Gestion informatisée des clients d'une société d'aviation: cas de la Compagnie Africaine d'Aviation (CAA )/ Escale de Boende

MINSTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, UNIVERSITAIRE

ET RECHERCHES SCIENTIFIQUES

INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE
I.S.C. BOENDE

SECTION D'INFORMATIQUE DE GESTION
OPTION ANALYSE ET PROGRAMMATION

« GESTION INFORMATISEE DES CLIENTS D'UNE SOCIETE

D'AVIATION »

« Cas de la Compagnie Africaine d'Aviation (CAA)/Escale de Boende »

Par
Peter ISOLOXE IFELA

Tél : [phone])

E mail : isolooeteravahoo.fr

RD CONGO / Province de l'Equateur/ Boende

Travail de fin de Cycle présenté et défendu en vue de l'obtention du grade de gradué en informatique de gestion (Analyste Programmeur)

Directeur : Prof. Dr. Emile AISSI YUMA Encadreur : Assistant Doudou WAY NSANGANI

ANNEE ACADEMIQUE 2011-2012

EPIGRAPHE

« Moi donc, je cours, non pas comme a l'aventure; je frappe, non pas comme battant l'air. Mais je traite durement mon corps...je cours vers le but, pour remporter le prix »

(LA SAINTE BIBLE : I Cor 9 : 26-27 et Phillipiens 13 : 14)

I
DEDICACE

A mon fr3re aine Albert NKOY IMBOTO, vous m'avez donne trop de marques de bienveillance et de sagesse.

A toi mon spouse Jael Moleso pour ton amour, tes sacrifices et encouragements incessants qui m'ont toujours pousse et motive dans mes etudes.

A tous mes enfants pour vos affections et prieres A la grande famille Nkoy Basele ;

Je dedie ce travail, produit des efforts consentis.

II
REMERCIEMENTS

Au terme de l'ac hevement de nos etudes de graduat en Informatique a l'Institut Superieur de Commerce (ISC Boende), il nous est imperieux de remercier tous ceux qui, de pros ou de loin ont contribue pour l'edification de cet ouvrage scientifique.

Gloire soit rendue a notre Seigneur Jesus-Christ, le maitre de toutes les circonstances et la source de notre bien-titre.

De prime abord, nous exprimons notre gratitude de haute consideration envers le Dr. Emile AHSSI YUMA pour sa grandeur d'esprit scientifique, et qui, en depit de ses multiples occupations a accepte volontiers la direction de ce travail.

Je remercie infiniment l'Assistant Doudou WAY NSANGANI pour sa disponibilite, l'encadrement et ses precieuses contributions qui m'ont permis de presenter un travail de fin d'etudes en informatique de gestion.

Nous tenons fermement a mentionner notre profonde reconnaissance a l'egard du Professeur Dr. LEDI BOKAKO LOMBE, Directeur General de l'ISC Boende, pour ses sages conseils, orientations et contributions qui m'ont propulse vers le but. C'est par son sens de responsabilite que cette Institution connait un epanouissement considerable. Nous pensons egalement a ses collaborateurs directs, notamment au Secretaire General Academique Chef des Travaux Frederic EMPUNDA ea MPAKAMA, le Secretaire General Administratif LIKINDA, Assistant Rev. Pasteur BASELE et aux Assistants Jose BOLOKOLI et BOLELO EYOMA respectivement Chef de section et Chef de Departement. Nos remerciements vont egalement a l'Assistant Gaby ISESE et a tous les enseignants de ladite institution Universitaire pour leur encadrement scientifique et moral.

A mon Pasteur Jean Claude NKOO pour son soutien spirituel et moral, nous implorons les benedictions du Tres-haut pour les immenses services que vous ne cessez de rendre a ses enfants. Nous sommes reconnaissant au precieux fr3re Papy Ilambe et a tous les rac hetes du Seigneur Jesus-Christ pour leur contributions spirituelles.

Nous rendons hommage a nos regrettes parents Albert Nkoy Basele, Pauline Luanga Bakolie et Ekoto Bofoku Lepa, que leurs Ames reposent en paix dans les sejours des ancetres, voici aujourd' hui l'aboutissement de vos initiatives.

Que mon epouse Jael MOLESO eprouve la joie de la concretisation de nos raves. Grand merci pour ton affection, tes conseils et ton soutien de tous les temps.

A tous mes enfants : Bernard Luende, Tresor Nkoy, Nkoy Roger, Virginie Ngome, Lydie Bosako Isoloke, Ekoto Isoloke C hadrac, Nkoy Isoloke Ruth, Imboto Isoloke Mec hac, Loali Isoloke Merveilles, Luanga Isoloke Rebecca, Ikoyo Isoloke Alvie, Moleso Isoloke Jael, Tete Loseka, Mado Nsonge, pour leur affection et qu'ils retrouvent a travers ce travail un modele a suivre.

A mon fr3re Aine Albert NKOY IMBOTO et mes fr3res : Paulin Etay, Yves Iyassa Bonganya, Ongale Ekofo Pablo, Pie Roger Bontala, Lokela Lundi, Ndjoli Freddy, Didier Benkanga, Luende DC, Ivette Moleso Nsonge, Junior Moleso Molinda, Willy Masebi, Past. JP Bonkela , Joel BASOSILA; nous vous sommes reconnaissants pour toutes vos contributions tant materielles, financieres et techniques. Merci de tout cceur a l'Assistant Bob Denard pour son apport stylistique et linguistique. Nous disons egalement merci a Messieurs Hoppy Botaka, Benz Benseke, Benjamin EBAMBE, Jean Pierre Mpongo Iseloko, Paul Mpongo Ikeme pour leurs contributions materiels et financieres pour la confection de ce travail.

Que mes sceurs Therese Luende, Balinga Lombongo, Mbaka, Elysee Longangu, Bibic he Wiko,.... Soient remercie a travers ce travail pour leur assistance.

A travers ces lignes, Que mon beau p3re MOLESO LIWAWA, ma belle- mere Madeleine NSONGE BOSUA, trouvent mes sinceres gratitudes pour leur soutien et affection.

Nous garderons des bons souvenirs a tous nos amis de promotion, a savoir, Rebecca Ilonga Ndombe, Ilongomo Christian, Bola Ilontala Nin ho, Bokona Eale Chimene, Martine Etefa, Mpakama Cedric, Jeremie Botuwa, Nkumu Iyeli Platini et Bauli Bolili Abetty.

Enfin, nous disons grand merci a l'equipe de la bureautique Lys de la Vallee pour avoir assure l'informatisation de ce travail et au Chef d'escale CAA / Boende , Monsieur Aime MANUNGA pour sa disponibilite et generosite durant la recolte des donnees.

Que tous ceux qui nous ont soutenus de pros ou de loin, trouvent nos sinceres remerciements et que le Seigneur Dieu l'auteur de toutes retributions leur soit agreable.

Pritor laboite l~ebv

Tel : [phone])

E mail : isolopeteraya hoo.fr

RD CONGO / Province de l'Equateur/ Boende

SIGLES ET ABREVIATIONS UTILISEES

1. ISC : Institut Superieur de Commerce

2. SGBD : Systeme de Gestion de Base de Donnees

3. BD : Base de Donnees

4. SI : Systeme d'Information

5. CAA : Compagnie Africaine d'Aviation

6. MERISE : Methode de Realisation Informatique dans le Systeme d'Entreprise

7. ISO : International Systeme operating

8. MCD : Modele Conceptuel des donnees

9. MCT : Modele Conceptuel de Traitement

10. MOD : Modele Organisationnel de Donnees

11. MOT : Modele Organisationnel de Traitement

12. MLD : Modele Logique de Donnees

13. MLT : Modele Logique de Traitement

14. MPD : Modele Physique de Donnees

15. MPT : Modele Physique de Traitement

16. GAP : Groupe Agro-Pastoral

17. RD Congo : Republique Democratique du Congo

18. LMD : Langage de Manipulation des Donnees

19. UT : Unite de Traitement

20. BdD : Base de Donnees

21. MAJ :Mise A Jour

22. RAM : Random Acces Memory

23. UC : Unite Centrale

24. CD : Compact Disc

25. CD-R : Compact Disc Recordable

26. CD-RW : Compact Disc Rewritable

27. CD-Rom : Compact Disc Read Only Memory

28. MS : Microsoft

0. INTRODUCTION GENERALE

Les nouvelles technologies de l'information et de la communication aujourd' hui se démultiplient et bouleversent profondément le circuit et l'échange des informations, le sens des organisations et des relations personnelles.

Les nouveaux outils d'acces a l'information et a la communication accelerent les processus de decision, de production et modifient les formes d'organisation. Ils sont devenus des outils incontournables pour adapter les entreprises aux exigences de la nouvelle economie et personnaliser les relations commerciales entre les professionnels et les consommateurs.¹

C'est ainsi que face a ce transfert ou mutation tec hnologique dans le domaine informatique, la gestion informatisee des clients dans une societe d'aviation, revet une importance capitale.

Pour ce faire, la mise en ceuvre d'une base de données informatisée des clients permettra d'aboutir avec beaucoup de réalisme a une amelioration dans le fonctionnement quotidien de l'entreprise.

¹ E. ASTIEN, A.BENSOUSSAN ; Dictionnaire des Technologies de l'Information et de la Communication, Ed. FOUCHER, Paris, 2001, p.5

0.1. PROBLEMATIQUE

La problematique est comprise comme etant l'ensemble des faits constates et des questions qu'on se pose autour d'un probleme ou d'une situation donnee.

En ce qui nous concerne, notre etude etant focalisee sur la gestion informatisee des clients dans une societe d'aviation specifiquement dans l'escale CAA de Boende, nous avons pu constater que c'est le systeme de gestion manuel qui est utilisee jusque-la dans ladite escale pour la gestion quotidienne de ses clients. L'automatisation d'un systeme traditionnel (manuel) de gestion contribue efficacement au renforcement des ressources de l'entreprise et simplifie la procedure qui, autrefois courait les risques de gaspillage de temps, des pertes des documentations et occasionnait beaucoup de depenses.

Quel Systeme de Gestion de Base de Donnees (SGBD) a mettre en oeuvre ? etc. 0.2. HYPOTHESES

Les reponses a notre preoccupation fond la part de l' hypot hese selon laquelle le système de gestion informatisee des clients presente plusieurs atouts. C'est une strategie economique et avantageuse permettant de diminuer les risques au sein de l'entreprise.

