Memoire Online - Opinion des enseignants des écoles secondaires de Lukanga face à l'échec scolaire.

A mes parents Ngona Dheba et maman Nzale Dheba pour votre dévouement et votre affection à notre égard.

REMERCIEMENTS

A la fin de notre cycle d'étude, nous rédigeons un travail de fin de cycle qui relève de l'intervention de plusieurs personnes. Nous adressons nos remerciements à ceux qui ont contribué pour la réalisation de ce travail, surtout la contribution de près comme de loin.

Au créateur Dieu le tout puissant, pour ses bienfaits en nous accordant la grâce de passer trois ans dans notre formation à l'Université Adventiste de Lukanga.

A notre directeur assistant Muhindo Bitamuyi, pour nous avoir dirigé pendant toutes ces périodes de la rédaction de ce présent travail.

Nos remerciements s'adressent à tout le personnel de l'Université Adventiste de Lukanga, précisément à notre Doyen de Faculté C.T. Sihingirwa Kahindo de nous avoir encadrés tout au long de notre formation scientifique, physique et moral à l'UNILUK, au recteur de l'université docteur Benjamin Akiano, au secrétaire générale académique professeur docteur Kathembo Kambere Thaddée et à tous les personnels administrative et académique.

A mes frères Richard Dheba, Safari Dheba, Jacques Dheba, Baraka Dheba, Kajik Dheba, Benjamin Dheba, mes soeur Perdasi Dhebasi, Tumaini Dhebasi, Mapenzi Dhebasi, Vumilia Dhebasi ,Patience Asimwe, Myriam kisuki et mes amis Frank Fumakwa, Fabrice Tshilenge, Petro, Timothée Minzengo, Patrick Bawi, Germain Bulama, Cylas Musale, a maman Seconde Habonimana, à la famille Mumbere Frederick Monuc, Kasereka Kisunzu Mwinda et mes camarades etudiants de G3 éducation et les autres pour tant des sacrifices, des conseils et des soutiens pendant notre période des études à l'UNILUK.

SIGLES ET ABREVIATION

UNESCO : Organisation des Nations Unies pour la Science et la Culture ou
l'éducation

LISTE DES TABLEAUX

Tableau 5 : Présentation de la population selon la variable régime de gestion 21

Tableau 6: Spécification des questions selon les causes internes et externes 24

Tableau 14 : Explications externes des échecs par les enseignants selon le sexe 35

Tableau 15 : Explications externes des échecs par les enseignants selon l'ancienneté 36

Tableau 16 :Explications externes des échecs par les enseignants selon l'état civil 37

d'étude 37
Tableau 18 : Explications externes des échecs par les enseignants selon le régime de

Tableau 19 : Explications internes des échecs par les enseignants selon le sexe 40

Tableau 20 : Explications internes des échecs par les enseignants selon la variable

ancienneté 41
Tableau 21 : Explications internes des échecs par les enseignants selon la variable état civil 42

Explications internes des échecs par les enseignants selon le niveau d'étude 42

Tableau 23 : Explications internes des échecs par les enseignants selon le régime de

Tableau 26 : Les autres causes citées par les enseignants sur le plan administratif 48

Tableau 27 : Les autres causes citées par les enseignants sur le plan financier 49

Tableau 28 : Les autres causes citées par les enseignants sur le plan matériel 50

TABLE DES MATIERES

CHAPITRE TROISIEME PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION

0. INTRODUCTION

0.1. Problématique

Dans toutes les activités que l'homme entreprend, il a le vif désir de voir le bout de son travail, le résultat pour connaitre si ses objectifs ont été atteints ou non. Le choix du thème « échec scolaire », dans le cadre de notre étude est motivé par l'importance même du sujet, cette importance est dans le cadre où nous allons étudier les opinions qui nous viennent des enseignants, car ces derniers peuvent être les mieux informés de ce problème qui est l'échec scolaire. Ainsi, nous allons savoir que pour mieux gérer un problème, il nous faut d'abord étudier l'opinion des personnes qui sont mieux informées sur notre problème qui est l'échec scolaire.

S'il est vrai ce que nous dit Mounier cité par Avanzini, (1965, p.73) « désespérer de quelqu'un c'est le déséquilibrer, cela veut dire le retentissement de ces situations sur celui qui est convaincu de l'intelligence abandonne vite tout effort car il ne croit guère à la possibilité d'une amélioration ».

Malgré les efforts fournis par les enseignants, on continue toujours d'observer des situations contraires à ce qu'on s'est fixé comme objectif qui est l'étude des opinions des enseignants face à des échecs scolaires.

Selon Lewis et Dourlay (1991, p 429) « l'objectif de l'école est de favoriser l'apprentissage pour tous. Les enseignants se donnent pour appliquer le programme établit par l'Etat, dans les contrôles des acquis de ses apprenants avec comme but

d'éliminer les effets qui peuvent limiter l'apprentissage et les capacités des apprenants ».

D'après Hallak et Eisemon cité par Amato (2008, p.1) « dans le système éducatif, lorsque le taux de l'échec scolaire est élevé, cela signifie que beaucoup d'élèves n'ont pas atteint le niveau attendu d'eux. Mais les raisons de ces redoublements peuvent être variées et ne sont pas toujours faciles à détecter, comme il n'est pas facile non plus d'en prévoir les conséquences sur l'apprentissage et la carrière future de l'élève concerné».

Selon Doron et Parot (1998, p 230) « l'échec scolaire est une situation d'un élève dont les résultats ne satisfont pas les normes de l'école. L'échec scolaire se traduit par des mesures institutionnelles (redoublement de classe, orientation imposée) et l'une de ses conséquence est la sortie du système éducatif ».

L'échec scolaire est le plus souvent peu jugé efficace pour 83.8% de professeurs de l'école secondaire. La question du redoublement scolaire est souvent posée sous l'angle économique qui pourrait alléger les parents si on arrivait à réduire le taux de l'échec scolaire. (Edumbe Omadeke Kupelesa, 2008).

Le grand nombre de ceux qui échouent scolairement, leur niveau intellectuel convenable, pose un grand problème aujourd'hui. Il est ainsi envisagé comme un problème social en raison de son coût, de la reproduction des inégalités d'apprentissage et de son caractère inefficace et injuste.

L'échec scolaire tient à ce que le caractère de l'enseignant est incompatible avec le besoin et les aspirations de l'élève spécialement ceux qui présentent une

lenteur d'esprit soit certaines difficultés psychologiques qui auraient besoin d'encouragement, de soutien et de compréhension.

L'échec est un état où l'individu se sent coupable d'une faute qu'on n'a pas voulu commettre et qu'on ne peut cependant s'abstenir de renouveler. Les parents comme les enseignants fortifient cette conception de l'élève en disant qu'il est paresseux ou bête et cela entraine une confiance en soi altérée.

« L'échec scolaire d'un enfant implique l'infériorité de son niveau d'acquisition scolaire par rapport aux niveaux des objectifs moyens d'enseignement pour son âge. Dans cette situation de l'échec scolaire, l'enfant qui échoue doit effectuer un certain travail psychologique, il a un sérieux problème mental, il doit intérioriser l'échec et les différents statuts de sous-estimation par rapport à ses camarades qui ont réussi, il accepte et gère son échec scolaire. L'échec scolaire affecte l'être dans sa totalité, aussi bien au niveau psychologique et social ».

Les taux des échecs des élèves qui ne cessent jamais à s'observer dans nos écoles et attirent l'attention de tous les partenaires éducatifs.

D'après Kabuyaya (2007, p.35) « l'échec scolaire exerce des incidences psychologiques tant sur l'individu lui-même que sur l'entourage, ces incidences touchent l'élève qui se sent avoir perdu ses efforts, qui ressent une certaine impuissance, le manque de motivation pour les études et le travail, l'abandon des études, sous-estimation qui peuvent le pousser vers l'alcoolisme et les drogues, la délinquance sexuelle, de grossesse et maternité adolescente célibataire. L'opposition est active et bruyante avec des attitudes de bouderie ou de trouble de comportement, instabilité... ».

Sa famille qui va éprouver un sentiment de déshonneur, de maladies et peut développer l'agressivité envers l'élève et l'école. Les enseignants qui dressent un processus d'aveux ou à l'ordre d'acquisition de faiblesse explicative. Retenons qu'au niveau des écoles où il y a toujours des échecs, cela peut entrainer la déperdition scolaire. C'est pour vouloir dire que l'échec scolaire de 100% peut conduire à la fermeture de l'établissement, or nous savons que « fermer une école, c'est ouvrir les portes de la prison » dit un adage français. Cela étant quand les enfants ne fréquentent plus les écoles, c'est la société qui subit les pots cassés des échecs scolaires, le banditisme, le terrorisme, la barbarie, seront à la une, la société risque d'engendrer les enfants de la rue or la rue n'a pas des enfants. Nous savons bien ce que ces enfants connus sous le nom des « chegues » font dans des villes et même dans le milieu rural. Donc nous devons savoir que l'échec scolaire constitue un danger pour notre société.

