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Etude des déterminants de l'offre de l'eau potable au Cameroun

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par Edmond Noubissi Domguia
Université de Dschang Cameroun - Master II 2012
  

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SUMMARY

Cameroun in spite of these natural predispositions which enable him to have a significant water resource, has evil to achieve the goals of development of millenium (OMD) to knowing to reduce half, from here 2015, the percentage of the population which does not have access in a durable way to a supply drinking water and a basic cleansing. Our objective through the realization of this work is to provide a tool to promote the durable management of the water resources in Cameroun and consequently the attack of the OMD.

But, the overexploitation of nature coming mainly from a nonrespectful economic exploitation of balances and natural cycles of reproduction cause negative externalities. Moreover, the demographic growth and these negative externalities make run risks of water shortage as well in quantity as in quality.

Because of the almost recurring problems that the large metropolises of the country meet it seemed significant to us to carry out this study on the determinants of the offer of water in Cameroun in order to determine the reasons of the inadequacy between this one (the offer of water) and asks it. The result obtained thanks to the Eviews software shows us that two variables have a significant influence on the offer of water in Cameroun. Thus, the resolution of the hydrous problems in Cameroun inevitably passes by an increase in the budget and a sensitizing of the populations on the need for a durable management of the environmental resources in general and hydraulic resource in particular.

Key words: Determinants, water supply

CHAPITRE 1 : INTRODUCTION GENERALE

1.1. Contexte

La gestion des ressources naturelles crée le plus souvent de nombreux problèmes dans la plupart des pays notamment à cause de leur rareté et de leur répartition inégale. De même, l'eau qu'on a longtemps considérée comme une ressource inépuisable n'échappe pas à cette logique. La bonne gestion de cette ressource est entravée dans les pays en voie de développement par des facteurs d'ordre politique, social, économique et environnemental. Ainsi, l'inéluctable raréfaction de l'eau, sa constante dégradation en qualité et son inégale répartition sont autant de signes palpables qui indiquent une mauvaise gestion de l'eau et concourent de façon significative à la paupérisation des populations en termes de santé, d'urbanisation, d'économie et d'échange.

En effet, malgré le fait que plus des 2/3 de la surface de la terre soit recouvert d'eau, il existe tout de même une multitude de conflits dans le monde pour l'acquisition de cette ressource. Il existe dans le monde plus de 200 bassins fluviaux internationaux (215 selon le RIOB, 1998 ; plus de 240 selon Caponera, 1998) et les eaux souterraines ignorent au moins autant les frontières que les eaux superficielles. La question de la gestion du partage de ces eaux, et donc des usages que l'on peut en faire, n'est pas nouvelle, mais elle prend une dimension stratégique plus importante avec l'accroissement de la pression anthropique : c'est donc un sujet d'avenir.

La problématique de l'eau potable figure au coeur des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD), à savoir réduire de moitié, d'ici 2015, le pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable et à un assainissement de base. Les estimations pour 2006 révèlent que la population qui dépend des points d'eau non améliorés s'élève à 884 millions de personnes (Geert Vanderstichele, An Eijkelenburg, 2009). C'est en Afrique subsaharienne que le taux d'accès à l'eau potable et à l'assainissement est le plus faible du monde. Seuls 46% de la population rurale et 81% de la population urbaine y ont accès. Les disparités entre milieu urbain et milieu rural sont encore plus accentuées en matière d'assainissement. Ainsi, toujours en Afrique, seuls 24% des habitants des zones rurales ont accès à des dispositifs améliorés d'assainissement (principalement des latrines) contre 42% des citadins. Au rythme actuel des investissements dans le secteur, l'Afrique subsaharienne n'atteindra pas les OMD. C'est justement pour cette raison que les Nations Unies pensent de plus en plus à intégrer l'accessibilité à l'eau comme un indicateur de développement.

