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Mise en œuvre d'un système informatisé pour le suivi de paiement de préfinancement dans une agence en douane

( Télécharger le fichier original )
par Gabriel MBULU LONA
Institut supérieur de commerce de Matadi RDC - Graduat 2012
  

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EPIGRAPHIE

« La réussite une question de ma volonté, conscience et de ma volonté seulement »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Starck MBULU LONA Gabriel

 

 

 

 

 

 

 

 

 

DEDICACE

A mon père MBULU  LONA  Faustin, pour les efforts consentis à mon égard ;

A ma mère  NTOTO  BIODI  Emilie, pour m'avoir fait découvrir le monde ;

A vous mes frères et soeurs  Helene BAYA, Didier TUMPA, Nzuzi VUVU, Palmier MAVUNGU, Gradi TUMUENE, Louange KIESE, pour m'avoir encouragé, conseillé durant cette période de mes études.

 

 

 

 

 

 

Je dédie ce travail.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

AVANT PROPOS

Ce travail est le couronnement de notre formation universitaire en graduat en gestion informatique à l'Institut Supérieur de Commerce de Matadi, ISC/Matadi en single

Ainsi, ce travail est le fruit de plusieurs efforts et sacrifices engagés tout au long de l'année académique 2012-2013. Du reste, c'est-à-dire la préparation et la rédaction de ce travail était une oeuvre de recherche et d'encadrement.

Nous sommes très braves envers Monsieur Justin PHOBA MVIKA, Directeur Général de notre Institut pour sa disponibilité pour notre formation intellectuelle, morale et religieuse au sein de notre Institut.

Nos sincères remerciements à tout le comité de gestion de l'ISC /Matadi pour leurs contributions à notre formation

Nous remercions l'assistant Felly BEMA LOKWAMA qui a bien voulu respectivement assurer la direction de ce travail  par les remarques, suggestions et conseils pour l'orientation de ce travail malgré ses multiples occupations.

Nos remerciements s'adressent à tous les enseignants de l'ISC /Matadi en général et ceux de la section informatique en particulier entre autre : Chef de travaux Jonas LUKOKI, Jackson NZAU, Isabelle TSHIBUABUA Alphonse DITONA, Cesar MANANGA et l'assistant Jean de la sentinelle PHOBA, Aime MBUANGI, Roger MAYANGA, Dominique MBAMB'A, Dadou MIZWA, Serge TSEDE.

qu'il nous soit permis d'être également reconnaissant envers les encadreurs de B.I.E.M.

Nos pensées vont encore à nos compagnons de mêmes aventures universitaires, les Amis de tous les temps et de tous les jours : MAMBIMBI MAVUNGU Anatole, BASILUABO MENAVUVU Magloire, NGOMA SITU Michel, KABEYA MBALA Junior, KABENGELE KADIATA Joseph, NSIMBA PUATI Guelord, MASELA KONDJI Junior, Hyllaron KIMPUNI, Francine MAKIESE.

Enfin, que tous ceux qui ont contribué d'une manière ou d'une autre à notre formation et à la concrétisation de cette oeuvre que nous n'avons pas citées par inadvertance, sans oublier Prof. Dr. Ir. MBIKAYI MPANYA Jean Marcel, FATAKI BAZONGA Jeannot et l'assistant BALUMANGANA BALUSTIC. Veuillent bien nous excuser, nous leur présentons l'expression de notre profonde gratitude.

 

 

 

 

 

 

Starcky MBULU LONA Gabriel.

1. ABREVIATION  ET SIGLES UTILISES

 

LCP   : LISTE DES CLIENTS PREFINANCES ;

LCI          : LISTE DES CLIENTS INSOLVABLE ;

LCS         : LISTE DES CLIENTS SOLVABLE ;

ATEV  : ATTESTATION DE VERIFICATION ;

LIC   : LICENCE D'IMPORTANCE ;

BL   : BILL OF LOADING;

LSQ   : LETTRE DE SEQUENCE;

SECRET: SECRETARIAT ;

CH     : CHEQUE ;

CCE    : CAHIER DES COURRIERS ENTRANTS ;

MOD    : MODELE ORGANISATIONNEL DE DONNEE ;

MPD     : MODELE PHYSIQUE DE DONNEE ;

MPT      : MODELE PHYSIQUE DE TRAITEMENT ;

MCD    : MODELE CONCEPTUEL DE DONNEE ;

MLD    : MODELE LOGIQUE DE DONNEE ;

MLT     : MODELE LOGIQUE DE TRAITEMENT ;

MOT    : MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENT ;

MCT     : MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT ;

MCC    : MODELE CONCEPTUEL DE LA COMMUNICATION ;

SGBD    : SYSTEME DE GESTION DE BASE DE DONNEE ;

BDD     : BASE DE DONNEE ;

SCTP      : SOCIETE COMMERCIALE DES TRANSPORTS ET DES PORTS ;

DGDA  : DIRECTION GENERALE DES DOUANES ET ACCISES ;

DGRAD : DIRECTION GENERALE DES RECETTES ADMINISTRATIVES, JUDICIAIRES ; DOMANIALES  ET DES PARTICIPATIONS ;

SGF : SYSTEME DE GESTION DES FICHIERS ;

EXPEDIE : EXPEDITION

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2. LISTE DES SYMBOLES UTILISES

 

SYMBOLES

EXPLICATION

 

Document circulant

 

Document permanent

 

Sortie

 

Entrée vers une nouvelle tache

 

 

Document circulant a deux exemplaires

 

Tâche d'exécution

 

Listing

 

 

Classement

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3. LISTE DES TABLEAUX ET LES FIGURES UTILISES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

0.1. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE

 

La problématique est la présentation d'un problème sous différents aspects. C'est la question à la quelle nous allons entreprendre de répondre, une problématique mal posée est un hors sujet. 1

Le préfinancement est défini comme un crédit spécial accordé à titre provisoire pour permettre de financer une opération économique en attendant un moyen de financement durable. 2

En douane le terme préfinancement est le fait que le commissionnaire en douane paye en lieu et place du client, et se fait  rembourser à la livraison de la marchandise. Les agences sont, en général indépendantes, c'est-à-dire sans lien direct ni avec les annonceurs ni avec les medias, afin de garantir l'objectivité de leurs analyses et de leurs choix. 3 L'agence envisage un intérêt sur la confiance du marché et leur accorde une échéance de quelques mois pour rembourser le préfinancement. Au-delà du bénéfice, l'agence doit assurer sa pérennité. Elle s'accompagne aussi de la volonté de développer son chiffre d'affaires et sa part de marché, dans cette optique il faut viser la satisfaction du client. 4 Dans le cadre d'approches relationnelles, la connaissance du client pour toute entreprise qui cherche à accroître son chiffre d'affaire est très primordial. Pour conserver durablement ses clients, l'Agence Pacific Trading S.P.R.L. doit les satisfaire et les fidéliser. Pour y parvenir, cette Agence doit connaître ses clients c'est-à-dire connaître leurs besoins et leurs attentes le profit d'une Agence en douane comme Pacific Trading est directement lié à la fidélité de ses clients parce que le client est la principale source de revenu de l'entreprise. La meilleure façon que Pacific Trading peut gérer ses clients est d'avoir une base de données intégrée

Ainsi pour élargir notre étude nous sommes  posés les questions suivantes :

1. Est -ce que la mise en oeuvre d'un système d'information informatisé s'avère-t-il indispensable ?

2. Le système existant répond-t-il à l'efficacité et l'efficience pour le contrôle du système existant ?

3. L'informatisation de la procédure de cette gestion aura-t-elle un impact positif sur le rendement de l'entreprise ?

4. Comment allons-nous-procéder à l'implémentation de ce nouveau système ?

C'est dans cette optique que nous allons essayer de répondre à ces préoccupations.

 

0.1.2. HYPOTHESE

 

L'hypothèse est une proposition qui tente d'expliquer les problèmes posés à partir de l'observation. Elle est une directive, une tentative d'explication des faits fournis au début de la recherche, destinée à l'investigation et à être abandonnée ou maintenue d'après les résultats d'observation et de l'analyse. 5 En rapport avec les problèmes que nous venons d'évoquer.  Nous affirmons que la mise en place d'une base de données intégrée permettra à l'Agence Pacific Trading de résoudre ses multiples difficultés telles que :

· La lenteur dans le traitement de données ;

· L'élaboration de liste des clients préfinancés ;

· L'élaboration de liste des clients douteux ;

· La fiabilité des résultats

· Etc.

 

0.2. CHOIX ET INTERET DU SUJET

0.2.1 .CHOIX DU SUJET

 

Notre travail s'intitule « MISE EN OEUVRE D'UN SYSTEME INFORMATISE POUR LE SUIVI DE PAIEMENT DE PREFINANCEMENT  DANS UNE AGENCE EN DOUANE « Cas de Pacific Trading ».

Le choix porté à ce sujet va nous permettre d'approfondir les notions théoriques apprises et savoir comment les appliquer dans un cas concret.

 

0.2.2. INTERET DU SUJET

 

L'importance du sujet se comprend parce que l'objectif primordial est de mettre en place une base de données intégrées qui aidera les décideurs de Pacific Trading de connaître avec précision et à un temps reccord la liste des clients qui ont été préfinancés, les modalités de remboursement et sans oublier les clients douteux.

 

0.3. DELIMITATION DU SUJET

Dans le temps, nous avons mené notre étude à l'Agence en Douane Pacific Trading plus précisément au service de la comptabilité.

 

0.4. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES

0.4.1. METHODES

 

Les méthodes sont des moyens à suivre pour effectuer une procédure afin d'accomplir les tâches le plus efficacement possible. 6 Les méthodes prennent en considération, l'objectif à réaliser, le temps et les ressources nécessaires pour effectuer le travail. Pour le cas échéant nous allons utiliser les méthodes suivantes :

Méthode Historique : elle nous a permis de connaître l'historique de l'agence Pacific Trading s.p.rl ;

Méthode Structuro-fonctionnelle : nous a aidé à étudier la structure et le fonctionnement de l'agence Pacific Trading s.p.r.l;

Méthode Analytique : à partir de cette méthode nous avons procédé par une analyse des faits existants, dans le but de mieux comprendre le système en place ; 7

Méthode Merise : est une méthode d'étude et réalisation informatique pour les systèmes des entreprises. 8 C'est aussi une méthode conception de projets informatiques, qui donne une  vision panoramique sur le domaine à étudier, en séparant les données et les traitements pour plus d'efficacité. 9 Elle est d'une utilité grandiose dans l'étape conceptuelle.

