WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Controle microbiologique compare entre l'eau de pompage de kimbembe et l 'eau courante du robinet (cas du quartier CRAA)


par Augustin Saleh muyenga,mwepu mwana Bute,ilunga mwamba
Centre de recherche agro alimentation (CRAA) - Licence 2011
  

Disponible en mode multipage

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

INTRODUCTION

Dans les années avenir, la lutte contre la pollution des mers et la lutte contre le gaspillage et la pollution des eaux destinées à la consommation humaine ses présenteront de plus en plus avec beaucoup d'acuité.

Ces menaces biologiques pour la santé de l'homme ont été abondamment médiatisées et sont ainsi bien connues du grand public : par exemple les événements de triste mémoire du RWANDA ont démontré l'importance de l'eau en quantité et en qualité pour la santé publique. Le rappel de ces menaces doit inciter la population à observer toutes les mesures de prévention en ce qui concerne la pollution de l'eau et les coûts de la lutte antipollution.

Que faut-il boire ? Théoriquement, la réponse est facile. Elle nous est donnée par les règnes animal et végétal tout entiers dont nous faisons partie intégrante, et qui se contentent d'eau, le liquide de nos tissus, c'est de l'eau et non de l'alcool. L'analyse microbiologique de l'eau n'est pas une notion nouvelle de la définition des critères de potabilité de l'eau. Plusieurs recherches ont été effectuées sur l'eau d'adduction publique pour évaluer les paramètres microbiologiques sur la potabilité de l'eau ; c'est le cas de Mr.NGOY KONGOLO,qui a travaillersur le contrôle microbiologique des eaux de puits du Quartier Gambela pendant et après la saison de pluie dont ces conclusions révèlent que les eaux de puits sont plus contaminées en saison de pluie beaucoup plus le matin par Pseudomonas aergénosa  ;E. coli qu'en saison sèche par Klebsiella pneumoniae, Citrobacter brakii.

Le plus souvent, les analyses d'eau effectuées demeurent muettes quant à l'identification de germes en cause. On se contente seulement à présenter un tableau de critère microbiologique de potabilité de l'eau sans pour autant procéder à l'identification des germes et à l'étude de leur pathogénicité une fois dans l'organisme humain. D'autres part, il est impérieux de constater que la plus part de nos communes et Quartiers,l'hygiène de l'eau n'est pas de stricte rigueur ; cas de commune Kamalondo où l'épidémie de gastro - entérite avait eu domicile en 2010 .Devant cette dernière,il conviendrait de se demander :

· Quels sont les micro-organismes fréquemment impliqués dans la contamination de l'eau de la REGIDESO ? (bassin de captage de Kimbembe et Quartier CRAA)

· Quelle est la fréquence de germes pathogènes responsables dans cette eau ?

· Quels sont les germes en cause ?

· Dans quelle catégorie de norme internationale relative à la potabilité d'eau peut - on classer cette eau ?

Eu égard au fait relaté ci-dessus, nous pensons que l'eau de la REGIDESO peut être contaminée et cette contamination pourrait être due à la perforation des tuyaux de canalisation, soit à la mauvaise utilisation du désinfectant d'eau par la REGIDESO. Ainsi les germes fréquemment isolé sont les coliformes totaux ou fécaux, les streptocoques fécaux, les salmonelles ou chigelles, les germes sulfito -réducteurs, sans oublier les protozoaires, les helminthes, les virus et les champignons.

Notre article se propose d'évaluer le niveau de pollution microbiologique de l'eau distribuée par la REGIDESO à partir du bassin de captage de Kimbembe et de l'eau consommée au Quartier CRAA de la commune de Lubumbashi, nous osons croire que cet article sera une référence pour tous ceux dont la mission consistera à préserver la santé humaine contre les maladies d'origine hydriques.

II.MILIEUX, MATERIELS, METHODES

II.1.MILIEU

Les investigations ont été menées au deux endroits de la ville de Lubumbashi précisément dans deux communes c'est-à-dire commune de Lubumbashi et annexe.

Le bassin de captage d'eau de Kimbembe se trouve dans la commune annexe, sur la route Likasi aux environs du camp kimbembe à 17km du centre-ville de Lubumbashi. Tandis que le Quartier CRAA se trouve dans l'ancienne concession du centre de recherche agro - alimentaire, en sigle CRAA qui est localisé dans la commune de Lubumbashi au N0 1 de l'avenue président ILEO, sur la route Likasi et à environ 10km du centre-ville de Lubumbashi.

