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Etude de fonds de roulement dans une entreprise publique. Cas de la société nationale d'électricité SNEL

( Télécharger le fichier original )
par Elie et Eveline NKONGO MUNONGO en collaboration avec I MIYOYI MUTAMBAYI
Université pédagogique nationale en RDC - Licence en économie 2013
  

Disponible en mode multipage

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FACULTE DES SCIENCES SOCIALES, ADMINISTRATIVES ET POLITIQUES

DEPARTEMENT DES SCIENCES DES RELATIONS INTERNATIONALES

B.P. 8815

KINSHASA/RD. Congo

NKONGO MUNONGO Elie : Licencié en Relations Internationales et chercheur, en collaboration avec :

MIYOYI MUTAMBAYI Eveline: Gradué en Sciences Economiques

De l'Université Révérend Kim

0

L'ETUDE DE FOND DE ROULEMENT DANS UNE ENTREPRISE PUBLIQUE: CAS DE LA SOCIETE NATIONALE D'ELECTRICITE (SNEL en sigle)

de 2006 A 2009

           

                      

Article Publiépour renforcement notre titre de Licence et d'approfondir nos recherches en la Matière.

Experts Consultés: Kabwita Kabolo Iko Rigobert

Professeur SSAP

Mokili Jeannot et

Octobre 2013

INTRODUCTION

La gestion des entreprises du portefeuille de l'Etat Congolais constitue aujourd'hui un véritable casse tête. Ces entreprises qui jadis alimentaient le budget de l'Etat ne sont plus que l'ombre d'elles-mêmes, ce système de capitalisation, trésorerie insuffisante, l'outil de production, mauvaise gestion ; constituent autant de maux qui font de ces entreprises des véritables canards boiteux.

Parmi les dimensions auxquelles s'intéresse le développement de tout peuple à travers le monde, une attention de plus grande est accordée à l'économie, par ce qu'elle constitue la base de toute organisation et de touteaction qui engendre le progrès et le mieux être de l'humanité.

Mais néanmoins, cette économie reçoit des contributions de toute part, entre autres des entreprises du portefeuille de l'Etat qui constituent le vecteur de développement économique et social d'un Pays.

1. Problématique

La notion de l'entreprise n'est pas encore clairement dégagée, pas plus en droit positif qu'en économie financière, ce résulte que les chercheurs et les spécialistes ont donné de l'entreprise un grand nombre de considération.

Comme toutes les activités d'une entreprise se traduisent en flux financiers, leur bonne gestion est une nécessité si non elle se prête à la liquidation. Plus encore, les finances se retrouvent dans toutes les activités de l'institution. Ainsi leur bonne gestion s'impose pour la survie de l'organisation. L'étude de fonds reste un instrument de suivi, d'évaluation et de contrôle de gestion qui permet aux dirigeants de l'organisation de prendre des décisions à des moments opportuns.

La théorie financière d'une entreprise utilise conjointement l'étude de fonds de roulement, de l'analyse financière et du diagnostic financier. Cette étude de fonds devient alors un ensemble des travaux qui permettent d'étudier la situation de l'entreprise d'analyser les résultats et d'y prendre les décisions qui impliquent des flux monétaires. Son objectif est de porter un jugement destiné à éclairer les actionnaires, les dirigeants, les salariés et les tiers sur l'état de fonctionnement d'une entreprise face aux risques auxquels elle est exposé en se servant d'information et des sources externes.

Cetteanalyse s'accorde à connaitre que la notion des équilibres fondamentaux du bilan est le résultat de l'efficacité de la politique générale conduite par une entreprise. Mais les activités de cette étude englobent la collecte des données significatives et leur interprétation afin de tirer des conclusions sur le financement.

Eu égard à ce qui précède, nous avons entrepris notre l'analyse sur l'Etude de Fonds Roulement d'une Entreprise : cas de la Société Nationale d'Electricité, en sigle SNEL en vue de porter un jugement sur sa santé financière.

Notre problématique s'articule autour des interrogations suivantes :

§ Quelle est la santé financière de la SNEL ?

§ La rentabilité de la SNEL, est-elle suffisante pour assurer son autofinancement ?

2. Choix et Intérêt du Sujet

Nous avons choisi ce sujet parce qu'il cadre avec notre formation universitaire. En suite, il nous a permis d'approfondir nos connaissances en matière de la gestion d'une entreprise publique.

L'intérêt que nous portons à ce sujet, c'est au fait des suggestions que nous faisons aux responsables de la SNEL pour une amélioration de la gestion d'une entreprise et des analyses financières.

3. Hypothèse du Travail

La SNEL doit faire tout pour présenter une structure financière qui lui permet d'atteindre sa rentabilité et son autofinancement. Mais si sa rentabilité sera suffisante pour assurer son autofinancement, elle arrivera d'atteindre ses objectifs. Pour nous l'objet est de vérifier si l'atteinte de la rentabilité et de l'autofinancement par la SNEL est obtenue grâce à sa bonne structure financière, de montrer comment l'atteinte de la rentabilité peut permettre à la SNEL d'atteindre son autofinancement.

4. Délimitation du Sujet

Dans le temps

Pour ne pas nous immerger dans les élucubrations et faire une analyse globalisante et vidée de tout contenu, nous prenons l'année 2009 comme étant de point de départ de nos cogitation jusqu'à 2012.

Dans l'Espace

Un accent sera principalement placé sur la gestion qui en demeure par conséquent l'unique recevable. La SNEL constitue le champ de notre investigation.

5. Méthodes et Technique de Recherche

A. Méthodes

Cette étude a nécessité la méthode Systémique : l'analyse systémique ou l'analyse en termesde système est toute recherche théorique ou empirique du postulat que la réalité économique, financière et politique présente les caractères d'un système. Dans l'objectif d'interpréter, expliquer les phénomènes économico-financiers par les liens d'étudier la situation générale de l'Entreprise, d'analyser les résultats et d'y prendre les décisions qui impliquent des flux monétaires, qui les relient et qui les constituent en une totalité.

Nous étions aussi aidé par la méthode Analytique, qui consiste à décomposer les différentes données recueillies à la SNEL afin d'arriver à émettre un jugement sur la gestion de ladite entreprise.

B. Techniques de Recherche

La technique documentaire, nous a permis de consulter les ouvrages, mémoires et autres documents en rapport avec notre sujet enfin de recueillir les données nécessaires à l'élaboration de ce travail.

La technique d'interview libre, a consisté à l'entretien direct d'information avec certaines personnes en vue de réaliser ce travail.

6. Division du Travail

Hormis l'introduction et la conclusion, notre étude comporte trois chapitres à savoir :

Le premier chapitre définit les concepts de base, le deuxième comporte sur le cadre opérationnel de l'analyse financière de la Société Nationale d'Electricité(SNEL). Enfin le troisième est axé sur l'étude des comptes d'exploitations de la SNEL.

CHAPITRE PREMIER

CONSIDERATIONS GENERALES

Ce premier chapitre est consacré aux définitions les concepts de base de notre sujet de travail. En outre avons également défini la République car en partant par l'intitulé de notre pays et aussi de la souveraineté du peuple. C'est pourquoi nous avons ajouté ce concept dans la définition des concepts bien qu'il ne soit pas reprit dans l'intitulé de notre travail.

I.1. Définition des Concepts

I.1.1. l'Entreprise

En réalité le mot Entreprise a une définition relative c'est-à-dire sa définition est classée selon les auteurs, les doctrines et selon les différents domaines de formations tels que les spécialistes en sciences de gestion, sciences économiques, sciences humaines, sciences sociales, sciences des relations internationales, enfin la discipline des Droits.

Selon le dictionnaire économique et social, l'Entreprise est une unité économique, politique, juridique autonome, organisée pour produire des biens ou des services pour le marché ; elle est identifiée par un numéro d'identité.1(*)

Généralement l'Entreprise est une structure économique et sociale, financièrement indépendante ; produisant des biens et des services destinés à un marché concurrentiel ou monopolistique, elle constitue l'unité de l'économie de marché.

Etymologiquement, le terme dérive de l'Entreprendre daté environ 1430-1440 avec les sens de prendre entre ses mains. Pendant la révolution industrielle, elle prit l'acception actuelle de prendre un risque, relever un défi, oser un objectif.

Selon Perroux, l'Entreprise est une organisation de la production dans laquelle on combine le prix des facteurs de la production apportés des agents distincts du propriétaire de l'Entreprise en vue de vendre un bien ou services sur le marché pour obtenir par différence entre deux prix : de Revient et de Vente, les grand monétaire possible.2(*)

Selon le manuel à l'usage de la 6ème Année de l'Enseignement commercial et administrative en RD. Congo, l'Entreprise est considérée comme une cellule économique où sont combinés à l'initiative et sous la responsabilité de l'Entrepreneur, les facteurs nature, travail et capital, en vue de la production de biens et services dans un but de lucre.3(*)

L'objectif de satisfaire ses besoins, l'homme vit par la consommation des biens et des services qu'il se procure généralement par échange contre la monnaie.

Sur ce, nous considérons l'Entreprise comme étant toute organisation dont les objectifs sont de pouvoir à la production, à l'échange ou à la circulation des biens et services. Est une unité économico-financière dans laquelle sont unis et coordonnés les facteurs humains et matériels de l'activité économique.

Elle peut être aussi considérée comme une organisation dans laquelle un entrepreneur affecte les revenus des facteurs de production à la productivité des biens et des services destinés à l'échange en vue de la réalisation d'un profit.

En bref, l'Entreprise est comme tout organisme qui assure la production des biens ou des services en réunissant ses trois facteurs : nature, travail et capital, en vue de l'échange et dans le but lucratif.

I.1.2. Classification des Entreprises

Suivant sa personnalité morale, on distingue les Entreprises privées, les Entreprises publiques et les Entreprises mixtes.

§.1. Entreprise Privé

L'Entreprise prive est celle qui est aux mains des particuliers. On distingue l'Entreprise individuelle, qui appartenant à une seule personne, qui fournit le capital et est responsable sur tous ses biens. Ici l'entrepreneur étant libre et indépendant, consacre le maximum d'initiative et tous ses soins à son Entreprise. Cette Entreprise consacre certains inconvénients qui justifient sur le fait que le développement limité par la capacité financière et le recours est limité au crédit.

L'Entreprise sociétaire, c'est la construction des Entreprises aux enjeux du développement durable. Elle prend en compte les impacts sociaux et environnementaux, c'est leur activité pour adopter les meilleures pratiques possibles et contribuer ainsi à l'amélioration de la société et à la protection de l'environnement. Elle se divise en sociétés civiles et sociétés commerciales qui, de sa part se divise en société de personnes et de capitaux.4(*)

Les entreprises en responsabilité solidaire et illimité des associés, cette forme de société présente la plus grande garantie aux tiers, ce qui facilite l'obtention de crédit ; mais elle ne convient qu'aux entreprises qui offrent peu de risque et qui ne nécessitent que des capitaux relativement peu importants.

On parle également des Entreprises en commandité simple qui convient à une compétence peu fortunée qui désire constituer une société quand il s'agit de développer une Entreprise individuelle ; en outre leur responsabilité limitée à leur mise des commandité.

En outre, d'autres Entreprises à un nombre restreint de personnes s'associe en limitant leurs risques tout en ayant la possibilité de gérer la société. Ladite forme rend le recouvrement au crédit difficile et il convient également qu'aux Entreprises relativement peu importantes.

Economie au sens moderne du terme commence à s'imposer sur la dépersonnalisant de la propriété et dissous le sens de la responsabilité, tant dans les chefs des actionnaires qui se désentassent souvent de l'Entreprise que dans les chefs des gérantsqui s'abritent derrière décisions des assemblées dites générales.

Sur le plan juridique, cette forme de société permet à des personnes de s'associer pour une durée facultative et moyennant des mises, sous modeste, généralement en vue de bénéficier de conditions d'achat ou de conditions plus avantageuses. Donc il y a la coopérative de consommation, la coopérative de crédit, enfin la coopération de production.