La mise en oeuvre d'un systeme informatise de gestion de base des donnees permettra a la CAA/Escale de Boende une gestion judicieuse des clients, car, il renfermera tous les renseignements utiles relatifs aux clients.

0.3. CHOIX ET INTERERT DU SUJET

Le c hoix et interGt porte a ce sujet, se justifie a trois

niveaux :

A l'egard des scientifiques Pour les c herc heurs

a. Pour les Scientifiques

Presente un modele conceptuel de gestion informatisee des clients dans societe d'aviation.

b. Pour les C herc heurs

La met hodologie et les solutions qui c hoisies permettront

aux c herc heurs d'approfondir leurs connaissances dans ce domaine.

0.4. DELIMITATION ET OBJECTIF DU TRAVAIL

Notre etude a ete menee dans la Compagnie Africaine d'aviation en sigle CAA / Escale de Boende.

0.5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

0.5.1. METHODES

Selon le dictionnaire Frangais, deux definitions ont retnues

notre attention :

· Une Met hode, est une demarc he rationnelle de l'esprit pour decouvrir ou demontrer une verite.

· Une Met hode est un ensemble de processus ordonnes pour parvenir a un resultat.²

En informatique, il existe plusieurs met hodes d'analyse, mais la plus utilisee est la met hode MERISE.

. Methode MERISE

1. Definition et Historique de l a M6thode MERISE

a. Definition

MERISE est une met hode de conception, de developpement et de realisation de projets informatiques. Le but de cette met hode est d'arriver a concevoir un systeme d'information. La met hode MERISE est basee sur la separation des donnees et des traitements a effectuer en plusieurs modeles conceptuels et p hysiques.³

b. Historique :

La met hode MERISE date de 1978-1979, et fait suite a une consultation nationale lancee en 1977 par le ministere de l'Industrie dans le but de c hoisir des societes de conseil en informatique afin de definir une met hode de conception de systemes d'information. Les deux principales societes ayant mis au point cette met hode sont le CTI (Centre Technique d'Informatique) c harge de gerer le projet, et le CETE (Centre d'Etudes Techniques de l'Equipement) implante a Aix-en-Provence.

La met hode MERISE est le resultat des travaux menes par Hubert TARDIEU en 1970 en France.⁴

² http://dictionnaire.reverso.net/francais-definition

³ http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Methode-Merise-Approche-Par-Etapes

4 A. LASSUS, A. MUMDUBELTZ et D. CHAULET ; Méthodologie des systèmes d'information-MERISE, Ed. CNAM

ANGOULEME, 2000-2001, p.3

Le c hoix porte a cette met hode est justifie par les avantages ci-apres :

Une approc he globale du systeme d'information menee parallelement et simultanement sur les donnees et les traitements. Une description du systeme d'information utilisant un formalisme de la representation pour la description des donnees qui sont normalisees par l'ISO. Une description du systeme d'information par niveau conceptuel, organisationnel, logique et physique operationnel. Une demarc he de developpement du systeme d'information grace a un decoupage de processus de developpement en quatre etapes.^6

0.5.2. TECHNIQUES

Les Techniques sont des outils d'investigations scientifiques, des instruments de travail primordiaux auxquels les c herc heurs recourent au debut et en cours de leurs recherches.⁶

Ainsi, pour ce travail que nous presentons, nous avons utilise les

techniques citees ci-dessous pour la recolte des donnees :

. L'Interview

Cette technique nous a permis de recolter les donnees a l'aide d'un jeu de questions-Reponses avec nos interlocuteurs.

b. Technique document aire

Durant notre etude, cette technique nous a servi d'exploiter des ouvrages dans ladite entreprise et a travers le web pour completer ou rendre efficace les informations recueillis aupres de nos intervenants.

0.6. PRESENTATION SOMMAIRE DU TRAVAIL

Precede d'une introduction generale et cloturer par une conclusion generale, ce travail que nous presentons comporte trois grands c hapitres scindes en sections.

Le premier c hapitre axe sur les considerations generales comportantant deux sections dont la premiere elucide les notions t heoriques relatives a notre etude et la deuxieme section parle de l'etude institutionnelle et l'evaluation de l'existant presentant d'une maniere generale la CAA / Escale de Boende : sa creation, son fonctionnement, ses structures et sa mission. .

Quant au deuxieme c hapitre comportant ainsi deux sections, nous parlons dans la premiere section d'un projet de conception du nouveau systeme d'information

5

D. WAY NSANGANI ; Notes de Cours de Méthode d'Analyse Informatique, G2 ISC Boende, inédit, 2010-2011

6

Prof. TSHONGA ONYUMBE, Notes de Cours d'Initiation à la Recherche Scientifique, G2, ISDR MBANDAKA, inédit, 1995

organisee tandis que dans la deuxieme section, nous traiterons de la conception d'un systeme d'information informatisee.

Pour concrétiser notre projet de conception, le troisième c hapitre est consacré a la realisation du système d'information informatisé. Il comporte aussi deux sections dont la premiere traite l'implantation de la base de données et la seconde section, il s'agira de la programmation.

0.7. DIFFICULTES RENCONTREES

La production d'une ceuvre scientifique ne peut etre sans difficultes. Cependant, durant le parcours de nos rec herc hes, nous avions eprouve des difficultes dont les principales sont :

Insuffisance des moyens financiers et materiels Absence d'une bibliotheque publique

CHAPITRE I. CONSIDERATIONS GENERALES

SECTION I

NOTIONS THEORIQUES SUR LA GESTION INFORMATISEE

I.1. Concepts de base

a. Le Systeme

1. Un Systeme comme le definit Joel de ROSNAY dans son ouvrage « Le MACROSCOPE », un systeme est un ensemble d'elements en interaction dynamique, organisee en fonction d'un but. Il comporte 3 niveaux :

- Le Systeme de Pilotage ; le siege de l'activite decisionnel de l'entreprise

- Le Systeme operant : est le siege de l'activite productive de l'entreprise

- Le Systeme d'information : permet au systeme de pilotage d'assurer ses fonctions, en assurant le couplage avec le systeme operant.

Schématiquement

Système de Pilotage

- Réfléchi

- Décode

- Contrôle

Système d'information

- Mémorise

t - Traite

- Diffuse

Système opérant

- Transforme

- Produit

Ce Schema démontre qu'un Systeme est une collection organisée d'objet qui interagit pour former un tout.

b. Information

Pour REIX, l'information est un element de connaissance susceptible d'être conserve, traits ou communique.7

7

www.sciencesdegestion.com/e-learning/systèmeinfomaster/plan.htm

c. Systeme d'inform ation

Est un ensemble organise de ressources materiel, logiciel, personnel, donnees, procedures permettant d'acquerir, traiter, stocker communiquer des informations (sous forme de donnees, textes, images, sons, etc.) dans des organisations.8

d. Evenement

C'est un fait dont l'apparition va declenc her au sein de 'organisation. Il peut etre externe, interne et temporel.

e. Operation

C'est toute action ou ensemble d'actions declenc hees pour reagir a un evenement ou a plusieurs evenements.

f. L a Synchronisation

Elle est exprimee sous forme d'une proposition logique le fait que l'operation peut etre declenc he ou non.

g. Le Resultat On appelle resultat, ce qui est produit par l'execution d'une operation.

h. Le poste de travail

Le poste de travail decrit la localisation, les responsabilites, et les ressources necessaires pour c haque profil d'utilisateur du systeme.

i. L a phase

La phase est un ensemble d'actions (cf. la notion d'operation pour le MCT) realisees sur un meme poste de travail. La phase peut etre :

- soit manuelle : par exemple, la confection d'un colis;soit automatisee et interactive : par exemple, la saisie d'un formulaire client ;

- soit automatisee et planifiee (on parle aussi de batch) : par exemple, la production et l'envoi quotidiens de tableaux de bord dans les boites aux lettres electroniques.

j. L a teche

La tâc he est une description detaillee d'une phase automatisee

interactive.

⁸ http://josich.over-blogs.com

k. L a procédure

La procedure est un regroupement de phases. Elle equivaut sur le plan organisationnel aux notions d'operations et d'actions conceptuelles. La difference est que l'on considere ici ces dernieres comme se deroulant sur une periode de temps homogene.s

l. Site Org anis ationnel

Le lieu ou s'effectue un traitement utilisant une ou plusieurs machines

logiques.

m. Machine Logique

Ensemble de materiels et logiciels (ressources informatiques).

n. Unité Logique de Traitement

Portion d'une tache logique qui est execute d'une maniere automatique.

o. Procédure Logique

Enc hainement logique de plusieurs unites logiques de traitement effectuees par une machines logiques.

p. Un objet

Est une entite de gestion consideree d'interet pour representer l'activite a modeliser (exemple : objet client) et c haque entite est porteuse d'une ou plusieurs proprietes simples, dites atomiques (exemples : code, nom, capitale, population, superficie) dont l'une, unique et discriminante, est designee comme identifiant (exemple : code).¹⁰

q. Une entité

Est la representation d'un element materiel ou immateriel ayant un role dans le Systeme que l'on desire decrire.

r. Propriété ( attribut) Est une donnee elementaire qu'on observe sur une entite (objet).

⁹ http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_(informatique) ¹⁰ http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_%28informatique%29

s. L'Identifiant

Est une propriété particulière d'un objet telle qu'il n'existe pas deux occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur.¹¹

Par convention, un identifiant est toujours souligné ou precede du signe # 1.2. Le cycle d'abstraction¹² (Différents modeles)

Le Cycle d'abstraction est comprise comme étant la succession d'étapes pour la conception des systèmes d'information.

1. Le niveau conceptuel

Il correspond a la definition des finalites de l'entreprise en explicitant sa raison d'être. Ce niveau, decrit a travers un ensemble de règle de gestion, traduit les objectifs et les contraintes qui pèsent sur l'entreprise.

2. Le niveau organisationnel

Son role est de definir l'organisation qu'il est sou haitable de mettre en place dans l'entreprise. On parle de c hoix d'organisation. L'analyste precise les postes de travail, la c hronologie des operations, les c hoix d'automatisation, etc..

3. Le niveau technique

Enfin, sont integres les moyens techniques necessaires au projet. Ils s'expriment en termes de materiels ou de logiciels, et sont les plus sujets a

c hangements (evolution tec hnologique).

