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Suivi par télédétection de l'évolution des formations végétales et du stock de carbone de la réserve de faune d'Abokouamékro en vue de son intégration dans le mécanisme redd+

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par Zana Inzan OUATTARA
Institut national polytechnique Félix Houphouet-Boigny de Yamoussoukro ( Côte d'Ivoire) - Diplôme d'agronomie approfondie- Option eaux et forêts 2012
  

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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

 

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Annexe I: Les gaz à effet de serre anthropiques

 

CO2

CH4

N2O

HFC

PFC

SF6

Concentration

atmosphérique 2005

379 ppm

1 774 ppb

319 ppb

60,6 ppt

76,9 ppt

5,6 ppt

Durée de séjour

dans l'atmosphère

entre 2 ans

et des milliers

d'années

12 ans

114 ans

entre 1 et

260 ans

environ

10 000

ans

3 200 ans

Pouvoir de

réchauffement global

(cumulé sur 100 ans)

1

25

298

[124 ;

14 800]

[7 300 ;

12 200]

22 800

Origine des émissions

anthropiques

combustion

d'énergie

fossile et

déforestation

tropicale

décharge,

agriculture,

élevage et

procédés

industriels

agriculture,

procédés

industriels,

utilisation

d'engrais

sprays, réfrigération,

fonte d'aluminium

Modification du forçage

radiatif depuis 1750 par les

émissions anthropiques

(W/m2)

+ 1,66

+ 0,48

+ 0,16

+ 0,337

Source : GIEC, 1er groupe de travail, 2007.

Annexe II : Caractéristiques des bandes spectrales ETM+ (CCT, 2002

Bandes

Domaine spectrale en micron

Application

ETM+ 1

0,45 - 0,52 (bleu)

Discrimination entre le sol et la végétation,

 

 

bathymétrie/cartographie côtière; identification des

 

 

traits culturels et urbains

 

 

 

ETM+ 2

0,52 - 0,60 (vert)

Cartographie de la végétation verte (mesure le sommet de réflectance); identification des traits culturels et urbains

 
 
 

ETM+ 3

0,63-0,69 (rouge)

Discrimination entre les espèces de plantes à feuilles ou sans feuilles; (absorption de chlorophylle); identification des traits culturels et urbains

ETM+ 4

0,76-0,96 (proche IR)

Identification des types de végétation et de plantes;

santé et contenu de la masse biologique; délimitation des étendues d'eau; humidité dans le sol

ETM+ 5

1,55-1,75 (IR de courte longueur d'onde

Sensible à l'humidité dans le sol et les plantes;

 

discrimination entre la neige et les nuages

ETM+ 6

10,4 - 12,5 (IR thermique)

Discrimination du stress de la végétation et de

l'humidité dans le sol relié au rayonnement thermique; cartographie thermique

ETM+ 7

2,08 - 2,35 (IR de

Discrimination entre les minéraux et les types de

courte longueur d'onde)

 

 

roches; sensible au taux d'humidité dans la végétation

Annexe III : Les phases du mécanisme REDD+

Annexe IV: Caractéristiques des parcelles inventoriées dans les îlots forestiers et forêts galeries

Parcelles

Caractéristiques

P33

forêt galerie, sous bois clair, exploitation artisanale, canopée peu dense

P34

îlot forestier, sous bois dense, zone non brûlée, trace de buffle, absence de culture, présence de savane herbeuse avant la forêt, trace de feux

P35

îlot forestier, sous bois dense, non loin d'une jachère et d'un champ vivrier, passage de feux

P36

Forêt galerie, Sous bois dégagé moins dense, trace de feux, absence de culture

P37

îlot forestier intact, sous bois dense, zone non brûlée

Annexe V : Les cultures pratiquées dans la réserve de la RFA

Parcelles

Types d'occupation du sol

P40

Parcelle brûlée, champ d'igname, vielle jachère (a proxilité de pranoua)

P41

champ de vivrier (banane - papaye - manioc), zone brulée (vielle jachère)

P42

champ de vivrier (banane - papaye- manioc), zone brulée (vielle jachère)

P3

champ de vivrier, zone brulée (proximité de pranoua)

P46

champ (zone agricole), champ de manioc, banane

P47

savane brûlée, champ de manioc, banane

P48

ilot forestier peu dense

P9

ancienne jachère avec des champs à l'intérieur (manioc, banane, papaye)

P50

champ de maïs, manioc, plantation d'anacarde

P51

point de contrôle de la réserve détruit et présence d'un champ d'anacarde

P52

plantation d'anacarde

P53

champ de vivier ( manioc), plantation d'anacarde

P54

plantation d'anacarde sur une vaste étendue

P55

Eucaluptus opposé à un champ d'anacarde ( parc)

Annexe VI : Nombre d'individus en fonction des classes de circonférence

 

Nombre d'individu par type de formations végétales

 

Classes de circonférence (cm)

Îlots forestiers/forêts galeries

Savanes boisées

Savanes arborées/ arbustives

Total

[0 - 10[

0

0

0

0

[10 - 20[

16

51

22

89

[20 - 30[

25

70

37

132

[30 - 40[

32

54

18

104

[40 - 50[

17

33

19

69

[50 - 60[

15

24

6

45

[60 - 70[

12

10

5

27

[70 - 80[

6

14

3

23

[80 - 90[

21

0

3

24

[90 -100[

5

6

3

14

[100 - 110[

4

7

0

11

[110 - 120[

1

2

0

3

[120 - 130[

2

5

0

7

[130 - 140[

1

1

1

3

[140 - 150[

1

3

0

4

[150 - 160[

7

0

0

7

[160 - 170[

1

0

0

1

[170 - 180[

0

0

0

0

[180 - 190[

3

0

0

3

[190 -200[

2

0

0

2

[200 - 210[

6

0

0

6

[210 - 220[

0

0

0

0

[220 - 230[

0

0

0

0

Total

177

280

117

574

Annexe VII : Modèle de conception d'une équation allométrique

Développer des équations de biomasse peut être une opération coûteuse en ressources. Des équations générales existent ; cependant pour plusieurs espèces à usages multiples, ça peut ne pas être le cas, et il vaudrait la peine aux initiateurs des projets de développer les équations de biomasse locales. Le processus de développer des équations de biomasse spécifiques aux sites et aux espèces locales comprennent les étapes suivantes.

· Étape 1 : Sélectionner l'espèce végétale dominante.

· Étape 2 : Sélectionner environ 30 arbres au hasard représentatifs de la gamme complète de classes de diamètre présentes ou à venir.

· Étape 3 : Mesurer le DHP et la hauteur de chaque arbre.

· Étape 4 : Récolter les arbres sélectionnés en les abattants.

· Étape 5 : Débiter l'arbre en billots de taille appropriée pour estimer directement la masse de l'arbre vivant.

· Étape 6 : Si débiter un large tronc pour le peser n'est pas faisable :

- i) Estimer le volume en utilisant les données sur le diamètre aux deux extrémités du tronc et la longueur du tronc. (Volume = [ð r12 + ð r22 ] / 2 x L, où r1 et r2 = les rayons aux deux extrémités du tronc et L = la longueur du tronc.)

- ii) Amasser un échantillon de bois frais qui fait la coupe transversale complète de chaque grume, estimer son volume, sécher-le au four, et mesurer sa masse sèche. Estimer la densité (g / cm3) en divisant la masse sèche par son volume.

- iii) Estimer la masse du tronc en utilisant le volume et la densité du bois (Masse = Volume x Densité), et ajouter aux autres composantes (branches, feuilles, etc.) pour obtenir la masse totale de l'arbre.

· Étape 7 : Développer des équations de biomasse liant les données de biomasse des arbres au diamètre de poitrine d'homme (DPH) seul, ou à la densité et à la hauteur.

Annexe VIII : Fiche d'entretien

 
 
 
 
 
 
 

Date :

 
 
 
 
 
 

Nom et Prénoms :

 
 
 
 
 

Service:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

1. Combien d'agents dispose l'OIPR pour la préservation de la RFA?

 
 
 
 
 
 
 
 

2. Ce nombre est il suffisant pour l'accomplissement de toutes les tâches?

 
 
 
 
 
 
 
 

3. Si non, qu'est ce qui explique cet état de fait

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

4. Avez-vous connaissances de la pratique de certaines activités illégales

 

au sein de la réserve?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

5. Si oui, quelles sont ces activités?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

6. A quand remontent les premières infiltrations?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

7. Quelles sont les actions entreprises par l'OIPR pour corriger cet état de fait?

 
 
 
 
 
 
 
 

8. Dispose t-on de statistique sur les superficies défrichées par an, les superficies

dévastées par le feu, l'exploitation forestière dans la réserve ?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

9. Quel est l'état actuel de la réserve de faune d'Abokouamékro ?

 
 
 
 
 
 
 
 
 

10. L'OIPR collabore t-il avec les populations pour la protection de la réserve?

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

11. Quels sont les moyens dont dispose l'OIPR pour la préservation de la réserve ?

 
 
 
 
 
 
 

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