Mais sur le plan économique, les Entreprises coopératives sont des ensembles qui s'impose à partir des mercantilistes et développe à partir d'Adam Smith un important corpus analytique scindé en deux grandes branches à savoir : la micro économie ou étude des comportements individuels et la macro économie qui émerge et applique ce corpus d'analyse et à a la gestion de nombreuses organisations humaines : puissance publique, Entreprises privées, coopératives et de certains domaines tels que international, marché du travail, finance, développement, etc.

§.2. L'Entreprises Publiques

A l'ère de la mondialisation aucun aspect de la vie sociale n'échappe à la prétention globalisante et totalisante des Relations Internationales. Ces rapports interétatiques intègres les domaines de plus en plus larges dont celui de fonds de roulement des Entreprises Publiques.

Les Entreprises Publiques, sont celles dont la responsabilité est aux mains des pouvoirs publics, un domaine privé de l'Etat. De manière précise, l'Entreprise publique qui l'objet de travail, est une unité de production des biens matériels appartenant à l'Etat, destinés à être vendus à un rémunérateur permettant la réalisation des bénéfices à verser à titre de dividendes à l'Etat.

Pour la Lex Feronda Congolaise, l'Entreprise Publique est tout établissement qui, quelque soit sa nature est contrôlé par les pouvoirs publics pour remplir une tâche d'intérêt général. A l'occurrence les Entreprises mixtes celles dans lesquelles le capital et l'administration sont repartis entre des personnes de droit privé et des pouvoirs publics.

Pour nous, une Entreprise publique ou Entreprise d'Etat, est un système sur lequel l'Etat ou d'autres entités ou collectivités territoriales peuvent exercer directement ou indirectement une influence dominante du fait de la propriété, de la participation financière ou des règles qui la régissent. Cette influence dominante est présumé lors que les pouvoirs publics, directement ou indirectement à l'égard de l'Entreprise, détiennent la majorité du capital souscrit de l'Entreprise ou disposent de la majorité des voix attachées aux parts émises par l'Entreprise ou peuvent désigner plus de la moitié des membres de l'organe d'administration, de direction ou surveillance de l'Entreprise.

Hors à l'Union Européenne, des Entreprises publiques correspondent à cette définition, y compris aux Etats-Unis d'Amérique où elles existent sous deux formes juridiques : les sociétés publiques fédérales et les sociétés publiques d'Etats.

Les activités industrielles et commerciales assumées par l'administration, sont confiées à des Entreprises Publiques. Suite à ça que la notion d'Entreprise n'a jamais reçu de définition très précise. Elles peuvent être considérées comme un organisme doté d'une personnalité morale, appartenant au secteur public avec une possibilité de participation du secteur privé.5(*)

Aux Etats-Unis d'Amérique les Entreprises sont considérées comme un groupe de société de services financiers crée par le congrès des Etats-Unis. Leur fonction est d'améliorer les flux de crédit envers des secteurs ciblés de l'économie et de rendre ces segments du marché de capitaux plus efficace et transparent. Mais l'effet désiré pour les Etats-Unis est d'améliorer la disponibilité et réduire le cout du crédit pour les secteurs emprunteurs ciblés. Donc leur capital est détenu totalement ou en partie par l'Etat ou les collectivités publiques.

§.2.1. les critères dimensionnels

Ici on distingue les petites, moyennes et grandes Entreprises par :

Le chiffre d'affaires mesure la part de marché de l'Entreprise, la valeur ajouter mesure la richesse créée à l'intérieur de l'Entreprise. L'effectif permet d'apprécier l'importance du facteur de production travail.

Les capitaux propres se mesurent entre autre l'importance des fonds apportés par les propriétaires, les résultats de l'Entreprise traduisent la rentabilité de l'Entreprise.

§.2.2. Critères basés sur l'Economie

Selon la nature de ses activités, les Entreprises sont aussi classées par branche ou par secteur, donc une même Entreprise peut se trouver classée dans plusieurs secteurs ; elle est par contre toujours classée dans une même branche, celui qui correspond à son activité principale.6(*)

L'apparition de secteur d'Entreprise publique en RD. Congo est liée à des raisons politiques, économiques et sociales. Certain nombre d'entreprises appartenant à ce secteur ont été privatisées depuis plus de décennies ; l'Etat ne conservera que les Entreprises Publiques jugées d'intérêt systémique du pays.

Les petites et moyennes Entreprises en RD. Congo rassemblent plus de cinq cent salariés d'où la part des dirigeants ne souhaite pas que leur Entreprise dépasse une certaine taille de peur d'en altérer le fonctionnement sur les objectifs de stabilités et de convivialité. La modestie de la taille des Entreprises petites et moyennes permet une gestion du personnel plus efficace et plus économe. Plus efficace parce qu'elle se traduit souvent par une plus grande vitesse d'utilisation de la main d'oeuvre et par un excellent niveau d'implication.

Elle est économique parce que la main d'oeuvre y est en général moins qualifiée et peu syndicalisée ; elle se diffère avec la grande Entreprise par l'organisation interne, la position sur les marchés, les relations avec l'Etat. Car le grande Entreprise tire tout le parti du progrès technique, elle établie la décomposition des taches, organise la production en série et le travail en chaine comme la S.N.E.L.

ENTREPRISE PUBLIQUE

ENTREPRISE

ENTREPRISE PRIVEE

ESE PUBLIQUE

ESE SEMI PUBLIQUE

AUTRES TYPES D'ESE

ESE SOCIETAIRE

ESE INDIVIDUELLE

7(*)

Source : notre conception par rapport aux différentes sortes d'Entreprises que nous avons énumérées ci-haut.

Entreprises sociétaires : sociétés coopératives et sociétés mutualistes, entreprise indépendante des personnes physique réunissant par un contrat forme ainsi une entité collective existant selon les règles d'exploitations communes.

Entreprises semi publique : une Entreprise d'économie mixte, concessionnelles.

Entreprises publiques : Entreprises Nationales, Etablissements publics, industriels et commerciaux.

I.1.3. Mission de l'Entreprise

Peter Drucker observait déjà en 1973, que la plus importante raison et d'échec dans une Entreprises provient d'une réflexion insuffisante de la raison d'être de l'Entreprise, de sa mission. Cette réflexion est toujours d'actualité et beaucoup trop d'Entreprises négligent le pouvoir et la portée d'une mission d'Entreprise bien formulée.

Si le profit est le résultat recherché par les Entreprises, il trouve sa mission dans l'aptitude de la firme à dégager des bénéfices. Celle-ci s'appuie largement sur la compétitivité de l'Entreprise, donc sur sa capacité à faire face à la concurrence. Cette aptitude ne se mesure pas par un critère unique mais résulte de la conjoncture d'un ensemble d'éléments pour lesquels l'Entreprises se trouve en situation favorable face à ses concurrents.

Pour nous, La mission d'une Entreprise est sa raison d'être, l'aspiration suprême qu'elle tente continuellement d'atteindre. L'énoncé de cette mission est en général une phrase ou un paragraphe qui formule cette raison d'être sous une forme un peu vague mais durable et qui est donc un repère stable dans le changement quotidien.

I.1.4. Croissance d'une Entreprise

La croissance d'une Entreprise est devenue depuis le 20ème siècle un sujet passionnant dans l'esprit de la gestion des Entreprises sa définition est relative par rapport aux auteurs et doctrinaires. La présentation des stratégies consiste en un ensemble de dispositions que l'entreprise doit prendre en compte pour atteindre les objectifs qu'elle s'est convenue. Cette tâche implique à l'attention de tous les aspects de la situation exogène et endogène de l'organisation en de rédiger un plan d'action permettant de poursuivre le but de l'Entreprise.

Cette croissance a pour objectif de créer des possibilité d'emploi durable à l'amélioration de la vie sociale en offrant des incitatifs financiers permettant la nation de profiter des occasions dans les secteurs économiques visés et stimuler l'investissement de capitaux pour le développement du Pays, l'expansion, la diversification, l'innovation et l'augmentation de la production par rapport à la productivité.

La croissance des Entreprises se manifeste par un faisceau de possibilité, et si l'équivalent de la taille pour l'être humain semble généralement être le PNB, la comptabilité étant la toise, cet indicateur ne suffit pas à définir la croissance des Entreprises.

Elle est l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d'un indicateur de dimension pour une nation, le produit global net en termes réels. Il est nécessaire d'y insister au rebours d'une attitude qui se dépend, l'augmentation du produit réel par habitant. Cette théorie distingue donc nettement croissance et développement sur le plan de l'analyse cela se comprend aisément, pourtant, sur le plan concret, la croissance modifie les structures, les attitudes, inclut le progrès technique.

Perroux insiste sur cette dynamique globale de la croissance des Entreprises. Sans épithète, la croissance est définie par l'accroissement durable d'une unité économique simple ou complexe, réalisé dans les changements de structures et éventuellement des systèmes et accompagné de progrès économiques variables.8(*)

La croissance dans une Entreprise peut se caractériser par l'exploitation à temps plein à l'année, l'Entreprise cherche à être prêtre pour entreprendre des opérations commerciales ou être rendues à un stade de développement avancé. Etre en processus des établir, de prendre de l'expansion, de se diversifier ou augmenter la compétitivité avec des coûts d'immobilisation admissible de moins de cinq cent mille dollars, les couts d'immobilisation admissible ne doivent pas être en deçà.

Pour qu'il ait croissance, il faut non seulement que la production augmente, mais aussi que le mouvement ascendant soit durable et non aléatoire. C'est pourquoi la croissance inclut le changement de structure, regroupe les mutations sectorielles et le changement qui rendent celle-ci auto-entretenue.

On ne peut parler de la croissance sans développement, le développement est une hypothèse de la croissance et une correspondance de la réalité manuelle de l'économie. Ils s'opèrent mutuellement par le caractère auto-entretenu qui se traduit par des modifications cumulatives des conditions de la production, d'investissement net en hausse.Modification de la qualité de la main d'oeuvre, incorporation du progrès technique par les machines nouvelles, nouvelles habitudes de consommation, modification des stratégies anticipatives des Entrepreneurs.

La baisse temporaire des indicateurs ne signifie pas arrêt de la croissance, les récessions en particulier sont donc partie intégrante de la croissance. Ici la croissance reste un mouvement de transformation structurel, réparable non seulement par des indicateurs simples de hausse de la production et du revenu, mais par des mutations sectorielles. La croissance modifie la part relative des différents secteurs, des industries nouvelles apparaissent, la valeur ajoutée par salarié s'accroit ; elle s »accompagne de mutations sociales qui rendent possible l'accroissement durable des flux de production, nouveaux rapports de propriété, technologies nouvelles, accroissement des biens de production.

Dans l'expression de la croissance, on distingue cinqsortes de croissance : la croissance extensive qui est une croissance obtenue principalement par l'augmention des facteurs mis en oeuvre. Croissance intensive, se justifie par l'obtention principale de l'utilisation plus efficace des forces productives, l'augmentation de la valeur ajoutée et le progrès dans efficacité des machines incorporant du progrès technique. Croissance potentielle correspond à l'utilisation maximale de tous les équipements à la productivité optimale.

Croissance équilibrée obtenue dans l'équilibre macro-économie classique, du budget de l'Etat, de la balance de paiements sans tensions inflationnistes, donc plein d'emploi. Enfin la croissance zéro, désigne un taux de croissance nul qui n'empêche pas des mutations, les secteurs polluants connaissant une croissance négative et les secteurs non polluants étant en expansion.

I.1.5. Portefeuille d'une Entreprise

Quant la direction examine les différentes opportunités de croissance de l'Entreprise elle est plus apte à prendre des décisions ainsi tous les domaines de son activité afin de pouvoir décider lesquels maintenir, diminuer ou effacer dans son portefeuille de produits. Son travail sera toujours de recevoir le portefeuille d'activités en retirant les affaires peu intéressantes et en ajoutant de nouvelle qui s'annoncent fructueuses.

Le portefeuille de l'Etat répond ainsi à l'obligation de planification exigée par les Entreprises. C'est un organe technique de l'Etat pour la mis à jour de l'économie nationale. L'Etat insiste sur l'établissement d'une feuille de route pour une évaluation des actions Entreprises à travers des indicateurs objectifs et clairs qui font ressortir la nouvelle marche imprimée par le gouvernement de la république.

Il est question de développer une gestion axée sur des résultants, le chantier engagé par le gouvernement exige que l'on donne toute son importance à la transformation économique de manière à parfaire le processus de passage du statut d'Entreprise publique à celui plus exigeant des entreprises transformées en sociétés commerciales d'établir le capital social définitif.

I.1.6. Fonds de Roulement

Ce mot vient directement du latin pour designer une exploitation agricole est synonyme de propriété immobilière. On le trouve utilise dans de nombreux passage du code civil notamment à propos des servitudes dites aussi services fonciers. On parle souvent de fonds servant pour désigner celle des propriétésqui supporte la charge que constitue la servitude et l'on désigne par fonds dominant, la terre au profit de laquelle cette charge a été établie.

Dans le sens dérivé du mot précèdent, le droit commercial dénomme fonds de roulement comme ensemble des éléments qui sont nécessaires à l'exploitation de l'Entreprise, notamment, le non commercial, le droit au bail, la clientèle et la chalandage, les brevets.

Dans un autre sens on parle également le mot Fonds employé pour désigner un ensemble de capitaux liquidés. A l'occurrence d'un investisseur qui finance une opération ou une Entreprise commerciale ou industrielle que c'est un bailleur de Fonds. L'étude de fonds est une notion d'équité du bilan fonctionnel d'une Entreprise.

Le Fonds de Roulement en réalité est considéré comme l'excédent de capitaux stables par rapport aux emplois durables utilisé pour financer une partie des actifs circulants. Le Fonds de Roulement net global (FRNG)= Ressources Stables et durables (RSD)-Emplois durables (ED). Pour une analyse des perspectives à long terme par le haut du bilan, le FRNG=Capitaux. Pour une analyse des perspectives à court terme par le bas du bilan, FRNG=Actifs Circulants (AC)-Dettes à Court terme (DC).9(*)

Le Fonds de Roulement pour nous représente une ressource durable mise à al disposition de l'Entreprise par ses actionnaires ou créée via l'argent dégagé de son exploitation et destinée à financer les investissements et les emplois nets du cycle d'exploitation. Son importance est de financer la partie stable du besoin en Fonds de Roulement qui en résumé représente les éléments indispensables pour démarrer et maintenir le cycle d'exploitation de l'entreprise par l'achat des matières premières, la paye des salariés, s'effectuent souvent avant le règlement des produits fabriqués par l'Entreprise.

I.1.7. République Démocratique du Congo

I.7.1. La République

D'abord la république est un régime politique où le pouvoir est considéré comme la chose publique (Respublica) ce qui implique ses détenteurs de l'exercent non en vertu d'un droit propre mais en vertu d'un mandat conféré par le corps social.

Pour le professeur Kabwita Kabolo Iko Rigobert doyen de la Faculté des Sciences Sociales, Administratives et Politiques, la construction de la respublica suppose l'extension d'un espace public formé des citoyens vertueux, se vouant exclusivement au seul bien méprisant du même coup la recherche individualiste des leurs bonheurs privés de même que la défense des cultures particularistes. La République s'identifie dans cette perspective propre au cas occidental aussi bien à l'Etat qu'à la nation.10(*)

L'idée de la République fut apparue avec l'avancement de l'Etat-nation et s'était fait accompagner de quelques exigences à savoir la séparation entre l'Etat et l'Eglise, la séparation entre Citoyen libre et l'Etat (légitimité basée sur le peuple et la séparation de trois pouvoirs).

Pour nous la République, tout gouvernement qui n'est pas monarque dont la souveraineté revient au peuple.

I.7.2. La RD. Congo

L'histoire de la RD. Congo nous enseigne que celle-ci n'est pas une mort né, depuis l'exploration au 15ème Siècle, de sa naissance en 1885 à Berlin et de son accession à l'indépendance. Le Pays chers à Lumumba, à Kasu-Vubu, à Gizenga, à Mulele, à Simon Kimbangu, à Kiamvu Mpazu et à Elie Nkongo a une place de choix dans le modernisme sociétaire de l'Etat nation, le seul pays né indépendant et la seule nation ne née pas comme une nation, mais comme un Etat en 1885 à la conférence de Berlin.

Mais d'où est venu le blocage actuel, le blocage vient par le fait que la RD. Congo est ne né pas par la volonté des congolais, mais c'est par la volonté de 14 Nations qu'on appelait concert des Nations, qui fait de la RD. Congo un Etat condominium ou une colonie internationale.

La RD. Congo est le plus grand Pays francophone, près de cinq fois plus grandes que la France, elle entre dans les U.S.A près de cinq fois seulement, quatre-vingt fois plus grande que la Belgique, elle a une superficie de 2,345 000 Km2, elle s'étend sur environ 2.110 Km del'Est à l'Ouest et 2190 Km du Nord au Sud, c'est le plus grand Pays d'Afrique après l'Algérie.11(*)

La cuvette centrale est une vaste dépression qui couvre ce tiers du pays, soit près de 800.000 Km2 elle est couverte de forêt équatoriale et des marécages occupant environs 20.000Km2. Le fleuve Congo tire sa source dans le Katanga, c'est le 2ème fleuve du monde pour l'étendu de son bassin par le débit à l'embouchure.

CHAPITRE DEUXIEME

CADRE OPERATIONNEL DE L'ANALYSE FINANCIERE DE LA SOCIETE NATIONALE D'ELECTRICITE (SNEL)

Les objectifs de l'Analyse financière est de réaliser une évolution d'Entreprise pour évaluer la solvabilité de l'Entreprise en vue de consentir un crédit à l'occurrence, et beaucoup plus pour nouer des relations d'affaires avec elle. Mais aussi pour estimer la valeur de l'Entreprise dans une optique de cession de participation de vente ou d'achat d'actions en bourse.

II.1. Définition de l'Analyse Financière

Selon le dictionnaire de questions économiques et sociales, l'Analyse Financière est la discipline qui englobe les méthodes permettant d'apprécier les équilibres et les performances des Entreprises ; elle est une vision résolument intégrale de l'Entreprise.12(*)

En effet, qu'il s'agisse d'une Analyse Financière interne ou externe, l'Analyse doit s'efforcer d'étudier l'Entreprise selon une approche systémique afin d'élaborer un diagnostic des politiques suivies et de leurs résultats. L'Analyse est amenée à reconstituer les politiques menées par l'Entreprise dans la mesure où sa situation financière est la sanction de son management et sa stratégie.

L'Analyse financière permet au responsable financier de suivre le progrès de son Entreprise et de situer l'image qu'elle offre aux tiers intéresses tels que les actionnaires, les banquiers, les fournisseurs, les clients et le personnel.

Il est à signaler que la réussite d'une direction financière repose essentiellement sur l'aptitude qu'ont les responsables à prévoir les événements la prévision qui est la clé du succès de formes. Ces dernières doivent tenir compte des forces et faiblesses de l'Entreprise.

Il est donc impératif de connaitre ses forces afin de les exploiter correctement ainsi que ses faiblesses pour mieux y remédier. C'est pourquoi l'Analyse Financière doit être utilisée avec prudence parce que pour un grand nombre d'actes économiques, l'Analyse Financière ne pas qu'une première étape et ne donne au gestionnaire qu'un fragment de l'information dont il y a besoin pour décider et choisir.

II.2. Historique de l'Analyse Financière

A la veille de la crise financière de 1929, qui devrait introduire une profonde mutation des aspects économiques,le métier des banquiers consistait essentiellement à assurer les mouvements des comptes des capitaux, et à octroyer des facilités en créant des caisses occasionnelles. Le problème est d'assurer le financement d'industries naissantes : charbon, textile, construction, mécanique. Les crédits d'exploitations étaient consentis moyennant des solides garanties destinées à éviter une confusion entre le risque du banquier et celui de l'Entreprise.

Les garanties permettent en effet au banquier des s'assurer du remboursement du patrimoine de l'Entreprise, mais non directement affectés par son exploitation ou tout simplement sur le patrimoine personnel du propriétaire de l'Entreprise. Le patrimoine était essentiellement constitué aux yeux de gens fonciers et immobiliers ; il en résulteque le risque du crédit bancaire était alors lies aux modalités juridiques de la prise de garantie.13(*)

Encore faillait-il vérifier que le bien donné en garantie avait une valeur indépendante de l'évolution de l'Entreprise, et en suite évaluer ce bien ainsi les risques des moins values. La doute quand à la valeur réelle de l'actif net en cas de liquidation ; joint à la difficulté d'inventorier les biens donnés en garantie et à la déterminer l'indépendance à l'égard de l'exploitation de l'Entreprise. Cela montrera aux banquiers que la simple Optique de la recherche de la solvabilité était insuffisante pour déterminer rationnellement la décision d'octroi de crédit.

Cette analyse financière est née pour accentuer la basse ou accroitre la rentabilité financière, cela dépend de la conjoncture. Mais si l'activité est florissante au cas où la rentabilité économique générale est susceptible de couvrir les charges et pertes financières issues de l'endettement.

II.3. Les Stratégies Financières d'une Entreprise

Comme définit ci-haut, l'Entreprise se caractérise par tout comme un réseau à la fois hiérarchique et technique quirègle son fonctionnement. Elle définit le plan de son devenir, sur ce elle va procéder à un certain nombre de choix des moyens pour optimiser sa politique financière.

De ce fait l'Entreprise ne pourra pas compter sur ses fonds propres c'est-à-dire le résultat et le capital, mais aussi sur l'analyse libérale d'inspiration marginaliste qui, la rémunération de tous les facteurs obéit au principe de la rémunération selon la productivité des stratégies marginales. Elle sera peut être dans ce cas contrainte de limiter une politique d'investissement que le marché aurait voulu plus large.

Enfin, l'entreprise peut se financer de façon externe, elle fait recours aux marchés financiers disponibles et accepte de perdre une parie de son autonomie financière pour accroitre ses actifs. Elle oriente la fixation d'objectifs de la croissance plus ou moins rapide, plein d'emploi, équilibre de la balance de paiement, l'indépendance nationale, réduction des inégalités, la stabilité de rentabilité. La réduction du taux profit pour favoriser la lutte contre les inégalités, mais aussi augmenter le taux de profit en freinant la masse salariale qui restaure le taux de profit en limitant les raisons d'investir car la faiblesse de la demande solvable n'encourage pas à l'augmentation des capacités productives.

Entreprise peut le faire par la subvention d'équipement, appels à des organisations spécialisées en matières de crédit, émettre elle-même sur le marché financier des obligations, c'est-à-dire des titres des créances portant intérêts, fusion avec les entreprises similaires.

II.4. Méthodes d'Appréciation des Entreprises

Cette méthode porte sur l'évolution passée et les caractéristiques constantes au moment de l'analyse, elle se distingue ainsi des travaux de gestion prévisionnelle ouverte vers l'action. L'analyse financière englobe cependant une panoplie de synthèse et d'interprétation dont l'objet est de faire l'évolution probable de la situation financière de l'Entreprise. Une situation constatée à un moment donné contient potentiellement les éléments de transformation de cette situation.

Le prolongement des tendances constatées au cours d'une période permet également d'anticiper l'évolution de la situation financière en tenant compte des éléments nouveaux susceptibles d'intervenir, se caractérise à la situation de l'Entreprise à un moment donné et permettent d'apprécier les grands postes du bilan.

Son objectif étant diagnostic financier, c'est-à-dire la connaissance de la santé financière de l'Entreprise, on la situe dans le processus de gestion, processus managérial dans la phase du contrôle de gestion et du diagnostic général. Mais aussi, la méthode d'appréciation tend à devenir un système de traitement de l'information destinée à fournir des données aux preneurs de décision financière, elle sert de base à des prévisions à court, à moyen et à long terme.14(*)

Cette méthode d'appréciation d'une Entreprise dispose de l'information financière la plus complète que possible, fiable, les problèmes financiers que l'on veut étudier. Connait les règles et normes de gestion financière auxquelles l'analyse devra se référer pour comprendre les problèmes financiers de l'Entreprise. Elle choisie les méthodes et techniques d'analyse appropriées aux problèmes financières à étudier, donner son avis d'expertise sur la situation financière sous forme d'un diagnostic financier.

II.5 Analyse Par l'Etat des Soldes de Gestion

L'analyse par l'état des soldes de gestion est l'un des objectifs atteint par l'Entreprise dans sa politique générale. Cette notion conduit à émettre un postulat appelé l'analyse du compte de résultat qui permet d'y distinguer des marges et des résultats intermédiaires. Le plan comptable général présente un tableau récapitulatif de calcul des soldes de gestion, patrimoine de l'Entreprise. Car, les capitaux monétaires mis à la disposition de celle-ci ne peuvent pas être affectés à n'importe quel investissement.

Les soldes intermédiaires de gestion sont utilisés pour évaluer l'activité, la profitabilité et la rentabilité d'une Entreprise. Ces soldes peuvent être apprécié par une étude du bilan, document essentiel de l'analyse qui considère du point de vue juridique, se présente comme un inventaire reprenant de côte passif ses obligations par rapports à ses propriétaires et à ces créanciers et du coté actif, des droits de propriété et de créance qu'elle détient.

L'état de solde de gestion est un tableau qui permet de présenter le calcul de ces soldes, il est composé de deux tableaux, à savoir :

§.1. Le tableau de formation des Résultats ;

Les résultats obtenus en formant la différence entre tous les produits et toutes les charges de l'exercice. Pour mieux analyse comment s'est formé ce résultat, il est important de calculer les différences partielles entre certains produits et certaines charges seulement.

Les ressources d'exploitation des Entreprises de distribution proviennent essentiellement de l'excédent des ventes de marchandises sur le coût d'achat des marchandises vendues, donc de leur marge commerciale.

Marge Commercial =

Ventes de marchandises

_ achats revenus de marchandises

Il sied d'indiquer ici la marge commerciale est considéré comme indicateur fondamental pour les Entreprises commerciales, pour mesurer la performance de l'entreprise, il faut comparer sa marge avec celle des autres entreprises du même secteur. Mais la production de l'exercice mesure mieux que la seule production vendue, l'activité de l'entreprise, notamment quand la production immobilisée à une importance significative.15(*)

Production de l'Exercice =

Production Vendue (PV)

+production Stockées (PS)

+production immobilisée (P.I)

La valeur ajoutée correspond à l'apport que l'entreprise fait au monde économique extérieur. Elle mesure la richesse créée par l'entreprise. Cette richesse sera partagée par les différents acteurs participant à la vie de l'entreprise  tel que : personnel, banques, Etats, actionnaires. En outre la valeur ajoutée est le résultat de la différence entre les ventes, chiffre d'affaires, et les achats externes : matières premières, marchandises, autres achats et charges externes.

Valeur Ajoutée (VA) =

Marge Brut (MB)

+Production de l'Exercice (PE)

_ Consommation de l'exercice

Consommation de l'Exercice (CE)=

Achats Consommés des matières et fournitures (ACMF)

+Autres Charges Externes.

L'excédent brut d'exploitation est le solde généré par l'activité courante de l'entreprise sans prendre en compte sa politique d'investissement et sa gestion financière. Cet indicateur donne une vision objective de l'entreprise et permet de déterminer la rentabilité de son exploitation courante. Au cas où cet indicateur est négatif, on parlera d'insuffisance brute d'exploitation.

§.2. La Capacité d'Autofinancement (CAF) ;

Ladite capacité qualifie pendant une évolution de temps, le potentiel de l'entreprise à dégager par son activité, par une ressource. Cette ressource interne pourra être utilisée notamment pour financer la croissance de l'activité, financer des nouveaux investissements, rembourser des emprunts ou verser des dividendes aux propriétaires de l'entreprise.

Le CAF se calcule à partir du résultat Net auquel on ajoute les charges calculées, dotations aux amortissements et provisions auquel on retranche les produit calculés, les reprises sur provisions et amortissement apparaissant dans le compte de résultat qui sont des produits.

Excédent Brut d'Exploitation (EBE)=

VA

+Subvention d'Exploitation

_ impôts et taxes

_ charges du personnel

Résultat d'Exploitation (RE) =

EBE

+Autres produits d'Exploitation (APE)

-Autres charges d'Exploitation (ACE)

Résultat Financier (RF) =

Produits financiers

_ charges Financières

Résultat Courant (RC) =

Résultat d'Exploitation (RE)

+ Résultat Financier

Résultat Non Courant (RNC) =

Produit Non Courants

_ Charges Non Courantes

Résultat Net (RN) =

Résultat Courant

+ Résultat Non Courant

_ Impôt sur le Résultat (ISR)

II.6. Etude Par La Méthode des Ratios

Il est de coutume de dire l'étude par la méthode des ratios effectué à travers le bilan se fait selon deux axes, un axe verticale et un autre axe horizontal. Les doctrinaires restent unanimes à affirmer que seule l'analyse fondée sur le fonds de roulement ne suffit pas, non plus pour porter un jugement définitif sur la santé financière d'une entreprise, ainsi préconisent-ils le recours à la deuxième approche de l'analyse financière, celle des ratios.

L'étude correspondant à l'axe vertical vise dans un premier temps à déterminer l'importance relative des capitaux extérieurs par rapports aux fonds propres car elle conditionne le résultat final, la rentabilité financière ainsi que la capacité d'endettement en fonction de la nature et de l'échange des dettes. Il s'agit donc de mesurer l'assise financière de l'entreprise et son degré d'interdépendance. Mais ce lui de l'axe horizontal vise les premiers méthodes à la notion de fonds de roulement considéré par les prêteurs comme marge de sécurité nécessaire pour le gestionnaire.16(*)

Le ratio est le rapport expressif entre deux grandes caractéristiques de la situation du potentiel de l'activité ou de rendement de l'entreprise. Ce rapport est dit expressif car à partir de deux données, l'on peut établir une nouvelle de nature différente. Cette étude permet à l'analyse de raisonner sur la situation financière d'une entreprise ; cela peut être exprimé soit sous forme d'un quotient, soit sous forme d'un pourcentage.

La méthode de ratios set à mesurer les relations qui existent entre les éléments de la nature de l'actif et du passif ou pour apprécier l'équilibre entre le degré de liquidité et le degré d'exigibilité.

En effet, il en résulte que les méthodes de ratios peuvent être employés directement pour apprécier la santé financière d'une entreprise, ils endossent un certain nombre d'inconvénients parmi lesquels nous citons : la méthode des ratios s'applique sur une analyse de l'évolution de plusieurs bilans successifs, le calcul des ratios ne permet pas de prédire l'avenir, doit-il être renforcé par d'autres outils permettant de convertir le passé au futur ?17(*)

Dans notre étude sur ce point de l'étude par la méthode de ratios nous n'avons retenu que trois sortes de ratios, à savoir :

§.1. Ratios de solvabilité à Long Terme :

Ils permettent de connaitre la solvabilité générale de l'entreprise donc connaitre la capacité d'apurer l'exigible avec la réalisation de l'actif enfin apprécier sa valeur du point de vue Financier.

Ce ratio nous indique la part des capitaux propres dans le financement de l'entreprise et il doit être supérieur ou égal à un, et lors qu'il est supérieur à un, cela signifie que les capitaux propres finances non seulement les valeurs immobilisées mais finances aussi une partie des valeurs circulantes, c'est-à-dire que l'entreprise respecte le principe d'équilibre financier et par conséquent dispose d'un fonds de roulement propre. Est une expression du Fonds de Roulement et détermine son importance et son évolution dans le temps qui indique la part de dettes à long et à moyen terme dans le financement des actifs fixes.

§.2. Ratios de Solvabilité à Court Terme,

A l'issue de cette étude, la suivie de l'évolution de la situation financière d'une entreprise reste préoccupation majeure de ses dirigeants, nous avons constaté que l'entreprise doit faire suivi de sa politique de liquidité, pour sa survie. Il montre la mesure selon laquelle les actifs circulants couvrent les dettes à court terme, en s'autres termes il nous permet d'apprécier si l'entreprise dispose d'une marge de sécurité suffisante. Mais aussi ce ratio permet de voir quelle mesure les valeurs disponibles peuvent financer les dettes à court terme.

Ratios de Solvabilité à CT =

Valeurs Réalisables

+ Valeurs Disponibles

§.3. Ratio d'Autonomie Financière : l'analyse de ce dernier permet d'éclairé selon laquelle la répartition entre les capitaux propres et permanentes s'effectue encore il permet de comprendre l'importance des capitaux propres dans les dettes à long et à moyen terme ; comprendre la part qu'occupent les capitaux propres dans l'ensemble de capitaux permanents utilisés par l'entreprises. Enfin permet de comprendre l'importance de l'exigible par rapport aux capitaux permanents dont dispose l'entreprise.18(*)

II.7. Besoin En Fonds de Roulement

Le Besoin en Fonds de Roulement (BFR) est le principe, disposition des ressources financières que l'entreprise met en oeuvre pour couvrir le besoin financier, résultat des décalages des flux de trésorerie correspondant aux décaissements dépensées et recettes d'exploitation nécessaires à la production et aux encaissements ; commercialisation des biens et services liés à son activité.

Mais généralement le BFR est identifié comme ressource en fonds de roulement.

Certes, les clients payent à l'avance ou à pour les biens ou services qui leur sont achetés, ces termes de paiement sont d'ordre contractuel et permettent des achats et ventes à crédits, opérations désignées sous le non de crédit interentreprises. Mais son importance dépend de la longueur du cycle d'exploitation, de la valeur ajoutée à chaque étape de ce cycle. De l'importance et de la durée de stockage de matières premières, conditionnement des encours de production et des produits finis, et des délais de paiement accordés par les fournisseurs ou consentis aux clients.

BFR =

Actif Circulant

_ Passif Circulant

Actif Circulant =

Stocks +Créances Clients

Passif Circulant =

Dettes Fournisseurs +dettes Fiscales +Dettes Sociales

A partir de cette formule, nous pouvons considérer que le BFR est comme la différence entre les actifs d'exploitation et les passifs d'exploitation au sens large.

BFR =

Stocks

+ Résultat

_ Dettes à Court Terme d'exploitation

Si le BFR est négatif, certaines activités génèrent un flux positif de trésorerie, c'est notamment le cas pour les entreprises de la grande distribution qui payent leurs fournisseurs après la livraison. Souvent 60 jours ou au-delà, alors que les clients payent au comptant. Dans majorité des entreprises, le BFR est positif, c'est lors que l'entreprise arrive à augmenter le fonds pour combler le flux négatif généré par le cycle d'exploitation.

Les emplois d'exploitation de l'entreprise sont inférieurs aux ressources d'exploitation. L'entreprise n'a pas de besoin d'exploitation à financer, puis que le passif circulant. Elle n'a donc pas de besoin d'utiliser ses excédents de ressources à long terme pour financer d'éventuels besoins à court terme.19(*)

Si le BFR est positif, les emplois d'exploitation des entreprises sont supérieurs aux ressources d'exploitation. L'entreprise doit financer ses besoins à court terme soit à l'aide de son excédent de ressources financières complémentaires à court terme comme les concours bancaires.

Mais si le BFR est nul, les emplois d'exploitation de l'entreprise sont égaux aux ressources d'exploitation ; l'entreprise n'a seulement pas de besoin d'exploitation à financer, parce que le passif circulant suffit à financer l'actif circulant.

Cependant lors de la création de l'entreprise et lors de ses phases de croissance, il en est question de définir le BFR prévisionnel sachant que toute insuffisance du fonds de roulement se traduira par des difficultés de trésorerie selon l'équation.20(*)

FR =

BFR

+ Trésorerie

Ainsi à tout le temps, l'insuffisante du fonds de roulement par rapport au besoin en fonds de roulement entraine une trésorerie négative qui, non anticipée, peut amener à la cessation de paiement.

Etant donné l'aspect stratégique du BFR, une entreprise peut employer certaines techniques afin de couvrir son BFR, à ressources stables inchangées.

CHAPITRE TROISIEME

PRESENTATION ET ETUDE DES COMPTES D'EXPLOITATION DE LA SNEL.

Ce chapitre fait sujet de l'étude de la rentabilité pour voir dans quelle mesure la SNEL est capable de s'autofinancer.