 

0.4.2. TECHNIQUES

 

Les techniques sont des instruments (outil) destinés à la recherche aux fins de la collecte des données, de leur sélection, de leur traitement, et de leur dépouillement (analyse). 10 Pour notre travail nous avons utilisé les techniques ci -après :

Technique documentaire : est l'ensemble des techniques mises en oeuvre dans le cadre de l'exercice du métier ou de l'apprentissage du métier 11 ;

Technique d'interview : est une technique utilisée non seulement au stade de l'étude d'opportunité mais à tous les stades ultérieurs lorsque l'on veut obtenir des informations précises sur les politiques, les procédures et les besoins des utilisations. 12 Elle nous a permis d'entrer en contact direct avec les interviews ;

Technique d'observation : c'est l'étude des personnes qui passent pendant une certaine période en un lieu donné. 13 Pour notre étude, elle nous a permis d'observer comment les activités se déroulent au sein de l'agence Pacific Trading s.p.r.l.

 

0.5. DIFFICULTES RENCONTREES

 

Un travail scientifique est toujours pénible à réaliser, nous nous sommes confrontés  à plusieurs problèmes sur le terrain, en faisant beaucoup de navette pour avoir des informations pertinentes, nous n'avons pas eu le temps de manipuler certains documents et d'aborder certains personnels. A cause de secret professionnel et nous avons arraché difficilement une interview auprès des responsables de cette entreprise grâce à une lettre de recherche.

 

0.6. DIVISION DU TRAVAIL

 

Hormis, l'introduction et la conclusion, notre travail se divise en trois parties : la première est consacrée à l'étude préalable, celle-ci se subdivise en deux chapitres et se consacre à la  présentation de l'entreprise.

· La deuxième partie quant à elle, a porté sur la conception d'un système d'information qui se subdivise en deux phases :

· La première phase parle de la conception  du système d'information organisationnel (SIO) et comprend en son sein deux chapitres : Etape conceptuelle et Etape organisationnelle ;

· La seconde est basée sur la conception du système d'information informatisé (SII) qui comprend aussi deux chapitres : Etape logique et Etape physique ;

· La troisième partie  parle sur la réalisation et l'exploitation de la base de données, qui comprend aussi deux chapitres : l'implantation de la base de données et La programmation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'étude préalable est une phase de l'analyse qui nous permet de faire l'évaluation critique du fonctionnement du système d'information actuel et  l'évaluation des solutions en précisant :

· Les processus de fonctionnement du domaine ;

· La perception des informations ;

· Les modes d'organisation ;

· Le degré et le type d'automatisation.

· L'évaluation des solutions proposées en termes de :

· Equipements informatiques ;

· Coûts et détails de mise en oeuvre ;

· Conséquences sur l'organisation générale de l'entreprise ;

· Scenario de mise en oeuvre. L'étude préalable privilégie la diversité des solutions par rapport au détail des spécifications. 14

 

 

I.1. HISTORIQUE DE L'AGENCE

 

Pacific Trading est une société privée  à responsabilité limitée, de nationalité congolaise, créée le 15 juillet 1997. Dès sa constitution, le capital social s'élevait à un montant de 66 000 000 nouveaux zaïres, représenté par 100 parts de valeur nominale de 660 000 Nz  chacune, souscrite  et libérée  par deux associées à savoir, Mesdames SAKINA AFWA avec 75 parts équivalant à 49 500 000 Nz et NURUGULAM avec 25 parts équivalant à 16 500 000nz. La reforme monétaire du 15 octobre 2002 a poussé les actionnaires à réévaluer le capital social à 5 000 000 FC. Ils ont  aussi procédé à la cession des parts sociales à des nouveaux associés qui sont Messieurs MALIK avec 90 parts et PERUZI ASSANI avec 10 parts. A la création de l'entreprise, le siège social était  au 15 ème niveau de l'appartement IV de l'immeuble ancienne galerie (ex galerie présidentielle) dans la commune de la Gombe. Cette entreprise a connue plusieurs transferts de son siège social entre autre 30 janvier 1997, a l'immeuble SITREX , au 2ème niveau sur l'avenue du marché dans la commune de la Gombe, le 15 janvier 1998, au n°260, 2ème rue, quartier industriel de la commune de Limeté, depuis le 20 juillet 2000, le siège de l'entreprise est au n°4,16 ème rue, quartier industriel dans la commune de Limeté.

 

 

 

 

1.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE

 

Le siège social de Pacific Trading s.p.r.l  est situé au n°4, 16 ème rue quartier industriel, commune de Limeté dans la Ville de Kinshasa. Elle est à coté de  l'entreprise PARC AFRIQUE et parallèle à l'entreprise TRANSMARC. En dehors de l'agence de Kinshasa, qui évolue à coté de la Direction Générale, deux agences autonomes fonctionnent dans la Province du Bas- Congo. Il s'agit de l'agence de Matadi, située au n°28 de l'avenue Major Vangu, au quartier Ville Basse dans la commune de Matadi, et celle de Boma située sur l'avenue Monseigneur Ndudi n°7 /A dans la commune de Nzadi.

 

I.1.3.FORME JURIDIQUE

 

La société Pacific Trading s.p.r.l est une société privée à responsabilité limitée (S.P.R.L) que l'on peut identifier par la raison sociale : Pacific Trading : le numéro d'identification nationale, n°320047 ; le numéro d'impôt A0700205G ; le numéro téléphonique : +243851808850 ; la boite Postale 9398kin I ; l'adresse E-mail : Pacific PacificTradingSprl.com ; le site Web : WWW.Pacific TradingSprl.com.

 

I.1.4 .MISSION

 

La société a comme mission principale le commissionnement en douane. Elle accomplit aussi les prestations suivantes telles que définies dans ses statuts. Il s'agit principalement de la commission en douane, le transit à la représentation maritime, le fret aérien, le transport terrestre  à l'import et export, à la commercialisation et à la promotion  telles  que la distribution des marchandises des clients et des matières de toute nature.

 

I.1.5. FONCTIONNEMENT

 

Comme toute autre entreprise privée, Pacific Trading a une structure composée de deux organes  statutaires, à savoir, l'Assemblée Générale et la Gérance (Direction Générale). L'Assemblée Générale est l'organe suprême de la société. Elle détermine  la politique, et les orientations générales de l'entreprise et contrôle son organisation. Elle est composée de deux associées et la gérance. Les statuts déterminent le mode de fonctionnement de l'Assemblée Générale. Celle -ci se tient une fois par an, dans le mois de la clôture de l'exercice comptable. Elle examine le rapport annuel de la gestion par la Direction Générale et décide des nouvelles orientations. Il sied de noter que l'Assemblée Générale extra ordinaire peut-être convoquée à chaque fois que le besoin se fait sentir pour statuer sur des problèmes ayants trait au fonctionnement de l'entreprise. La gérance n'est rien d'autre que la Direction Générale qui a sa tête des Directeurs des Départements : import, export, shipping, finances, ressources humaines et transport. Tous ces Départements sont en liaison directe avec les Agences.

 

I.2. PRESENTATION DE L'AGENCE DE MATADI

 

Dans cette partie, il sera question de porter de l'Agence de Matadi qui constitue le socle de notre étude. Toutefois, nous ne manquerons pas de dire un mot à propos de la Direction Générale.

 

I.2.1 .SITUATION GEOGRAPHIQUE

 

L'agence de Matadi est sur la route reliant le terminus Ami Congo et la Gare de Matadi plus précisément sur l'avenue Major Vangu au numéro 28, dans la commune de Matadi, elle est côte à côte avec le « night club ».

 

I.3.STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET FONCTIONNELLE

I.3.1.Organigramme de l'agence de Matadi                                               

                                                 

 

 

 

 

 

Source : Secrétariat

Figure n°1

 

I.3.2 .FONCTIONNEMENT

 

Comme dit précédemment, Pacific Trading a pour mission principale la commission en douane, le transit et la représentation  maritime. Cette mission est en grande partie remplie par l'Agence de Matadi qui est proche du port international de Matadi.

Cette Agence compte sept(7) services qui sont :

· L'administration ;

· La comptabilité ;

· L'import ;

· L'export ;

· Le transit ;

· Le shipping ;

· L'expédition.

Tous ces services collaborent au bon fonctionnement de ces différents services, il est impérieux de signaler que tous les dossiers sont ouverts à Kinshasa à la Direction Générale, qui entre en contact avec les clients et négocie les marchés. Dès que ceux- ci sont conclus, les clients fournissent à la Direction Générale tous les documents relatifs au dédouanement, à l'importation, l'exportation  et la représentation maritime. 

 

1. SERVICE ADMINISTRATIF 

 

Il assure la Gestion Administrative et de Ressources Humaines de l'Agence. En dehors de cette tâche, ce service s'occupe également de la réception de tous les documents en provenance de la Direction Générale ou des tiers, le scannage des documents ainsi que la gestion du charroi automobile.

 

2. SERVICE TRANSIT

 

Ce service est en étroite relation avec les armateurs et SCTP, il veille au bief maritime, c'est-à-dire qu'il est toujours en contact avec les armateurs lors de l'accostage des navires afin de retracer tous les envois destinés à l'Agence, le retrait de laissez suivre après présentation du BL original. Le laissez suivre permet à SCTP de taxer les frais de transit avant la libération de la marchandise.

 

3. SERVICE SHIPPING

 

Outre la mission du transitaire, l'agence a une autre mission qui est la représentation maritime. Cette mission est remplie par le service shipping qui traite directement avec les organismes intervenants à l'accostage des navires.

 

4. SERVICE D'EXPEDITION

 

Le service d'expédition intervient après que les droits et taxes soient payés. Il s'occupe du chargement des marchandises dans le camion après planning établi par SCTP à travers le document appelé bon d'enlèvement permettant l'édition d'un autre document appelé bon de sortie pour la livraison des marchandises auprès des clients potentiels.

 

5. SERVICE IMPORT

 

Le service import traite toutes les marchandises destinées à l'importation. Dès qu'il est en possession des documents transmis par la Direction Générale, il procède au calcul des droits  et taxes du trésor public. Ces droits et taxes sont calculés conformément à la législation douanière en vigueur dans notre pays.

