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Aires protégées, victimes ou moyens efficaces de lutte face aux changements climatiques. Est- il réaliste de continuer à  créer les aires protégées dans un climat changeant ?

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par Elie NSIMBA NGEMBO
Université de Kinshasa RDC - Deuxième grade d'ingénieur agronome eaux et forêts 2012
  

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    UNIVERSITE DE KINSHASA

    FACULTE DES SCIENCES AGRONOMIQUES

    DEPARTEMENT DE GESTION DES RESSOURCES NATURELLES

    Option : Eaux et Forêts
    B.P. 117 Kinshasa XI

    Aires protégées, victimes ou moyens efficaces de

    lutte face aux changements climatiques.

    Est-il réaliste de continuer à créer les aires protégées

    dans un climat changeant ?

    ?

    NSIMBA NGEMBO Elie

    Deuxième grade d'ingénieur Agronome
    Eaux et forêts

    ANNEE ACADEMIQUE 2011 - 2012

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    1. INTRODUCTION

    Depuis un bon nombre d'années, l'homme s'est tourné vers la nature à la recherche des ressources pour sa survie. La nature subissant des pressions diverses (braconnages, exploitation minière, exploitations forestières, etc.) commençait à se détériorer. Ainsi l'homme ressent-il le désir de prendre des mesures nécessaires pour la protection de la nature. D'où partant du principe de zonage dans l'aménagement de territoire naquit l'idée de création des aires protégées (Parcs écologiques et réserves) dans le souci de conserver la diversité biologique.

    Cependant, l'activité humaine ne possède pas toujours des impacts directs sur la diversité biologique mais aussi des impacts indirects parfois plus fatals, comme les modifications des paramètres climatiques. Cela est soutenu par Elise B. (2011), je cite : Le changement climatique est de plus en plus étudié et pris en compte, à la fois par les scientifiques et, plus largement, par les communautés civiles. L'étendue de son impact potentiel est de plus en plus reconnue et cette évolution des mentalités est rapide. Les aires protégées ont longtemps été utilisées comme un mécanisme fiable pour la conservation des multiples facettes de la diversité biologique. Ce mécanisme est cependant déjà sous le poids d'importantes pressions d'origine anthropique et d'autres menaces qui seront sans nul doute aggravées par le changement climatique.

    Telle que l'histoire nous enseigne les périodes des glaciations préhistoriques entrainèrent les migrations et disparition de plusieurs espèces. Aujourd'hui les changements climatiques montrent des indicateurs inquiétants. Ces faits révèlent la considération climatique dans la création des aires protégées, car les écosystèmes sont eux-mêmes tributaires du climat.

    Le présent texte « Aires protégées, victimes ou moyens efficaces de lutte face aux changements climatiques » essaie de réfléchir à la question « Est -il réaliste de continuer à créer les aires protégées dans un climat changeant, avec risque qu'elles soient perturbées ? »

    Nous jugeons indispensable de parler d'abord des aires protégées, puis les changements climatiques ainsi que quelques concepts qui s'attachent de ces deux grands concepts avant de pouvoir répondre à la fameuse question citée haut et argumentée notre position.

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    2. Aires protégées

    2.1. Généralités

    L'UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature)

    définit une aire protégée comme "une portion de terre et/ou de mer vouée spécialement à la protection et au maintien de la diversité biologique, ainsi que des ressources naturelles et culturelles associées, et gérée par des moyens efficaces, juridiques ou autres"(GoodPlanet, 2012)

    Le statut juridique de ces aires peut prendre diverses formes : parcs nationaux, réserves gérées par des organismes étatiques ou des particuliers, etc. D'après le PNUE (Programme des Nations Unies pour l'Environnement) cité par François B. (2009), le nombre des aires protégées a atteint 100 000 en 2003, avec une surface d'environ 12 % des terres émergées et 0,5 % des océans. Les pays avec les pourcentages les plus élevés sont le Venezuela, l'Équateur (avec la réserve marine des Galápagos) et le Danemark avec le Parc National du Groenland, la plus vaste réserve du monde. Deux vastes réserves marines sont consacrées aux récifs coralliens (Australie et Hawaï), initiatives sans doute insuffisantes pour sauvegarder ces écosystèmes particulièrement menacés.