II.2.MATERIELS ET REACTIFS

Ø Erlenmeyer de 250ml ;

Ø Microscope binoculaire ;

Ø Centrifugeuse électrique ;

Ø Source de chaleur (plaque chauffante) ;

Ø Tube à essai ;

Ø Comptes -gouttes stérile (pipette pasteur) ;

Ø Pissette de 200ml ;

Ø Lame porte objet ;

Ø Lamelle ;

Ø Violet gentiane ;

Ø Lugol ;

Ø Alcool - acétone ;

Ø Fuchsine au 1/10em ;

Ø Eau distillée ;

Ø Mac conkey agar ;

Ø SS Agar ;

Ø Mannitol Salt Agar (M.S.A.) ;

Ø Gélose au sang

Ø Etuve réglé à 37oC ;

Ø Galerie API20E ;

Ø Micros tubes ;

Ø Tableau de caractère biochimique et d'identification ;

Ø Catalogue analytique ou logiciel d'identification.

II .3.METHODES

1. PRELEVEMENT D'ECHANTILLON D'EAU

Tout commence par le prélèvement des échantillons d'eau aux robinets de la REGIDESO le matin et l'après-midi à l'aide des erlenmeyer de 250ml stérile dans différentes avenues du Quartier CRAA de la commune Lubumbashi ; et aussi à la station de captage et de distribution de L'UNILU au Quartier Kimbembe de la commune annexe.

2. EXAMENS A L'ETAT FRAIS ET APRES COLORATION

- EXAMEN A L'ETAT FRAIS

· Nous identifions les lames porte - objet et les tubes à essai

· Agiter doucement l'erlenmeyer pour mettre les sédiments en suspension homogène ;

· Remplir aussitôt au ¾ un tube à essai à centrifuger;

· Centrifuger pendant 5minuutes à 1500 tours/minute ou à l'aide d'une centrifugeuse à main ;

· Rejeter le surnageant en retournant le tube à essai d'un coup sec ;

· Avec le compte-goutte capillaire, aspirer et refouler trois fois le culot du fond du tube à essai pour rendre homogène ;

· Prélever quelques gouttes culot « homogénéisés » ;

· Déposer une goutte d'eau du culot à l'aide d'une pipette pasteur stérile sur la lame porte objet.

· Couvrir la préparation d'une lamelle couvre objet ;

· Examiner au microscope entre lame et lamelle à l'objectif 10X et 40X.

- EXAMEN APRES COLORATION DE GRAM

Principe : Le violet de gentiane qui colore toutes les bactéries en bleu violet ;

Le lugol fixe plus au moins fort le violet de gentianes dans les bactéries ;

L'alcool acétone qui décolore certaines bactéries où le violet est peu fixé par le lugol ;

La Fuchsine recolore les bactéries qui ont été décoloré par l'alcool -acétone en rouge rose et n'agit pas sur les bactéries qui ont été coloré en bleu violet et restée intacte.

Mode opératoire :

Préparer  un frottis mince et laisser sécher à l'air libre, puis fixer en faisant passer la lame sur la flamme ;

Couvrir la préparation avec le violet de gentiane pendant 30sécondes, puis laver ;

Mordancer pendant 30sécondes le frottis par la solution de Lugol ;

Laver la préparation à l'eau distillée au moyen d'une pissette ou de robinet.

Décolorer la lame à l'aide de l'alcool acétone jusqu'à la disparition complète du colorant

Laver à l'eau comme précédemment

Appliquer la fuchsine pendant 30sécondes

Rincer à l'eau de robinet ou distillée

Sécher la lame

Observer au microscope à l'objectif à immersion (100X).

Résultat

Les bactéries gram + (positif) sont colorées en bleu -violet et Gram-(négatif) en rouge rose.

3. MISE EN CULTURE

En homogénéisant un millilitre prélevé dans l'échantillon d'eau dans 9ml d'eau physiologique stérile, le nombre de micro-organisme par millilitre est réduit à un dixième(facteur de dilution 10).

A l'aide d'une pipette stérile ensemencer 1ml de chaque dilution (càd10 à10) sur le milieu Mac conkey, SS agar, le mannitol Salt agar et sur gélose au sang cuit, respectivement. En suite étuver à 370C pendant 24Heures. Après culture pratiquer l'identification par le système API20E comporte 20 micros tubes inoculé avec une suspension bactérienne qui reconstitue le milieu.

Le résultat s'observe après une période d'incubation qui se traduit par des réactions qui produisent le virage de couleur spontané.

Ces réactions s'interprètent à l'aide d'un tableau de caractères biochimiques et l'identification de germes est obtenue à l'aide d'un catalogue analytique ou d'un logiciel d'identification.

