WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Dynamique familiale et gestion de l'environnement en chefferie de Ngweshe. une analyse praxéo-interdiscursive

( Télécharger le fichier original )
par Pierre BAKENGA SHAFALI
Université Officielle de Bukavu - Doctorat en Sociologie 2012
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

4. Problématique

Dans cette lutte praxéologique de l'autodétermination, la famille devra combattre contre elle-même, combattre ses insuffisances, la peur en son sein et combattre les injustices qui font que certaines familles soient aisées et d'autres démunies par effet d'irresponsabilité politique.

A ce sujet, Jean Duvignaud écrit : « si le soleil ne brille que pour les bourgeois (...), nous éteindrons le soleil. »26(*)

La situation telle qu'elle est énoncée, à travers cette étude, constitue réellement l'existence d'un problème lequel mérite une étude particulière imposant des solutions durables et efficaces. Gordon Mace et François Petry définissent le problème comme étant « un écart constaté entre une situation de départ insatisfaisante et une situation d'arrivée, un processus de recherche est alors entrepris afin de combler cet écart ».27(*)

Quant à Mascosth Nday wa Mande, le problème est «  un ensemble des difficultés qui s'érigent en obstacle dans le cours normal d'une société, d'un milieu et qui indisposent les habitants. »28(*)

Pour notre part, nous estimons que le problème, c'est tout ce qui entrave la réalisation des objectifs qu'on s'était assignés en lieu et temps fixés et qu'il faille anéantir pour arriver au bout de ses objectifs.

Ces deux auteurs précités nous inspirent l'idée d'appréhender une situation, la façon d'apprécier son niveau de nuisance et d'en proposer un projet de remise à niveau afin de passer de l'état d'insatisfaction à celle plus satisfaisante.

Etant donné que notre univers de référence demeure la Chefferie de Ngweshe et que nous nous proposons de passer en revue ce qu'est la famille, ce qu'elle a été et ce qu'elle deviendra en ce lieu, il sied de palper du doigt les différentes situations et péripéties qui ont contribué au déséquilibre de la famille et de son environnement. Ces situations, une fois cernées, seront soumises à des propositions de résorption, des proscriptions et des prescriptions sociologiquement étudiées.

Il s'agit, ici, de débattre de la question sociale dans une entité bien déterminée pour aboutir, les possibilités le permettant, à des initiatives sociales palliatives. Celles-ci peuvent être comprises comme étant « toute action visant directement ou indirectement l'adéquation des réponses données par un groupe d'individus aux besoins reconnus comme siens et qui concerne l'innovation sociale. Elle se définit, soit dans le choix de la souveraineté (invention des solutions nouvelles), soit dans celui des solutions classiques par leur adaptation à la transformation ou à la diversification des besoins ».29(*)

La notion de question sociale a été aussi abordée par Durkheim. Pour lui, il y a question sociale, à partir du moment où la vie sociale ne correspond plus aux aspirations humaines les plus profondes, ayant constaté que l'homme aspire avant tout à l'intégration dans une collectivité.30(*)

Ainsi, donc, la famille étant la cellule mère de toute société et que celle-ci est toujours confrontée à son environnement ; aborder cette question, c'est vouloir pénétrer une question sociale bien préoccupante.

La chefferie de Ngweshe est une entité physique, politique, économique et culturelle ; elle dispose de diverses ressources et d'un environnement dont elle n'est pas dissociée et auquel elle s'identifie, avec lequel elle fait corps. Elle est « une société » en ce sens qu'elle en dispose des éléments matériels et formels.

Sur le plan matériel, on lui reconnaît un territoire et une population.

Sur le plan formel, la chefferie de Ngweshe englobe des éléments tels que l'activité, la relation, l'institutionnalité et la conscience collective.

De ce point de vue, la société peut être définie comme un ensemble d'individus localisables, disposant de relations entre eux, menant des actions pour leur promotion, disposant des règles de socialisation et d'une détermination des membres à vivre ensemble à travers une conscience collective qui constitue le ciment de la communauté.

En tant qu'activité, toute société dispose, en son sein, d'un certain nombre d'activités qui lui permettent de vivre, de nourrir ses membres et se faire prévaloir vis-à-vis des autres sociétés et ses partenaires. Ce sont des activités telles que l'agriculture, l'élevage, la pêche, le commerce, l'artisanat, l'industrie, etc.

En tant que relation, tous les membres d'une communauté sont en relations permanentes. Celles-ci peuvent être tendres ou tendues, constructives ou destructives, mais demeurent pour autant des relations. Elles caractérisent le système auquel elles se réfèrent.

En tant qu'institutionnalité, toute société n'est qu'un corps des règles, des normes qui orientent les conduites sociales. Est bon citoyen, celui qui se conforme aux normes socialement tracées et reconnues. La non-conformité aux normes sociales pour un membre de la société implique une désintégration sociale, et lorsque celle-ci se vit manifestement, elle devient une pathologie sociale. Elle déséquilibre partiellement ou globalement toute la société. C'est par exemple, les cas de corruption, de violences, de banditisme, des vols à main armée, de prostitution bien que celle-ci soit considérée par certains comme étant une soupape de sécurité et de rééquilibrage individuel.

En tant que conscience collective, la société n'existe et ne se maintient que de par la conscience collective qui doit caractériser ses membres. C'est à travers elle que les membres de la société ou de la communauté s'en reconnaissent membres et s'en sentent fiers. La conscience collective se traduit par la fierté sociale la communautaire. Si je suis fier d'être congolais, cela veut dire que je suis conscient de l'être, que je respecte et aime ma nation, que je travaille pour son progrès, pour les générations actuelles et futures. La conscience collective n'est pas un acquis, elle se construit du jour au jour. C'est le fruit, la conséquence logique de la socialisation et de l'intégration.

François Dubet estime que « la société existe, qu'elle apparaît comme un ensemble objectivement intégré des fonctions, de valeurs, voire des conflits centraux. Elle est en même temps moderne et, incarnée dans le cadre d'un Etat-nation, c'est un personnage et un ensemble réel. La société existe aussi parce qu'elle produit des individus qui en intériorisent les valeurs et en réalisent les diverses fonctions ».31(*)

Toute communauté, à travers son parcours traverse de bons et de difficiles moments de vie, c'est ce que François Dubet appelle des conflits centraux qui, en fait, déterminent l'histoire et la dynamique de la communauté. Edgar Morin a procédé à la théorisation de la crise qu'il envisage « comme une conséquence de surcharge ou double bind. (...).

La crise apparaît comme une absence de solution (phénomène de dérèglement et de désorganisation) pouvant du coup susciter une solution nouvelle, une régulation, une transformation évolutive ».32(*)

La vision marxiste et freudienne ne considère pas la crise comme un état de fatalité ou de désespoir. Ces deux conceptions démontrent que la crise peut être à la fois un « révélateur et un effecteur ». La crise peut révéler ce qui est caché, latent, virtuel. La crise, en tant qu' « effecteur » met en marche, ne serait-ce qu'un moment, tout ce qui peut apporter changement, transformation et évolution.33(*)

Au - delà de toutes ces variantes de crise sociale, déséquilibre, question sociale, malaise, problème social, mutation, la chefferie de Ngweshe a mené son parcours à travers de tels genres de phénomènes et a pu subsister contre vents et marées à travers et avec son environnement victime d'autant de vicissitudes. Dans cette dynamique, certains défis ont été répertoriés comme menaçants le système social global et microcosmique, c'est-à-dire, se situant tant au niveau individuel, familial, communautaire, national, continental que mondial. Il s'avère ainsi qu'aucune communauté humaine n'évolue en dehors des problèmes, lesquels disposent d'une propension d'affecter, de près ou de loin, les entités voisines. Bien que toujours existants et menaçants, il faut à tout moment rechercher comme atténuer les problèmes et leurs effets sur les populations en proposant des solutions appropriées, efficaces et durables.

A ce sujet, Mendoze et ses collaborateurs ont pu relever vingt défis pour le troisième millénaire : il s'agit du défi de la vie, de mentalité, de l'enfant, de l'école, de la famille, de la société, de la femme, de l'identité, de la monnaie, de la mondialisation, de l'environnement, de la ruralité, de la ville, de la science et de la technologie, du droit, de la politique, de la religion, de la langue, de la communication, de la paix et de la solidarité.34(*)

A la prise de connaissance de tous ces défis, il appert de savoir que la vie n'est pas rose au sein de notre univers de référence. Des problèmes d'ordre alimentaire, sanitaire et ceux liés au logement, le problème d'ordre vestimentaire, démographique, sécuritaire et bien d'autres défis se posent avec acuité dans la chefferie de Ngweshe et marquent le cours de son histoire. Il est important de souligner que ces problèmes multiples et diversifiés ne datent pas d'aujourd'hui. Ils avaient existé bien avant, mais ils ont été exacerbés avec les récentes guerres de 1996, 1998, 2000 et l'insécurité permanente et croissante à l'Est de la RD Congo qui a été l'une des conséquences majeures ayant résulté de ces guerres. Au cours des années de paix troublée, Ngweshe a été un véritable champ de bataille, tout a été susceptible ou victime de destruction : hommes, cheptel, faune, institutions sociales, sol et sous-sol..., rien n'a été épargné. Les groupements de Kaniola, Mulamba, Tubimbi, Burhale, Mushinga, Lubona, Luchiga, Nduba, Irongon, Karhongo et Walungu (soit 11 sur 16) ont été plus séquestrés, sinistrés, endeuillés, pillés, violentés plus que d'autres pendant cette période de belligérance.

Il y a eu, au cours de cette période de troubles, des déplacements massifs des populations, des massacres, des viols, des violences sexuelles les plus odieuses, des extorsions, des pillages du bétail, des récoltes, des cultures, des incendies des villages entiers et des déportations des hommes, des femmes et enfants dans la foret. Des chefs coutumiers, symbole de la cohésion sociale, les leaders locaux furent tués et d'autres mis en fuite ou portés captifs. Dès lors, «  la communauté » s'est trouvée écartelée, essoufflée, exsangue. Il s'est affiché tout simplement une occasion de déséquilibre social, de désintégration sociale apparente et réelle. Il y a eu des éléments liés à l'intégration sociale qui ont fait défaut.

Pour J. Fromont, les individus sont intégrés dans leur milieu par les liens chronologiques (espace vital), trophiques (alimentaire)  et génétique (hérédité). Les individus sont, ensuite, intégrés dans leur milieu par le processus neurophysiologique de perception sensorielle : reflexostructurel, reflexogénétique, réflexologique.35(*)

C'est à travers cet état de choses, bien que décrit sommairement qu'a pu évoluer la Chefferie de Ngweshe en ces dix dernières années. Qu'il s'agisse d'un contexte méso ou macrosociologique, il sied de reconnaître que la RDC a connu, depuis son indépendance, des tumultes, des guerres, des rebellions, un pouvoir dictatorial lassant, une mauvaise gestion de la chose publique et de l'environnement, l'irresponsabilité des gouvernants, la prédation au sein de l'administration publique, une armée non suffisamment engagée au service du peuple. Ce sont là quelques caractéristiques saillantes de la RDC depuis ses 50 ans d'indépendance. Ce qui se vit en RDC se retrouve dans d'autres pays africains et, c'est le cas de le dire, ici, cette situations se répercute sur les entités «  primaires ».

A ce sujet, Samuel Solvit, menant une réflexion sur la RDC, déclare : « depuis sa création en 1885, la RDC est en proie à des situations difficiles quasi permanentes. Du caoutchouc dans les années 1890 - 1900 au coltan-cassitérite, à l'or ou au pétrole dans les années 2000 en passant par le cuivre, l'uranium ou le diamant dans les années 1960, ces ressources sont au coeur des conflits congolais évoluant avec les besoins, les acteurs et les enjeux internationaux. Abondantes, centrales pour l'économie du pays, les ressources naturelles jouent un rôle très particulier dans ces conflits. D'où la RDC connaît de nombreux surnoms : deux d'entre eux sont particulièrement évocateurs : le scandale géologique et la gâchette de l'Afrique. L'un a été donné par les colonisateurs belges et l'autre par l'écrivain Frantz Fanon. »36(*)

Elargissant le champ d'étude, Jean Pierre Biyiti bi Essam estime que le continent africain aborde les rivages du troisième millénaire de façon qu'on croie qu'un mauvais sort lui aurait été jeté. Et à René Dupont de renchérir que l'Afrique était mal partie, elle est en panne, bloquée, elle est en rade au bord du chemin, seule, tout à fait seule, étranglée.37(*)

La situation telle que présentée ici par ces auteurs se retrouve dans un cadre macrosociologique africain. Elle s'étend sur les niveaux méso et microsociologique. La Chefferie de Ngweshe, cet espace mésosociologique, n'a pas été épargnée de cette réalité tumultueuse. Elle incarne aussi le vécu quotidien africain. Toutefois, nous ne perdrons pas de vue que Ngweshe dispose de ses spécificités qui la démarquent des autres contrées de l'Afrique, de la RDC et la Province du Sud-Kivu en termes d'actions. Il faut strier ces spécificités comme sociologue et se démarquer de la pensée que peut en disposer un homme de la rue.

Pour Claude Dubar, «  l'homme de la rue ne soucie pas d'habitude de ce qu'est le réel, pour lui et pour ce qu'il connait, tout apparait comme réel, à moins qu'il ne soit arrêté tout net par un problème quelconque, il considère sa « réalité » et sa « connaissance » comme acquises. Le sociologue ne peut agir ainsi à cause de sa conscience systématique du fait que l'homme de la rue considère comme pré-données des réalités très différentes d'une société à autre. »38(*)

Etant donné qu'il faut étudier scientifiquement les actions et les discours ayant caractérisé la chefferie dans son parcours, disons que dans la perspective parsonienne, l'action se situe dans quatre contextes :

- le contexte biologique, celui de l'organisme neurophysiologique, avec ses besoins et ses exigences ;

- le contexte psychique, qui est celui de la personnalité étudiée par la psychologie ;

- le contexte social, celui des interactions entre les acteurs et les groupes, étudié surtout par la sociologie ;

- le contexte culturel, celui des normes, modèles, valeurs, idéologies et connaissances que l'anthropologie a particulièrement étudié.

Toute action concrète est toujours globale, « molaire », c.à.d. qu'elle s'inscrit dans les quatre contextes à la fois et résulte toujours d'une interaction de forces ou d'influences provenant de chacun d'eux, (...), chacune des «  sciences de l'homme » doit, donc, toujours considérer le contexte ou le secteur spécialisé qu'elle approfondit par rapport à ce que Parsons appelle  «  le cadre de référence de l'action », parce que celui-ci est à la fois le plus général et le seul qui soit théoriquement et empiriquement valide. Le cadre de référence de l'action est donc le terrain commun sur lequel se rejoignent toutes les sciences de l'homme.39(*)

A travers cette thèse, notre attention devra se focaliser sur divers aspects, notamment :

- celui de considérer la famille de Ngweshe comme un cadre de référence de l'action et de dynamique sociale ;

- celui de prendre en compte son environnement ; statuer sur son état, sa gestion, son niveau de dégradation et les mécanismes de sa remise à niveau et son maintien ;

- celui d'évaluer les actions menées, les discours produits en son sein et en dehors d'elle ; identifier les discours et les actions ont été plus déterminants dans son parcours transitionnel ;

- envisager des mécanismes praxéologique de transformation durable, en tenant compte des expériences sociales dont disposent les communautés.

En effet, «  l'expérience sociale est une activité cognitive, c'est une manière de construire le réel et surtout de le vérifier, de l'expérimenter, ..., c'est une façon de construire le monde. La notion de l'expérience n'a de sens et d'utilité que si l'action est totalement socialisée. Quand les acteurs sont socialement dominés, l'exit devient une alternative abstraite. Un acteur « hypo-social » est soumis à des lois aussi bien que son rival « hyper-socialisé ».

L'objet d'une sociologie de l'expérience est la subjectivité des acteurs. Cette sociologie compréhensive exige le double refus de la stratégie du soupçon et de la naïveté, de l'image d'un acteur totalement aveugle ou totalement clairvoyant.

Donc, il faut par ce plan-là, suivre des postulats d'une sociologie phénoménologique étant donné qu'il n'est pas de conduites sociales qui ne cessent de s'expliquer, de se justifier, y compris parfois pour dire que les conduites sont automatiques ou traditionnelles, qu'elles sont ce qu'elles sont parce que c'est ainsi qu'elles doivent être.

L'expérience sociale n'est ni une éponge ni un flux de sentiments et d'émotions, elle n'est pas l'expression d'un être ou pur sujet, car elle est socialement construite. L'expérience sociale appelle un code cognitif désignant les choses et les sentiments, identifiant des objets en puisant dans le stock culturel disponible.40(*)

Un questionnement s'avère nécessaire en vertu des aspects liés aux actions, aux discours, à l'expérience sociale de la famille de Ngweshe et son environnement.

- Au regard de la nature des aspects praxéologiques et discursifs qui ont caractérisé la famille de Ngweshe dans sa dynamique permanente et évolutive, quelles mesures à caractère prospectiviste sont-elles envisageables pour son équilibre et celui de son environnement ?

- Que faire pour que ces mesures s'inscrivent dans un contexte molaire (physique, psychologique, social et culturel) et durable ?

* 26 J. DUVIGNAUD, Fêtes et civilisations, Paris, Librairie Weber, 1986, p. 379.

* 27 G. MACE et F. PETRY, Guide d'élaboration d'un projet de recherche en sciences     sociales et humaines, 3e éd., Bruxelles, De Boeck, 2004, p.134.

* 28 NDAY WA MANDE, Mémento des méthodes de recherche en sciences sociales et     humaines, 1ère partie, collection Livre, Lubumbashi, Ed. du CRESA, 2004, p. 5.

* 29 J.-L. CHAMPON et al. Les innovations sociales, Edition Que sais-je ?, Paris, PUF, 1982,    p. 127.

* 30 H. HOEFNAGELS, La sociologie face aux problèmes sociaux, Bruges, Desclée de     Brouwer, 1962, p. 42.

* 31 F. DUBET, Sociologie de l'expérience, Paris, Seuil, 1994, pp. 12 et 21.

* .32 E. MORIN, La sociologie, édition revue et augmentée, Paris, Fayard, 1984, p. 180.

* 33 Idem, p.190.

* 34 G. MENDOZE, (sous dir.), 20 défis pour le millénaire, bâtir un nouvel humanisme, Paris,     F. - X., de Guibert, 20000, p. 14.

* 35 J. FROMONT, op. cit. p. 28.

* 36 S. SOLVIT, RDC, Rêve ou illusion ? Conflits et ressources naturelles en RDC, Paris,     L'Harmattan, 2009, pp. 15 et 67.

* 37 G. MENDOZE, op. cit, p. 15.

* 38 C. DUBAR, La socialisation, construction des identités sociales et professionnelles,     3e édition revue, Paris, Armand Colin, 2000, p.12.

* 39 G. ROCHER, Introduction à la sociologie. L'organisation sociale, Ltée, éd. HMM, 1968,     p.205.

* 40 F. DUBET, op. cit, pp. 93, 101.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Il ne faut pas de tout pour faire un monde. Il faut du bonheur et rien d'autre"   Paul Eluard