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L'avant projet d'aiguillage automatique des chemins de fer à  l'aide d'un système hydraulique

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par Emmanuel KAFYSWE KALUMBA
I.S.T.A. - Diplôme d'ingénieur technicien  2011
  

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CHAP 0 INTRODUCTION

0.1. CHOIX ET INTERET DU SUJET

La voie ferroviaire est un moyen de transport terrestre très important parce qu'elle nous aide à déplacer des grandes charges et sur des longues distances. Ceci se remarque surtout lorsque la société de chemins de fer est à l'arrêt. La province du KATANGA éprouve des difficultés d'approvisionnement des certaines denrées alimentaires. Néanmoins, ce moyen de transport terrestre présente des manquements, qui retardent et insécurisent l'action des opérateurs chargés de manipuler les aiguillages. C'est notamment sur le plan technique, lors du changement des voies l'arrêt auquel est astreinte la locomotive à une certaine distance pour que l' aiguilleur agisse sur un mécanisme de changement de voie qu'on appelle aiguillage.

La majeure partie des aiguillages en République Démocratique du Congo est mécanique. Leur manoeuvre expose les aiguilleurs à des intempéries et oblige au coupleur à fournir des efforts physiques considérables pour la manipulation; ce qui entraine une grande perte de temps. Par ailleurs, en cas d' emballement de la locomotive , la ligne est souvent exposée à une destruction rapide. Il convient de la protéger contre les accidents et la destruction des infrastructures. Pour palier aux inconvénients que présente le système de manoeuvre mécanique de l' aiguillage, il nous a été inspiré à intituler ce présent travail; 

« L' avant - projet d' aiguillage automatique des chemins de fer à l' aide d' un système hydraulique ».

0.2. PROBLEMATIQUE DU TRAVAIL

Nous comptons découvrir à travers ce travail ,les problèmes qui découlent de l'automatisme, voila pourquoi nous nous sommes poser, quelques questions, pour arriver à automatiser l' aiguillage des chemins de fer .

Quel moyen pouvons-nous utiliser pour assurer la commande à distance de l'aiguillage ?

Quels sont les organes de transmission hydraulique nous pouvons employer pour actionner l'aiguillage ?

Nous pensons que les capteurs seront mieux indiqués pour assurer la commande à distance de l' aiguillage et un vérin hydraulique serait l'organe de transmission hydraulique le meilleur pour actionner l' aiguillage .

0.3. DELIMITATION DU SUJET

Pour être efficace, notre étude est limitée dans le temps et dans l' espace. Sur le plan technique, nous allons nous limiter, sur le fonctionnement du circuit hydraulique de commande de l'aiguillage, la présentation du circuit de pilotage de distributeur à commande proportionnelle, et enfin sur le principe de calcul des aiguilles .

0.4. METHODES ET TECHNIQUES

Pour vérifier nos hypothèses et atteindre les objectifs poursuivis par notre travail, nous avons fait recours à un certain nombre des méthodes et techniques, qui nous ont permis de récolter , de traiter et d' interpréter les données obtenus sur terrain.

A) METHODES

Selon PINTO et GRAWITW, la méthode est l' ensemble des opérations intellectuelles par laquelle une discipline cherche à atteindre les vérités qu'elle poursuit, à les démontrer et à les vérifier1(*).

Les méthodes suivantes ont été indispensables à l'élaboration de ce travail.

A .1. LA METHODE HISTORIQUE

Il convient de retenir que, comparer c'est chercher simultanément les ressemblances, et les différences entre deux ou plusieurs choses, entre deux ou plusieurs événement , dans le but de trouver une explication. Elle nous est venue en aide pour expliciter la différence entre le système manuel et système automatique .

A.2. LA METHODE D'ANALYSE DYNAMIQUE

Cette méthode considère le changement dynamique comme faisant partie de la matière technique.

Nous avons jugé utile, de travailler sur une longue période par rareté des documents.

B) TECHNIQUES

Les techniques constituent l'ensemble des moyens et des procédés, qui permettent à un chercheur de rassembler des information originales sur un sujet donné2(*).

En raison de sa complexité , pareille étude n' est pas facile a mener. C'est pourquoi nous avons opté pour :

B.1. LA TECHNIQUE DOCUMENTAIRE

Qui consiste à interroger les documents pour obtenir les informations nécessaires à la recherche. Elle nous a permis de consulter les documents, les sites Internet et quelques travaux et ouvrages généraux.

La technique documentaire exige donc au chercheur, d' examiner plusieurs documents , qui nous ont permis d' avoir des données nécessaire pour notre étude.

B.2. LA TECHNIQUE D'OBSERVATION

Elle consiste à observation des faits déjà réalisés et présents pour ressortir une critique constructive.

Elle nous a été d'une grande importance dans le choix du sujet, et même dans l' obtention des certaines données .

0.5. DIFFICULTES RENCONTREES

Il est évident que nous puissions rencontrer certaines difficultés. Nos recherches n'ont pas été aisées. Les difficultés, auxquelles nous avons eu à faire, sont essentiellement dues au manque des moyens matériels et financiers, (conséquence de la crise économique ) ainsi qu' à la collecte des données . Ces dernières ont été mises à notre portée difficilement. Aussi, nous nous trouvions devant des situations difficiles, pour accéder aux informations dont nous avions besoins.

De ce fait , il nous a fallu beaucoup d' humilité, de modestie , de patience et de contour pour pouvoir obtenir certaines informations et données.

0.6. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Le présent travail est articulé sur quatre chapitres en dehors de l'introduction.

Le premier chapitre porte sur la présentation du système d'aiguillage actuel. Le deuxième parle de l'établissement de mécanisme automatisé de l'aiguillage. Le troisième chapitre consiste à une étude mécanique de l'implantation de l'aiguillage. Et enfin le quatrième parlera de l'automatisation de l'aiguillage. Une conclusion générale sera la sanction finale et ouverte à toute la crème scientifique et intellectuelle qui la lira.

CHAPITRE I PRESENTATIO DU SYSTEME D'AIGUILLEGE ACTUEL

1.1. DEFINITION DES CONCEPTS

1.1.1. Aiguillage

L' aiguillage est un dispositif qui permet aux trains de changer des voies. Il permet d'assurer la gestion des circulations dans les bifurcations et les croissements d'itinéraires.

Les appareils des voies sont des éléments de la voie ferrée qui permettent d'assurer le support et le guidage d'un véhicule sur un itinéraire donné lorsque d'autres itinéraires en divergent ou le traversent.

1.1.2. Automatisme

L'automatisme se définit comme l' exécution automatique des tâches industrielles, scientifiques, ou administratives sans l' intervention de l' homme .

1.1.3. Le chemin de fer

Le chemin de fer est une voie sur laquelle circule une locomotive et les wagons.

1.1.4. Système

Un système technique se définit comme étant un ensemble structuré des fonctions techniques et destiné à répondre à un besoin ressenti 3(*).

1.1.5. Hydraulique

L' hydraulique est la science qui traite des problèmes posés par l' emploi des fluides en mouvement ou au repos. Ses bases scientifiques établies par Blaise Pascal et par Isaac Newton remontent au 17ème siècle.

Aujourd'hui, l' hydraulique se révèle aussi essentielle pour les grandes machines de fabrication et de production.