IV. PRESENTATION DE RESULTATS

Nos résultats d'étude après contrôle microbiologique des échantillons d'eau prélevé simultanément au quartier CRAA et à la station de captage UNILU sont repris dans les tableaux I, II, III, IV, V ci-dessous

Tableau I. Résultats globaux d'analyse microbiologique selon les sites

 

DATE DE PRELEV

NUMERO ECH

NOMBRE D'ECH

EXAMEN A FRAIS

COLORATO

DE GRAM

CULTURE

A 370C

STATION DE CAPTAGE UNILU

AVANT MIDI

06/08/13

1

1

RAS

0

PGI

07/08/2013

7

8

2

RAS

RAS

0

0

PGI

PGI

08/08/2013

17

18

2

RAS

RAS

0

0

PGI

PGI

09/08/2013

27

1

RAS

0

PGI

APRES MIDI

06/08/13

4

1

RAS

0

PGI

07/08/2013

12

2

RAS

0

PGI

07/08/2013

13

 

RAS

0

PGI

08/08/2013

22

23

2

RAS

RAS

0

0

PGI

PGI

09/08/2013

30

1

RAS

0

PGI

QUARTIER CRAA

AVANT MIDI

06/08/13

2

3

2

RAS

RAS

0

0

K.pneum

PGI

07/08/2013

9

10

11

3

RAS

RAS

RAS

0

0

0

PGI

K.pneum

E.coli

08/08/2013

19

20

21

3

RAS

RAS

RAS

0

0

0

PGI

E.coli

PGI

09/08/2013

28

29

2

RAS

RAS

0

0

PGI

PGI

APRES MIDI

06/08/13

5

6

2

RAS

RAS

0

0

PGI

PGI

07/08/2013

14

15

16

3

RAS

RAS

RAS

0

0

0

PGI

PGI

PGI

08/08/2013

24

25

26

3

RAS

RAS

RAS

0

0

0

PGI

PGI

K.pneumo

09/08/2013

31

32

2

RAS

RAS

0

0

E.coli

PGI

Tableau II. Répartition des échantillons après contrôle microbiologique

ECHANTILLONS

NOMBRE

POURCENTAGE(%)

TOTAL

POSITIFS

6

18 ,7

6

NEGATIF

36

81,2

26

32


Tableau III. Répartition des souches bactériennes isolées

GERME ISOLE

SITE

KLEBSIELLA PNEUMONIAE

ESCHERICHA COLI

POURCENTAGE (%)

TOTAL

STATION DE CAPTAGE UNILU

0

0

0

0

QUARTIER CRAA

3

3

50

6

6

Tableau IV. Répartition des souches bactériennes isolées selon le temps de prélèvement

TEMPS ET No ECHAN

CULTURE

NOMBRE DE CAS ET %

AVANT MIDI

APRES MIDI

ECH.2

ECH.10

ECH.11

ECH.26

ECH.31

CULTURE DES ECHANT.A 37oC

Klebsiellapneumoniae

Klebsiellapneumoniae

Escherichia coli

Klebsiellapneumoniae

Escherichia coli

NOMBRE DE CAS

4

2

POURCENTAGE DE CAS

66,6

33,3

TOTAL GENE DE CAS

6 ou 99,9%

Tableau V. Dénombrement des germes par millilitre isolées selon les dilutions

DILUTION

ECH.

PLUS ESPE

BACTERIENNE

101

102

103

104

105

106

107

108

ECH.2

Klebsiellapneumoniae

+

0

0

0

0

0

0

0

ECH.10

Klebsiellapneumoniae

+

0

0

0

0

0

0

0

ECH.11

Escherichia coli

+

0

0

0

0

0

0

0

ECH.26

Klebsiellapneumoniae

+

+

0

0

0

0

0

0

ECH.31

Escherichia coli

+

0

0

0

 

0

0

0

Légende sur les abréviations utilisées :

v CRAA : centre de recherche agro - alimentaire

v UNILU : université de Lubumbashi

v RAS : Rien à signaler

v O : Pas de germes observés

v PGI : Pas de germes isolés

v ECH ou ECHANT : Echantillon

v G(-) : Germes à gram négatif

v G(+): Germes à gram positif

v M.S.A. : Mannitol Salt Agar;

v SS Agar : Salmonella Shigella Agar 

v Càd : C'est- à- dire

V.DISCUSION

A l'issu des examens microbiologiques effectués sur les 32 échantillons d'eau prélevés dans les deux sites d'investigation que nous citons le Quartier CRAA et la station de captage d'eau de l'UNILU(Kimbembe), il en découle ce qui suit :Le tableau I,

Nous renseigne que les 12échantillons d'eau prélevés à la station de captage d'eau de l'UNILU ; aucun de ces échantillons n'a manifesté la présence de germes indicateurs de la pollution fécale (Escherichia coli qui est le chef de fil de germes coliformes fécaux), ni même la présence des germes pathogènes. Tandis que sur les 20 échantillons d'eau prélevés au quartier CRAA, 14 échantillons de ces 20 n'ont pas aussi manifesté la présence de la flore bactérienne mais 6 échantillons de ces 20 ont accusé la présence en grand nombre de germes indicateurs de la pollution fécale (Escherichia coli) et de germes pathogènes (Klebsiellapneumoniae) qui sont toutes de Gram négatif. Ces 20 échantillons prélevés aux Quartiers CRAA manifestent une forte pollution les avant- midi (4échantillons) que les après-midi (2 échantillons)