En outre, le nombre de décès et de maladies provoqués par le manque ou la mauvaise qualité de l'eau s'est globalement accru dans le monde et particulièrement en Afrique subsaharienne. On dénombre en effet environ sept maladies hydriques (la colibacillose, le choléra, la fièvre typhoïde, le paludisme, la bilharziose, l'onchocercose, la dengue). L'accès à une eau saine à des coûts raisonnables est une condition indispensable à l'amélioration des conditions sanitaires des franges les plus déshéritées de la population mondiale. C'est justement à ce titre que Hoek, Konradsen et Jehangir (1999) dans l'un de leurs articles présentent des statistiques inquiétantes sur les maladies hydriques. Ils distinguent en effet 1,5 milliards de personnes qui soufrent de diarrhées (avec 3,3 millions de morts chez les enfants de moins de 5 ans et 5 millions tous âges confondus) ; 500000 cas de choléra avec 20000 morts ; 500000 cas de typhoïdes avec 25000 décès ; l'ascaridiose 1,3 milliard de personnes infectées, 59 millions de cas cliniques, 10 000 morts, etc.

Par ailleurs, pour la plupart des industries, l'eau est un facteur de production. L'eau est ainsi présente quasiment tout au long de la chaîne de transformation des produits ; elle est également employée pour le nettoyage des ateliers, des machines et des produits finis. La production d'énergie occupe une place particulière dans les bilans de consommation d'eau. Elle implique des prélèvements très importants mais en restitue l'essentiel pour ne représenter qu'un faible pourcentage de la consommation nette. Si la demande en eau de l'industrie (hors énergie) a diminué en quantité, elle a changé de nature et est devenue plus exigeante concernant la qualité de l'eau utilisée. En effet, la qualité requise pour l'eau industrielle dépend de son usage. Les industries agro-alimentaires par exemple ont besoin d'eau potable. L'industrie électronique requiert quant à elle une eau très pure pour la réalisation de ses puces et par conséquent des traitements spécifiques et plus exigeants que pour une eau destinée à la consommation. Pour le refroidissement ou le lavage, une eau peu traitée suffit en général. Enfin, dans d'autres cas, une eau même usée peut être suffisante.

La valorisation, à son véritable niveau, de l'eau est évidemment un moteur puissant d'évolution des pratiques. Le plein recouvrement des coûts apparaît aujourd'hui comme une utopie pour de nombreux décideurs, qui s'appuient sur l'impact socioéconomique d'une valorisation du coût de l'eau mais aussi sur des notions culturelles, voire religieuses (l'eau, don du ciel, bien sacré, non appropriable) rendant cette valorisation inacceptable.

De même, la Banque Mondiale promeut la participation du secteur privé notamment dans le secteur de l'eau. Cependant, l'analyse de la situation actuelle des pays en voie de développement (PED), et notamment de l'Afrique subsaharienne, montre que de nombreux ménages (surtout à faible revenu) des zones urbaines ou rurales n'ont toujours pas accès à l'eau potable malgré la modernisation du secteur. En effet les grandes sociétés distributrices d'eau ont du mal à assurer le service dans les petits centres et quartiers secondaires des grandes villes, probablement à cause de leurs structures et politique mal adaptées à ces zones marginales ou peu rentables. Pourtant ces zones abritent une partie importante et en pleine croissance de la population. C'est pourquoi, en l'absence d'un service moderne plus efficace de l'eau, il existe un service « alternatif », assuré par des petits opérateurs privés qui appartiennent le plus souvent au secteur « informel». Des enquêtes de terrain (Hydro conseil, 2000) menées dans plusieurs pays d'Afrique subsaharienne ont révélé leur grand dynamisme et surtout, leur poids économique prépondérant dans le secteur, en termes d'emplois, de chiffre d'affaires et de nombre de familles desservies.

