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Corps pulsionnel des athlètes à  handicap moteur. Contre performance et motivation inconsciente

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par Amira Najah
Université de Tunis faculté des sciences humaines et sociales - Matser II recherche  2008
  

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2. FIRASS (22 ans)

Firass, un athlète de 22 ans est issu d'une famille socio-économiquement moyenne. Le deuxième d'une fratrie de trois, son père est ouvrier et sa mère est au foyer. Ancien footballeur, il a arrêté l'école et le football à l'âge de 20 ans et a depuis rejoint sport handicap. Considéré, il y a un an, par son coach comme un futur champion, tout le staff technique le défini désormais comme une déception car « il avait tout pour être au podium ». En voici ci-dessous la courbe représentative de sa tendance motivationnelle à l'échelle EMS 28.

Echelle de motivation

Au moment où il a commencé à parler de son niveau actuel de performance, il a été dépourvu de moyens pour y faire face et a désespérément essayé de masquer cette incapacité par « une incontinence verbale », une logorrhée traduisant une pulsion irrépressible de parole. Cette situation de contre performance serait très angoissante et excitante sur le plan psychologique qu'il n'arriverait plus à la contenir et l'aurait laissé exploser via ce débit rapide et continu de verbalisation banalisée et couvert des incohérences. Il s'est décrit comme «  non aimé ... je sais pourquoi mais je sais que je ne suis pas apprécié ici, peut être par ma spontanéité... la vérité c'est que je suis attirant, pourquoi eux oui et moi non ... c'est injuste...j'ai ma dignité si c'est pour qu'on me rabaisse non pas besoin du sport mais bon que faire ». Il ne nous a pas fallu trop de questions pour comprendre ce qui se passait avec Firass. Sa colère a été bien manifeste durant son discours. D'ailleurs il a, souvent, été sur le mode de la revendication et de la demande, « mon entraineur il est bien c'est un Homme, il est correct avec moi c'est comme un frère je jure, j ai une appréciation particulière avec lui mais depuis que Youssef et la il a changé je ne sais pas pourquoi et je trouve ca injuste il faut qu'il soit équitable .... Je comprends ...je comprends mais bon je le redis c est pas normal je pense qu'il a entendu un truc sur moi... Youssef est un mec bien mais bon ce n'est pas une raison». Cette idéalisation envers l'entraineur lui permettrait de protéger ce bon Objet des pulsions destructrices qu'il exprime en amplifiant ses qualités (Homme, correct, comme un frère...). Cependant, la dépréciation est présente. Cette agressivité passive exprimée de manière non combattive et indirecte, lui permettrait de se préserver de l'angoisse d une éventuelle perte. Cherchant à donner une explication cohérente, logique, à cette attitude injuste dont il ne perçoit pas de véritables motifs, Firass a essayé de justifier cette situation par l'introduction d'une personne tierce (le rivale), ou par une minimisation latente de soi. Durant les suivants entretiens, Firass a été dans le remmanchement des idées. Sous une forme détournée et humoriste ; faire le clown, se moquer de soi même ou des autres, ceci fut son cas. Cette méthode défensive « humoriste » lui permettrait de se représenter l'éloignement de son entraineur et de sa contre performance d'une manière à s'en dégager des aspects plaisants et réduire l'angoisse de l'échec et donc de la perte.

L'élément le plus révélateur a été lorsque le sujet a commencé à parler du public, lors des compétitions ; « le public c'est important, les filles aussi». Avec un grand sourire, il a commencé à rigoler et tout son corps à trembler ; « le look quand on est sportif quand je joue il faut que je fasse bien, je saute bien, je fais mes échauffement et tout, moi je regarde que mon coach, je le fixe que lui mais je ne nie pas, le public m'attire aussi et le faite de les entendre ca déconcentre». De suite, plusieurs termes se sont chevauchées dans son discours, public, show, gagner, perdre... regarder et être regardé, perdre et être mal vu, attirance d'être regardé, nous nous offrons une preuve de la prédominance du visuel chez Firass. Développant de plus près ce sujet, nous nous sommes interrogés s'il ne s'agirait pas d'une vision inconsciente du regard, sous la forme d'un voir originaire (Bonnet 1996), qui se réactiverait au moment des compétitions. En l'observant sur le terrain, en situation de compétition, nous avons remarqué que dans l'incapacité de faire face à la pression (enjeu narcissique) de la compétition, dans le sens ou il intègrerait des signifiants venant du lieu ou surgissent les regards et les voix (public) à travers lesquels s'exprime tout l'enjeu de son désir, Firass se trouverait dans l'incapacité de les neutraliser. Ces représentations visuelles et auditives qui le hanteraient feraient corps avec lui ; ceci suppose l'intervention d un oeil tiers auquel le public se réfère à son tour, celui de l'entraineur. Firass verrait tout ce qui se passe d'un seul point, convaincu qu'il aurait trouvé le point d'appui en question, il se verrait à son tour capable de voir sans limite. Le regard fixe sur le coach serait cet appui, par lequel les désirs s'incarnent, parfois même croulent sous le poids de leurs contradictions.

Firass

Public

Mouvements régressifs et des tentatives de retour aux états narcissiques primaires

KAES (2005)

Entraîneur

Le voir originaire

(Bonnet, 1996).

SI

SV

Stimuli sonores et visuels

1

2

Enfermement dans un système narcissique aliénant.

(Bonnet, 1996).

3

Rater le coup

4

5

6

Schéma récapitulatif du système narcissique de Firass via le voir imaginaire

Cette sollicitation visuelle de son entraineur, et cette recherche d'étayant se heurterait parfois avec les contradictions du retour faites par l'entraineur, déclenchant chez Firass une angoisse très excitante qu'il en perd le contrôle. Englobé par la foule Firass «renonce à ce qui lui est personnel et particulier, et se laisse suggestionner par les autres, nous avons l'impression qu'il le fait parce qu'il éprouve le besoin d'être d'accord avec les autres (...) plutôt qu'en opposition à eux ; donc il le fait peut être pour l'amour des autres... » . (SMIRGEL J. 1999, p. 74). Il serait dominé par  les influences de cette « âme collective » ou la perte est incalculable, engendrant l'effacement de ses caractères personnels. Comme si la volonté individuelle au moment de la compétition n'existait plus, juste au moment où elle devient trop faible pour se risquer à l'action. (Najah, 2007). L analyse du TAT va de pair avec ce que nous venons de présenter.

2.1 ANALYSE DU TAT

Lisibilité : bonne

Les procédés utilisés (essentiellement A et C) permettent un travail effectif d'élaboration en liant les représentations aux affects de façon souple et modulée en rapport avec les sollicitations latentes du matériel. Les histoires sont construites et il existe une prime de plaisir à investir le fonctionnement psychique.

Planche 1

1- æÇÍÏ ÞÏÇãæ ßãÇä íÎãã , Ç ÓæÇÑ íÍÈ íÓÊÚãáæ ãÇ íÓÊÚãáæÔ , Ç ÓæÇÑ åæ íÙåÑ íå ãÊÑÏÏ ÈÔ íÓÊÚãáæ íÙåÑáí íå ßÚÈÉ áÇ.

Procédés : entrée immédiate dans l'histoire avec anonymat du personnage (B2-1/ CP3), avec accrochage au contenu manifeste (CF1) et mise de conflit intra-personnel (A2-17). Précaution verbale (A2-3), suivis d'un aller retour et retour entre expression pulsionnelle et défense (A2-7), puis une deuxième précaution verbale (A2-3) avec mise en évidence encore une fois de conflit intrapsychique (A2-17). Avant de finir son discours il donne son appréciation de la situation en dévalorisant le sujet (B2-8/ CM2)

Problématique : le sujet reconnaît l'immaturité actuelle mais ne peut s'en dégager dans un projet identificatoire avec dévalorisation de soi. Le sentiment d'impuissance est très important mettant en évidence les insuffisances de l'investissement de soi : ce sont les éléments dépressifs qui apparaissent alors.

Planche 2

11- ÒæÒ äÓÇÁ æ ÑÇÌá íáÍ... ÚÇíÔíä í ÞÑíÉ ÑííÉ áÇÍÉ, ÇáÈæ ãÓßáÇáå ÊÈÑß Çááå Úáíå æ ÇáØáÉ ÚíäíåÇ í ÇáÓãÇÁ ÊÍáã. Çáã ÔÇÏå ßÑÔåÇ ÈÔ ÊæáÏ æ ÅáÇ ÊæÌÚ íåÇ.

Procédés : entrée directe dans le discours avec attachement aux détails (B2-1/A2-1) suivi d'un silence (C P1), il continue son discours par une mise en place de relation interpersonnelle (B2-3) avec rumination (A2-8), suivi une mise en place de détails narcissiques (B2-10), et une va et vient entre interprétations différentes (A2-7).

Problématique : le triangle oedipien est reconnu avec une idéalisation et une mise en valeur du père. Le sujet reste collé au couple en échappant de reconnaître le lien privilégié oedipien.

Planche 3BM

4- åÏå ÈäíÉ ãÊäÑÒÉ ÈÇÒ ÈÇÒ ãÇÊáåÇ ÍÏ ÎæåÇ ÚãåÇ íÇÓÑ ÍÒä ÇßÇ ÇáÚãíÞ ÍÓíáæ Ô ÚáíäÇ íå .

Procédés : après un long silence (CP1), le sujet exprime un conflit intrapsychique avec attachement aux détails (A2-17/ A2-1) avec introductions de personnages non figurants sur l'image (B1-2), dans une situation dramatique (décès) (B2-5). Avec plaquage du discours à la fin tout en s'adressant au clinicien (CP4/CF2).

Problématique : la position dépressive est élaborée, sont reconnus et associés à une représentation de perte de l'objet d'amour. Cependant il semblerait que le sujet vit mal cette perte dans le sens où il exprime une colère envers cet éloignement.

Planche 4

2- Çæå ... æÇÍÏ ÎÇÑÌ ãä ÇáÏÇÑ "æáÇ ãÇ ÊÑÌÚ" ÍæÇÑ , ÛÒÑÇÊ, ÍÓíáæ ÇßÇåæ íÍÈæ ÈÚÖåã ÞÊáæ ãÇ ÊÎáíäíÔ æ åæ ÞÇáÈ í ÇáÊÕæíÑÉ í ãÎæ ãÑÇ ÇÎÑì ÈÑ Ôæ ÚÇÏÉ ÈÔ íÓíÈåÇ æ ÇáÇ ÎÇäÊæ ãÇ ÎÇäÊæÔ Ò ÈÏäæ ãÞÏã áÞÏÇã íÍÈ íÓíÈåÇ ÇãÇ íÍÈåÇ.

Procédés : le sujet s'exclame tout en faisant un clin d'oeil au clinicien (B2-8/ CC5), suivi d'un silence (CP1), puis une description avec attachement aux détails et postures tournant autour des relations interpersonnelles et un récit en dialogue (A2-1/ B2-3) , ce rapport est érotisé (B2-9). Le sujet présente juste après un refus de continuer (CP5), suivi d'une rumination (A2-8) avec introduction de personnage non figurant sur l'image (B1-2). , puis une précaution verbale (A2-3) et un changement brusque du cours de l'histoire (A2-14) avec attachement aux détails et postures afin de justifier son idée et un aller et retour entre désirs contradictoires (A2-1).

Problématique : Le conflit pulsionnel au sein d'une relation hétérosexuelle est présent. Il s agit d'une une manifestation de mise en tension conflictuelle et une présence de la valence masculine de la problématique oedipienne, dans le sens où il existe une attirance envers le sexe opposé et une rivalité avec le même sexe, cependant on il semblerait que le sujet malgré la dévalorisation de l'image de la femme (la trahie) trouve de la difficulté à la quitter même si il pense à une autre femme. Une ambivalence dans la relation (à l'égard de l'objet d'amour).

Planche 5

9- ÏÎáÊ ÊÔæ ÊÊÞÏ í ÇáÛÑÞÉ ÇÎí ãÇ áÞÇÊ ÍÊì æÇÍÏ. ãÇ ÚäÏí ÍÊì ÊÚÈíÑ ÇÎÑ.

Procédés : entrée immédiate dans le discours avec agitation motrice (B2-1/ CC1), accrochage au contenu manifeste (CF1), tout en gardant le personnage anonyme (CP3) et plaquage du discours (CP4)

Problématique : les modalités défensives particulièrement, les inhibitions sont importantes. Portant sur la pulsion voyeuriste, mais le refoulement opère rapidement.

Planche 6BM

10- Çã ãÊäÑÒÉ Úáì æáÏåÇ ÚáØíÉ ÈÙåÑåÇ ÙÇåÑÉ æåæ íÓÑáåÇ í ÇáæÖÚíÉ æ ÇáÇ åæ íÍÈ íÓÇÑ æåí ãÇ ÊÍÈÔ æåí ÛÇÖÈÉ Úáíå æåæ ãÇ íÍÈåÇÔ ÊÛÖÈ Úáíå æÇáÇ ÊÎáíå æ åæ ÍÒíä.

Procédés : Entrée immédiate dans le discours avec attachement aux détails dans une histoire portée sur les relations interpersonnelles (B2-1/A2-1/B2-3) avec un accent porté sur les conflits intrapsychiques (A2-17) avec une hésitations entre interprétations différentes (A2-6). Rumination (A2-8) et dramatisation de la situation suite à la décision de la mère de le laisser.

Problématique : les affects de tristesse sont bien présents, renvoyant ainsi au thème de déception et de perte de l'objet d'amour.

Planche 7BM

5- åÇåí! åÏå íåÇ ãæÖæÚ! ÇáÑÇÌá ÚäÏæ ÔÑßÇÊ æ íßáã í æáÏæ ÈÔ íÔÏáæ ÇáÔÑßÇÊ Çáí ÚäÏæ æÇáÇ ÊäÌã Êßæä äÕíÍÉ ÑÇÌá ßÈíÑ , æÇÍÏ ãÔ ÈÇáÖÑæÑÉ æáÏæ æÇáÇ ÊäÌã Êßæä ÍæÇÑ Èíä ÒæÒ ÇãíáíÇÊ, æÇáÇ ÚäÏæ ãÇ íÞæá ááÑÇÌá.

Procédés : Entrée immédiate dans le discours avec exclamations et clin d'oeil au clinicien (B2-1/ B2-8/CC5), suivis d'une autre exclamation et une critiques de la situation (B2-8/ CC3). Le sujet développe une histoire construite autour d'une fantaisie personnelle portant sur les relations interpersonnelles (B1-1/ B2-3), suivis d'une autre interprétation (A2-6) indiquant le support étayant d'un personnage anonyme (un vieux monsieur, quelqu'un) suivis d'une précaution verbale (CM2/CP3/A2-3), le sujet développe encore deux autres interprétations (B2-3) et termine son récit par un plaquage (CP4)

Problématique : le rapproché père-fils est reconnu, l'objet père est perçu comme objet étayant, mais rapidement ce désirs à l'égard de l'objet d'amour est refoulé par la mise en évidence d'autres propositions ainsi que par le déni de l'image du père (vieux monsieur, quelqu'un). Cependant l'agressivité et la dimension de rivalité n'est pas évoqué même si il y a ce déni de l'image du père, ce qui nous mène à réfléchir sur l'élaboration ou non de la dimension de l'ambivalence à l'égard de ce « bon père ». L'affrontement conflictuel est évité par le recours à une relation spéculaire. Dans ce cas soit la problématique narcissique domine soit le sujet tente de refouler ses fantasmes destructeurs.

