WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

à‰valuation de l'environnement de l'investissement et efficacité de la politique économique au Cameroun.

( Télécharger le fichier original )
par Guy YAKANA YOMBI
Université de Yaounde 2 - Soa - Master 2 professionnel en intelligence économique, innovation, entrepreneuriat et développement de PME  2015
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

Conclusion générale

L'actualité économique nationale s'est beaucoup focalisée ces dernièresannées sur le l'environnement de l'investissement au Cameroun. En initiant cette recherche ausujet de l'évaluation de l'environnement de l'investissement et efficacité de la politique économique au Cameroun, nous avons vouluparticiper à notre manière à ce débat d'intérêt national.

Avant l'avènement du DSCE en 2009, plusieurs actions isolées ont étéréalisées pour améliorer l'environnement de l'investissement mais les résultats ont été mitigés. Avec le DSCE, nous avons assister à l'adoption d'une stratégie de développement à moyen terme dont l'un des axes stratégiques est l'amélioration significative de l'investissement. En effet, ce référentiel de la politique économique de la nation décline des actions stratégiques de divers ordres axées notamment sur la modernisation de l'appareil de production, le développement du capital humain, le renforcement de la lutte contre la corruption, le développement des infrastructures, ...

A mis parcours de la mise en oeuvre, de nombreusesactions inscrites au titre de cette stratégie sont encore en cours deconcrétisationet le manque de cohérence dans la conduite des activités nesemble pas favoriser l'évolution de la situation. La conséquence immédiate est la mauvaise opinion que se font les responsables des entreprises en activité au Cameroun de l'environnement de l'investissement avec pour conséquence la faible participation du secteur privé au développement économique du Cameroun. Cet état de chose est conforter par les positions occupées par le Cameroun ces cinq dernières années dans les classements du Global Competitiveness Report du World Economic Forum et du Doing Business de la Banque mondiale.

Tout en admettant des imperfections inhérentes à tout ouvrage humain, ilest nécessaire pour nous de relativiser nos différentes conclusions.Toutefois, nous pensons que l'Etat du Cameroun devra adopter de meilleuresthérapeutiques pour insuffler une nouvelle dynamique aux diverses mesures d'amélioration de l'environnement de l'investissement. Dans cette démarche, debonnes perspectives s'offrent au secteur privé qui se doit de jouer sapartition afin que le Cameroun enregistre une forte croissance qui profitelargement aux pauvres et conduit le pays vers l'émergence envisagée à l'horizon 2035.

Bibliographie

Ø Ansoff, H. I., & McDonnell, E. J. (1990). Implanting strategic management (Vol. 2). New York: Prentice Hall.

Ø Ansoff, H. I., Eppink, J. Et Gomer, H. (1979), "Management of strategic surprise and discontinuity: problem of managerial decisiveness", Economies et Sociétés, série Sciences de Gestion, n°1, pp. 459-488.

Ø Astley, W. G., & Van de Ven, A. H. (1983), Central perspectives and debates in organization theory. Administrative science quarterly, 245-273.

Ø Avenier, M. J. (1997). Une conception de l'action stratégique en milieu complexe: la stratégie tâtonnante. La Stratégie chemin faisant, Économica, Paris, 7-36.

Ø Balmisse, G. (2005), Gestion des connaissances outils et application du Knowledge : Management ; Paris - Vuibert ; p. 202

Ø Banque Mondiale (2005), « Un meilleur climat de l'investissement pour tous », Rapport sur le développement dans le monde, Washington.

Ø Banque mondiale (2014), Doing Business 2014

Ø Baudry, B. (2003), Economie de la Firme ; La Découverte.

Ø Bertholet, G (2015), Le petit livre rouge de la création d'entreprise ; Eryolles.

Ø Boyd, B.K., Dess, G.G. Et Rasheed, A.M. (1993), "Divergence between archival and perceptual measures of the environment : causes et consequences", Academy of Management Review, vol. 18, n°2, pp. 204-226.

Ø Cabannes, M. (1998). Les politiques conjoncturelles. A. Colin.

Ø Chabrol, J. B. T., & Von Bertalanffy, L. (1973). Théorie générale des systèmes. Dunod.

Ø Chandler, A. D. (1962). Strategy and structure: Chapters in the history of the American enterprise. Massachusetts Institute of Technology Cambridge.

Ø Chokron, M., & Reix, R. (1987). Planification des systèmes d'information et stratégie d'entreprise. Revue française de gestion, (61), 12-21.

Ø Colbert,F., in Filion, M. et Colbert,F.(1990), Gestion du marketing, Gaëtan Morin Ed., p.11.

Ø Delorme, P. (Ed.). (1990). Théories et pratiques actuelles du management ;Presses de l'Université du Québec.

Ø DiMaggio, P.J. et Powell W.W. (1983), The Iron Cage Revisited : Institutional Isomorphism and Collective Rationality in Organizational Fields, American Sociological Review, 48, 147 - 160

Ø Floricel, S. et Michela, J. L. (2007), Dynamique environnementale, renouvellement stratégique et avantage concurrentiel, XVIème Conférence Internationale de Management Stratégique

Ø Froger, V. (2015), Auto entrepreneur ; Dunod.

Ø Garibaldi, G. (2008), Analyse stratégique ; Eyrolles.

Ø Gnansounou, S. (2006), Facteurs explicatifs de l'investissement des entreprises privées au Benin ; Journées scientifiques du réseau « Analyse Economique et développement »7 et 8 Septembre 2006 - Paris.

Ø Guellec, D. et Ralle P. (2003), Les nouvelles théories de la croissance ; La Découverte.

Ø Guerrien, B. (2000), Dictionnaire de l'analyse économique ; Repères, La Découverte

Ø Hannan, M. T., & Freeman, J. (1977), The population ecology of organizations. American journal of sociology, 929-964.

Ø Helfer,J. P. et Orsoni,J., Marketing, Librairie Vuibert, 1981, p. 100.

Ø Igor Ansoff, H. (1987), Strategic management of technology. Journal of Business Strategy, 7(3), 28-39.

Ø Julien, P.A. et Marchesnay, M. (1987) La petite entreprise, Paris, Vuiber

Ø Kaldor, N. (1971). Conflicts in National Economic Objectives. The Economic Journal, 81(321), 1-16.

Ø Kerjean, A. (2000), Les nouveaux comportements dans l'entreprise ; Les Echos.

Ø Khaled Abdel-kader (2013), ABC de l'économie : Qu'entend-on par politiques structurelles ? ; Finances & Développement, 50(1), 46-47 ; Fonds Monétaire International.

Ø Le Moigne, J. L. (1990). La modélisation des systèmes complexes. Paris: Bordas, Dunod, 1990, 1.

Ø Le Roy, F. (2012). Les stratégies de l'entreprise-4e édition. Dunod.

Ø Lefort, F. (1993), Le pouvoir d'entreprendre ; Les belles lettres.

Ø Lemennicier, B (2008), Economie ; Eryolles.

Ø Lepage, H. (1989), La nouvelle économie industrielle ; Hachette.

Ø Li, M., & Simerly, R. L. (1998). The moderating effect of environmental dynamism on the ownership and performance relationship. Strategic Management Journal, 19(2), 169-179.

Ø Maechesnay, M. (2004), Management stratégique ; édition ADREG

Ø Marchenay, M.(1986), La stratégie, du diagnostic à la décision industrielle, éd. Chotard & Associés.

Ø Meier, O., Missonier, A., & Soparnot, R. (2011). The evolution of the governance model in instances of highly innovative strategic mergers. Corporate Governance: The international journal of business in society, 11(3), 256-273.

Ø Meunier, N. et Sollogoub, T. (2005), Économie du risque pays ; La Découverte.

Ø Meyer, J.W. et Rowan, B., (1977), Institutionalized organizations: formal structure as myth and ceremony, American Journal of Sociology , 83:2, 340-363

Ø Mintzberg, H. (2004), Pouvoir et gouvernement d'entreprise ; Edition d'organisation.

Ø Musgrave,R. A. (1959), Theory of Public Finance, New York, Mc Graw-Hill

Ø Papin, R. (2011), La création d'entreprise, Dunod.

Ø Porter, M. E., & Sudrie, G. (1982). Choix stratégiques et concurrence: techniques d'analyse des secteurs et de la concurrence dans l'industrie (p. 426). Paris: Economica.

Ø Quaden, G. (1990), Politique économique, nouvelle édition, Bruxelles, Labor, p.243.

Ø République du Cameroun (2009), Document de Stratégie pour la Croissance et l'Emploi, Yaoundé

Ø Rothbard Murray (2007), L'homme, l'économie et l'Etat T1-4 ; Charles Coquelin.

Ø Seetanah Boopen et Khadaroo, J. (2009), Le rôle de l'infrastructure de transport dans la capacité d'attirer l'IDE en Afrique ; Economica.

Ø Stiglitz, J. E., Sen, A. K., et Fitoussi, J. P. (2009). Rapport de la Commission sur la mesure des performances économiques et du progrès social.

Ø Tinbergen, J. (1961). Techniques modernes de la politique économique. Dunod.

Ø Tushman, M. L., & Anderson, P. (1986). Technological discontinuities and organizational environments. Administrative science quarterly, 439-465.

Ø Vandercammen, M. (2006). Marketing : l'essentiel pour comprendre, décider, agir. De Boeck Supérieur.

Ø Weick, K.E. (1979), The Social Psychology of Organizing, Mc Graw Hill, 294 p.

Ø World Economic Forum (2014), World Competitiveness Report 2014-2015

Ø World Economic Forum (2015), Africa Competitiveness Report 2015

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots"   Martin Luther King