La forme de marché d'eau actuellement dans la plupart des pays en voie de développement est le monopole naturel. Le monopole naturel est la forme naturelle de marché lorsque le coût minimal ne peut être atteint que si la quantité totale du bien est produite par une seule entreprise, Sharkey (1982). La tarification du monopole naturel ainsi que son administration a fait l'objet de plusieurs études par les économistes.

Néanmoins, la politique de tarification et de gestion d'eau diffère d'un pays à l'autre.

Au Cameroun, cadre principal de notre recherche, nous notons que la gestion et la tarification de l'eau étaient effectuées jusqu'en 2008 par la SNEC et maintenant par la CDE ( Camerounaise Des Eaux). Le Cameroun dispose dans l'ensemble des conditions naturelles favorables car ses ressources en eau sont partout abondantes sauf dans les régions du nord du pays. Toutefois, en l'absence d'investissements durant les 20 dernières années et en raison des faiblesses de la gestion par le concessionnaire public (SNEC), la situation de l'approvisionnement en eau potable au Cameroun s'est considérablement dégradée. Si le taux d'accès « amélioré » à l'eau potable est globalement de 70 % en 2006, ce chiffre traduit néanmoins des disparités et des forts retards en milieu urbain par rapport aux pays africains comparables.

Disparités rurale/urbaine d'abord, car le taux d'accès n'est que de 47 % en milieu rural, contre 88 % en milieu urbain ; forts retards de plus en milieu urbain, avec une stagnation de l'accès par branchement particulier (ou branchement dans la cour) depuis 1990 à 26 % de la population urbaine, ce qui est très faible au regard de pays africains comparables (Sénégal : 78 % ; Côte d'Ivoire : 62 % et moyenne Afrique Sub-saharienne : 35 %). De plus, jusqu'en 2008 le périmètre que couvrait la SNEC était de 103 centres urbains soit environ 8,04 millions d'habitants. La tarification était identique dans tous les centres gérés par la SNEC et s'élevait en moyenne à 385 frs CFA TTC/m3 et variable en fonction des tranches de consommation.

Par ailleurs, malgré le fait que de plus en plus la situation d'accès à l'eau au Cameroun soit problématique, il existe très peu d'études sur la performance et l'efficience de ce secteur. Nous nous proposons de ce fait de mener une recherche sur le thème intitulé : Etude des déterminants de l'offre de l'eau potable au Cameroun.

1.2. Problématique

Le choix d'organisation et de régulation des services publics de l'eau et son impact sur leur qualité et leur prix sont depuis de nombreuses années une préoccupation centrale des décideurs politiques mais également un thème de recherche important chez les économistes. Le marché de l'eau dans la plupart des pays en voie de développement fonctionne comme des monopoles naturels. La politique de tarification de ce type de marché n'est pas toujours évidente ainsi que son administration.

De plus, le marché de l'eau est caractérisé par deux faits stylisés: premièrement, environ 90% du réservoir d'eau de toute la surface terrestre sont gérés par les gouvernements locaux ou fédéraux et la course vers un budget équilibré est la priorité (Yiðit Saðlam, 2010). Cet auteur précise aussi que les offreurs d'eau ont une série de prix d'eau leurs permettant de recouvrir leurs coûts, qui est connu comme la règle de fixation de prix au coût moyen et qui ne prend pas en compte un manque potentiel d'eau. D'où, cette règle de fixation de prix qui ne tient pas compte le phénomène de rareté d'eau peut conduire aussi à des gros retraits d'eau ce qui n'est pas soutenable à long terme (OCDE, 1999d). En outre, la tarification d'eau n'est pas identique dans les différents secteurs d'utilisation de cette ressource (agricole, ménager et industriel), ce qui peut conduire à une distribution inefficiente d'eau (OCDE 1999a, 1999b, 1999c). Deuxièmement, dans plusieurs parties du monde (incluant l'Afrique Sub-saharienne, une partie de l'Europe de l'Est et du Sud) les pays souffrent de la volatilité de l'offre d'eau accompagnée de manque temporaire mais fréquent d'eau voir des auteurs comme Allan (1997), Rossi et Somma (1995), Shiklomanov (1997), Thomsen (1993). Plusieurs pays de l'OCDE ont fait l'expérience d'un manque périodique d'eau, basé sur les niveaux élevés de fuites dans le système d'offre d'eau ou un usage inefficient est induit par des politiques de fixation de prix inefficient. Bien que la faible pluviométrie soit souvent perçue comme la cause principale du manque d'eau, un système de fixation de prix d'eau inapproprié qui cause une utilisation excessive d'eau ne peut être négligée.