Table 1.1. Les différents niveaux d'abstraction

Niveaux	Données	Traitements	Questions
Conceptuel	Modèle Conceptuel des Données (MCD)	Modèle conceptuel des Traitements (MCT)	Quoi ?
Organisationnel Ou Logique	Modèle Logique des Données (MLD)	Modèle Organisationnel des Traitements (MOT)	Qui ? Où ? Comment ?
Technique	Modèle Physique des Données (MPD)	Modèles Opérationnel des Traitements (MOpD)	Comment ?

¹¹DI GALLO Frédéric ; Methodologie des Systèmes d'information-MERISE, Edition CNAM ANGOULEME 2000-2001 12 DI GALLO Frédéric ; Méthodologie des systèmes d'information-MERISE ; Ed. CNAM ANGOULEME 2000- 2001 ; p.11

11.3. SYSTEME DE GESTIONS DE BASE DE DONNEES (SGBD)

1.3.1. Base de Données (BdD)

a. Definitions

Le terme Base de Donnees (en Anglais Data Base) est apparu en 1964 pour designer une collection d'informations partagees par differents utilisateurs d'un systeme d'information.¹³

En outre, nous pouvons aussi retenir les definitions suivantes :

- Une BD est un ensemble de donnees ayant un lien logique entr'elles, saisie une seule fois sur un support permettant l'acces selectif et fournir en temps opportun a tous les niveaux des informations actualisees pour une prise de decision.

- Une BD est un lot d'information stockees dans un dispositif informatique.

b. Av ant ages

Une Base de donnees presente les avantages ci-apres : - Independance physique

La facon dont les donnees sont definies doit etre independante des structures de stockage utilisees.

- Independance logique

Un meme ensemble de donnees peut etre vu differemment par des utilisateurs differents. Toutes ces visions personnelles des donnees doivent etre integrees dans une vision globale.

- Acces aux donnees

L'acces aux donnees se fait par l'intermediaire d'un Langage de Manipulation de Donnees (LMD). Il est crucial que ce langage permette d'obtenir des reponses aux requetes en un temps « raisonnable ». Le LMD doit donc etre optimise, minimiser le nombre d'acces disques, et tout cela de facon totalement transparente pour l'utilisateur.

- Administration centralisee des donnees (integration)

Toutes les donnees doivent etre centralisees dans un reservoir unique commun a toutes les applications. En effet, des visions differentes des donnees (entre autres) se resolvent plus facilement si les donnees sont administrees de facon centralisee.

¹³ http://fr.wikipédia.org

- Non redondance des donnees

Afin d'eviter les problemes lors des mises a jour, c haque donnee ne doit etre presente qu'une seule fois dans la base.

- Coherence des donnees

Les donnees sont soumises a un certain nombre de contraintes d'integrite qui definissent un etat coherent de la base. Flles doivent pouvoir etre exprimees simplement et verifiees automatiquement a c haque insertion, modification ou suppression des donnees. Les contraintes d'integrite sont decrites dans le Langage de Description de Donnees (LDD).

- Partage des donnees

Il s'agit de permettre a plusieurs utilisateurs d'acceder aux memes donnees au meme moment de maniere transparente.

- Securite des donnees

Les donnees doivent pouvoir etre protegees contre les acces non autorises. Pour cela, il faut pouvoir associer a c haque utilisateur des droits d'acces aux donnees.

- Resistance aux pannes :

Si une panne survient au milieu d'une modification, si certains fic hiers contenant les donnees deviennent illisibles ? Il faut pouvoir recuperer une base dans un etat « sain ». Ainsi, apres une panne intervenant au milieu d'une modification deux solutions sont possibles : soit recuperer les donnees dans l'etat dans lequel elles etaient avant la modification, soit termine l'operation interrompue.¹⁴

11.3.2. SGBD

. Definition

Un Systeme de Gestion de Base de Donnees(SGBD), en Anglais Data Base Management System (DBMS), est un ensemble de programmes generaux qui aide les utilisateurs a effectuer plusieurs fonctions sur la Base de donnees.

¹⁴ Laurent AUDIBERT, Base de données et Langage SQL ; pp 9-10

b. Types de Base de Données

Les bases de donnees sont apparues a la fin des annees 60, a une epoque ob la necessite d'un systeme de gestion de l'information souple se faisait ressentir.

Il existe cinq modeles de SGBD, differencies selon la representation des donnees qu'elle contient :

1. le modèle hiérarchique

Les donnees sont classees hierarc hiquement, selon une arborescence descendante. Ce modèle utilise des pointeurs entre les differents enregistrements. Il s'agit du premier modèle de SGBD.

2. le modele rése au

Comme le modele hierarc hique ce modele utilise des pointeurs vers des enregistrements. Toutefois la structure n'est plus forcement arborescente dans le sens descendant.

3. le modele rel ationnel (SGBDR, Systeme de gestion de bases de donnees relationnelles) Les donnees sont enregistrees dans des tableaux a deux dimensions (lignes et colonnes). La manipulation de ces donnees se fait selon la t heorie mat hematique des relations.

4. le modèle déductif

Les donnees sont representees sous forme de table, mais leur manipulation se fait par calcul de predicats.

5. le modele objet (SGBDO, Systeme de gestion de bases de donnees objet) : les donnees sont stockees sous forme d'objets, c'est-a-dire de structures appelees

classes presentant des donnees membres. Les champs sont des

instances de ces classes.

A la fin des annees 90 les bases relationnelles sont les bases de donnees les plus repandues (environ trois quarts des bases de donnees).15

¹⁵ http://www.commentcamarche.net/contents/bdd/bddtypes.php3

SECTION II

ETUDE INSTITUTIONNELLEET EVALUATION DU SYSTEME

EXISTANT

I.1. Historique de I'Escale CAA / Boende

La creation de la CAA coincide avec l'effondrement de la SCIBE ZAIRE en 1992. Pour commencer, elle avait heritee tous les agents qui ceuvraient dans a ladite societe afin de beneficier de leur expertise dans le domaine d'aviation. De ceci, une escale fut ouverte a Boende en 1993 utilisant 03 employes en provenance de la SCIBE ZAIRE. Cette agence n'a fonctionne que jusqu'en 1997. Cette derniere date a ete sanctionnee par la fermeture de l'escale occasionnee par la guerre de liberation conduite par l'AFDL.

Dans le souci de continuer a servir la population du district de la Ts huapa, il a ete juge utile par le patron de la CAA de tenter une reouverture de ses services a Boende par l'entremise de l'Agence KAP-FRET en 2010.

En 2011, pour contrer la megestion constatee au commettant, M. David BLATTNER s'est decide de reouvrir une escale « CAA » a Boende conduite par le Chef d'escale Monsieur Aime MANUNGA, qui, pour ce faire utilise les journaliers pour les divers services.

I.2. De la Creation

En 1992 fut cree a Kinshasa, par Monsieur David BLATTNER, de nationalite americaine, une societe denommee gGAP-AVIATION D.

Les statuts creant cette institution furent modifies successivement par actes aut hentiques des notaires comme suit :

· En 1992 La denomination de GAP-AVIATION a la g COMPAGNIE AERIENNE AFRICAINE en sigle : g CAA D

· En janvier 2000, La nomination d'un President Directeur General en la personne de Monsieur David BLATTNER

· En juillet 2005, Le c hangement de I'actionnariat.

I.3. Du st atut juridique

La « CAA » est souscrite sous la forme d'une Societe privee a Responsabilite Limitee --SPRL-par acte aut hentique regu par le Notaire de la ville de Kinshasa du 05 / 11/1992.

1.4. Siege social

Le siege de l'escale CAA de Boende est actuellement situe sur l'avenue Engulu n° 02 Quartier. Urbain / Boende.

Il est a noter qu'a Kinshasa, le siege social de la CAA est situe sur la route des Poids Lourds, n° 01 , Quartier Kingambwa, Commune de Limete.

1.5. Objet social

De maniere generale, la mission de la « CAA » est de desservir premierement l'Afrique centrale et particulierement la Republique Democratique du Congo en ce qui concerne le transport des passagers et du cargo (fret aerien).

Particulierement, la CAA a pour objet social, tant pour compte propre que pour compte des tiers, en RDC ou a l'stranger :

· Toutes activites relatives au transport aerien, l'acquisition, la location, le leasing, l'exploitation sous toutes les formes, d'aeronefs ;

· L'acquisition, la location et l'exploitation de toutes installations, equipements et biens y relatifs

· Elle peut aussi dans les limites de son objet social, entreprendre toutes operations mobilieres et immobilieres, financieres, industrielles, commerciales et civiles.

Toutefois, cet objet social peut etre etendu ou restreint, sans alterer les formes prevues pour les modifications des statuts.

1.6. Couverture

Contribuant au Développement de la RD Congo, la « CAA » couvre la totalité du territoire national et joue aussi le role indispensable dans les zones enclavées de l'arrière-pays.

Elle totalise 32 villes de la Rd Congo (cfr. Liste en annexe).

1.7. Org anigrammes et attributions

1.7.1. Org anigramme General de l a CAA/Boende

1.7.2. Description de Postes de travail

Les différentes attributions sont définies de la manière suivante :

1. Le Chef d'Esc ale

C'est le responsable de l'Escale. Il supervise toutes les tâc hes (administratives, techniques et Financières) au sein de l'escale. Il joue le role du RAF. Il autorise les mouvements au sein de la Caisse.

2. Les Agences

Ce sont des intervenants commerciaux (Commettant) agrées par la CAA. Les Agences sont c hargées de récolter les frets auprès des clients et aussi vendent des billets pour le compte de l'escale. Ils sont régis par des accords spéciaux avec la CAA.

Au niveau de l'escale de Boende, nous avons identifié les agences suivants : KAPFRET, GALATE, ISRAEL et AMOUR FRET.

3. Service Administratif et Financiere

C'est un service qui est chargé de l'exécution des tâc hes administratives et financières au sein de l'escale.

4. Service Technique

C'est le service chargé de suivre tous les mouvements de vols. Il doit être au courant du tonnage transporté par l'avion dans les différentes escales alignées dans le même routing de l'avion en vue de lui permettre de préparer le poids (passagers et Frets) a

charger dans le vol. Son personnel est chargé de faire le checking et l'étiquetage des bagages.

1.8.Org anigramme et description de postes du Service Clientèle

a. Org anigramme

b. Description des postes

Le Service commercial est chargé de la gestion des clients dont les différents postes fonctionnels sont détaillés comme suit :

1. Chef de service Administration et Finances (RAF)

Il est assuré par le Responsable de l'escale et a cet effet, il supervise toutes les opérations liées a la clientele au sein de l'escale. Il fait l'arc hivage de tous les outils de gestion.

2. L'Agent de Comptoir

Il s'occupe de la réception des clients, assiste ce dernier pour des formalités administratives et financieres dans l'escale.

3. Agent Fret

Il est chargé de la gestion des frets et des excédents bagages des

clients.

4. L a C aissière

Réceptionne l'argent en provenance des Agents de fret et de comptoir. Elle verse tous les encaissements aupres du Chef d'escale et remet un récépissé (Régu ou bon d'entrée Caisse) de versement accompagné du billet de voyage au client.

SECTION III : ETUDE DE L'OPPORTUNITE

III.1. DEFINITIONS ET BUT

a. Definitions

L'etude de l'opportunite (Etude prealable) dans un projet informatique est une etape qui consiste principalement a recenser l'existant c'est-a-dire les solutions informatiques dejà mises en oeuvre dans l'entreprise et a recenser les besoins notamment en termes de fonctionnalites nouvelles. Elle peut etre l'occasion d'une etude de rentabilite du projet. L'etude prealable identifie les contraintes budgetaires, les contraintes d'environnement et les contraintes juridiques.¹⁶

DI GALLO Frederic precise que l'etude prealable dans un projet informatique comme etant une presentation generale du système de gestion (modeles des donnees et les traitements) en indiquant les principales novations par rapport au système actuel, les moyens materiels a mettre en oeuvre, les bilans coat-avantage. Cette etude est realisee en 4 phases: une phase de recueil, une phase de conception, une phase d'organisation et une phase d'appreciation.¹⁷

b. But

L'etude prealable vise a approfondir l'analyse de dimensions innovantes d'un projet en vue de preparer sa mise en oeuvre en etudiant la pertinence du projet envisage, sa faisabilite ou sa perennite.¹⁸

En ce qui nous concerne, l'analyse (etude) prealable nous a permis de connaitre et d'analyser le systeme utilise par la CAA / Escale de Boende pour la gestion de ses clients en vue de proposer des solutions appropriees.

¹⁶ http://www.soreau.net/etude-prealable.html

¹⁷ DI GALLO Frédéric ; Méthodologie des Systèmes d'information - MERISE, Cours de Cycle Probatoire, Ed. CNAM ANGOULENE, 2000-2001, p. 8

¹⁸www.f3e.asso.fr ; L'Etude Préalable, p.1

III.2. ANALYSE DU SYSTEME EXISTANT

III.2.1. DESCRIPTION DE L'ACTIVITE

Comme signalé précédemment, la gestion des clients au sein de l'escale CAA de Boende est assuré par le service de trafic en collaboration avec l'Agent comptoir et l'Agent Fret secondé par les bagagistes.

Le client (voyageur ou son délégué) se présente aupres de l'agent comptoir pour l'enregistrement et les formalités administratives et financieres. Il se présentera ensuite aupres du responsable des Frets pour déclarer ses bagages et autres colis. La délivrance du billet s'effectue apres que toutes les formalités soient remplies. Le(la) caissier(e) s'en c hargera de remettre au client son titre de voyage ou un regu de paiement (Bon d'entrée caisse) lui ai annexé. Le client sera contacté par télép hone pour la confirmation effective du voyage.

Dans notre travail, nous nous intéresserons surtout de l'aspect concernant le passager.

III.2.2. ANALYSE DES POSTES DE TRAVAIL

L'Escale de Boende fonctionne avec la structure suivante :

N°	NATURE DU POSTE	NOMBRE	QUALIFICATION	SPECIALISATION	OBSERVATION
01.	Chef d'escale	01	G3	Histoire et Sciences sociales	Une bonne expérience en aviation.
02.	Agent de Comptoir	01	-	-	Prestataire occasionnel
03.	Agent de Fret	01	-	-	Prestataire occasionnel
04.	Caissière	01	-	-	Prestataire occasionnel
05.	Bagagiste	02	-	-	Prestataire occasionnel

111.2.3. ANALYSE DES DOCUMENTS 111.2.3.1. Repertoire des documents

N°	CODE MNEMON1QUE	ROLE DU DOCUMENT	SERV. EMETTEUR	SERV1CE RECEPTEUR	FREQUENCE	Volume moyen	Support	Nombre d'exempl aire
1.	MP	Ce document fournit des renseignements des passagers ainsi leurs colis.	Agent Comptoir	Chef d'Escale	Hebdomadaire	01	Papier	02
2.	RVB	Relevés des ventes billets : c'est un document comptable qui reprend le nombre et les références de billets vendus par escale.	Caissière	Chef d'Escale	Journalière	01	Papier	02
03	MBG	Un document qui reprend la liste de tous bagages des clients.	Agent Fret	Chef d'escale	Hebdomadaire	01	Papier	02
04.	BT	c'est un titre de voyage. Il reprend toutes les informations susceptibles aux clients. C'est le document le plus important, car il donne accès au passager de voyager. Il est remis directement au client avec un recu sanctionnant la preuve de paiement.	Caissière	Client	Apériodique	10	Papier	01
05.	BEC	c'est une preuve de paiement, un recu. Il est délivréc haque fois qu'une opération de vente (billet ou fret) s'effectue	Caissière	Client	Journalière	10	Papier	02
06.	RC	c'est le journal de caisse établi par le Chef d'escale. Il enregistre tous les mouvements d'argent dans l'escale (Entrées et sorties).	Chef d'Escale	Chef d'Escale	Journalière	01	Papier	02

III.2.3.2. Dictionnaire des Documents

No	NOM DU DOCUMENT	CODE MNEMONIQUE	INFORMATIONSVEHICULEES	' NOMBRE D EXEMPLAIRES
01	Manifeste passagers	MP	· N° · Equipage · Propriétaire ou exploitant · Cdt de bord · Aéronef · Lignes · Date · Lieu d'embarquement · N° · Nom et Initiale prénom ou post nom · N° du Billet · M · F · C · I · Bagage : Poids excédentaires · Trajet effectue par passager · Montant · Remarques · Total cituré	02		02
Relevés des ventes billets	RVB	· Période · Agence · N° Billet · Nom du passager · Trajet · Base · CCA · RVA · Autres Frais · Montant Total · Mode de paiement · PTA · Observation · Totaux · V/Commission · N/Crédit	02	03
Manifeste Bagages	MB	· Escale de · N° Vol · Agent Comptoir · Date · De a · Nature des bagages · Totaux · Vérificateur	02	04
Billet	BT	· Réservation · Nom du passager · N° · Condition du contrat de transport	01/CLIENT

			· From/To · Origin/Destination · Airline Data · Date and place of issue · Endorsements/Restrictions · Name of passager			05
Bon d'entrée Caisse	BEC	· Date · Montant (en c hiffre) · Recu de · La somme de · C heque n° · Payable · En Reglement de · Couvrant le trajet · Agent Comptoir · Le (la) Caissier (e)	02

III.2.4. Schema de circu( ation de ('Information

CLIENT 100

AGENT COMPTOIR 200

AGENT FRET 300

CAISSE 400

CHEF D'ESCALE 500

101 Arrivée du client et prise de connaissance Manifeste Passagers.

201

201

201 301

101

501 du Rapport envoi à et Archivage.

Etablissement de Caisse, la Hiérarchie

401 Etablissement du Billet et Bon d'Entrée Caisse

201 Remplissage Manifeste Passager

MP

301 Etablissement du Manifeste Bagages

BT 1 02

B.E.C 402

401 201

Rapport de Caisse

MP

MBG

301 401

401

Remise du Billet et de la copie du Bon d'entrée caisse au client.

401

402 Etablissement de Relevé de vente des billets

BT

B.E.C

RVB

501

111.2.4.1. LEGENDE DU SCHEMAS

	= Document manuel						= Arc hivage
			= Plusieurs Documents manuels
								= Operation
			= Source
		= Destination

II.2.4.2. COMMENTAIRES SUR LE SCHEMA

N°	CODE POSTE	CODE D'OPERATION	COMMENTAIRES
1	100	101	Arrivée du client et prise de connaissance des renseignements (Disponibilité de place)
		102	Remise du titre de voyage (Billet) et du Bon d'Entrée Caisse) au client.
2	200	201	Remplissage de Manifeste des Passagers
3	300	301	Etablissement du Manifeste Bagages
4.	400	401	Etablissement du Billet et de Bon d'entrée Caisse
			5.
500	501	- Etablissement du rapport de caisse pour envoi a la hiérarc hie. - Arc hivage

II.2.5.ANALYSE DE MOYENS DE TRAITEMENT II.2.5.1. Moyens Hum ains

N°	FONCTION	CATEGORIE	TRAVAUX EFFECTUES	ANCIENNETE	OBSERVATION
01	Chef d'Escale	Cadre	Supervise toutes opérations de l'Agence et fait le rapport financier	20 ans
02	Agent Fret	Agent	Suivi des mouvements de vols, checking, Etiquetage des bagages des clients	1 an	Temporaire
03	Agent comptoir	Agent	Assure les tâc hes administratives des clients.	1 an	Temporaire
04	Caissière	Agent	Réception l'argent, délivre le bon d'entrée caisse (recu) et remet le billet au client.	1 an	Temporaire

II.2.5.2. Moyens materiels

Les moyens utilisés sont essentiellement : les bics, crayons, calculatrice, différents documents (registre, fiches), papiers duplicateurs. Classeurs, enveloppes, correcteur.

111.3. CR1T1QUE DU SYSTEME EX1STANT

111.3.1. LES ATOUTS DU SYSTEME

Le système utilise par la CAA/Escale de Boende pour la Gestion des Clients est bénéfique a un certain niveau car, contribue a la lutte contre le c hômage par l'utilisation d'un bon nombre de personnes travaillant manuellement, Il permet aussi d'atteindre les objectifs qui est de faire voyager les clients selon les horaires prévus.

111.3.2. CR1T1QUE DU SYSTEME

En analysant le systeme mise en place par la CAA / Escale de Boende, nous pouvons relever certains elements qui valent d'être requalifies :

. Sur le plan org anis ationnel

Il n'y a qu'une seule personne engagee (le Chef d'Agence) et les autres agents utilises ne sont que des prestataires occasionnels temporaires).

b. Sur le plan document aire et moyen de traitement

Une plethore de documents, ce qui consomme un grand temps et la lenteur dans le remplissage. Les supports utilises (papier duplicateur) pour la recolte des donnees des clients n'est pas securisant car, peuvent etre perdu. Le traitement des informations relatives aux clients est manuel La recherche des donnees des clients demandera beaucoup de temps. Il y a risque de redondance dans le listage des informations des clients. Les informations archivees revetent un caractere moins confidentiel car, peuvent etre consultes par tout agent. Il n'y a pas economie de temps.

c. Sur le plan de moyens de communication

Apres notre exploration sur le système existant dans le volet de communication, les seuls réseaux exploités ne sont pas stable et connaissent des délestages fréquentes entravant la liaison entre le siege et l'escale y compris entre l'escale et les clients aussi entre le personnel.

