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Elaboration d'un système de sélection et de classement des étudiants. Cas des départements de l'ISM (Institut supérieur de management )

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par Youssouf Marius FOPOU NJOYA
Institut supérieur de management de Dakar - Diplôme supérieur de gestion option technologie de l'information et de la communication 2008
  

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Chapitre 4ème : présentation des outils utilisés

Pour mener à bien notre application, nous avons dû utiliser plusieurs outils, commençant par la méthode d'analyse « MERISE », ensuite nous avons utilisé le langage de programmation PHP(19), le langage HTML(22), CSS(23), nous avons également utilisé le serveur de base de données MYSQL, le serveur web Apache et le logiciel WAMP. Globalement nous avons utilisé pour notre application une architecture trois tiers (serveur de base de données, serveur web et client). Tous ces éléments seront présentés dans les sections suivantes17:

Section 1 : Pourquoi utiliser de la méthode « MERISE » ?

Merise est une méthode d'analyse, de conception et de gestion de projet complètement intégrée, ce qui en constitue le principal atout. Elle a fourni un cadre méthodologique et un langage commun et rigoureux à une génération d'informaticiens français.

a. Historique

Issue de l'analyse systémique, la méthode Merise est issue des travaux menés par Hubert Tardieu dans les années 1970 et qui s'inséraient dans le cadre d'une réflexion internationale, autour notamment du modèle relationnel de Edgar Frank Codd. Elle est devenue un projet opérationnel au début des années 1980 à la demande du ministère de l'industrie, et a surtout été utilisée en France principalement pour les projets d'envergure, notamment des grandes administrations publiques ou privées. Elle a ensuite cherché à s'adapter aux évolutions rapides des technologies de l'informatique avec MERISE/objet, puis MERISE/2 destinée à s'adapter au client-serveur.

17 Architecture client-serveur dans laquelle l'interface utilisateur, le traitement des données et le stockage sont considérés comme trois éléments distincts. L'intérêt de la chose est évidemment la modularité, ainsi que le support de plateformes multiples

Elaboration d'un systeme de sélection et de classement des étudiants : Cas des Départements de l'ISM Fait par : FOPOU NJOYA Youssouf Marius

b. Méthode d'analyse et de conception

La méthode Merise d'analyse et de conception propose une démarche articulée simultanément selon 3 axes pour hiérarchiser les préoccupations et les questions auxquelles répondre lors de la conduite d'un projet:

o Cycle de vie : phases de conception, de réalisation, de maintenance puis nouveau cycle de projet.

o Cycle de décision : des grands choix (Etude préalable), la définition du projet (étude détaillée) jusqu'aux petites décisions des détails de la réalisation et de la mise en oeuvre du système d'information. Chaque étape est documentée et marquée par une prise de décision.

o Cycle d'abstraction : niveaux conceptuels, logique/organisationnel et physique/opérationnel (du plus abstrait au plus concret) L'objectif du cycle d'abstraction est de prendre d'abord les grandes décisions métier, pour les principales activités (Conceptuel) sans rentrer dans le détail de questions d'ordre organisationnel ou technique.

La méthode Merise, très analytique, distingue nettement les données et les traitements, même si les interactions entre les deux sont profondes et s'enrichissent mutuellement (validation des données par les traitements et réciproquement). Certains auteurs (Merise/méga, puis Merise/2) ont également apporté la notion complémentaire de communications, vues au sens des messages échangés. Aujourd'hui, avec les SGBD-R(6), l'objet, les notions de données et de traitements sont de plus en plus imbriquées. On distingue trois principaux niveaux d'analyse : le niveau conceptuel, le niveau logique et le niveau physique.

=>Niveau conceptuel

L'étude conceptuelle Merise s'attache aux invariants de l'entreprise ou de l'organisme du point de vue du métier : quels sont les activités, les métiers gérés par l'entreprise, quels sont les grands processus traités, de quoi parle-t-on en matière de données, quelles notions manipulet-on ?... et-ce indépendamment des choix techniques (comment fait-on ?) ou organisationnels (qui fait quoi ?) qui ne seront abordés que dans les niveaux suivants. Au niveau conceptuel on veut décrire, après abstraction, le modèle (le système) de l'entreprise ou de l'organisme :

Elaboration d'un système de sélection et de classement des étudiants : Cas des Départements de l'ISM Fait par : FOPOU NJOYA Youssouf Marius

1. Le modèle conceptuel de communication ou diagramme de flux

La première étape de ce modèle est d'arriver à isoler le système en le délimitant. Il s'agit donc de définir le système et les éléments externes avec lesquels il échange des flux d'information. Ces éléments extérieurs sont appelés acteurs externes (ou partenaires).

Acteurs externes

 
 

Organisation

 

20

Figure 1 : représentation des acteurs externes et des flux d'information

La seconde étape consiste à découper l'organisation en entités appelées acteurs internes (ou domaines). Lorsque les domaines d'une organisation sont trop importants, ils peuvent être décomposés eux-mêmes en sousdomaines.

Acteurs internes

Figure 2 : représentation d'un modèle de MCC

La dernière étape est l'analyse des flux d'information, c'est-à-dire la définition des processus.

- Diagramme de contexte

Le diagramme de contexte a pour but de représenter les flux d'informations entre l'organisation et les acteurs externes selon une représentation standard dans laquelle chaque objet porte un nom :

Elaboration d'un système de sélection et de classement des étudiants : Cas des Départements de l'ISM Fait par : FOPOU NJOYA Youssouf Marius

l'organisation est représentée par un rectangle

les acteurs externes sont représentés par des ellipses en pointillés

les flux d'information sont représentés par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux d'information

Info 1

Info 2

Info 3

Acteur 1
Acteur 2
Acteur 3

Organisation

Figure 3 : diagramme conceptuel de flux

Ce diagramme (appelé aussi modèle conceptuel de la communication) permet de compléter le diagramme de contexte en décomposant l'organisation en une série d'acteurs internes. Dans ce diagramme la représentation standard est la suivante :

 

Les acteurs internes sont représentés par des ellipses

les messages internes sont représentés par des flèches

Acteur 1

Acteur 2

Acteur 4

Acteur 6

MSG 4

Acteur 5

Acteur 3

Figure 4 : représentation standard d'un MCC

2. le Modèle conceptuel des données (ou MCD(7)), schéma représentant la structure du système d'information, du point de vue des données, c'est-àdire les dépendances ou relations entre les différentes données du système

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d'information (par exemple : le client, la commande, la ligne de commande, etc.). Le MCD(7) repose sur les notions d'entité et d'association et sur les notions de relations :

 

L'entité ou objet

L'entité est définie comme un objet de gestion considéré d'intérêt pour représenter l'activité à modéliser (exemple : entité pays) et chaque entité est porteuse d'une ou plusieurs propriétés simples, dites atomiques (exemples : code, nom, capitale, population, superficie) dont l'une, unique et discriminante, est désignée comme identifiant (exemple : code). L'entité représente le concept qui se décline, dans le concret en occurrences d'individus.

Exemples : Le champ du haut contient le libellé. Ce libellé est généralement une abréviation pour une raison de simplification de l'écriture. Il s'agit par contre de vérifier qu'à chaque classe d'entité correspond un et un seul libellé, et réciproquement le champ du bas contient la liste des propriétés de la classe d'entité

Libellé

Liste des propriétés

Figure 5 : représentation d'une entité

Par construction, le MCD(7) impose que toutes les propriétés d'une entité ont vocation à être renseignées (il n'y a pas de propriété « facultative »). Le MCD(7) doit, de préférence, ne contenir que le coeur des informations strictement nécessaires pour réaliser les traitements conceptuels: les informations calculées (ex: montant taxes comprises d'une facture), déductibles (ex: densité démographique = population / superficie) et a fortiori celles liées aux choix d'organisation conçus pour effectuer les traitements ne doivent pas y figurer.

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L'association ou relation

L'association est un lien sémantique entre une ou plusieurs entités : l'association peut être réflexive, de préférence binaire parfois ternaire.

Exemple : Les classes de relations sont représentées par des hexagones (parfois des ellipses) dont l'intitulé décrit le type de relation qui relie les classes d'entité (généralement un verbe). On définit pour chaque classe de relation un identificateur de la forme Ri permettant de désigner de façon unique la classe de relation à laquelle il est associé.

CE 1 CE 2

Lien

Figure 6 : Représentation d'une relation

Cette description sémantique est enrichie par la notion de cardinalité, celle-ci indique le nombre minimum (0 ou 1) et maximum (1 ou n) de fois où une occurrence quelconque d'une entité peut participer à une association.

