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Médias audiovisuels et dépravation des moeurs. Constat fait aux enfants, adolescents et adultes de Kinshasa

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par Schadrack Lutangu
Université de Kinshasa RDC - Gradué 2012
  

Disponible en mode multipage

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MEDIAS AUDIOVISUELS ET DEPRAVATION DES MOEURS

CONSTAT FAIT AUX ENFANTS, ADOLESCENTS ET ADULTES DE KINSHASA 

LUTANGU SELETI Schadrack-Mozart

Gradué en Sciences de l'Education

AC. 2012

Schazart@yahoo.fr

INTRODUCTION

Aujourd'hui, les médias font partie de la vie quotidienne et constituent l'environnement familier de tous. La nouvelle génération, à la différence de la précédente, a grandi avec la télévision, a été témoin de tous les grands changements de l'audiovisuel et a connu le développement considérable de l'informatique ; elle ne fait d'ailleurs guère de distinguer entre les anciens médias (presse, radio, télévision) et les nouveaux, au sens courant du terme.

En effet, tous ces médias sont omniprésents et participent largement avec la famille, l'école et le groupe des pairs, la socialisation des enfants, des adolescents ainsi que des adultes. La télévision, en particulier, internet dans ce processus, et précède même l'école ; en outre, elle représente avec la radio, les premiers médias accessibles à l'enfant qui, très tôt, est capable d'allumer un télévision et une radio, alors qu'il lui faudra quelques années de plus avant de pouvoir lire un livre ou se servir d'un ordinateur, de façon autonome.

Au vue des idées précédentes, nous avons constaté qu'actuellement, l'utilisation de ces médias audiovisuels exerce des influences (négatives ou positives) dans les conduites ou dans les comportements des jeunes enfants, adolescents et adultes au sein de la société congolaise en général et Kinoise en particulier.

En République Démocratique du Congo, notamment à Kinshasa, les médias audiovisuel occupent une place importante dans la socialisation des enfants voir même des adultes. A travers les images qu'ils diffusent, ils véhicules des modèles qui ont un réel pouvoir d'influence sur les processus de symbolisation, sur la construction de l'intersubjectivité, sur la formation ou l'entretien d'illusion, sur les repères affectifs et sociaux.

Les enfants, notamment les jeunes filles, sont plus susceptibles de devenir victime de violence à la télé. Ceci peut les rendre plus effarés face au monde extérieur. En même temps, l'enfant risque de manifester des comportements agressifs suite à une séance de dessins animés ou film contenant des scènes de violence. C'est la honte à Kinshasa de regarder la télévision en famille car cette télévision constitue l'objet des sentiments, des émotions et des passions personnelles.

Dans ce cas, les besoins ou les sentiments des parents devant la télévision ne sont pas les mêmes à ceux des enfants, contrairement aussi, c'est le même. Et, pour éviter cette confrontation entre parent et enfants devant la télé, certaines familles instaurent un système de télés en chambre, c'est-à-dire une télévision pour les parents dans leur chambre et une autre pour les enfants. Malgré cela, le contrôle des parents n'est pas assez fort dans ce que les enfants regardent comme émissions, films, théâtre, musiques, sports...

En développant toutes ces thèses dans le présent travail, nos préoccupations les plus majeures restent de savoir : Comment les médias audiovisuels amènent les jeunes enfants, adolescents et voir même adultes à la pratique des actes immorales et/ou à la dépravation des moeurs ? Quel est le rôle de l'Etat congolais face à ces genres de médias ?

Ainsi, pour répondre à toutes ces préoccupations, le présent travail porte sur trois volés : volés conceptuel, volé utilisation et influence ainsi que le volé gouvernement et rôle. En d'autres termes, notre travail est divisé en trois sections reparties comme suit : Etude de quelques concepts ; Utilisation et influence des médians audiovisuels sur les jeunes ; Medias et la bonne gouvernance.

SECTION 1 : ETUDE DE QUELQUES CONCEPTS

En ce qui concerne cette partie, nous allons essaie d'analyser les concepts ci-après : les médians audio-visuels, la dépravation des moeurs ainsi que d'autres concepts qui feront objets dans le présent travail.

1.1. Les médians audio-visuels

L'expression « médias audio-visuels » est un mot composé de trois termes à savoir : média, audio et visuel. Mais, on peut toujours mettre les deux derniers termes ensembles « audio-visuel ». Dans ce cas, analysons l'un après l'autre.

1.1.1. Le média

a. Définition

Le terme média désigne dans l'acceptation la plus courante, tout moyen de diffusion naturelle (comme le langage, l'écriture, l'affichage) ou technique (comme la radio, la télévision, le cinéma, l'internet), permettant la communication, soit de façon unilatérale (transmission d'un message), soit de façon multilatérale (échange d'une formation).

En outre, le terme « Média » désigne tout simplement un support. Et dans ce cas, nous pouvons distinguer les médias selon leurs structures de consultation et selon leurs supports d'utilisation.

b. Structures de consultation des médias

Selon les structures de consultation des médias, nous avons :

ü Les médias simples : dont la consultation par le destinataire est directe. Par exemple : un journal, une revue, un livre, une affiche... ;

ü Les médias autonomes : dont la consultation, implique la détente d'un équipement par le destinataire. Par exemple : magnétoscope, lecteur CD, micro-ordinateur, téléphone mobile... ;

ü Les médias de télédiffusion : dont la consultation suppose que le destinataire soit connecté à des réseaux de diffusion, dans le cadre d'une offre n'autorisant qu'un degré d'interactivité réduit. Par exemple : les réseaux hertziens terrestre, télédistribution par câble, satellites de diffusion directe...

ü Les médias de télécommunication : cette structure est la même avec la prédécédé. Elle présente un degré d'interactivité important.

c. Médias et supports

Les principaux médias sont :

ü L'affiche ;

ü La presse écrite ;

ü La radio ;

ü La télévision ;

ü Les NTIC avec le Web ;

ü Le cinéma ;

ü Les médiatactijques ou média de proximité ;

ü Les jeux vidéo, etc.

Parmi ces principaux médias énumérés, ceux qui dont objets dans notre travail ce sont les types de médias audio-visuels.

1.1.2. Audio-visuel

a. Définition

L'expression « audio-visuel » désigne à la fois le matériel, les techniques, les méthodes d'information, de communication ou d'enseignement associant le son et l'image. Donc, le terme audio-visuel peut se référer à tout travail qui utilise, à la fois, du son et de l'image, et englobe ainsi les équipements et les procédés utilisés pour la télévision, le cinéma, ou encore la vidéo.

A la combinaison avec le terme « média », nous arrivons à une expression composée « média audio-visuel ». En effet, les médias audio-visuels sont des moyens modernes de communication et d'information à l'aide des sons et des images. Ils peuvent être aussi qualifiés comme de multimédia.

1.2. Equipement des médias audio-visuels

Parmi les différents supports (équipement) de ces médias, il y a lieu d'énumérés ce qui suit :

ü La télévision ;

ü Le micro-ordinateur ;

ü Le téléphone portable

ü Etc.

1.3. La dépravation des moeurs

En parlant de la dépravation et des moeurs ; il s'agit des actes, des comportements, des habitudes relatives à la pratique des immoralités, de corruption, de violence, de destruction, de régression qui amènent l'individu à plonger dans le mal, à s'y complaire.

SECTION 2 : UTILISATION ET INFLUENCE DES MEDIAS AUDIOVISUELS SUR LES JEUNES

Dans cette optique, nous allons énumérés quelques équipements et la consommation de des médias audio-visuels par les jeunes (enfants, adolescents et adultes) filles tout comme garçon, ainsi que des méfaits, réels ou supposé, des médias audio-visuels les plus incriminés, à savoir : la télévision, mais aussi des méfaits imputés à l'ordinateur (internet) et au téléphone portable.

2.1. La télévision

La télévision reste à ce jour, le média dominant en termes d'équipement, le média le plus consommé par l'ensemble des enfants, adolescents et même des adultes en dernière position. Elle représente globalement, pour ces jeunes (enfants et adolescents), le premier loisir et la troisième activité, en tant que budget-temps, après le sommeil et l'école ; sa facilité d'accès et sa quasi-gratuité, à la différence des livres ou des disques.

Il convient alors de signaler qu'à Kinshasa, la télévision est regardée par les jeunes de tous les milieux sociaux, malgré que le choix des émissions ; des films, de théâtres... n'est pas le même pour tous. Mais aussi, son utilisation diffère sensiblement selon le sexe ; les filles préfèrent plus souvent que les garçons, les fictions TV (série, feuilletons) ou les jeux et variétés ; les garçons choisissent davantage les dessins animés et les émissions ayant trait au sport.

Au regard de l'utilisation de la télévision chez les jeunes enfants adolescents et adultes, nous comprenons que l'influence au comportement de ces jeunes peut être certaine, soit de façon négative ou soit de façon positive. L'enfant et/ou adolescent, en passant de grand moment devant la télé, il peut arriver à copie tout ce qu'il voit dans de cinéma, de sports (catch)... et de l'inculquer dans sa mémoire. Alors, le mauvais usage de ces actes vis-à-vis de ses proches, sera l'un des désavantages à cet enfant de continuer à regarder de façon autonome la télévision. Dans ce cas, quel peut être la position des parents ?

La perception qu'ont les adultes de la télévision et leurs attitudes à l'égard des réglementations sont déterminées par leurs expériences télévisuelles. Pour A. CARON & D. MEURIER (1996), la position des parents face au comportement de leurs enfants devant la télévision dépend souvent de leur propre enfance et de l'éducation qu'ils ont eux-mêmes reçue.

Donc, nous pouvons dire que la télévision étant équipement média audio-visuel, elle est à la base de l'influence des comportements agressifs et violents des jeunes enfants, adolescents et adultes. Elle leurs donne souvent l'intention de passer aux actes négatifs dans la famille tout comme dans la société. Ainsi, cette influence dépend non seulement de ce que ces jeunes font, mais également de ce qu'ils en attendent et de ce qu'ils pensent de négatifs.

Par exemple : les modes d'habillement actuelles chez les filles sont d'imitation des modèles trouvés dans les films étrangers (Nigeria...) ; leur façon de parler, de marcher... tous sont des caractères imitatifs qui in fluence leur comportement d'une manière à une autre.

2.2. Le micro-ordinateur

Outre la télévision, l'ordinateur figure également et contribue à la dépravation des moeurs, surtout à travers son réseau international (internet). Si les parents dans la famille privent ou interdisent leurs enfants de n'est plus regardé la télévision pendant les heures tardives, mais l'ordinateur (internet) reste ouvert 24/24 sans aucune interdiction. Si tel enfant juge de staffer ailleurs, cela exprime déjà une déviation des moeurs, contre la philosophie familiale.

Devant l'ordinateur (internet), l'enfant reste seul, et il regarde tout. L'avantage primordial est d'acquérir les différentes connaissances. Mais, lesquelles sont plus utiles ? Pour les jeunes enfants, adolescents, voir adultes, la lecture ne peut ou n'est pas être évidente, mais les images ainsi que les sons sont plus en considération. Donc, pour eux, la connaissance des images et des sons est plus importante.

Raison par laquelle, nous constatons également que les images et les sons sont fréquemment rendus responsables du déclin de la lecture, sans qu'il y ait pour autant de causalité établie. Par là nous soutenons la thèse développée par B. SEIBEL (1997) qui révèle que « les gros lecteurs sont aussi de forts consommateurs des médias audio-visuel. Mais l'inverse n'est pas vrai : les forts utilisateurs des médias audio-visuels ne sont pas forcement de forts lecteurs ». Faute de quoi, aujourd'hui à Kinshasa, certains parents regrettent la pauvreté des contenus éducatifs sur l'ordinateur (internet).

2.3. Le téléphone portable

Le téléphone portable jadis instrument de communication est devenu aujourd'hui plus qu'un ami pour beaucoup de jeunes. Une bonne part des millions de messages qui sont échangés entre téléphones ne circulent pas sous formes de paroles, mais sous forme écrite. En utilisant le téléphone, les jeunes ont crées une nouvelles langue : un langage abrégé, une combinaison des lettres et des chiffres qui retranscrivent la phonétique des mots.

C'est ainsi que certains sociologues et enseignants de Kinshasa craignent que l'orthographe et la syntaxe multiples des SMS ne nuisent à la capacité des jeunes de lire et d'écrire correctement. Ces enseignants ainsi que sociologues se posent la question « quel est alors l'objet de ces SMS ? IL révèle que les jeunes se servent des SMS pour envoyer des messages amoureux, utilisent ce moyen de communication à la mode pour solliciter leur rendez-vous, pour mettre en terme à une relation.

A Kinshasa par exemple, le téléphone est à la base des dérapages difficilement rattrapables chez les jeunes, surtout les filles. Hormis l'amitié forgée avec le téléphone, il existe encore un autre comportement : l'hypocrisie. Il devient de plus en plus difficile aux parents de contrôler leurs enfants et de savoir de quoi leurs filles causent, avec qui est pour aboutir à quoi. Le téléphone est prise des jeunes Kinois d'aujourd'hui, car il leurs permet de nouer l'intimité à distance, la plupart des cas avec des individus peu recommandables.

Le téléphone portable, bien que sujet à controverse, exerce une puissante influence tant sur l'éducation, que sur les relations humaines. Comme ses cousins, la télévision et l'ordinateur, il peut être soit un esclave serviable, soit un maître exigent ou sournois. Mais tout repose littéralement entre les mains de l'utilisateur.

2.4. Les médias audio-visuels et la formation de l'opinion

Les avantages prêtés à la télévision participant également à son succès : fédératrice (elle rassemble et permet de passer du temps ensemble), instructive et éducative (grâce aux documentaires et aux émissions culturelles), récréative (elle permet de créer de puissants référents imaginaire).

Mais contrairement à ce que l'on pourrait croire, les enfants regardent peu les programmes jeunesse qui leurs sont destinés. Or, le fait de regarder des programmes avancés, les images violents peuvent exercer un impact sur leur comportement, qu'elles soient physiques, verbales, morales ou encore sexuelles. Et les effets de cet impact seront peut-être : stress, colère, honte, anxiété, difficulté d'endormissement.

Le rôle des médians audio-visuels devrait donc être de fournir aux jeunes des informations fiables et diversifiées selon les niveaux et les âges communautaires, pour que ces jeunes puissent formuler un jugement raisonné et argumenté. Dans le cas contraire, en l'absence d'information, l'opinion sera déterminée par l'émotion, la rumeur, et pourra être facilement manipulé.

Certes, nous savons tous, enfants, adolescents et adulte, que le média influent sur notre façon de penser en présentant les informations selon une orientation qui vise à souvent démontrer quelques choses.

SECTION 3 : LES MEDIAS ET LA BONNE GOUVERNANCE

3.1. Introduction

MONTESQUIEU a, dans son ouvrage « De l'esprit des lois », mis en avant la théorie de la séparation des trois pouvoirs : le pouvoir exécutif ; le pouvoir législatif et l'autorité judicieuse. Cette théorie et le fondement de toute démocratie. Mais actuellement, nous constatons un quatrième type du pouvoir qui est « les medias ». Le concept quatrième pouvoir nous renvoi à l'idée selon laquelle les medias (c'est-à-dire les moyens de transmettre l'information au publique, qui rassemblent un certain nombre de techniques modernes comme la télévision, le téléphone portable, les journaux, l'internet, la radio...) auraient une forte influence sur les affaires publiques et sur les comportements des citoyens (jeunes adolescents, adultes...).

En effet, on parle de 4ème pouvoir, les trois premiers étant l'exécutif, le  législatif et le judiciaire. Les medias comme pouvoir, informent les citoyens des différentes opinions politiques, ils véhiculent les valeurs, le réfèrent, les programmes que le personnel politique cherche à promouvoir. Ils tissent les lins entre une population et un gouvernement afin d'entretenir la croyance en une association des citoyens aux décisions collectives.

Le rôle que peuvent jouer les medias dans la promotion de la bonne gouvernance est clair. Tous les aspects de la bonne gouvernance sont facilités par un secteur des medias puissants et indépendant dans une société. Si l'on affirme que l'indépendance et le pluralisme des medias sont en fait des pré conditions pour l'épanouissement de la démocratie, il est possible pour les éléments clés du gouvernement d'être engagés à des medias qui ne répètent pas simplement ce qu'il voudrait entendre.

Sans doute, l'expression la plus importante d'u ne relation qui existe entre les medias et le gouvernement est la diffusion d'opinions impopulaires qui reflètent des tensions dans la société. Si le secteur des medias n'est pas ouvert et pluraliste, ses opinions peuvent quitter l'asphère démocratique et fomenter la violence. En outre l'une des fonctions importante du gouvernement serait d'encourager un débat au sein du secteur des medias sur les pratiques éthique et sur leur responsabilité professionnelle.

La question essentielle que nous nous posons plus précisément touche au lien qui existe entre les medias et le gouvernement. Ce dernier a-t-il une certaine autorité sur les émissions, les théâtres, les films, les cinémas... passés par les medias, sur les thèmes abordés, sur la façon de les aborder ?

3.2. Rôle de l'Etat face aux médias

Effectivement l'Etat/Gouvernement possède certaines autorités sur les contenus des programmes exploités ou abordés dans le secteur les medias. Les rôles que l'Etat peut exercer dans ledit secteur sont multiples.

L'Etat joue donc le rôle de délimiter les espaces, les différents programmes des modes medias, et d'octroyer des décisions que prennent les entreprises, les groupes et les individus. Il est difficile de concevoir que l'État soit absent de sa gouvernance dans les différents programmes mis au profit sa société par les medias. En cela, on risque de dépraver les moeurs, comme nous le constatons souvent.

Les conditions issues de la numérisation et du cyber spatialisation induisent des façons nouvelles de faire et de consommer de la radio et de la télévision.

Le phénomène d'internalisation de l'audiovisuel a un impact sur les processus de régulation. Il reflète plusieurs tendances caractéristiques de la société de l'information. Ces impacts se manifestent sur les perceptions à l'égard de la légitimité de l'intervention de l'État.

Certains fondements classiques de l'intervention publique paraissent avoir perdu leur raison d'être. Toutefois les conditions engendrées par la numérisation de même que par la postmodernité engendrent de nouvelles légitimités pour l'intervention de l'État.

CONCLUSION

Dans notre société actuelle, les medias restent de plus en plus présent dans la vie quotidienne. Depuis presque un siècle, la télévision, les téléphones portables, et enfin aujourd'hui l'internet, sont venu s'ajouter à presse écrite qui dans des plus longtemps encore. L'une de ses fonctions au public, c'est de fournir l'éducation. Mais, celle-ci peut amener ledit public dans le bon agir ou soit, dans l'agir mal (actes inciviques ou immoraux).

En effet les différents équipements medias que nous avons énumérer plus haut, à savoir : la télévision, le téléphone portable, le micro-ordinateur (internet)... n'ont rien à faire sur les habitudes, dans la conduite et sur le comportement des jeunes (enfants, adolescents et adultes). Mais, la consommation ou l'utilisation du contenu de leurs programmes : modes musicales ; modes théâtrales ; modes pornographiques ; modes cinémas... exercent l'influence desdits comportements.

Nous disons dans ce cas, que les medias audiovisuels influent sur l'individu négativement, si celui-ci utilise ou c on somme leurs équipement sans discernent, sans esprit critique, sans contrôle et contradiction de certains programmes interdits selon le niveau, et les considère comme des objets de satisfaction de désirs qui aboutissent afin à des actes inciviques et/ou immoraux dans son environnement.

Certes, compte tenu des méfaits réels ou supposés dans l'utilisation des équipements médias, et que ces derniers constituent aux institutions universelles du monde actuel le quatrième pouvoir ; mais l'Etat étant la plus grande autorité du pays, il a toujours le pouvoir d'appliquer les mesures d'utilisation des équipements médias selon les différents niveaux, âges des individus. A cet effet l'un de ses rôles le plus important et de contrôler les thèmes ainsi que leurs contenus dans les différentes chaines des medias.

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION 2

SECTION 1 : ETUDE DE QUELQUES CONCEPTS 3

1.1. Les médians audio-visuels 3

1.1.1. Le média 3

1.1.2. Audio-visuel 3

1.2. Equipement des médias audio-visuels 3

1.3. La dépravation des moeurs 3

SECTION 2 : UTILISATION ET INFLUENCE DES MEDIAS AUDIOVISUELS SUR LES JEUNES 3

2.1. La télévision 3

2.2. Le micro-ordinateur 3

2.3. Le téléphone portable 3

2.4. Les médias audio-visuels et la formation de l'opinion 3

SECTION 3 : LES MEDIAS ET LA BONNE GOUVERNANCE 3

3.1. Introduction 3

3.2. Rôle de l'Etat face aux médias 3

CONCLUSION 3

TABLE DES MATIERES 3






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