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Modélisation et implantation d'un logiciel de gestion des ressources humaines. Cas de l'électricité du Congo "EDC/ Tshikapa"

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par Charles MBUYI TUKANDILE
Institut supérieur de commerce Tshikapa RDC - Graduat en gestion information 2011
  

Disponible en mode multipage

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REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE

I.S.C TSHIKAPA

251705344

B.P.150

TSHIKAPA

MODELISATION ET IMPLANTATION D'UN LOGICIEL DE GESTION DE RESSOURCES HUMAINES

CAS DE L'EDC/TSHIKAPA

Charles MBUYI TUKANDILE

Travail de fin de cycle presenté et defendu en vue de l'obtention du Titre de Gradué en Gestion Information.

OPTION: Gestion Informatique

Directeur : Donat Daniel Tshiamubende

Chef de Travaux

Co-directeur : Jean Paul Mukanya

Juillet 2011

EPIGRAPHE

« Je ne connais pas ce que me réserve l'avenir mais, ce qui fait ma joie est que je suis dans la main de celui qui connait l'avenir »

W.MARRION BRANHAM.

DEDICACE

Je dédie ce travail de fin de cycle à vous mes parents biologiques Robert TUKANDILE MBUYI et WAKUTEKA MUA MBUYI.

A la famille Félix KANANGE KA KABEYA pour leur soutien tant moral que matériel je dédie ce modeste travail.

Que tous celui qui, de prêt ou de loin a contribué à l'élaboration de ce présent travail trouve ici l'expression de notre profonde gratitude.

Charles MBUYI TUKANDILE

Le Chérubin

AVANT PROPOS

Au terme de trois ans d'étude il est une obligation de dire merci à ceux qui ont contribués à la réalisation de ce travail.

Nous remercions de tout coeur notre directeur Donat Daniel TSHIAMUBENDE et le co-directeur Jean Paul MUKANYA qui malgré leurs multiples occupations ont été à pied d'oeuvre avec des remarques et suggestions afin de donner à ce travail un sens scientifique.

Nous remercions également les autorités de L'ISC/TSHIKAPA, entre autre, le DG Donat Daniel TSHIAMUBENDE, SGA Bruno SHABANGI, Le SGAD Pecko KIZENGE-POLOTO, aux chefs de travaux, assistants et CPP : MADJERE-BUKUNGU, Eugene DIULA, Jean Paul MUKANYA, Jacob MBOMBO, LUBUERA-MAYARA, William TSHIBAYI, Freddy, Jean pierre MUTEBA.

Nos remerciement sincères s'adresse aussi à la grande équipe Bronto Jazz que ce travail soit un model pour vous.

Nos vifs remerciements sont de nouveau adressés à tous les camarades et compagnons de lutte : Paul MULEJA MALU, Josué KESHI, KAPINGA Noela, Charles BANATSHINYI, Clément TSHIMPANGA, pour l'harmonie et le sentiment de fraternité qui nous a unis tout au long de ce parcours.

Que tous ceux dont les noms se trouveraient omis ne nous tiennent pas rigueur mais qu'ils trouvent ici l'expression de notre profonde reconnaissance.

Charles MBUYI TUKANDILE

0. INTRODUCTION GENERALE

La fonction Ressources Humaines évolue considérablement sous l'influence de nombreux  facteurs : législation du travail de plus en plus, le développement de l'informatique (exemple : le traitement de la paie), l'accroissement de la compétitivité et la globalisation de l'économie, ce qui nécessite de grande capacité de réactivité, de flexibilité et d'innovation (Di Gallo, 2005, P.21).

Force est de constater que les formes «traditionnelles »d'organisation appelées auparavant la fonction personnel ne permettent plus d'atteindre le niveau exigé par le marché.

Il est à noter que la FRH (fonction ressources humaines) est impactée dans son mode de fonctionnement, ses outils méthodes et processus.

L'introduction des Nouvelles Technologies de l'information et de Communication dans la GRH (gestion des ressources humaines) a bouleversé le mode de son fonctionnement.

L'informatisation de la GRH est une préoccupation majeure pour toutes les entreprises désirant rendre leur organisation et leur gestion plus cohérente et plus performanteAinsi de s'adapter aux changements que connaît l'environnement en vue d'atteindre leurs objectifs stratégiques.

Plusieurs entreprises ont informatisé leurs GRH grâce à l'adoption des solutions informatiques (logiciel, progiciel pour les grandes entreprises).

0.1. PROBLEMATIQUE

A la fin de trois ans de cycle de Graduat en Gestion Informatique à l'Institut Supérieur de Commerce de Tshikapa, chaque étudiant finaliste présente un travail de fin de cycle sur la gestion d'un problème quelconque relatif à la société. Cela étant nous avons pensé à l'Electricité du Congo, EDC en sigle où la gestion de ressources humaines est assurée manuellement et suite à un nombre croissant de travailleurs cela devient une source intarissable de difficultés dans la rente des rapports et autres exigences de ce secteur d'activités alors que cette société regorge un nombre important d'ordinateurs qui devraient être mobilisés pour alléger la tâche au responsable dans la gestion de ces ressources humaines.

Au regard de ce qui précède nous nous sommes posé quelques questions de savoir :

- Que faudra-t-il faire pour contourner la difficulté éprouvée par les responsables de l'EDC dans la gestion des RH ?

- L'implantation d'un logiciel de gestion de ressources humaines est-elle possible ?

0.2. HYPOTHESES

Eugène DIWULA (2010, P.10), définit l'hypothèse comme une proposition admise à titre provisoire pour servir de base à un raisonnement, à une démonstration, à une explication et qui sera vérifiée par la conséquence ou par l'expérience. En clair, nous disons, que l'hypothèse est une réponse provisoire à confirmer ou infirmer suivant sa transformation ou la réalité du sujet qu'elle régénère.

Pour ce qui concerne notre travail, nous pensons que,

- la mise sur pied d'un logiciel pour la bonne gestion de la fonction Ressources Humaines s'avère indispensable.

- Compte tenu de la formation reçue sur le banc académique et les outils disponibles dans ladite société, nous sommes persuadés qu'il est possible d'implanter un logiciel dynamique de gestion de Ressources Humaines.

0.3. CHOIX DU SUJET

Pour éviter de tomber dans les itopies scientifiques, nous avons opté de traiter le sujet intitulé : « la Modélisation et l'implantation d'un logiciel de gestion de ressources humaines ». Le choix a été porté sur la société d'Electricité du Congo (EDC).

0.4. INTERET DU SUJET

Le logiciel conçu pourra faciliter la bonne gestion de la fonction Ressources Humaines qui depuis beaucoup de temps a rencontré de multiples failles au sein des entreprises de Tshikapa en général et dans l'EDC en particulier.

Nous en sommes premier bénéficiaire, du fait que, grâce à ses investigations, nous avons su vivre la pratique de toute une ribambelle de théories apprises lors de notre formation trois ans durant à l'ISC/Tshikapa.

Grace à cette étude, d'autres entreprises de la ville Tshikapa pourront s'inspirer pour pouvoir organiser leurs systèmes de gestions de ressources humaines.

Enfin, ce travail servira de guide pratique et archive scientifique aux futures chercheurs.

0.5. METHODE DE RECHERCHE

Selon PINTO et GRAWITZ (1971, P.289), la méthode est un ensemble d'opérations intellectuelles par lesquelles une discipline cherche à atteindre la vérité qu'elle poursuit, la démontre et la vérifie.

Ainsi pour l'élaboration de ce travail, nous optons pour les méthodes suivantes :

- Méthode structuro-fonctionnelle : qui nous permet d'analyser la structure concernée ainsi que son fonctionnement et elle nous a doté des techniques et méthodes à suivre pour la conception d'une application informatique en vue de la production d'un logiciel.

- Merise : nous a aidé à la conception d'un système informatisé par son approche Entité-Association; et à faire une séparation entre les données et les traitements à travers : MCD, MLD, MPD.

0.6. TECHNIQUE DE RECHERCHE

Les techniques sont selon PINTO ET GRAWITZ les outils mis à la disposition de la recherche et organisés par la méthode dans un but bien déterminé. Elles sont limitées en nombre et sont communes à la plupart des sciences.

Pour enrichir notre travail scientifiquement, voici alors les techniques que nous avons utilisées :

- Documentaire : La recherche documentaire est une étape du travail de recherche qui consiste à trouver des sources afin de s'informer sur un sujet, répondre à une question ou réaliser un travail. Elle nous a permis de parcourir des ouvrages, TFC, Mémoires, archives, notes des cours, site web importants ayant trait à notre application en vue d'atteindre l'objectif poursuivi ;

- Observation participative: ici le chercheur s'intègre dans ce groupe, il partage les mêmes problèmes du groupe et pour ce qui est de notre cas cette méthode nous a permis de participer directement dans le mode de gestion la fonction RH.

- Interview : est une communication verbale entre l'intervieweur et l'interviewé. Celle-ci nous a donné la chance d'entrer en contact direct avec les responsables de l'EDC pour avoir les informations nécessaires sur le fonctionnement de la FRH.

0.7. SUBDIVISION

Hormis l'introduction et la conclusion ce travail est subdivisé en trois grands chapitres dont :

Ø Le premier traite de la définition des concepts et l'étude préalable.

Ø Le second s'attèle sur l'analyse détaillée et technique.

Ø Enfin le troisième parle de la réalisation du logiciel de gestion de ressources humaines.

0.8. DELIMITATION

Dans l'espace, notre étude est menée au bureau de l'E.D.C Tshikapa en général et dans le service qui se charge des ressources humaines en particulier ; Tandis que dans le temps, nous nous sommes servis des données enregistrées sur le personnel de ladite société durant les trois dernières années (2008-2010).

0.8. SIGLES ET ABREVIATIONS

FRH : Fonction des Ressources Humaines

EDC : Electricité du Congo

GRH : Gestion des Ressources Humaines

MERISE : Méthodes d'Etude et de Recherche en Informatique par Système d'Entreprise

ISC : Institut Supérieur de Commerce

TPA : Tshikapa


CHAPITRE PREMIER :

DEFINITION DES CONCEPTS ET L'ETUDE PREALABLE

I.1. DEFINITION DES CONCEPTS

1.1.1. INFORMATIQUE

I.1.1.1. Définitions

L'informatique est définie de différentes manières et selon les auteurs :

1. l'informatique est la science du traitement de l'information dans les domaines scientifiques, techniques, économiques et sociaux (Gaci Mohamed, Alger, 2004, P.13)

2. l'informatique est l'ensemble des disciplines scientifiques et des techniques spécifiquement applicable au traitement de l'information, effectué notamment par des moyens automatiques. (Nébil Ben NESSIB et Khaled RAOUADI, Tunis, 2007, P.4)

3. l'informatique est l'ensemble des méthodes scientifiques et techniques spécialement applicables au traitement de l'information effectuée par des moyens automatiques. Les moyens automatiques sont composés d'éléments matériels (principalement des ordinateurs) et d'éléments logiciels (des systèmes d'exploitation, des logiciels d'application, des progiciels ou logiciels outils). (Jean Paul MUKANYA, ISC-TPA, 2010, P.10)

4. Définition de l'Académie Française ; science du traitement rationnel, notamment par des machines automatiques, de l'information considérée comme le support des connaissances et des communications, dans les domaines technique, économique et social. (J. Farré, Paris, 2010, P).

I.1.1.2 Bref historique

L'histoire de l'informatique couvre environ 12000 années, c'est pourquoi je vous propose ces quelques liens réunis dans un « petit sommaire » :

· De l'an -10000 au XIIIème siècle.