Exemple . la borne minimale (généralement 0 ou 1) décrit le nombre minimum de fois qu'une entité peut participer à une relation la borne maximale (généralement 1 ou n) décrit le nombre maximum de fois qu'une entité peut participer à une relation

CE 1

CE 2

1. N

Lien

Figure 7 : Exemple de cardinalité

3. et le Modèle conceptuel des traitements (ou MCT(8)), schéma représentant les traitements, en réponse aux événements à traiter (par exemple : la prise en compte de la commande d'un client). Le MCT(8)

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repose sur les notions d'événement et d'opération, celle de processus en découle.

L'événement

Un événement est assimilable à un message porteur d'informations donc potentiellement de données mémorisables (par exemple : l'événement 'commande client à prendre en compte' contient au minimum l'identification du client, les références et les quantités de chacun des produits commandés). Cependant il peut être interne ou externe.

? un événement externe est un changement de l'univers extérieur

? un événement interne est un changement interne au système d'information

On représente un événement par une ellipse en trait plein pour les événements internes à l'organisation, en trait pointillé pour les événements externes.

Un événement peut :

> déclencher une opération ('commande client à prendre en compte' déclenche l'opération 'prise en compte commande'),

> être le résultat d'une opération ('colis à expédier' suite à l'opération de 'préparation colis'), et à ce titre être, éventuellement, un événement déclencheur d'une autre opération.

L'opération

Une opération se déclenche uniquement par le stimulus d'un ou de plusieurs évènements synchronisés

Elle est constituée d'un ensemble d'actions correspondant à des
règles de gestion de niveau conceptuel, stables pour la durée de vie
de la future application (pour la prise en compte d'une commande :

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vérifier le code client (présence, validité), vérifier la disponibilité des articles commandés, ...).

Le déroulement d'une opération est in interruptible : les actions à réaliser en cas d'exceptions, les évènements résultats correspondants doivent être formellement décrits (en reprenant l'exemple précédent, si le code client indiqué sur la commande est incorrect prévoir sa recherche à partir du nom ou de l'adresse indiqués sur la commande, s'il s'agit d'un nouveau client prévoir sa création et les informations à mémoriser)

Le processus

Un processus est un sous-ensemble de l'activité de l'entreprise, cela signifie que l'activité de l'entreprise est constituée d'un ensemble de processus. Un processus est lui-même composé de traitements regroupés en ensembles appelés operations.

La synchronisation

La synchronisation d'une opération définit une condition booléenne sur les événements contributifs devant déclencher une opération. Il s'agit donc de conditions au niveau des événements régies par une condition logique réalisée grâce aux opérateurs : << ou >>, << et >>, << non >>

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Exemple :

Règle d'émission 1

Operation

- Action 1

- Action 2

-

Règle d'émission 2

Evénement résultat 1

Evénement résultat 2

Evénement 1 Evénement 2

Figure 8 : représentation d'un MCT

Dans l'idéal, le MCD(7) et le MCT(8) d'une entreprise sont stables, à périmètre fonctionnel constant, et tant que le métier de l'entreprise ne varie pas. La modélisation ne dépend pas du choix d'un progiciel ou d'un autre, d'une automatisation ou non des tâches à effectuer, d'une organisation ou d'une autre, etc.

=>Niveau Logique

A ce niveau de préoccupation, les modèles conceptuels sont précisés et font l'objet de choix organisationnels. On construit :

1. un Modèle Logique des Données (ou MLD(9)), qui reprend le contenu du MCD(7) précédent, mais précise la volumétrie, la structure et l'organisation des données telle qu'elles pourront être implémentées. Par exemple, à ce stade, il est possible de connaître la liste exhaustive des tables qui seront à créer dans une base de données relationnelle

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Exemple : Chaque classe d'entité du modèle conceptuel devient une table dans le modèle logique. Les identifiants de la classe d'entité sont appelé clés de la table, tandis que les attributs standards deviennent des attributs de la table, c'est-à-dire des colonnes.

CE1 (#attribut1.#attribut2, attribut3)

CE 1

# attribut1

# attribut2

attribut3

Figure 9 : représentation d'une table de cardinalité simple

La transcription d'un MCD(7) en modèle relationnel s'effectue selon quelques règles simples qui consistent d'abord à transformer toute entité en table, avec l'identifiant comme clé primaire, puis à observer les valeurs prises par les cardinalités maximum de chaque association pour représenter celle-ci soit (CARD(10). max 1-n ou 0-n) par l'ajout d'une clé étrangère dans une table existante, soit (CARD(10). max n-n) par la création d'une nouvelle table dont la clé primaire est obtenue par concaténation de clés étrangères correspondant aux entités liée

Exemple : si une des classes d'entités possède une cardinalité faible : la table aura comme attributs, les attributs de la classe ayant une cardinalité faible, puis le (ou les) attribut(s) de relation et enfin les attributs de la seconde classe précédé du nom de la classe. Si les deux classes d'entités possèdent une cardinalité forte : la table aura comme attributs, les attributs des deux classes de relation précédés des noms des classes respectives, puis le (ou les) attribut(s) de relation

# attribut1

attribut2

CE 1

?N

R1

Lien

Attribut

? ?

# attribut1

CE 2

R1 (#attribut1, #attribut2, attribut, CE2.attribut1)

Figure 10 : représentation d'une table de cardinalité multiple

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La transcription du MCD(7) en MLD(9) doit également être précédée d'une étape de synchronisation et de validation des modèles de données (MCD(7)) et de traitement (MCT(8) et MLT(11)), au moyen de vues. Cela afin d'y introduire les informations d'organisation définies au MLT(11), d'éliminer les propriétés conceptuelles non utilisées dans les traitements ou redondantes et enfin de vérifier que les données utilisées pour un traitement sont bien atteignables par 'navigation' entre les entités/relations du MCD(7).

2. un Modèle Logique des Traitements (ou MLT(11)), qui précise les acteurs et les moyens qui seront mis en oeuvre. C'est ici que les traitements sont découpés en procédures fonctionnelles (ou PF(12)). Le MLT(11), appelé aussi MOT pour « modèle organisationnel des traitements a», décrit avec précision l'organisation à mettre en place pour réaliser une ou, le cas échéant, plusieurs opérations figurant dans le MCT(8). Il répond aux questions suivantes : qui ? Quoi ? Oil ? Quand ? Comment ? A un MCT(8) correspond donc généralement plusieurs MLT(11). Les notions introduites à ce niveau sont : le poste de travail, la phase, la tâche et la procédure.

n Le poste de travail

Le poste de travail décrit la localisation, les responsabilités, et les ressources nécessaires pour chaque SLRECE'IVtENXIVL du système.

Par exemple, on peut identifier les profils suivants : client-web,

responsable commercial, responsable des stocks, etc.

n La phase

La phase est un ILJIPEOMMIRns réalisées sur un même poste de travail. La phase peut être :

ü soit manuelle : par exemple, la confection d'un colis ;

ü soit automatisée et interactive : par exemple, la saisie d'un formulaire client ;

ü soit automatisée et planifiée (on parle aussi de batch) : par exemple, la production et l'envoi quotidiens de tableaux de bord dans les boites aux lettres électroniques.

Elaboration d'un systeme de sélection et de classement des étudiants : Cas des Départements de l'ISM Fait par : FOPOU NJOYA Youssouf Marius

· La tâche

La tkche est une description détaillée d'une phase automatisée interactive.

Par exemple, elle correspond à la spécification de l'interface et du dialogue humain-machine, à la localisation et la nature des contrôles à effectuer, etc.

· La procédure

La procédure est un regroupement de phases. Elle équivaut sur le plan organisationnel aux notions d'opérations et d'actions conceptuelles. La différence est que l'on considère ici ces dernières comme se déroulant sur une période de temps homogène.

Des procédures d'origines non conceptuelles peuvent être ajoutées du fait des choix d'organisation effectués.

Par exemple, on peut citer les procédures d'échanges d'informations liées à l'externalisation de certaines activités, la prise en compte des questions de sécurité en cas de choix de solution Web, etc.

Comme son nom l'indique, l'étude organisationnelle ou logique s'attache à préciser comment on organise les données de l'entreprise (MLD(9)) et les tâches ou procédures (MLT(11)). Pour autant, les choix techniques d'implémentation, tant pour les données (choix d'un SGBD(6)) que pour les traitements (logiciel, progiciel), ne seront effectués qu'au niveau suivant.

=>Niveau physique

Les réponses apportées à ce dernier niveau permettent d'établir la manière concrète dont le système sera mis en place. Ce niveau détermine principalement comment le MLD(9) sera implémenté dans un SGBD(6). Mais avant ça, nous allons présenter le langage de programmation qui nous permettra de coder toutes ces données.

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"Je voudrais vivre pour étudier, non pas étudier pour vivre"   Francis Bacon