III.3.3. PROPOSITIONS DE SOLUTIONS (RECOMMANDATIONS)

Dans le souci d'accroitre la rentabilite, d'un cote, et dans le cadre de la mondialisation (modernisation), nous proposons a la CAA pour son Escale de Boende ce qui suit relativement a la gestion de ses clients :

L'Installation d'un reseau V-SAT (Internet) La mise en place d'un système de gestion informatisee des clients par l'utilisation d'un SGBD approprie. En ce cas precis, nous proposerons ACCESS L'engagement de nouvel personnel en vue combler les postes vacants qui, jusquela occupe par le personnel occasionnel inexperimente. Equiper l'escale CAA/Boende en materiel informatiques (ordinateurs, imprimantes, scanner, flash disc, Disc dur externe, DVD, ...). Engager et former les tec hniciens en informatiques.

III.3.4. JUSTICATIONS DES SOLUTIONS PROPOSEES

Les solutions proposees ci- haut contribueront a l'amelioration des qualites des services lies a la gestion des clients et influencera positivement le rendement de l'entreprise. La mise en place a la portee de l'utilisateur d'une base de donnees permettra a ce dernier une manipulation, analyses et mise a jour des donnees relatives aux clients. Des supports securises seront utilise pour le backup des donnees. Enfin, l'installation d'un reseau internet rendra facile l'ec hange (envoi des rapports, correspondance) entre l'escale de Boende et le siege.La mise en place d'un systeme informatique permettra d'analyser les donnees a un temps reduit ainsi fournir aux decideurs des informations utiles a la gestion des clients, mais aussi dans la prise des decisions rationnelles a la politique de gestion des clients a adopter.

Neanmoins, ces solutions proposees constitueront une source de depense supplementaire au present pour la CAA, mais a long terme, elle sera benefique pour la bonne gestion de ses clients.

CHAPITRE II. CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION

SECTION I : CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME D'INFORMATION ORGANISEE

I.1. Généralités

Aujourd' hui, la disponibilite de systemes de gestion de base de donnees fiables permet aux organisations de toutes tailles de gerer des donnees efficacement, de deployer des applications utilisant ces donnees et de les stocker. Les bases de donnees sont actuellement au cur du systeme d'information des entreprises.

L'utilisation de moyens informatiques, electroniques et la

telecommunication permettent d'automatiser et de dematerialiser les operations telles que les procedures d'entreprise. Ils sont aujourd' hui largement utilises en lieu et place des moyens classiques tels que les formulaires sur papier et le telephone et cette transformation est a l'origine de la notion de systeme d'information.¹⁹

I.2. ETAPE CONCEPTUELLE I.2.1. Définitions

f3° L'Etape conceptuelle est une etape qui fait a la fois l'analyse de l'etude de l'existant du système et a partir de cela, concevoir un nouveau schema informatique efficace et durable.²⁹

f3° Nous disons aussi que l'etape conceptuelle est une etape de representation permettant, a partir de l'analyse prealable de definir le modèle du système a construire aussi proc he de la realite que possible.²¹

I.2.2. But

L'etape conceptuelle a pour but d'arriver a concevoir un systeme d'information. Elle permet de creer une representation virtuelle d'une realite de telle facon a faire ressortir les points auxquels on s'interesse.

¹⁹ http://wikipedia.org ²⁰ http://fr.wikipedia.org//base de données

²¹ WAY NSANGANI D. ; Notes de cours de Techniques de base de données ; Inédit, G3 Informatique, ISC - Boende, 2011-2012.

1.2.3 MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)

1.2.3.1. Recensement des objets

En nous basant de notre analyse de l'existant, nous avons recense les objets ou entites suivantes :

· Client : (#Num Client, Sexe, Adr, Contact)

· Billet : (#Numbi, NPN Client, Dest., date, Montant)

· Manifeste :(#CodeMan, NPN client, Dest., Poids)

· Bon d'entree caisse : (#Numbec, NPN client, Libelle, Montant)

· Agent : (#NumMat, NPN, Fonct., Sexe, Gde, Serv., D.eng.) 1.2.3.2. Description des objets

1. Nom de l'objet : Client

a. Definition semantique : un client est une personne ac hetant le service ou la marc handise d'une entreprise ou d'un service quelconque.

b. Occurrence : #177;2000

c. Niveau de confidentialite : 1

d. Proprietes :

f3° Nom de la propriete : Numero Client

f3° Code Mnemonique :Numcli

~ Identifiant	:	1
f3^-. Taille	:	6
' Type	: N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Nom et Postnom ro^- Code Mnemonique : NPN

f3° Identifiant : 1

? Taille :30

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Sexe f3° Code Mnemonique : S

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 1

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

. Nom de la propriete : Adresse f3° Code Mnemonique :Adr

f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 30

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete :Contact f3° Code Mnemonique :Cont

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 10

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Facultatif

.2. Nom de l'objet : Billet

a. Definition semantique : un billet est un titre de voyage, il donne acces au client de voyager.

b. Occurrence : #177; 2000

c. Niveau de confidentialite : 1

d. Proprietes :

> Nom de la propriete : Numero billet

f3° Code Mnemonique :Numbi

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 10

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : obligatoire

> Nom de la propriete : Nom et Postnom du Client

f3° Code Mnemonique : NPNcli

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 25

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Destination f3° Code Mnemonique : Dest

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 12

? Type :C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Date f3° Code Mnemonique :Dte f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 10

ro^- Type : D

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete :Montant
f3° Code Mnemonique : Mont

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 4

ro^- Type :N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

. 3. Nom de l'objet : M anifeste

a. Definition semantique : un manifeste est un repertoire des clients ainsi que leurs bagages

b. Occurrence :#177; 80

c. Niveau de confidentialite : 1

d. Proprietes :

> Nom de la propriete : Code manifeste

f3° Code Mnemonique :Cdman

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 4
ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete :Nom et Postnom Client f3° Code Mnemonique :NPNcli

f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 30

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Destination
f3° Code Mnemonique : Dest

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 12

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Poids f3° Code Mnemonique : Pds f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 4

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

4. Nom de ('objet : BON D'ENTREE CAISSE

a. Definition semantique : Le Bon d'entree Caisse est une preuve de paiement

b. Occurrence : #177; 2000

c. Niveau de confidentialite : 1

d. Proprietes :

> Nom de la propriete :Numero Bon d'entree caisse

f3° Code Mnemonique :Numbec

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 12

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Nom et Postnom du client f3° Code Mnemonique :NPNcli

f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 30

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Libelle f3° Code Mnemonique : Lib f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 50

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Montant f3° Code Mnemonique : Mont f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 4

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

5. Nom de ('objet : AGENT

a. Definition semantique : un agent est une personne engagee pour executer une tac he quelconque dans une entreprise, une organisation ou une institution donnee.

b. Occurrence : #177;10

c. Niveau de confidentialite : 1

d. Proprietes :

> Nom de la propriete : Numero Matricule

f3° Code Mnemonique : NumMat

f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 6
ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Nom et Postnom ro^- Code Mnemonique : NPN

f3° Identifiant : 1

f3^-. Taille : 30

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriete : Sexe

f3° Code Mnemonique : S

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 1

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriété : Fonction

ro^- Code Mnémonique : FX

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 15

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriété : Grade f3° Code Mnémonique : Gr f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 4

ro^- Type : N

ro^- Condition d'existence : Facultatif

> Nom de la propriété : Service

f3° Code Mnémonique : Serv

f3° Identifiant : 1

ro^- Taille : 12

? Type : C

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

> Nom de la propriété : Date Engagement ro^- Code Mnémonique : D.Eng

f3° Identifiant : 1

? Taille : 10

ro^- Type : D

ro^- Condition d'existence : Obligatoire

I.2.3.2. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES RELATIONS

I.2.3.2.1. RECENSEMENT DES RELATIONS

Une relation estun lien sémantique entre une ou plusieurs entités. Une Relation peut être réflexive, de préférence binaire parfois ternaire. Elle peut également être porteuse d'une ou plusieurs propriétés.²²

²² http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_%28informatique%29

Compte tenu de la pertinence de notre démarc he, nous avons identifié les relations suivantes : - Ac heter

- Enregistrer

- Remplir - Etablir

- Remettre - Délivrer

1.2.3.2.2. REGLES DE GEST1ON

- Un Client peut ac heter un ou plusieurs Billets.

- On ne doit remettre a un client qu'un bon d'entrée caisse. - Un client ne peut être enregistré qu'à un seul manifeste.

- Un manifeste est rempli par un et un seul agent. - Un Agent peut délivrer un ou plusieurs billets.

- Un Agent établi un ou plusieurs Bon d'entrée Caisse.

1.2.3.2.3. Détermin ation de contraintes de c ardin alités

Les cardinalités permettent de caractériser le lien qui existe entre une entité et la relation a laquelle elle est reliée. La cardinalité d'une relation est composé d'un couple comportant une

borne maximale et une borne minimale, intervalle dans lequel la cardinalité d'une entité peut prendre sa valeur23

- Une borne maximale : nombre de fois qu'une occurrence d'une entité participe aux occurrences de l'association : 1 et n.

- Une borne minimale : nombre de fois qu'une occurrence d'une entité participe aux occurrences de l'association : 0 et 1.