· Du XVIème siècle à la fin du XXIIème.

· De 1884 à 1945

· De 1946 à 1968

· De 1968 à 1991.

1. De l'an -10000 au XIIIème siècle.

Les fondations de l'informatique : la saisie, le codage, le calcul, l'écriture, la logique, le zéro.

C'est durant la période de 10000 à 3000 avant J.C que n'acquit le traitement rationnel de l'information.

En Mésopotamie, 1300 ans plus tard, l'empereur Hammourabi introduit la notion de norme dans le traitement de l'information grâce à sa loi du talion...

Les horloges égyptiennes, qui furent les premiers systèmes de traitement de l'information, apparurent en 1550 avant J.C. les chinois arrivèrent à mesurer la durée d'une année en utilisant un observatoire astronomique en 1200 avant J.C., ils ont aussi, à l'origine de nombreuses inventions ; le papier qui fut un support d'informations révolutionnaire en 105 après J.C.

2. Du XVIème siècle à la fin du XXième siècle

Les découvertes : le binaire, l'électricité, les logarithmes, les boucles de programmes, le téléphone, l'imprimerie et la machine à calcul.

Le XVIIIème siècle fut le temps des machines à calculer ; en 1624 l'Allemand Schickard présenta sa machine mais elle fut détruite la même année. En 1642, la Pascaline du français Pascal fut la première à réellement fonctionner et beaucoup de personnes s'appuieront sur cette découverte. Enfin Leibnitz construisit sa propre machine en 1694 (division et multiplication) suivant le model de Pascal.

Les cartes perforées furent utilisées en 1728 par le français Falcon et en 1800 par un autre Français, Jacquard. Ces cartes servirent dans des machines à tisser.

En 1820, l'arithmomètre du français Thomas connut un énorme succès, 1500 exemplaires vendus dans plusieurs pays. Quelques années plus tard, en 1833, la machine analytique de l'anglais Charles Babbage ne fut qu'un échec, alors qu'elle est toujours considérée comme le premier ordinateur car elle intègre beaucoup de concepts de l'ordinateur contemporain : mémoire, registre, unité  de calcul. Le code morse fut inventé en 1838 et le premier télégraphe fonctionna en 1844.

La mathématicienne Anglaise Lovelace, qui est considérée comme la première programmeuse de l'histoire informatique, instaura en 1840 l'itération d'un programme (la boucle). Collaboratrice de Babbage, elle appela « algorithme » le processus logique permettant l'exécution d'un programme. George Boole est à l'origine en 1854 de l'algèbre binaire.

3. De 1884 à 1946

Les découvertes : l'effet photoélectrique, la diode, les principes de l'automatisme, le BUG d'un programme, la télévision, le binaire et plusieurs théories sur l'information et le calcul.

Pour faire face aux problèmes de transfert de données concernant la démographie, l'américain Hollerith inventa en 1884 la mécanographie qui sera utilisée en 1890 par le gouvernement des Etats-Unis pour recenser la population. Hollerith créa alors la « Tabulating Machine Company » qui donnera naissance au grand groupe IBM « International Business Machine ».

4. De 1946 à 1968

Le triomphe du binaire, la constitution physique de l'ordinateur, le transistor, la cybernétique, l'intelligence artificielle, l'accès au traitement, la télécommunication mondiale.

L'ENIAC (Electronic Numerical Integrator Computer) marqua à tout jamais l'année 1946 car ce fut le premier véritable ordinateur. Cette machine pèse 30tonnes, mesure 24 mètres de long, est haute de 5.4 mètres. Elle utilise 18000 tubes à vides, réussit à traiter à son premier essai un million de cartes perforées, ce qui réjouit ses inventeurs américains Eckert et Mauchly.

A la suite de ce travail, Von Neumann écrivit un rapport sur un ordinateur qui devait succéder à l'ENIAC : L'EDVAC (Electronic Discret Variable Computer).Un conflit entre les différents inventeurs mit terme à sa réalisation.

Une des découvertes les plus importantes de l'histoire humaine est le transistor. Inventé en 1947 par trois américains de la compagnie Bell, il sera l'élément de base des microprocesseurs.

Un an après, c'est un rapport révolutionnaire sur l'asservissement qui fut publié par le mathématicien Américain Wiener. Cette oeuvre reste la base de la robotique actuelle. Shannon rendit sa publication sur la théorie mathématique de la communication, ouvrage clef pour le développement des télécommunications.

1. De 1968 à 1991

Cette période est très riche en découvertes

1968-1977 constitue la période la plus vaste pour le développement de l'informatique. Elle commence avec l'arrivée du mini-ordinateur qui va secouer les conceptions que l'on croyait pourtant bien assises des centres informatiques aux immenses salles à air conditionné. Elle va se terminer en 1977 avec un autre bouleversement, aux conséquences considérables, l'arrivée du micro-ordinateur banalisé (l'Apple II) qui va devenir rapidement un produit grand public, accessible à tous sur les étagères des grandes surfaces. Entre ces deux dates, la télématique acquerra les bases de connaissances nécessaires pour son épanouissement.

Cette apparition des micro-ordinateurs aura pu être réalisée grâce à la découverte fondamentale en 1971 du micro-processeur (l'INTEL 4004). En une période très courte, cette nouvelle puce va réussir à envahir tous les domaines de la société. Si le micro-processeur doit être considérer auprès de l'ENIAC et du transistor comme l'une des trois inventions clefs de l'informatique.

Il ya lieu de retenir plus particulièrement sur cette période les inventions suivantes :

- La souris en 1978. Notion d'interactivité  homme machine

- Le développement des différents réseaux : ARPANET, TELENET et ETHERNET

- La définition des principes de la programmation structurée : PASCAL, LANGAGE C.

- L'arrivée de langages utilisés par l'intelligence artificielle.

- L'évolution des imprimantes : aiguille en 1971, laser en 1975.

- Le disque souple : une nouvelle forme de mémoire. (Jacob MBOMBO, 2010-2011, P.3)

1.1.1.3. Sortes d'informatiques

Actuellement les domaines couverts par l'informatique sont innombrables. Nous citons ici quelques unes :

- L'informatique gestion : elle consiste à simplifier la gestion d'une entreprise. Cette gestion concerne l'administration, la facturation, la comptabilité, le stock ; les personnels, les matériels. en d'autre terme toute activité qui s'effectue au sein de l'entreprise.

- L'informatique industrielle : c'est celle qui s'occupe du contrôle et de la gestion des pièces produites par l'industrie.

- L'informatique robotique : celle-ci concerne toute activité technique qui vise à remplacer l'homme dans certains travaux épuisant, dangereux par des robots. Elle est souvent utilisée pour soulager la misère physique des handicapées ou remplacer les ouvriers qualifiés. Ici la machine assiste la machine outil (robot).

- Informatique bancaire : elle s'occupe de la réduction des couts, du gain de temps dans la manipulation et le transfert des fonds.

- Informatique médicale : elle sert dans le contrôle de processus biologique pur et médical. Aujourd'hui elle est utilisée pour poser des diagnostics, interprète les résultats dans les analyses médicales. Cela ne relève pas de la fiction, procéder à une opération chirurgicale assistée par l'ordinateur.

- Informatique domestique : elle s'intéresse à des outils informatiques en usage de la maison. Il s'agit généralement des capteurs qui déclenchent automatiquement un système installé dans la maison. On parle souvent de la maison intelligente.

- Informatique documentaire : elle permet de gérer et, ou traiter des livres, des articles, des revues, des publications des éditions, des auteurs et autres documents au moyens de l'ordinateur. (Jacob MBOMBO, 2010-2011, P.6)

I.1.2. ORDINATEUR

I.1.2.1 Définition

Selon le Dictionnaire de l'informatique et d'internet ( www.Dictofr.com), l'ordinateur est un nom donné en 1955 aux premières  machines d' IBM par Jaques Perret. (En Anglais : Computer) C'est une machine à traiter électroniquement les  données

Jacob MBOMBO (2010-2011, P.7) quant à lui, définit l'ordinateur comme une machine dotée d'une unité de traitement lui permettant d'exécuter des programmes enregistrés. C'est un ensemble de circuits électroniques servant de manipuler des données sous forme binaire, ou bits.

I.1.2.2 Evolution

L'histoire de l' ordinateur nous provient du fait que l'homme, par nature paresseux, a toujours cherché à améliorer sa façon de calculer, afin de limiter ses erreurs et pour économiser de son temps.

· A l'origine le boulier

Le boulier, appelé aussi « abaque », a été inventé en l'an 700 ; il fut longtemps utilisé et l'est encore aujourd'hui dans certains pays.

· Puis vint le logarithme

On attribue généralement l'invention du logarithme à l'écossais John NEPER (1550-1617, parfois orthographié NAPIER). En effet en 1614 celui-ci démontra que la multiplication et la division pouvaient se ramener à une série d'additions. Ceci permit dès 1620 l'utilisation de la règle à calcul.

Pour autant le vrai père de la théorie des logarithmes est « Mohamed Ybn Moussa Al-KHAWAREZMI », un savant arabe issu de la ville persane appelée « Khawarezm ». Ce savant développa par ailleurs l'Algèbre, terme provenant de l'arabe « Al-Jabr », qui signifie compensation, sous-entendu « la compensation par la recherche de la variable inconnue X afin d'équilibrer les résultats des calculs ».

· Les premières machines à calculer

En 1623, William Schickard inventa la première machine à calculer mécanique.
En 1642, Blaise Pascal créa la machine d'arithmétique (baptisée Pascaline), une machine capable d'effectuer des additions et soustractions, destinée à aider son père, un percepteur de taxes. 

En 1673, Gottfried Wilhelm Von Leibniz ajouta à la Pascaline la multiplication et la division. 
En 1834, Charles Babbage invente la machine à différence, qui permet d'évaluer des fonctions. Cependant il apprend qu'une machine à tisser (métier à tisser Jacquard) est programmée à l'aide de cartes perforées, il se lance donc dans la construction d'une machine à calculer exploitant cette idée révolutionnaire.

C'est en 1820 qu'apparaissent les premiers calculateurs mécaniques à quatre fonctions : addition, soustraction, multiplication, division

Ceux-ci sont rapidement (1885) agrémentés de clavier pour saisir les données.

Des moteurs électriques viennent rapidement supplanter les manivelles.

· Les ordinateurs programmables

En 1938, Konrad Zuse invente un ordinateur qui fonctionne grâce à des relais électromécaniques : le Z3. Cet ordinateur est le premier à utiliser le  binaire au lieu du décimal. 
En 1937, Howard Aiken met au point un ordinateur programmable mesurant 17 m de long et 2.5 mètres de hauteur, permettant de calculer 5 fois plus vite que l'homme : C'est le Mark I d'IBM. 


Il est alors constitué de 3300 engrenages, 1400 commutateurs reliés par 800 km de fil électrique. En 1947, le Mark II voit le jour, ses engrenages sont remplacés par des composants électroniques.

· Les Ordinateur à lampes

En 1942, l'ABC (Atanasoff Berry Computer) du nom de ses concepteurs J.V. Atanasoff et C.Berry voit le jour.

En 1943, le premier ordinateur ne comportant plus de pièces mécaniques est créé grâce à J.Mauchly etJ.Presper Eckert : l'ENIAC (Electronic Numerical Integrator And Computer). Il est composé de 18000 lampes à vide, et occupe une place de 1500 m2. Il fut utilisé pour des calculs ayant servi à mettre au point la bombe H. 
Son principal inconvénient était sa programmation :
l'ENIAC était en effet uniquement programmable manuellement avec des commutateurs ou des câbles à enficher.