L' hydraulique est devenue indispensable à tous ceux qui réalisent les applications dans l' industrie moderne4(*).

1.2. OBJECTIF DE L'AIGUILLAGE

Dans l' exploitation des chemins de fer, l'aiguillage permet aux trains de changer des voies. Il permet en outre d'assurer les bifurcations et les croissements d' itinéraires. Ce sont des appareils de voie qui sont chargés de le guider et de l'orienter de façon mécanique.

1.3. MODE DE COMMANDE DES AIGUILLAGES

Les aiguillages peuvent être commandés manuellement, ou automatiquement depuis un poste d'aiguillage, ou bien à pied d'oeuvre par une personne habilitée.

Sa technique varie selon les formes d'exploitation; la capacité du poste en nombre d'itinéraires. Nous allons prendre un exemple de classement de poste d' aiguillage par ordre chronologique d' apparition , on trouve :

· Les postes à commandes individuelles : qui sont des postes où l' aiguilleur ne peut réaliser les passages des circulations qu' en disposant d'un ensemble des appareils des voies et les signaux qui composent le passage .

· Les postes automatiques à base de relais à transit souple : Leur fonctionnement repose sur une technologie à base de relais.

· Les postes automatiques à base de relais à câblage géométrique : Leur fonctionnement repose sur des relais montés sur des platines prés câblés.

1.4. CONSTITUTION D'UNE VOIE

En général, les appareils de voie sont construits et montés en atelier avant d'être installés à leurs emplacements définitifs.

Il existe plusieurs dispositifs regroupés sous le terme

d' appareils de voie :

v Les branchements

v Les traverses

v Les taquets d'arrêt et taquets dérailleurs

1.4.1. BRANCHEMENT

Dans le langage courant, les branchements sont aussi appelés aiguillage.

Pour un appareil de voie de type branchement simple, on distingue trois parties :

Ø La partie aiguillage qui comprend les aiguilles mobiles et les contre - aiguilles

Ø La partie intermédiaire qui est assimilable à la voie courante

Ø La partie croisement qui comprend le coeur de croisement et les contre - rails.

1.4.2. TRAVERSES

Les traverses sont les jonctions permettant le croisement à niveau d'une voie par une autre, sans qu' il ne soit possible d'agir sur l' orientation des trains.

Nous distinguons deux types des traverses :

Ø Traverses jonctions simples : jonction des voies uniquement dans un sens de circulation.

Ø Traverses jonctions doubles : jonction des voies dans les deux sens de circulation .

1.4.3. LES TAQUETS

Les taquets pallient au risque des mouvements de véhicule non contrôlés. Ils sont utilisés pour protéger des parties de voie (par exemple la sortie d'un embranchement d'une voie de stationnement).

Les taquets sont «  dérailleurs »  ou «  d'arrêt » selon qu' ils sont prévus pour provoquer le déraillement sur un coté de la voie ou bien pour arrêter un mouvement à faible vitesse 5(*).

1.5. COMMANDE DU SYSTEME D'AIGUILLAGE

1.5.1. COMMANDE MANUELLE

L'opérateur devant actionner l'aiguillage, appelé aiguilleur, agit manuellement sur le levier. C'est - à - dire , il tourne le levier qui a un contrepoids qui pèse 20 kg , qui tire les aiguilles mobiles jusqu' à la partie intermédiaire, qui place la voie dans une position voulue par l' aiguilleur .

Contrepoids

Tringle

Levier de commande

Fig. 1 : Commande manuelle

1.5.2. COMMANDE A PIED

L' opérateur agit avec le pied sur un levier , qui pousse le tringle des aiguilles mobiles jusqu' à une position demandée par le machiniste de la locomotive .

Levier de commande

Tringle

Fig. 2 : Commande à pied

CHAPITRE II : ETABLISSEMENT DE MECANISME AUTOMATISE DE L'AIGUILLAGE

II.1. COMPOSITION D'UN MECANISME AUTOMATISE DE L'AIGUILLAGE

II.1.1 PRINCIPE

Dans ce chapitre nous parlerons du principe permettant d'automatiser l' équipement existant sur les lignes des chemin de fer de la SOCIETE NATIONALE DE CHEMIN DE FER DU CONGO . Cet appareil répondra aux normes de sécurité et de longévité de la SNCC.

II.1.2 SCHEMA DE PRINCIPE

ZONE D'ETUDE

ZONE D'ETUDE

Fig. 4 Présentation de la zone d'étude

Fig. 3 Présentation de la zone d'étude

II.1.3.ORGANISATION FONCTIONNELLE D'UN SYSTEME AUTOMATISE

Communiquer avec l'utilisateur constitue le dialogue entre

L'utilisateur et le système

Alimenter en énergie

Distribuer l'énergie

pré actionné

Convertir

L'énergie

(Actionneur)

Transmettre l'énergie

mécanique

Plus

Effecteur

Agir sur les éléments à transformer

Acquérir

Les Informations capteur

Unité de traitement

Traiter les informations

Energie entrée

Chaine d'information

Grandeurs physique

à acquérir

Information d'état vers l'utilisateur

Consigne issue de

l'utilisateur

La chaine d'énergie

Les grandeurs physiques

Matière d'oeuvre

Etat entrant

Matière d'oeuvre

Etat sortant

La chaine d'information

Fig. 5 : Organisation fonctionnelle

Matière d'oeuvre

Etat entrant

II.2. PRESENTATION D'UN SYSTEME HYDRAULIQUE DE COMMANDE

Dans l'industrie, il existe plusieurs moyens pour transmettre une puissance : (l'énergie électrique, l'énergie mécanique, l'énergie hydraulique, etc.)

L'hydraulique, une technique de puissance assez ancienne, se traduit par la transmission et la commande des forces par un liquide (L'huile hydraulique).

Il peut en résulter un mouvement rectiligne , dans un ou deux sens (vérin simple ou double effet) ou un mouvement circulaire dans les deux sens (moteur hydraulique) . Ces systèmes offrent de nombreux avantages par exemple par rapport à la technique pneumatique. L' hydraulique se caractérise par des pression de fonctionnement plus élevées pouvant dépasser les 400 bars contre 7 bars dans le cas de l' air comprimé. Par conséquent , la force du vérin ou le couple ( moteur hydraulique) obtenu est élevés pour des machines de faible encombrement.

L'hydraulique connait aujourd'hui une évolution profonde et une généralisation d'emploi très large, par sa souplesse d'utilisation et ses rendements excellents. Ce mode de transmission de puissance a acquis sur le marché une place importante dans l' aéronautique, travaux public , robotique , etc. .

Dans des nombreuses applications industrielles , il est demandé, en plus de la transmission de la puissance hydraulique , la maitrise de la régulation de cette puissance. Il s'agit donc du domaine, de l'électro hydraulique6(*).

II.2.1 DESCRIPTIONGENERALED'UNCIRCUIT

HYDRAULIQUE DE COMMANDE

Le système hydraulique de commande que nous allons analyser dans notre travail, sera commandé par un moteur électrique, qui alimentera une pompe hydraulique. La pompe à cylindrée fixe alimentera un vérin double effet, via un distributeur hydraulique à commande électro hydraulique, ainsi que d'autres accessoires tel qu'une soupape de décharge à action pilotée, la soupape de sécurité, les capteurs etc.

Fig. 5 Présentattion d'un distributeur hydraulique

II.2.2. LE CIRCUIT HYDRAULIQUE DE BASE

Pour transmettre l' énergie d' un point à un autre, il faut constituer un circuit hydraulique comme suit :

L'énergie est fournie dans la plupart des cas par un moteur électrique ou thermique

Une pompe va aspirer l'huile dans le réservoir et la refoule dans le circuit soumis ou non à la pression

Un organe de réception Un vérin

Un filtre son but est d'éliminer la pollution engendrée par le fonctionnement du circuit

Le réservoir sert à magasiner l'huile utile pour le fonctionnement du circuit

Fig. 6 : Présente un circuit

hydraulique de base

II.3. PRINCIPE DE CALCUL D'UN CIRCUIT HYDRAULIQUE

Le principe de fonctionnement d' un système hydraulique étant un moyen simple de transmission de puissance d' un point à un autre, repose sur le grand principe de Pascal qui nous dit : «  Le fluide étant au repos, la pression est identique en tout point du circuit ».

La pression est donnée, par cette formule :

F : La force

P = P : La pression

S : La section

II.3.2. PRESENTATION D'UN CIRCUIT HYDRAULIQUE

Fig 7 : Circuit hydraulique

Moteur

p

Réservoir

Vérin

Distributeur hydraulique piloté

Électriquement

En fonctionnement normal, la commande se fait électriquement. Le moteur électrique entraine la pompe hydraulique, qui alimente le vérin en huile sous pression. Le déplacement de la tige du vérin entraine le tringle, qui commande la rentrée ou la sortie du tringle de manoeuvre des aiguilles.

Une fois que la position se stabilise, le vérin n'est plus alimenté et l' effort de placage des aiguilles sur le rail fixe est obtenu par un organe de sécurité.

II.4. CARACTERISTIQUES MECANIQUES DU SYSTEME

II.4.1. EXTRAIT DU CAHIER DES CHARGES

L'extrait du cahier de charge a été tiré, dans la revue d'étude des constructions de moteur d'aiguillage de chemin de fer, session 2003.

· Course de la tringle de manoeuvre C1 = 220 mm

· Durée maximale des phases de basculement : temps max = 3 sec

(Pour chacune de deux phases)

· Effort de placage minimum de l'aiguille sur le rail : Fp = 9000N

(Pour les deux positions)

· Pression hydraulique maxi de service Ps max = 200 bars

II.4.2 DIMENSIONNEMENT DU CIRCUIT HYDRAULIQUE

Nous devons dimensionner les organes, pour que le système fonctionne dans la sécurité. Ainsi, nous commencerons par dimensionner le vérin hydraulique double effet.

1. Détermination de la course du vérin

La course est choisie en fonction du déplacement à réaliser. La longueur de course du vérin doit au moins être égale à la course souhaitée (la fin de course se fera en butant sur des butées extérieures).

Dans notre cas la course sera de 220mm; en considérant l' écartement des aiguilles de 203 mm pour le branchement de 40 kg/m .1/8 .

2. Détermination du diamètre

Le diamètre du piston est en rapport direct, avec l' effort axial développé par le vérin7(*).

2.1. EFFORT THEORIQUE

L' huile situé dans la chambre arrière du piston , appliqué pour pousser sur toute la surface du piston . Il en résulte un effort axial théorique qui est développé par le vérin et transmis au bout de la tige

Ft

P

Fig 8 Présentation du sens de pousser sur un piston

Fp = effort théorique axial

P = Pression de service à l'intérieur de la chambre du vérin

S = Surface du piston sur laquelle la pression s'applique.

Connaissant la pression hydraulique de services et l' effort de placage minimum de l' aiguille sur le rail Fp.

P max = 200 bar = 200daN /cm2 = 2000 N/ cm2

Fp = 9000 N pour les deux positions

Fp = P.S

S = = = 4,5 cm2

Et le rayon sera de

Diamètre du piston

Diamètre de la tige

Surface à prendre en compte (S3)

Fig 9 Surface d' un piston

La section à prendre en compte est trouvée à travers la formule suivante :

S3 = S1 - S2

Soit: S3 = ð (r 1 - r2) avec r1 = Rayon du piston

r2 = Rayon de la tige

S3 = Surface à prendre en compte

Lorsqu'un vérin est en conditions réelles d'utilisation, il développe un effort de poussée réelle, inferieur à l' effort théorique. Car il faut tenir compte :

ü Des frottements internes au vérin ;

ü De la contre pression qui est établie dans la chambre opposée, pour obtenir un mouvement régulier .

On estime, en usage général, les forces qui s' opposent à l' effort de poussée, aux environs de 3 à 20 % de l' effort obtenu ( et 10% en général)

Fr = Ft - Ff

Fr = 90%. Ft

Ft  : effort théorique axial

Fr  : effort réel

Ff  : Forces de frottement et divers

Pour l' effort de la rentrée de la tige, en considérant le même effort théorique de Fp = 9000 N, la méthode de calcul est la même pour le mouvement de la rentée de la tige, mais la surface du piston sur laquelle la pression de l'huile agit n'est plus la même. En effet, il faut tenir compte de la section de la tige et du piston8(*).

CHAPITRE III ETUDE MECANIQUE DE L'IMPLANTATION

DE L'AIGUILLAGE

III.1. OBJECTIF DU CHAPITRE

Dans ce chapitre , nous allons beaucoup plus nous pencher : dans la description de l' aiguille ; dans la composition mécanique de l' aiguille ; dans a l' étude géométrique des organes de l' aiguillage.

D' après la figure ci - dessous, les aiguilles aa', bb' sont manoeuvrées autours de talons a'b'. Ce sont les points a et b qui se déplacent.

Les deux files extérieures de rails sont continue ; les files intérieures comprennent les parties mobiles aa' et bb' qu' on appelle les aiguilles parce que ce sont des rails dont les extrémités sont effilées . Les pointes des aiguilles peuvent

Ainsi venir s' appuyer sous forme de saillie sensible, contre les rails extérieurs aux points a et b.

Voie déviée

Voie directe

a

a'

t t

b

b `

c

A

B

C

Fig 10 les fils des rails

N

R

Généralement les deux aiguilles se déplacent ensemble. Elles sont reliées entre - elles par une ou deux tringles d' écartement t, articulées de telle manière que les aiguilles se déplacent .

Dans la position indiquée N du tringle de manoeuvre , la position normale de la voie est faite pour la direction AB. Dans la position renversée R, de la direction AC.

A L' endroit du croisement des rails intérieurs , des ornières sont ménagées pour le passage des mentonnets des roues .

Les branchement compte en autre de l' aiguille et du croissement , l' arc de branchement a' a''.9(*)

III.2. FORME DES AIGUILLES

On utilise des aiguilles rigides, droites ou courbes et des aiguilles flexibles. Le plus souvent, la voie principale est la voie directe ou générale c'est -a- dire qu' elle se présente en alignement droite dans ces conditions , l' aiguille bb' donnant accès à la voie déviée peut être une aiguille.

III.3. ETUDE GEOMETRIQUE DES ORGANES DE L'AIGUILLAGE

Si nous analysons géométriquement les organes de l' aiguille, en considérant le train qui arrive de B et se dirige vers A, selon la fig. 10, il prend les aiguilles par le talon et trouve la voie ouverte.

Si l'appareil est disposé normalement, comme le montre la fig. 10, représentée en pointillé, les mentonnets des roues roulant contre le rail extérieur, refouleraient les aiguilles dans la position convenable.

III.3.1. CALCUL DE L'ORNIERE A MENAGER AU TALON

DE L'AIGUILLE DE DEVIATAION

Considérons l' aiguille de déviation AO de la fig. 11 théoriquement son axe se raccorde tangentiellement a celui du rail , l' aiguille étant entaillée pour pouvoir s' appliquer contre le rail .

Au talon A de l' aiguille, il faudra ménagé une ornière d2 suffisante pour laisser passer le mentonnet des roues et pour éviter que l' aiguille effacée ne soit à aucun endroit touchée par le mentonnet de la roue .

L' ornière d2 représente la distance entre la face latérale du talon de l' aiguille et la face latérale du rail d' applique .

Elle correspond à la différence entre l' écartement normal des faces intérieurs des rails pour une voie neuve 1.435 m et la plus petite valeur de e

d2 = 1,435 - e min

Or la distance réglementaire entre les intérieures de bandages des roues d' une même essieu est de 1.360m avec une tolérance de 3mm en plus ou moins , soit 1,357m et 1,363 m

D'où emin = 1.357 + d1

d1 = 33 mm mais il faut tenir compte des tolérances.

d1 : Largeur réglementaire du mentonnet

Plus ou moins 1,500m

d 2

R

R

l

d 2 = 110 à 122 mm

Fig 11 aiguille de

déviation

Max 1, 363 m

25 mm

10 mm

1,410 bandage usé

1,426 bandage neuf

Fig 12 Rails et roues

L'épaisseur maximum de d1 (bandage neuf) est égale à

d1max = = = 34.5 mm

Mais quand le bandage arrive à sa limite d'usure, d 1 = 20 mm.

Il s' ensuit que la valeur minimum de e est :

emin = 1.357 mm + 20 mm = .377 m

Dans ces conditions, puisqu' la largeur de d 2 de l' ornière doit être au moins égale à : d2 = 1,435 voie neuve - e min d' ou

d2 = 1,435 - 1,377 = 58 mm on arrondie à 60 mm

Souvent on prend d2 = 60 mm pour tenir compte d'un élargissement possible de la voie.

Si nous voulons connaitre la déviation minimum , c' est - à - dire la distance dd' en axe de l' aiguille et du rail contre aiguille , nous devons ajouter à d 2 deux demi - épaisseur de bourrelet du rail soit 72 mm avec le rail de 50 kg / m

62 mm avec le rail de 40 kg / m

Et nous aurons selon le cas : d = d 2 + 72 mm 58 + 72 = 130 mm

d = d 2 + 62 mm 58 + 62 = 120 mm

A. RELATIONS ENTRE LES ELEMENTS DE L'AIGUILLE

DE DEVIATION PROPREMENT DITE

B

L

D

O A

R R

Fig. 13 relation entre élément de l'aiguille de déviation

Déterminons le rayon de courbure R de l' aiguille en fonction de la longueur de l' ornière d et de la longueur L de l' aiguille proprement dite

L = AB = OA

Dans le cercle de rayon R on a L2 = OA2 = d ( 2R - d )

Et en négligeant d2 devant 2Rd

D' où L2 = 2 R d.

L =

R =

La longueur de l' aiguille L, dépend donc de la largeur d de l'ornière au talon et du rayon R de la voie a à déviée.

Or, d = 120 à 130 mm

Pour que R soit égale à 400 mètre avec d = 130 mm il faut :

L
= 10 ,19 m

Pour le rayon R soit égale à 500 mètres avec d = 130 mm il faut

L=
= 11, 40 m

Ordinairement , on n' emploie pas des aiguilles rigides ainsi longues, ce serait insérer dans la voie un trop long tronçon de rail soutenu, exposé à la flexion ; en outre , plus l' aiguille est longue plus elle est lourde et plus sa manoeuvre devient dure. La longueur normale actuelle des aiguilles rigides est de 5 mètres.

R = cette formule nous montre que l' emploi des aiguilles courtes conduit à des aiguilles de petit rayon.

B. RELATION ENTRE LES ELEMENTS PRINCIPAUX

DU BRANCHEMENT

e

A

B

L

D

C

á/2

a

b

á

R

E

R

Fig. 14 relation entre

les éléments du branchement

Soient en considérant la fig 14

L = La longueur total du branchement comprenant :

v La longueur Aa de l'aiguille proprement dite.

v L'arc de raccord ab du branchement,

v La branche bc du croisement proprement dit jusqu' à la pointe du coeur mathématique C.

R = Le rayon de le voie de déviée A C E

á = L'angle du croisement

e = L'écartement de la voie

Quelle est l' influence de l' angle á sur la longueur L du branchement et la rayon R de la voie déviée ?

CD = AD (2R - AD) et négligeant AD devant 2 R, on a :

CD = AD X 2R d' où

L = e x 2R et L = X 2R or e = AD

e = e = C D tg

e = L tg

Or L = et R = R =

Il s' ensuit que les valeurs de la longueur L et du Rayon R du branchement augmente au fur et à mesure que l' angle du croisement diminue ; e étant constante

III. 4 ETUDE DE SECURITE DES ORGANES DE L'AIGUILLAGE

Dans tout système de commande des mouvements , nécessitent un système de sécurité, quelque soit sa forme ou ses performances . Dans le cadre de notre travail , nous avons résolu d'inséré, un système de sécurité , pour palier à certaine défaillance que peut présenter le circuit hydraulique , lors d'un accident ; exemple éclatement d'une conduite.

Aussi la manoeuvre à distance des aiguillages quand ils ont abordés par la pointe comporte nécessairement des dispositifs de sécurité. En effet la commande ou manoeuvre est dans l' incertitude sur la position réelle occupée par l' aiguille de changement de voie.

La course des aiguilles dépend de la course des transmissions or celle - ci est sujet à des variations de longueur par suite de l' usure des articulations de l' extension élastique d' un équilibrage imparfait  des dilatations ; il se pourrait même que la transmission soit interrompue accidentellement .

Il s'ensuit que, les aiguilles peuvent si n' obéir qui complètement ou même pas du tout à la commande . L'aiguilleur ignore donc :

a) si l'aiguille colle contre le rail, contre l'aiguille

b) de quel coté elle colle

c) ou si l'aiguille occupe une position intermédiaire.

Si nous pouvons avoir la garantie que la position des aiguilles correspond bien à celle du levier de manoeuvre ou du mécanisme de commande.

Si les aiguilles ne se trouvent pas effectivement dans la position qui donne la direction indiquée par le signal au passage,

Les dispositifs de sécurité sont les verrous de calage des aiguilles ; les détecteurs de pointes est les pédales de calage .

Il existe :

Les verrous de calage des aiguilles

Les verrous de calage des aiguilles est un appareil de sécurité employé pour renseigner l' aiguilleur . Il ne peut être introduit dans l' application que si les aiguilles sont bien placées d' un coté ou de l' autre . Ils permettent d' empêcher tout déplacement aussi longtemps qu' il est engagé .

Souvent, il n'y a pas de relation avec le signal. raison pour laquelle il est intercalé dans la transmission de commande de l' aiguillage. De fois il est manoeuvré par une transmission indépendante.

Les détecteurs de pointe

Le fait que l' on peut engager un verrou de calage constitue déjà une détection , mai ce n' est qu' une détection élémentaire , car l' aiguilleur ignore de quel coté l' aiguille est collée .

C'est l' appareil détecteur qui désigne à l' aiguilleur sur la position réelle de l' aiguille ( collée à droite ou à gauche ou dans la position intermédiaire) . le détecteur donnera non seulement une indication de position , mais , il devra en outre empêcher la mise au passage du signale correspondant si l' aiguille ne colle pas dans la position que donne la direction autorisée par l' ouverture de ce signal .

A la différence du verrou , le détecteur est intercalé dans la transmission de commande du signal ou bien il libère un petit levier ou une manette dont le renversement dégage lui - même le levier de commande du signal.

Les pédales de calage.

Les pédales de calage sont des dispositifs de sécurité qui empêchent le manoeuvre de l' aiguillage pendant qu' un véhicule ou un train est engagé sur l'appareil. Sinon, il s' ensuivra un déraillement10(*).

Dans notre travail , nous allons utiliser un appareil de verrouillage indépendant du levier de manoeuvre du changement de voie. le verrou circulaire manoeuvré par un système de transmission hydraulique.

Nous allons considérer d' une manière générale le verrou circulaire manoeuvré par la transmission à double fil. Néanmoins nous allons remplacer la commande à double fils par une commande hydraulique.

III.4.1. DESCRIPTION DU VERROU CIRCULAIRE

Le verrou circulaire à manoeuvre par double fil se compose essentiellement :

- D'une cuve portant en son centre un axe de rotation A autour duquel tourne une poulie à gorge P.

- Cette poulie porte sur sa face supérieure une nervure saillante de forme circulaire N . Ou s' enroulent les chainette relier à la transmission spéciale de commande du verrou.

- Deux barres B1 et B 2 Placées au - dessus de la poulie , coulissent dans deux coussinets C1 et portés par la cuve

Fig. 15 vue en coupe d' un verrou circulaire

N

A

P

Fig. 16 vue de dessue d' verrou circulaire

COMMANDE A ETUDIER

La barre B1 est reliée à l' une des deux aiguilles et la barre B2 à l'autre aiguille. Ces barres sont indépendantes des tringles de commande de manoeuvre des aiguilles. Elles n'intéressent que le verrouillage. Chacun des ces barres porte deux encoches l' une mesure 3 mm et l' autre 22 mm. L' encoche la plus étroite correspond à la position de l' aiguille collée contre son rail - contre aiguille , position pour laquelle le verrouillage doit être précis . L' encoche la plus large se rapporte à la position de l' aiguille ouverte pour laquelle la verrouillage supporte une certaine tolérance.

III.4.2. FONCTIONNEMENT

En position normale , la nervure N est retirée dans l' encoche des barres et son extrémité vient jusqu' à proximité de la barre B1 . Il s' ensuit que les deux aiguilles peuvent se déplacer librement quand on commande le changement de voie .

Pour verrouiller l' aiguille , il suffit de manoeuvrer la transmission spéciale qui commande la poulie P. Celle - ci tourne la nervure saillante N qui s' engage dans les encoches des barres B1et B2 immobilisant ainsi les deux aiguilles .

CHAPITRE IV AUTOMATISATION DE L'AIGUILLAGE

Dans ce chapitre , nous allons bien vous présenter d' une manière générale le circuit d' automatisation de l' aiguillage et présenter les étapes de commande et de manoeuvre de l' aiguillage .

Parlons de la description du circuit d' automatisation de l' aiguillage. Ce circuit d' automatisation est constitué des capteurs de détection du signal à l' arrivée du train et d' un capteur de vitesse qui aura pour rôle de donner une orientation au train .

IV.1. DEFINITION ET ROLE DES CAPTEURS

Par définition, Les capteurs sont des composants de la chaine d' acquisition, dans une chaine fonctionnelle . Les capteurs prélèvent une information sur le comportement de la partie opérative et la transforment en une information exploitable par la partie commande .

L' information ici étant une grandeur abstraite qui précise un événement particulier parmi les événements possibles pour pouvoir être traitée.11(*)

Cette information sera portée par un support physique ; nous parlerons alors de signal . Les signaux sont généralement de nature électrique ou pneumatique.

IV.2. TYPES DE CAPTEURS

Il existe plusieurs types de capteurs entre autre :

§ Les capteurs à seuil de pression pneumatique.

§ Les détecteurs fluidiques de proximité.

§ Le capteur à fuite.

§ Le capteur capacitif.

§ Le capteur inductif.

§ Codeurs rotatifs

§ Codeur rotatif incrémental.

Dans notre travail, nous avons suggéré d' utiliser les capteurs à signaux électriques pour la commande d' un bloc de distributeur hydraulique

Dans un système automatisé séquentiel , la partie commande traite de variable logique ou numérique . L' information délivrée sera logique , qu'on aura à adjoindre à la partie commande un module de conversion a un autre signal de préférence électrique .

Selon les caractéristiques nous allons retenir deux critères :

· En fonction de la grandeur mesurée ; nous parlerons de capteur de position , de température de vitesse , de force et de pression .

· En fonction de caractère de l' information délivrée ; on parle des capteurs logique , appelés aussi capteur, tout ou rien (T.O.R)

Pour que notre système fonctionne normalement nous allons utiliser un capteur de détection de signal et le capteur des vitesses.

IV .2.1. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DES CAPTEURS

Les capteurs que nous allons utiliser auront les caractéristiques suivant :

· L' étendue de la mesure , celle - ci est la différence entre le plus petit signal détecté et le plus grand perceptible sans risque des destructions pour le capteur ;

· La sensibilité qui est la plus petite variation d' une grandeur physique que peut détecter un capteur ;

· La rapidité c'est - à - dire le temps de réaction d' un capteur entre la variation de la grandeur physique qu'il mesure et l' instant ou l' information est prise en compte par la partie commande .

· La précision c'est la capacité de respectabilité d' une information , de la position ou de la vitesse .

IV.2.2. CHOIX DES CAPTEURS

Dans notre travail nous avons choisi en première lieu le capteur capacitif pour la détection . Ce capteur est aussi appelé capteur de proximité pour la simple raison qu' il permet de détecter des objets métalliques ou isolants. Lorsque un objet entre dans le champs de détection des électrodes sensibles du capteur, il provoque des oscillations en modifiant la capacité du couplage du condensateur. Alors celui - ci transforme le signal à la sortie en un signal électrique12(*)

En deuxième lieu, nous avons pris un capteur de proximité de vitesse qui nous a aidé à commander les distributeurs électro - hydro , selon la vitesse calibrée signalée à traves un panneau signalétique qui sera placé à 50 mètre

de l'endroit ou l'on a placé les capteurs.

IV.3. PRESENTATION SCHEMATIQUE DES CAPTEURS

CA1

CAV

C A 2

CC1

CCV

C

CB1

POSITION DES AIGUILLES

SELON A ET C

A

B

C

Fig. 17 positions des capteurs

Les capteurs sont placés à une distance de 100 mètres des aiguilles. Le capteur de proximité de vitesse fonctionne par rapport à la variation de la vitesse du train. Dans notre pays, nos trains roulent à la vitesse maximale de 52 km/h et dans la section la vitesse diminue jusque à 25 km/h. Considérons alors que la marge de vitesse est de 52 km/h à 26 km/ h dans une ligne droite. Et dans la courbure le train peut virer avec une faible vitesse de 25 km/h jusqu'a 1 km/h dans le virage au niveau des aiguilles.

La commande  s'effectue en fonction de la vitesse qui sera enregistre par le capteur de vitesse CAV. Le capteur traite l' information et la traduit par un signal électrique , qui commande le circuit hydraulique . La vitesse captée sera égale ou inferieure à 25 km/h. Mais si la vitesse devient supérieure à 25 km/h, il n'y aura pas de réaction. Par contre les aiguilles resteront dans la position principale de A vers B.

IV. 4. PRESENTATION GENERALE DES ETAPES

IV.4.1. Premier sens de A vers B

Etape 1 : CA1 détection dans le sens A le capteur capte la présence du train à une distance de 100 mètres jusqu'au niveau de l'aiguillage.

Etape 2 : CAV1 capteur A de vitesse cape la vitesse du train supérieur à 25 km/h dans ce cas le circuit hydraulique de commande des aiguilles n'existe pas. Les aiguilles restent dans la même position.

Etape 3 : du coté B de l'aiguillage, Le capteur CB coupe l alimentation du circuit hydraulique. Le capteur CB est placé à une distance de 100 mètre âpres le passage sur l'aiguillage.

100 mètres

Première position

A B

100 mètres

Fig 18. Première pour la commande des capteurs

C

IV.3.2. Deuxième sens de A vers C

Etape 1 : le capteur CA1 détecte la présence du train sur une distance de 100m qui alimente le circuit hydraulique.

Etape 2 : le capteur CAV1 capte la vitesse du train égale ou inferieur à 25 km/h.

Le capteur CAV1 transmet le signal électrique qui pilote le distributeur. Le pilotage commence par circuit de verrouillage du système de sécurité à travers un moteur hydraulique .Quelque temps après. C'est le pilotage du circuit de commande du vérin de manoeuvre des aiguilles.

Etape 3 : Après le passage du train , le capteur C commande le circuit hydraulique en commençant par le déblocage du système de sécurité pour la remise des aiguilles dans sa position initiale ou voie principale , suivie de la commande du vérin de manoeuvre de tringle des aiguilles.

Les capteurs CC1 , CCV et C sont placés à une distance de 100 mètres après l' aiguillage .

IV.3.3. Troisième position de A vers C

A B

100 mètres

100 mètres

Fig 19 Troisième position des capteurs

C

Dans se sens , aucun capteur ne fonctionne ou soit excité ; puisque chaque fois que le train traverse dans le sens de A vers C , le système reprend toujours la position initiale ou la voie principale commander par le capteur CAV2

IV.3.4. Quatrième sens de C vers A

Dans ce sens :

Première étape : Le capteur CC1 détecte la présence du train et alimente le circuit hydraulique .

Deuxième étape : Le capteur CCv2 donne l' impulsion de pilotage des distributeurs du circuit hydraulique en commençant par la commande du circuit de sécurité des aiguilles suivie de la commande du vérin de commande de tringle des aiguilles .

La troisième étape : Le capteur CA2 réalise la commande du vérin de position dans une position normale et coupe l' alimentation du circuit hydraulique

IV.4. PRESENTATION DES GRAFCETS

Par définition, le grafcet est l'outils de représentation graphique d' un cahier des charges ou une représentation alternée d' étapes et de transition.13(*)

IV.4.1. GRAFCET DANS LE SENS A VERS B

Repos

1 CA1

2 CAV1

3 CB1

Détection de la présence du train plus

l'alimentation de la centrale hydraulique

Détection de la vitesse

Détection de la présence du train après

Arrêt de la centrale hydraulique

IV.4.2. GRAFCET DANS LE SENS A VERS C

Pendant cette étape le train quitte le point A vers le point C . Voici comment les séquences vont se suivre de la manière suivante à travers ce grafcet .

1

2

3

4

5

6

7

8

9

Détection de la locomotive plus l'alimentation de la pompe

Détection de la vitesse suivie de la comparaison de la vitesse si la vitesse est égale ou inferieur à 25 km/h

Commande du circuit hydraulique de sécurité (déverrouillage)

Commande du circuit hydraulique de commande de la tringle des aiguilles.

Verrouillage des aiguilles à travers le circuit hydraulique de sécurité

Passage du train selon la direction A vers C

Commande de circuit hydraulique en commençant par le déblocage des aiguilles via le circuit hydraulique de sécurité

Remise des aiguilles dans la position initiale

Commande de l'arrêt du central hydraulique

IV.4.3. GRAFCET DANS LE SENS C VERS A

Pendant cette étape ,le train quitte le point C vers le point A les séquence se suivront de la manière suivante à travers ce grafcet.

Remise des aiguilles dans la position initiale plus l' arrêt du central hydraulique .

Le capteur de vitesse commande la centrale hydraulique en commençant par le déverrouillage et le verrouillage après le changement de position des aiguilles

Détection de la locomotive plus l'alimentation du central hydraulique

REPOS

CA 2

CCV 1

CC1

IV.4 REPRESENTATION SCHEMATIQUE DU CIRCUIT

HYDRAULIQUE DE SECURITE DES AIGUILLES

Le circuit de verrouillage et de déverrouillage des aiguilles sera commandé par un circuit hydraulique et la commande se fait par un moteur hydraulique à deux sens de marche du moteur .

Dans le circuit on va incorporer un distributeur à commande proportionnel et de deux distributeurs conventionnel «  tout ou rien » .

IV .4.1 SCHEMA HYDRAULIQUE DE COMMANDE DES ORGANES DE SECURITE.

DV 1

DV2

DV 3

Fig. 20 Schéma hydraulique de commande des organes de sécurité.

IV.4.2 FONCTIONNEMENT

Lors de la détection de l' arrivée du train au niveau ou l' on a placé les capteurs , le capteur de détection capte la présence du train automatiquement ; le signal détecte et démarre le centre hydraulique via certains éléments non citer dans cette partie.

Le deuxième capteur de vitesse capte la vitesse et vérifie la consigne. Si cette vitesse est égale ou inferieure à 25 Km/h alors, le processus de fonctionnement continue. Le capteur pilote le distributeur DV1 et le distributeur conventionnel «  tout ou rien » DV2 pour donner le sens de rotation, pour libérer les aiguilles via un mécanisme de commande. Aussi tôt que les aiguilles son déverrouillé , alors le pilotage du circuit de commande des aiguilles est réalisée . Après la commande des aiguilles , s'ensuit la passage du train sur les aiguilles en toute sécurité .

Une fois que le train aura traversé l' aiguillage, le capteur C pilotera les distributeurs DV1 et DV3 pour donner le sens de rotation au moteur hydraulique et libérer ainsi les aiguilles. Alors surviennent la remise de la position initiale des aiguilles autorisera le passage dans le sens direct de A vers B.

MOTEUR HYDRAULIQUE

DV 3

DV 3

DV 2

DV 2

DV 1

DV1

Fig. 22 sens de rotation du moteur

hydraulique

Fig. 21 sens de rotation du moteur

hydraulique

IV.5. REPRESENTATION SCHEMATIQUE DU CIRCUIT HYRAULIQUE

DE COMMANDE DES AIGUILLES

Les aiguilles seront commandés par un circuit hydraulique avec une application avec un vérin hydraulique double effet. La commande du vérin se fait a travers un distributeur à commande proportionnelle et deux distributeurs conventionnel « tout ou rien »

IV.5.1. SCHEMA HYDRAULIQUE DE COMMANDE

DV 5 DV6

S3 S4

DV 4

VERIN HYDRAULIQUE

Fig.23 schéma hydraulique de commande

DV 4 : Distributeur hydraulique piloté électriquement

DV5 et DV 6 : Distributeurs proportionnel piloté hydrauliquement

S3 et S4 : Soupapes anti retour

IV.2. FONCTIONNEMENT

Lors de la détection de la présence du train au niveau des capteurs, le pilotage du circuit hydraulique de commande des aiguilles est réalisé. Après la commande du circuit de verrouillage , Quelques secondes après , alors suivra le pilotage du distributeur DV4 qui donne le sens au vérin, le mouvement est activé par le distributeur « tout ou rien » .

Voici comment se passera la commande du vérin lors de la sortie ou de la rentrée de la tige du vérin pour la commande du tringle des aiguilles :Les distributeurs tout ou rien DV5 et DV6 seront pilotés hydrauliquement .

Présentation des étapes de commande du vérin.

La première position présente la sortie de la tige et la deuxième position présente la rentrée de la tige du vérin .

VERIN HYDRAULIQUE

DV6

DV4

DV6

DV4

DV4

DV5

Fig. 24 étapes de commande du vérin

Sortie de la tige

Fig. 25 étapes de commande du vérin

Rentrée de la tige

IV. 6. PRESENTATION GENERALE DU CIRCUIT HYDRAULIQUE

Le circuit hydraulique générale est commandé par une pompe hydraulique entrainée par un moteur électrique.

Voici comment il est présenté.

Fig. 26 circuit hydraulique général

VD 5 VD6

V D 2 VD 3

VD 1 VD 4

Soupape de décharge

P POMPE

RESERVOIRE CREPINE

M

MOTEUR HYDRAULIQUE

VERIN HYDRAULIQUE

IV.7. REPRESENTATION DU SCHEMA ELECTRIQUE DE PILOTAGE

DES DISTRIBUTEURS

Les distributeurs utilisés dans le circuit hydraulique de ce travail sont à pilotage électrique aves des impulsions données par des capteurs.

Nous allons présenter le circuit de commande selon le sens de marche ou la direction prise par le train .

PREMIERE DIRECTION

De A vers B : dans ce sens, il n y a que le capteur CA1 qui détecte l'arrivé du train, et démarre le moteur électrique du circuit hydraulique. Juste après. Le capteur CAV contrôle la vitesse est rien dans la commande hydraulique ne sera fait. Seul le capteur CB coupera le moteur ainsi que l' arrêt du circuit

SCHEMA DE COMMANDE DE A VERS B

KM

KA6

CA 1

KA 6

CB

Fig. 27 circuit électrique de pilotage de

distributeur dans le sens de A vers B

KM

CA1 capteur au point A (démarrage du moteur)

CB capteur au point B (d arrêt moteur) 

KM contacteur

KA 3 Relai temporisé

DEUXIEME DIRECTION

De A vers C : dans ce sens le capteur CAV joue un grand rôle lors de la détection de vitesse parce que, la vitesse dans la courbure étant de 25 km/h alors le capteur CAV contrôle si la vitesse est égale ou inferieure à celle de 25 km/h. Ainsi la procédure de commande va se dérouler de la manière suivante :

SCHEMA DE COMMANDE DE A VERS C

CA1

KM

Y1 1

Y5

KA1 A

Y3

KA2

Y2

Y6

KA6

Y4

KA4

KA5

KA6

KM

CAV1

CC 1

CC 2

CA 1 : Capteur au point A pour la détection du train , plus le démarrage du moteur d'entrainement de la pompe hydraulique.

CAV : Capteur de vitesse au point A

CC 1 : Capteur au point C pour la remise des aiguilles dans la position initiale ou sens direct de A vers B

CC 2 : Capteur au point C pour l'arrêt du moteur.

Fig. 28 circuit électrique de pilotage de distributeur dans le sens de A vers C

TROISIEME DIRECTION

De C vers A. Le Capteur CCV joue le rôle de commander les impulsions des distributeurs, pour leur pilotage.

SCHEMA DE COMMANDE DE C VERS A

KM

Y1 1

Y5

KA1 A

Y3

KA2

Y2

Y6

KA6

Y4

KA4

KA5

KA6

CC1 

CCV 

CA 1

CA 2

CC1 : Capteur au point C pour la détection du train plus le démarrage du moteur d'entrainement de la pompe hydraulique.

CCV : Capteur de vitesse au point C

CA 1 : Capteur au point A pour la remise des aiguilles dans sa position initiale dans le sens de A vers B

CA 2 : Capteur au point A pour l'arrêt du moteur d'entrainement de la pompe

Fig. 29 circuit électrique de pilotage de distributeur dans le sens de C vers A

CONCLUSION GENERALE

Nous voici arrivé au terme de notre travail intitulé « Avant - projet d' automatisation des aiguillages des chemins de fer par un système d'hydraulique ».

L'objectif que nous nous sommes assigné était d'automatiser les aiguillages de chemins de fer. En effet quatre chapitre ont constitué l' ossature de ce travail. Le premier chapitre a porté sur la présentation du système d'aiguillage actuel. Dans ce chapitre nous avons eu à définir les différents concepts , les objectifs de l'aiguillage , le mode de commande des aiguillages et la constitution d'une voie.

Le deuxième chapitre a été consacré à l' établissement de mécanisme automatisé de l' aiguillage , ou l' on a parlé de la composition d'un mécanisme automatisé de l' aiguillage , de l' organisation fonctionnelle d' un système automatisé et nous avons fait une description sommaire d'un circuit hydraulique de commande avec une présentation d'un circuit de base .avant de terminer ce chapitre nous avons donné le principe de calcul d' un circuit hydraulique .

Le troisième chapitre a fait l'objet de l'étude mécanique de l'implantation de l'aiguillage. Dans ce chapitre nous avons procédé à la description de l'aiguillage de sa composition mécanique sans oublier l' étude géométrique des organes de celui - ci . Et nous avons fait une comparaison et le choix sur le système de sécurité pour les organes de l'aiguillage. En ce qui concerne la sécurité de la commande nous nous avons trouvé mieux de respecter la vitesse de circulation qui sera marqué sur la plaque signalétique qui sera placé sur une distance de 150 mètres des aiguilles .

Dans le quatrième et dernier chapitre, nous avons présenté d' une manière générale le circuit d' automatisation de l' aiguillage ainsi que les étapes de commande et de manoeuvre de l aiguillage, nous avons également présenté le circuit hydraulique de commande et circuit de pilotage hydraulique et électrique. Le circuit électrique étant bien entendu commandé par des capteurs qui remplace les boutons poussoir .