En outre, l'objectif de premier rang étant jugé inaccessible ou trop coûteux, d'autres systèmes de tarification ont été proposés afin de prévenir ces types de distorsion. Anne BRIAND (2007), distingue ainsi trois types de tarification à savoir :

Ø La tarification de l'eau au coût marginal

L'apparition en Afrique subsaharienne de nouveaux facteurs, sources de contraintes supplémentaires (forte croissance démographique, forte urbanisation, croissance rapide de la demande, hausse des coûts de mobilisation des ressources et d'exploitation ou, hausse des coûts liés à l'extension des services d'alimentation en eau potable « AEP » à des zones de faible densité de population pour lesquelles le coût unitaire du service d'eau est relativement plus élevé), a généré l'idée d'atteindre des niveaux de production et de consommation d'eau économiquement « efficaces » susceptibles d'épargner les ressources rares. C'est justement pour cette raison que l'attention s'est progressivement portée sur une hausse de la tarification de l'eau pour qu'elle atteigne au moins la valeur de son coût marginal.

Ø La tarification progressive de l'eau avec « tranche sociale subventionnée »

Le concept de « tranche sociale subventionnée » ou de « besoin de base » a une justification économique essentiellement fondée sur l'argument de redistribution des revenus. En effet, l'objectif de la société distributrice à mission de service public est aussi de permettre un accès pour tous (même aux ménages à faible revenu) : souci de justice sociale.

Le principe est de définir une 1ère tranche de consommation dite « sociale » (correspondant au volume de consommation minimal pour la satisfaction des besoins de base) pour laquelle le tarif appliqué est dit « social » (inférieur au coût marginal). Puis, les autres tranches de consommation (volumes plus élevés) sont tarifiées au coût marginal.

Cependant de telles politiques ne se sont pas toujours révélées positives aux ménages à faible revenu. Bien au contraire, elles ont même souvent généré en Afrique des effets contre-redistributifs pour les raisons suivantes. Tout d'abord dans certaines villes où le taux de desserte (branchement domiciliaire) est élevé, ces politiques ont favorisé l'accès à l'eau des ménages à revenu moyen et non aux ménages à faible revenu. Ces derniers habitent souvent des quartiers marginaux « hors réseau », et sont donc peu touchés par de telles politiques pourtant dites « sociales ». De plus, dans les quartiers précaires dont la particularité de l'habitat est la cour partagée avec un seul robinet, les ménages se partagent la facture d'eau dont le volume de consommation élevé correspond à un prix fort.

Ø La tarification de l'eau au coût moyen (Ramsey-Boiteux)

Elle fait disparaître l'obligation pour l'Etat d'accorder une subvention au producteur dans le cas où la tarification au coût marginal occasionnerait une perte (prix inférieur au coût moyen). L'Etat impose alors à la société distributrice une contrainte d'équilibre budgétaire.

Dans les pays du pourtour méditerranéen, les ressources en eau sont limitées et inégalement réparties dans l'espace et dans le temps ; les pays de la rive Sud ne sont dotés que de 13 % du total. La Méditerranée regroupe 60% de la population mondiale « pauvre » en eau (disposant de moins de 1000 m3/hab/an) et vingt millions de Méditerranéens n'ont aujourd'hui pas accès à l'eau potable, notamment dans les pays au Sud et à l'Est. Les ressources sont déjà surexploitées en maints endroits et la croissance des besoins en eau va rester très forte avec la croissance démographique au Sud et à l'Est, le développement du tourisme, de l'industrie et des terres irriguées.