La première erreur informatique est due à un insecte qui, attiré par la chaleur, était venu se loger dans les lampes et avait créé un court-circuit. Ainsi le terme anglais pour « insecte » étant « bug », le nom est resté pour désigner une erreur informatique. Le terme bug a été francisé par la suite en bogue, terme désignant également le nom de l'enveloppe épineuse et piquante de la châtaigne.

En effet, les tubes étant de médiocres conducteurs, ils nécessitaient une grande quantité d'énergie électrique qu'ils dissipaient en chaleur. Cette lacune est palliée en 1946 avec la mise au point de l'EDVAC (Electronic Discrete Variable Computer) permettant de stocker les programmes en mémoire (1024 mots en mémoire centrale et 20000 mots en mémoire magnétique).

Le Transistor

En 1948, le transistor est créé par la firme Bell Labs (grâce aux ingénieurs John BardeenWalter Brattainet William Shockley). Il permet dans les années 50 de rendre les ordinateurs moins encombrants, moins gourmands en énergie électrique donc moins coûteux : c'est la révolution dans l'histoire de l'ordinateur.

· Le circuit intégré

Le circuit intégré est mis au point en 1958 par Texas Instruments, il permet de réduire encore la taille et le coût des ordinateurs en intégrant sur un même circuit électronique plusieurs transistors sans utiliser de fil électrique.

· Le Micro-ordinateur

C'est en 1971 qu'apparaît le premier micro-ordinateur : le Kenback 1, avec une mémoire de 256 octets.

· Les Microprocesseurs

En 1971, le premier microprocesseur, l'Intel 4004, fait son apparition. Il permet d'effectuer des opérations sur 4 bits simultanément. 
A la même époque Hewlett Packard commercialise la calculatrice HP-35
Le processeur 8008 d'Intel (permettant de traiter 8 bits simultanément) apparaît en 1972.

En 1973, le processeur 8080 d'Intel garnit les premiers micro-ordinateurs : le Micral et le Altair 8800, avec 256 octets de mémoire. A la fin de l'année 1973, Intel commercialisait déjà des processeurs 10 fois plus rapides que le précédent (le Intel 8080) et comportant 64 ko de mémoire.

En 1976, Steve Wozniak et Steve Jobs créent l'Apple I dans un garage. Cet ordinateur possède un clavier, un microprocesseur à 1 MHz, 4 ko de RAM et 1 ko de mémoire vidéo.
La petite histoire dit que les 2 compères ne savaient pas comment nommer l'ordinateur ; Steve Jobs voyant un pommier dans le jardin décida d'appeler l'ordinateur pomme (en anglais apple) s'il ne trouvait pas de nom pour celui-ci dans les 5 minutes suivantes...

En 1981 IBM commercialise le premier « PC » composé d'un processeur 8088 cadencé à 4.77 MHz.

· Les Ordinateurs aujourd'hui

Il est très difficile de nos jours de suivre l'évolution de l'ordinateur. En effet cette évolution suit la loi de Moore (Intel(c)) : « on peut placer 4 fois plus de transistor sur une puce tous les 3 ans ». 

On devrait ainsi arriver à 1 milliard de transistors sur une puce aux alentours de 2010. (www.commentcamarche.net)

I.1.2. TYPES D'ORDINATEURS

On distingue généralement plusieurs familles d'ordinateurs selon leur format :

- Les mainframes (en français ordinateurs centraux), ordinateurs possédant une grande puissance de calcul, des capacités d'entrée-sortie gigantesques et un haut niveau de fiabilité. Les mainframes sont utilisés dans de grandes entreprises pour effectuer des opérations lourdes de calcul ou de traitement de données volumineuses. Les mainframes sont généralement utilisés dans des architectures centralisées, dont ils sont le coeur.

- Les ordinateurs personnels, parmi lesquels on distingue :

o Les ordinateurs de bureau (en anglais desktop computers), composés d'un boîtier renfermant une carte mère et permettant de raccorder les différents périphériques tels que l'écran.

o Les  ordinateurs portables (en anglais lap top ou notebooks), composé d'un boîtier intégrant un écran dépliable, un clavier et un grand nombre de périphériques incorporés.

- Les tablettes PC (en anglais tablet PC, également appelées ardoises électroniques), composées d'un boîtier intégrant un écran tactile ainsi qu'un certain nombre de périphériques incorporés.

- Les centres multimédia (Media Center), représentant une plate-forme matérielle, destinée à une utilisation dans le salon pour le pilotage des éléments hifi (chaîne hifi, téléviseur, platine DVD, etc.).

- Les  assistants personnels (appelés PDA, pour Personal digital Assistant, ou encore handheld, littéralement «tenu dans la main»), parfois encore qualifiés d'organiseur (en anglais organizer) ou d'agenda électronique, sont des ordinateurs de poche proposant des fonctionnalités liées à l'organisation personnelle. Ils peuvent être dotés des fonctions d'un téléphone portable. On parle alors souvent dans ce cas de smartphone.

- Enfin, les netbooks sont des ordinateurs portables dotés d'un écran de petite dimension (généralement 12") et dont on a remplacé le  disque dur par de la mémoire flash, afin de réduire la consommation électrique (et le coût). (www.commentcamarche.net)

I.1.3 SYSTEME D'EXPLOITATION

I.1.3.1 Définition

Un système d'exploitation (SE, en anglais Operating System ou OS) est un ensemble de programmes qui remplissent deux grandes fonction à savoir : gérer les ressources de l'installation matérielle en assurant leurs partages entre un ensemble plus au moins grand d'utilisateurs et assurer un ensemble de services en présentant aux utilisateurs une interface mieux adaptée à leurs besoins que celle de la machine physique. Il est aussi un ensemble de programmes responsables de la liaison entre les ressources matérielles d'un ordinateur et les applications informatiques de l'utilisateur (traitement de texte, jeu vidéo...)

(Pascal Mulumba, 2010. P.5)

I.1.3.2 DIVERSITE DES SYSTEMES D'EXPLOITATION

On distingue plusieurs types de systèmes d'exploitation, selon qu'ils sont capables de gérer simultanément des informations d'une longueur de  16 bits32 bits64 bits ou plus. 

Système

Codage

Mono-utilisateur

Multi-utilisateur

Mono-tâche

Multitâche

DOS

16 bits

X

 

X

 

Windows3.1

16/32 bits

X

 

 

non préemptif

Windows95/98/Me

32 bits

X

 

 

coopératif

WindowsNT/2000

32 bits

 

X

 

préemptif

WindowsXP

32/64 bits

 

X

 

préemptif

Windows7

32/64 bits

 

X

 

préemptif

Unix / Linux

32/64 bits

 

X

 

préemptif

MAC/OS X

32 bits

 

X

 

préemptif

VMS

32 bits

 

X

 

préemptif

I.1.3.3 ROLE D'UN SYSTEME D'EXPLOITATION

Les rôles du système d'exploitation sont divers :

· Gestion du  processeur : le système d'exploitation est chargé de gérer l'allocation du processeur entre les différents programmes grâce à un algorithme d'ordonnancement. Le type d'ordonnanceur est totalement dépendant du système d'exploitation, en fonction de l'objectif visé.

· Gestion de la  mémoire vive : le système d'exploitation est chargé de gérer l'espace mémoire alloué à chaque application et, le cas échéant, à chaque usager. En cas d'insuffisance de mémoire physique, le système d'exploitation peut créer une zone mémoire sur le  disque dur, appelée «mémoire virtuelle». La mémoire virtuelle permet de faire fonctionner des applications nécessitant plus de mémoire qu'il n'y a de mémoire vive disponible sur le système. En contrepartie cette mémoire est beaucoup plus lente.

· Gestion des entrées/sorties : le système d'exploitation permet d'unifier et de contrôler l'accès des programmes aux ressources matérielles par l'intermédiaire des pilotes (appelés également gestionnaires de périphériques ou gestionnaires d'entrée/sortie).

· Gestion de l'exécution des applications : le système d'exploitation est chargé de la bonne exécution des applications en leur affectant les ressources nécessaires à leur bon fonctionnement. Il permet à ce titre de «tuer» une application ne répondant plus correctement.

· Gestion des droits : le système d'exploitation est chargé de la sécurité liée à l'exécution des programmes en garantissant que les ressources ne sont utilisées que par les programmes et utilisateurs possédant les droits adéquats.

· Gestion des fichiers : le système d'exploitation gère la lecture et l'écriture dans le  système de fichiers et les droits d'accès aux fichiers par les utilisateurs et les applications.

· Gestion des informations : le système d'exploitation fournit un certain nombre d'indicateurs permettant de diagnostiquer le bon fonctionnement de la machine.

I.1.4. LOGICIEL

I.1.4.1 Définition

En  informatique, un logiciel est un ensemble d'informations relatives à des traitements effectués automatiquement par un appareil informatique. Y sont incluses les  instructions de traitement, regroupées sous forme de  programmes, des  données et de la documentation. Le tout est stocké sous forme d'un ensemble de  fichiers dans une  mémoire. (www.wikidia.net)

I.1.4.2 catégorisation des logiciels

· logiciel applicatif, le type de logiciel le plus courant, aussi appelé  application informatique : un logiciel dont les automatismes sont destinés à assister un utilisateur dans une de ses activités.

· Un  logiciel système (ou logiciel de base). C'est un logiciel dont les automatismes contrôlent l'utilisation du  matériel informatique par les  logiciels applicatifs. Les automatismes du logiciel système sont indépendants de l'activité pour laquelle l'appareil est utilisé.

· Le  système d'exploitation sert d'interface entre le matériel et les logiciels applicatifs. C'est l'ensemble de logiciels système central qui contrôle l'utilisation de l'appareil informatique par les autres logiciels (www.wikidia.net Op.cit.).

I.1.5 MODELISATION

La modélisation est la conception d'un  modèle ou la modélisation consiste à créer une représentation simplifiée d'un problème : le model grâce au model il est possible de représenter simplement un problème, un concept et le simuler. La modélisation comporte deux composantes :

- L'analyse, c'est-à-dire l'étude du problème

- La conception, soit la mise au point d'une solution au problème

I.1.6 IMPLANTATION

Implantation  est nom féminin qui signifie :

- Action d' implanter ou de s'implante

- Planter insérer une chose dans une autre.

En Informatique implanter veut dire :

- installer un  logiciel ou un sous-système donné en réalisant les adaptations nécessaires à leur  fonctionnement dans un  environnement  défini.

- Proposer, offrir un service, en parlant d'un logiciel, d'un système d'exploitation etc. (www.wikidia.net Op.cit.)

I.1.7 GESTION

I.1.7.1 Définition

La gestion ou le management  est l'ensemble des techniques d'organisation de ressources qui sont mises en oeuvre pour l'administration d'une  entité, dont l'art de diriger des hommes, afin d'obtenir une performance satisfaisante. Dans un souci d'optimisation, il tend à respecter les intérêts et représentations des  parties prenantes de l'entreprise. Afin de prendre en compte le temps, le risque et l'information sur les prises de décision de gestion, il est d'usage de distinguer :

· Le  management stratégique qui concerne la gestion du marché par la stratégie (c'est aussi une vision externe de la gestion) ;

· Le  management opérationnel qui concerne la gestion des processus propres à l'entreprise (c'est une vision plus interne centrée sur l' organisation).

· Le  contrôle de gestion tend à faire le lien entre ces deux types de management du fait de son positionnement au sein de l'entité.

I.1.8. Gestion de Ressources Humaines

Certains auteurs définissent la gestion des ressources humaines comme étant une série d'activités en vue d'assurer la gestion efficiente de RH au bénéfice de l'individu, de la société et de l'entreprise. (MBASOME MULUHIRWA, 2005, P.2).

