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Evaluer l?efficience du calcul de l?horreur est assez
complexe. Le calcul de l?horreur devrait aider à prévenir la
violence, mais, il est difficile d?affirmer les liens de causalités
entre cette action et l?absence d?un conflit. Les effets du calcul de l?horreur
ne peuvent etre étudiés en l?absence d?un questionnement sur les
causes de la guerre, qui ajoute une complexité aux ambitions visant
à mener son efficience. Les solutions liables et générales
doivent dès lors titre trouvées aux conflits. Ceci est difficile
de par un manque de consensus entre chercheurs sur la définition de
l?alerte précoce, et la conception du succès n?est
conséquemment pas accordée entre eux. Le désaccord tourne
autour des mesures préventives à aborder en premier et du
contexte spécifique de l?action.
Woodhouse et Miall désignent le succès comme
«the conjunction of a de-escalation of political tensions and steps
towards addressing and transforming the issue in the
conflict»179. Le risque est alors de considérer
juste la gestion des conflits au lieu de la prévention de la violence.
Une approche à long terme par contre insiste sur la visibilité
des effets de la prévention dans une période longue.
La sélection des effets et les facteurs externes
constituent des axes focaux qui doivent être considérés
pour l?efficience du Calcul de l?horreur.
Wallensteen et Moller180 décrivent trois
processus méthodologique : localiser les disputes sérieuses,
lister les disputes où l?escalade n?a pas eu lieu, analyser les cas avec
des expériences sérieuses de disputes répétitives.
Quoique leur étude adresse d?importants aspects méthodologiques,
elle ne montre pas comment le progrès peut être atteint dans
l?étude du champ complexe de la prévention des violences et, le
calcul de l?horreur tombe sous le poids de cette défaillance.
179 Cité par Wallensteen, Peter and Moller, Frida :
Conflict prevention in ethnic conflict 1990-1998, Uppsala University,
2005
180 Id
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