Planche 10

6- ÞÕÉ ÍÈ ßÈíÑÉ ßÈíÑÉ ! ÊäÌã Êßæä ÚáÇÞÉ ÍÈ, ÍÓíáæ... ßíÇÔ íÇÓÑ ãÊäÇÓÞíä åÇ ÇáÒæÒ ãä ÇáäÇÓ ÇäÓÌÇã ßáí ÈíäÇÊåã. ÇãÇ ÙÇåÑ ÇáÑÇÌá íÍÈåÇ æ åí ÊÍÈæ ááãæÊ! ÊÕæíÑÉ íÇÓÑ ÊÚÈíÑíÉ ÇãÇ ÇÔÇÁ Çááå ãÇ ÊÏÎáÔ ãÇÈíäÇÊåã ÇáÇäÓÇÈ æ ÇáÍãæ...

Procédés : Entrée directe dans le discours avec exclamation et agitation motrice (B2-1/ B2-8/CC1) avec érotisation directe de la relation (B2-9), suivi de précaution verbale (A2-3) puis de rumination (A2-8), plaquage (CP4), un silence (CP1), puis une demande au clinicien (C) et une mise en évidence des rapports interpersonnels avec une idéalisation de cette relation (B2-3/CM2) suivi d'une exclamation (B2-8). Le sujet donne une appréciation de la situation (CC3) le sujet finit son discours par un rebondissement surprenant (B2-2) en exprimant une méfiance traduit par une représentation de persécution (E14).

Problématique : la planche, dans cette situation, renvoie à un rapproché libidinal au sein d'une relation hétérosexuelle, avec une reconnaissance du lien érotique entre les deux partenaires. La liaison entre tendresse et érotisation souligne l'élaboration du conflit oedipien. Cependant l'introduction de personnages tiers dans le rapport réactive des angoisses archaïques de perte de l'objet d'amour.

Planche 13MF

7- Çå...Çå...Çå...Çå. ÇÛÊÕÇÈ ÊÇÉ æ ÞÊáåÇ, ÇáÚãáíÉ ÙÇåÑÉ æ äÏã ÔÏíÏ æ ÚÑÇä ÈÇáÛáØ ãä ÇáãÌÑã. ÇãÇ Ç ÓæÇÑ ÏÎá ÓßÑÇä ÍÓíáæ ÇÞ Úáì æÖÚæ ÈÚÏ ãÇ ÎÏã ÇáÎÏãÉ Çáßá. ÇáØáÉ ØÇíÍÉ ÒÈÏÉ .

Procédés : Exclamation, silence, exclamation, silence, exclamation, silence et exclamation (B2-8/CP1/ B2-8/CP1/ B2-8/CP1/B2-8), suivis d'une expression crues liées à une thématique sexuelle et agressive (viol et meurtre) dans un contexte dramatique (E3/B2-13), avec conflit intrapsychique et une précaution verbale (A2-17/A2-3) avec valence négative du personnage (CM2). Le sujet évoque à nouveau un conflit interpersonnel (A2-17) et finit son discours par description de la fille avec attachement aux détails (A2-1).

Problématique : Il s'agit d'une intégration des pulsions agressives et sexuelles de manière persécutrice. Cependant les nuances de culpabilité et de remords liés à ces mouvements pulsionnels et manifestées.

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"Et il n'est rien de plus beau que l'instant qui précède le voyage, l'instant ou l'horizon de demain vient nous rendre visite et nous dire ses promesses"   Milan Kundera