La gestion des ressources humaines (la GRH) est aussi un ensemble de  pratiques du  management ayant pour objectif de mobiliser et développer les ressources humaines pour une plus grande  performance de l' organisation. C'est une activité qui doit tendre à améliorer une communication transversale, tout en faisant respecter l' organigramme de l'entreprise. ( www.wikidia.net)

Naissance et Evolution de gestion de Ressources Humaines

Avant la Révolution Industrielle, la fonction " personnel " existait. C'est le superviseur qui se chargeait lui-même de recruter les employés dont il a besoin. La paie et la comptabilité sont gérées par la direction de l'entreprise.
A l'issue de la Révolution Industrielle, les entreprises sont confrontées à de nombreux problèmes sociaux et humains.

C'est à ce moment qu'apparaît la fonction " personnel " dans l'entreprise.
Dans un premier temps, son rôle était d'adapter les salariés aux emplois et à leur évolution. Cette fonction gère donc la main d'oeuvre comme une variable d'adaptation. Le coût de cette variable doit être minimum. On est encore très loin de la notion de Ressources Humaines. La dimension humaine se réduit à un simple facteur de production, le travail de l'individu étant considéré comme une marchandise soumise aux lois de l'échange économique du capitalisme. Les seules activités de cette fonction sont le recrutement, la paie, le règlement des conflits,... La dimension humaine s'efface devant l'objectif prioritaire que constitue l'optimisation de la production. Ainsi au début du siècle, c'est le concept d'Organisation Scientifique du Travail (OST), développé par Taylor, qui est le référentiel en matière d'organisation. La division, la rationalisation et le contrôle du travail sont au coeur du taylorisme. Le taylorisme déshumanise complètement le travail, l'homme est réduit à la notion de " main d'oeuvre ". Cependant, dès l'application des méthodes de Taylor, divers problèmes humains sont apparus, déstabilisant les organisations : conflits, grèves ou encore absentéisme. Ces nombreux problèmes vont remettre en cause, peu à peu, la conception tayloriste du travail.
Cette fonction va énormément évoluer durant la première moitié du vingtième siècle et ceci sous l'influence de nombreux facteurs : mouvements sociaux, progrès scientifiques et évolutions économiques. 
Au cours de cette période, la dimension sociale et humaine va apparaître et se développer peu à peu dans les organisations. L'école des relations humaines, un important courant de la sociologie du travail, va jouer un rôle majeur dans cette évolution. Entre 1930 et 1950, ce courant va réagir contre l'Organisation Scientifique du Travail en en montrant les limites et surtout en mettant en avant l'influence des facteurs d'ambiance et de relations sociales dans l'entreprise sur la productivité et le rendement. Les travaux les plus connus sont notamment ceux de Elton Mayo, effectués aux Etats-Unis dans les années 30 à la Western Electric. Ces travaux vont contribuer à humaniser les relations de travail. On assiste à un développement de la fonction personnel qui se voit octroyer de nouvelles missions telles que l'hygiène et la sécurité, l'information, les relations sociales et aussi la formation. L'émergence et le développement du syndicalisme de masse durant la première moitié du XXème siècle va aussi fortement contribuer à faire évoluer la fonction vers un rôle plus humain et plus social.

Entre 1960 et 1980, la fonction Ressources Humaines va encore considérablement évoluer sous l'influence de nombreux facteurs tels que l'accroissement de la législation du travail, le développement de l'informatique dans le traitement de la paie,... La modernisation, la forte concurrence et les restructurations industrielles ont également accentué les problèmes d'emploi dans les entreprises. Il faut notamment gérer les suppressions massives d'emplois, il faut les gérer sur le plan humain mais aussi en termes d'image pour l'entreprise. De plus, la globalisation de l'économie, la concurrence accrue, la nécessité de créer d'autres emplois plus qualifiés impliquent la recherche des meilleurs candidats, leur formation et leur fidélisation.

I.1.9. BASE DE DONNEES

I.1.9.1 Définition

La base de données (BD) représente l'ensemble (cohérent, intégré, partagé) des informations nécessaires au fonctionnement d'une entreprise, ensemble dont la gestion est assurée par un logiciel appelé système de gestion de bases de données (SGBD). (Jacob MBOMBO, 2010, P.2)

I.1.9.2 Types de base de données

On distingue les types de base de données suivants :

BD hiérarchique : stockage efficace des données pour favoriser certains accès, en utilisant les liens de hiérarchie entre les données. Moins souple pour l'interrogation des données et la navigation à travers les données.

BD réseau : les liens entre les données sont prédéterminés et spécifiés dans le schéma de base de données. Navigation plus souple que les BD hiérarchiques, mais moins flexible que celles des BD relationnelles.

BD relationnelle : les données sont regroupées sous forme de relations (table). La navigation est très souple, les liens entre les tables ne sont pas prédéfinis ; ils sont établis de manière dynamique, directement dans la requête d'interrogation.

BD Orientée Objets : les données sont représentées par des objets. Plus souple quel es BD relationnelles au niveau des structures de données admises. On peut y stocker les objets d'un programme orienté objets. Permet le partage des données entre plusieurs programmes à la fois.

BD relationnel Objets : BD relationnel offrant en plus des mécanismes pour stocker des objets, ou pour stocker des structures plus complexes. (Jacob MBOMBO, 2010 Op.cit)

I.1.9.3 Système de Gestion de Base de Données (SGBD)

Un système de gestion de base de données (SGBD, en anglais DBMS) est un ensemble de  logiciels qui sert à la manipulation des  bases de données. Il sert à effectuer des opérations ordinaires telles que consulter, modifier, construire, organiser, transformer, copier,  sauvegarder ou  restaurer des bases de données. Il est souvent utilisé par de logiciels ainsi que les  administrateurs ou les  développeurs.

L'ensemble, dont le composant central est le  moteur de base de données, peut être sous forme de  composant logiciel, de  serveur, de  logiciel applicatif ou d' environnement de programmation. Il permet généralement à plusieurs utilisateurs et plusieurs logiciels de manipuler plusieurs bases de données en même temps et ceci quel que soit le contenu et l'organisation des bases de données.

I.1.10. PROGRAMMATION

I.1.10.1 Définition

Le  langage de programmation est un  langage informatique, permettant à un être humain d'écrire un  code source qui sera analysé par une machine, généralement un  ordinateur. Le code source subit ensuite une transformation ou une évaluation dans une forme exploitable par la machine, ce qui permet d'obtenir un  programme. Les langages permettent souvent de faire abstraction des mécanismes de bas niveau de la machine, de sorte que le code source représentant une solution puisse être écrit et compris par un être humain.

I.1.10.2 Les langages de Programmation

Une famille de langages de programmation est un ensemble de  langages de programmation partageant un lien de  parenté ou des caractéristiques communes - tel le  paradigme de programmation par exemple.

De nouveaux langages de programmation apparaissent tous les jours, souvent pour pallier les lacunes des langages déjà existants. Ils cherchent soit à amener de nouveaux concepts à un langage, soit à en corriger les défauts. Ils prennent souvent comme base des langages populaires parmi les programmeurs, soit parce que le concepteur du langage utilisait lui même le langage d'origine, soit pour pouvoir plus facilement « convertir » les programmeurs du langage d'origine.

Certains langages sont totalement originaux, mais empruntent quelques concepts d'autres langages ou bien ils s'en inspirent. Par exemple,  Boo s'inspire de la syntaxe de  Python, mais son fonctionnement est radicalement différent. Certains langages sont tellement originaux, qu'ils débutent eux-mêmes une nouvelle famille de langages de programmation avec une descendance.

Les grandes familles de langages par parenté sont :

§ la famille du  C :  C++Objective-CJavaC#PerlPHPJavaScript

§ la famille  Pascal :  Turbo PascalDelphi

§ la famille  Lisp :  Common LispScheme

§ la famille  ML :  SMLCamlObjective Caml puis  F#

§ la famille  Smalltalk :  Objective-CRubyLisaac

§ la famille  BASIC :  QBasicVisual BasicVisual Basic .NetVisual Basic for ApplicationsVBScriptGambas ( www.wikipedia.net)

I.2. L'ETUDE PREALABLE

L'étude préalable dans un contrat informatique est celle qui intervient avant la phase d'expression des besoins. Elle permet d'étudier l'opportunité du projet informatique. C'est une étape important puisque la rédaction du  cahier des charges se fait à partir des objectifs identifiés dans l'étude préalable.

L'étude préalable consiste principalement à recenser l'existant c'est-à-dire les solutions informatiques déjà mises en oeuvre dans l'entreprise et à recenser les besoins notamment en termes de fonctionnalités nouvelles. Elle peut être l'occasion d'une étude de rentabilité du projet. L'étude préalable identifie les contraintes budgétaires, les contraintes d'environnement et les contraintes  juridiques. ( www.soreau.net)

I.2.1. Cadrage du Projet

I.2.1.1. Présentation du Champ d'étude

Situation géographique

L'Electricité du Congo EDC en sigle est une Sprl qui a son siège d'exploitation dans la Ville de Tshikapa elle a deux sites principaux :

· Le site de production de la centrale hydroélectrique de lungudi qui se situe à 25Km de la Ville dans le village lungudi.

· Le site administratif et commercial qui se situe au centre ville de Tshikapa non loin du rond point Ndjendje ce site est borné :

§ au nord par la Rivière Kasaï,

§ au sud par : la concession REGIDESO Tshikapa,

§ à l'est : la Prison Centrale de Tshikapa,

§ a l'ouest : la Rivière Tshikapa.

Bref historique de l'EDC

EDC est une societé privé qui a remplacer la Societé National d'Electricité SNEL siège de Tshikapa suite aux multiples difficultés que cette société étatique a rencontrée techniquement et financièrement, elle n'était pas capable de servir la population de Tshikapa d'un courant stable, permanant et efficace. C'est ainsi qu'en vue de favoriser le développement économique et le progrès social, le gouvernement de transition avait inscrit dans son programme prioritaire l'accès de la population tant urbaine que rurale à l'énergie électrique.

Suite aux décisions du conseil du ministre du 25 juin 2004 et qu'à la réunion du 26 juin de la même année, le conseil de ministre de la république avait identifié et sélectionné le projet pilote lungudi pour un partenariat avec EDC.

Sur ce, le gouvernement de la République Démocratique du Congo avait donc concédé à l'EDC le site et la centrale hydroélectrique de lungudi, ainsi que toutes les installations associés et leurs dépendances pour une durée de 25 ans renouvelable.

C'est en date du 13 juillet 2004 que fut signé le contrat de partenariat.

(Contrat entre l'EDC et le Gouvernement de la RDC, 2004, P.5)

Mission de l'EDC

La societé EDC a pour mission :

- Fiabiliser la production et le transport de l'énergie électrique dans la ville de Tshikapa et ses environs

- Développer la capacité de production de la centrale hydroélectrique de lungudi de 10 Mega Watts.

- Etendre les réseaux associés en vue d'accroitre le taux d'électrification

- Réaliser certaines actions sociales pour le développement durable de la ville de Tshikapa et ses environs.

Fonctionnement et rôle de Chacun

- Les Administrateurs gérants : sont les investisseurs propriétaires du projet notamment : Mr Paul Filip Arthur Vanhoutte et Mr Daniel Blattner.

- Le Manager : s'occupe de l'avancement du projet sur tout le plan, fait l'étude des contrats des nouveaux clients potentiels, établis de ligne de conduit pour la bonne gestion de l'entreprise.

- Le Superviseur : fait la suivie et la supervision des travailleurs et fait rapport au manager.