Dans un contexte de pénurie croissante dans une partie de la région et face aux incertitudes liées au changement climatique, les travaux du Plan Bleu mettent en avant la nécessité impérieuse d'adapter les politiques de gestion de l'eau, de mieux gérer les différents usages et d'utiliser les ressources de façon plus économe et optimale, pour répondre aux besoins des populations et de développement d'aujourd'hui et de demain.

De plus, la loi de marché d'inspiration keynésienne stipule que la demande est supposée stimuler l'offre. Dès lors, on peut s'interroger dans le contexte Camerounais sur les raisons du niveau bas de l'offre d'eau et ceci malgré la demande importante qui existe pour l'acquisition de cette ressource notamment dans le secteur ménager et industriel.

Il sera alors question pour nous dans le cadre de ce travail d'envisager des mécanismes socio-économiques pour amener la société distributrice de l'eau au Cameroun à accroître son offre. En d'autres termes, on s'attellera à déterminer les variables sur lesquelles on pourra jouer afin de remonter l'offre d'eau au niveau de la demande.

1.3. Objectifs

La recherche présente suit un triple objectif. Après avoir appréhendé la politique de tarification appliquée actuellement au Cameroun, nous nous attèlerons à :

1. Montrer aux dirigeants que la politique actuelle de tarification de l'eau constitue un frein à l'exploitation, à la distribution et à l'assainissement de cette ressource par la société distributrice d'eau ;

2. Analyser les déterminants socio-économiques de l'offre d'eau notamment dans le secteur ménager et industriel ;

3. Faire des propositions en vue de l'amélioration du système de distribution actuel d'eau au Cameroun.

1.4. Hypothèses

Pour que nos objectifs soient atteints, nous allons émettre les hypothèses suivantes :

H1. Les variables socio-économiques telles que : les investissements, l'évolution démographique de la population urbaine, les secteurs d'utilisation, etc. influenceraient fortement l'offre en eau.

H2. La qualité de l'eau est la même dans les deux secteurs d'utilisations de cette ressource retenu dans le cadre de ce travail.

H3. L'environnement institutionnel (le statut juridique de la société en charge de la gestion de cette ressource : privé ou public) est un obstacle à la bonne gestion de la ressource en eau.

1.5. Intérêt de la recherche

Notre étude présente un intérêt théorique et pratique.

· Sur le plan théorique, notre étude nous permettra de mieux comprendre ou connaitre l'économie environnementale et plus particulièrement la gestion et l'allocation des ressources naturelles par les Etats.

· Sur le plan pratique, la réalisation de cette étude serait un complément à la littérature relative au domaine concerné et permettrait d'apporter quelques réponses aux problèmes d'eau au Cameroun.

En outre, les résultats issus de cette étude pourront permettre aux dirigeants camerounais de mieux orienter leur politique d'offre de l'eau pour être plus efficace. En effet, le fait de connaitre les différentes causes de manque d'eau peut aider à améliorer la performance du système de distribution d'eau par les dirigeants.

1.6. Organisation de la thèse

Notre travail s'articule en six chapitres. Le premier sera réservé à la présentation générale du travail.

Les chapitres deux et trois traiteront de la problématique sur le plan théorique à partir d'une revue générale de la littérature dans le domaine concerné. Elles auront pour titre cadre théorique général de la valorisation des ressources naturelles (chapitre deux) et revue critique de la littérature (chapitre trois).

Les chapitres quatre et cinq qui se veulent plus pratique vont nous permettre dans un premier chapitre à traiter : de la méthodologie que nous appliquerons (chapitre quatre) et le cinquième chapitre présentera les résultats et les implications de la recherche. Nous conclurons notre travail par un sixième chapitre qui sera réservé à la conclusion générale et aux recommandations.

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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery