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Approche d'analyse sur la gestion de la communauté des fermiers de Bankana (COFEBA) par le projet d'implantation des fermiers de Kinshasa (PIFK) 1986-1990

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par Aubain Lusundji Biasala
Académie des sciences de développement Kinshasa - Licence en économie appliquée 2002
  

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I.5. LE CONTROLE

La dernière fonction fondamentale de la gestion est le Contrôle. Il consiste à déterminer ce qui est réalisé, c'est-à-dire, à évaluer les réalisations et si nécessaire, à prendre les mesures correctives qui permettent de faire que les réalisations soient conformes aux plans.

Si les autres fonctions fondamentales de la gestion, c'est-à-dire, la planification, l'organisation et l'impulsion des ressources humaines étaient exercées parfaitement, il n'y aurait guère besoin de contrôle. Mais il est extrêmement rare, ou même impossible que la planification soit parfaite, l'organisation irréprochable et l'impulsion des ressources humaines efficaces à cent pour cent.

Le contrôle peut revêtir deux formes : le contrôle préalable et le contrôle en cours de route.

Le contrôle préalable se fait en fixant une politique et des procédures dont on ne peut s'écarter. Le contrôle en cours de route ou contrôle opérationnel vise le bon déroulement des activités. Ce type de contrôle permet de s'assurer que le plan est suivi en temps voulu et dans les conditions requises. Les écarts dans le contrôle peuvent avoir pour causes : l'erreur humaine, des résultats inattendus, des déficiences dans les machines ou les expéditions, des incertitudes dans les décisions de gestion.

I.6. LES PROJETS DE DEVELOPPEMENT

I.6.1. Le projet

Le terme projet a pris tellement d'importance ces dernières années que les définitions varient d'un auteur à l'autre. KALENGAY((*)1) définit le projet comme « tout ce que l'on projette de faire ou de réaliser après court, moyen ou long terme en mettant certains facteurs de développement en oeuvre ». MBAYA((*)2) quant à lui, définit le projet comme étant « un ensemble d'activités et d'opérations qui consomment des ressources limitées (telles que main-d'oeuvre, devises, etc...) et dont on attend (on : certains individus, groupe ou classe sociale, ou encore la collectivité entière) des revenus ou autres avantages monétaires ou non monétaires ».

Le projet peut aussi se définir comme « un échantillon sur lequel on applique certaines techniques pour les vulgariser à grande échelle ».

De toutes ces définitions, il ressort que la réalisation de toute entreprise doit faire l'objet d'une étude approfondie qui aboutit au projet. Une fois que le projet se révèle concluant, on peut alors s'atteler à la réalisation d'un ensemble beaucoup plus important.

Un projet viable doit remplir trois conditions primordiales à savoir : être techniquement réalisable, commercialement vendable et enfin financièrement rentable.

* (1) KALENGAY, Planification économique ét sociale, Cours inédit, ASPEM, 1990-1991

* (2) MBAYA, Analyse et constitution des dossiers de financement, Cours inédit, ASPEM, 1990-1991

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