Selon le rapport de l'Unesco (1998, pp. 136-137, 138). Voici la statistique de l'échec scolaire dans les pays développé dont nous avons l'exemple de l'Europe précisément en France pour l'année 1997 l'échec scolaire à remonter à 6%, puis en Amérique précisément au Canada vers les années 1970, au Québec le taux de l'échec scolaire était de 8.4%.... En Afrique les taux de redoublement varient entre 30% et 50% selon un rapport de la Banque mondiale (1988). Pour l'enseignement primaire, en Afrique, les taux de redoublants les plus bas sont de 2% au Botswana et les plus élevés sont de 35% au Tchad ; en Amérique du Sud, les plus bas sont de 3% en Guyana et les plus élevés est de 15%, au Pérou, en Asie ils sont respectivement de 0% au Azerbaïdjan, à Chypre, au Kazakhstan et en Mongolie est de 30% en Chine.

Sur le site www.radiookapi.cd nous avions constaté qu'en RDC pour l'année scolaire 2013-2014, le taux de la réussite aux Examens d'État était de 54%, et le taux de l'échec était

aussi de 46% puis nous avions mené une pré enquête dans notre milieu d'étude qui est Lukanga, nous avons calculé la moyenne des pourcentages de cinq écoles secondaires qui sont institut de Lukanga, institut technique de Lukanga, institut Mwikya, institut Kampala, institut Menge, nous avons eu une moyenne de 31 % d'échec scolaire, en présentant ce taux sous forme chiffré, nous constatons que dans ces 5 écoles (de l'institut de Lukanga, l'institut technique de Lukanga, l'institut Mwikya, l'institut Menge, l'institut Kampala), sur 100 élèves qui sont inscrits dans ces écoles, il y a 31 élèves qui échouent. A partir de cela, nous avons réalisé qu'il y a un problème de l'échec scolaire dans les écoles secondaires de Lukanga. Alors quelle est l'opinion des enseignants face à l'échec de ces élèves qui échouent? Ainsi surgissent à l'esprit quelques préoccupations : comment les enseignants expliquent-ils les échecs que connaissent les élèves ? les expliquent-ils par des causes internes (qu'eux-mêmes peuvent être à la base de l'échec de leurs élèves) ou par des causes externes (donc les élèves qui sont à la base de leurs échecs). Quelles sont les opinions des enseignants face à l'échec scolaire ? Les enseignants expliqueraient ils les échecs par des causes internes? L'opinion des enseignants varierait elles selon nos variables prises en considération ? Y a-t-il une liaison entre les opinions des enseignants et les explications externes ou externes?

0.2. Hypothèse

En partant de cette préoccupation qui constitue notre problématique de la présente étude, nous avons avancé l'hypothèse générale selon laquelle le modèle explicatif des enseignants à l'égard de l'échec scolaire varierait en fonction de leur sexe, ancienneté, Etat civil et leur niveau d'étude.

? Les enseignants expliqueraient les échecs des élèves par des causes externes.

? L'opinion des enseignants varierait selon nos variables prises en considération à savoir : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion.

? Les explications internes et externes des échecs des élèves par les enseignants varieraient selon nos variables prises en considération : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion.

0.3. But et objectifs

0.4. Intérêt du sujet

Notre travail présente un intérêt sur deux plans : théorique et pratique. Sur le plan théorique, il apportera une modeste contribution dans le monde scientifique, en

expliquent l'échec scolaire de leurs élèves. Sur le plan pratique, il stimulera des interventions psychopédagogiques et psychosociologiques qui peuvent permettre d'améliorer les conduites scolaires et les résultats des élèves.

0.5proche méthodologique

recherche. En effet, notre population est constituée de 100 sujets dont tous sont enseignants. Pour la technique de récolte des données, nous nous sommes servis d'un questionnaire d'enquête. Pour l'analyse, nous avions fait usage de test de khi carré de Pearson.

0.6 Délimitation du sujet

Tout travail scientifique doit être limité dans le temps et dans l'espace. , notre

recherches se borne dans le village de Lukanga, nous nous somme basée aux enseignants de l'année scolaire 2014- 2015, Notre travail est réalisé dans cinq écoles secondaires de Lukanga qui sont Institut de Lukanga, Institut technique de Lukanga, institut Menge, institut Mwikya, Institut Kampala. Nous nous sommes adressé à tous les enseignants de ces écoles.

0.7. Subdivision du travail

? Le deuxième chapitre traite du cadre méthodologique. Dans celui-ci nous allons présenter notre milieu d'étude, la population et l'échantillon, la technique d'enquête et la récolte des données.

? Le troisième chapitre est celui de la présentation, de l'interprétation et de l'analyse des résultats.

? Vient enfin un autre point qui est la conclusion du travail et quelques suggestions et les annexes.

CHAPITRE PREMIER
CADRE CONCEPTUEL

1.1. Définition des concepts

Dans l'optique d'offrir plus de clarté aux lecteurs de ce présent travail, étant donné qu'un terme peut revêtir plusieurs significations selon les contextes dans le quels ces mots se trouvent employés. C'est ainsi que nous consacrons ce chapitre pour définir les concepts clés tel que : opinions, causes des échecs scolaire, enseignant, enseignement, élève. Nous allons aussi définir la théorie d'attribution et en fin expliquer l'effet pygmalion.

1.1.1. Opinion.

Selon Mbaya (1987, p.28) : l'opinion est une formule nuancée sur une question donnée, reçoit une adhésion sans réserve d'un sujet. L'opinion est aussi considérée comme une manifestation qui consiste à adhérer à certaines formules d'une attitude qui peut être évaluée sur une échelle objective.

questionnable. L'opinion est également l'avis que l'on a par rapport à quelque chose ou à quelqu'un. http://lesdefinitions.fr/opinion

Selon nous, l'opinion c'est l'ensemble de conception ou point de vue d'un individu sur une circonstance donnée qu'il est entré d'observé.

1.1.1.2 Sortes des opinions.

En principe, on distingue deux sortes d'opinions : l'opinion personnelle et l'opinion publique :

? L'opinion personnelle : elle est une forme nuancée que reçoit l'adhésion sans réserve d'un sujet. C'est une opinion que le sujet est obligé de donner sa position sans aucune réserve.

? L'opinion publique : elle est un jugement social d'une communauté consciente, sur des questions d'intérêt général.

On entend par opinion publique, l'estimation générale et l'ensemble des idées d'un groupe social (la population par exemple) à propos d'un sujet déterminé.

1.1.2 L'échec scolaire.

1.1.2.1 Définition.

Pour petit la rousse illustré (1999, p.342), l'échec c'est l'insuccès, c'est la non réussite. C'est insuccès peut se manifester dans tous les domaines ; sentimental, sexuel, scolaire, professionnel, social,... et peut aller jusqu'à la provocation plus au moins inconsciente de la condamnation par l'entourage.

Lafon (1969, p.327) retient que l'échec est réel ou circonstanciel surtout s'il est répété, instaurer de lui-même la crainte d'échec scolaire par l'infériorisation et la

dévalorisation qu'il produit ; l'échec scolaire par difficultés réelles et l'échec dans la rivalité fraternelle en sont des exemples marquant dans la rivalité fraternelle.

Selon .le site Wikipédia L'échec scolaire est le phénomène des élèves quittant les systèmes scolaires modernes sans qualification ou diplôme et plus largement ayant des difficultés d'apprentissage. http://fr.wikipedia.org/wiki/Échec scolaire

Nous dirons ici que l'échec scolaire c'est le fait qu'on n'atteint pas ou qu'on ne dépasse pas la limite ou le norme de la réussite d'une tâche scolaire quelconque qu'on s'est fixée.

1.1.2.2. Causes des échecs scolaires.

Les causes des échecs sont souvent classées en deux catégories ; les causes externes et les causes internes. Les causes externes sont celles qui accusent une tierce personne ou le fait du hasard. Ainsi, les enseignants accuseraient les élèves ou les parents comme responsable des échecs des élèves.

Les causes internes se classent dans le cadre où la personne s'attribue la responsabilité de son échec, ainsi peut-elle citer son incapacité, son inaptitude...

1.1.2.3 Conséquences de l'échec scolaire.

Les dégâts occasionnés par les échecs scolaires sont multiples, parce que ceux-ci affectent tous les domaines : économique, social,... celui qui expérimente l'échec peut avoir une estime de soi faible, il gaspille l'argent des parents du payement des frais scolaire et lui-même perd de l'énergie.

De toute manière, déclare Lafon (op. cit. p.328), « l'échec en un cycle insoutenable dont l'effet terminal est souvent le renoncement à priori, à moins qu'il n'engage en des comportements de sens agressif ou opposant qui aboutissent au rejet, pouvant ainsi ouvrir le passage à une véritable conduite d'échec ultérieur ».

Nous constatons que l'échec scolaire est dû au manque d'intérêt aux études, le non payement des frais scolaire par les élèves, la capacité intellectuelle inferieur des élèves.

1.1.3 Enseignement.

Le dictionnaire la rousse online défini l'enseignement comme une action ou manière d'enseigner ou de transmettre des connaissances.

L'enseignement est une pratique mise en oeuvre par un enseignant visant à transmettre des connaissances à un élève, un étudiant ou tout autre public dans le cadre d'une institution éducative. http://fr.wikipedia.org/wiki/Enseignement

Nous allons définir l'enseignement comme action de transmettre la connaissance scientifique aux élèves par un enseignant à l'aide du programme bien établit par l'Etat.

1.1.4 Enseignant.

L'enseignant est un pédagogue, qui pratique l'enseignement scolaire, scientifique, technique, sportif, religieux, artistique, spirituel... auprès d'enfants, d'adolescents ou d'adultes. Ce titre peut faire référence à : un professeur ; un instituteur. Http://fr.wikipedia.org/wiki/Enseignant

Pour nous un enseignant c'est une personne bien formé chargé de transmettre la connaissance scientifique aux élèves.

1.1.5 Elève.

Selon le dictionnaires/français Larousse Celui, celle qui reçoit un enseignement dans un établissement scolaire ; collégien, lycéen. http://lesdefinitions.fr/opinion

Pour nous, l'élève c'est une personne qui suit les enseignements pendant les différents cycles et qui est couronné par un certificat ou un diplôme.

1.1.6 La théorie d'attribution.

Selon Petit la rousse (1999, p. 81) l'attribution est l'action d'accorder ou d'assigner un comportement sur une situation, sur un individu ou sur un fait.

Henri Piéron (1979, p.330) de sa part, déclare que l'attribution est le fait d'inférer une cause à un comportement donné. Il poursuit en disant que les attributions causales dépendent du type de comportement expliqué et du statut de la personne qui explique. Pour Heider cité par Deschamps et All (1991, p.183), l'attribution est le processus par lequel « l'homme appréhende la réalité et peut la prédire et la maîtriser ». C'est la recherche soutiennent-ils, par un individu des causes d'un événement, d'une structure permanente mais non directement observable qui sous-tend les effets, les manifestations directement perceptibles.

L'histoire de différentes théories d'attribution remonte vers les années cinquante du siècle dernier, où les psychologues se sont beaucoup intéressés à des

études interactionnelles entre les individus et aussi quand ils ont cherché à saisir les inférences d'un sujet vis-à-vis de son entourage, de son milieu et de lui-même.

1.1.7. L'effet Pygmalion

Rosenthal et Jacobson (1968, p3) cités par Barinjibanwa (1989, p.13) ont fait une passionnante transposition du mythe de pygmalion dans le monde scolaire. L'expérience que nous donnent ces auteurs est dénommée « effet pygmalion ».

Les auteurs soutiennent la thèse selon laquelle il existe un rapport direct entre le succès des élèves et le comportement des enseignants vis-à-vis de l'échec ou du succès de l'élève. La démonstration en est fournie par une expérience spectaculaire menée dans une école publique élémentaire des enfants défavorisés d'un quartier de Sun Francisco. L'expérience consistait à choisir par tirage au sort 20% d'élèves de l'établissement, à dire à leurs maîtres qu'un test psychologique nouveau permettait de prédire les progrès rapides et à suivre ensuite leur comportement scolaire et celui de leurs maîtres.

Huit mois plus tard, on constate chez ces enfants « miracles » un démarrage scolaire qui confirmait une augmentation de leur quotient intellectuel par rapport à leurs camarades restés dans l'ombre. Les résultats étaient concluants : le jugement prédéterminé du maître agit de façon déterminante sur le comportement de l'élève par un effet de stimulation ou d'inhibition de ses progrès dans l'apprentissage.

Cette expérience a été reportée à plusieurs reprises et il a été remarqué que l'effet pygmalion est produit seulement au cas où l'enseignant vraiment changeait

son modèle d'attribution, c'est-à-dire quand ils se sont expliqués le succès des élèves par leurs capacités et les échecs par des facteurs externes et un effort insuffisant.

Cette théorie nous montre comment les attentes d'un enseignant peuvent influencer non seulement le rendement des enfants mais aussi une certaines manière de se comporter vis-à-vis de ces enfants.

1.1.8. ETUDES ANTERIEURES

Nous ne sommes pas le premier dans le domaine de l'étude des causes des échecs scolaires. Certaines personnes nous ont précédés dans l'explication de celui-ci et elles nous ont servis comme référence. Il s'agit de Kanakake Zaza (2006), Katungu Wayitsomaya (2008) et Tali amato (2008).

Dans l'étude de Kanakake Zaza (2006) sur l'étude des explications des échecs par les élèves des écoles secondaires « cas de l'institut Rwese ». Il avait le problème de la détermination des modèles d'attribution que les élèves de cette école développaient pour leurs échecs scolaires. Apres l'analyse des données, les résultats se sont relevés de la manière suivante :

Les filles que les garçons avec une proportion de 62.61 % pour les filles contre 56.59% pour les garçons. Au fur et à mesure que l'on avance avec l'âgé, les modèles explicatifs changent. Les élèves des parents de niveau socioculturel élèves attribueraient la responsabilité de leurs échecs aux enseignants alors que les élèves issus des parents du niveau socioculturel bas l'attribueraient aux élèves. Au fur et à mesure qu'on monte de classe la modalité explicative des échecs scolaire change.

Dans ce travail, l'auteur s'est préoccupe de déterminer le modèle explicatif de l'échec scolaire, alors que dans notre travail nous voulons vérifier les opinions des enseignants des écoles secondaires face à l'échec scolaire.

De la part de wayitsomaya (2008) sur « l'étude étiologique des échecs examens d'Etat au sein du centre scolaire adventiste de Lukanga ». elle avait comme préoccupation de déterminer les causes d'échecs aux examens d'état. L'auteur, après l'analyse des données a aboutie aux résultats que voici :

- L'indiscipline serait a la base des échecs des élèves finalistes de ce centre scolaire adventiste de Lukanga.

- L'insuffisance d'outils ne serait pas a la base des échecs aux examens d'état.

- Le conflit de taches ne serait pas une cause des échecs aux examens d'état. - Le problème de la docimologie serait une des causes aux examens d'état. Dans ce travail, elle a travaillé avec les élèves du centre scolaire adventiste de

Lukanga, tandis que nous allons travailler avec tous les enseignants des écoles

Et en fin, dans l'étude de Kahindo Syayira Fidel sur « la perception des causes des échecs scolaires en commune Mususa en ville de Butembo ». elle était partie des hypothèses selon lesquelles les échecs scolaires sont dus :

- Le non contrôle régulier en fréquent des documents classique des élèves. Dans son travail, l'auteur a travaillé avec les élèves finalistes des écoles urbaines, alors que nous travaillons avec les enseignants du milieu rural Lukanga, nous avons comme préoccupation majeure d'identifier les opinions des enseignants des écoles secondaires face à l'échec scolaire

CHAPITRE DEUXIEME

CADRE METHODOLOGIQUE

Ce présent chapitre porte sur la présentation du milieu d'étude, la description de la population d'étude, des instruments et techniques de récolte des données et quelques difficultés rencontrées.

2.1. Présentation du milieu

2.1.1. Situation géographique

Le village de Lukanga est situé en République du Congo dans la province du Nord Kivu en territoire de Lubero, dans la collectivité de Baswagha en groupement Bukenye. Il est entouré des montagnes, il est situé à 35 km de Butembo, à 17 km du village de Musienene et 20km de la cité de Lubero, 300 km de la ville de Goma et à 1760 m d'altitude.

2.1.2. La population

Notre population est constituée de tous les enseignants des écoles secondaires de Lukanga pour l'exercice 2014-2015.Entre autre nos cinq institutions à savoir l'institut de Lukanga, l'institut technique de Lukanga, institut Menge, institut

Mwikya, institut Kampala.. Normalement nous avions distribué 115 questionnaires à nos enquêté, mais nous avions une mortalité de 15 l'échantillon, c'est pourquoi Notre population est constituée de 100 sujets.

Voici la population selon les différentes écoles. Présentée dans le tableau ci-après, la population.

Commentaire: Ce tableau nous montre comment est repartie notre population d'étude. L'effectif total est de 100 sujets dont 23 sujets soit 23% de l'institut de Lukanga, 20 sujets soit 20 % de l'institut technique de Lukanga, 40 sujets soit 40% de l'institut Menge, 5 sujets soit 5% de l'institut Kampala, 12 sujets soit 12% de l'institut Mwikya, dont 77 sujets du sexe masculin soit 77% et 23 sujets du sexe féminin soit 23%.

2.1.3. Echantillon.

Selon De Landesheere (1983, p. 25) un échantillon est l'ensemble limite d'individus, d'objets ou événements dont l'observation permet de tirer les conclusions applicables a la population entière à l'intérieur de laquelle le choix a été fait.

D'âpres le petit Robert (1987, p. 599) l'échantillon est une fraction d'une population destinée à être étudié par sondage.

D'âpres Courtejoie (2002, P.329), Citée par Mwamini, l'échantillon est une petite partie d'une population que l'on étudie en vue d'en décrire les caractéristiques de la population totale.

Pour notre travail, l'échantillon est exhaustif parce que les écoles de la vallée de Lukanga sont constituées d'un petit nombre des enseignants. C'est pour cela que nous avons travaillé avec 100 personnes que sont présentées selon le sexe et école dans le tableau suivant :

Commentaire: Notre population est constituée de 100 sujets dont 69 sujets mariés soit 69% et 31 sujets célibataires soit 31%.

Commentaire: Notre population est constituée de 100 sujets, dont 28 Sujets qui ont une ancienneté de 1 à 3 ans soit 28% et 72 sujets soit 72% qui ont une ancienneté de 4 ans et plus.

Commentaire: Notre population est constitué de 43 diplômés soit 43%, 48 gradué soit 48% et 9 licencié soit 9%.

Commentaire: Ce tableau représente notre population selon le variable régime de gestion, dont 45 sujets du régime de gestion catholique soit 45%, 43 sujets du régime de gestion adventiste ou soit 43% et 12 de l'école privée soit 12% de la population.

2.3. METHODE ET TECHNIQUE DE RECOLTE DES DONNEES

2.3.1. Méthode

D'âpres Doron et Parot (1998, p. 452), la méthode est un ensemble de procédures, des démarches ou règles adoptées dans la conduite d'une recherche ou dans une pratique. Elle est donc, selon nous un ensemble concret d'opérations mises en oeuvre par un sujet en vue d'atteindre un ou plusieurs objectifs.

Dans toute recherche les donnée que le chercheur peut user de la méthode soit qualitative ou quantitative selon le cas de son investigation ou selon la direction de son travail.

Pour notre étude, nous avons fait recours à la méthode quantitative. Par définition, elle est celle qui consiste à interpréter les données recueillies de façon numérique ou statistique était transformé en les rendant chiffrées.

2.3.2. Technique

Dans une recherche scientifique, le chercheur doit se munir d'un instrument de travail qui pourra lui faciliter la récolte ou la collecte des données.

D'après Minda (1988, p.26) citée par Mwamini (2009, P.30), la technique est une manière de faire, un ensemble des procédés ordonnées scientifiquement, mis au point, employés à l'investigation et à la transformation de la nature, permettant aux chercheurs de rassembler des informations originales ou des secondes mains sur un sujet donnée. La technique que nous avons utilisée est le questionnaire.

questionnaire est défini comme étant une suite des propositions ayant une certaine forme et un certain ordre sur lesquels on sollicite l'avis, les jugements et l'évaluation du sujet interrogé.

D'après petit robert (1986, p.1580) définit « le questionnaire est une série des questions méthodiquement posées en vue d'une enquête ». Nous appuyons la définition de Petit Robert.

? Ouvertes : Celles qui laissent au sujet la liberté de structurer lui-même la question qui lui est posée et cela dans son propre langage ou style. ? Fermées : Celles qui définissent d'avance les réponses possibles a la question, d'où le sujet est contraint de choisir la réponse qui lui parait appropriées, sans jamais user d'aller hors se la tangente. C'est le cas des questions dichotomiques : c'est-à-dire a réponse du type vrai ou faux ; pour ou contre ; oui ou non et les questions a choix multiples.

? Mixtes : celles qui combinent les deux formes précédemment expliquées. Dans cette dernière catégorie, le sujet est d'abord invite a opérer un choix parmi les possibilités qui lui sont offertes ; puis il est dans l'obligation de justifier le pourquoi de son choix.

Nous avons recouru aux questions fermées car celles-ci permettent une facilite ou une rapidité dans son exécution, dans son exploitation et dans son dépouillement.

2.3.1.2. Présentation et dépouillement du questionnaire

Notre questionnaire est une série de 25 questions qui reprennent les faits qui sont souvent retenus comme causes des échecs scolaires.

1, 2, 3, 4,7, 8,10, 12, 14,15, 16, 5, 6, 9, 11, 13, 17, 18, 21, 22, 24 ,25 19, 20, 23

Pour le pré enquête, nous étions passé dans des différentes écoles qui constituent notre population d'étude, nous avions vérifié dans le palmarès des résultats de ces écoles. Voici les résultats que nous avions reçus dans un tableau et qui nous présente le pourcentage de l'échec scolaire dans les écoles secondaires de Lukanga.

N°	*ECOLES PARTICIPANTS REUSSITE*			*ECHEC*	%
1	IL	487	359	128	26
2	I TL	286	229	57	20
3	I M	513	301	212	41.3
4	I MW	140	100	40	29
5	IK	80	53	27	34
	Tot.	1506	1117	389	31

Commentaire : cet tableau ci-haut représente le total des élèves qui ont participé aux examens dans chaque école qui constituent la partie de nos enquêtés, dont on a ; l'institut de Lukanga ou nous avons 487 participants, 359 réussite et 128 d'échec soit 26%, institut technique de Lukanga, nous avons 286 participants, 57 réussite soit 20% d'échec, institut Menge nous avons 513 participants, 301 réussite et 212 soit 41% échec , institut Mwikya nous avons 140 participants, 100 réussite et 40 soit 29% d'échec, institut Kampala nous avons 80 participants, 53 réussite 27 soit 34 % d'échec.

2.3.2.3. Technique d'analyse des données

Pour nous, il est question de vérifier l'opinion des enseignants face aux échecs de leurs élèves et les différentes variables retenues. Quant à ce qui concerne l'analyse des données, nous allons faire usage à l'analyse de contenu, au calcul du pourcentage et au test de Chi-carrée.

Fij : Fréquence observée dans la cellule au croisement de la ligne « i » ou Fo. F'ij ou Fe : Fréquence théorique de la cellule au croisement de la ligne i et la colonne j

Deux formules sont importantes : celle de la détermination des fréquences théoriques et celle du X² proprement dit. Nous les reprenons respectivement ci-après,

CHAPITRE TROISIEME

PRESENTATION, ANALYSE ET INTERPRETATION DES RESULTATS

3.1. Introduction

Notre étude est intitulée : «opinions des enseignants des écoles secondaires de Lukanga face à l'échec scolaire ».

La préoccupation majeure était de vouloir déterminer les explications que les enseignants des écoles secondaires de la vallée de Lukanga, donnent par rapport à l'échec scolaire qu'ils expérimentent dans la vie scolaire des élèves qu'ils enseignent. Nous avons avions pensé : Les enseignants expliqueraient les échecs des élèves par des causes externes, l'opinion des enseignants varierait selon nos variables prises en considération à savoir : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion, les explications internes et externes des échecs des élèves par les enseignants varieraient selon nos variables prises en considération : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion.

1. Déterminer les explications que les enseignants avancent concernant les échecs des élèves.

Notre travail présente un intérêt sur deux plans : théorique et pratique. Sur le plan théorique, il apportera une modeste contribution dans le monde scientifique, en relevant la manière dont les enseignants des écoles secondaires de Lukanga expliquent l'échec scolaire de leurs élèves. Sur le plan pratique, il stimulera des interventions psychopédagogiques et psychosociologiques qui peuvent permettre d'améliorer les conduites scolaires et les résultats des élèves.

Le milieu d'étude considéré, c'est la vallée de Lukanga dont nous avons l'institut de Lukanga, l'institut Technique de Lukanga, l'institut Menge, l'institut Mwikya et l'institut Kampala. Ces écoles citées renferment 100 enseignants 23 à l'institut de Lukanga, 20 à l'institut technique de Lukanga, 40 à l'institut Menge, 12 à l'institut Mwikya et 5 à l'institut Kampala. A cela comme notre population est finie nous avions jugé mieux de travailler directement avec toute la population.

3.2. Présentation, analyse et interprétation des résultats

Comme signalé ci haut, il s'agit d'une étude des opinions des enseignants face à l'échec scolaires à l'école secondaire. Cinq variables on été prises en considération. Il s'agit : du sexe, ancienneté, Etat civil, niveau d'étude, régime de gestion. Dans le deuxième point, nous relevons, les différentes opinions des enseignants face à l'échec

scolaire selon les différents causes d'échecs selon l'ordre d'importance dans la répartition des nos cinq écoles.

3. 2.1. Réponses des enseignants sans tenir compte des variables

Le tableau ci-dessous présente l'opinion des enseignants de la vallée de Lukanga dans la globalité (sans tenir compte de variables)

*ITEMS*	*OUI*	*NON*	*TOTAL*
1.	92	8	100
2.	83	17	100
3.	89	11	100
4.	87	13	100
5.	51	49	100
6.	64	36	100
7.	79	21	100
8.	72	28	100
9.	32	68	100
10.	46	54	100
11.	54	46	100
12.	58	42	100
13.	72	28	100
14.	54	46	100
15.	72	28	100
16.	46	54	100
17.	43	57	100
18.	79	21	100
19.	70	30	100
20.	54	46	100
21.	44	56	100
22.	77	23	100
23.	84	16	100
24.	65	35	100
25.	81	19	100
Tot.	1648	852	2500

Commentaire: ce tableau ci haut révèle l'opinion générales des professeurs ; sur un total de 2500 réponses cochées par les enseignants en général, nous avons 1648 réponses des enseignants qui ont été d'accord soit 65.2% c.à.d. les enseignants disent ne pas être à la base des échecs des élèves et 852 ou soit 34.8% en désaccord c.à.d. les enseignants acceptent être à la base des échecs des élèves.

En appliquant le test khi-carré, le khi-carré calculé est de 301, P value est de 0.0000001. Cette dernière étant inférieure au seuil de 0.05, le test se révèle significatif. Ainsi, nous rejetons l'hypothèse nulle à faveur de l'hypothèse alternative selon laquelle les enseignants expliqueraient les échecs des élèves par des causes externes.

3.2.2. Présentation de l'opinion des enseignants selon les variables.

Au niveau de cette partie, nous allons présenter l'opinion des enseignants selon la variable la variable sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion.

Commentaire : Ce tableau ci-dessus donne les opinions des enseignants selon la variable sexe. D'une manière générale, sur 2500 réponses, nous avons 169O réponses soit 67.6% justifient que l'échec est dû aux élèves et 810 réponses soit 32.4% les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 2025 réponses coché par les enseignants en sexe masculin, ils ont coché 1352 réponses soit 66.7% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 673 réponses qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves. Quant aux enseignants du sexe féminin, elles ont coché 338 items soit 71.2% sur 475 réponses qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 137 réponses soit 28.8% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 3.389. Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critiques donne 3.84. Le khi-carré calculé 3.389 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif et nous acceptons l'Ho selon laquelle il n'existe donc pas une différence significative entre les opinions des enseignants du sexe masculin et les enseignants du sexe féminin quant à l'explication des échecs scolaires par des causes externes.

Commentaire : ce tableau ci-dessus donne les opinions des enseignants selon la variable ancienneté des enseignants ; D'une manière générale, sur 2500 réponses soit le 100%, nous avons 1676 réponses soit 67% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 824 réponses soit 32.4% les enseignants s'attribuent l'échec des élèves. Sur un total de 1603 réponses soit le 100% coché par les enseignants anciens, ils ont coché 1076 réponses soit 67.12% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 527 réponses soit 32.87 qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves. Quant aux nouveau nous avons sur un total de 897 réponses soit le 100%, ils ont coché 600 réponses soit 67% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 297 soit 33% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves..

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 0.01431 au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critiques donne 3.84, Le khi-carré calculé est de 0.01431 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif. Nous acceptons notre Ho selon laquelle, il n'existe donc pas, une différence significative entre les opinions des nouveaux enseignants et celui des anciens enseignants quant à l'explication des échecs scolaires par des causes externes.

Commentaire : ce tableau ci haut donne les opinions des enseignants selon la variable état civil. . D'une manière générale Sur un total de 2500 réponses coché par les enseignants soit le 100%,, nous avons 1591 réponses soit 63.6% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 856 réponses soit 36.4% les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 797 soit le 100% réponses coché par les enseignants célibataires, ils ont coché 501 réponses soit 62.9% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 296 réponses soit 37.1 qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves. Quant aux enseignants mariés, sur un total de 1703 soit le 100%, ils ont coché 1090 réponses soit 64% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves ; contre 613 soit 36% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 0.307 Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 3.84, le khi-carré calculé 0.307 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif et nous acceptons notre Ho selon laquelle il n'existe donc pas une différence significative entre les opinions des enseignants célibataires aux opinions des enseignants mariés quant à l'explication des échecs scolaires par des causes externes.

Commentaire : ce tableau ci haut donne les opinions des enseignants selon la variable niveau

d'étude. D'une manière générale, Sur un total de 2500 réponses coché par les enseignants soit le 100%, 1678 réponses soit 67.1% justifient que l'échec est dû aux élèves et 822 réponses soit 32.9 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Les enseignants diplômés ont coché 1075 réponses soit le 100%, à cela nous avons 742 soit 69% de réponses qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 333 items soit 31 qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves. Quant aux enseignants gradués , ils ont coché en général 1200 réponse soit le 100%, à cela nous avons 796 réponses soit 66.3% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 404 réponses soit 33.7% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves en fin les enseignants licenciés ils ont coché au total 225 soit le 100%, à cela nous avons 140 réponses soit 62% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 85 réponses soit 38% qui s'accordent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves .

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 4.547 Au seuil de 5% avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99. Le khi-carré calculé est de 4.547 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif nous acceptons notre Ho selon laquelle il n'existe pas une différence significatives entre les opinions des enseignants diplômés, les enseignants gradués et les enseignants licenciés quant à l'explication des échecs scolaires par des causes externes.

Commentaire : ce tableau ci haut donne l'opinion des enseignants selon la variable

Régime de gestion. D'une manière générale, sur le 100% des réponses coché par nos enseignants nous avons 1677 réponses soit 67.1% qui justifient que l'échec des élèves est dû aux élèves et 823 réponses soit 32.9% les enseignants s'attribuent l'échec des élèves. Sur un total de 1125 réponses coché par les enseignants du régime de gestion catholique soit le 100%, ils ont coché 752 réponses soit 66.8% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 373 réponses soit 33.2 qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves, Quant aux des enseignants du régime de gestion adventiste, en général ils ont coché 1075 soit le 100%, à cela nous avons 698 réponses soit 65% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 377 réponses soit 35% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire aux élèves, en fin nous avons les enseignants de l'école privée au total ils ont coché 300 réponses soit le 100%, a cela nous avons 227 réponses soit 72.8% expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre qui 73 réponses soit 24% qui s'attribuent la responsabilité de l'échec scolaire des élèves.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 12.29 Au seuil de 5% avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99 le khi-carré calculé est de 12.29 étant supérieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle significatif nous rejetons l'Ho selon laquelle, il existe donc une différence significative entre les opinions des enseignants du régime de gestion catholique aux opinions des enseignants du régime de gestion adventistes et aux enseignants de l'école privée. Hormis les enseignants du régime de gestion adventiste, les enseignants de l'école privée rejettent plus la responsabilité de l'échec aux élèves que les enseignants du régime de gestion catholique et ces derniers plus que les enseignants des écoles du régime de gestion adventiste quant à l'explication des échecs scolaires par des causes externes.

5% avec 1 comme degré de liberté, la table de valeur critique donne 3.84. khi-carré

3.2.3. Liaison variables et explication externes.

Dans cette rubrique, nous voulons comparer les opinions face à l'échec scolaire que les enseignants de la vallée de Lukanga orientent vers l'extérieur et vérifier si ces opinions varient selon nos variables. Il s'agit de voir s'il y a liaison entre les opinions externes des enseignants à propos des échecs des élèves et les différents variables retenues dans notre étude : sexe, ancienneté ; état civil, niveau d'étude, régime de gestion.

Selon les analyses précédentes, il se dégage que les explications externes étaient 1400 soit 56% contre 1100 soit 44%, d'où la nécessité de vérifier la liaison qu'il y a entre l'explication externe et différentes variables retenues.

Commentaire : Ce tableau représente les explications externes des enseignants. Sur un total de 1400 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, D'une manière générale nous avons 986 réponses soit 70% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 414 réponses soit 30% qui justifient la part des enseignants dans les échecs des élèves.

Sur un total de 1134 réponses soit le 100%, les enseignants du sexe masculin ont coché 786 réponses soit 66.4% qui expliquent que l'échec des élèves est attribué aux élèves contre 348 réponses soit 33.6% qui expliquent que les élèves ne sont pas à la base de leurs échecs. Quant aux enseignants du sexe féminin, avec un total de 266 réponses soit le 100%, elles ont coché 200 réponses soit 75.2% qui expliquent que les élèves sont à la base de leurs échecs contre 66 soit 24.8% qui expliquent la part des enseignants dans les échecs de ces derniers.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 3.572. Au seuil de

calculé 3.572 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif. Nous acceptons notre Ho selon laquelle, il n'existe donc pas une différence significative entre l'opinion des enseignants du sexe masculin et enseignants du sexe féminin quant à l'explication des échecs scolaires des élèves.

Commentaire : Ce tableau représente les opinions des enseignants en explication externe des causes des échecs scolaire selon la variable ancienneté. Sur un total de 1400 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, D'une manière générale nous avons 986 réponses soit 70% expliquent que l'échec scolaire est due aux élèves et 414 réponses soit en 30% est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves.

Ainsi, sur un total de 392 réponses soit le 100%, les nouveaux enseignants ont coché 288 réponses soit 73.5% qui expliquent que l'échec est dû aux élèves, contre 104 réponses soit 26.5% qui expliquent la part des enseignants dans l'échec scolaire. Quant aux anciens enseignants avec un total de 1008 réponses soit le 100%, ils ont coché 698 réponses soit 69.3% qui expliquent la part l des élèves dans leur échec contre 310 réponses soit 30.7% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 2.417 Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 3.84. Le khi-carré calculé 2.417 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle être non significatif nous acceptons l'Ho selon laquelle il n'existe donc pas une différence significative entre les opinions en externalité des enseignants nouveaux aux enseignants anciens quant à l'explication externe des causes des échecs scolaire.

Commentaire : D'une manière générale, Sur un total de 1400 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, nous avons 976 réponses soit 69.7% expliquent que l'échec est dû aux élèves et 428 réponses soit 30% la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Les Enseignants célibataires ont coché au total 434 réponses soit le 100%. Nous avons 309 réponses soit 71.2% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 129 réponses soit 28.8% la part des enseignants dans l'échec des élèves. Quant aux enseignants mariés, au total ils ont coché 966 soit 100%, ils ont coché 667 réponses soit 69.1% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 299 soit 30.9% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calcul est de 1.51 Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 3.84. Le khi-carré calculé 1.51 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle être non significatif et bien nous acceptons notre Ho, selon laquelle il n'existe pas une différence significative entre les opinions en externalité des enseignants célibataires et les enseignants marié quant à l'explication externes des causes échecs scolaires.

Commentaire : ce tableau ci-dessus donne les explications des enseignants en cause externe selon la variable niveau d'étude. D'une manière générale, Sur un total de 1400 réponses coché par les enseignants soit le 100%, nous avons 986 réponses soit 70 justifient que l'échec est due aux élèves et 414 réponses soit 30% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves.

Les enseignants diplômés ont coché 602 réponses soit le 100%, à cela nous avons 398 soit 66.1% de réponses qui expliquent que l'échec des élèves est due aux élèves contre 204 réponses soit 33.9 qui est

la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves. Quant aux enseignants gradués , ils ont coché en général 672 réponse soit le 100%, à cela nous avons 497 réponses soit 74% qui expliquent que l'échec des élèves est due aux élèves contre 175 réponses soit 26% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves; en fin les enseignants licenciés ils ont coché au total 126 soit le 100%, à cela nous avons 91 réponses soit 72.2% qui expliquent que l'échec est due aux élèves contre 35 réponses soit 27.8% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 9.598 Au seuil de 5% avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99, .le khi-carré calculé 9.598 étant supérieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle significatif nous acceptons notre hypothèse nulle selon laquelle il n'existe donc pas, une Différence significatif entre les opinions des enseignants diplômé, des celles des enseignants gradué et celles-ci différent aux opinions des enseignants licencié quant à l'explication externes des causes échecs scolaires des élèves.

Explications externes des échecs par les enseignants selon le régime de gestion

Commentaire : ce tableau ci-dessus nous présentons les explications externes des enseignants en externalité selon la variable régime de gestion. En général sur un total de 1400 items coché par les enseignants soit le 100%,, d'une manière générale, nous avons 980 réponses soit 70% les enseignants expliquent que l'échec est due aux élèves contre et 420 réponses soit 30% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves

Sur un total de 630 réponses coché par les enseignants du régime de gestion catholique soit le 100%, ils ont coché 443 réponses soit 62% qui expliquent que l'échec est due aux élèves contre 187 réponses soit 38 % qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves., Quant aux enseignants du régime de gestion adventiste, en général ils ont coché 602 réponses soit le 100%, à cela nous avons 416 réponses soit 60,7% qui expliquent que l'échec des élèves est due aux élèves contre 186 réponses soit 39,3% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves., en fin nous avons les enseignants de l'école privée au total ils ont coché 168 réponses soit le 100%, a cela nous avons 121 réponses soit 69 ,5% qui expliquent que l'échec est dû aux élèves contre 47 réponses soit30 ,5% qui est la part des enseignants dans l'échec scolaire des élèves.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 0,5886 Au seuil de 5% avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99, le khi-carré calculé 5.931 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif, nous acceptons l'Ho selon laquelle il n'existe donc pas une différence significative entre les opinions en externalité des enseignants du régime de gestion catholique en externalité aux opinions des enseignants du régime de gestion adventistes et aux enseignants de l'école privée quant à l'explication externe des échecs scolaires.

3.2.3.2. Liaison variables et explications internes

Dans cette rubrique, nous voulons comparer les opinions face à l'échec scolaire que les enseignants de la vallée de Lukanga orientent vers l'intérieur ou vers eux même varient selon nos variables ; il s'agit de voir s'il y a liaison entre les opinions internes des enseignants à propos des échecs des élèves et les différents variables retenues dans notre étude : sexe, ancienneté ; état civil, niveau d'étude, régime de gestion.

Selon les analyses précédentes, il se dégage que les réponses internes était 1100 soit 44% d'où la nécessité de vérifier la liaison qu'il y a entre le modèle d'attribution externe et différentes variables retenues. Ainsi y allons variable après variable :

Commentaire : Ce tableau représente les explications internes des enseignants selon la variable sexe. Sur un total de 1100 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, d'une manière générale nous avons 692 réponses soit 63% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 408 réponses soit 37 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 891 réponses soit le 100%, les enseignants en sexe masculin ont coché 565 réponses soit 63.3% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 326 réponses soit 36.7% la part des enseignants dans l'échec scolaire. Quant aux enseignants du sexe féminin, avec un total de 209 réponses soit le 100%, elles ont coché 127 réponses soit 60.8% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 82 soit 39.2% la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 0.5081. Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critiques donne 3.84. Le khi-carré calculé 3.572 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif, alors nous acceptons notre Ho selon laquelle il n'existe pas une différence significative entre les opinions des enseignants du sexe masculin et celles des enseignants du sexe féminin quant à l'explication interne des causes des échecs scolaires.

Explications internes des échecs par les enseignants selon la variable ancienneté

Commentaire : Ce tableau représente les explications internes des enseignants selon la variable

ancienneté. Sur un total de 1100 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, d'une manière générale nous avons 692 réponses soit 63% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 408 réponses soit 37 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 308 réponses soit le 100%, les nouveaux enseignants ont coché 212 réponses soit 69% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 96 réponses soit 31% la part des enseignants dans l'échec scolaire. Quant aux anciens enseignants avec un total de 792 réponses soit le 100%, ils ont coché 480 réponses soit 60.6% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 312 soit 39.4% la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 6.43. Au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critiques donne 3.84. Le khi-carré calculé 6.43 étant supérieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle significatif, nous rejetons l'hypothèse nulle en faveur de l'hypothèse alternative selon laquelle il existe donc une différence significative entre les opinions des enseignants en ancienneté, les nouveaux se culpabilisent plus que les anciens quant à l'explication interne des causes des échecs scolaires.

Explications internes des échecs par les enseignants selon la variable état civil

Commentaire : Ce tableau représente les explications internes des enseignants selon la variable Etat civil. Sur un total de 1100 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, d'une manière générale nous avons 692 réponses soit 63% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 408 réponses soit 37 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 341 réponses soit le 100%, les enseignants célibataires ont coché 213 réponses soit 62.5% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 128 réponses soit 37.5% la part des enseignants dans l'échec scolaire. Quant aux enseignants marié avec un total de 759 réponses soit le 100%, ils ont coché 479 réponses soit 63% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 280 soit 37% la part des enseignants dans l'échec scolaire

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé est de 0.04208 au seuil de 5% avec 1 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 3.84. Le khi-carré calculé 0.04208 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif, nous acceptons notre Ho selon laquelle, il n'existe pas une différence significative entre les opinions des enseignants célibataires et les enseignants mariés quant à l'explication interne des causes des échecs scolaires.

Explications internes des échecs par les enseignants selon le niveau d'étude

Commentaire : Ce tableau représente les explications internes des enseignants selon la variable niveau d'étude. Sur un total de 1100 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, d'une manière générale nous avons 692 réponses soit 62.9% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 408 réponses soit 37.1 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 473réponses soit le 100%, les enseignants diplômé ont coché 473 réponses soit 65.2% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 165 réponses soit 34.8%

avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99, le khi-carré

la part des enseignants dans l'échec scolaire, les enseignants gradués avec un total de 528 réponses soit le 100%, ils ont coché 330 réponses soit 62.5% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 198 soit 37.5% la part des enseignants dans l'échec scolaire et en fin les enseignants licenciés Sur un total de 99 réponses soit le 100%, les enseignants licencié ont coché 54 réponses soit 54.6% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 45 réponses soit 45.4% la part des enseignants dans l'échec scolaire.

Nous servant du test khi-carré, le khi-carré calculé de 3.993Au seuil de 5% avec 2 comme degré de liberté, la table des valeurs critique donne 5.99, .le khi-carré calculé 3.993 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif. Il existe donc, pas une différence significative entre les opinions des enseignants diplômés, des enseignants gradués et les enseignants licenciés quant à l'explication n'interne des causes des échecs scolaires

Explications internes des échecs par les enseignants selon le régime de gestion

Commentaire : Ce tableau représente les explications internes des enseignants selon la variable régime de gestion. Sur un total de 1100 réponses cochées par les enseignants soit le 100%, d'une manière générale nous avons 691 réponses soit 62.2% qui justifient que l'échec est dû aux élèves et 416 réponses soit 37.8 les enseignants s'attribuent l'échec des élèves.

Sur un total de 495 réponses soit le 100%, les enseignants du régime de gestion catholique ont coché 495 réponses soit 62.2% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 188 réponses soit 37.8% la part des enseignants dans l'échec scolaire, les enseignants du régime de gestion Adventiste avec un total de 473 réponses soit le 100%, ils ont coché 282 réponses soit 59.6% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 191 soit 40.3% la part des enseignants dans l'échec scolaire et en fin les enseignants de l'école privée sur un total de 138 réponses soit le 100%, ils ont coché 101 réponses soit 73.6% qui expliquent que les élèves sont responsables de leurs échecs contre 37 réponses soit 26.8% la part des enseignants dans l'échec scolaire.

calculé 5.931 étant inférieur au khi-carré tabulaire, le test se révèle non significatif, nous acceptons l'Ho selon laquelle il n'existe donc pas une différence significative entre les opinions des enseignants selon la variable du régime de gestion quant à l'explication interne des causes des échecs scolaires.

3.2.4. Causes d'échecs scolaires selon l'ordre d'importance

Nous voulons vérifier lequel des items du questionnaire a été la plus retenu par les enseignants ou en d'autres termes, l'item qui à été considéré plus comme cause d'échecs par nos sujets jusqu'à celui qui est moins retenu. Pour bien appréhender ces fréquences, nous les avons scindées en deux blocs : explication externe et explication interne.

3.2.4.1. Fréquences des explications Externes

Concernant cette partie, nous voulons parler des explications externes avancées par les enseignants.

9 le manque transparence dans la gestion des ressources
financière par le chef d'établissement peut entrainer l'échec scolaire des élèves

14 les élèves échouent à cause de la tromperie concernant
l'achat des diplômes

Commentaire : ce tableau, présente la façon dont les enseignants des écoles secondaires de la vallée de Lukanga ont coché les causes des échecs scolaires liées aux facteurs externes. De toutes les causes retenues, la cause qui à été la plus pointée à été « l'échec scolaire peut être dû à la mal orientation des élèves » avec 92 fréquence soit 9.33% du total de 986 fréquence, celle-ci est suivie de « nous constatons la manque d'intérêt aux études chez les élèves », avec 89 fréquence soit 9.03 % ;

« les élèves aiment la facilité de vie qui leur pousse à ne pas étudier » avec 87 fréquences soit 8,9% et la mauvaise compagnie peut être à la base des échecs des élèves avec 84 fréquence soit 8,52%.

3.2.4.2. Fréquences des explications internes

Concernant cette partie, nous voulons parler des attributions internes des opinions des enseignants.

Commentaire : ce tableau, présente le faon dont les enseignants des écoles secondaires de la vallée de Lukanga ont coché les causes des échecs scolaire des élèves liées aux explications internes donc liées eux même ou aux autres facteurs. De toute les causes retenues, les quatre premières causes qui ont été plus pointées suivent « le manque de la conscience professionnelle » avec 81 fréquence soit 11.70% du total de 692 fréquence, celle-ci est suivie de «l'usage des anciens documents», avec 79 fréquence soit 11.4 % ; le monnayage des points avec 77 fréquences soit 11,1% et en fin enseigner sans avoir préparé la leçon avec 74 fréquences soit 10.7%

De tous les tableaux résumés ci haut, les enseignants ont plus accusé chez les élèves une mal orientation aux études et la manque d'intérêt aux études par les élèves. Et à ce qui concerne leur part de responsabilité, ils ont relevé plus le manque de conscience professionnelle suivi de l'usage des anciens documents.

3.2.5. Fréquences des autres causes relevées par les enseignants

Nous avions ajouté une rubrique concernant d'autres causes qu'ils ont par rapport aux échecs des élèves. Ces causes étaient sur le plan administratif, financier et matériel. Pour les autres causes au niveau du plan administratif et financier sur un total de 100 sujets nous avons 75 sujets qui ont répondu et sur le plan matériel nous avons 60 sujets qui ont répondu.

N°	SUR LE PLAN ADMINISTRATIF	FREQUENCE	%
1	Désintéressement de la direction en cas de maladie des élèves	9	12
2	Renforcer le SERNAFOR,	8	10.6
3	Pas de contrôle des enseignants,	7	9.3
4	La non réglementation des droits et devoirs de chacun,	6	8
5	L'administration ne travail pas avec intégrité,	6	8
6 7	Les agents du centre de la correction des examens d'Etat n'ont pas de conscience professionnelle, La mauvaise gestion du personnel,	7 4	9.3 5.3
8	Le non motivation des élèves,	3	4
9	Poste donné suite aux liens familiaux,	6	8
10	Le laissez aller des élèves par les administratifs,	5	6,7
11	Le manque de collaboration entre les ouvriers,	3	4
12	Le non contrôle des enseignants, l'irrégularité à l'école,	4	5, 3
13	L'étude en groupe, incompétence des enseignants,	3	4
14	Pas de programme précis est qui est o la une,	3	4
15	Les chefs ne collaborent pas avec les agents de la	2	2,66
Tot.	SECOPE,	75	100

Commentaire : ce tableau représente les autres opinions des enseignants sur le plan administratif, les enseignants ont plus relevé le désintéressement de la direction en cas de maladie des élèves avec une fréquence de 9 personnes soit en 12% , renforcer le SERNAFOR avec une fréquence de 8 soit 10.6%, Pas de contrôle des enseignants avec une fréquence de 7 soit 9.3% , enfin, la non réglementation des droits et devoirs de chacun avec une fréquence de 6 soit 8%.

N°	SUR LE PLAN FINANCIER	FREQUENCE	%
1	L'insolvabilité des parents	20	26,6
2	L'insuffisance des moyens des parents,	14	18,6
3	Le non transparence dans la gestion des frais scolaire	10	13.3
4	L'enseignant n'est pas bien payé,	9	12
5	La réception reculée des salaires,	7	9,3
7	La perception de l'argent se fait difficilement,	6	8
8 9 Tot.	Le non avertissement de la date de refoulement des élèves, les moyens des enseignants sont limités pour faire la recherche,	5 4 75	6 ,6 5,3 100

Commentaire : ce tableau représente les autres opinions des enseignants sur le plan financier, l'insolvabilité chez les parents avec une fréquences de 20 personne soit en 26,6%, L'insuffisance des moyens des parents avec une fréquence de 14 soit 18,6%, la non transparence dans la gestion des frais scolaires avec une fréquence de 10 soit 13,3% et enfin, nous avons l'enseignant n'est pas bien payé avec une fréquence de 9 soit 12%.

N°	sur le plan matériel	FREQUENCE	%
1	Insuffisance des matériels didactiques,	12	20
2	Mauvaise utilisation des matériels didactique,	9	15
3 4 5 6 7 8	Le manque des manuels et l'internet au niveau de l'école, Le non équipement continuel des matériels pédagogiques et de facilitation des études, Suite aux manques des manuels dans les écoles le gouvernement doit prendre les choses aux sérieux en remplissant complètement leurs devoirs envers les écoles, Il faut une bibliothèque disponible dans les écoles et il faut initier les élèves à la lecture des livres, Les matériels didactiques non adaptés à l'enseignement des certains leçons, Manque des outils de formation ou pour enseigner,	8 7 5 5 5 3	13,3 11,6 8,3 8,3 8,3 5
9	Manque des outils de la pratique,	3	5
10	Le manque des objets classique,	2	3,3
11	Le manque du programme national,	1	1,6
Tot.	-	60	100

Commentaire : ce tableau représente les autres opinions des enseignants sur le plan matériel, les enseignants ont plus relevé l'insuffisance des matériels didactique avec une fréquence de 12 soit en 20% , Mauvaise utilisation des matériels didactiques avec 9 fréquences soit 15%, Le manque des manuels et l'internet au niveau de l'école avec une fréquence de 8 soit 13.3% et enfin, nous avons le non équipement continuel des matériels pédagogiques et de facilitation des études avec 7 fréquences soit 11,6.

CONCLUSION PARTIELLE

A part, les explications internes et externes, nous avons aussi d'autres causes retenues par nos enseignants concernant les causes des échecs des élèves. Il s'agit de : du désintéressement de la direction en cas de maladie des élèves, le non renforcement du SERNAFOR, pas de contrôle des enseignants, la non réglementation des droits et devoirs de chacun, l'insolvabilité chez les parents, l'insuffisance des moyens des parents, la non transparence dans la gestion des frais scolaires, l'enseignant n'est pas bien payé, l'insuffisance des matériels didactiques, mauvaise utilisation des matériels didactiques, le manque des manuels et l'internet au niveau de l'école et enfin, nous avons le non équipement continuel des matériels pédagogiques et de facilitation des études.

CONCLUSION ET SUGGESTIONS

Conclusion

Tout au long de ce travail, nous avons traité le sujet : « opinions des enseignants des écoles secondaires de Lukanga face à l'échec scolaire des élèves » cas des instituts de la vallée de Lukanga. Nous avions comme préoccupation majeure de répondre à ces questions : Quelles sont les opinions des enseignants face à l'échec scolaire ? Les enseignants expliqueraient ils les échecs par des causes internes? L'opinion des enseignants varierait elles selon nos variables prises en considération ? Y a-t-il une liaison entre les opinions des enseignants et les explications externes ou externes?

Notre étude était centrée dans cinq écoles secondaires de Lukanga, qui sont : Institut de Lukanga, institut technique de Lukanga, institut Menge, institut Mwikya,

Institut Kampala pour l'année 2014-2015, les quelles avaient un effectif de 115 enseignants et avons travaillé avec 100 enseignants pour dire que la mortalité échantillonale est de 15. Notre échantillon est constitué de 77 enseignants du sexe masculin et 23 enseignants du sexe féminin. Nous avons travaillé avec un échantillon exhaustif. Dans l'interprétation et analyse des résultats nous avions utilisé le test khi-carré.

Notre première hypothèse qui stipulait que Les enseignants expliqueraient les échecs des élèves par des causes externes été confirmée. P value est de 0.0000001étant inférieur au seuil de 0.05, le test se révèle significatif, de ce fait les opinions des enseignants ont été externes, donc ils ont expliqué que l'échec des élèves est dû aux élèves eux-mêmes.

Notre deuxième hypothèse stipulait que l'opinion des enseignants varierait selon nos variables prises en considération à savoir : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion : Au niveau des variables sexe, ancienneté, état civil et niveau d'étude le test a été non significatif, Donc l'hypothèse a été infirmée; l'hypothèse a été confirmée au niveau de la variable régime de gestion où le test s'est révélé significatif donc Hormis les enseignants du régime de gestion adventiste, les enseignants de l'école privée rejettent plus la responsabilité de l'échec aux élèves que les enseignants du régime de gestion catholique et ces derniers plus que les enseignants des écoles du régime de gestion adventiste quant à l'explication des échecs.

Notre troisième hypothèse stipulait que Les explications externes et internes des échecs des élèves par les enseignants varieraient selon nos variables prises en considération : le sexe, ancienneté, état civil, niveau d'étude et régime de gestion :

- Pour les explications externes au niveau des variables sexe, ancienneté, état civil et régime de gestion le test a été non significatif, Donc l'hypothèse a été infirmée; l'hypothèse a été confirmée au niveau de la variable niveau d'étude où le test s'est révélé significatif ainsi les enseignants présentent plus les explication.

- Pour les explications internes au niveau des variables sexe, état civil, niveau d'étude et régime de gestion le test a été non significatif, donc l'hypothèse a été infirmée; l'hypothèse a été confirmée au niveau de la variable ancienneté où le test s'est révélé significatif.

Voulant vérifier les causes des échecs les plus retenues par les enseignants, il se fait voir que dans les explications externes des échecs scolaires, les enseignants soulignent en premier lieu que l'échec scolaire peut être dû à la mal orientation des élèves ensuite le manque d'intérêt aux études chez les élèves, les élèves aiment la facilité de vie qui leur pousse à ne pas étudier, la mauvaise compagnie peut être à la base des échecs des élèves, les enseignants ne sont pas bien payés par le gouvernement, les parents ne paient pas au moment opportun les frais scolaires, les élèves de notre école sont têtus, le critère de la correction des items aux examens d'état à la base (Kinshasa) peut entrainer l'échec scolaire, le manque transparence dans la gestion des ressources financière par le chef d'établissement peut entrainer l'échec scolaire des élèves, le programme surchargé des cours peut être à la base de l'échec scolaire, l'échec peut être dû à la tricherie exagérée des élèves, enseigner sans avoir préparé la leçon peut occasionner l'échec des élèves, les élèves de notre

institution se fient aux cours d'option seulement, les élèves échouent à cause de la tromperie concernant l'achat des diplômes.

En vérifiant aussi les explications internes, les enseignants soulignent en premier lieu que les élèves échouent à cause des conflits entre le professeur et l'élève, la discipline légère est à la base de l'échec des élèves, il ya un excès de punition au sein des écoles qui est à la base de l'échec scolaire, la discipline légère est à la base de échecs des élèves, le manque des documents pour l'actualisation de la matière est à la base des échecs, le manque de l'internet à la disposition des enseignants augmentent le taux de l'échec scolaire, l'usage des anciens documents est à la base des échecs scolaire, enseigner sans avoir préparé la leçon occasionne l'échec des élèves, le monnayage des points est à la base des échecs des élèves, la mystification de certains cours entraine l'échec scolaire des élèves, le manque de la conscience professionnelle peut est à la base des échecs élèves.

Suite au résultat trouvé ci haut, nous suggérons aux chefs d'établissement et aux enseignants les suggestions suivantes :

? Nous souhaiterions l'implantation du service d'orientation des élèves pour
dimunier le taux des échecs scolaires ;

? La formation des enseignants avec utilisation de procédé du centre d'intérêt,
donc il faut qu'ils rendent leur enseignement intéressant ;

? Nous suggérons au gouvernement de bien s'occuper du payement des
enseignants ;

? Nous demandons aux enseignants de travailler avec la conscience professionnelle.

? Nous demandons aux chefs d'établissements d'acheter des manuels ou des
livres à la disposition des enseignants et des élèves

? Les chefs d'établissement et les enseignants, doivent lutter contre la corruption
sous toutes ses formes.

? En fin nous suggérons aux proviseurs de chaque école, la vérification des
documents des enseignants avant l'enseignement de la leçon du jour.

BIBLIOGRAPHIE

A. Ouvrages

B. Dictionnaires

C. Travaux de fin de cycle

D. COURS

E. WEBOGRAPHIE

1. UNESCO(1998). rapport mondiale de l'éducation. Paris. Consulté le 26/12/2014

2. Kupelesa edumbe omadeke (2008). Les opinions des élèves et des enseignants de masina sur le redoublement scolaire. Kinshasa : I.S.P.R. consulté 05/03/2014.

ANNEXES

Consigne : chers enseignants, nous somme étudiants à l'UNILUK nous menons une recherche sur « l'opinion des enseignants des écoles secondaires de la vallée de Lukanga face à l'échec scolaire ». à cela nous vous recommandons de répondre aux questions posées et que votre réponse soit secrète. A Ces questions à choix multiples, cochez la case qui correspond à votre à votre opinion.

NUM.	QUESTION	OUI	NON
1.	l'échec scolaire peut être dû à la mal orientation des élèves			2.
les enseignants ne sont pas bien payés par le gouvernement			3.
nous constatons le manque d'intérêt aux études chez les élèves			4.
il arrive que les élèves aient l'insuffisance des fournitures scolaires			5.
les élèves peuvent échouer à cause avec les professeurs			6.
la discipline légère peut être à la base de l'échec scolaire			7.
les élèves aiment la facilité de vie			8.
les parents ne paient pas au moment opportun les frais scolaires
9.	L'excès de punition au sein de notre école qui est à la base de l'échec scolaire				10.
les élèves de notre école sont têtus			11.
les enseignants ne se concentrent pas à l'enseignement			12.
les élèves échouent à cause de la tromperie concernant l'achat des diplômes			13.
le manque des documents pour l'actualisation de la matière peut être à la base des échecs			14.
le programme surchargé des cours peut être à la base de l'échec scolaire			15.
l'échec peut être dû à la tricherie exagérée des élèves			16.
les critères de la correction des examens d'état peut entrainer l'échec scolaire			17.
le manque de l'internet à la disposition des enseignants peut augmenter le taux de l'échec scolaire			18.
l'usage des anciens documents peut être à la base des échecs scolaires			19.
les élèves de notre institution se fient aux cours d'option seulement			20.
le manque de transparence dans la gestion des ressources financières par le chef d'établissement peut entrainer l'échec scolaire			21.
enseigner sans avoir préparé la leçon peut occasionner l'échec des élèves			22.
le monnayage des points peut être à la base des échecs des élèves			23.
la mauvaise compagnie peut être à la base des échecs des élèves			24.
la mystification de certains cours peut entrainer l'échec scolaire des élèves			25.
le manque de la conscience professionnelle peut être à la base des échecs scolaires

A part ces opinions précitées, donnez deux ou trois causes que vous estimez être aussi à la base des échecs scolaires dans les domaines ci-après:

Opinion des enseignants des écoles secondaires de Lukanga face à l'échec scolaire.

DEDICACE