III.1. Présentation de la Société Nationale Electricité

III.1.1. Aperçu Historique de la SNEL.

La Société Nationale d'Electricité SNEL en sigle, créée par l'ordonnance loi n°70-033 du 16 Mai 1970. Est entreprise publique à caractère industriel et commercial, dotée de la personnalité juridique.

A l'origine, l'entreprise a reçu de l'Etat entant que maitre de l'ouvrage, le mandat de mettre l'oeuvre dans les travaux de la première étape de l'aménagement hydro-électrique de site Inga.

Soucieux de répondre aux besoins énergétiques du Pays, les pouvoirs publics, par l'ordonnance présidentielle n°63-391 du 23 Septembre 1927, instituaient le comité de contrôle technique et financier pour les travaux d'Inga, comité qui sera remplacé en 1970 par la société de l'Etat dénommé « SNEL ».

Suite à la mise en service de la centrale d'Inga, le 24 Novembre 1972 que l'objet social de la SNEL sera complète. La SNEL devenait effectivement producteur, transporteur et distributeur d'énergie électrique à l'instant de la société d'Etat REGIDESO et sociétés commerciales privées préexistantes ayant eu le même objet, à savoir :

· COMETRIK ;

· FORCE DE L'EST ;

· FORCE DU BAS ;

· SOCIETE ZAIROISE DES FORCES HYDRO-ELECTRIQUE ;

· SOGEFOR.

· SOCIETE GENERALE AFRICAINE D'ELECTRICITE (SOGELEC).

Cependant la même année, le Gouvernement a mis en marche de processus d'absorption progressive de ces six sociétés privées par la SNEL. Ce processus aboutira par l'instauration d'un monopole au profit de la SNEL.

Renforcée par la loi n°74/012 du 14 Juillet 1974, portant reprise par la SNEL de droits, obligations et activités des six sociétés privées citée ci-haut. Celle-ci traduit la volonté de l'Etat d'assurer le contrôle direct de la production, du transport et de la distribution d'électricité, matière stratégique dans le développement économique et social du Pays.

En ce qui concerne la REGIDESO, la reprise total par la SNEL des ces activités électriques y compris ses centrales n'interviendra qu'en 1979. Depuis lors, elle contrôle toutes les grandes centrales hydro-électriques et techniques du Pays. Seule quelques micro et mines centrales thermique intégrées aux installations d'entreprise isolée demeurant indépendante.

A ce jour le secteur d'électricité est confié à la SNEL, société d'Etat régie par la loi cadreportant disposition sur les entreprises publiques et l'ordonnance-loi n°79/496 du 5 Mai 1978 approuvant ses statuts, sous la tutelle du ministre ayant l'énergie dans ses attributions.

Ainsi, après sa création administrative et sa définition statères par les pouvoirs publics, il incombe à la nouvelle société des s'assurer en matérialisant ses structures fonctionnelles et ses activités sur le terrain, pour ce faire, il lui a fallu à partir des anciennes sociétés productives et distributrices d'énergie électrique ayant des structures et cultures différentes de redéfinir ses objectifs dont les principaux sont :

· Création effective d'une société d'électricité faible et noble à l'échelon national et international ;

· Définition d'une stratégie de développement à court, moyen et long terme en rapport avec les objectifs généraux lui assigné par l'Etat cité au moindre coût possible.

La société Nationale d'Electricité SNEL, est engagée à une nouvelle réalité, à la suite du changement de son statuts juridique était de simple entreprise publique, elle est devenue depuis le 1èr Janvier 2011, une société commerciale (SNEL SARL).

Ses nouveaux statuts ont été publiés au journal officiel de la RD. Congo. Ce changement juridique est une première étape d'un processus qui doit être suivie de sa transformation économique et de la révolution de la modernité.

III.1.2. Situation Géographique

Le siège social de la SNEL est situé dans la partie Nord de la ville de Kinshasa, au croisement des avenues de la Justice et Batetela dans la commune de la Gombe. L'entreprise s'étend sur toutes les provinces du Pays produisant l'énergie électrique d'origine hydraulique et thermique. Son siège d'exploitation est situé au Bas-Congo précisément à Inga.

III. 1.3. Mission et Objectif de la SNEL

Cette ancienne entreprise publique remplissait aussi une mission sociale sera désormais, dans sa conversion en une entité économique, totalement soumise aux lois du marché, dans des conditions qui garantissent sa viabilité économique et financière. Les activités de la mission de la SNEL SARL comprennent la production, le transport, la distribution et la commercialisation de l'énergie électrique.

Ses objectifs sont régis en vertu de l'ordonnance-loi n°78-196 du 5 Mai 1978, elle est soumise aux dispositions de l'arrêté royal du 9 Novembre 1956 portant règlement général et cahier des charges fixant les principes applicables aux concessions de distribution et commercialisation de l'énergie électrique.21(*)

La transformation des entreprises publiques en sociétés commerciales poursuit certains objectifs de base à savoir :

Donner aux managers la possibilité de gérer ces entreprises comme des entités commerciales, aligner leur régime de gestion sur celui des entreprises privées. De manière à pouvoir juger leurs managers sur la base des critères commerciaux, séparer clairement propriété et gestion de l'entreprise et établir la distinction nette entre les entreprises qui relèvent du secteur marchand et qui doivent être gérées suivant la logique commerciale et celles qui sont le prolongement de l'administration ou qui revêteune mission de service public.

Les vingt 1ères années de son existence caractérisent la formationde l'entreprise publique en tant que société nationale ayant notamment pour vocation la couverture du Pays en énergie électrique et le service public. C'est vers la fin de la 2èredécennie de cette période que le premier plan Directeur d'électrification du Pays à l'horizon du millénaire à être élaboré.22(*)

La mise en route de ce plan et du contrat programme a été plombée par la suspension dès 1990 de la coopération bilatérale et multilatérale qui avait une part significative dans leur financement.

Les objectifs de l'Etats Congolais, dans cette transformation, sont essentiellement de nature économique. Ils portent sur la matérialisation par les entreprises publiques transformées en sociétés commerciales, de meilleurs résultats en termes de productivité et de rentabilité mais aussi en efficacité économique. Nous soulignons que les objectifs de la SNEL comme SARL ne peuvent être atteints que si elle sera dans une situation financière saine dès le début de leur transformation.

III.1.4. Organe administratif et Fonctionnent

Régie par des dispositions générales applicables aux entreprises dans le cadre de l'ordonnance n°78-002 du 26 Janvier 1978, la SNEL est placée sous une double tutelle : sous tutelle technique du Ministère de l'énergie et sous tutelle financière du Ministère de portefeuille. Quant à sa gestion, elle est assurée par un conseil d'administration suivi d'un college des commissaires aux comptes.

L'Administrateur Délégué Général (ADG), gère au font les affaires courantes de la société et est secondé dans l'exercice de ses attributions par un Administrateur Délégué Général Adjoint (ADGA) et deux Administrateurs technique et financier.

Les Responsables des Départements respectifs. Pour beaucoup plus de précision cette structure se présente de la manière ci-après :

1.4.1. Le Conseil d'Administration

Il est l'organe collégial qui regroupe trois ou six membres appelés Administrateur. Ceux-ci sont nommés et révélé de leurs fonctions par un décret-loi ou ordonnance-loi du président de la République, l'un d'eux sera nommé président du Conseil d'Administration :

· Président du Conseil d'Administration (PCA) ;

· Administrateurs Internes ;

· Administrateurs Externes.

1.4.2. Comité de Gestion

Il est composé de :

· Administrateur Délégué Général (ADG) ;

· Administrateur Délégué Général Adjoint (ADGA) ;

· Administrateur Directeur Technique (ADT) ;

· Administrateur Directeur Financier (ADF).

Le comité de gestion représenté par l'ADG, il est chargé :

· D'assurer dans les limites des pouvoirs qui lui ont été délégués par le conseil d'administration, la gestion des affaires courantes de la société ;

· De diriger et surveiller tout le personnel de la société et exercer ses pouvoirs sur l'ensemble des services ;

· De pouvoir aussi conférer des délégations de pouvoir à certaines hautes responsabilités lorsqu'il estime nécessaire.

En outre, la SNEL est subdivisée en Départements et chaque Département en Directions ; chaque Direction en Divisions et les Divisions en services. Il s'agit de :

· Département de l'organisation et Contrôle, composé de quatre Directions ;

· Département Technique, subdivisé en quatre Directions ;

· Département Commercial et Financier, a trois Directions ;

· Département Administratif, a aussi trois Directions ;

· Service de l'ADG.

1.4.3. L'Organigramme

Conseil ADM.

Comité de

Comité de Gestion

Bureau d'ADG

ADG

Bureau Conseil

Coord. Des Activités Commerciales

Direction de l'Equipement

DPT. De Distribution de Kinshasa

Kinshasa

ADF

DPT.Des Ressources Hum

DPT.De Finance

DPT.Appro & Marchés

DPT. Distributio

DPT.Product et Transport

ADT

Dpt.Organisation et Contrôle.

Dpt. De Rech. Et Développem

Secrétariat Gén

ADGA

Dir. Des Etudes & Standars

Dir. Prévention & Sécurité

Div. Juridique

III.2.Etude des Comptes d'Exploitation de la SNEL.

III.2.1. L'Etat de Solde de Gestion

Le compte de résultat est un document par lequel les produits et les charges d'une entreprise interviennent au cours de l'exercice comptable et financier. Il permet de connaitre tous les produits et toutes les charges.

Le document très important, le compte de produits et de charges permet les états de synthèse de faire la lecture d'une société sur un bilan, mais ne permet pas d'expliquer dans le détaille de savoir comment a été réaliser. Cet état de solde appartient à la rubrique finance qui elle-même appartient à la thématique gestion.23(*)

L'objectif de l'état de solde de gestion est :

De juger la compétence et la performance de l'entreprise et de la création des richesses générées ; de créer la richesse et décrire la répartition de la richesse entre les salariés et les organismes sociaux, l'Etat et les entreprises. Enfin, de comprendre la formation du résultat net en le décomposant.

III. 2.2. L'Etude des Ratios de Rentabilité

L'étude financière par ratios permet au responsable ou aux entreprises de suivre le progrès de situer l'image qu'elle offre aux tiers intéressés tels que les actionnaires, les banquiers, les fournisseurs, les clients et le personnel.

La rentabilité est un rapport entre les résultats obtenu et les moyens financiers mis en oeuvre par l'entreprise. Les éléments de mesure de la rentabilité sont : le chiffre d'affaire (vente), valeur ajoutée, l'excédent brut de l'exploitation, l'auto financement, les capitaux propres, le résultat net d'exploitation.

Comme la rentabilité pose parfois de délicats problèmes de mesure ; nous allons nous limiter dans le cadre de notre travail aux ratios de la rentabilité économique, financière et commerciale.

III.2.3. La Rentabilité Economique

Ces ratios de rentabilité renseignent l'efficacité avec laquelle l'entreprise est gérée.

La rentabilité économique mesure l'efficacité de l'outil économiqueutilisé par l'entreprise pour son exploitation courante.24(*) Elle est un point fondamental de l'analyse financière qui tient compte des performances managériales, stratégiques, concurrentielles et du degré d'adéquation des actifs économique à l'activité de l'entreprise.

Rentabilité économique= (résultat économique/CA)x(CA/actif économique)

Rentabilité économique= taux de marge nette x taux de rotation de l'actif

Economique

III.2.4. Rentabilité Financière

La rentabilité financière mesure la rentabilité des capitaux propres de l'entreprise. Elle est au même point d'égalité avec le résultat net comptable (capitaux propres). Elle intéresse principalement les propriétaires de l'entreprise.

III.2.5. Rentabilité Commerciale

La rentabilité financière fait la différence et montre l'évolution du rendement des seuls capitaux propres, tandis que la rentabilité économique nous a parlé de l'évolution du rendement global de tous les actifs. Mais la rentabilité commerciale ou la marge nette a trait quant à elle, à la politique des prix pratiquée par l'entreprise.

III.3. Bilan et TFR en Franc

Tableau n°1

Actif.

Cptes

Libelles

2006

2007

2008

2009

20

21

22

23

24-27

565

Val.Immobilisées

Val. Inc. Immob.

Terrains

Immobilisa. Corp Concession

Immob. Corp. en Cours

Autres Val.Immob

Disponibles sur Financement

9 532334

551.703.536

177.928.268.480

10.049.527.607

5.566.256.932

10.302.506.291

15 422 377

624.048.908

185.625.565.346

17.549701.029

4.376.645.064

8.047.719.924

1.276.907.977

89.361.211

225.822.738.629

126.26.046.766

19.397.514.914

6.367.805.659

2.984.160

1.637.405.063

395.223.670.382

191.744.810.985

59.379.850.375.

 

Total Val Immob

204.407.795.178.

216.249.162.648

380.084.372.160

650.969.879.463

 

Total Val D'Exploit

4.741.948.415

4.284.305.166

5.385.486.993

7.737.091.390

40

41

42

43

44

46

47

52

Val. Réalisables

FSS et act.Versés

Clients.

Personnel.

Etat.

Propriétaires.

Débiteurs Divers.

Régularisation D'Actif.

Titre à CT

12.770.137.505

127.824.643.261

16.912.548.887

1.950.192.290

0

1.223.808.110

17.394.457.730

0

0

10.151.425.347

150.324.523.862

1.218.716.727

877.662.675

1.654.596.154

1.469.494.756

19.105.694.214

0

1.462.441.384

180.542.004.385

1.610.048.480

377.183.815

1.923.742.603

3.548.300.890

28.566.553.661

0

18.268.632.442

219.299.755.308

2.466.310.692

721.077.462

0

1307095643

23762137649

0

 

Total Val Réal

162.874.493.783

184.802.113.545

622.532.145.851

2.365.855.069.196

56

57

Val. Disponibles.

Banques

Caisses

2.631.410.069

422.784.242

5.529.219.796

419.589.074

5.438.181.498

434.848.982

12.028.978.400

34.467.374

 

Total Val Dispo

3.054.194.301

5.948.808.870

5.873.030.480

12.373.651.774

 

Total Actif

375.078.431.677

411.078.431.677

622.532.145.851

936.935.649.823

Source : à partir de la Direction Générale SNEL

Tableau n° 2

Passif

Cptes

Libellés

2006

2007

2008

2009

10

Capital

1. O74. 839.865

1.178.592.947

1.783.953.953.198

1.074.839.865

12

Report à Nouveau

-220.762.250.327

-242.072.181.816

-366.407.625.210

-

13

Résultat de l'Exercice

-65.360.964.631

-71.670.184.963

-108.482.115.019

-263.334.088.798

14

Plus Value de Réévaluation

213.597.817.505

243.216.174.360

354.516.539.609

40.334.088.798

Total

Situation nette

-71.450.557.588

-78.347.599.473

-118.589.247.423

2.368.170.642.178

15

Subvention d'Equipement

820.569.126

899.777.740

1.361.930.241

232.902.493.368

16

Emprunt&Dette en LT

29.625.534.699

32.485.254.211

49.170.643.072

32.678.799.368

17

Emprunt&Dette en MT

22.641.736.659

24.827.318.009

37.579.363.988

113.458.060.892

18

Provision pour Pertes

147.726.006.300

161.985.831.378

245.186.552.819

 

Total

Capitaux Permanents

66.929.417.791

74.602.133.692

83.977.126.474

265.590.292.627

40

Fournisseurs

38.217.689.711

41.906.800.275

63.431.374.283

79.303.011.893

42

Personnel

136.532.241

149.711.545

226.607.829

2.232.404.998

43

Etat

3.668.183.859

4.022.269.519

6.088.226.292

4.383.405.187

46

Créditeur Divers

20.105.934.697

22.046.737.938

33.370.595.625

54.198.937.697

47

Régularisation de Passif

113.788.772.006

124.772.064

188.859.615.557

176.917.175.911

50

Emprunt à Mois D'un an

68.048.080.264

74.616.684.844

112.942.024.520

4.660.442.578

56

Banques (Découverts)

849.337.888

931.323.518

1.409.678.865

699.324.958

57

Règlement en Cours

900.611.815

987.546.860

1.494.780.181

675.529.465

Total

Dettes à Court Terme

245.715.481

269.433.748.565

407.822.903.154

321.070.232.087

Total

Passif

375.087.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

935.935.649.823

Source : à partir des états financiers de la SNEL (Direction Générale)

Tableau n° 3

Tableau de Formation de Résultat

Cptes

Désignation des Comptes

2006

2007

2008

2009

80

Marge Brut

6.708.851

5.557.812

7.758.783

10.285.331

71

Production Vendue

-88.276.121.101

-123.801.282.362

-148.838.830.026

22.933.848.107

61

Matières & Fourn. Consommées

18.941.028.815

12.580.459.736

17.332.497.123

275.189.984

62

Transports Consommés

4.659.335.725

6.303.880.150

7.218.714.042

23.273.362.696

63

Autres Services Consommés

7.021.484.984.470

8.264.984.470

12.597.580.014

9.717.509.826

81

Valeurs Ajoutées

-57.654.271.701

-96.651.958.006

-111.690.038.874

169.873.648.008

81

Valeurs Ajoutées

-57.654.271.701

-96.651.958.006

-111.690.038.874

169.837.648.008

74

Produits & Profit Divers

-33.523.019.548

-17.465.627.746

-5.531.966.746

144.220.463.092

76

Subvention d'Exploitation

-15.542.600

-19.319.530

-97.768.300

301.560.922.000

77

Intérêt Reçus

-351.784.953

-1.013.352.825

-1.82.619.479

825.346.123

78

Reprises/Provisions Exigibles

-

100.670.221.255

-49.598.766.339

62.406.219.205

64

Charges & Pertes Divers

128.472.153.214

28.894.024.651

50.650.186.482

133.861.546.264

65

Chargedu Personnel

62.683.106.334

35.440.955.164

34.388.193.888

55.717.194.715

66

Intérêts Locaux

27.367.842.559

4.729.292.538

603.468.039

2.321.329.185

67

Intérêts sur Emprunts

1.328.561.693

982.110.189

1.125.282.638

1.321.329.185

68

Dotation aux Prov. Non Exigible

1.085.261.368

96.838.084.036

90.960.978.311

45.941.612.803

89.270.994.386

82

Résultat Brut d'Exploitation

-30.713.916.026

-54.813.118.509

-35.592.415.861

51.650.519.597

82

Résultat Brut d'Exploitation

-30.713.916.026

-54.813.118.509

-35.592.415.861

51.650.519.597

78

Reprises/Provisions Exigibles

-97.906.212.882

-127.146.637.759

-127.146.637.759

235.519

68

Dotation aux Prov. Non Exigible

193.811.534.464

194.352.565.454

194.352.565.454

695.785

289.627.695.785

83

Résultat Net d'Exploitation

65.191.405.556

12.392.809.186

19.939.017.779

237.977.176.188

83

Résultat Net d'Exploitation

65.191.405.556

12.392.809.186

19.939.017.779

237.977.176.188

84

Résultat/Cession

0

0

0

0

85

Résultat Net avant Contribution

65.191.406.556

12.392.809.186

18.939.017.779

41.518.639.917

86

Contribution sur Rev. Prof et Loc

169.559.075

142.299.583

148.838.830

367.657.603

87

Résultat de la Période

65.360.964.631

12.535.108.769

19.087.856.609

40.790.982.314

Source : à partir des états financiers de la SNEL (Direction Générale)

Tableau n° 4

Bilan Déflaté

 
 

Actif

 
 
 

Cptes

Libellés

2006

2007

2008

2009

 

Valeurs Immobilisées

 
 
 
 

20

Val Inc Immob

9.532.334

10.452.479

15.821.183

745.443.332.368

21

Terrains

551.703.536

604.958.857

915.683.647

409.023.784.737

22

Immobilisa Corp Concession

177.928.268.480

195.103.483.297

295.314.412.745

987.268.728.614

23

Immobilisa Corp en Cours

10.302.506.291

11.019.597.191

16.679.588.738

478.978.537.840

-27

Autres Valeurs Immobilis

5.566.256.932

6.103.561.447

9.238.531.410

148.330.866.236

65

Disponibles sur Financement

10.302.506.291

11.296.995.625

17.099.467

-

 

Total Valeurs Immobilisées

204.407.795.178

224.139.049.527

33.263.504.947

1.626.122.386

 

Total Val d'Exploitation

4.741.948.415

51.996.836.357

7.870.394.757

19.327.254.292,2

 

Val. Réalisables

 
 
 
 

40

Fourniss et Ac Versés

12.790.137.505

140.024.755.079

21.228.284.284.738

45.709.810.788.759

41

Clients

127.824.643.261

140.163.412.172

212.155.492.668

547.810.788.759

42

Personnel

1.691.254.887

1.854.509.817

2.807.040.995

6.160.844.108

43

Etat

1.950.192.290

2.138.442.156

3.236.809.394

1.801.251.500

44

Propriétaires

0

0

0

.265.124.916

46

Débiteurs Divers

1.223.808.110

1.341.940.924

2.031.201.542

0

47

Régularisations d'Actif

17.394.457.730

19.073.525.152

287.870.252.678

559.357.819.847

52

Titres à Court Terme

0

0

0

0

 

Total Valeurs Réalisables

162874493783

 
 
 

56

Banques

2.631.410.069

2.885.417.121

4.367.452.827

30.048.388.043

57

Caisses

422.784.232

463.595.118

701.711.305

860.994.382.131

 

Total Valeurs Disponibles

3.054.194.301

3.349.012.239

5.069.164.132

30.909.382.131

 

Total Actif

375.078.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

234.046.525.325

Source : à partir des états financiers de la SNEL à la Direction Générale

Tableau n°5

 
 
 

Passif

 
 

Cptes

Libellés

2006

2007

2008

2009

10

Capital

1.074.839.865

1.074.839.865

1.074.839.865

2.684.949.982,77

12

Report à Nouveau

-

-236.892.607.807

-249.427.716.576

-657.808.553.817

13

Résultat de l'exercice

220.762.250.327

-12535.108.769

-19.087.856.609

101.895.873.820

14

Plus Value de Réévaluation

-65.360.964.631

213.597.817.505

230.266.885.619

278.562.052.174

1.143.149.77,24

 

Total Situation Nette

-71.450.557.588

-18.085.991.092

11.121.318.854

591.569.026.414

15

Subvention d'Equipement

820.569.126

597.639.620

570.592.205

1.649.984.182, 74

16

Emprunt et Dette à LT

29.625.534.699

30.856.558.021

141.343.470.662

581.790.428.433

17

Emprunt et Dette à MT

22.641.736.659

19.081.938.979

22.813.410.26

81.654.122.548

18

Provision pour perte et Charge

147.726.006.300

90.251.147.248.

86.593.985.712

81.654.122.548

 

Total Capitaux Permanents

200.813.846.784

140.787.283.868

251.321.458.815

663.444.550.982

40

Fournisseurs

38.217.689.711

43.532.084.794

60.614.245.462

198.098.923.708

42

Personnel

136.532.241

167.461.295

200.729.117

580.547.004

43

Etat

3.668.183.859

4.965.618.421

2.838.146.554

10.949.746.157

46

Créditeurs Divers

20.105.934.697

34.282.845.304

38.53.227.622

135.388.946.367

47

Régularisation de Passif

113.788.772.006

111.393.212.269

1.492.611.573.649

4.419.939.103.926

50

Emprunt à Moins d'un An

68.048.080.264

93.738.830.541

108.302.362.118

11.614.785.559

56

Banques (découverts)

849.337.888

113.288.539

181.640.610

1.746.913.745

57

Règlements en Cours

900.611.815

389.695.490

337.442.010

1.687.472.603

 

Total Dettes à Court Terme

245.715.142.481

288.583.037.653

360.089.368.182

802.033.667.071

 

Total Passif

375.087.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

2.340.455.253

Source : à partir des états financiers de la SNEL à la Direction Générale

Bilan Condensé

Tableau n° 6

 
 

Actif

 
 

Libelles

2006

2007

2008

2009

Valeurs Immobilisées

204.407.795.178

224.139.049.527

33.263.504.947

1.626.122.386

Valeurs d'Exploitations

4.741.948.415

51.996.836.357

7.870.394.757

19.327.254.292

Valeurs Réalisables

162.874.493.783

178.596.585.306

270.329.082.015

265.855.009.196

Valeurs Disponibles

3.054.194.301

3.349.012.239

5.069.164.132

12.373.651.774

Total Actif

375.078.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

936.935.649.087

FP

-71.450.557.588

-18.085.991.092

11.121.318.845

236.817.064.217

DL & MT

200.813.846.784

140.787.283.863

251.321.854

379.048.353.519

Dettes à CT

245.715.142.142

288.583.037.653

360.089.368.182

321.076.232.087

Total Actif

375.078.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

936.935.649.087

Source : Tableau établi sur base de tableau n° 3 & 4

Bilan Synthétique

Tableau n° 7

 
 

Actif

 
 

Libellés

2006

2007

2008

2009

VN

204.407.795.178

224.139.049.527

33.263.504.947

1.626.122.386

VC

170.670.636.499

187.145.280.902

283.268.640.904

2.859.657.523

Total Actif

375.078.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

936.935.649.087

CP

129.363.289.196

1.227.011.292.776

262.442.777.669

5.024.073.568

DCT

245.715.142.142

288.583.037.653

360.089.368.182

321.076.232.087

Total Actif

375.078.431.677

411.284.330.429

622.532.145.851

936.935.649.087

Source : Tableau établi sur base de tableau n° 6

Tableau de Cristallisation

Tableau n° 8

Libellés

2006

%

2007

%

2008

%

2009

%

VIN

204.407795.178

54

224.139.049.527

54,4

33.263.504.947.

54

1.626.122.386

69,4

VE

4.741.948.415

1,20

51.996.836.357

1,26

7.870.394.745

1,26

19.327.254.292

0,825

VR

162.874.493.783

43

178.596.585.306

43,4

270.329.082.015

43,4

265.855.009.196

28,37

VD

3.054.194.301

0,81

3.349.012.239

0

5.069.164.132

0,8

12.373.651.774

1,32

Total Actif

375.078.431.677

100

411.284.330429

100

622.532.145.851

100

936.935.649.087

100

FP

-71.450.557.588

-19

-18.085.991.092

-4,39

11.121.318.845

1,78

236.817.064.217

25,3

DL&MT

200.813.864.784

53,5

140.787.283.863

34,2

251.321.854.

40,3

379.048.353.519

40,4

DCT

245.715.142.142

65,5

288.583.037.653

70,1

360.089.368.182

57,8

321.076.232.087

34,3

Total Actif

375.078.431.677

100

411.284.330.429

100

622.532.145.851

100

936.935.649.087

100

Source : Tableau établi sur base de tableau n° 6

Calcul du Fonds de Roulement

Tableau n°9

 

2006

2007

2008

2009

1. VIN

204.407.795.178

224.139.049.527

33.263.504.947

1.626.122.386

2. VE

4.741.948.415

51.996.836.357

7.870.394.757

19.327.254.292

3. VC

170.670.636.783

187.145.280.902

283.268.640.904

285.965.752.360

4. VR

162.874.493.783

178.596.585.306

270.329.082.015

265.855.009.196

5. VD

3.054.194.301

3.349.012.239

5.069.164.132

12.373.651.774

6. FP

-71.450.557.588

-18.085.991.092

11.121.318.845

236.817.064.217

7. DL&MT

200.813.846.784

140.787.283.863

251.321.854

379.048.353.519

8. CP

129.363.289.196

122.701.292.776

262.442.777.669

61.586.517.736

9. DCT

245.715.142.142

288.583.037.653

360.089.368.182

321.076.232.087

10. FRP HB (5+6)-1

-75.044.505.982

-101.437.756.651

-76.820.727.278

-35.104.461.727

FRP BB (2+3+4)-7

-75.044.505.982

-101.437.756.651

-76.820.727.278

-35.104.461.727

11. FRNHB (8-1)

275.858.352.766

-242.225.040.619

-328.142.186.093

-300.694.754.354

FRN BB 3-(7+8)

275.858.352.766

-242.225.040.619

-328.142.186.093

-300.694.754.354

12. FRE (10-11)

200.813.864.784

140.787.283.868

251.321.854.815

265.590.292.627

13. FRE (2+4+5)=VC

170.670.636.783

187.145.280.902

283.268.640.904

285.965.752.360

Source : tableau établi sur base de tableau n°6

De l'analyse faite dans ce tableau, il se dégagé les observations suivantes :

Le FRN est négatif durant toute la période sous examen, en effet, la SNEL n'a pas influencé intégralement ses immobilisations à l'aide de ses capitaux permanents et n'a pas dégagé de marge de sécurité d'où, sa structure financière est médiocre ;

Le FRP est aussi resté négatif pendant toutes ces quatre années, sur lesquelles nous avons porté notre analyse. Ce FRP négatif traduit l'influence des capitaux propres à financer les immobilisations nettes. Ce qui oblige à la SNEL de faire le recourt aux dettes et emprunts à plus d'un an, pour améliorer la marge de sécurité qui en fait souffrir et d'améliorer le financement de son compte d'exploitation ;

Le FRE a demeuré positif de 2006 à 2009, les Dettes Long & Moyen Terme sont resté toujours supérieures aux de FR ;

Le FRB a évolué positivement durant toute la période sous-examen et était plus important de 2007 à 2009 que 2006.

En outre, les observations suivantes servent à compléter :

Le FRN est resté positif au cours des années 2006 et 2008, et négatif au cours des années 2006 et 2008 à cause d'une faible mutation de fonds propres ;

Le FRE a évolué positivement de 2066 à 2009. Cela se justifie par le fiat que la SNEL s'endette d'avantage pour son fonctionnement ;

Le FRB, bien qu'ayant évolué positivement toute la périodesous étude, cette évolution a été plus importante qu'au cours de l'exercice comptable 2006 et 2008, tandis que les autres années, elle était moindre.

Tableau n°10

Besoins en Fonds de Roulement

Rubriques

2006

2007

2009

2009

1. VE

4.741.948.415

51.996.836.357

7.870.394.757

19.327.254.292

2. VR

162.874.493.783

178.596.5865.306

270.329.082.015

265.855.009.196

3. Actifs d'Exploit

167.616.442.198

183.796.268.663

278.199.476.772

273.592.100.586

4. DCT

5. Découvert

245.715.142.142

0

288.583.037.653

0

360.089.368.182

0

321.076.232.087

0

6. Passif d'Exploi=(4-5)

245.715.142.198

140.787.283.868

360.089.891.410

321.070.232.087

7. BFR (3-6)

78.089.700.283

43.008.984.795

-81.889.891.410

-47.478.131.501

Source : Tableau établi sur base de tableau n°6

Commentaire

De ce tableau, il se dégage les informations ci-après :

Le BFR est resté positif durant la période comptable 2007, les trois autres années, il est demeuré négatif à cause des faibles montant en valeurs d'exploitations et valeurs réalisables.

Trésorerie et Liquidité

Tableau n°11

Rubriques

2006

2007

2008

2009

1. VE

4.741.948.415

51.996.836.357

7.870.394.757

19.327.254.292

 

2. 162.874.493.783

178.596.5865.306

270.329.082.015

265.855.009.196

3. F.Créance

-

-

-

-

4. VD

3.054.194.301

3.349.012.239

5.069.164.132

12.373.651.774

5. DCT

245.715.142.142

288.583.037.653

360.089.368.182

321.076.232.087

6. F.D

-

-

-

-

7. DCT Bancaire

-

-

-

-

8. Liquidité Général FRN=(1+2+4-5)

-75.044.705.982

-9.705260.042

-70.768.572.556

-35.105.171.727

9. BFR

78.098.700.283

43.008.984.795

-81.889.891.410

-47.478.131.501

10. TN (A)=(8-9)

TN (P)= (4-7)

3.053.994.301

3.053.994.301

-52.714.244.837

-52.714.244.837

11.121.318.854

11.121.318.854

-82.593.311.228

-82.593.311.228

11. Liquidité Réduite 2+3+4-(5-6)

-85.894.842.999

-14.904.943.399

-100.881.605.021

-67.589.574.664

12. Liquidité Immédiate 4-(5-6)

-242.660.948.180

-255.092.915.263

-348.968.049.328

-308.697.280.313

Source : Tableau établi sur base de tableau n°6, 10

De ce tableau, il se dégage les observations ci-après :

La trésorerie nette est positive au cours des années 2007 et 2008 et négative au cours des années 2006 et 2009. En effet, le besoin né du cycle d'exploitation n'est pas entièrement couvert par la marge de sécurité pour donner un TN positive ce qui montre tout simplement que cette société est en faillite de jour au jour car la trésorerie passive reste pendante.

Les liquidités réduites et immédiates sont restées négativement durant toute la période sous examen. La SNEL n'a pas pu honorer ses engagements venant très prochainement à l'échéance non compris les fausses dettes inexistantes avec ses disponibilités.

III.4. Perspectives de la SNEL

Les réflexions de sous-commissions débattues en commission plénière ont donné des propositions qui forment le plan de sauvetage et redressement (PSR) de la SNEL. Ce plan s'étend sur un horizon d'une décennie à partir de 2005, les actions retenues visent à obtenir des résultats dans l'immédiat au cours et à la fin de cette décennie.

Dans l'immédiat, il s'agit de mobiliser les ressources humaines de l'entreprise entant qu'acteurs principaux dans la mise en oeuvre du programme d'activités. Il faut essentiellement remettre les agents au travail, diffuser et vulgariser les procédures en force dans toutes les fonctions, moraliser et conscientiser les travailleurs dans la recherche da la qualité sur chaque acte posé, en oeuvre de tendre collectivement vers la vision de la SNEL.

A court terme, il s'agit de faire sortir l'entreprise de la situation préoccupante dans la quelle elle se trouve. La démarche est de fiabiliser avant tout les groupes de production, les infrastructures de transport, de distribution et de commercialisation afin de garantir la sécurité de bonne qualité. Les actions d'élimination des poches noires dans les villes et d'électrification rurale sont tout aussi engager dès cette période.

En parallèle, il est question de réduire les pertes de distribution afin d'accroitre progressivement le chiffre d'affaire et augmenter le taux de recouvrement en vue de maximiser les recettes commerciales, tout en améliorant les conditions de travail, la transformation de la société en société commerciale et le service rendu à la clientèle. Déjà au cours de cette période, un effort visant à mieux dépenser le peu des ressources disponibles sera amorcé.

A moyen terme, il sera question de poser des actes de réhabilitation de l'outil de production en vue de restaurer la capacité de l'entreprise à mieux réaliser son objectif social avec l'existant. L'apport des partenaires tant institutions queprivés, est un atout majeur dans cette période. Les questions liées au redressement financier seront étudiées dès le début de cette période notamment sous l'impulsion du comité de pilotage de la reforme des entreprises publiques (COPIREP)afin de créer les conditions nécessaires au développement de l'entreprise.

A long terme, au-delà de 2015, les projets d'électrification des villes et localités ainsi que les projets nationaux des exportations seront mis en oeuvre selon le schéma proposé par le plan directeur d'électrification à l'horizon de 2015.

Conclusion

Notre réflexion a porté sur l'étude du fond de Roulement dans une Entreprise Publique : cas de la Société Nationale d'Electricité. Grâce aux méthodes systémique et analytique, aux techniques documentaires et l'interview libre.

Notre problématique était axée sur deux questions, à savoir :

La première était de savoir quelle est la santé financière de la SNEL ?, la seconde est de savoir si la rentabilité de la SNEL est-elle suffisante pour assurer son autofinancement ?

Le premier chapitre a porté sur l'approche conceptuelle ou sur la considération générale, nous avons défini les différents concepts nécessaires à la compréhension de notre sujet et champ de recherche. A notre deuxième chapitre nous avons présenté le cadre opérationnel de l'analyse financière de la SNEL. A notre dernier chapitre nous avons disserté sur la présentation et l'étude des comptes d'exploitationssociété nationale d'électricité(SNEL), ici nous avons fait l'état de lieu de l'analyse des états financiers de la SNEL.

Cependant, la société nationale d'électricité se caractérise par l'existence d'une multitude de structure financière, par conséquent, cette structure lui permet de poursuive les objectifs de la rentabilité et de son autofinancement. Si la SNEL sera à mesure à augmenter sa rentabilité pour assurer son autofinancement, la SNEL arrivera à remplir sa mission régalienne. Quand l'atteinte de la rentabilité et de l'autofinancement par la SNEL sera obtenue grâce à sa bonne structure financière, et de montrer comment l'atteinte de la rentabilité peut permettre à la SNEL d'atteinte son autofinancement.

Quand aux résultats, nous avons remarqué la SNEL a parcouru un impressionnant chemin depuis les années 2005, sortant de simple entreprise publique en s'engagea à une nouvelle réalité à la suite du changement de son statut juridique. C'est-à-dire elle est devenue aussi une entreprise commerciale (SNEL SARL).

Cette étude de fonds de roulement pour la SNEL devient alors un ensemble des travaux qui permettent d'étudier la situation de son statut actuel en vue d'analyser les résultats et d'y prendre les décisions qui impliquent des flux monétaires. Ce changement du statut de la SNEL s'accorde à connaitre que la notion des équilibre fondamentaux du bilan est le résultat de l'efficacité de la politique générale conduite par la SNEL comme une entreprise commerciale. Mais ses activités englobent la collecte des données significatives et leur interprétation afin de tirer des conclusions sur le financement.

Pour appréhender le rôle nouveau de la SNEL, il nous faut d'abord s'intéresser au fonctionnement du moteur de l'émergence et de la modernité de notre Pays sur la scène mondiale. Si ses mécanismes s'appuient sur des atouts géopolitiques et géoéconomiques, son essence même réside dans le formidable élan qui a permis le Pays de passer à la révolution de la modernité depuis 2011. La métamorphose politique de la dernière décennie comme sur la légitimité que lui donne aujourd'hui une société démocratique qui compte être capable de passer les souffrances et les haines pour décider de proposer un avenir commun à ses entreprises publiques.

BIBLIOGRAPHIE

I. Ouvrages

· Bremond, Janine, dictionnaire économique et social, éd. Hatier, Paris, 1981,

· Bruno, S, Nouvelles Trésorerie d'Entreprise, 5ème éd. Dunod, Paris 1977

· Conso, P. et Cotta, A, Gestion Financière des Entreprises, éd. Dunod

· Durkheim, E, la sociologie et son domaine scientifico-économique, éditions de minuit, version française actualisée, 1975,

· LAUZER et R. Teller, Contrôle de Gestion et Budget, 5ème édition, SIREY, 1989

· Manuel de Cours d'Economie de l'Entreprise, 6ème Année secondaire de l'Enseignement commercial et Administratif en RD. Congo, éd. C.R.P, KIN I.

· Olivier, Burdeyon, comment bien gérer sa trésorerie ? Financement entreprise, pro, 2 Novembre 2010

· Nkongo M, E, « l'Economie de l'Afrique subsaharienne face au défi majeur du développement au XXIè S, ouvrage inédit, Kin 2012 

· VERHULST, A, Economie de l'Entreprise, paris, 1981, P.97

II. Articles

· Mireille Bardos et Djames Stili, Bulletin, la Contagion du risque via les impayés sur effets de commerce, banque de France, N°148, avril 2006

III. Documents Officiels

· Union Européenne, l'article 2 de la directive 80/723/C.E.E de la commission du 25 Juin 1980 relative à la transparence des relations financières entre les Etats membres et les Entreprises publiques : arrêt C.J.C.E 2002-05/-06 C-482/99 France contre commission.

· L'ordonnance loi n°70-033 du 16 Mai 1970. Portant création d'une entreprise publique à caractère industriel et commercial, dotée de la personnalité juridique dénommée Société Nationale d'Electricité (SNEL)

· L'ordonnance présidentielle n°63-391 du 23 Septembre 1927, instituaient le comité de contrôle technique et financier pour les travaux d'Inga, comité qui sera remplacé en 1970 par la société de l'Etat dénommé « SNEL ».

· La loi n°74/012 du 14 Juillet 1974, portant reprise par la SNEL de droits, obligations et activités des six sociétés privées qui traduit la volonté de l'Etat d'assurer le contrôle direct de la production, du transport et de la distribution d'électricité, matière stratégique dans le développement économique et social du Pays.

IV. Mémoires

· Idriss Haliki, T, analyse financière d'une Entreprise cas de la Lesieur cristal, mémoire de licence en sciences comptables, UMO, Maroc, 2009

· Nkongo M, E, la Politique Etrangère des grandes Puissances face l'Emergence Géopolitique des nouvelles Démocraties, enjeux, stratégies et défis pour la République Sud Africaine (RSA), Mémoire de Licence en RI, UPN, 2012

· Tshilenge Mukoma, E, Problématique de la Gestion Financière performante dans une Entreprises Publiques : cas de la société nationale d'électricité de 2005-2009. Mémoire de Licence en Sciences Economiques et Gestion (ECOG), UPN 2011.

V. Notes des Cours

· C.T. Tshiyole, notes de cours d'Economie Politique, G1 Sciences Économique, département des sciences commerciales, U.P.N, 2008-2009

· Luzolele, note de cours de l'Economie Politique, G2 R.I, SPA, SSAP, UPN, 2008.

· Kabwita Kabolo Iko, R, la Sociologie des Conflits Internationaux, notes de cours Inédit, L2 R.I, S.S.A.P, U.P.N, 2011-2012

· Kalumbu Makulu, S, cours d'Analyse Financière, G3 ECOG, UPN 2006

· SaryNgoy, les Sociétés Multinationales et Mouvements des Capitaux, L1 R.I, UPN, 2011.

PLAN PROVISOIRE

Epigraphe

Dédicace

Remerciements

Sigles

Introduction

1. Problématique

2. Hypothèse du Travail

3. Méthodes et technique de recherche

4. Choix et intérêt du Sujet

5. Délimitation du Sujet

6. Difficultés Rencontrées

7. Division du Travail

Chapitre Premier

Considérations Conceptuelles

I.1. Définition des concepts

I.1.1. L'Entreprise

I.1.2. Classification des entreprises

I.1.3. Mission de l'Entreprise

I.1.4 Croissance d'une Entreprise

I.1.5. Portefeuille d'une Entreprise

I.1.6 Fonds de roulement

I.1.8. RD. Congo

I.1.9. SNEL

Chapitre Deuxième

Cadre opérationnel de l'Analyse Financière

II.1 définition de l'analyse financière

II.1.2 historique de l'analyse financière

II.1.3. stratégies financières d'une entreprise

II.2. méthodes d'appréciation des entreprises

II.2.1 analyse par l'état des soldes de gestion

II.2.2 étude par la méthode des ratios

Chapitre Troisième

Présentation et Etude des Comptes d'Exploitation de la SNEL

III.1. Présentation de la SNEL

III.1.1. Aperçu Historique

III.1.2. Situation géographique

III.1.3. Mission et Objectif de la SNEL

III.1.4. Organe administratif

III.2. Etude des Comptes d'Exploitation de la SNEL

III.2.1.L'état de solde de gestion de la SNEL

III.2.2Etude des ratios de rentabilité de la SNEL

III.2.3.La Rentabilité économique

III.2.4. La Rentabilité financière

III.2.5 La Rentabilité commerciale

III.3.Bilan et TFR en Franc

III.4. Perspectives d'Avenir

Conclusion

Bibliographie

Table des matières

Sujet : étude des fonds et de roulement de l'entreprise publique : cas de la société nationale d'électricité, en sigle SNEL.

QUESTIONS DE RECHERCHE A LA SNEL

v Quel est le Cadre opérationnel de l'Analyse Financière de la SNEL ?

v Quels sont les stratégies financières de la SNEL comme une entreprise ?

v Quelles sont les méthodes d'appréciation de la SNEL comme une entreprise

v Analyse par l'état des soldes de gestion de la SNEL

v Étude par la méthode des rations de la SNEL q

v Présentation de la SNEL

v Renseignement à caractère général :

v Situation géographique et origine de la SNEL

v Organe administratif de la SNEL

v Organes de direction de la SNEL

v Renseignement sur le capital de la SNEL

v Activités de la SNEL

v quelle est Etude des comptes d'exploitations de la SNEL présentation de l'état de solde de gestion de la SNEL

v Étude des ratios de rentabilité de la SNEL

v La rentabilité économique de la SNEL

v La rentabilité financière de la SNEL

v La rentabilité commerciale de la SNEL

v Étude de la rotation des capitaux de la SNEL

v Ratios de liquidité de la SNEL

* 1 Bremond, Janine, dictionnaire économique et social, éd. Hatier, Paris, 1981, P 154

* 2 Prof Luzolele, note de cours de l'Economie Politique, G2 R.I, SPA, SSAP, UPN, 2008

* 3 Manuel de Cours d'Economie de l'Entreprise, 6ème Année secondaire de l'Enseignement commercial et Administratif en RD. Congo, éd. C.R.P, KIN I.

* 4 Durkheim, E, la sociologie et son domaine scientifico-économique, éditions de minuit, version française actualisée, 1975, P.512

* 5 Union Européenne, l'article 2 de la directive 80/723/C.E.E de la commission du 25 Juin 1980 relative à la transparence des relations financières entre les Etats membres et les Entreprises publiques : arrêt C.J.C.E 2002-05/-06 C-482/99 France contre commission.

* 6 C.T. Tshiyole, notes de cours d'Economie Politique, G1 Sciences Économique, département des sciences commerciales, U.P.N, 2008-2009

* 7 SOURCE : notre conception par rapport aux différentes sortes d'Entreprises que nous avons énumérées ci-haut.

* 8 Bremond, J, Geledani, A, Op Cit P. 50

* 9 Idriss Haliki, T, analyse financière d'une Entreprise cas de la Lesieur cristal, mémoire de licence en sciences comptables, UMO, Maroc, 2009

* 10 Kabwita Kabolo Iko, R, la Sociologie des Conflits Internationaux, notes de cours Inédit, L2 R.I, S.S.A.P, U.P.N, 2011-2012

* 11 Nkongo Munongo, E, la politique des nations-unies vis-à-vis des Etats Africains : analyse et perspective d'avenir, TFC, G3 R.I, s.s.a.p, U.P.N, 2010

* 12 Bremond, J, et Geledan, Op.cit. P.148

* 13 Tshilenge Mukoma, E, Problématique de la Gestion Financière performante dans une Entreprises Publiques : cas de la société nationale d'électricité de 2005-2009. Mémoire de Licence en Sciences Economiques et Gestion (ECOG), UPN 2011.

* 14 Kalumbu Makulu, S, cours d'Analyse Financière, G3 ECOG, UPN 2006

* 15 Kalumbu Makulu, S, Op.cit, inédit

* 16 Verhult, A, Economie de l'Entreprise, paris, 1981, P.97

* 17 Bruno, S, Nouvelles Trésorerie d'Entreprise, 5ème éd. Dunod, Paris 1977, P.80

* 18 Conso, P. et Cotta, A, Gestion Financière des Entreprises, éd. Dunod, P.200

* 19Mireille Bardos et Djames Stili, Bulletin, la Contagion du risque via les impayés sur effets de commerce, banque de France, N°148, avril 2006

* 20 Olivier, Burdeyon, comment bien gérer sa trésorerie ? Financement entreprise, pro, 2 Novembre 2010

* 21Article 14 de la loi n°08/008 du 7 Juillet 2008, portant dispositions générales relatives à la transformation des entreprises publiques.

* 22Contrat programme SNEL-Gouvernement, Kinshasa, 1991 à 1993

* 23 LAUZER et R. Teller, Contrôle de Gestion et Budget, 5ème édition, SiREY, 1989.

* 24 VERHULST, A, économie de l'entreprise, paris, 1981, P. 76






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"Je ne pense pas qu'un écrivain puisse avoir de profondes assises s'il n'a pas ressenti avec amertume les injustices de la société ou il vit"   Thomas Lanier dit Tennessie Williams