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Contribution à  l'étude du potentiel en produits forestiers non ligneux (pfnl) et fruitiers conventionnels des agroforêts à  base de cacaoyers de la zone forestière humide du Cameroun. Cas des régions d'Okola, Mfou et Ebolowa

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par Yves Nathan Mekembom
Université de Dschang - Ingénieur des eaux, forêts et chasses 2005
  

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3.4. COLLECTE DES DONNEES.

Afin de réunir toutes les informations nécessaires à la rédaction de ce document, une démarche de collecte a été suivie. Elle a consisté en la collecte des données secondaires et primaires.

3.4.1 Donnees seconda ires

Elles ont été collectées dans les littératures disponibles de la bibliothèque centrale et du département de Foresterie de l'université de Dschang, puis dans les bibliothèques du Programme Régional de l'Afrique Centrale pour l'Environnement (CARPE), de l'Institut International de Recherche en Agriculture Tropicale (IITA), l'Institut International de Recherche en Agroforesterie (ICRAF), du Centre International de Recherche en Foresterie (CIFOR), de l'Institut de Recherche Agronomique pour le Développement (IRAD) et dans les bibliothèques personnelles de nos encadreurs de stage.

3.4.2. Donnees prima ires

Les données primaires ont été collectées à l'aide de l'inventaire, les observations sur le terrain et les interviews des propriétaires des AFC.

3.4.2.1 L'inventaire

Avant d'entrer dans une plantation, l'équipe d'inventaire rendait visite aux autorités locales pour expliquer les fondements de la recherche et la permission de travailler dans les cacaoyères. Une fois les paysans choisis d'après les critères de choix des cacaoyères, l'ordre de passage dans leur AFC était établi.

Le préliminaire à l'inventaire consistait en la délimitation de la cacaoyère afin d'en déterminer la superficie. Pour ce faire, les coordonnées géographiques de tous les points saillants de la cacaoyère ont été relevées à l'aide du Global Positioning System (GPS) suivant les indications du propriétaire de l'AFC. Les données GPS étaient consignées dans une fiche conçue à ce effet (voir Annexe N°1).

La fiche d'inventaire (confère Annexe N°2) a été le principal outil de collecte des données

primaires.

L'inventaire a donc consisté au comptage systématique de toutes les espèces productrices des PFNL, qui comprenaient tous les arbres fruitiers, toutes les herbes et les lianes jugées utiles par le cacaoculteur et toutes les plantes hôtes ou indicatrices des chenilles comestibles trouvées dans la cacaoyère. Le plan de sondage utilisé est à un degré car les parcelles échantillons ont été inventoriées entièrement.

L'identification des espèces était basée sur les noms vernaculaires en Eton, Ewondo et Bulu selon le site. Toutes les espèces reconnues par le paysan et l'assistant de terrain étaient relevées. La traduction des noms locaux en noms scientifiques s'est basée sur la littérature et les

lexiques botaniques (Vivien et Faure, 1985 ; Vivien et Faure, 1996 ; Prota, 2002). Les échantillons des espèces qui ne pouvaient pas être identifiées ont été collectés, traités avec de l'alcool à brûler, pressés et conservés dans du papier journal. Ils ont été envoyés par la suite à l'herbier national de Yaoundé pour identification.

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