En toute conscience, nous ne prétendons pas avoir épuisé toute la problématique liée à l'automatisation des aiguillages de chemin de fer par un système hydraulique. Nous pensons néanmoins en avoir donné un petit coup de pouce. Ainsi, le champ d'investigation reste largement ouvert dans le domaine de l'automatisation, et ce présent travail sera de grande importance à la société nationale de chemin de fer du Congo ( S.N.C.C) .

L'oeuvre humaine n'a jamais été parfaite et notre travail n'en fait pas exception. C'est pourquoi, nous resterons largement ouverts à toutes critiques et suggestions.

BIBLIOGRAPHIE

1PINTO et GRAWITZ, les méthodes de recherches en sciences sociales, éd.Dalloz, Paris,

1971, P, 208

2VERHAGAGEN R., Méthodes et techniques sociales-analyse, éd. Macro, Paris, Avril

1954, p. 50.

3 http // Fr. . wikipedia.org / wiki / system % c 3 % A 8* - technique

4 circuits hydrauliques conceptions et maintenance SAMI REKIKI P1 ed 2002

5 http://fr . wikipedia.org /wiki/Appareil - de - voie

6 circuits hydrauliques conceptions et maintenance SAMI REKIKI P5 ed 2002

7 CUVELIER le guide des automatismes P2

8 Cours d'exploitation des chemins de fer D' ULYSSE LAMEL Tome III Quatrième

partie P 1

9 Cours d'exploitation des chemins de fer D' ULYSSE LAMEL Tome III LA VOIE

FACICULE I

10 www.capteur.com fascicule les capteurs

11 www.capteur.com : fascicule sur les capteurs

12 Le grafcet description générale Par Patrick ABATI. éd 2003

TABLE DE MATIERE

EPIGRAPHE ................................................................................I

DEDICACE...................................................................................II

AVANT - PROPOS.........................................................................III

CHAP 0 INTRODUCTION.....................................................................1

0.1. CHOIX ET INTERET DU SUJET......................................................1

0.2. PROBLEMATIQUE DU TRAVAIL......................................................1

0.3. DELIMITATION DU SUJET.............................................................2

0.4. METHODES ET TECHNIQUES..........................................................2

A) METHODES ................................................................................2

A .1. LA METHODE HISTORIQUE..................................................2

A.2. LA METHODE D'ANALYSE DYNAMIQUE...................................2

B ) TECHNIQUE..................................................................................3

B.1. LA TECHNIQUE DOCUMENTAIRE............................................3

B.2. LA TECHNIQUE D'OBSERVATION ...........................................3

0.5. DIFFICULTES RENCONTREES.........................................................3

0.6. SUBDIVISION DU TRAVAIL...........................................................4

CHAPITRE I PRESENTATION DU SYSTEME D'AIGUILLAGE ACTUEL..................5

a. DEFINITION DES CONCEPTS......................................................5

i. Aiguillage........................................................................................5

ii. Automatisme ......................................................................................5

iii. Le chemin de fer .............................................................................5

iv. Système.............................................................................................5

v. Hydraulique ..........................................................................................5

b. OBJECTIF DE L'AIGUILLAGE ...............................................................6

c. MODE DE COMMANDE DES AIGUILLAGES ..........................................6

d. CONSTITUTION D'UNE VOIE ........................................................7

1.4.1. BRANCHEMENT ..........................................................................7

1.4.2. TRAVERSES ..............................................................................7

1.4.3. LES TAQUETS ..........................................................................7

1.5. COMMANDE DU SYSTEME D'AIGUILLAGE........................................8

1.5.1. COMMANDE MANUELLE......................................................................8

1.5.2. COMMANDE A PIED ..................................................................9

CHAPITRE II ETABLISSEMENT DE MECANISME AUTOMATISE DE L'AIGUILLAGE .10

II.1. COMPOSITION D'UN MECANISME AUTOMATISE DE L'AIGUILLAGE.....10

II.1.1 PRINCIPE ...........................................................................................10

II.1.2 SCHEMA DE PRINCIPE ......................................................................10

II.1.3. ORGANISATION FONCTIONNELLE D'UN SYSTEME AUTOMATISE......11

II.2. PRESENTATION D'UN SYSTEME HYDRAULIQUE DE COMMANDE.........12

II.2.1 DESCRIPTION GENERALE D'UN CIRCUIT HYDRAULIQUE DE COMMANDE ............12

II.2.2. LE CIRCUIT HYDRAULIQUE DE BASE........................................13

II.3. PRESENTATION D' UN CIRCUIT HYDRAULIQUE ................................15

II.4. CARACTERISTIQUES MECANIQUES DU SYSTEME .............................16

II.4.1. EXTRAIT DU CAHIER DES CHARGES .......................................16

II.4.2 DIMENSIONNEMENT DU CIRCUIT HYDRAULIQUE ......................16

CHAPITRE III ETUDE MECANIQUE DE L'IMPLANTATION DE L'AIGUILLAGE ...19

III.1. OBJECTIF DU CHAPITRE .............................................................19

III.2. FORME DES AIGUILLES ..............................................................20

III.3. ETUDE GEOMETRIQUE DES ORGANES DE L'AIGUILLAGE..............20

III.3.1. CALCULE DE L'ORNIERE A MENAGER AU TALON

DE L'AIGUILLE DE DEVIATAION........................................20

III. 4 ETUDE DE SECURITE DES ORGANES DE L'AIGUILLAGE ................25

III. 5. DESCRIPTION DU VERROU CIRCULAIRE.......................................27

III.6. FONCTIONNEMENT................................................................28

CHAPITRE IV AUTOMATISATION DE L'AIGUILLAGE ......................................29

IV.1. LES CAPTEURS.......................................................................29

IV .1.2. PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DES CAPTEURS.............30

IV.1.3 CHOIX DES CAPTEURS ...................................................30

IV.2. PRESENTATION SCHEMATIQUE DES CAPTEURS........................31

IV. 2.1. PRESENTATION GENERALE DES ETAPES .......................32

* 1 PINTO et GRAWITZ, les méthodes de recherches en sciences sociales, éd. Dalloz, Paris, 1971, P, 208

* 2 VERHAGAGEN R., Méthodes et techniques sociales-analyse, éd. Macro, Paris, Avril 1954, p. 50.

* 3 Http // Fr. . wikipedia.org / wiki / system % c 3 % A 8* - technique

* 4 Circuits hydrauliques conceptions et maintenance SAMI REKIKI P1

* 5 http://fr . wikipedia.org /wiki/Appareil - de - voie

* 6 CUVELIER le guide des automatismes P1

* 7 CUVELIER le guide des automatismes P2

* 8 Les lois d'Hydrostatique L. P. P&M Curie AULNOYE AYMERIES P5

* 9 Cours d'exploitation des chemins de fer D' ULYSSE LAMEL Tome III Quatrième partie P 1

* 10 Cours d'exploitation des chemins de fer D' ULYSSE LAMEL Tome III LA VOIE FACICULE I

* 11 www. Capteur .com. Fascicule sur les capteurs.

* 12 www. Capteur .com. Fascicule sur les capteurs.

* 13 Le grafcet description générale. Par Patrick ABATI. Éd 2003.






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