La cardinalité d'un lien entre une entité et une association (relation) précise le minimum et le maximum de fois qu'un individu de l'entité peut être concerné par l'association (relation).24

23 DI GALLO Frédéric, op cit, p.26

²⁴ Cyril GRUAU, Conception d'une base de données, 2006, P ; 6

Pour notre MOD, nous avons retenu les rapports de cardinalités ci-après :

v Association CLIENT -- BILLET

Un Client peut ac heter un ou plusieurs Billets mais un billet ne peut être ac heter qu' a un seul client. Les objets Client et Billet sont associés par la rélation « Ac heter » exprimée par la cardinalité (1,n) (1,1).

v Association CLIENT -- MANIFESTE

Un client ne peut être enregistré qu'à un seul manifeste mais un manifeste peut enregistrer un ou plusieurs clients. Les objets Client et Manifeste sont associés par la rélation « Enregistrer » exprimée par la cardinalité ((1,1) (1,n)

v Association AGENT -- MANIFESTE

Un manifeste est rempli par un et un seul agent mais un agent peut remplir un ou plusieurs manifestes. Les objets Agent et Manifeste sont associés par la relation « Remplir » exprimée par la cardinalité (1,1) ((1,n).

v Association : AGENT -- BILLET

Un Agent peut délivrer un ou plusieurs billets et un billet est délivré que par un et un seul agent. Les objets Agent et Billet sont associés par la relation « Délivrer » exprimée par la cardinalité (1,n) (1,1).

v Association CLIENT -- BON D'ENTREE CAISSE

On ne doit remettre a un client qu'un seul bon d'entrée caisse et un bon d'entrée caisse ou plusieurs peuvent être remis a un client. Les objets Client et Bon d'entrée caisse sont associés par la relation « Remettre » exprimée par la cardinalité (1,1) (1,n).

v Association AGENT -- BON D'ENTREE CAISSE

Un Agent établi un ou plusieurs Bon d'entrée Caisse et un Bon d'Entrée Caisse ne peut être établi qu'avec un et un seul Agent. Les objets Agent et Bon d'entrée caisse sont associés par la relation « Etablir » exprimée par la cardinalité (1,n) (1,1)

(1,1)

I.2.3.3. PRESENTATION DU MCD

(1,n) (1,1)

ACHETER

BILLET

# Numbi

- NPNcli

- Dest. -

- Date

- Montant

CLIENT

# Numcli

- Sexe

- Adr

-- Contact

(1,1)

(1,1)

ENREGISTRER

REETTRE REMETTRE

(1,n)

ETABLIR

(1,1)

DELIVRER

AGENT

-

- NumMAt

- - NPN -

- Fonction

-

- Sexe

- - Grade -

- Service

- D.Eng

(1,n)

(1,n)

(1,1)

(1,n)

REMPLIR

BEC

# Numbec

- NPN Cli

- Libellé

- Montant

(1,n)

MANIFESTE

# Codeman - NPNcli - Dest. - Poids de louds

1.2.3.3.1. LES OBJETS RECENSES

CLIENT # Numcli - Sexe - Adr - Contact

MANIFESTE

# Codeman

- NPNcli

- Dest.

- Poids

BILLET

# Numbi

- NPNcli

- Dest.

- Date

- Montant

AGENT

- NumMAt

- NPN

- Fonction

- Sexe

- Grade

- Service

- D.Eng BEC

# Numbec

- NPN Cli

- Libellé

- Montant

ENREGISTRER

REMPLIR

ACHETER REMETRE

ETABLIR

DELIVRER

1.2.3.3.2. LES RELATIONS RECENSEES

ET, OU, NON

1.2.4. LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT (MCT)

1.2.4.1. Concepts utilises

Les concepts utilises dans la construction d'un MCT sont représentés comme

suit :

a. Evenement Le formalisme utilise :

Réservation de vol

b. Operation

Réservati
on de vol

Ou

Formalisme utilise

VERIFICATION

MANIFESTE

C. La Synchronisation

Les expressions utilisées sont : ET, OU, NON Le formalisme utilise est le suivant:

D. Le Résultat

Les conditions d'exécution peuvent être :

- TOUJOURS - OUI (OK)

- NON (KO)

Le formalisme utilisé pour représenter le résultat est le même que celui de l'événement.

I.2.4.1. PRESENTATION DU MCT

ARRIVEE DU CLIENT AU COMPTOIR

DEMANDE INFORMATION (Programme de

ET

RESERVATION ETABLISSEMENT MANIFESTE

TOUJOURS

RESERVATION
FAITE

Facturation

OK

KO

VOYAGE
ANNULE

BILLET DELIVRER

B E C REMIS

1.3. ETAPE ORGAN1SAT1ONNELLE

1.3.1. BUT

- Decrire le fonctionnement du systeme d'information definitive au niveau conceptuel permettant de definir la repartition dans l'organisation et les modalites d'acces aux donnees ainsi que la repartition d'execution de traitement decrit dans les operations de gestion en tenant compte de l'organisation.

- Repondre a partir de notre MCT aux questions QUI, COMMENT, O6 qui nous aideront a obtenir a notre modele organisationnel de traitement qui aboutira a l'organisation a mettre en place.

1.3.2. MODELE ORGAN1SAT1ONNEL DES DONNES (MOD)

1.3.2.1. Organisation a mettre en place

- Le Client doit d'abord s'informer sur le mouvement le routing de vol pour faire la reservation. - Le Client doit confirmer sa reservation par son enregistrement dans le manifeste.

- Le Client paie le montant correspondant a son routing a la caisse.

- La caissiere remet au Client son billet comme titre lui autorisant de voyager et le Client retire une copie de Bon d'entree Caisse (B.E.C) comme preuve de paiement.

1.3.2.2. PASSAGE DU MCD AU MOD

En rapport avec notre démarche, nous retenons toutes les entités se trouvant dans le MCD, pour notre MOD. Donc, MCD=MOD. Tous les objets et relations se trouvant dans le MOD présentent un interêt et méritent d'être repris dans le MOD.

I.3.2.3. PRESENTATION DU MOD

(1,n) (1,1)

ACHETER

BILLET

# Numbi

- NPNcli

- Dest.

- Date

- Montant

(1,1)

(1,1)

CLIENT

# Numcli

- Sexe

- Adr

- Contact

(1,1)

ENREGISTRER

REMETTRE

(1,1)

(1,n)

REMPLIR

(1,n)

BEC

# Numbec

- NPN Cli

- Libellé

- Montant

(1,1)

(1,n)

(1,n)

DELIVRER

ETABLIR

(1,n)

MANIFESTE

# Codeman - NPNcli - Dest. - Poids de louds

AGENT

- NumMAt

- NPN

- Fonction

- Sexe

- Grade

- Service

- D.Eng

I.3.3. MODELE ORGANISATIONNEL DE TARITEMENT (MOT)

I.3.3.1. DEFINITION

Le Modele Organisationnel de Traitement decrit qui fait quoi. C'est une etape qui necessite une description exhaustive de toutes les operations a effectuer.²⁵

I.3.3.2. BUT

Le MOT permet de representer par procedures, les phases et les taches effectudes par c haque poste de travail.

I.3.3.3. PRESENTATION DE L'ORGANISATION - Le Manifeste est etabli par l'Agent comptoir

- Le Billet est delivre au Client par le Caissier

- Le BEC est etabli par le Caissier et remis au client. I.3.3.4. PASSAGE DU MCT AU MOT

Le M O T complete la description du M C T par une prise en consideration des contraintes d'organisation c hoisies par l'entreprise.

Il s'agit de repondre a ces questions :

- Quel poste de travail assure le

traitement ? QUI ?

- Contraintes de temps due a

l'organisation ? QUAND ?

- Traitement manuel ou

Informatique ? COMMENT ?

En claire, cette etape consiste a ajouter a notre MCT les reponses a : QUI, COMMENT ?, O0 ? Pour construire notre M O T.

²⁵ http://mrproof.blogspot.com/2010/cours-sur-les-modèles-du-niveau.html

I.3.3.5. PRESENTATION DU M O T

PERIODE	DEROULEMENT					NATURE	POSTE
	ARRIVEE DU CLIENT
				DEMANDE
	INFORMATION AU COMPTOIR
		(Programme de vol)
		ET
		RESERVATION
8H00-						MANUEL	COMPTOIR
16H30
		TOUJOURS
		RESERVATION
		Facturation
8H00-						INFORMATIQUE	CAISSIER
16H30
		OK	KO
				VOYAGE
	ANNULE
	BILLET B E C
	DELIVRER REMIS

SECTION II

CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION INFORMATISEE

II.1. ETAPE LOGIQUE

L'etape Logique consiste a faire la prise en compte des ressources informatiques qui aideront a presenter le materiel.

II.1.1. MODELE LOGIQUE DE DONNEES (MLD)

Compte tenu de la pertinence des donnees qui sont inclus dans notre demarc he, nous avons opte pour un Modele Logique de Donnees Relationnelles.

Le modele relationnel (SGBDR, Systeme de gestion de bases de donnees relationnelles) : les donnees sont enregistrees dans des tableaux a deux dimensions (lignes et colonnes). La manipulation de ces donnees se fait selon la t heorie mat hematique des relations²⁶

Le Modèle Logique des Données est utilisé pour créer les tables qui constitueront la structure de votre Base de Données Relationnelle. ²⁷

II.1.2. INVENTAIRE DES BESOINS DES UTILISATEURS

Cette etape consiste a ressortir les differents besoins qui peuvent etre exprimes par les utilisateurs de notre application.

Ainsi, notre Base de Donnees sera capable de produire :

n La liste de passagers par vol

n Le tonnage total a transporter

n La liste des passagers pendant un mois

n La liste de passagers pendant une annee

n La liste de passagers par destination

n Etc ...