- Le Directeur Technique : est le chef du département technique, il donne des instructions nécessaires et de tâches aux techniciens, surveiller le département de production et l'exploitation et en fait rapport à la hiérarchie.

- Chef de Production : est le responsable permanant de la centrale hydro- électrique de Lungudi, il a un équipage qui l'entoure pour permettre la bonne production.

- Le chargé de distribution : s'occupe de l'exploitation électrique à Tshikapa, il fait les études de faisabilités pour les nouveaux clients et planifie les nouveaux raccordements, s'occupe aussi des dépannages de clients et fait rapport à sa hiérarchie.

- Les responsables des cabines : s'occupe des cabines électriques et de la distribution du courant chez les clients, ils prélèvent les valeurs électriques dans des cabines, les enregistres dans un fichier informatique à joindre au responsable technique.

- Operateurs : sont tous des techniciens qui travaillent au sein de la centrale hydro-électrique.

- Finance : ce département a : un comptable, et des caissiers chargés de vente d'électricité prépayée.

- La Logistique : ce département comprend : le responsable de magasin, le responsable de charroi, et les chauffeurs.

- L'Administration et R H : le Chef du personnel, un réceptionniste, les Officiers de Police Judicaire restreinte de l'EDC et la garde industrielle composent ce département.

Administrateurs Gérants

Manager Général

Superviseur

Directeur Technique

Chef de Production

Chargé de Distribution

Responsables des cabines

Operateurs de Production

Logistique

Adm & RH

Organigramme

Finances

Source : EDC Tshikapa.

1.2.1.2 l'Etude d'opportunité

Pour arriver à dire que le projet est opportun ou pas nous nous permettrons de comparer les objectifs poursuivis dans ce projet par rapport à ceux poursuivi par l'EDC Tshikapa dans la distribution de ses services :

a. Objectifs du Projet :

Pour mener nos investigations, notre sujet de recherche est intitulé : « Modélisation et implantation d'un logiciel de gestion de ressources humaines» et cela nous a permis de nous assigner comme objectifs, en occurrence :

- Automatiser le processus d'engagement des agents

- La procédure de licenciement

- Le pointage de présence

- L'élaboration des différents documents :

§ Note de service

§ Ordre de mission

§ et autres correspondances administratives.

- Automatiser la paie des agents

- La grille d'évaluation mensuelle

b. Objectifs informatique de l'EDC

L'EDC de par la vision de ses responsables, aimerait informatiser toute l'entreprise c'est-à-dire automatiser la gestion de l'électricité  par les compteurs prépayé, la gestion des fonds et aussi le reste des services y compris la gestion des ressources humaines de sa juridiction.

Eu égard à ce dernier objectif, nous confirmons avec fermeté que notre projet lui sera le bienvenu. Donc, tout se passera dans les bonnes conditions sauf imprévues.

1.2.1.3.L'Etude de Faisabilité

Apres analyse du système, cette partie du travail nous permettra de dire clairement, s'il est possible d'atteindre les objectifs que nous nous sommes assignés, compte tenu de certaines contraintes observées.

1. Contraintes Positives

a. Contraintes humaines

Hormis les manoeuvres et la garde industrielle, le reste d'agents de bureau de la société EDC sont capable et connaissent bien l'utilisation de l'outillage informatique.

Dans le même ordre d'idée le chargé de Ressources humaines n'est pas à négliger.

b. Contraintes matérielles

Le service du Personnel de l'EDC Tshikapa possède tous les matériels informatiques requis pour assurer la gestion automatisée de ressources humaines à sa charge et par-dessous tout, il a un courant permanant et stable.

c. Contraintes temporelles

Il a été mis à notre disposition 9 mois durant lequel nous avons pu nous évertuer pour l'élaboration et rédiger le présent travail de fin de cycle et cette période pour atteindre les objectifs nous assignés.

2. Contraintes Négatives

Bien que nous avons jeté des fleurs à l'EDC Tshikapa pour les efforts combien louables fournit, le principe qui se vérifie est qu'il n'y a pas de rose sans épines. Raison pour laquelle nous montrerons noir sur blanc que toutes les taches destinées à être assurer par le chargé du Personnel ne sont pas accomplies par ce dernier.

1.2.2 Planification

La planification consiste à sélectionner des informations et à faire des hypothèses sur l'avenir afin de détenir les activités nécessaires pour atteindre les objectifs de l'organisation ou tentative organisée, consciente et continue de sélectionner les meilleurs alternatives pour atteindre le but précis. Elle consiste à ordonner les taches à réaliser puis les inscrire dans un calendrier. (Jean Paul MUKANYA, 2006, P.25)

Pour ordonner les taches et les inscrire dans un calendrier, nous avons utilisé deux outils de planification dont : la méthode PERT (Program Evaluation and Review Technic) et le diagramme de GANTT, vu que nous nous servirons de la méthode MERISE, les données seront traités grâce à la méthode de RATIOS représentées dans le tableau ci-dessous :

Tableau d'évaluation des tâches

Théorie

Observé

Estimé

Ratios

%

Charge

En J/h

Charge

En J/h

Développement de projet

Nouveau

100%

Analyse

Préalable

Lancement

0.4

 

1

Recueil

4.4

 

10

Conception

5

 

11

Evaluation

1

 

2

Analyse détaillée

22.2

 

48

Réalisation

33

 

71

Tests

34

 

73

Total développement

100

 

216

Tableau de description des tâches

Tâches

Descriptions

DD

FF

FD

DF

A

Lancement

 
 
 
 

B

Recueil

 
 

A

 

C

Conception

 
 

B

 

D

Evaluation

C

C

 
 

E

Analyse détaillée

 
 

D

 

F

Réalisation

 
 

E

 

G

Tests

 
 

H

 

H

Exploitation

 
 

G

 

Légende

DD : lien de début début

DF : lien de début-fin

FD : lien de début-fin

FF : lien de fin-fin

1.2.2.1 METHODE PERT

La méthode PERT (Program Evaluation and Review Technique) que nous traduisons en français par Technique d'Evaluation, et de Révision des Programmes nous permet d'évaluer et réviser le programme en ce qui concerne la planification. Grace à cet outil, nous avons fait la description de l'enchainement de la succession des taches tout en tenant compte des conditions d'ordonnancement qui sert de liaison entre eux.

- Ce réseau vise à estimer, réduire et contrôler le délai de récupération

- Il permet de suivre le déroulement des activités par rapport au sous emploi et à la disponibilité des ressources afin d'atteindre un prix de revient optimal

- Il permet de coordonner les différentes activités.

Voici ci-dessous la présentation des différentes taches sous forme des rectangles et les liens qui existent entre elles (flèches).

Dx=11 Fx= 22

C m=0

Dy=11 Fy=22

Dx=0 Fx= 11

B m=0

Dy=1 Fy=11

Dx=0 Fx= 1

A m=0

Dy=0 Fy=1

1 10 11

Dx=211

H m=5

Dy=216

Dx=138 Fx=211

G m=5

Dy=143 Fy=216

Dx=67 Fx= 138

F m=5

Dy=72 Fy=143

Dx=19 Fx= 67

E m=5

Dy=24 Fy=72

Dx=17 Fx= 19

D m=5

Dy=22 Fy=21

2 48 71 73

Tableau de calcul de Marge

Tâches

Durée

Dx

Dy

Fx

Fy

Marge

A

1

0

0

1

1

0

B

10

1

1

11

11

0

C

11

11

11

22

22

0

D

2

17

22

19

21

5

E

48

19

24

67

72

5

F

71

67

72

138

143

5

G

73

138

143

211

216

5

H

-

211

216

-

-

5

DIAGRAMME DE GANT

 
 
 
 
 
 
 

TEMPS EN

TACHES

OCT

2010

NOV

2010

DEC

2010

JANV

2011

FEV

2011

MARS

2011

AVRIL

2011

MAI

2011

JUIN

2011

LANCEMENT (A)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

RECEUIL (B)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

CONCEPTION (C)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

EVALUATION (D)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

ANALYSE DETAILLE (E)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

REALISATION (F)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

TEST (G)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

EXPLOITATION (H)

 
 
 
 
 
 
 
 
 

Cet outil appelé calendrier des opérations sert à contrôler l'emploi du temps afin de rester dans les limites de temps fixe. Le tableau ci-dessous présente la répartition temporelle des taches dont en colonne exprimé en mois et en lignes les différents tâchent constituant le projet.

Les traits au milieu du tableau indiquent les nombres de jours pendants lesquels la tache a été réalisée.

1.2.1.RECUEIL ET DIAGNOSTIC

1.2.3.1. LE RECUEIL

A cette partie du travail nous nous faisons la peine de définir et de qualifier le système d'information en place pour nous permettre de comprendre le fonctionnement actuel de l'EDC pour y arriver, nous allons nous appesantir sur les quatre facteurs suivants :

- Les acteurs

- Les flux

- Les processus

- Les vocabulaires

a. Les acteurs

Apres investigation nous avons recensé plusieurs intervenants dans le traitement de l'information du personnel de la société cible et nous les avons regroupés dans deux catégories dont :

Ø Acteurs internes :

Les acteurs internes dont il est question ici sont les différentes personnes oeuvrant au sein du département qui gère les ressources humaines de l'EDC. Pour le cas d'espèce, ce département est dirigé par une personne, qui est le chef du personnel.

Le Chef du Personnel

Est une personne chargée de coordonner et de promouvoir les activités réalisées par l'ensemble des personnes oeuvrant dans l'entreprise. Il sert de charnier entre le top manager et les agents d'exécution. Il se charge de transmettre les idéologies des dirigeants aux autres employés en vue de la bonne marche des activités. Il rédige les différentes correspondances administratives adressées aux employés, au public ...

Ø Acteurs externes :

Sont les personnes travaillant au sein ou en dehors de l'EDC mais qui échange des informations avec le département de la gestion de ressources humaines. Parmi eux nous avons : les administrateurs gérants, le manager, le superviseur, le directeur technique, le responsable de production, le chargé de distribution, le caissier, le comptable, les responsables de cabines, les operateurs de production, la garde industrielle.

Concernant leurs rôles et le flux qu'ils échangent avec ce département nous consulteront le point qui traite du fonctionnement et rôle de chacun.

b. Les flux

Les flux sont des différentes informations qui sont échangés entre les acteurs. Ces informations sont le plus souvent échangées sur des supports tout en respectant un certain formalisme. Ci-dessous nous vous présentons en forme d'un diagramme les différentes informations circulant entre les différents postes de travail lors du traitement d'informations dans la gestion de Ressources humaines.

Manager

Adm & RH

Superviseur

Directeur Technique

Finances

Journaliers

Employés

4 3 1 2 3 4

5 3

6 7 8

Légende

1. Instructions et autres correspondances administratives

2. Réponse si nécessaire

3. Rapports des travailleurs

4. Instructions et Notes de service

5. Rapport de paie des journaliers

6. Fonds à donner aux journaliers

7. Paie des journaliers

8. Observations sur les agents techniques

SCHEMA DE CIRCULATION ET DE TRAITEMENT DE L'INFORMATION.

Ce présent tableau vous présent l'enchainement des différents traitements à travers des opérations réalisées par chaque poste de travail et les supports des données utilisées pour la consultation ou le traitement en entrée et en sortie.

Les cercles représentant les événements qui expliquent les différentes opérations tandis que les rectangles représentent les opérations elles-mêmes.

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

Besoin

En RH

Dossier

Dossier

Orignal dossier

Copie scellé

Dossier

Dossier

Dossier approuvé

Dossier et instruction

 
 
 
 
 
 

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

Réponse

Appréciations

Appréciations

Appréciations

OU

Instructions

Contrat

Contrat

Copie contrat

Contrat signé

Demande d'emploi

Durée

Départ

Copie contrat

 
 

OP.13Réception et signature du contratToujours

 
 
 

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

Listes de présence

Fin du mois

ET

Rapport du personnel

Toujours

Prestation

Rapport de présence

Fin du mois

Grille d'évaluation

 
 
 
 
 
 

I.2.3.2 DIAGNOSTIC

Après avoir analysé petit à petit le fonctionnement de l'EDC, nous voici arrivé au point où nous nous faisons l'obligation d'exhiber les quelques faiblesses rencontrées dans le traitement de l'information sur la gestion des ressources humaines, ainsi que les solutions y afférents

a. Critiques de l'existent

1. Critique Positives

Il s'avère important pour nous, de pouvoir jeter des fleurs à la société EDC pour les efforts fournis dans l'organisation den ses activités et les points parmi lesquels nous avons apprécié nous pouvons citer :

§ La permanence et la stabilité du courant

§ Chaque agent à la maitrise de l'utilisation de l'outil informatique et chaque bureau est doté d'un ordinateur.

§ L'EDC a un réseau local d'entreprise qui permet d'échanger les informations rapide.

b. Critiques Négatives.

Bien que nous ayons apprécié du talon aux cheveux la société EDC , les français disent qu'il n y a pas de rose sans épines c'est par cet adage que nous épingler les quelques difficultés éprouvées par l'EDC en général et la cellule du personnel en particulier dans la gestion de ses employés ces facteurs sont les suivants :

§ Tous les agents employés et chargé de chapoter chacun au moins une branche n'ont pas de job descriptions qui leurs montre ce qu'ils doivent faire et comment ils le doivent.

§ L'organigramme de l'entreprise ne donne pas une structure clair et nette pouvant permettre à chaque agent de connaitre de qu'il dépend et à qu'il doit précisément donner rapport.

§ L'évaluation du personnel est faite par superviseur et non par le chef du personnel.

§ Le chef du personnel n'étant pas limité sur la gestion du personnel de son entreprise certaines tâches les passent par-dessus bord

§ Bien que détenant l'outil informatique adapté, le chef du personnel de l'EDC continue à traiter, de gérer ce secteur d'activité manuellement. Ces informations étant tenues manuellement court le risque de perte et accessibilité.

c. Proposition de pistes des solutions

En vue de sortir le chargé du personnel dans le gouffre dans lequel il se trouve actuellement et moderniser ce service nous avons proposé ce qui suit comme solutions indispensables ;

§ Pour permettre chaque agent de connaitre ce qu'il doit faire, il serait mieux de mettre à leurs dispositions un document reprenant et détaillant les taches que doit accomplir chacun d'eux.

§ L'organigramme est outil indispensable dans l'entreprise qui démontre l'arborescence des structures dans une entreprise. Il mérite d'être soigneusement élaboré et mis à la disposition des employés pour les permettre de savoir à qu'ils doivent donner des rapports et de ce qu'ils doivent recevoir des instructions.

§ Le chef du personnel étant chargé du recrutement du personnel, il mobilise, coordonne, contrôle les activités réalisées par les agents à la satisfaction (et) des travailleurs et de l'employer.

Par la voie de conséquence, il est tenu à l'obligation d'évaluer chacun d'eux et de fournir le rapport à l'Administratif et l'administratif au superviseur et non le contraire.

§ Quand on confie à quelqu'une la responsabilité, il convient de pouvoir organiser les séminaires de formation pouvant le permettre de se familiariser à cette nouvelle fonction et relie ver la qualité de son rendement professionnel.

§ Pour l'aider à ne pas commettre des erreurs Administratives et garder en permanence les informations sur chaque employer, nous proposons la conception du logiciel d'aide à la gestion du personnel comme moyen propice.

Ainsi, toute personne désirant l'emploi à la société cible doit déposer sa lettre de demande d'emploi pour les uns et de demande de stage pour les autres (Technicien) à la cellule du personnel et ce dernier informe l'administratif analyse et s'informe à la branche pour laquelle le candidat sollicite l'emploi en vue dd savoir s'il y a besoin ;si besoin il ya le dossier est transmis chez le superviseur pour étude et remarques. Au cas où c'est accepter le superviseur recommande à l'administratif de faire appel à ce candidat.

§ L'Administratif intime l'ordre au CP de faire appel au candidat. Le CP intime le candidat et lui demande d'écrire une lettre demande d'emploi. Le candidat écrit la lettre lui exigée et remet le dossier au CP le C.P l'oriente au service qui pourra l'utiliser. Pendant la période de stage, ce candidat est évaluer le chef de la cellule qui l'utilise et fournit le rapport d'évaluer le chef de la cellule qui l'utilise et fournit le rapport d'évaluation au C.P si le rapport est positif, à la fin de la période de stage l'intéresser est envoyé au superviseur pour la conclusion du contrat de travail. Si le rapport est négatif le CP lui écrit une lettre de remerciement et le candidat s'en va.

Nouveau Schéma

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Administratif

Superviseur

Besoin

En RH Technicien

Demande acceptée

Rejet

Lettre d'offre d'emploi

Besoin en RH non technicien

OU

Demande de stage

Dossier

 

OP.1

Réception et analyse besoinNONOUI

OP.2

Emission lettre d'offre d'emploi

Toujours

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

Dossier

Dossier

OU

Réponse

Instruction

Dossier

Dossier

Dossier

Réponse négative

 

OP.4

Réception et enregistrement en deux exemplaires

Toujours

OP.5

Réception et étude du dossier Non techniqTechnicien

OP.7Rédaction lettre de réponse et transmissionToujours

OP.9Analyse des instructions et réponse au candidatToujours

OP.6Réception et analyse du dossier techniquesNONOK

OP.8Réception analyse et appréciation sur le dossierToujours

 

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

réponse

Durée

Appréciation

Appréciation

Appréciation

ET

Instruction

Départ

Réponse

Départ

Prestation

OP.10Transmission lettre de réponse Toujours

OP.13Appréciations,

Suggestions et réponse au candidatToujours

 
 
 
 

Candidats

Secrétariat

Ressources Humaines

Directeur Technique

Superviseur

Employés.

Contrat signé

Copie contrat

Début du jour

ET

Prestation

Réponse favorable

Contrat Validé

 
 
 
 
 
 

I.2.4. CAHIER DE CHARGE

Le cahier de charge est un document par lequel un technicien propose a son fournisseur le type de fourniture dont il a besoin pour accomplir ou réaliser son travail. Dans le cadre de notre travail nous avons proposé deux types de cahiers de charge dont :

· Cahier de charge de matériel informatique

· Cahier de charge de logiciel

I.2.4.1. Cahier de charge de matériels s informatiques

· Un ordinateur de marque ASUS, avec disque dur d'au moins 80 G.O,

· 2 lecteurs CD dont un graveur,

· 4 Port USB

· Un scanner

· Une caméra numérique

· 2 imprimantes : LAZER et Jet d'encre

Cout total pour l'achat de ses matériels informatiques et évaluer à 1.500$ (Mille cinq cent dollars).

I.2.4.2. Cahier de charge de logiciel

· Windows XP Professional. 50$

· OFFICE 2003 50$

· M.S Visual Basic 6.0 100$

· Antivirus (Norton 2010) 50$

Cout total : 250$(Deux cent cinquante Dollars).

Description des supports utilisés.

Dans le traitement de l'information le chef du personnel de l'EDC utilise les différents documents parmi eux, il ya ceux qui accuse l'entrée de données dans la branche et d'autres sanctionne la sortie.

A. Documents d'entrée de données

· Demande d'emploi ou de stage

· Diplôme ou son équivalent

· Ordre de mission

· Lettre d'affectation

· La fiche de présence

B. Document de sortie des données

Le Chargé du Personnel émet :

· Les notes de services

· Les lettres de demande d'exploitation

· Les lettres de mis à pied

· Les lettres Licenciement

· La fiche de paie.

CHAPITRE DEUX : ANALYSE DETAILLE ET TECHNIQUE.

II.1. MODEL CONCEPTUEL DE COMMUNICATION

En vue de mettre à nu les échanges des données effectuées au sein de l'EDC le model conceptuel ou le schéma conceptuel des données en d'autres termes ci-dessous facilite la tâche.

Chef du personnel

Candidat

Superviseur

Directeur Technique

Dossier

Réponse Instructions Dossier

Prestation

Dossier rapport personnels rapport de prestation

II.2. MODEL CONCEPTUEL DES DONNEES

II.2.0. Généralités

Pour permettre la présentation transparente des données d'un système d'information, nous nous sommes servis du schéma conceptuel des données qui se fait au moyen des concepts (ternes) dont la mise en oeuvre abouti à une représentation sous forme des rectangles et des flèches qui les lies.

A fin de faire comprendre à nos lecteur le bien fondé de ce schéma, nous nous faisons la peine de définir le concept tel que propriété, entité, identifiant, association et cardinalité.

II.2.0.1. Propriété.

Une propriété désigne bien le plus petit élément d'information manipulable par le concepteur lors de formalisation. Cette propriété se décrit toujours par son nom, elle prend une valeur dans un domaine de valeur et doit avoir un sens dans ce système étudié. Exemple, Nom de la personne, date de naissance âge, etc...

II.2.0.2. Entité

Une propriété étant définie comme une donnée élémentaire ou une rubrique, l'entité quand à elle est considérée comme un groupe des données ou une classe d'objets du monde réel et de même nature.

Exemple :

Personne

Numéro

Nom

Post nom

Age

Sexe

Entête de l'entité

Propriétés

II.2.0.3. Identifiant

Un identifiant peut être définie comme une propriété ou groupe des propriétés qui joue un rôle particulier pour permette de distingue chaque occurrence de l'entité par rapport à toute les autres et cet identifiant est appelé en d'autres terme clé primaire qui doit toujours être souligné pour être différenciées du reste. Si nous nous serrons du même exemple on notera :

Personne

Numéro

Nom

Post nom

Age

Sexe

Entête de l'entité

Identifiant

Propriété

II.2.0.4. ASSOCIATION

L'entité regroupant les données qui lui appartiennent à elle et elle seule et qui sont enregistré une et une seule fois l'association à son tour enregistré les données qui ont trait à plus au moins deux tables.

Le nom de cette association doit être généralement un verse d'action et est l'entrer prétable dans le servis du lien

Exemple : Entité 1 Entité 2

Affecter

SALARIE

 

N°duclient

Adresse

Tel

SERVICE

N°service

Description

Association

II.2.0.5. CARDINALITE

La notion de cardinalité complète la description du système d'information et explicite le lien entre entité et association. Cette opération est bien sur mesurée au moyen d'un couple de valeurs appelé cardinalité maximum et cardinalité minimum.

Association

La cardinalité indique le nombre d'occurrence pouvant participer dans une entité alors que la cardinalité max indique le nombre d'occurrence pouvant participer dans une entité au max.

Entité

 

Entité

 

mix,max max,min

II.2.1. REGLE DE GESTION.

Une règle de gestion est un élément de description global, de fonctionnent de l'organisation.

Pour arriver a démontré le fonctionnement de l'EDC dans la gestion du personnel de sa juridiction, les règles de gestion en occurrence ont été établies :

1. Chaque poste de travail est identifié par son code il a une appellation, des biens, meubles et immeubles, un personnel, candidats.

2. Chaque travailleur est identifié par un numéro, il a un nom, catégorie un sexe, une date de naissance, date d'engagement, une nationalité, adresse physique, adresse mai, no Tel et peut être affecté à un poste, no matricule. Travailler durant une période.

3. Chaque bien est identifié par un code, il a une description, une marque, date d'acquisition et peut être géré par travailleur.

4. Chaque période est identifié par un code et a une description

5. Chaque catégorie est identifiée par un code, elle a une description.

II.2.2. DICTIONNAIRE DES DONNEES

Pseudo Code

Signification

Domaine de valeur

Commentaire

Règle de gestion

Type

Longueur

Codepostal

Code du poste de travail

Texte

4

1000-1999

>999 et <2000

Appelposte

Appellation du poste de travail

Texte

50

 
 

Numtrav

Numero du travailleur

Numérique

4

2000-2999

 

Nomtrav

Nom du travailleur

Texte

40

 
 

Sexetrav

Sexe du travailleur

Texte

1

 
 

Datenaisstrav

Date de naissance du travailleur

Date

 
 
 

Datengagtrav

Date d'engagement travailleur

Date

 
 
 

Datelicetrave

Date de licenciement travailleur

Date

 
 
 

Nationtrav

Nationalité du travailleur

Texte

50

 
 

Adressphystrav

Adresse physique du travailleur

Texte

50

 
 

Adressmailtrav

Adresse mail du travailleur

Texte

20

 
 

Numteltrav

Numéro téléphone du travailleur

Numérique

10

 
 

Mattrav

Matricule du travailleur

Texte

10

 
 

Cocat

Code de la catégorie

Texte

4

I-IV

 

Descat

Description de la catégorie

Texte

50

 
 

Numcadi

Numéro du candidat

Numauto

 
 
 

Nomcandi

Nom du candidat

Texte

50

 
 

Sexecandi

Sexe du candidat

Texte

1

 
 

Datenaisscandi

Date de naissance du candidat

Date

 
 
 

Adressphycandi

Adresse physique candidat

Texte

50

 
 

Codebien

Code du bien meuble et immeuble

Texte

4

 
 

Designbien

Designation du bien

Texte

100

 
 

Dateacqbien

Date d'acquisition du bien

Date

 
 
 

Codeperiod

Code de la periode

Texte

7

 

01/2011

II.2.3. DEPENDANCE FONCTIONNEL

A. Matrice de dépendance fonctionnelle.

Propriétés

sources

Propriétés buts

Code poste

Num Trav

Cocat

Num candidat

Code bien

Code period

Apelposte

+

 
 
 
 
 

Montrav

 

+

 
 
 
 

Sexetrav

 

+

 
 
 
 

Datenaiss trav

 

+

 
 
 
 

Date engag trav

 

+

 
 
 
 

Date licetrav

 

+

 
 
 
 

Nationtrav

 

+

 
 
 
 

Adressphytrav

 

+

 
 
 
 

Adressmail trav

 

+

 
 
 
 

Rumteltrav

 

+

 
 
 
 

Mattrav

 

+

 
 
 
 

Descat

 
 

+

 
 
 

Moncandi

 
 
 

+

 
 

Sexe candi

 
 
 

+

 
 

Date naiss candi

 
 
 

+

 
 

Adressphycandi

 
 
 

+

 
 

Designbien

 
 
 
 

+

 

Date acqbien

 
 
 
 

+

 

Libelperiod

 
 
 
 
 

+

B. Graphe de dépendance fonctionnelle

Numtrav

- Nomtrav

- Mattrav

- Sexetrav

- Datenaistrav

- Adressephytrav

- Emailtrav

- Nattrav

- Numteltrav

- Dateengagtrav

- Fonctiontrav

- Datelicetrav

Refsanctiontrav

- Objetsanct

- Copieinformsancttrav1

- Copieinformsancttrav2

- Dateelabodoc

- Datedebutsanct

- Datefinsanct

- Nbrejoursanct

- causesanct

Numcandi

- Nomcandi

- Datenaiscandi

- Adrephyscandi

- Numtelcandi

Codeaffecttrav

- Motifaffecttrav

- Lieuaffecttrav

- Dateaffecttrav

Numordrefichpres

- Nomtrav

Numaffeccandi

- Motifaffectcandi

- Dateaffectcandi

- Lieuaffectcandi

Codebien

- Descbien

- Prixacqbien

- Dateacqbien

Codeposte

- Appelposte

Cocat

- Descat

Numsanction

- Descsanction

Codeperiode

- Libelleperiode

Codeevaltrav

- Critereevaltrav

- coteevaltrav

Refnoteserv

- Objetnoteserv

- Detailnoteserv

- Datenoteserv

- Nomsignnote

- Fonctsignnote

II.2.4. REALISATION DU M.C.D

Avoir

Affecter candi

Motifaffect

Numaffectcandi

Dateaffectcandi

Lieuaffectcandi

Affecter trav

Numaffect

Motifaffecttrav

Lieuaffecttrav

Dateaffecttrav

Sanctionner

Refsanct

Objetsanct

Copieinformsansttra1

Copieinformsansttra2

Date labodoc

Datedebutsanct

Datefinsanct

Nbrejour sanct

Conseqsanct

causesanct

Couvrir

Evaluer

Codeeval

Critereeval

coteeval

Appartenir

Marquer

Numordrefich pres

Heurearrivee

Datejour pres

Observ pres

II.3. ETAT TECHNOLOGIQUE (M.LD)

1) Catégorie (Cocat, Desccat)

2) Travailleur (Numtrav, Nomtrav, Mottrav, sexetrav, Datenaistrav, Adressephystrav, Emailtrav, Numteltrav, Dateengagtrav, Foncttrav, Datelicetrav, Cocat #)

3) Période (codeperiode, Libelleperiode) Note de service

(Refnoteserv,Objetnoteserv, Detailnoteserv, Datenoteserv, Nomsignnote, Numtrav)

4) Marquer (Numordrefichepres, Datejour pres, Heurearrivee,Codeperiode, Numtrav)

5) Evaluer (Codetrav, Codeperiode, Numtrav, Nomtrav, Critereevaltrav, Coteeval)

6) Poste (codeposte, Appelposte)

7) Affecter travailleurs (Numaffecttrav, codeposte, Numtrav, Nomtrav, Motifaffecttrav,Lieuaffecttrav,Dateaffecttrav)

8) Sanctions (Numsanct,Descsanction)

9) Sanctionner(Refsanct ;Numtrav,Numsanct,Nomtrav,Descsanction,Objetsact,

Copieinformsanct1,Copieinformsanct2,Dateelabodoc,Datedebutsanct,Datefinsanct,Nombrejoursanct,conseqsanct,causesanct).

10) Candidat (Numcandi,Nomcandi,Sexecandi,Adrephyscandi,Numtelcandi)

11) Affecterlescandidats(Numaffectcandi,codeposte,Numcandi,motifaffectcandi,Dateafffectcandi,Lieuaffectcandi,Nomposte,Nomcandi)

12) Immobilisations(Codebien,Descbien,Prixacqbien,Dateacqbien,Codeposte).

II.4. MODEL PHYSIQUE DES DONNEES

251681792

I.5Model Conceptuel De Traitement

(Jean Paul MUKANYA, 2011, Pge 115).

Le Model Conceptuel de Traitement (MCT) est constitué d'un enchainement d'opérations. Chaque opération est déclenchée par un événement unique ou par plusieurs événement liés par une condition de synchronisé. L'opération exécute alors des techniques et produit un ou plusieurs résultats qui peuvent être éventuellement commandés par des règles d'émission.

Les événements déclencheurs sont représentés par des cercles, ils peuvent être eux -même le résultat d'une autre opération. Les résultats de l'opération sont représenté par des cercles, ils peuvent eux-mêmes devenir des événements déclencheurs pour d'autres opérations. L'opération est représenté un rectangle avec en partie supérieur le nom de l'opération, et à l'intérieur les principaux traitements réalisés, ce sont les actions, la figure supérieure représente la synchronisation. A l'intérieur est inscrite la condition de déclenchement de l'opération (E1 et E2) en toute expression logique plus complexe. Les conditions d'émission figurent en bas du rectangle (si R=o alors émettre R2, sinon émettre R1).

II.5.1. Règles De Gestion.

- Le chef du personnel reprend la liste de présence des travailleurs qu'il enregistre dans le programme au début de la journée.

- A la fin du mois le chef du personnel prépare les grilles d'évaluation pour chaque agent et transmet au superviseur comme rapport et une copie réservée au travailleur

- Le chef du personnel émet des lettres Administratives aux agents en cas de défaillance du travailleur ou des notes de services

- Le chef du personnel reçoit en cas de besoin des différentes lettres de demandes d'emploi de candidat qu'il traite et dépose au service concerne si c'est un technicien le dossier est transmis chez le Directeur Technique si non chez l'Administratif si le candidat est retenu, il lui écrit une lettre de début de stage et six mois après en cas de satisfaction le chef du personnel prépare un contrat que le candidat contre signe avec le superviseur.

- L e chef du personnel prend la paie des journaliers.

II.5.2. Diagramme des flux

Superviseur

Comptabilité

Ressources humaines

Travailleurs

Journaliers

Directeur Techniques

Manager

Rapport agents rapport paie

Argent a payé aux journaliers

Note de service et grille évaluation rapport agents

Argent

II.5.3 Graphe des Flux

Enregistrement

Des listes de présences

Dossier

Contrat

Liste personnel

Début du jour

Fin du mois

Argent

Grille de salaire

Lettre administrat

Liste d'évaluation

II.5.4. Présentation Du Model Conceptuel De Traitement

Dossier

Dossier refusé

Dossier accepté

Candidat engagé

Liste personnel

Début du jour

ET

Liste de présence

Fin du mois

Lettre administrative

Prime + lettre d'encouragement

Fin du mois

O.P1

Analyse et transmission

NON

OUI

O.P2

Conclusion et signature contrat

Toujours

O.P3

Elaboration liste définitifs agents

Toujours

O.P5

Elaboration grille d'évaluation

Faible

OK

O.P4

Enregistrement

Listes de présence

Chaque jour

O.P3

Salaires

Toujours

Argent

II.6.Chaine Fonctionnelle

Période

Nature

Ressources Humains

Superviseur

Comptabilité

Directeur Technique

Travailleur

Candidat

Dossier

Lettre vague

Dossier accepté

Candidat engagé

Copie liste de travaille

Prestation

Liste de personnel

Date

ET

Manuel

Manuel

Automatique

 

OP.1

Réception et analyse des dossiers

OKNON

OP.2

Conclusion et signature du contratToujours

OP.3Elaboration

Liste de présenceToujours

OP.4

Enregistrement travailleurs sur la machineToujours

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

II.6.2. Fiches descriptives de procédure fonctionnelles.

Fiches descriptives de procédure fonctionnelles

EVENEMENTS

Entrées : Dossier

Sorties : Lettre vague ou dossier

Environnement.

Poste de travail : Département de ressources Humaines.

Type de traitement : Manuel

Période d'activité : Lundi - Vendredi

Volume (moyen) : 4 dossiers

Durée d'exécution : 20 minutes

Résumé du traitement

Chaque candidat apporte son dossier au bureau du chef du personnel. Les reçoit analyse et lui réserve une réponse ; Au cas où le dossier et unitive une réponse vague lui est réservée ; Si c'est utile, le dossier est accepté et gardé. 

Fiches descriptives de procédure fonctionnelles

EVENEMENTS

Entrées : Dossier accepté

Sorties : Candidat engagé

Environnement.

Poste de travail : Département de ressources Humaines.

Type de traitement : Manuel

Période d'activité : Lundi - Vendredi

Volume (moyen) : 1 dossier

Durée d'exécution : 25 minutes

Résumé du traitement

Le candidat étant déjà retenu devra procéder à la signature de contrat de travail. 

Fiches descriptives de procédure fonctionnelles

EVENEMENTS

Entrées : Candidat engagé

Sorties : Liste de personnel

Environnement.

Poste de travail : Département de ressources Humaines.

Type de traitement : Automatique

Période d'activité : Lundi - Samedi

Volume (moyen) : 1 liste

Durée d'exécution : 20 minutes

Résumé du traitement

Le charger du Personnel imprime une liste des travailleurs où chaque agent signe la présence

Fiches descriptives de procédure fonctionnelles

EVENEMENTS

Entrées : Candida engagé

Sorties : liste de personnel

Environnement.

Poste de travail : Département de ressources Humaines.

Type de traitement : Automatique

Période d'activité : Lundi - Samedi

Volume (moyen) : 1liste

Durée d'exécution : 30 minutes

Résumé du traitement

Le charger du Personnel enregistre sur son ordinateur la liste des travailleurs  et les heures d'arrivée de chaque jour.

II.7. Model Opérationnel De Traitement

Menu Bienvenue

Menu Principal

Menu Bienvenue

Mot de passe

Mot de passe

Zone auteur

Menu Sortie

Note de Service

Fiche de Presence

Grille d'evaluation

Lettre de mis à pied

Menu Entrées

Periode

Travailleur

Note de service

Marquer

Evaluer

Affecter travailleur

Poste

Sanctionner

Sanctions

Affecter Candidat

Candidat

Immobilisation

CHAPITRE TROIS :

REALISATION DU LOGICIEL DE GESTION DE RESSOURCES HUMAINES.

III. SYSTEME DE GESTION DE BASES DES DONNES.

III.1.1. Définition :

Un système de gestion de bases des données (SGBD) est un ensemble des logiciels qui manipule le contenu des bases des données.

Il permet d'organiser, contrôler, consulter et modifier la base des données. Il existe plusieurs sortes des systèmes de gestion de bases des données sur ce nous prouvons citer : Oracle, FoxPro, MySQL, Informix, D BASE. MS ACCES etc.

III.1.2. Choix du système de gestion de bases des données

Vu l'indisponibilité de la plupart des systèmes de gestion de bases des données ci-haut cité, nous allons travailler avec Access de la société MICROSOFT.

III.2. La base des données

Comme définit précédemment, la base des données est l'ensemble (cohérent, intégré, partagé) des informations nécessaires au fonctionnement de l'entreprises, ces informations sont gérer par un logiciel appelé (SGBD).

Pour ce qui concerne le type des bases des données nous vous prierons de vous référer au premier chapitre du présent travail. Personnellement avons utilisés le type de base des données relationnel.

II.2.1. Tables

Est un espace mémoire disponible à la conservation de la base des données notre base des données.

III.2.2 Requête

Est le moyen le plus simple qui nous permet de questionner notre base des données et d'obtenir de résultat escompté.

III.2.3. Formulaires.

Objet de la base des données Access, sur lequel on peut placer le contrôle permettant d'exécuter des actions, d'entrer, d'afficher et de modifier des données dans de champ.

Dans le cache de ce travail, nous avons crée un formulaire pour chaque table. Ex : Formulaire recensement employés.

III.2.4. Etat

Appelé aussi rapport. L'état est une page imprimable, qui permet d'afficher ces différents résultats sur les enregistrements. Ici dessous nous vous présentons un exemple de l'Etat :(fiche de Présence)

III.3 Choix du Langage de Programmation

Quant au choix du langage nous avons préféré travailler avec Visual Basic parce qu'il est un des langages les plus utilisés pour l'écriture d'applications commerciales.

III.3.1 Historique

VB 1.0 a vu le jour en  1991. Le principe de connexion d'un langage de programmation avec une interface utilisateur graphique est dérivé d'un prototype appelé Tripod, développé par  Alan Cooper. Microsoft avait alors contacté Cooper et ses associés pour développer un Shell programmable pour  Windows 3.0, sous le nom de code Ruby (aucun lien avec le  langage de programmation Ruby).

Tripod ne contenait aucun langage de programmation et Ruby contenait uniquement un processeur de commandes rudimentaire suffisant pour tenir le rôle d'un Shell Windows. Finalement, Microsoft décida d'utiliser le simple Program Manager comme Shell pour  Windows 3.0, à la place de Ruby, et de combiner Ruby avec le langage  Basic pour créer Visual Basic.

Ruby a fourni la partie « Visual » de Visual basic - L'éditeur de fenêtres et les outils d'édition - associé avec la possibilité de charger des librairies dynamiques, contenant des contrôles additionnels (qui s'appelaient alors des « gizmos »). Les extensions « gizmos » de Ruby devinrent par la suite l'interface VBX.

§ Le projet `Thunder' est lancé

§ Visual Basic 1.0 ( mai  1991) pour Windows est présenté au Comdex/Windows à Atlanta, Géorgie.

§ Visual Basic 1.0 pour  DOS est présenté en  septembre  1992. Le langage n'était pas totalement compatible avec Visual Basic pour Windows, car il était en fait la nouvelle version des compilateurs Microsoft BASIC pour DOS,  Quick Basic et BASIC Professional Development System. L'interface était en mode texte et utilisait le jeu de caractères  ASCII étendu pour simuler une interface graphique.

§ Visual Basic 2.0 est présenté en  novembre  1992. L'environnement de développement était plus facile à utiliser et la vitesse avait été améliorée. Un fait marquant était que les formulaires étaient devenus des objets instanciables, posant ainsi le concept de base de modules de classe, qui devinrent plus tard disponibles dans VB4.

§ Visual Basic 3.0 fut présenté pendant l'été  1993, disponibles en édition Standard ou Professionnelle. VB3 intégrait la version 1.1 du  moteur de base de données  Microsoft Jet, qui pouvait lire et écrire les bases de données Jet (ou Access) 1.x.

§ Visual Basic 4 ( août  1995) a été la première version qui pouvait générer des programmes Windows 16 et/ou 32 bits. Cette version introduisait également la possibilité d'écrire des classes sans interface utilisateur. Des incompatibilités entre les différentes versions de VB4 causèrent des problèmes d'installation et de fonctionnement.

§ La version 5.0 de Visual Basic, sortie en  1997 ne fonctionnait plus qu'avec les versions 32 bits de Windows. Les programmeurs préférant développer des applications 16-bits pouvaient importer les programmes de VB4 vers VB5, et inversement. Visual Basic 5.0 a aussi introduit la possibilité de créer des contrôles utilisateurs personnalisés ainsi que la possibilité de générer des exécutables Windows natifs, ce qui améliorait la vitesse d'exécution des programmes effectuant beaucoup de calculs.

§ Visual Basic 6.0 (mi- 1998) a apporté de nombreuses améliorations dans différents domaines, notamment la possibilité de créer des applications Web-based.

CONCLUSION GENERALE

La gestion du personnel est une tâche délicate dans l'entreprise compte tenu de l'importance du facteur humain dans une société.

Dans ce travail, hormis l'introduction et la conclusion, avons commencé par définir les principaux concepts ayant trait à notre sujet d'étude. Le chapitre suivant était consacré à une analyse approfondie, technique et détaillée de l'entreprise, cette analyse était très capital pour nous car, elle nous a permis de pouvoir abordé le chapitre trois et le dernier avec toute force. Le troisième chapitre était essentiellement consacré à la réalisation de programme de gestion de l'entreprise.

A notre humble avis, la gestion du personnel au sein de l'électricité du Congo pourra bien marcher avec le nouvel outil de travail mis à leur disposition.

Nous prierons aussi aux responsables de l'EDC planifié des formations professionnelles chaque année pour permettre aux agents particulièrement au responsable de ressources humaines d'être apte aux exigences de cette tache.

BIBLIOGRAPHIE

I.OUVRAGES

1. PINTO et GRAWITZ : Méthodes des sciences sociales : Paris, 1971

2. Dictionnaire universelle

II. NOTES DE COURS

1. DI GALLO Frédéric, cours de Génie Logiciel, inédit, cycle probatoire, CNAM BORDEAUX, 1999-2000, P. 24, tiré du site  www.développer.com.

2. Nebil Ben BESSIB et Khaled RAOUADI, Cours d'informatique général : Tunis 2007

3. Paul Mukanya. Cours de Méthode d'analyse informatique ISC/TPA 2010-2011.inédit.

4. Pascal Mulumba T. Cours de Méthodes d'analyse informatique ISC/TPA 2009-2010. Inédit

5. Jacob Mbombo. Cours de Technique de Banque de Données. ISC/TPA, 2009-2010, Inédit.

6. Eugene Diiwula. Cours de Méthodes de Recherche Scientifique G2,ISC/TPA, 2009-2010.Inédit.

IV. SITES INTERNET

1. www.Google.fr

2. www.edc-rdc.com

3. www.commentcamarche.net

4. www.wipikedia.com

5. www.développer.com

6. www.Dictofr.com

TABLE DE MATIERE

Page

INTRODUCTION GENERALE.......................................................................1

PROBLEMATIQUE.....................................................................................2

HYPOTHESE.............................................................................................3

CHOIX ET INTERET DU SUJET.....................................................................3

SUBDIVISION DU TRAVAIL........................................................................4

DELIMITATION DU TRAVAIL......................................................................5

SIGLES ET ABREVIATIONS.........................................................................6

CHAPITRE PREMIER DEFINITION DES CONCEPTS ET L'ETUDE PREALABLE.............................................................................................6

BREF HISTORIQUE....................................................................................7

SORTES D'INFORMATIQUE.........................................................................10

ORDINATEUR............................................................................................11

TYPES D'ORDINATEURS.............................................................................14

SYSTEMES D'EXPLOITATIONS....................................................................................15

ROLE D'UN SYSTEME D'EXPLOITATION.......................................................16

LOGICIEL..................................................................................................17

GESTION..................................................................................................18

BASES DES DONNEES.................................................................................20

PROGRAMMATION.....................................................................................21

L'ETUDE PREALABLE.................................................................................22

MISSION DE L'EDC.....................................................................................23

ORGANIGRAMME......................................................................................25

ETUDE D'OPPORTUNITE.............................................................................26

METHODE PERT.........................................................................................27

TABLEAU DE CALCUL DE MARGE...............................................................30

DIAGRAMME DE GANT...............................................................................31

RECEUIL ET DIAGNOSTIC............................................................ ..............32

SCHEMA DE CIRCULATION D'INFORMATION................................................33

DIAGNOSTIC..............................................................................................37

NOUVEAU SCHEMA....................................................................................39

CAHIER DE CHARGE...................................................................................43

CHAPITRE DEUX ANALYSE DETAILLE ET TECHIQUE.......................................45

REGLES DE GESTION...................................................................................47

DICTIONNAIRE DES DONNEES......................................................................47

DEPENDANCE FONCTIONNEL.......................................................................49

REALISATION DU MCD.................................................................................51

ETAT TECHNOLOGIQUE...............................................................................52

MODEL PHYSIQUE DES DONNEES..................................................................53

DIAGRAMME DE FLUX.................................................................................54

PRESENTATION DU MCT...............................................................................55

CHAINE FONCTIONNEL.................................................................................56

FICHE DESCRIPTIVE DES PROCEDURES...........................................................59

MODEL OPERATIONNEL DE TRAITEMENT.......................................................59

CHAPITRE TROIS REALISATION DU LOGICIEL DE G.R.H....................................60

TABLES.......................................................................................................61

ETAT...........................................................................................................62

CONCLUSION..................................................................................................64

BIBLIOGRAPHIE...............................................................................................65

TABLE DE MATIIERES.......................................................................................66






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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius