ('enfant est en periode de puberte et surtout eviter toute frustration qui bloquerait toute possibilite de dialogue.
II est necessaire de renforcer les capacites des personnels de sante travaillant dans les lycees et colleges en les SOLI mettant regulierement aux sessions de formation continue. SU M MARY One of the challenges that humanity has always been faced with, is to prepare children and youth into adulthood. Sexuality and interpersonal relationships play a key role among these challenges. in our world today facing STIs/AIDS, taking up this challenge represents for us a unique opportunity to put an end to the epidemic. Nowadays, very few young people receive sufficient education in the field of sexuality. This exposes them to abuses, exploitation, unwanted pregnancies and STIs, including HIV infection. According to WHO (2009), 111 million new cases of curable STIs concern youths from 10 to 24. What's more, this organization reveals that in developing countries, 2.5 million girls aged between 15 to 19 years old abort, half of them in risky conditions; 11% of births in the world are from adolescent mothers, an age range in which mortality rate is higher than in older women. Faced with h nume rous cases of STI/AIDS met during ou r tra ining for example Miss X aged 19 years old, student in 3irle at government high school of Bertoua Rural interned in t he medical ward of the Bertoua Regional Hospital for syphilis at level {III) with ulceration of the vulva, which earned him three weeks in this hospital. Recognizing this, we proposed to conduct an exploratory study on the topic: "Prevention of' sexually transmitted injections in schools milieu: Case of,f,,overnment high school of Bertoua Rural". The research question underlying this study was: "What knowledge attitudes and practices of students in terms of prevention of' STA?" The goal was to empower these young students in preventing of STI/AID5 infections. To achieve this goal, we set t he following objectives:
Our study took place at the government high school of Bertoua Rural, Located in Bertoua first subdivision, Kilo ko lo t l neigh borhood. We relied on a population of 432 students both sexes aged 14 and more attending classes 312r12 2rc2 and iier2. We investigated a sample of 200 students representing 46.29% of the target population. Our investigation was carried out with a questionnaire designed from our reference framework. This questionnaire was pre-tested and validated by our coordinator before its implementation at the level of the students. Our study led to a number of conclusions, the most significant of which are: IP. 121 students corresponding to 50.5% were age between 14 and 17. IP- More than two thirds of students questioned {68%) know nothing about sexuality. They confuse sexuality and sexual intercourses and/or fecundation; paradoxically 89% of them claim having been educated on sexuality. IP' Nearly one third of students think they can have sexual intercourse from the age of 15 years; Proof that they doesn't master the consequences of early sexual activity.
In view of these results, we found that, students of government high school of Bertoua Rural have many gaps in the prevention of STI/AID S we can basically be summarized as follows:
a Inefficiency of the infirmary of this school to address the issue. This situation leads us to the following suggestions: i) At the level of parents It is necessary for parents to better understand the role of the importance of education to sexuality to sexual life. They should also be attentive w hen t heir child reaches puberty period so as to avoid all sort of frustration that may block all communication.
It is necessary to strengthen t he capacity of health personnel working in schools by subjecting t hem to regular training sessions. INTRODUCTIONLa sante aujourd'hui est une valeur importante pour repanouissement socio-economique des populations ; raison pour laquelle, les families, les collectivites, les gouvernements et autres organismes internationaux, chaque an née, investissent d'enormes moyens financiers pour preserver la sante des populations. Face aux grandes endemies telles que le paludisme, l'onchocercose et biers d'autres M.MAROUF, et All (2008) estiment que : cDans le monde enter 330 millions de personne contractent une 1ST. La plus repandue est ('infection trichomonas avec 120 millions de personnes infectees suivie de ('infection chlamydia 50 millions et de la blennorragie 25 millions de cas ». Selon °WEIDA (2009) : v33 millions de personnes sont porteuses de VIH dans le monde dont 22 millions en Afrique Subsaharienne avec 1,5 millions de dikes par an [...] au Cameroun le taux de prevalence varie de 5.0 a 10% ». De tout ce qui precede les IST/SIDA sont au sommet des taux de mortalite et de rnorbidite raison pour laquelle les 1ST feront ('objet de notre etude. Les IST sont des infections qui se contractent principalement par rapports sexuels non proteges. On remarque surtout selon I'OMS (2009) qu'elles touchent essentiellement la population jeune (15-49ans) et constituent de ce fait un problerne rnajeur de sante publique. Malgre taus les efforts consents par les gouvernernents, les organismes internationaux tels que : L'OMS, LOWS DA et autre ONG, force est de constater qu'il y a toujours recrudescence des IST/SIDA. Vest pour cela que nous aeons decide de mener une etude afin &identifier les principales causes et de prevenir au rnieux les jeu nes scola lies de nos etablissernents. Yob le th6me c Prevention des infections sexuellement transmissibles en milieu scolaire as du Lycee de Bertoua Rural )5. Afin de rnener a biers cette recherche nous proposons le plan de travail articule corn me suit 4 CHAPITRE (I) Problernatique, 4 CHAPITRE 01) Methodologle. 4 CHAPITRE (III) Presentation des resultats. 4 CHAPITRE (IV) Synthese et discussion. CHAPITRE (V) Conclusion et suggestions.
I-I) CONTEXTE ET JUSTIFICATION.Dans ('ensemble des pays du monde, les jeunes occupent une place de choix dans les politiques nationales de developpernent car ceux-ci constituent non seulement la releve de demain, mais representent selon le PNUD (2009) environ 50% de la population totale en Afrique subsaharienne ; ce qui est ainsi une masse critique suffisamment importante pour influencer les decideurs politiques. Cest ainsi que face aux nombreux succes sportifs, economiques, et sociaux enregistres ces dernieres a n [lees Son Excellence PAUL BIYA declarait dans l'un de ses discours « La jeunesse est le fer de lance de fa nation ». Si cette assertion connait une valeur certaine a la jeunesse, it !Yen derneure pas moins vrai qu'elle s'illustre cependant par des comportements sexuels dits a risque qui ('expose aux ma ux tell que les grossesses non desirees et surtout les ISTAIDA. Selon Pencyclopedie medicate (2008) : ix la sexualite est un comportement propre a chaque individu determine par ('instinct sexuel et sa satisfaction >> .Cet instinct sexuel est percu comme une tendance innee a tout etre humain qui s'impose a lui par le desir d'entretenir une relation sexuelle avec un partenaire de son choix. Les jeunes constituent de ce fait un groupe a risque de part leer immaturite sur tour les plans (morphologiques, physiques, et affectifs}. Selon ONJUSIDA (2008) : < le risque est plus eleve chez la jeune fille car rage des premiers rapports sexuels se situe en majorite entre (12 et 16ans). Chez les jeunes garcons elle varie de 15 a 17ans [...] Le meme rapport precise que seulement 40% des jeunes ages de 15 a 24ans possedent des connaissances precise sur le VIH et sa transmission ». Pour entrer en profondeur clans le developpernent psychoaffectif des adolescents ROBERT LASTON (2007) affirme qu'il comporte deux grander phases a savoir -Lenfance qui se ter mine aux premieres manifestations pubertaires. -Ladolescence qui commence avec le debut de la puberte et ses manifestations depend de l'environnement socio-culturel des individus. Levolution de l'enfant a travers ces differentes experiences est indissociable du developpement moteur et intellectuel. A chaque etape de cette evolution correspondent des besoins prioritaires tell que : ('alimentation, le repos, le sommeil et ('education sexuelle dont la non satisfaction entraine des problemes qui peuvent influencer son developpement affectif et intellectuel. Ladolescence apparait donc ainsi comme une periode strategique de rupture et de desequilibre entre l'enfance et rage adulte. II est par consequent sujet a divers fleaux (tabac, drogue, sexe etc....) ; (Fob la necessite pour les parents de prodiguer des conseils par un dialogue franc et sincere a leur progeniture ; mail ce domaine reste et demeure tabou dans nos societes, surtout africaines. A ce propos, Dr KABORE (2006) affirme que : Si les filler peuvent etre conseillees par leurs meres sur la conduite a tenir lors des premieres menstrues avec defense formelle &etre enceinte, rien West dit aux garcons Quant au milieu scolaire Africain en general et au Cameroun en particulier [Dien baigne dans un contexte socioculturel certaines traditions n'accordent pas asset de place a ('education sexuelle, les programmes scolaires ne proposent qu'un apergu &education. Ce qui est en inadequation avec la volonte politique de mettre en place un cadre organisatiormel et juridique en matiere de sante publique et de lutte contre les IST/SI DA. Par ailleurs, la couverture sanitaire nationale en matiere d'implantation des services de sante scolaire et universitaire ne suit pas toujours le rythme de creation des structures scolaire et illustre Bien les besoins criards dans le secteur. Certa ins fa cteu rs endogenes peuvent influencer negativement
la sexua lite habituelles ils se retrouvent ainsi subitement en situation Sisolement et de depaysernent, dans un environnernent sans distraction ou la pression du travail et rennui deviennent les seuls cornpagnons, se croient obliges de trouver des partenaires locales ou &accepter celles qui leer sont parfois proposees par les parents &eleves en guise & hospitalite. Par ailleurs certains facteurs exogenes sont en faveur dune sexualite precoce chez les jeunes a savoir : la frequentation des video clubs, des night clubs, bars, hotels et les activites vacancieres ou les jeunes se livrent a des rapports sexuels occasiormels dans la promiscuite sans moindre risque». Les consequences qui en decoulent sont nombreuses. Selon le FHI (2007) : < les IST/IAR sont parmi les causes majeures de morbidite et de mortalite maternelle et perinatales. Les complications ici sont graves notamment : les grossesses extra-uterine, les maladies inflammatoires pelviennes [...] et finalement aboutir a la sterilite, au cancer genital et a la mort ». Selon le CNLS (2009), 51745 cas d'IST on etc pris en charge dans les formations sanitaires au Cameroun, les femmes etant de loin les plus infectees soit 82,5% des cas. Le syndrome le plus souvent evoque est la douleur abdominale base chez les femmes sur le plan etiologique, la gonococcie reste la premiere IST avec 32,5% des cas notifies suivie de la syphilis 29,7%, le chlarnydia 8% et le chancre mou 4,1 %. Le rn'erne rapport precise que la prevalence moyenne du VIH chez les jeunes de 15-24ans est de 5,3% avec un ratio Femme/Homme de 3,4. Pour ONUSIDA (2010), on compte (6) nouvelles infections a VIH au Cameroun par heure. Solt 51315 nouvelles persormes infectees par ans et actuellement L' ONUSI DA estime a 550000 le nombre de personnes vivant avec le VI H au Cameroun, la Region de LEST arrivant en 2 ir-12 position avec un taux de prevalence de 8,6% derriere la Region du NO RD-QUEST 8,7 %, Au cours de nos trois annees de formation a l'ecole crinfirrniers diplom6s &kat de BERTOUA et durant nos stages has pitaliers et communautaires nous aeons eu a rencontrer plusieurs cas d'IST/SIDA et grossesses non desirees et un certain nombre de cas ont attire notre attention notamrnent celui de Mlle X) ogee de 19ans eleve en classe de 31m2 au Lycee de Bertoua Rural et hospitalisee au service de medecine de l'Hopital Regional de Bertoua pour syphilis au Stade (III) avec ulceration vulvaire. Heureusement sa serologic VI H etait negative elle a pu retrouver sa sante au bout de trois semaines de traitement Au vu de tout ce qui precede et de rimpact negatif des 1ST sur la Jeu nesse en generale et le milieu educatif en particulier, nous nous sommes Propose de mener notre etude dont le theme est : « Prevention des infections sexuellernent transmissibles en milieu scoloire . Cos du Lycee de Bertouo Rural )5 La question de recherche qui en decou le est 1-2) QUESTION DE RECHERCHE.Quelles sont les connaissances, attitudes et pratiques des eleves en matiere de prevention des 1ST ? 1-3) BUT.Contribuer a ('amelioration de la prevention des IST/SIDA en milieu scolaire. 1-4) OBJECT IFS.Explorer au moyen Sun questionnaire les connaissances, attitudes et pratiques des eleves dans la prevention des 1ST. Identifier les lacunes des elCves en rnatiCre de prevention des 1ST. Formuler a ('aide des resultats obtenus, des suggestions en vue de permettre aux jeunes scolaires de preserver leer sante face aux 1ST. 1-5) DEFINITION OPERATIONNELLE DES TERMES.
Dans le cadre de notre etude : Vest ('ensemble des moyens utiles visant empec her la survenue d uneIST.
Dans le cadre de notre etude : II s'agit des IST (infections sexuellement transmissibles) Get-a-dire des infections qui se transmettent presque essentiellement par des rapports sexuels non proteges. s Milieu scolaire C'est l'environnement dans lequel les eleves frequentent dans le but d'acquerir des connaissances sous la supervision des enseignants. Dans le cadre de notre etude : II s'agit du LYCEE DE BERTOUA RURAL situe au quartier Mokolo (IV), arrondissement de Bertoua Premier, 1-6) CADRE DE REFERENCE.Les infections sexuellement transmissibles regroupent ('ensemble de maladies infectieuses symptomatiques et asymptomatiques qui se transmettent entre partenaires au tours des differentes formes de rapport sexuel (oral, vaginal, ou anal) non protege. Solon l'encyclopedie Wikipedia (2011) Autrefois appelees maladies veneriennes, ce nom provenant de venus Deesse ]'armour, Puis, dans les annees 1990 ('appellation MST est devenue d'usage courant et depuis 1999 le terme MST est peu a peu remplace par celui &I ST car le terme (infection) plutot que (mafadie) prend mieux en compte le fait quo certaines infections sont asymptomatiques Face aux nornbreuses consequences dues aux 1ST sur la jeunesse en general et les jeunes scolaires en particulier, la necessite de recourir aux actions preventives s'imposetant au niveau familial qu'au niveau socio-educatif. Solon Particle L 1417-1 du code de sante publique Francais : (4. La prevention a pour but crameliorer Vent de sante des populations en evitant ('apparition, le developpernent ou ('aggravation des maladies ou accident et en favorisant les comportements individuels et collectifs pouvant contribuer reduire le risque maladie ». Vest pourquoi de nos jours, it existe plus &kilts, de films et de campagnes de sensibilisation dans le but de prevenir les jeunes face aux I ST/SI DA. Cette education constitue un sujet &actuante dans le monde en general et le Cameroun en particulier 6 cause du taux de rnorbidite et de mortalite &eve suite aux I ST/SI DA, grossesses precoces et I VG. Au vu de toutes les consequences qui en decoulent, l'heure nest plus aux &bats s'il faut ou non parler de sexe aux adolescents, ou continuer a considerer Cela cornme sujet tabou, rnais plutot de savoir
Pour VOMS {2005) le meilleur moven de prevention des IST/SIDA est &kilter de s'exposer aux risques 4- en retardant le debut de l'activite sexuelle {('abstinence} ; 4- en reduisant le nombre des partenaires sexuels ; en utilisant correctement et systematiquement le preservatif. N.B : Lidentification rapide de la presence dune 1ST et le recours sans dela' au traitement adequat font partie de Ia prevention des 1ST. La rapidite &intervention permet non seulement d'abaisser la probabilite de complications au niveau individuel, mais egalement de prevenir la propagation au sein de la Communaute. Plus une 1ST est guerie tot, moins erne risque d'être transmise ar d'outres. 4:4 RETARDER LE DEBUT DE L'ACTIVITE SEXUELLE Les adolescents(es) peuvent eviter Is 1ST et la grossesse un age ou ils/elles soft particulierement vulnerables) en debutant plus
tardivement leer leur cas une grossesse ou une IST peut avoir de graves consequences au plan social et sanitaire. Les adolescentes sont, de par leur constitution, particulierement vulnerables aux infections cervicales, qui creent un risque de MIP, de sterilite et de grossesse ectopique. II est dons important pour les adolescent(e)s de savoir qu'ils/elles peuvent beneficier dun soutien et dune information, clans le respect de la confidentialite, sur les methodes de prevention des 1ST et des grossesses notamment I'usage du preservatif lorsqu'ilsielJes decident de devenir sexuellernent actifs. DIMINUER LE NOMBRE DES PARTENAIRES SEXUELS Un nombre moindre de partenaires sexuels peut aider a reduire le risque de contracter une IST. Par exemple, les couples oil les deux partenaires sont monogames arrant u n(e) seul(e) partenaire sexuel(le) ne risquent rien si les deux elements du couple sont indemnes de toute 1ST. Toutefois, beaucoup de femmes monogames fideles a vie a un seul pa rtenaire sexuel contractent une 1ST du fait du comportement de leur partenaire, bstinence sexuelle est une a utre facon creviter les 1ST (encore que d'autres IAR sont possibles), Bon nombre de personnes ont besoin de strategies autres que la monogamie ou ('abstinence, a un certain moment de leur vie. La monogamie West pas synonyme de protection contre les 1ST lorsque les liaisons monogamiques se succedent en serie et avec rapidite. Les couples qui vivent episodiquement *pares run de l'autre vont egalement avoir besoin d'autres strategies. Quelles que soient les circonstances, les femmes comme les hornmes pratiquant le multipartenariat sexuel ont besoin chine protection fiable contre les 1ST. 4:4 L'USAGE CORRECT ET SYSTEMATIQUE DU PRESERVATIF Les preservatifs constituent la methode la plus fiable pour celles et ceux qui veulent se prot6ger et prot6ger lair partenaire de tout risque d'IST. Utilise correctement, le pr6servatif barre la route aux bacteries et aux virus les plus petits (OMS 200.5). Les preservatifs masculins En latex ; ils sont disponibles a grande echelle, peu onereux et tres efficaces. Faciles a transporter, on peut a n'importe quel moment en disposer pour se proteger. Pour un usage correct du preservatif
Le risque de contracter une iST West cependant pas totalement nu/ mere avec ('utilisation du preservatif. La personae porteuse d'ulcerations genitales ou de venues genitales sur des zones du corps non couvertes par le preservatif peut conta miner le pa rtenaire qui aura etc au contact de ces zones. Les personnes qui n'utilisent pas correctement na systematiquement le preservatif, peuvent contracter une 1ST. Line manipulation ou une conservation incorrecte dans un portefeuille ou dans un endroit chaud, par exemple, ou ('utilisation lubrifiant a base huileuse, peuvent expliquer la perte d'efficacite d'un preservatif. La rupture dun preservatif est habituellement due a un usage incorrect, non a un defaut de fabrication. II faut absolument avoir conscience du fait que le preservatif ne peut proteger des 1ST que s'il est utilise correctement et systematiquement. Lorsqu'il est utilise correctement a chaque rapport, le preservatif peut cons idera blernent reduire le risque de grossesse et d'IST,y compris ('infection a VI H. La prevention des IST/SIDA passe aussi par le developpement et le renforcernent des reseaux associatifs, JACOB MEKOUL (2004), propose : -La communication interpersonnelle par les pairs : Cette methode de sensibilisation qui consiste a faire passer le message d'un enfant a an autre enfant ou d'un aduite a un autre aduite est originals et peut atteindre des resultats interessants a travers les clubs santes, pourvu que l'encadrement et le suivie soient de qualite et ne se I imite nt pas qu'aux actions ponctuelles tels que la fete de la Jeunesse,,. -La participation des parents dieleves : La communication entre les parents et les enseignants doit etre encouragee a travers les associations des parents creleves, lesquels doivent 'etre au courant de tout ce qui touche le milieu scolaire en general et les I ST/SI DA en particulier. CHAPITRE (II)MEMODOLOGIE I 11-1 PRESENTATION DU LIEU DE L'ETUDENotre etude s' est deroulee au Lycee de Bertoua Rural situe dans le quartier Mokolo (IV), arrondissement de Bertoua Premier, Departement du Lom et Djerem, Region de l'Est-Cameroun. 11-1-1 CHOIX DU LIEU D'ETUDE Nous avons choisi rnener notre etude au Lycee de Bertoua Rural pour les raisons suivantes 4- Nous resiclons non loin de ce lycee au quartier Mokolo (III) depuis plusieurs annees. Vest dans ce lycee que mes petits freres et sceurs ont effectue leur cycle secondaire de 2005 a 2010. Ce qui a permis une garantie suffisante pour prendre les contacts necessaires afin de mener cette etude. En plus de ces raisons, le cas recu a l'Hopital Regional de Bertoua qui a motive notre engouement pour ce theme, etait une fille agee de 19ans &eve en classe de 3i" au Lycee de Bertoua Rural. 11-1- DESCRIPTION DU LIEU DE L'ETUDE of Historique Le Lycee de Bertoua Rural fut cree en 2005. Ce Lycee est issu de la transformation de l'ex-C.E.5 de Bertoua Rural qui fut cree en 1991. Depuis sa creation jusqu'en 2010, cet etablissement eta it loge dans {2) quartiers differents distants d'environ 8 Km a savoir : -Le quartier KPOKOLOTA au lieu dit c VANERJE site provisoire ou etait loge les batiments administratifs et quelques salles de classe. -Le quartier MOKOLO (IV) site dOnitif, qui abritait quelques salles de classe, et depuis la rentree scolaire 2010/2011, it abrite desormais toutes les classes et batiments administratifs. h) Situation geographique et infrastructures Le Wee de Bertoua Rural est un etablissement public Senseignement seconda ire general a cycle complet ; it est situe au quartier MOKOLO (IV), a 7 km du carrefour de la poste centrale de Bertoua par la route Departementale D30) Bertoua--Deng-Deng et a environ 200m de celle-ci. Ce Lycee occupe une superficie rectangulaire d'environ 3 hectares avec un relief relativernent plat. II est limite :
Le Lycee de Bertoua Rural comporte les infrastructures ci-apres
MB : Le Lyc6e de Bertoua Rural dispose egalement des latrines, d'un abonnement CDE, et est partiellement entoure d' une cloture en beton. C) Ressources hurnoines Le Lycee de Bertoua Rural dispose des personnels repartis comme suit
d) Fonctionnement Le Lycee de Bertoua Rural fonctionne comrne tous les autres etablissements publics d'enseignement secondaire general au Cameroun ; de lundi a vendredi, excepte le mercredi, les tours se deroulent de 8 h a 15 h 45 avec deux pauses : (la 1'2'2 va de 11 h 00 a 11 h 15 et la 2rc2 va de 13 h 15 a 13 h 45). Le mercredi apres-midi portir de 13 h 15) est destinee aux activites post et periscolaires. 11-2 POPULATION D'ETUDE.Notre population &etude etait constituee des eleves de sexe masculin et feminin SO de 14ans et plus snit 432 eleves friequentant le Lycee de Bertoua Rural dans les classes de Pule, 2rc2 et 11-3 TAILLE DE L'ECHANT1LLON.Notre echantillon est constitue de 200 eleves tous sexes confondus salt 46,29 % de la population cible. 11-4 METHODE D'ECHANTILLONNAGE.Nous avons eu recours a une technique d'khantillonnage aleatoire telle que chaque membre de la population d'etude ait la meme chance de faire partie de l'echantillon. En se referant sur les lister des eleves inscrits, nous avons exclu du tirage tous les Oleves dont rage etait inferieur a 14ans, En fonction des effectifs par classe nous avons procede a un tirage au sort avec la probabilite d'obtenir 40 a 50% d'6eve par classe de la population d'etude. (Pour la repartition de rechantillon par classe voir le tableau ci-dessous).
Nous avons &coupe des papillons et nous y avons Porte les numeros en fonction de l'echantillon de chaque classe cela nous avons ajoute des papillons blancs avant de proceder au tirage ; Par exemple : (Pour la classe 3e AE nous avons numerote 30 papillons et ajouter 37 papillons blancs pour un total de 67 papillons et procede ensuite au tirage. C'est ainsi que ceux qui avaient tire les papillons nurnerotes etalent retenus clans le cadre de letade). Nous avons repete cette technique dans les autres classes pour obtenir en fin 200 6Ieves qui ont accepte volontairernent de participer a cette etude. 11-5 INSTRUMENT DE COLLECTE DES DONNEES.a) Confection et presentation Pour collecter les donnees, nous nous sommes servis d'un instrument a savoir oLe questionnaire », concu au prealable a partir de notre cadre de reference. I I est subdivise en (5) parties comme suit Un entete comportant une note a V intention des repondants (es) et des instructions pour repondre aux questions. 7;10 Lidentification des eleves.
Pour nous rassurer de la bonne comprehension du questionnaire, nous avons procede a un pre-test qui s'est tenu le 04 mars 2011 aupres de 10 &yes de la classe de 3ir-1 Al du College Bilingue de Lorient. terme de ce pre-test, nous avons effectue une correction dans le but de rendre le langage plus accessible a tous les repondants (es). Par exernple : A la question Ne 14. {Quells sort les signes de manifestation des 1ST ?) Parmi les propositions faites, la proposition (doufeur pendant fa miction) a etc rernplacee par la proposition .(douieur pendant qu'on urine). A part vela les &eves n'ont eprouve aucune difficulte majeu re pouvoir repondre aux questions qui leur ont etc pose. 11-6 DEROULEMENT DE L'ENQUETE.L'enquete a etc entierement menee par nous apres validation de la methode Sechantillormage telle que decrite plus haut. Nous avons merle l'enquete le 17 mars 2011 suite a un rendez-vous pris au prealable avec Monsieur le censeur hi° 1 du lycee de Bertoua Rural. Le 16 mars 2011 nous nous sommes concertos avec les censeurs pour definir les modalites pratiques du deroulement de l'enquete. Le 17 mars 2011 nous avons effectivement merle l'enquete. Nous nous sommes presentes aux cloves en leur expliquant ('objet de notre presence. A cet effet nous leur avons rappele le caractere purement scientifique de notre enduke et nous leur avons demande de garder l'anonymat pour preserver la confidentia lite des reponses gulls auront proposees. Par la suite nous avons procede au tirage au sort par classe selon le protocole defini plus haut ; Nous avons rassemble les cloves retenus dans trois salles differentes et nous leur avons distribue le questionnaire en veillant a ce qu'ils/elles ne se communiquent les reponses. 11-7 ETHIOUE DE LA RECHERCHE.Pour le respect de l'ethique de la recherche et la protection des droits de l'homme, nous avons obtenu au prealable, de la Direction de l'Ecole des I nfirmiers Diplornes &Etat de Bertoua, une lettre de demande d'autorisation de collecte des donnees 160/L/MSPIDREIE1DE-BTA le 07 mars 2011 a la quelle nous avons associe notre demande personnelle et un exemplaire du questionnaire. Les deux lettres ont ete deposees a upres de Madame le Proviseur du Lycee de Bertoua Rural. En reponse a cette demande Madame le Proviseur nous a donne un accord favorable joint en annexe de ce Memo ire. Nous avons egalement adresse u ne note a l'endroit de chaque repondant au debut du questionnaire pour leurs rassurer du caractere purement acadernique et anonyrne de notre etude. 11-8 DESSEIN DE L'ETLTDE.Notre recherche est de type qualitatif exploratoire, car elle nous permet &explorer et d'etudier a base d'un questionnaire les connaissances, attitudes et pratiques des eleves en matiere de prevention des 1ST. 11-9 METHODE DE TRAITEMENT DES DONNE ES.Nos donnees ont ete depouillees manuellement a I'aide du papier, dune gomme et d'un crayon ensuite cornpilees a Nide dune calculatrice electronique. Les resultats sont presentes dans des tableaux, des diagrammes circulaires, et des histograrnmes. Pour le montage des diagrarnmes et histogrammes nous avons eu recours au logiciel Microsoft Office Excel 2007. Ces tableaux et figures confectionnes nous ont permis &analyser, de deceler les lacunes et insuffisances qu'ont les eleves en matiere de connaissances relatives a la prevention des IST. 11-10 DUI EE GENERALE DE L'ETUDE.Notre etude s'est deroulee du 03 janvier 2011 au 09 mai 2011 snit une dureetotale de (125) Ours. II-I I PLAN DE PUBLICATION.Ce travail est destine principalement A la validation cl'un module de formation (Initiation it la recherche). I I sera presents et soutenu publiquement levant un jury, ainsi, la publication de ce memoire va se limiter a la production de
11-12 BUDGET ET FINANCEMENT DE LA RECHERCHE.
CHAPITRE (III)
I- IDENTIFICATION DES ELEVES.
14-172ns 18-212ns 22ans et+ Tranches d'age
Tableau N'1 : Relatif a la repartition des repondants(es) selon leur
I I ressort de ce tableau que sur 200 repondants(es)
11 soit 5,5% sont de religion adventiste du 72 jour. Tableau N*2 : Relatif aux personnes qui hebergent les repondants(es).
I I ressort de ce tableau que sur 200 repondants(es) 126 el6ves soit 63% resident avec leurs parents, 55 eleves soit 27,5% resident avec un tuteur ou une parente,
ll-CONNAISSANCES ET ATTITUDES SUR LA SEXUALITE Tableau N*3 : Relatif a la definition de la sexualite.
Tableau W4 : Relatif aux sources d'education a Ia sexualite.
N. B Sur 179 repondonts nous ovons enregistre plusieurs propositions a lo fois. II ressort de ce tableau que sur 179 reponclants(es)
Figure (V) : Histogramme relatif a rapproche utilisee pour reducation sexuelle. 120 100 80 60 40 20
I I ressort de cet histogramme que sur 179 repondants.(es) : 112, soit 62,57%, declarent que leurs educateurs ant eu recours a une causerie educative. 24, salt 13,41%, declarent que leurs educateurs parlent de sexualite avec un ton severe. Figure (VI) : Diagramm e circulaire relatif a rAge du debut des relations sexuelles.
II ressort de ce diagramme que sur 200 re.pondantses) : 66 616ves, soit 33%, pensent que les relations sexuelles doivent commencer a partir de 15ans. 106 eleves, salt 53%, pensent que les relations sexuelles doivent commencer a partir de 20ans. Tableau N*5 Relatif aux facteurs qui influencent le plus reducation a Ia sexualite.
II ressort de ce tableau que sur 200 repondants(es) 62 eleves, salt 31%, affirment clue les medias ant une influence sur leur sexualite. 59 eleves, snit 29.5%, pensent clue les lieux de plaisirs (boite de nuit, video club...etc.) ant Line influence sur leur sexualite. III- NOTIONS SUR LES IST/SIDA.Figure (VII) : Diagramme circulaire relatif a Ia question 14°11 Avez-vous déjà entendu parler des 1ST?
II ressort de ce diagramme que sur 200 repondants{es) 198 eleves, salt 99%, affirment qu' ils ant dela entendu parlor des 1ST. 2 eleves, salt 1%, affirment quails Wont jamais entendu parler des 1ST. Tableau re6 Relatif a la definition des 1ST.
II ressort de ce tableau que sur 198 repondants(es),
IV-CONNAISSANCE EN MATIERE DE PREVENTION DES IST/SIDA.Figure (Viii) : Diagrarnme circulaire relatif .a la question Nc16 « Avez-vous déjà beneficie des =sells idiun service de sante en rootiere de prevention des ST/SIDA ?
I I ressort de ce diagramme que sur 200 repondants{es)
sante en rnatiere de prevention des I ST/SIDA.
Figure (X) Diagrarrirne circulaire relatif a la question Nc17 « Avez-vous déjà erg des rapports sexuels ? 51'11111* 1
49% I II ressort de ce diagramme due sur 200 repondants(es) 101, salt 51%, Wont jamais entretenu des rapports sexuels. 99, salt 49%, ant déjà entretenu des rapports sexuels. Figure (XI) : Histograrnrne relatif a la question 17-a gPrecautions prises pour eviter les 1577,SIDA
7 Utilise des Ne fait rien Se lave juste preservatifs apres Precautions utilisees pules elkres II ressort de cet histogram me que sur 99 repondants(es) 78, snit 78,7%, ont eu recours au preservatif comme moyen de protection. 71, 14, soft 14,3%, n'utilisent aucun moyen de protection. Tableau N°11 Relatif a la question 17-b < Les raisons d'abstinence sexuelie».
I I ressort de ce diagramrne que sur 101 repondants(es) 37, soit 36,6%, disent gulls/61es ne sont pas pret{es} pour avoir des relations sexuelles. 30, soit 29,7% evoquent le respect des consignee parentales. Tableau IV312 Relatif a la question Nr 18 : En cas clinfections aux /ST que faites vous?»
I I ressort de ce diagrarnrrie que sur 99 reponidantses) 710 42, soit 42,2% vont tout seul a l'hopital. 46, soit 46,7% prennent ('initiative de prevenir leur partenaire Puis, ils se rendent a l'hapital. Rep@ rtition des selon la question : Quei est sefon vous la meifieure solution pour eviter les ISTISIDA ? ». Le port des preservatifs Faire des examens de depistage regulierement
25% La fidelite L'abstinence II ressort de ce diagramme que sur 200 repondents(es) 91, soit 45%, pensent que l'obstinence est le meilleur moyen d'eviter les IST/SIDA. 51, soit 25%, pensent que to est le meilleur moyen creviter les IST/SIDA. 43, soit 22%, pensent que le port des preservatifs est la meilleure methode pour eviter les IST/SIDA. CHAPITRE (IV)SYNTHESE ET DISCUSSIONSA- D0111116CS relatives a ridentification des repondants(esII ressort de notre etude que nous aeons effectude au Lycee de Bertoua Rural que, sur rechantillon de 200 repondants(es) 104, soit 52%, sont de sexe masculin et 96, salt 48%, sont de sexe fernin in (figure I) ; par ailleurs la figure (II) nous montre qu'ils appartiennent majoritairement (soit 60,5%) a la tranche (rage (14-17ans). Ce qui donne a observer qu'ils sont en pleine phase d'adolescence periode laquelle ils cherchent a s'affirmer, braver tous les interdits ; c'est ici que s'eveille la sexualite. Cette periode hautement strategique, est dons importante car de nombreux derapages peuvent titre enregistres. De ce fait les educateurs en general et les parents en particulier sont interpelles car ils doivent les aider a franchir cette *lode sans trop de risques. Nous constatons ensuite au tableau (1) que, 65,5% des repondants(es) appartierment a la religion catholique ; quand nous associons les autres religions chretiennes (protestants, adventistes, et les pentecotistes) la population &etude est a 94% chretiennes. Ce qui constitue un atout favorable pour ('education a la sexualite a travers la promotion des valeurs telles que la chastete, l'abstinence...etc. De plus, le tableau (2) nous montre que 126 soit 63% de repondants(es) habitent avec leurs parents ce qui est un facteur favorable a ('education a la sexualite, grace a l'autorite et a la responsabilite que ceux-ci ont vis-a-vis des enfants pourvu qu'ils soient capable de vaincre les tabous. D'autre part 9 wit 4,5% des repondants(es), habitent tout seuls. Par consequent ils echappent tout controle et peuvent ainsi 'etre influencer par n'importe qui surtout a la periode de ('adolescence et aboutir au vagabondage sexuel et ses consequences telles que les IST/SIDA. II en est de meme pour ceux qui habitent avec les grandparents car la plu part &entre eux ne possedent pas de connaissances requises pour aider les adolescents. A la lecture de la figure(III), it ressort que 94, soit 47% des repondants(es), frequentent la classe de PI e ; classe ou lion acquiert des connaissances de base en science de la reproduction (anatomie, physiologie et quelques pathologies de rapparea genital). II revient donc aux enseignants au-dela des lecons et des evaluations qui en decoulent d'insister sur l'aspect ethique et moral de la sexualite en prodiguant des conseils afin d'eviter tout derapage. B- DomItles relatives aux cannaissances et attitlideS Stir la sexualite.La lecture du tableau (3) nous montre que 119, soit 59,5% de repondants(es), ne savent pas reellement la veritable definition de la sexualite. Pour eux, la sexualite se limite a entretenir des rapports sexuels negligeant ainsi les aspects ethiques et affectifs qui doivent gouverner la sexualite; et plus grave 17 ereves soit 8,5% assimilent la sexualite a la fecondation de l'ovule par les spermatozoIdes. Ce qui va en contradiction avec la figure (IV) ou 89%, spit 179 repondants(es), affirment pourtant avoir rev' une education sexuelle. II convient donc ici de rechercher les fondernents et le contenu de cette education a la sexualite revue. Le tableau (4), nous donne la classification des educateurs a la sexualite. Ici les parents sont cites comme premiers responsables de ('education a la sexualite avec une frequence de 36,39% de proposition, suivi des enseignants 33,33% et ensuite les camarades de classe et amis 12,27%. Ces trois sources sont des composantes essentielles de l'environnernent immediat de l'elCve ; raison pour laquelle tout programme qui vise ('education a la sexualite dolt tenir compte de cette realite. Car de toute facon Line des (3) sources a un impact sur le developpement psychoaffectif de l'adolescent. Par ailleurs a la figure (5), 112 repondants(es), soit 62,57%, affirment que leers educateurs ont initie des causeries educatives ce qui est une strategie encourager car elles permettent aux eleves de s'exprimer en toute liberte sans avoir honte ou &etre culpabiliser it en est de m'eme pour les 19,55% d'eleves qui on etc eduquer a la sexualite a travers le dialogue raison pour laquelle Dr Paul CHAUCHARD (1982) declare que : fc reducateur doit developper des attitudes rassurantes ni trop rigides ni trop soupies » En revanche, ceux qui ont etc eduques a travers un ton severe (13,41%) ou une simple information (4,47%) ne peuvent pas cerner avec exactitude les contours et les enjeux autour de la sexualite et par consequent ressentir des frustrations et avoir le sentiment &etre a l'ecart. II ressort de la lecture de la figure (VI) que 106, soit 53% des repondants(es), pensent qu'ils peuvent commencer a entretenir des relations sexuelles des rage de 20ans ce qui peut 'etre comprehensible du point de vue biologique surtout chez les filles car, a cet age, les organes reproducteurs ont terming leurs developpements. Du point de vue psychologique et affectif, des problemes demeurent quanta leurs capacites a pouvoir assumer les consequences qui decoulent des relations sexuelles (grossesse non desiree, IST/SIDA ...) ; plus grave 66, soit 33%, d'eleves pensent qu'ils peuvent entretenir les relations sexuelles des rage de 15ans. Ce qui est une preuve effective que ces eleves ne maltrisent pas les consequences liees aux activites sexuelles precoces. A ce propos l'OMS (2005) affirrne que : c La vulnerabilite aux IST/SIDA est grande chez les adolescents(es) sexuellement actifs ». Par ailleurs, le tableau (5) nous montre que 62, soit 31% de repondants(es) affirment que les media influencent leur sexua lite, et dans le m 'erne sens 29,5% soit 59 repondants(es) sont influences par les lieux de plaisir (boite de nut, bar...etc.). Cet aspect peut presenter un danger pour les jeunes car de nos jours, la television et de nombreux magazines largement diffuses sont de nature a encourager les relations sexuelles precoces car plusieurs feuilletons televises et des magazines nous montrent des jeunes changeant de partenaires sexuels leurs guises. Ces phenomenes sont d'avantage amplifie grace au NTIC telles que l'internet. C- Daiiriees relatives all\ iiotAOris S Ur les ISTISIDA.La figure (VII) nous montre que sur les 200 eleves interroges 198 soit: 99% ont deja entendu parler des 1ST. De plus, nous constatons que 182, soit 91,92% des repondants(es), du tableau (6) co nnaissent la definition des 1ST. Par contre 16 eleves, soit 8% des repondants, ne savent pas la definition veritable des 1ST; ce qui est un reel probleme au vu de toutes les communications faites actuellement sur la prevention du VIH/SIDA. Par ailleurs le tableau (7) nous presente 33 eleves, soit 16,5%, qui sont incapables de citer une seule 1ST et nous relevons pour le regretter que parmi ces 33 eleves, 28 sont issus des classes de 3irle. Ce qui nous montre effectivement un deficit en termes pie connaissances sur les 15T surtout, les classes de P"2. Dans le m6me seas, le tableau (8) nous montre que 9,5%. soit 19 eleves, sont incapables de citer un seu I signe caracterisant les 1ST parmi lesd uels 13 eleves issus des classes de 3i1-12. Et vela rejoint en quelque sortent les statistiques de ONJUSIDA (2008) qui confirme que Seuiement 40% des jeunes possedent des connaissances precises sur 1e V/H et sa transmission ». La lecture du tableau {9) nous montre que 44 filles, soit 45,8% de l'effectif total des filles, ant dela effectue un test de depistage au VIH/SIDA, 9% ont effectue un PCV. Ces attitudes sont a encourager car la frequentation des structures sanitaires leur permet non seulement de connaitre leur statut serologique mais aussi de recevoir des conseils dans le cadre de la prevention des 1ST/1AR. Par contre 46,8% Wont jamais effectue de test de depistage ; cette attitude peut titre justifiee par le fait qu'ils n'ont pas encore developpe de maladies liees aux 15T etant donne que certaines 15T evoluent de facon asymptomatique, it est donc necessaire de les encourager a effectuer des tests de depistage. La lecture du tableau {10) nous montre que 78 garcons, soit 75% de l'effectif total des garcons, Wont jamais effectue de test de depistage ; ceci peut s'expliduer par le fait que les homrnes sont tres souvent mains exposes aux IST/SIDA que les femmes comme le precise le ratio Femme/Homme de la prevalence aux VIH en 2009 qui est de 3,4 selon le CNLS. Les educateurs sont donc par consequent interpelles a sensibiliser davantage les jeunes garcons a effectuer des tests de depistage car lo prevention vout mieux que lo guerison. D- Connaissances cn niatiere de prelientio 1i des 1ST/SIDA.II ressort de la figure (VIII) que 72 soit 36% de repondants{es), n'ont jamais beneficie des conseils d'un professionnel de sante en rriatiere de prevention des IST/SIDA; ce qui est tout a fait regrettable car cet etablissement dispose pourtant dune infirmerie scolaire ; les raisons evoquees par les eleves a la figure (IX) a savoir fe monque d'orgent, fe monque de temps, ou encore lo honte de se rendre dons une structure sonitaire ; ne devraient pas expliquer l'inertie de cette structure qui devraient en principe a Iler rencontrer les eleves et leur parler de la prevention des IST/SIDA. Par ailleurs 99, soit 49% d'eleves (figure X) ciecla rent avoir deja entretenu des rapports sexuels et quelque fois non proteges. Ce qui nous montre effectivernent qu'ils sont sexuellement actifs mais pas toujours outilles sur les plans affectifs et cognitifs pour affronter les difficultes et les risques lies a la sexualite precoce, En outre la figure (XI) nous montre que 78, soit 78,7%, de ces personnes sexuellement actives ont recours aux preservatifs. Bien que le risque de contractor une 1ST ne soit pas nul, ce comportement est a encourager a idefaut de l'abstinence. En revanche, 14,3% d'eleves sexuellement actifs n'ont recours a aucun moyen de protection. II en est de m'eme pour 6,9% d'eleves qui pretendent se proteger en prenant tout sirnplement une douche apres un rapport sexuel ce qui n'a non seulement aucun fondement scientifique, mais aussi constitue une porte ouverte aux grossesses non desirees et surtout aux IST/S1DA. II ressort du tableau (11) que, parmi les 101 ereves n'ayant lanais entretenu de rapports sexuels, 36,6% affirment ne sont pas encore pre'ts(es), 29,7% s'abstiennent parse qu'ils respectent les consignes des parents. Ces attitudes sont toutes a encourager face a la depravation des mceurs et la proliferation des IST/SI DA qui sjobservent de nos jours. L'examen du tableau (12) fait ressortir que 47% d'eleves sexuellement actifs affirment prennent soin de prevenir leurs partenaires sexuels avant d'aller a l'hopital sont victimes dune 1ST. Ce qui est une attitude responsable a encourager car cela permet de rompre la chaine de contamination des 1ST. Cetaux reste tout de memo faible car id' un cote 42,2% vont tout souls ; de l'autre, it existe des refractaires a cotta initiative. Certain ne font d'autres consornment les medicaments de la rue ; qui sont des attitudes irresponsables et qui peuvent mettre en peril leur sante et leur vie. Les educateurs et personnels de sante sont donc particulierernent interpelles. La lecture de la figure (12) nous montre que seulement 91, soit 45%, d'eleves sont en favour de ('abstinence cornrne meilleur moven pour eviter les 1ST. Ce qui est un taux relativement faible, S'il est vrai que les autres methodes savoir : La fidelite, le port des preservatifs, et les exameris de depistage » concourt a la prevention des 1ST, ('abstinence reste et demeure le moyen le plus efficace pour prevenir les 1ST mais aussi le SIDA comma stipule le document : ff Prise en chore intearee de la sante reoroductive i OMS (2008). CHAPITRE (V)CONCLUSION ET SUGGESTIONSV-1 CONCLUSION'.Parvenu au terrne de notre etude qui avait pour theme : (Prevention des infections sexuellement transmissibles en milieu scoloire » et dont la question de recherche eta it Queiies sont /es connaissances, attitudes et pratiques des eleves en matiere de prevention des 1ST ?», Paralyse et synthese des donnees recueillies au Lycee de Bertouo Rural nous ant permis de faire les constats suivants : MP Plus de deux tiers d'eleves interroges (68%) ne savent pas ce qu'est la sexuolite. I Is assimilent la sexua lit6 aux rapports sexuels et /ou a la fecondation et pourtant ils sont 89% qui affirment avoir rect.' une education a Ia sexualitO. NI. Les parents ant peu d'engouement dans reducation sexuelle de leurs enfants (36,39%). Consequence, ceux-ci s'accrochent aux autres sources &education teller que les enseignants, les camarades, et les medias. 1111. Pres d'un tiers d'eleves pensent qu'ils peuvent entretenir des rapports sexuels des rage de 15ans preuve qu'ils/elles ne maitrisent pas les consequences liees aux activites sexuelles precoces. Pres de deux tiers d'eleves affirment que les medias et la
frequentation des Iieux de plaisir tels que (Bar, boite de nuit Mk Pres d' un tiers d'eleves de Ia classe salt 28 eleves, ne possede pas de connaissances precises sur les IST/SIDA ainsi que les principaux signes de manifestations. NI. 49%, snit 99 eleves, affirment avoir déjà entretenu des rapports sexuels et pourtant 61,5%, salt 123 eleves, Wont jamais effectues de test de depistage ce qui est une preuve de negligence de leur sante et ce Ile de leur partenaire. Seulement 45% d'eleves pensent que ('abstinence est le mei Ileur moven de prevenir les IST/SIDA. Au vu de ce qui precede et dans le but de permettre aux jeunes scolaires de preserver leur sante face aux 1ST, nous profitons de ce cadre &etude pour formu ler quelques suggestions. V-2 SUGGESTIONS.a)Aux parents &Wives. Etant donne que les parents restent et demeurent la premiere source d'education a la sexualite pour ces eleves, it est necessaire
f)Au niveau du MiNSANTE II est necessaire de renforcer les capacites des personnels de sante travaillant dans les lycdes et colleges en leurs soumettant regulierement aux sessions de formation continues. REFERENCES BIBUOGRAPHIQUESA. Livres.
B. Revues scieutifiques.
9-0NUSIDA (Mai 2010). Le point .cur le f/11-1,SIDA en Afrigtte sttbsaharienne (vy-ww,o nusida 0 i-g) 10- PNUD (2009). Rapport mondial .cur le aveloppement luirnain. P.11. C. Supports electronic:1ms.
LISTE DES ANNEXES
REPUBLIQUE DU CAMEROUN Pa ix --Travail -- Pattie MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE DELEGATION REGINA LE DE. L' EST REPUBLIC OF CAMEROON MINISTRY OF PUBLIC HEALTH ECOLE D' INF] RMI ERS D IP COM ES D' ETAT DE BERTOUA 160/L AISP/DRE iEIDE-BTA. Objet Demande dune autorisation De co llecte de donnees. Madame, TRAINING SCHOOL FOR STATE REGISTERED Bertoua, ]e Madame ]e Directeur de l'Ecole d'Infirmiers Dans ]e cadre de l'initiation a la Recherche Infirmiere et ]e souci de permettre aux Eleves Infirmiers Dipl6mes d'Etat de 3e armee de Bertoua de realiser ]es travaux de rec h.erc he pour ]e con-pte de ]eur examen de certification, J'ai l'honneur de sonic iter votre collaboration afin de permettre NDONGO Gerais Eleuthere de proceder a la collecte des donnees dans votre Etablissement pour la periode du au Son sujet porte sur « Prevention des infections sexuellement transmissible en milieu scolaire ens du lycee de Bertoun Rural 5> Tout en vows remerciant pour votre collaboration et votre dispc nibilite, je me tiers a votre disposition pour d'eventuels details relatifs a ce sujet. LE DE RECTEUR NDONGO GERVAIS Eleve infirmier diplome d'etat Bertoua, le Objet : Demande dune autorisation )4 de collecte de donnee. Madame le proviseur du lyeee de Madame le proviseur, l'honneur tres respectueux de venir au pres de votre haute person na lite solliciter une autorisation de collecte de don nee au rein de votre etablissement. En effet dans le cadre de ('elaboration du memoire de fin d'etude en vue de l'obtention du diplome d'etat en soins infirmiers dont le theme est a PREVENTION DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES EN SCOLAIRE Je sollicite mener cette etude dans votre dtablissement. Ci-joint a cette demande Le questionnaire relatif a la prevention des infections sexuellement transmissibles. Dans rattente dune suite favorable, veuillez agreer Madame le proviseur, ('assurance de mon profond respect. Ndongo Gervais Eleuthere Eleve infirmier diplome d'etat 3irn2 Ann& QUESTIONNAIRE RELATIF A. LA. PREVENTION DES A- NOTE A L TTENTiON DES REPOND,4NTS(ES) Chers El6ves, Dans le cadre de l'Olaboration du mOmoire de fin cr6tude en vue de l'obtention du diplome d'Otat en Soins Infirmiers; Nous (Ndongo Gervais Eleuth6re) etudiant en Soins Infirmiers du niveau III de L'ECOLE DES INFIRMIERS DIPLON1 ES D'ETAT DE BERTOUA avons I'honneur de soumettre a votre attention une enquke concern ant : &PREVENTION DES INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES EN MILIEU SCOLAIRE Ce travail etant purement academique, nous VOUS prions de biers vouloir repondre 6 ces questions en toute sinckite tout en vows rassurant que tout se clkoulera dans ranonymat et le strict respect de Ia confidentialit6. 8-QUESTIO .V.VA IREINSTRUCTIONS: Veuillez repondre sort erg rnettant une croix (X) dans to case correspondante d votre reponse, spit en ecrivant dans l'espace reserve a cet effet. I-IDENTIFICATION DES ELEVES
II-CONNAISSANCE ET ATTITUDE SUR LA SEXUALITE
-Cast Ia fkondation de ('ovule par les spermatozoides. -C'est ('ensemble des caracthes affectifs, physiques et biologiques qui differencient I'homme et Ia femme.
El El
17) Avez-vous deja eu des rapports sexuels ? Oui 1-1 Non
-fattend le mariage respecte les consignes des parents 171 El 18) En cas d'infectIon aux I5T que fake vous ? -Je vais a l'hopital tout seul -Je prends les medicaments de Ia rue
19) Quel est scion vous Ia meilleure solution pour eviter les IST/SIDA ? -L8 fidelite 11 tabstinence El -Port des preservatifs 1=1 -Faire des exarneris de d6pistage r6gul(ererrent LISTE DES ENSEIGNANTSPERSONNEL ADMINISTRATIF
PERSONNEL ENSEIGNANT PERMANANT
PERSONNEL ENSEIGNANT VACATAIRE
Mémoire présenté et soutenu publiquement le 24 mai 2011 à l'Ecole d'Infirmiers Diplômés d'Etat de Bertoua par NDONGO Gervais Eleuthère devant un jury constitué ainsi qu'il suit : > Président Dr YELE Beaunet Flavian (Médecin de santé publique) Directeur de l'Hôpital Régional de Bertoua. > Membre M. Si ENGUELE Siméon (Infirmier supérieur Principal) Directeur de l'Ecole des Aides Soignants d'Abong-Mbang. > Membre M. FOTSO (Spécialiste en Santé Publique).
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Changeons ce systeme injuste, Soyez votre propre syndic
"Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant ou l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses" | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||