    Selon François (2009), Une aire protégée avec utilisation durable des ressources est un territoire voué à la protection et au maintien de la biodiversité, utilisé de manière à sauvegarder la naturalité de ses écosystèmes tout en assurant l'utilisation durable de ressources naturelles et de services nécessaires au bien-être des communautés. Ces territoires constituent des espaces exemplaires en matière de développement durable où la conservation de la nature, intègre la préservation, la gestion durable des ressources biologiques, la protection et, le cas échéant, la restauration. Sur ces territoires, la protection des écosystèmes naturels et la mise en valeur des ressources sont mutuellement bénéfiques.

    2.2. Enjeux autour des stratégies de création et de gestion

    Pour être acceptables, les stratégies et pratiques de mise en valeur des ressources naturelles doivent être complémentaires ou du moins compatibles avec les objectifs de protection de la biodiversité et de maintien du caractère naturel de l'aire protégée. En cas de conflit avec l'utilisation des autres ressources naturelles, la protection et le maintien de la biodiversité ainsi que le maintien du caractère naturel des écosystèmes doivent prendre préséance.

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    Dans le cadre d'un réseau intégré d'aires protégées s'appuyant sur l'ensemble des six catégories de l'UICN (Union Internationale sur la Conservation de la Nature), l'un des rôles privilégiés des aires protégées avec utilisation durable des ressources naturelles est également de contribuer au maintien de l'intégrité écologique, en servant de zones tampons avec les territoires altérés plus fortement par l'homme.

    Les aires protégées constituent la pierre angulaire de la conservation in situ de la diversité biologique. Leur importance, qui s'étend de la conservation de la diversité biologique, au stockage du matériel génétique, à la fourniture des services essentiel au bien-être humain dispensés par les écosystèmes et à la contribution au développement durable, a été reconnue à des niveaux multiples, des organismes internationaux aux gouvernements nationaux, communautés et groupements locaux. (CDB, 2004)

    À l'échelle mondiale, la vaste majorité des aires protégées a été créée au cours des quarante dernières années. On compte maintenant dans le monde 12 % des terres émergées en zones protégées. Ce changement d'affectation du territoire constitue une révolution en ce qui concerne l'utilisation des écosystèmes. Pour la première fois depuis la révolution industrielle, des superficies significatives sont dédiées à la protection de la nature. Il s'agit d'un changement de valeur important que l'on commence à reconnaître et à comprendre (François, 2009)

    Les aires protégées, parcs nationaux, réserves naturelles et autres zones dans lesquelles des mesures spéciales ont été prises afin de conserver la diversité biologique et les processus écologiques, sont depuis longtemps reconnues comme étant un outil essentiel pour lutter contre la perte de la diversité biologique mondiale. Depuis plus d'un siècle, des pays du monde entier réservent des zones aux fins de protection spéciale en raison de leur beauté naturelle et de leur statut de dépositaire de la diversité biologique la plus spectaculaire de la planète. Au cours des dernières quarante années, la conception du rôle des aires protégées a changé. Nous avons progressé du concept de «parcs nationaux» et de «Réserves» dominant du 19ème siècle au milieu du 20ème siècle, au concept et à l'approche pratique plus larges des «aires d'utilisation durable».

    L'une des raisons de l'inadéquation de système mondial d'aires protégées est le manque de la participation des communautés autochtones et locales à la création et gestion des aires protégées. Ces dernières doivent dès lors y être logiquement et nécessairement associées, par des processus de partenariat et de gestion participative qui procèdent directement des exigences

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    d'une démocratie de proximité remettant fondamentalement en cause les méthodes et les outils centralisés du pouvoir politique et administratif, au profit d'une nouvelle « gouvernance » des espaces et des aires protégés.

    3. Changements climatiques et ses effets

    3.1. Généralités

    Plus personne n'ignore la problématique du changement climatique. Beaucoup d'entres nous peuvent percevoir ses effets. Le changement climatique se manifeste sous des formes diverses.

    Selon la convention-cadre des nations unies sur les changements climatiques(1992) :

    ? On entend par «changements climatiques» des changements de climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l'atmosphère mondiale et qui viennent s'ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours des périodes comparables.

    ? On entend par «effets néfastes des changements climatiques» les modifications de l'environnement physique ou des biotes dues à des changements climatiques et qui exercent des effets nocifs significatifs sur la composition, la résistance ou la productivité des écosystèmes naturels et aménagés, sur le fonctionnement des systèmes socio-économiques ou sur la santé et le bien-être de l'homme.

    ? On entend par« variabilité climatique » les changements climatiques d'origine naturelle.

    Selon le GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat), 2007, un changement climatique correspond à une modification durable (de la décennie au million d'années) des paramètres statistiques (paramètres moyens, variabilité) du climat global de la Terre ou de ses divers climats régionaux. Ces changements peuvent être dus à des processus intrinsèques à la Terre, à des influences extérieures ou, plus récemment, aux activités humaines. Le changement climatique anthropique est le fait des émissions de gaz à effet de serre engendrées par les activités humaines, modifiant la composition de l'atmosphère de la planète. À cette évolution viennent s'ajouter les variations naturelles du climat.

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    Dans les travaux du GIEC, le terme « changement climatique » fait référence à tout changement dans le temps, qu'il soit dû à la variabilité naturelle ou aux activités humaines.

    Actuellement, le phénomène des changements climatiques dits naturels ou « variations climatiques » n'est pas totalement compris, mais il existe plusieurs hypothèses qui peuvent tenter de les expliquer. Alors que les changements climatiques naturels se font sur de très longues périodes, ce qui implique une certaine adaptation des espèces animales et végétales, les changements anthropiques sont très rapides et par conséquent menacent énormément les écosystèmes souvent fragiles (Frédéric P., 2002).

    3.2. Variation des paramètres climatiques et impacts

    Tel que dit ci-haut, les effets de changements climatiques sont énormes et se manifestent de plusieurs manières : Canicule en été, hiver sans neige, dérèglement du climat ("il n'y a plus de saisons"), inondations dans un coin tandis qu'un autre subit de terribles sécheresses. Les bouleversements climatiques perturbent la faune et la flore.

    D'après ce rapport du GIEC(2007), les observations scientifiques montrent que, au niveau global :

    ? la température a augmenté de 0,74°C entre 1906 et 2005, avec une

    augmentation presque partout dans le monde ;

    ? le niveau de la mer a augmenté de 1,8 mm/an en moyenne depuis 1961 et de 3,1 mm/an en moyenne depuis 1993 (dû, entre autres, à la fonte des glaciers)

    ? dans certains pays, le rendement de l'agriculture pluviale pourrait chuter
    de 50 % d'ici 2020 (avec ses conséquences en matière de sécurité alimentaire) ;

    ? concernant les écosystèmes et les espèces : les écosystèmes forestiers
    pourraient voir leur productivité changée ainsi que des migrations.

    Les impacts sont également d'ordre socio-économiques et touchent notamment les secteurs de la santé (avec les maladies dites « climatiques ») et de l'agriculture avec tous les risques que cela comporte en matière de la sécurité alimentaire.

    De tout ce qui précède, nous constatons que la considération du changement climatique dans la gestion des aires protégées est indispensable. Le grand problème est « ne plus créer les aires protégées car le climat change et elles sont perturbées » ou « continuer à les créer car elles sont incontournables ». Au prochain point nous donnons notre point de vue et notre argumentation.

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    4. Est -il réaliste de continuer à créer des aires protégées dans un climat changeant, avec risque qu'elles soient perturbées ?

    Nous pensons que malgré les perturbations climatiques ou réchauffement du climat, l'homme doit continuer à créer les aires protégées (parcs et réserves écologiques). Bien que les changements climatiques causent des dégâts énormes aux écosystèmes, ces derniers assurent beaucoup des processus biologiques régulateurs du climat (maintien de la biodiversité et des ressources génétiques, régulation des régimes hydriques, régulation du climat local, régulation du climat global, etc.). Les aires protégées constituent une arme efficace de lutte contre les changements climatiques.

    D'une part, la préservation et la restauration des écosystèmes et des aires protégées forestières en particulier, favorisent et augmentent leur résilience, c'est-à-dire leur capacité à se reconstituer suite à des perturbations. La résilience des écosystèmes est un atout qui leur permet de retrouver leur stabilité même après une forte perturbation. Cependant les stratégies de gestion seront orientées de telles sortes que les aires protégées ne subissent pas de menaces qui leur conduisent au point de non retour. Ces aires protégées pourraient ainsi maintenir toutes les fonctions qui leur permettent de résister aux effets néfastes du changement climatique.

    D'autre part, les aires protégées bien gérées (en particulier les forestières puisqu'elles ont une grande capacité de séquestration du carbone) peuvent être une solution d'atténuation efficace. Il apparait donc important d'évaluer l'efficacité de la gestion des aires protégées, afin de corriger les imperfections, mais également de les intégrer dans des stratégies plus vastes de conservation, à l'échelle des paysages terrestres ou marins. (IUCN, 2011)

    Selon la convention sur la biodiversité (CDB ,2004), je cite : Face aux pressions croissantes exercées par les activités anthropiques sur les ressources de la planète, un système mondial efficace d'aires protégées représente le meilleur espoir d'assurer la conservation d'aires viables et représentatives des écosystèmes, des habitats et des espèces naturels.

    La biodiversité est un moyen d'adaptation au changement climatique ; en effet la combinaison espèces végétales et animales s'avère indispensable au maintien de plusieurs cycles géochimiques (de carbone, d'azote, d'hydrogène, etc.) nécessaires pour la survie de la planète. En ce qui concerne le cycle du carbone (dioxyde carbone, CO2), les statistiques du GIEC montrent que les aires protégées mondiales absorbent 312 tonnes de milliards de carbone soient 15% du stock de carbone terrestre.

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    Nul n'ignore l'activité photosynthétique, intense dans les zones forestières, son importance dans la respiration de tout être vivant et dans l'absorption des gaz à effet de serre.

    En Amazonie brésilienne, les terres protégées devraient empêcher la déforestation de 670 000 km2 d'ici 2050, et éviter ainsi l'émission de huit milliards de tonnes de carbone. Les aires protégées servent aussi de protection naturelle contre les impacts du climat et autres catastrophes naturelles, en fournissant de l'espace pour disperser les eaux de pluie, stabiliser les sols pour éviter les glissements de terrain et stopper les ondes de tempête. Les aires protégées aident à maintenir les ressources naturelles saines et productives, afin qu'elles puissent résister aux impacts des changements climatiques. 33 des 100 plus grandes villes du monde puisent leur eau potable dans des sources situées dans des forêts protégées (UICN, 2010).

    Les aires protégées peuvent atténuer les réchauffements climatiques en absorbant le carbone, mais, elles peuvent y contribuer si elles sont dégradées ou détruites. Les changements climatiques, quant à eux, pourraient provoquer la dégradation ou la perte des aires protégées, exacerbant par là même leur fréquence (Mansourian S. et al).

    Pour que les aires protégées fassent durablement lutte aux changements climatiques quels que points importants sont à considérer :

    ? la restauration des habitats et création de nouveaux sites : il s'agira par exemple de restaurer les habitats dans le cas où nous avons affaire à des espèces persistantes ; ou de créer de nouveaux habitats pour les espèces colonisatrices ;

    ? la gestion des perturbations : par exemple gestion des feux, des inondations, du pâturage ;

    ? la translocation : translocation vers ou à partir du site et stratégie de conservation ex situ ;

    ? l'augmentation de l'étendue des sites : surtout dans le cas d'espèces persistantes et colonisatrices ;

    ? une gestion perméable au paysage : par exemple mise en place de corridors écologiques pour faciliter la dispersion ou la migration des espèces.

    Les corridors écologiques sont des liens/connexions entre des blocs ou sites de conservation. Ils augmentent la connectivité entre les aires, et réduisent ainsi les impacts de la fragmentation des habitats sur la biodiversité, fragmentation qui peut être le résultat du changement climatique. Tout ceci concourt donc à une diminution de la perte de la biodiversité. Les corridors

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    devraient donc contribuer à diminuer les impacts du changement climatique car le maintien de cette variabilité génétique permet aux espèces de s'adapter.

    Il importe aussi, à l'heure actuelle d'associer les communautés et populations riveraines des zones protégées à la gestion de celles-ci, surtout dans les régions pauvres, les sensibiliser de l'intérêt de garder les aires protégées et des risques courus par leurs dégradations.

    Bref, il est consciencieux et réaliste pour l'humanité de continuer à créer les aires protégées malgré les perturbations climatiques car elles constituent plus un mécanisme de lutte que victimes face aux changements climatiques. Cela est soutenu par Nikita Lapoukhine, Président de la Commission mondiale des Aires Protégées de l'UICN, je cite : « Les aires protégées constituent un mécanisme déjà existant et répandu pour l'atténuation et l'adaptation aux effets des changements climatiques ». Il ajoute que renforcer la capacité de résistance des écosystèmes est l'une des alternatives les moins coûteuses pour réduire les émissions de carbone, et elle présente l'avantage certain de produire des bénéfices additionnels pour les communautés vivants dans ces aires et aux alentours (UICN, 2010). De cela ressort les intérêts économiques, sociaux et écologiques des aires protégées.

    4. CONCLUSION

    En guise de conclusion, nous disons, bien que certains écosystèmes soient vulnérables au changement climatique. Les aires protégées restent un moyen efficace de lutte contre les changements climatiques. Il importe alors aux gestionnaires de prendre toutes les mesures nécessaires pour minimiser les effets de variation du climat sur les aires protégées. L'on peut dire que ne pas créer ou ne pas garder les aires protégées accentuerait les effets des changements climatiques, ce qui serait fatal. Mais la protection et la création des aires protégées restent l'une des meilleures résolutions de lutte contre les variations du climat.

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    Références bibliographiques

    Nations Unies, 1992. Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques, New York le 9 mai 1992.

    Convention sur diversité biologique (CDB), 2004. Programme de travail sur les aires protégées. Secrétariat de la convention sur la diversité biologique Montréal 2004. 34p

    Elise B., 2011, Changement Climatique et Aires Protégées en Afrique de l'Ouest (Projet CCPAWA en anglais), UNEP, WCMC, GEP. Version 4. CCPAWA. Avril 2011.

    François B., 2009, Les aires protégées avec utilisation durable des ressources naturelles : est-ce possible dans les forêts québécoises?, VertigO - la revue électronique en sciences de l'environnement [En ligne], Regards / Terrain, 2009, mis en ligne le 30 décembre 2008, Consulté le 07 février 2012. URL : http://vertigo.revues.org/7243 ; DOI : 10.4000/vertigo.7243

    Frédéric P., 2002, Datation glaciologique des forages profonds en Antarctique et modélisation conceptuelle du climat : implications pour la théorie astronomique des paléoclimats, Thèse doctorale. Laboratoire de Glaciologie et Géophysique de l'Environnement de Grenoble, Université Joseph Fourie, France.www.wikipedia.org

    Goodplanet, (2012). Aires protégées. www.GoodPlanet.info Consulté le 15/02/2012.

    GIEC (Groupe d'Expert Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) ,2007. Rapport d'évaluation sur le climat. ( www.wikipedia.org)

    Mansourian S. et al. 2010. Rôle des aires protégées forestières dans l'adaptation aux changements climatiques, Adaptation au changement climatique..., FAO.2010.www.fao.com

    UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) ,2010. Aires protégées - des solutions naturelles à la crise du changement climatique. 21

    ;

    January 2010, international news release.
    http://cmsdata.iucn.org/downloads/natural_solutions_summary_report.pdf

    http://cmsdata.iucn.org/downloads/natural_solutions.pdf

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    UICN ,2011. La Lettre des Aires Protégées en Afrique de l'Ouest. Aires protégées et changements climatiques. N°46, Programme Afrique du Centre et de l'Ouest Aires protégées Ouagadougou 01 BURKINA FASO.






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