²⁶ http://www.commentcamarche.net/contents/bdd/bddtypes.php3 ²⁷ http://www.grappa.univ-lille3.fr/~candillier/cours/BD/

11.1.3. PASAGE DU MCD AU MLD

Le passage du MCD au MLD obeit a certaines r3gles decrit ci-dessous :

Les objets deviennent les Tables

Les proprietes deviennent les attributs

Les identifiants deviennent les cles primaires Les objets p3re deviennent les Tables p3res Les Objets Fils deviennent des Tables Fils

II.I.4. PRESENTATION DU MLD

En appliquant les Règles de passage du MCD (=MOD) au MLT, ce dernier se présentera comme suit :

v Client : (# Numcli :N[ 6 ] ;#Numbec : N[12] ; #Codeman : N[4] ; Sexe :C[ 1 ] ; NPN :C [ 30 ],Adr :C[ 30 ], Contact :N[ 10 ])

v Billet : (# Numbi :N [ 10 ] ; #Numcli : N[6] ; #Nummat : N[6] ; NPN :C [ 25 ] ; Dest :C[ 12 ];date :D[10 ]; Mont :N[ 4 ])

v Manifeste :(#codeman :N [ 4 ]; #Nummat : N[6];NPNcli :C[ 30 ], Dest :C[12] ; Poids:C[ 4]

v Agent :(# NumMat :N [ 6 ], Sexe :C[ 1 ] ; NPN :C [ 30 ]; Fonct :C[15]; Gr:N[ 4 ]; Serv :C[ 12 ], Deng :D[ 10 ]

v BEC : : (# Numbec :N [ 12 ], #Nummat : N[6]; NPNcli :C [ 30 ]; Lib :C[ 50 ];Mont :N[ 4 ])

11.1.5. MODELE LOG1QUE DE TRA1TEMENT

II.I.5.1. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE TRAITEMENT (MLT) Pour construire un MLT, les etapes de demarches suivantes sont recommandees:

1. Identification des ULT

2. Description des ULT

· Presentation maquettes écran

· Description de la logique du dialogue

3. Presentation du MLT

· Procedure logique de démarrage

· Procedure de phases

SAISIE MANIFESTE PASSAGERS

CodeMan :

Numat NPNcli :

Dest. :

Poids :

SAISIE AGENT

Nummat : Sexe : NPN :

Fonct. :

Gr. :

Serv. :

Deng:

Ainsi, la construction détaillée de notre MLT est presentee de la maniere suivante : A. Présentation des maquettes Ecran :

Menu principal

GESTION DES CLIENTS

SAISIE AGENT

QUITTER

SAISIE BILLET

SAISIE BEC

LISTE DE PASSAGERS

SAISIE CLIENT

SAISIE MANIFESTE

Maquette d'Ecran 1 Manquette d'Ecran 4

Maquette d'Ecran 2 Manquette d'Ecran 5

SAISIE CLIENT

Numcli :

Numbec : Codeman:

Sexe :

NPN :

Adr :

Contact :

SAISIE BON D'ENTREE CAISSE

Numbec : Nummat : NPN :

Lib. :

Mont. :

SAISIE BILLET

Numbi : Numcli : Nummat : NPN : Dest:

Date :

Mont. :

Maquette 3

B. Description de la Logique du dialogue

CONDITION	ACTION	RESULTAT
Sauvegarder	Clic sur le bouton	Ecrire sur le disc dur
SUIVANT	Clic sur le bouton	Mise en blanc de la zone de saisie et positionnement du curseur dans la zone de saisie
Annuler	Clic sur le bouton annuler	Mettre fin à l'opération
Supprimer	Clic sur le bouton Supprimer	Suppression de l'opération et on revient sur l'étape initiale de saisie.
Quitter	Clic sur le bouton Quitter	Fin de la procédure et fermeture de la session.

C. Procédure logique de démarrage

FIN PROCEDURE

VISUALISATION A
L'ECRAN

VISUALISATION A
L'ECRAN

OPERATION D'ENREGISTREMENT DANS LE
MANIFESTE

AFFICHAGE MAQUETTE N° 1 à N°5
SAISIR LES DONNEES

TOUJOURS

OPERATION DE FACTURATION

AFFICHAGE MAQUETTE
SAISIR LES DONNEES

TOUJOURS

D. Procédure de phases

- Saisir Code client

- Rechercher dans la BD

- Saisie Infos client

I

II

FERMER

ENREG. MANIFESTE
CLIENTS

FACTURATION

- Saisir Code client

- Rechercher dans la BD

- Saisie Infos client

I

II

FERMER

II.2. ETAPE PHYSIQUE

II.2.1. MODELE PHYSIQUE DE DONNEES (MPD) II.2.1.1. Définition

Dans la methode Merise, le modele physique des donnees consiste a implanter une base de donnees dans un SGBDR.

11.2.1.2. But

Le but du MPD est de transferer la base de donnees dans un Systeme de Gestion de Base des Donnees (SGBD).

Ce transfert consiste a :

- Creer la structure de la Base de Donnees

- Indiquer les champs (colonnes ou attributs)

- Implementer (installer) les contraintes de cardinalites d'integrite destinees a garantir la coherence des donnees memorisees.

Caque champs sera decrit par son nom, son type et sa taille, une colonne d'observation. II.2.1.3. SCHEMA PHYSIQUE DE DONNEES

Nous rapportant a notre MLD, la BD que nous comptons comportera 05 tables relationnelles detaillees comme suit :

1. TABLE CLIENT

N°	NOM DU CHAMP	TYPE	TAILLE	OBSERV.
1.	#Numcli	N	6	Clé primaire			2.
#Numbec	N	12	Clé Secondaire
3.	#Codeman	N	4	Clé Secondaire
4.	Sexe	C	1					5.
NPN	C	30		6.
Adr	C	30		7.
Contact	N	10

2. TABLE BILLET

N^°	NOM DU CHAMP	TYPE	TAILLE	OBSERV.
1.	#Numbi	N	10	Clé primaire
2.	#Numcli	N	6	Clé secondaire
3.	#Nummat	N	6	Clé secondaire
4.	NPN	C	25
5.	Dest	C	12
6.	Date	D	10
7.	Mont.	N	4

3. TABLE MANIFESTE

N°	NOM DU CHAMP	TYPE	TAILLE	OBSERV.
1.	#Codeman	N	4	Clé primaire		2.
#Nummat	N	6	Clé secondaire	3.
NPNcli	C	30		4.
Dest	C	12		5.
Poids	N	4

4. TABLE AGENT

N°	NOM DU CHAMP	TYPE	TAILLE	OBSERV.
1.	#NumMat	N	6
2.	Sexe	C	1
3.	NPN	C	30
4.	Fonct	C	15
5.	Grade	N	4
6.	Serv.	C	12
7.	D.eng.	D	10

5. TABLE B E C

N°	NOM DU CHAMP	TYPE	TAILLE	OBSERV.
1.	#Numbec	N	12	Clé primaire		2.
#Nummat	N	6	Clé secondaire	3.
NPNcli	C	30		4.
Lib.	C	50		5.
Mont.	N	4

II.2.1.4. PRISE EN COMPTE DES RESSOURCES INFORMATIQUES

a. Présentation du Matériel

Pour l'implementation de notre BD, notre proposition est portee sur les materiels informatiques ci-dessous enumeres :

f3° Hardware

N°	DESIGNATION DU MATERIEL	CAPACITE	OBSERVATION
1.	Unite Centrale (Disque dur)	280Go			2.
Processeur	2,20 GHz		3.
RAM	3,00Go

ro^- SOFTWARE

· Systeme d'exploitation : Windows 7 edition professionnelle

· Logiciels : Access, Word, Excel

· Antivirus : Kapesky ou Avast ou AVG version commerciale

ro- PERIPHERIQUES DE SORTIE

· Imprimante Laser

· Flash disc

· Lecteur CD/DVD

· Scanner

b. Choix et Presentation du SGBD

En parcourant ces différents modeles de SGBD, celui qui s'accommode a la présente démarche est le SGBD Relationnel. Le SGBD qui sera utilise est l'ACCESS.

C. PRESENTATION DE MS ACCESS 1. Breve historique

MS ACCESS est SGBD relationnel mise au point par la Maison Microsoft en vue de faciliter la creation des bases de donnees compatibles a Windows. Ce logiciel dont la premiere version a vu le jour en 1992 est arrive aujourd' hui a sa onzieme version (MS Access 2010). Les versions se sont succede de la maniere ci-apres :

Lancement en 1992

· Access 1

· Access 2

· Access 95

· Access 97

· Access 2000

· Access XP 2002

· Access 2003

· Access 2007

· Access 2007 SP2

· Access 2010 disponible depuis le premier semestre de 2010 en version finale.

Le c hoix porté sur l'ACCESS se justifie par le fait que les données d'Access sont facilement exploitables Les bases de données produites par Access restent accessibles a tous les langages de programmation.

Access comme a toutes les applications de la suite Microsoft Office, permet de créer des applications de gestion complètes, livrées avec un programme d'installation qui gère automatiquement la mise en place.28

. Les onglets d'Access se subdivisent en 7 parties. Passons en revue ces principales étapes.

· La table: elle reprend les informations brutes (non traitées): les enregistrements et les champs.

· Une requête permet diverses mises en forme des tables: le tri, filtre, affic hé ou nom des données, ...

· Un Formulaire affic he les données des tables et requêtes d'une manière agréable.

· Un état permet d'imprimer des données de tables et de requêtes avec si nécessaire des regroupements et des calculs.

· Les macros permettent d'exécuter des fonctions a partir de requêtes ou de formulaires

· Page: permet de créer des pages Internet pour accéder a la base de données

²⁸ http://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Access

CHAPITRE III

REALISATION DU SYSTEME D'INFORMATIONS INFORMATISEES

SECTION I. IMPLANTATION DE LA BASE DE DONNEES

I.1. PRESENTATION DE LA BASE DE DONNES

UT 02

I.1.1. CHAINE D'IMPLANTATION

MPD

........ CHARGEMENT

BDD VIDE

BDD MANUELLE

BDD
CHARGEE

FINDEX

UT 03 ......INDEXATION (TRI)

UT 01

...........CREATION

CHAINE DE MISE A JOUR

MPD MVT

UT 04

.........~~CREATION

BDD MANUELLE

BDD VIDE

UT 05

......~~ CHARGEMENT

..................~MAJ

FINDEX

BDD
CHARGEE

FMVT

UT 07

BDD MAJ

UT 06 ......REINDEXATION (TRI)

MISE A JOUR

CHAINE D'EXPLOITATION

UT06

UT 07

UT 08

UT 09

UT 10

UT 11

LISTES DES CLIENTS PAR VOL

LE TONNAGE TOTAL A TRANSPORTER

LISTE DE PASSAGERS PENDANT UN MOIS

LISTE DES
PASSAGERS
PDT UNE

ANNEE

LISTE DES AGENTS

BDD MAJ

FINDEX

VISUALISATION A L'ECRAN :

LISTE DES PASSAGERS PAR DESTINATION.

DECOUPAGE DE LA CHAINE D'EXPLOITATION

NOM DE L'UNITE DE TRAITEMENT

But : Cette unité de traitement nous permet d'éditer toutes les listes des clients par vol qui se présentent la CAA

BDD MAJ

BDD MAJ

LISTE DES
CLIENTS PAR
VOL

~ 64 ~

UT 06

Edition liste des clients par vol

But : Cette unité de traitement nous permet d'éditer le tonnage total a transporter

Edition tonnage total à

transport

BDD MAJ

BDD MAJ

UT 07

LE TONNAGE
TOTAL A
TRANSPORTER

NOM DE L'UNITE DE TRAITEMENT : UT 08

BDD MAJ

BDD MAJ

UT 08

LISTE DES
PASSAGERS DU
MOIS

Edition liste des passagers

pendant un mois

But : Cette unité de traitement nous permet d'éditer la liste des passagers pendant un mois

But : Cette unite de traitement nous permet d'editer la liste des passagers pendant une annee ;

BDD MAJ

BDD MAJ

UT 09

LISTE ANNUELLE
DES PASSAGERS

BDD MAJ

BDD MAJ

UT 10

LISTE DES AGENTS

~ 66 ~

NOM DE L'UNITE DE TRAITEMENT : UT 10

But : Cette unite de traitement nous permet d'éditer la liste des Agents de la CAA

But : Elle nous permet de visualiser sur Ecran la liste des passagers par destination pour une p~riode donnee.

BDD MAJ

BDD MAJ

UT 11

Visualisation de la liste des

passagers par destination

VISUALISATION LISTE DES

PASSAGERS PAR DESTINATION

SECTION II

LA PROGRAMMATION

II.1. Definition

Un l ang age de programm ation est un langage informatique, permettant a un etre humain d'écrire un programme informatique (le code source) destiné a etre exécuté par une machine, généralement un ordinateur.

Le code source subit une transformation ou une évaluation dans une forme exploitable par la machine, ce qui permet d'obtenir un programme exécutable. Les langages permettent souvent de faire abstraction des mécanismes de bas niveau de la machine, de sorte que le code source puisse représenter une solution telle que comprise ou congue par un etre humain.

II.2.Une breve histoire de l a programm ation

La première machine programmable (c'est-a-dire machine dont les possibilités c hangent quand on modifie son "programme") est probablement le métier a tisser de Jacquard, qui a été réalisé en 1801. La machine utilisait une suite de cartons perforés. Les trous indiquaient le motif que le métier suivait pour réaliser un tissage ; avec des cartes différentes le métier produisait des tissages différents. Cette innovation a été ensuite améliorée par Herman Hollerith d'IBM pour le développement de la fameuse carte perforée d'IBM.

En 1936, la publication de l'article fondateur de la science informatique On Computable Numberswith an Application to the Entscheidungsproblem par Alan Mathison Turing allait donner le coup d'envoi a la création de l'ordinateur programmable. Il y présente sa machine de Turing, le premier calculateur universel programmable, et invente les concepts et les termes de programmation et de programme.

Les premiers programmes d'ordinateurs étaient réalisés avec un fer a souder et un grand nombre de tubes a vide (plus tard, des transistors). Les programmes devenant plus complexes, cela est devenu presque impossible, parce qu'une seule erreur rendait le programme entier inutilisable. Avec les progrès des supports de données, il devient possible de charger le programme a partir de cartes perforées, contenant la liste des instructions en code binaire spécifique a un type d'ordinateur particulier. La puissance des ordinateurs augmentant, on les utilisa pour faire les programmes, les programmeurs préférant naturellement rédiger du texte plutôt que des suites de 0 et de 1, a charge pour l'ordinateur d'en faire la traduction lui-même. Avec le temps, de nouveaux langages de programmation sont apparus, faisant de plus en plus abstraction du matériel sur lequel devaient tourner les programmes. Ceci apporte plusieurs facteurs de gains : ces langages sont plus faciles a

apprendre, un programmeur peut produire du code plus rapidement, et les programmes produits peuvent tourner sur differents types de mac hines.²⁹

11.3. Différentes C atégories de L ang ages

C haque langage de programmation est different. Une solution exprimee dans un certain langage peut e ressembler D a une solution exprimee dans un autre langage ; dans ce cas, on dit que les langages utilisent le meme paradigme (ou style). Deux programmes fournissant la solution au meme probleme, mais ecrits avec des paradigmes differents seront fondamentalement tres differents.

De nombreux langages appartiennent simultanement a plusieurs categories : ils sont dits « multi-paradigmes ». Par exemple, C++ permet la programmation imperative, orientee objet et la programmation generique (a base de classes et de fonctions parametrees nommees templates). Common Lisp est a la fois imperatif, fonctionnel, oriente objet ; son caractere « programmable » (un langage de programmation programmable...) lui permet d'integrer d'autres e paradigmes D de programmation en son sein (par exemple : la programmation logique et la programmation par contraintes).

1. L ang ages impératifs et procéduraux

1.1. Langages imperatifs

Ceci explique que les premiers langages de programmation apparus soient des langages imperatifs : une instruction du langage correspond a un ensemble d'instructions du langage machine. Les structures de donnees et operations sont plus complexes qu'au niveau de la machine, mais le paradigme suivi reste le meme.

1.1. Les langages proceduraux

Ils forment la seconde famille de langages imperatifs. Une procedure, appelee egalement fonction, est une suite d'instructions devant etre effectuee dans un ordre precis. On distingue parfois procedure et fonction par la caracteristique qu'une procedure ne renvoie pas de resultat.

Parmi les langages imperatifs figurent COBOL, Fortran, Pascal ou encore le C.

²⁹ http://fr.wikipedia.org/wiki/Langage_de_programmation

2. L ang ages déclaratifs

Un langage déclaratif ne décrit pas comment est réalisée une opération, comme dans un langage impératif, mais décrit le probleme lui-même, sans s'intéresser au contexte.

Figurent parmi les langages déclaratifs Oz, Prolog ou encore Clips.

3. L ang ages logiques

Un programme logique est composé de faits et de r3gles qui sont traités par un moteur d'inférence.

Prolog fut le premier langage de ce type a etre fonctionnel sur un ordinateur.

4. L ang ages fonctionnels

Dans ce paradigme, l'opération de base n'est pas l'affectation, contrairement aux langages impératifs, mais l'évaluation de fonctions. Ce paradigme est donc principalement efficace pour modéliser des problemes qui s'expriment par des valeurs de données, comme en mat hématiques, et non pas des états qui c hangent au cours de l'exécution.

Quelques exemples de langages fonctionnels : Objective Caml (langage fonctionnel et impératif), Haskell (langage fonctionnel pur a évaluation paresseuse), Python (propose certaines fonctionnalités du style fonctionnel comme l'utilisation de fonctions lambda ou la compré hension de listes).

5. L ang ages a pile

Ces langages ne manipulent que des piles de données ou les opérations sont effectuées sur les éléments du sommet d'une ou plusieurs piles.

Des exemples typiques sont les langages Forth, Factor, PostScript, Joy, Cat ou RPL (HP 48).

6. L ang ages a objets (programm ation oriente objet)

.Les langages a objets offrent une abstraction a la machine : l'objet est une structure sémantique indépendante qui rassemble des données et des traitements.

En se basant sur une mét hode de conception a objet et sur un langage de modélisation a objet, on peut facilement implanter un concept au moyen d'un langage de programmation a objets.

Parmi les langages a objets sont g~n~ralement classes Ruby et Smalltalk, purement objet, c'est-e-dire que tout est objet, depuis les types de base, jusqu'e l'interprete ou les blocs d'instructions ; le C++, extension de C permettant d'utiliser des objets mais ou tout n'est pas objet ; Pyt hon.³⁰

11.4. Choix du L ang age

Considerant le deroulement de notre demarche et apres analyse des differentes categories, nous operons notre c hoix de programmer notre Base de donnees en ACCESS, car, c'est un des langages Orientes Objets.

Pour des details de programmation, voir CD.

³⁰ http://www.google.fr/#langage+de+programmation+pdf&oq=langage+de+programmation+pdf

CONCLUSION GENERALE

De tout ce qui précede, nous venons de poser pour nos études, nos premiers jalons de la démarc he scientifique en général et en informatique en particulier. La partie introductive nous a permis de procéder au c hoix de techniques et mét hodes utilisées, la justification et l'intérGt liés a notre sujet d'étude. La suite des notions introduites dans les différents c hapitres, a démontrée lucidement la pertinence de réalisation d'une automatisation ou informatisation au niveau de l'entreprise par l'implémentation d'une Base de Données fiable et appropriée qui influence positivement le rendement et la rentabilité.

BIBLIOGRAPHIE

I. OUVRAGES

1. E. ASTIEN, A.BENSOUSSAN ; Dictionnaire des Technologies de l'Information et de la Communication, Ed. FOUCHER, Paris, 2001, p.5

2. A. LASSUS, A. MUMDUBELTZ et D. CHAULET ; Methodologie des systemes d'information-MERISE, Ed. CNAM ANGOULEME, 2000-2001, p.3

3. DI GALLO Frederic ; Methodologie des Systemes d'information-MERISE, Edition CNAM ANGOULEME 2000-2001

4. Laurent AUDIBERT, Base de donnees et Langage SQL ; pp 9-10

5. Cyril GRUAU, Conception d'une base de donnees, 2006, P ; 6

II. WEBOGRAPHIE

1. http://dictionnaire.reverso.net/francais-definition

2. http://www.dissertationsgratuites.com/dissertations/Met hode-Merise-Approc he-Par-Etapes

3. http://www.sciencesdegestion.com/e-learning/systèmeinfomaster/plan. htm

4. http://iosic h.over-blogs.com

5. http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_(informatique)

6. http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_%28informatique%29

7. http://fr.wikipedia.org

8. http://www.commentcamarc he.net/contents/bdd/bddtypes.p hp3

9. http://www.soreau.net/etude-prealable. html

10. www.f3e.asso.fr ; L'Etude Préalable

11. http://wikipedia.org

12. http://fr.wikipedia.org//base de données

13. http://fr.wikipedia.org/wiki/Merise_informatique

14. http://mrproof.blogspot.com/cours-sur-les-modèles-du-niveau.html

15. http://www.commentcamarc he.net/contents/bdd/bddtypes

16. http://www.grappa.univ-lille3.fr/candillier/cours/BD/

17. http://fr.wikipedia.org/wiki/Microsoft_Access

18. http://fr.wikipedia.org/wiki/Langage_de_programmation

^18. http://www.google.fr/langage+de+programmation+pdf_langage+de+programmation+pdf

III. TRAVAUX DE FIN DE CYCLE ET MEMOIRES

1. YVES IYASSA BONGANYA ; Conception et Realisation d'un systeme de Gestion informatisue de suivi des recettes des Regies Financieres, cas de la DGRAD/TSHUAPA; TFE, G3 Informatique de Gestion, ISC Boende, 2010-2011.

2. MOGHRANI AREZKI ET AZZOUG ZOUBIR ; Conception et realisation d'une application de suivi de patients dans un etablissement hospitalier ; Mémoire de

licence en informatique 2009 ; Université abederrahmane / Algérie.