Le tableau II,Nous fixes que le nombre total des échantillons d'eau est subdivisé en fonction de pourcentage c'est-à-dire 6 cas de germes isolés que nous disons positifs sont rencontrés au Quartier CRAAqui représente un pourcentage de 18,7 et 26 cas de culture que nous considérons négatifs soit reparties au deux sites d'investigations citez ci - haut que nous répartissons de deux manières: 12 cas de culture négatifs pour la station de captage d'eau UNILU dont le pourcentage est 37,5 et 14 autres cas négatifs au Quartier CRAA dont le pourcentage est exprimé à 43,7. Ceux qui nous amène à s'exprimé que selon le pourcentage mentionné ci - haut le 43,7% du quartier CRAA de cas négatifs est deux fois plus supérieur que 18,7% de cas positifs toujours pour le Quartier CRAA ;

Le tableau III, Nous démontré que la station de captage d'eau UNILU sa répartition en souches bactériennes est quasiment inexistante du fait que en terme de pourcentage ça donne zéro. Tandis que le Quartier CRAA sa répartition en souches bactériennes indicatrice de la pollution fécale et pathogène est équitable ce qui nous donne en terme de pourcentage 50 ;

Le tableau IV Nous renseigne après incubation à 370C de culture des échantillons d'eau inoculés de deux sites lors de la lecture que la station de captage d'eau UNILU tous les échantillons(12) prélevés avant midi et après midi sont négatifs càd rien à signaler. Par contre le Quartier CRAA de tous les échantillons d'eau prélevés aux robinets avant - midi (10) 4 environ 66,6% sont positif et après -midi(10) 2 environ 33,3% sont aussi positifs.

Le tableau VNous fait voir les différentes dilutions décimales qui nous rapprochent avec degré de potabilité (norme) selon lesquelles une eau est potable lorsqu'elle contient un nombre inférieur ou égal à 200colonies/ml d'E. coli. Nos dilutions sur ces différents échantillons prélevés et misent en culture nous donne 100colonies/ml d'E. coli au Quartier CRAA et 0 colonie/ml d'E. coli à la station de captage d'eau de l'UNILU. Nous laisse à croire qu'il s'agit d'une eau généralement bonne selon JEAN RODIER.

VI.CONCLUSION

A la lumière des résultats d'analyses microbiologiques obtenus sur les 32 échantillons prélevés au Quartier CRAA et à la station de captage UNILU, nous concluons de la manière ci - après :

ü L'eau de captage UNILU est potable du fait, elle ne renferme aucune présence de la flore bactérienne indésirable.

ü Par contre, l'eau des robinets du Quartier CRAA nous donne deux aspects de la règlementation internationale sur la potabilité. C'est-à-dire les données statistiques qu'on observe dans le tableau III font que une partie de l'eau prélevée est potable et l'autre partie est strictement non potable parce qu'elle contient une présence considérable de germes indicateurs de la pollution et aussi les germes pathogènes qui sont indispensable à la santé humaine. Nous ne pensons que cette eau insalubre que la population du dit Quartier consomme à l'origine de plusieurs maladies hydriques.

BIBLIOGRAPHIE

1. Hygiène coloniale in Encyclopédie Congo - Belge et Rwanda - Burundi TOME III

2. FRANCEYS et ALL : Guide pour l'assainissement individuel, Paris 1987

3. FRENEY J : Précis de bactériologie clinique, éd ESKA Paris 2000

4. FURON.R : Le problème de dans le monde, édPayot, Paris1963

5. GENTILINI M. : Médecine tropicale, 7eme éd, Paris 1997

6. GENTILINI, BRUCKERSG et MEUNIERY : Urbanisme et santé publique sous les tropiques, Bull1997

7. LABUSQIERE R : Santé rurale et médecine préventive en Afrique éd .François, Paris 1975

8. LECLERC : Livre de l'eau, éd. CEBEDEAU, Liège1951

9. NIJS.G : santé et secourisme, éd. les classiques africains le moulineux1977

10. O.M.S. : Direction pour qualité pour l'eaude boisson,2eméd. série de rapport technique N0807, 1991

11. O.M.S. : Normes internationales applicables à l'eau de boisson, Gèneve1958

12. O.M.S. : Traitement et prévention des diarrhées aigüesGenève, 1985

13. O.M.S. : Technologie de l'approvisionnement en eau potable et de l'assainissement dans les pays en développement, série de rapport technique,No742

14. RDIER J. : Analyse de l'eau, éd .Dunod 1984

15. VANRIEL J. : Santé publique tropicale, éd. Deson Liège 1996

16. SITES INTERNET






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille