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L'analyse de la configuration de la structure organisationnelle selon la théorie d'Henri Mintzberg

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par Faustin IDIANOKO
Université pédagogique nationale de Kinshasa RDC - Graduat en science commerciale et financière 2007
  

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II.3.4. La structure divisionnaire

Très haut dans ce même chapitre, nous avons parlé des étapes des développements structurels où nous avons des notions de base sur la structure divisionnaire à la troisième étape de cette transition structurelle. Ici, nous en parlerons en bref.

Nous avons encore vu que, comme la bureaucratie professionnelle, la structure divisionnaire est moins une organisation intégrés qu'un ensemble d'entités qu'ainsi autonomes couplés par une structure administrative centrale. Mais, alors que les entités dont il est questions sont dans le cas de la bureaucratie professionnelle des individus, dans la structure divisionnaire, il s'agit d'unité de l'organisation, appelée « DIVISION ».

S'appuyant sur ce groupement en unités sur la base des marchés, au sommet entre de la ligne hiérarchique, chaque division comporte toutes les fonctions nécessaires aux opérations sur ses marchés.

Cette dispersion des fonctions opérationnelles minimise l'interdépendance entre les divisions, si bien que chacune peut fonctionner comme une entité quasi-autonome, libérant chacune du besoin de coordonner son activité avec celle des autres.

Cette forme de structure conduit à une décentralisation mais cette décentralisation requise dans celle-ci est très limitée : elle ne va pas nécessairement plus loin que la délégation accordée par les quelques cadres du siège aux quelques directeurs de divisions, en d'autres termes, la structure divisionnaire requiert une décentralisation globale et verticalement limitée.

Ainsi le mécanisme de coordination principal de cette structure est la standardisation des résultats, et le système de contrôle des performances y est un paramètre de conception essentiel.

La structure divisionnaire est plus efficace lorsque les divisions ont une structure de bureaucratie mécaniste, et elle tend à faire évoluer les divisions vers ces types de structure quelle que soit leur penchant naturel.

II.3.4.1. Cadre d'existence de la structure divisionnaire

Il existe un facteur de contingence qui, plus que les autres, pousse l'organisation à adopter la structure divisionnaire : la diversité des marchés et, bien attendu, la divisionalisation n'est possible que si le système technique de l'organisation peut efficacement être séparé en segment, un segment pour chaque division.

Pour les autres configurations, nous avons vu, l'environnement qui constitue le cadre naturel d'existence de l'organisation est défini par références aux dimensions de stabilité et de complexité dont nous avons discuté là haut. Par contre la structure divisionnalisée son environnement naturel est défini par une dimension plus restrictive : la diversité des produits.

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