6. SERVICE EXPORT

 

Le service export est chargé du dédouanement de toutes les marchandises destinées à l'exportation. Il fonctionne presque de la même manière que le service de douane, mais  à la seule différence qu'il ya d'autres intervenants  qui n'y concourent pas entre autre la DGRAD et la quarantaine.

 

7. SERVICE DE COMPTABILITE

Le service de comptabilité intervient dans tout ce qui est paiement au sein de l'agence. Tous ces services cités précédemment soumettent leur paiement à la comptabilité pour un éventuel paiement.

 

I.3. PRESENTATION DE SERVICE DE COMPTABILITE

I.3.1 .ORGANIGRAMME

 

 

 

 

 

Source : Secrétariat

Figure : n°2

 

I.3.2 .STRUCTURE ORGANISATIONNELLE

I.3.2.1 .CHEF COMPTABLE

· il coordonne toutes les activités de ce service ;

· il est chargé de l'imputation, de l'enregistrement et de l'élaboration de la synthèse.

 

I.3.2.2. COMPTABLE

· il est chargé de suivi journalier de toutes les opérations bancaires ayant trait au dédouanement des marchandises ;

· il est chargé des opérations diverses.

 

I.3.2.3 .CAISSIER

· il est chargé de la tenue de la caisse douanière ainsi que l'élaboration des journaux auxiliaires (encaissement et décaissement) ;

· il est chargé de tous les frais liés aux circuits de dédouanement des marchandises ;

·   il est chargé de tous les frais connexes à l'exploitation.

 

 

 

 

 

I.4. DESCRIPTION DES POSTES DE TRAVAIL

 

Code Poste

Responsable

Fonction

Local

Tâches

01

ILUNGA TSHAMALA

Chef comptable

B13017

Etablissement des chèques

02

JEAN MIANTEZILA

Comptable

B14017

Chargé de suivi journalier

03

ILONGA et CHARLES

Caissiers

B15019

Chargé de tous les frais liés aux circuits de dédouanement des marchandises

Source : Bureau de la Comptabilité.

Tableau N° :1

 

Avant de concevoir un nouveau système d'information, il est indispensable de bien connaître le domaine concerné. Bien que cette connaissance puisse déjà être compilée dans leurs documentations, il est indispensable de recueillir ou réactualiser ces informations en interrogeant les gestionnaires et les utilisateurs et de procéder à une analyse critique. 15

 

II.1. ETUDE DES DOCUMENTS

 

Etude de document ne permet pas toujours à  l'analyste d'élucider toutes les questions. Pour compléter sa documentation il doit interroger responsables et exécutants. 16

 

 

2. INVENTAIRE DES DOCUMENTS

CODE DOC

DESIGNATION

ROLE

EMETTEUR

DESTINATION

FREQUENCE

NBRE

Support

01

ATV

attestation de vérification

Pour contrôler la marchandise avant son embarquement

- Bivac

-Secrétariat

-Comptabilité

-Import

-périodique

1

Papier

02

LIC

Licence

Permis d'importance

- Client

-Secrétariat

-Import

-périodique

1

Papier

03

BL

Bill of laoding

Reprend la consignation du client transporté  par le navire, le document qui autorise la livraison de la marchandise au destinataire suivant les fermes entre transporteur et le client

-Client

-Secrétariat

Journalier

2

Papier

04

RJ

Rapport journalier

Document qui permet de faire l'inventaire de somme

-Comptabilité

-chef agence Matadi

-chef agence kin

Périodique

2

Papier&Eo

05

RM

Rapport mensuel

Document qui permet de faire l'inventaire de la période

-Comptabilité

-chef agence Matadi

-chef agence kin

périodique

2

Papier&Eo

06

CCE

Cahier des courriers entrant

Document tenu par le secrétariat ou sont consignés toutes les informations concernant les documents des clients

-Secrétariat

-secrétariat

journalier

1

Registre

07

CCS

Cahier des courriers sortant

Document tenu par le secrétariat ou sont consignés toutes les informations concernant les documents des entreprises

-Secrétariat

-secrétariat

journalier

1

Registre

08

CH

Chèque

Retrait au profit du titulaire de compte ou au profit d'un tiers et le virement des fonds portés à son crédit

-Comptabilité

-Banque

Journalier

1

Papier

Source : nous même à partir des informations recueillies.

Tableau n° :2 

II.3 .DESCRIPTION DES DOCUMENTS

1 .ATTESTATION DE VERIFICATION

Code rubrique

Désignation

Type

longueur

NUMAV

NUMART

PT

QT

DESP

DP

OG

PUF

PV

NIM

ADRIM

VIM

LIC

DT

NFF

CL

PE

PD

NC

N°PL

PB

CAP

Numéro d'attestation de vérification ;

Numéro d'article ;

Position tarifaire

Quantité unité

Description produits

Date de péremption

Origine

Prix unitaire fob

Pays vendeur

Nom importateur

Adresse importateur

Ville importateur

Licence

Date facture

Numéro facture finale

Condition de livraison

Port embarquement

Port destination

Numéro conteneur

Numéro plomb

Poids brut

Capacité conteneur

An

An

An

An

An

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

10

5

10

10

10

10

10

5

10

20

20

20

10

10

5

10

10

10

5

10

10

10

Total

230

Tableau n° :3

 

2. RAPPORT LCP

Code rubrique

Désignation

Type

longueur

NUMD

NUMCL

NOMCL

MONTP

NUMSQ

MONDP

MODP

MONTR

DATLM

Numéro d'ordre

Numéro client

Nom client

Montant préfinancé

Numéro séquence

Montant déposé

Modalité de paiement

Montant rembourser

Date limite d'échéance

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

10

16

20

15

10

15

20

10

18

TOTAL

124

Tableau N° :4

 

3. BILL OF LOADING

Code rubrique

Désignation

Type

longueur

Nub

NAD

NUCON

PD

PDD

DESIGN

PFR

PBRUT

DPF

TELT

Number Bill of loading

Notify address

Numéro conteneur

Port de chargement

Port de déchargement

Désignation

Port fret payable

Poids brut

Date de paiement de fret

Téléphone transporteur

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

10

15

10

10

10

10

10

10

15

17

TOTAL

117

Tableau N° :5

 

4. LICENCE

Code rubrique

Désignation

Type

longueur

CTD

CB

NV

CSTD

NRC

NIE

NQB

PD

NAE

NG

QT

NTD

PDE

PV

NAFE

MT

PFUM

MFTA

FRET

AS

AF

NABP

Code type déclaration

Code banque

Numéro de validation

Code sous type déclaration

Numéro de registre de commerce

Numéro import -export

Numéro et quantité du bien

Poids net, brut,

Nom agent qui établit

Nom d'agence

Quantité d'articles

Numéro tarif  douanière

Poste douanier d'entre

Pays provenance

Nom et adresse du fournisseur étranger

Monnaie de transaction

Prix fob unitaire moyen

Montant fob total a payer

Fret

Assurance

Autre frais

Nom et adresse du bénéficiaire de paiement

AN

AN 
AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

10

10

5

10

10

5

10

10

10

10

20

10

10

10

10

10

10

10

10

10

10

10

TOTAL

201

Source : Nous même à partir des informations recueillies.

Tableau N° :6

 

II.3. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS

II.3 .1LES MOYENS HUMAINS

Le service de comptabilité comprend quatre (4) agents représentés dans un tableau ci -dessous :

 

Comptabilité

Nombres des personnes

Niveau d'étude

Ancienneté

Etat civil

Chef comptable

01

Licencié

13 ANS

marié

Comptable

01

Diplômé  d'Etat

7ANS

Marié

Caissiers

02

Diplômé  d'Etat

5 ANS

Marié

Source : Comptabilité

Tableau N° :7

 

 

 

 

II.3.2.LES MOYENS MATERIELS

 

Toute entreprise qui cherche à concrétiser ses objectifs ne possède pas seulement des moyens humains mais aussi des moyens matériels, Pacific Trading s.p.r.l précisément dans le service de la comptabilité possède les moyens matériels suivants :

 

 

 

 

 

 

 

 

II.3.3. LES MOYENS FINANCIERS

 

La vision et les objectifs assignés par cette l'entreprise sont les commissionnaires en douane. En ce qui concerne le préfinancement, l'entreprise dispose d'une somme importante au niveau des banques. Lorsque les besoins se font sentir, l'agence a la possibilité de préfinancer de milliers  de ses clients.

 

II.3.4. LE MODELE CONCEPTUEL DE LA COMMUNICATION(MCC)

 

Le modèle conceptuel de la communication reflète la réalité, nous présentons quelque chose qui  existe dont il y a les interactions entre  les acteurs.

L'établissement des frontières du domaine étudié et du champ d'étude amené à différencier les acteurs internes des acteurs externes :

Un acteur interne appartient au domaine  d'étude, il participe activement : transformation, décision ;

Un acteur externe appartient généralement à l'environnement, ou bien  ne participe au référentiel de l'étude que de manière limitée : apport ou extraction d'information.

 

II.3.5. LE DIAGRAMME DE FLUX

 

Ces diagrammes permettent de représenter les flux entre acteurs.  Ils peuvent avoir deux niveaux détails.

II. 3. 5. 1. DIAGRAMME OU GRAPHE DE FLUX

 

Ce diagramme permet de représenter les flux (échanges) des documents entre acteurs. On y fait apparaitre l'ensemble des acteurs externes. Les sommets du graphe représentant les acteurs  et les arcs orientés entre ces sommets matérialisent les différents échanges d'informations, entre les acteurs. 17 Ça permet aussi de compléter le diagramme de contexte en décomposant l'organisation en une série d'acteurs internes 18.

 

1.  PRESENTATION DE GRAPHE DE FLUX

  

 

 

11

 

 

Source : à partir de L'étude de l'existant

Figure n° :1

Légende :

1. Présenter les documents au secrétariat (BL, ATEV et LIC) ;

2. Enregistrement ;

3. Transmission et vérification ;

4. Réception et vérification ;

5. Analyse et enregistrement ;

6. Approbation (BL, ATEV et LIC) ;

7. Transmission ;

8 .Analyse, enregistrement et classement (BL ; ATEV et  LIC) ;

9 .Etablissement et transmission de lettre de séquence ;

10. Approbation ;

11. Etablissement chèque ;

12. Réception et vérification, enregistrement et décaissement de fond ;

13. Etablissement et transmission de liste des clients préfinancés

14. Enregistrement.

 

 

 

 

 

 

 

 

II.3.5.2 LE DIAGRAMME DE CONTEXTE

 

Ce diagramme a pour but de représenter les flux d'informations entre l'organisation et les acteurs externes selon une représentation standard dans la quelle chaque objet porte un nom :

· L'organisation  est représentée par un rectangle qui est une boite noire ;

· les acteurs externes sont représentés par des ellipses ;

· les flux d'information sont représentés par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux d'information. 19

 

2. PRESENTATION DU DIAGRAMME DE CONTEXTE

 

 

 

.  

 

 

Source : Nous- même à partir des informations recueillies.

Figure n° :3

Légende : 

5. Présenter les documents au secrétariat (bl, atev et lic) ;

6. Enregistrement et vérification ;

7. Établissement de chèque ;

8. Réception, enregistrement et décaissement de fonds.

 

II .3. 6. LA MATRICE DE FLUX

 

C'est un tableau à deux dimensions. Ces acteurs figurent en ligne en tant qu'émetteur d'un flux, en colonne en tant que récepteur d'un flux échanges sont à l'intersection des lignes acteurs émetteurs et les colonnes acteurs récepteurs. La diagonale de la matrice est donc vide : un acteur n'émet pas de flux vers lui -même. Parfois cette diagonale est utilisée pour indiquer des documents internes modifiés mais ce n'est pas une règle, même si cet écart aide à identifier des traitements internes (la matrice n'est pas destinée à représenter les traitements). 20

 

 

 

 

3. PRESENTATION DE LA MATRICE DE FLUX

 

Acteurs externes

Acteurs externes

Client

Banque

Secret

Expédie

Import

Comptabilité

Chef d'agence

Client

 

 

 

 

 

 

 

Banque

 

 

 

 

 

 

 

Secret

 

 

 

 

 

 

 

Expédie

 

 

 

 

 

 

 

Import

 

 

 

 

 

 

 

Comptabilité

 

 

 

 

 

 

 

Ch. Agence

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : à partir de graphe de flux

Tableau n° :8

Légende :

1. Présentation muni de deux exemplaires BL, ATEV et LIC ;

2. Transmission des documents ;

3. Transmission ; 

4. Transmission de LSQ ;

5. Transmission de LCP.

 

II .4. ETUDE DE FLUX D'INFORMATION

 

Le flux d'information est l'ensemble des informations véhiculées simultanément entre deux stations. 21

 

II .4.1. DISCOURS SUR LE DEROULEMENT DES ACTIVITES DES DOMAINES       ETUDIES

1. CLIENT, exprime le besoin et se présente au secrétariat muni des deux (2) exemplaires des BL, ATEV et LIC

SECRETARIAT

· Réception et vérification des BL, ATEV et LIC ;

· Enregistrement dans CCE ;

· Classement ;

· Transmission BL, ATEV et LIC à l'expédition.

2. EXPEDITION

· Réception et vérification de BL, ATEV et LIC ;

· Approbation ;

· Analyse de document et enregistrement ;

· Transmission BL, ATEV et LIC à l'import,

  3. IMPORT

· Réception et vérification BL, ATEV et LIC ;

· Analyse des documents ;

· Enregistrement ;

· Classement de BL, ATEV et LIC ;

· Etablissement de lettre de séquence ;

· Transmission de lettre de séquence à la comptabilité,

4. COMPTABILITE

· Réception et vérification de lettre de séquence ;

Approbation ;

· Enregistrement ;

· Sortie de fond  à la banque moyennant un cheque,

5. BANQUE 

· Réception et vérification de chèque ;

· Etablissement de note  de retrait à deux exemplaires une copie est  classée et l'autre est  transmise à la comptabilité.

COMPTABILITE

· Réception et vérification de note ;

· Enregistrement ;

· Classement ;

· Etablissement des LCP à trois exemplaires une copie transmise au chef d'agence et les 2 autres sont classés,

CHEF D'AGENCE

· Réception et vérification de LCP ;

· Enregistrement ;

· Classement.

 

II .4 .3. SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS

 

Le schéma  de circulation est la représentation synthétique de cheminement des fichiers (documents) et de la chronologie des tâches pour un traitement donné à une périodicité déterminée. 22 Il permet d'avoir une idée sur les documents utilisés dans un système déterminé, ainsi que leur provenance et leur destination. 

100 CLIENTS

200  SECRETARIAT

300 EXPEDITION

400 IMPORT

           - Le client exprime le besoin  et se présente au secret muni deux (2) exemplaires BL, ATEV et LIC

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

             -Réception et vérification BL,   LIC   et ATEV ;

-Enregistrement dans CCE ;

-classement ;

-transmission BL, ATEV, et LIC à l'expédition.

 

 

 

 

 

              - Réception et vérification BL, ATEV et LIC ;

-Approbation ;

-Analyse de document et enregistrement ;

-transmission BL, ATEV et LIC à import.

 

 

 

 

              - Réception et vérification BL, ATEV, et LIC ;

-enregistrement ;

-Analyse des enregistrements ;

- classement Des BL, ATEV et LIC ;

-établissement de LSQ

-transmission de LSQ à la comptabilité

 

500 COMPTABILITE

600 BANQUE

700 CHEF D'AGENCE

 

 

 

                  - Réception et vérification de LSQ ;

                  Approbation ;

                  Enregistrement ;

                 Sortie de fond à la banque moyennant un cheque ;

                 Classement.

 

 

 

 

502      

           - Réception et vérification d e note de retrait ;        

          - Enregistrement ;

         -Classement ;

-Etablissement de LCP à trois exemplaires une copie pour le classement l'autre copie au chef d'agence.

 

 

 

              - Réception et vérification de cheque ;

               -Classement de cheque ;

-Etablissement de note de retrait a deux exemplaires 1 pour le classement et l'autre

-transmis à la comptabilité

                  - Réception et vérification des LCP

     -Enregistrement

      -Classement

 

 

 

II.4.5.COMMENTAIRES DU SCHEMA DE CIRCULATION DES  INFORMATIONS

Code poste

Code tâche

Code opération

Commentaires (explication)

1

100

101

101.01

Client exprime le besoin et se présente au secret muni deux (2)  exemplaires BL, ATEV et LIC

2

200

201

201.01

Réception et vérification de BL, ATEV et LIC

201.02

enregistrement

201.03

Classement

201.04

Transmission BL, ATEV et LIC à l'expédition

 

 

3

 

 

300

 

 

301

301.01

Réception et vérification BL, ATEV et LIC

301.02

Approbation

301.03

Analyse de document et

Enregistrement

301.04

Transmission BL, ATEV et LIC à l'import

4

400

401

401.01

Réception et vérification BL, ATEV et LIC

401.02

Enregistrement

401.03

Analyse des enregistrements

401.04

Classement  des BL, ATEV et LIC

401.05

Etablissement de lettre de séquence

401.06

Transmission de LSQ à la comptabilité

5

500

501

501.01

Réception et vérification  de LSQ

501.02

Approbation

501.03

Enregistrement

501.04

Classement de LSQ

501.05

Sortie de fond à la banque moyennant un CH

502

502.01

Réception et vérification de note de retrait

502.02

Enregistrement

502.03

Classement

502.04

Etablissement de LCP à trois exemplaires

6

600

601

601.01

Réception et vérification de cheque

601.02

Etablissement de note retrait à deux exemplaires

601.03

Transmission à la comptabilité

7

700

701

701.01

Réception et vérification des LCP

701.02

Enregistrement

701.03

Classement

 

II .5 .CRITIQUE DE L'EXISTANT

 

Elle constitue le point de départ,  permet une sensibilisation du groupe aux principaux problèmes, d'une part, et d'autres parts parce qu'elle fournit les éléments chiffrés indispensables. 23 C'est aussi un jugement de valeur porté sur le système d'information actuel en vue de ressortir ses effets positifs et négatifs.

 

II.5.1 .CRITIQUE SUR LES MOYENS HUMAINS

Le service de la comptabilité ne dispose que quatre (4) agents. A l'issus de nos investigations, nous avons constaté le dysfonctionnement ci - après :

· Cumul de poste ;

· Pas d'organisation des formations de mise en niveau ;

· Nom des cadres universitaires.

 

II.5.2. CRITIQUE SUR DES MOYENS MATERIELS

 

Toute l'entreprise qui cherche à promouvoir ses objectifs ne dispose pas seulement des moyens humains, mais aussi les moyens matériels en vue de réussir à leurs objectifs.

Malheureusement Pacific Trading s.p.r.l ne dispose pas des matériels adéquats pouvant contribuer au suivi de paiement de préfinancement et à la concrétisation des résultats assignés par les responsables de cette organisation.

 

II.5.3. CRITIQUE SUR LES MOYENS FINANCIERS

 

Malgré leur somme importante, Pacific Trading s.p.r.l, n'arrive pas à octroie a ses agents une prime d'encouragement conséquente liée à l'exploitation.

 

II. 6. PROPOSITION  DES  SOLUTIONS

 

Au regard de ce qui précède, il s'agit de proposer des idées claires et nettes liées aux dysfonctionnements, les méthodes, les techniques et les objectifs assignés par l'entreprise. Pour notre  cas, nous proposons :

· Solution manuelle ;

· Solution informatique.

 

II.6.1 .SOLUTION MANUELLE

 

Pour une gestion saine, transparente et efficace en vue d'atteindre les objectifs fixés par cette organisation, les responsables de cette entreprise doivent au préalable bien rémunérer et organiser régulièrement des séminaires de recyclage à ses agents.

 

II.6.1.1. AVANTAGES

 

Les agents seront motivés à remplir davantage leurs tâches respectives ;

L'acquisition des nouveaux matériels contribueront à atteindre positivement des objectifs assignés par l'entreprise.

 

II.6.1.2. INCONVENIENTS

 

Les informations ne sont pas bien sécurisées ;

Résultats non fiables ;

Perte de temps pour la recherche des documents ;

Délai de réponse très allongé pendant le processus.

 

 

II.6.2 .SOLUTION INFORMATIQUE  

 

Pour faire face aux problèmes liés à une bonne gestion, nous souscrivons à l'automatisation modernisée de l'application (traitement informatique). Celle-ci consiste à acheter des micros ordinateurs et à apporter au  centre un service informatique moderne permettant d'organiser les données  et de les  traités, en vue d'écarter toute erreurs et la lourdeur due à la procédure manuelle de traitement. Cette solution informatique remédie aussi au manque d'efficacité et d'efficience qu'on connaît du système ancien. Elle consiste à prévoir des ordinateurs pour la rapidité de leur gestion. Cette solution informatique envisageable présente aussi des avantages et des désavantages. 24

 

II.6.2.1.AVANTAGES

 

· Manipulation facile et souplesse des données à temps voulu ;

· Adaptation aux technologies nouvelles pouvant dialoguer avec les autres systèmes ;

· Partage des tâches et reste en contact par les réseaux ;

· Sauvegarde quotidienne des données à temps précis et à  une période donnée.

 

II.6.2.2. DESAVANTAGE

 

· Très couteuse (par l'acquisition des matériels) ;

· Stationnement des travaux lors de la coupure du courant ;

· La fonction du personnel est trop exigée.

 

II.6.3 .CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION

 

Pour aboutir à un meilleur traitement des informations et à une bonne prise de décision, nous proposons (qu'un système d'information informatisé soit mis en place pour que l'ordinateur, par l'exploitation d'une base de données à l'aide de l'outil de base de  traitement automatique de l'information puisse prendre en charge l'édition de tous les documents utiles que l'entreprise pourra utiliser et  permettre aux utilisateurs de décider en temps reccord.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

GENERALITE : nous signalons que cette partie est la seconde étape de l'information qui consiste à concevoir une application de solution à partir des informations recueillies  au  niveau  d'étude  préalable.

Ainsi la seconde partie est le développement du point de vue informatique de la retenue lors de l'analyse  préalable. Sur ce, nous pouvons dire que cette  partie vise à prendre en charge toutes les capacités et potentialités du système en fonction des besoins de l'utilisateur dans le but d'améliorer leur gestion.

 

 

 

Dans le système d'information organisationnel, il faut réfléchir sur l'ensemble de l'organisation que l'on doit mettre en place, sans tenir compte de l'aspect de la machine c'est-à-dire sans prendre en compte les aspects techniques liés à l'information. 25

 

 

Cette étape exprime les choix fondamentaux de gestion recherche des éléments stables indépendamment des moyens à  mettre en oeuvre, de leurs contraintes et de leur organisation.

En fonction du principe de séparation des données et des traitements prônés par la méthode merise, ce niveau de description comporte deux modèles de séparation. 26

· Modèle conceptuel de données (MCD) ;

· Modèle conceptuel de traitements(MCT).

 

I.1 .MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES

 

Le modèle conceptuel de données (MCD) est la représentation de l'ensemble des données du domaine, sans tenir compte des aspects techniques et économiques de mémorisation, d'accès et sans se référer aux conditions d'utilisation par tel ou tel traitement. 27

Dans cette phase il s'agit donc d'une représentation des données, facilement compréhensibles, permettant de décrire les systèmes d'information à l'aide d'entités.

 

I.1.1. CONCEPTS DE BASE DE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES

 

OBJET : c'est un ensemble de propriétés représentant un intérêt pour le système d'information. 28

PROPRIETE : c'est la plus petite unité d'information manipulée par un système  d'information, c'est aussi un élément   qui  décrit l'objet  ou la relation. 29

RELATION : Une relation ou association est définie comme étant un type de lien entre deux ou plusieurs entités dans un système d'information considérée. 30

OCCURRENCE : c'est la relation d'une relation type pour une valeur de son identifiant.

CARDINALITE D'UNE RELATION : La cardinalité nous permet de caractériser les liens existants entre une unité et une relation à la quelle elle est reliée. La cardinalité d'une relation est  composée d'un couple comportant une borne maximale et une borne minimale intervalle dans la quelle la cardinalité peut prendre sa valeur. 31

 

I.1.2. FORMALISME DU MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES

 

Le formalisme utilisé dans Merise est désigné par le forme « entité relation » En dehors du contexte de la méthode, il a été reconnu internationalement par Li iso (iso-tc95sc5WG3 1982) ; et fait l'objet de nombreux développements .Le formalisme de données utilise un formalisme précis simple et rigoureux pour la description de données.

 

  

 

 

 

 

 

I.1.3. RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES OBJETS

I.1.3.1. RECENSEMENT DES OBJETS

 

Pour notre cas nous avons recensé les objets suivants :

· AGENT ;

· CLIENT ;

· PRET ;

· DOCUMENT ;

· PAIEMENT ;

· BANQUE ;

· CHEQUE.

 

I.1.3.2. DESCRIPTION DES OBJETS

 

Objets

Propriété

code propriété

type

taille

identifia nt

Taille totale objet

1

AGENT

MATRICULE AGENT

MATRAG

AN

5

#

118

NOM AGENT

NOMAG

AN

20

 

POST NOM AGENT

PSTAG

AN

25

 

ETAT CIVIL AGENT

ETCAG

AN

12

 

SEXE AGENT

SEXAG

AN

1

 

ADRESSE AGENT

ADRAG

AN

25

 

FONCTION AGENT

FONCAG

AN

15

 

SERVICE AGENT

SERVAG

AN

10

 

2

CLIENT

NUMERO CLIENT

NUMCL

AN

10

#

123

NOM CLIENT

NOMCL

AN

20

 

POST NOM CLIENT

PSTCL

AN

25

 

ADRESSE CLIENT

ADRCL

AN

25

 

SEXE CLIENT

SEX CL

AN

1

 

NATIONALITE CLIENT

NATCL

AN

30

 

ETAT CIVIL CLIENT

ETCCL

AN

12

 

3

PRET

CODE PRET

CODEP

AN

5

#

25

DESIGNATION

DESIG P

AN

20

 

4

DOCUMENT

CODE DOCUMENT

CODEDOC

AN

10

#

30

LIBELLE DOCUMENT

LIB DOC

AN

20

 

5

BANQUE

CODE BANQUE

CODBQ

AN

5

#

85

LIBELLE BANQUE

LIB BQ

AN

25

 

LIEU BANQUE

LIEUBQ

AN

15

 

NOM GESTIONNAIRE BANQUE

NOGESBQ

AN

20

 

NUMERO COMPTE

NUMCOT

AN

10

 

 

6

 

CHEQUE

NUMERO CHEQUE

NUMCH

AN

10

#

DESIGNATION

MOTF

AN

20

 

 

MONTANT EN CHIFFRE DEVISE

MONTC

AN

20

 

MONTANT EN LETTRE

MONTL

AN

20

 

DATE ETABLIE

DATEE

D

10

 

7

PAIEMENT

CODEPAIEMENT

CODPAIE

AN

5

#

70

LIBELLE PAIEMENT

LIB PAIE

AN

20

 

MONTANT PAIEMENT

MONT APIE

AN

15

 

TYPE PAIEMENT

TYP PAIE

AN

20

 

DATE PAIEMENT

DAT PAIE

AN

10

 

 

Source : nous même à partir des objets recensés.

Tableau : n°9

 

I.1.4 RECENSEMENT ET DESCRIPTION DES RELATIONS

I.1.4.1 RECENSEMENT DES RELATIONS

 

Pour ce qui concerne notre cas nous  avons recensé des relations suivantes :

 

· SE PRESENTER ;

· ENREGISTRER ;

· EFFECTUER ;

· REMBOURSER ;

· BENEFICIER ;

· PRESENTER ;

· REMPLIR.

 

I.1.4.2. DESCRIPTION DES RELATIONS

NOMS DE RELATION

DIMENSION

OBJET1

OBJET2

1

Présenter

2

CLIENT

DOCUMENT

2

Enregistrer

2

DOCUMENT

AGENT

3

Se présenter

2

AGENT

BANQUE

4

Remplir

2

AGENT

CHEQUE

5

Effectuer

2

BANQUE

PAIEMENT

6

Bénéficier

2

CLIENT

PRET

7

Rembourser

2

CLIENT

PRET

Source : nous même à partir du modèle conceptuel de données.

Tableau : n°10

 

I.1.4.3. REGLES DE GESTION

 

Une règle de gestion est la traduction conceptuelle des objectifs choisis et des contraintes acceptées par l'entreprise, elle est plus particulièrement liée au traitement (REGLE D'ACTION) et aux données. 32

 

I.1.3.1 .Règles d'action

 

1 - un client présente un ou plusieurs documents ;

     Un document peut être présenté par un ou plusieurs clients.

2 - un agent enregistré un ou plusieurs documents ;

      Un document est enregistré  par un ou plusieurs agents.

3 - un agent  rempli un ou plusieurs chèques ;

     Un chèque  est rempli par un et un seul agent.

4 - un agent se présente dans une ou plusieurs banques ;

      Dans une banque, un ou plusieurs agents peuvent se présenter.

5 - Dans une banque on effectue un ou plusieurs paiements ;

      Un paiement est effectué  dans une et une seule banque.

6 -  un client bénéficie d'un ou plusieurs prêts ;

     Un prêt peut être bénéficié par un ou plusieurs clients

7 - un client rembourse un ou plusieurs prêts ;

    Un prêt peut être remboursé par un ou plusieurs clients.

 

I.1.4.4 REGLES DE CALCUL

 

SOLDE=MONTB-MONTRE

TOT CLI=TOT CLI+1

MONTPRET=MONTPRET+MONTBEN

MONTRE= (MONTB+TAUX) /100

 

I.1.5. DETERMINATION DES CONTRAINTES DE CARDINALITE

RELATION

OBJET SOURCE

OBJET CIBLE

REGLE DE GESTION

LIBELLE

CARDINALITE

LIBELLE

CARDINALITE

 

MIN

MAX

 

1

N

Présenter

CLIENT

1

N

DOCUMENT

1

N

RG1

Enregistrer

AGENT

1

N

DOCUMENT

1

N

RG2

Remplir

AGENT

1

N

CHEQUE

1

1

RG3

Se présenter

BANQUE

1

N

BANQUE

1

N

RG4

Effectuer

BANQUE

1

N

PAIEMENT

1

1

RG5

Bénéficier

CLIENT

1

N

PRET

1

N

RG6

Rembourser

CLIENT

1

N

PRET

1

N

RG7

Source : nous- même à partir des règles de gestion.

Tableaux : n° 11

 

I.1.6. PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I.2 .LA MODELISATION CONCEPTUELLE DES TRAITEMENTS 33

 

Dans merise, la notion de traitement n'a rien de la compréhension classique que l'informatique propose, celle de la transformation des données en entrées, des résultats par un programme.

 

I.2.1.1 .FORMALISME DE LA MODELISATION CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS

 

La modélisation conceptuelle des traitements dans la  méthode merise s'exprime dans un formalisme spécifique élaboré pour permettre de présenter le fonctionnement des activités aux différents niveaux de préoccupations (conceptuel, organisationnel, logique, et physique). Elle conserve ainsi une unicité de structure qui évite la multiplication des formalismes. L'adaptation aux différents niveaux se fait alors grâce à la dénomination des concepts - types. Le formalisme propose une représentation graphique destinée à faciliter le dialogue entre concepteur et utilisateur.

 

 I.2.1.2.CONCEPTS DE BASE

 

Pour décrire le niveau conceptuel, le formalisme des traitements comporte les concepts suivants :

A. ACTEUR : est une unité active intervenant dans le fonctionnement du système opérant stimulé par le flux, il peut être interne ou externe.

 

B. EVENEMENT : c'est le compte rendu ou système d'information du fait que quelque chose s'était produit dans l'univers extérieur ou dans le système d'information lui -même.       

 

C. OPERATION : est la description du comportement du domaine et de son système d'information par rapport aux événements types.

        

 

 

 

D. SYNCHRONISATION : c'est un événement qui est utilisé pour marquer une liaison de deux ou plusieurs événements qui déclenchent une seule opération. 34 Ce symbole de synchronisation est toujours placé ou dessus du symbole de l'opération.

 

 

 

 

 

I.2.1.3.  PRESENTATION DU MODELE CONCEPTUEL DES TRAITEMENTS.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Cette étape exprime le choix d'organisation des ressources humaines et matérielles au travers notamment de la définition des sites et des postes de travail.

En fonction du principe de séparation des données et des traitements prônés par la méthode merise, cette étape de description comporte deux modèles :

Modèle organisationnel de données(MOD) ;

Modèle organisationnel de traitements(MOT). 35

 

II.1.MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES DONNEES

 

Le modèle organisationnel de données (MOD) est la représentation de l'organisation des circuits des postes de travail et de la séparation des traitements entre l'homme et la machine par rapport au travail. Il est élaboré à partir du modèle conceptuel de données. 36 

 

II.1.1. PASSAGE DU MCD AU MOD

La modélisation organisationnelle des données va permettre de prendre en compte des éléments relevant de l'utilisation des ressources de mémorisations. Le passage du MCD au MOD se fait en appliquant les règles suivantes :

9. Supprimer tous les objets et toutes les relations avec leurs propriétés qui ne peuvent pas être mémorisés dans le modèle organisationnel de données(MCD) ;

10. En cas de nécessité, créer des objets ou les relations qu'on à supprimé.

Pour notre cas, tous les objets et toutes les relations seront mémorisées. Ainsi notre modèle conceptuel de données (MCD) est égal au modèle organisationnel de données (MOD) c'est-à-dire MCD=MOD.

 

 

 

II.1.1. PRESENTATION DU MODELE ORGANISATIONNEL DE DONNEES(MOD)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II .1.3.QUANTIFICATION DU MODELE ORGANISATIONNEL DES DONNEES

 

A ce niveau pour calculer le quantificateur de la multiplicité, nous devons déterminer les valeurs de chaque objet et relation en passant par la longueur des objets et des relations. Pour Trouver en fin le volume global du MOD.

A ce même niveau la définition  de la cardinalité moyenne en particulier pour calculer le nombre d'occurrence des relations.

LA cardinalité moyenne en abrégé (CM est obtenue par la formule suivante :

 

Mi = cardinalité minimale (0 exclue)

Mo = valeur modale

Max = cardinalité maximale

P = taux de participation, obtenue par la formule suivante P = EP /ET

EP = effectif présent

ET = effectif total

Volume d'objet = N*T

Pour le nombre d'occurrence, sa formule est N' = N*Cm

Car où

N' = nombre d'occurrence pour une relation  

Ns = nombre d'occurrence de objet source

Cmc = nombre d'occurrence de l'objet cible

T = taille de l'objet ou de la relation.  

 

 

                                               

 

 

 

 

 

 

 

                

 

 

 

 

 

 

 

 

                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                                       

OBJETS

PROPRIETE

CODE PROPRIETE

TYPE

TAILLE

IDENTIFIANT

TAILLETOTAL OBJETS

 

 

 

1

 

 

 

AGENT

Matricule

MATRAG

AN

10

#

123

Nom agent

NOMAG

AN

20

 

Post nom agent

POSTAG

AN

25

 

Sexe agent

SEXAG

AN

1

 

Adresse agent

ADRAG

AN

25

 

Fonction agent

FONCAG

AN

15

 

Service agent

SERVIAG

AN

10

 

 

2

CLIENT

Numéro  client

NUMCL

AN

10

#

111

Nom client

NOMCL

AN

20

 

Post nom client

POSTCL

AN

20

 

Adresse client

ADRCL

AN

25

 

Sexe client

SEXCL

AN

1

 

Nationalité        client

NATCL

AN

20

 

Téléphone client

TELCL

AN

15

 

E-mail client

E_MAILCL

AN

20

 

3

PRET

Code prêt

CODP

AN

5

#

25

Désignation prêt

DESGP

AN

25

 

4

DOCUMENT

Code document

CODDOC

AN

10

#

30

Libelle document

LIBDOC

AN

20

 

 

5

 

BANQUE

Code banque

CODBQ

AN

5

#

100

Libelle banque

LIBBQ

A N

25

 

Lieu banque

LIEUBQ

AN

30

 

Nom gestionnaire banque

NOGSBQ

AN

20

 

Numéro compte

NUMCOMPTE

AN

20

 

 

 

6

 

 

CHEQUE

Numéro cheque

NUMCH

AN

10

#

80

Désignation

DESIGN

AN

20

 

Date établie

DATET

D

10

 

Montant en chiffre devise

MONT C

AN

20

 

Montant  en lettre

MONT L

AN

20

 

7

PAIEMENT

Code paiement

CODPAIE

AN

5

#

50

Libelle paiement

LIBPAIE

AN

20

 

Montant paiement

MONTPAIE

AN

15

 

Date paiement

DATEPAIE

AN

10

 

 

 

II.1.3.2. DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES OBJETS          ET DES RELATIONS

 

Il est très important de déterminer le nombre maximum d'occurrences des objets et des relations que l'on voudra avoir dans la future base pour constituer la mémoire immédiate du système d'information.

 

A. DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES OBJETS

 

Pour le nombre maximum d'occurrences des objets on pourra l'estimer à partir de l'effectif du chargement initial et de la fréquence de création  de nouvelles occurrences. En prenant notre cas précédent, nous pouvons avoir la situation suivante.

OBJETS

NOMBRES OCCURRENCES

CLIENT

50

PRET

10

DOCUMENT

10

AGENT

70

CHEQUE

50

BANQUE

20

PAIEMENT

15

TOTAL

225

 

 

 

 

 

 

 

 

Tableau N° :12

 

B.DETERMINATION DU NOMBRE D'OCCURRENCES DES RELATIONS

 

Contrairement aux objets, le nombre maximum d'occurrences des relations est, quant à lui, un peu plus difficile à déterminer compte tenu de la nature même des relations des associations entre objets. Dans la plupart des cas, le dénombrement s'effectuera à partir du nombre d'occurrences d'un objet de sa collection et de la quantification de la cardinalité patte.

 

 

 

 

II.1.3.3. CALCUL DE VOLUME UTILE DU MODELE ORGANISATIONNEL    DES DONNEES

 

Ce chiffrage n'est toujours pas facile à  faire. En effet, si le concepteur n'a pas de problèmes majeurs pour la taille des propriétés, il peut voir plus de difficultés pour estimer la population des objets, des relations et la cardinalité moyenne des relations, n'ayant pas toute d'information nécessaire.

Il est alors à tirer parti, au maximum des estimations dont il dispose pour chiffrer son modèle.

La quantification du volume global du MOD s'effectue alors par la formule suivante :

Volume MOD= (? volume objets +?volume relations)*coefficient de sécurité

Avec : Volume objets = taille de l'objet (Tr)*nombre maximum d'occurrences de l'objet(Ne)

Volume relation = taille de la relation (Tr)*nombre maximum d'occurrences de la relation (Nr)

Coefficient de sécurité variant entre 1,5 et 2,5 selon les technologies.

 

A. DETERMINATION DU VOLUME DES OBJETS

 

En prenant notre cas antérieur, nous pouvons avoir la situation suivante :

Objets

Taille des objets

Nombre d'occurrences

Volume

CLIENT

111

50

5550

PRET

25

10

250

DOCUMENT

30

10

300

AGENT

118

70

8260

CHEQUE

80

50

4000

BANQUE

100

20

2000

PAIEMENT

50

15

750

?VOLUME OBJETS(1)

21110

Tableau : n°13

 

B. DETERMINATION DU VOLUME DES REALTIONS

 

En prenant notre cas antérieur, nous pouvons avoir la situation suivante :

 

 

 

 

C. DETERMINATION DU VOLUME GLOBAL DU MOD

 

Objets

Taille des relations

Nombre d'occurrences

Volume  des relations

BENEFICIER

45

227.5

10237.5

PRESENTER

35

212.5

7437.5

SE PRESENTER

15

507,5

7612.5

ENREGISTRER

15

227,5

3412.5

REMBOURSER

10

250

2500

                                    ?VOLUME relations(2)

34950

Tableau n°14

Les sommations des volumes des objets(1) et celle des volumes des relations (2) étant dégagées, nous pouvons maintenant calculer sans difficiles le volume utile du MOD global.

Volume global MOD = (?volume objets +?volume relation)*coefficient de sécurité.               = ((1) +(2)*coefficient de sécurité

= (21110+34950)*2.5=56060*2.5

=140150 octet.   

 

II.2. MODELISATION ORGANISATIONNELLE DES TRATEMENTS 

 

Modèle organisationnel de traitements nous permet de décrire les fonctionnements du système d'information défini du modèle conceptuel dans le cadre d'une organisation. Elle exprime le choix d'organisation des ressources humaines et matérielles au travers la définition de site de postes. 37

 

II.2.1. FORMALISME DU MODELE ORGANISATIONNEL DE TRAITEMENTS (MOT)

 

Malgré son importance en matière de conception des systèmes d'information organisationnelle, le MOT ne nécessité  pas un formalisme spécifique ; il reprend très largement les concepts du MLT parfois réadaptés et enrichis, auxquels sont ajoutés de nouveaux concepts dont celui du poste de travail.

A la différence du modèle logique de traitement dans un MOT, la présence d'un événement formalisant le déclenchement d'une tâche  n'est pas obligatoirement représenté sur le schéma : en particulier lorsque deux tâches s'enchainent pour le même poste, la fin de la première tâche déclenche immédiatement la seconde tâche.

Par contre, tout changement de poste ou de phase doit faire apparaître un message (ou un état) qui assure la transmission de l' activité. 38

 

II.2.2 .PASSAGE DU MLT AU MOT

 

Le MOT est issu du MCT dont il reprend sa représentation de base et sur tout de l'organisation choisie à la fin de l'étude préalable.

Le MOT, la description de traitement, intègre les notions de temps et de la durée, de lieu et de la nature de traitement répondre aux questions posées.

La tâche peut être manuelle (TM), soit une tâche informatique (TA ou TI), soit aussi une tâche réelle(TR).

II.2.2.1. Délai de réponse 

Le délai de réponse de la tâche, ce délai exprime la rapidité  de prise en compte d'une nouvelle occurrence d'événement à  condition que toutes les ressources nécessaires à l'exécution de la tâche soient disponibles.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

II.2.3 .RESENTATION DU MODELE ORGANISATION DES TRAITEMENT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

      Il est très important de savoir comment  nous devons élaborer notre application qui s'occupe de suivi de paiement  de préfinancement en tenant compte de la technologies informatique au niveau informatisé

Cette partie est sous la responsabilité des informaticiens et faits appels aux disciplines des génies logiciels, c'est ce qui fait la dichotomie avec le système d'information organisation. 39

 

 

 

Etape logique exprime les choix de moyens et ressources informatique, en faisant abstraction de leurs caractéristiques techniques précises. Il comporte un modèle logique de données (MCD) et un modèle logique de traitements (MCT). 40

I.1. ENVIRONNEMENT MATERIELS DE DEVELOPPEMENTS

I.1.1 .CHOIX DE MATERIELS

 

Cette étape est consacrée à déterminer les deux grandes parties que comprend l'informatique notamment HARDWARE et SOFTWARE.

 

I.1.1.1. ASPECT HARD WARE

 

· Micro Processeur : pentium M (3,1GHZ) ;

· Disque Dur (180giga octet) ;

· Mémoire Ram :(1 giga octet) ;

· Ecran en couleur ; type SVGA :(17') ;

· Clavier Type compatible et nombre de touches :(105) ;

· Imprimante :(jet encre, HP) ;

· Type de lecteur : (56X DVD) ;

· Souris Laser :(PS/2) ;

· Onduleur : 6KVA

· Stabilisateur : 2000MA

 

I.1.1.2. ASPECT SOFTWARE

 

· Système d'exploitation (Windows XP SWEET Pack3)

· Système de Gestion de base de données : Access 2007

· Les utilisateurs : Antivirus Avast 6 .0 2013

· Microsoft offices 2007.

 

I.2 .LA MODELISATION  LOGIQUE  DES  DONNEES

 

Le modèle logique de données est une représentation des données, issue de la modélisation conceptuelle puis organisationnelle des données. Elle est exprimée dans un formalisme général et compatible avec l'état de l'art technique et client compte des aspects couts, performances aux traitements.

 

I.2.1. PASSAGE DU MOD AU MLD BRUT

 

Pour passé du modèle organisationnel de données au modèle logique de données brut nous devons respecter les règles suivantes :

· Les objets deviennent des entités dans le sens mathématique du terme ; donc les lignes aux colonnes sous formes des tables ;

· Les propriétés des objets deviennent des attributs des tables ;

· Les identifiants des entités deviennent des clés primaires ;

· Les relations dans le sens conceptuel ou sémantique subissent  plusieurs traitements selon les cas notamment ;

*La relation du type père et fils disparaît, mais la sémantique sera maintenue comme la table fils dépend de la table père, elle va recevoir la clé de son père et cette dernière (clé) sera migrée dans la table fils comme clé étrangère ; 

*Pour la relation du type autre que père et fils, cette relation devient la table et  ses attributs seront la concaténation des clés de deux autres tables. Si la relation portait une propriété celle-ci demeura dans la table comme attribut.

I.2.2. Formalisme du MLD

Table : conserve le formalisme de l'objet ;

Table de lien : pointe les autres tables ;

Tous les arcs sont orientés.

 

 

 

I.2.3. PRESENTATION DU MODELE LOGIQUE DE DONNEES BRUT (MLDBRUT)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I.2.1.PASSAGE DU MLD BRUT AU MLD VALIDE

 

Pour passer du MLD brut au MLD validé nous devons respecter les règles de normalisation.

 

I.2.1.1.NORMALISATION

 

La normalisation consiste à supprimer les redondances qui peuvent encore se trouver dans MLD brut. Cela veut dire qu'au niveau de conceptuel, nous n'avons pas tenu compte des règles de vérification des objets pour que leurs propriétés ne soient pas répétitives. C'est ainsi que nous allons vérifier ces objets de manière que ceux-ci aient des propriétés non répétitives.

REGLES DE NORMALISATION 41

1. première forme normale ;

Une table est en première forme normale si tout attribut contient une valeur  atomique.

2. deuxième forme normale

Une est en deuxième forme normale si et seulement si :

· Elle est en première forme normale ;

· Tout attribut n'appartient pas à une clé, ne dépend que d'une partie de cette clé.

3. troisième forme normale

Une table est en troisième forme normale si te seulement si ;

· Elle est en deuxième forme normale.

· Tout attribut n'appartient pas à une clé, ne dépend que d'un attribut non clé.

 

 

 

 

I.2.4 .PRESENTAT ION DU MLD VALIDE 

I.2.5.SCHEMAS RELATIONNELS ASSOCIES AU MLD VALIDE

 

1. AGENT : {#matrag: texte[5], nomag: texte[20], pstag: texte[25], sexag: texte[1], #codfonc: texte[5], #codserv: texte[5], adrag: texte[25]} ;

2.CLIENT : {#numcl: texte[10], #codnat: texte[5], nomcl: texte[20], pstcl: texte[30], adrcl: texte[25], sexcl: texte[1], tel cl: texte[15] , e_mailcl: texte[20]} ;

3. PRET: {#codp : texte [10], designp : texte [20]}

4. DOCUMENT: {#coddoc : texte [10], libdoc : texte [20]}

5. BANQUE: {#codbq : texte [5], libbq : texte [30], lieubq: texte [30], nogsbq: texte [20], numcompt: texte [20]}

6. PAIEMENT: {#codpaie : texte[5], #codbq : texte[5], libpaie : texte[20], montpaie: texte[15], typepaie : texte[20] , datpaie: date[10]}

7. NATIONALITE: {#codnat : texte [5], libnat:texte [30]}

8. REMBOURSER: {#numcl : texte [10], #codp : texte [5],  datrem: date [10]}

9. BENEFICIER: {#numcl : car [10], #codp : car [5], MONTB : car [15] DATD : date [10] DATF : date [10]}

10. PRESENTER: {#numcl: texte[10], #coddoc : texte[10], cods: texte[15] ,numdoc: texte[20] datp: date[10]}

11. ENREGISTRER: {#coddoc : texte [10], #matrag: texte [5], datenr: date [10]}

12. SE PRESENTER: {#matrag : texte [5], #codbq: texte (5], datpr : date [10]}

13. FONCTION: {#codfonc: texte [5], libfonc : texte [15]}

14. SERVICE: {#codserv : texte [5], libserv : texte [15]}

15. CHEQUE: {#numch : texte [7], #matrag : texte [5], design : texte [30], mont c: texte [20], montl: texte [30]}.

 

I.2.6.1 CALCUL DU VOLUME UTILE DE LA BASE DE DONNEES

 

Volume global = ?r(2)*N

Avec R : taille de l'attribut

N : nombre d'occurrence de la table

N : nombre d'attribut de la table

I : numéro de l'attribut

D'où le volume utile de notre base de données par ?de volume de table

 

 

TABLES

TAILLE

OCCURRENCE

VOLUME TOTAL

1

AGENT

123

70

8610

2

CLIENT

111

50

5550

3

PRET

25

10

250

4

DOCUMENT

30

10

300

5

BANQUE

100

20

2000

6

PAIEMENT

50

15

750

7

NATIONALITE

35

5000

175000

8

REMBOURSER

40

250

10000

9

BENEFICIER

50

250

12500

10

PRESENTER

65

212.5

13812.5

11

ENREGISTRER

25

277.5

6937.5

12

SE PRESENTER

20

507.5

10150

13

FONCTION

20

26

520

14

SERVICE

20

30

600

15

CHEQUE

80

55

4400

VOLUME UTILE

251380

 

1.2.6.2. CALCULE DU VOLUME DES INDEX

TABLES

INDEX

TAILLE

OCCURRENCE

VOLUME INDEX

1

AGENT

#MATRAG

#CODFONC              

#CODSERV

5

5

5

70

1050

2

CLIENT

#NUMCL

#CODNAT

10

5

50

750

3

PRET

#CODP 

5

10

50

4

DOCUMENT

#CODDOC

10

10

100

5

BANQUE

CODBQ

5

20

100

6

PAIEMENT

CODPAIE

CODBQ

5

5

15

150

7

NATIONALITE

CODNAT

5

5000

25000

8

REMBOURSER

NUMCL

CODP

10

5

250

3750

9

BENEFICIER

NUMCL

CODP

10

5

250

3750

10

PRESENTER

NUMCL

CODP

10

5

212.5

3187.5

11

ENREGISTRER

CODDOC

MATRAG

10

5

277.5

4162.5

12

SE PRESENTER

MATRAG

CODBQ

5

5

10150

101500

13

FONCTION

CODFONC

5

20

100

14

SERVICE

CODSERV

5

30

150

15

CHEQUE

NUMCH

MATRAG

7

5

55

660

VOLUME DES INDEX

144460

 

I.2.6.3.VOLUME TOTALDE LA BASE DE DONNEES

 

Volume total = (volume utile +volume des index)*@

Coefficient multiplicateur de sécurité=2,5

Volume total = (251380+144460)*2.5=395840*2.5=989600 octet

     =989600/1024=966.40625 kilo octet

  =966.40625/1024=0.94 méga octet.

I.3.  LA MODELISATION  LOGIQUE DES TRAITEMENTS

 

Le modèle logique de traitements se préoccupe d'une vision interne des moyens que l'informaticien va utiliser pour construire le logiciel correspondant aux activités informatisées définies dans le modèle organisationnel de traitements. On parlera d'enchainement de transactions, de découpage en modèle, de répartition des données et traitements informatisées. L'informaticien

se posera la question suivante : comment vais-je concevoir mon logiciel par rapport aux fonctions demandées?

La modélisation logique des traitements répond à la manière informatiser les activités prescrites dans la modélisation organisationnelle des traitements compte tenu :

Ressources et contraintes logicielles et matérielles ; Des principes généraux d'ergonomie.

2. Définition des concepts de base

1. Procédure logique : c'est un enchainement logique de plusieurs unités logiques de traitement.

2. unité logique de traitement(ULT) :c'est un ensemble d'actions organisées des tâches exécutables d'une manière automatique.

 

1.2.2 .PASSAGE DU MOT AU MLT

 

Le passage du MOT au MLT concerne notre réflexion et imagination étant développeur de logiciel d'application verticale, selon la maîtrise et la pensée dans laquelle nous appliquerons sur la conception  des interfaces graphiques.

Dans cette optique nous allons  éliminer à partir du MOT les tâches qui ne seront pas informatisées et les tâches restantes, celles - ci détermineront l'unité logique de traitement où les événements fonctionnels disparaissent et cèdent la place aux actions des utilisateurs. Cliquer ou saisir bref, les tâches deviennent des procédures logiques(PL). C'est l'ensemble de (PL) constitueront le MLT et les poste de travail deviennent des sites.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1.2.3. PRESENTATION DU MLT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. DESCRIPTION DES ULT  

 

Dans la description des ULT donne le détaille sur les différentes unités logiques de traitements des ULT.

Pour chaque présentation (écran)  une description se fera suivre par :

 

1. Interface ;

2. Logique de dialogue : présente les taches accomplies par l'homme et la machine ;

3. Enchainement : présente les contrôles des écrans dans un tableau contenant : Objet, Action, Résultat.

 

2.1.5. Logique de Dialogue

ULT 01 : LOGO

a. Interface

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                                

 

B.Enchainement

 

Boutons

Actions

Résultats

Aucun bouton

Attente pendant 5 secondes

Affichage l'interface connexion

 

C.Dialogue Homme /Machine

 

 

Homme

Machine

Observation

Un clic sur  icône du logiciel

Affichage du logo    pendant une période de 20 secondes

Appel ULT 001

 

 

2. ULT 02 :

A. Interface

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B .Enchainement

 

 

 

 

 

 

 

D. Logique de Dialogue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3. ULT03 :

A. Interface

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B.Enchainement

 

Menus

Actions

Resultats

Saisie

cliquer

Affichage formulaires

Consultation

cliquer

Affichage tables

Edition

cliquer

Affichage etat en sortie

Programme

cliquer

Retour au MP

 

B. Logique de Dialogue

 

Homme

Machine

Observation

 

  Click sur un bouton au  

  choix.

 

 

 

 

Clic sur quitter

 

Affichage du menu principal

 

 

 

 

Affichage du contenu de ce sous menu pour mise à jour, soit consulter ou éditer

Quitter le programme

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

4.ULT 04

A. Interface

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B.Enchainement

 

BOUTONS

ACTIONS

RESULTATS

Enregistrer

Cliquer

Enregistrer les données dans la base de données

Rechercher

Cliquer

Rechercher les données dans la base de données

Modification

Cliquer

modifier les données dans la base de données

Supprimer

Cliquer

supprimer les données dans la base de données

Annuler

Cliquer

Annuler les données dans les formulaires

Quitter

Cliquer

Quitter les formulaires

C. Logique de Dialogue

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                                                                                                        

  

 

5. ULT 05

A. Interface

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B.Enchainement

 

Menus

Actions

Résultats

Vertical

Cliquer

Défilement des données de gauche vers droite et de droite vers la gauche

Horizontal

Cliquer

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6. ULT06

A. Interface

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

B .Enchainement

 

BOUTONS

ACTION

RESULTATS

Aperçu

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Affichage avant l'impression

Impression

Cliquer

Impression des données

Fermer

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II.1. MODELISATION PHYSIQUE DE DONNEES.

 

Il n'existe pratiquement pas aujourd'hui une approche normalisée pour la description et la présentation du niveau physique des données. Ce niveau est étroitement lié aux choix techniques informatiques en rapport avec le système de gestion de bases de données. Ce pendant, quelques règles sont à émettre selon l'orientation des choix techniques effectués. Nous pouvons dire que le MPD représente le résultat du MLD sur support magnétique. 42

 

II.1.1.PASSAGE Du MLD au MPD

 

Ce passage est automatique du système de gestion de fichier au système de gestion de base de données choisi. Il consiste à présenter les schémas relationnels associés au MLD validé en fonction des contraintes et du langage de description des données imposées par le SGBD ou le SGF choisi. 43

II.1.2.Présentation du modèle physique des données(MPD)

 

1 .TABLE CLIENT

 

 

 

 

 

 

2. TABLE PRESENTER

 

 

 

 

 

 

 

3 .TABLE DOCUMENT

 

 

4. TABLE ENREGISTRER

 

 

 

 

5 .TABLE AGENT

 

 

 

 

 

6 .TABLE CHEQUE

 7. TABLE SE PRESENTER

 

 

 

 

 

 

8. TABLE BANQUE

 

 

 

 

 

9 .TABLE PAIEMENT

 

 

 

 

 

 

10. TABLE BENEFICIER

 

 

 

 

 

11 .TABLE REMBOURSER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

12. TABLE PRET

 

 

 

 

13 .TABLE NATIONALITE

14. TABLE SERVICE

 

 

 

 

 

 

15 .TABLE FONCTION

 

 

 

 

 

 

II.1. MODELISATION PHYSIQUE DES TRAITEMENTS

 

Modèle physique de traitements représente la solution technique de la construction du logiciel. C'est l'ensemble des programmes informatiques assurant l'exécution des traitements informatisés du système d'information. Cet ensemble est organisé en une architecture technique de programmes matérialisant la logique des traitements spécifiée dans le MLT en fonction des possibilités techniques et des moyens de programmation. Voici le modèle physique de traitements de l'application suivi de paiement de préfinancement.

 

 

 

 

 

 

 

II.2.1 PRESENTATION DU DIAGRAMME HIERARCHIQUE DES TRAITEMENTS

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

1. DEFINITIONS D'UNE BASE DE DONNEES

 

Pour Castellani, une base de données est un ensemble d'informations hétérogènes, structurées, organisées et évolutives susceptibles de répondre rapidement aux besoins d'un ou des plusieurs applications. Une base de données comprend des informations relatives à un ou plusieurs ensembles, individus ou objets. 44

Dans l'encyclopédie libre comment ça marche, une base de données (en abrégé BD, en anglais DB, data base) est une entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. 45

 

2. UTILITE DE LA BASE DE DONNEES

 

Une base de données permet de mettre des données à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits accordés  à ces derniers. Cela est d'autant plus utile que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses.

Une base de données peut être locale, c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau.

L'avantage majeur de l'utilisation de bases de données est la possibilité de permettre au plusieurs utilisateurs d'accèdent simultanément à la base de données.

 

3. SYSTEME DE GESTION

 

Pour carrez, un SGBD est un logiciel général qui permet à l'utilisateur (qu'il soit programmeur ou utilisateur exploitant un logiciel pour ses besoins propres ou de l'entreprise) de manipuler les données sans tenir compte de la manière dont l'ordinateur le voit. 46 Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d'un système de gestion s'est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS (Data base management system). Le SGBD est un ensemble de services (applications logicielles) permettant de gérer les bases de données, c'est-à-dire Permettre l'accès aux données de façon simple, Autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs, Manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression, modification). Le SGBD peut se décomposer en trois sous-systèmes : Le système de gestion de fichiers : il permet le stockage des informations sur un support physique, Le SGBD interne : il gère l'ordonnancement des informations le SGBD externe : il représente l'interface avec l'utilisateur. Auparavant, les données des applications étaient  organisées dans les fichiers ; en d'autres termes, la gestion de données et de traitement présentent certaines conséquences avec la méthode classique. Telles que :

11. La redondance.

12. La dépendance entre  les données et programmes.

13. Le manque de normalisation au niveau de stockage.

Vu tous ces méfaits précisés, il nous faut une organisation de ces  données permettant leur mise en commun. Les partages entre plusieurs utilisateurs et applications a été permis avec cette approche dite  « base de données ».

Une base de données  est l'ensemble structuré  de données archivées dans une mémoire accessible à l'ordinateur pour satisfaire un ou plusieurs utilisateurs simultanément en temps  opportun et doit répondre aux trois critères suivants :

14. L'exhaustivité : implique la présence dans la base de données de tous les enregistrements qui  ont trait aux applications en question ;

15. La non redondance : décrit une et une seule fois la présence de chaque donnée sur un support magnétique ;

16. La structuration : implique l'adaptation du mode de stockage des enregistrements aux traitements qui seront exploités et mis à jour, ainsi jusqu'au coût de stockage dans l'ordinateur.

 

La programmation tient à la fois de l'art et de la technique, elle peut -être facile ou complexe ; pour le néophyte, la programmation relève souvent de la magie : 47

 

II.1. CHOIX DU LANGAGE DE PROGRAMMATION

 

Pour la compilation de notre application, nous rappelons que notre  choix est porté sur le langage de programmation Visual basic for Application(VBA) intégré dans Microsoft Access, car avec celui-ci nous pouvons aussi créer des applications complètes.

 

A.AVANTAGES :

 

L'apprentissage de VBA représente donc un très bon investissement car, si vous n'utilisez, pour exemple, que Word et Excel, vous pourrez très facilement apprendre la programmation Access étant donné que le langage est rigoureusement le même. Le fait qu'office propose un même langage pour toutes ses applications est réellement un avantages déterminant et nous pensons qu'il va inciter plus d'un utilisateur à se lancer dans l'aventure de l'apprentissage de la programmation VBA. 48

 

II.2. CHOIX DE LA METHODE DE PROGRAMMATION

 

La réalisation de  la base de données nous amène à recourir à  notre SGBD choisi à l'occurrence Microsoft Office Access qui met à la disposition des utilisateurs toute sa puissance d'organisation, de recherche et de présentation des informations.

1. Création de la base de données

Figure : n°5

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2. CREATION DES TABLES

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

3. CREATION DE REQUETE

 

4. CREATION DE L'ETAT EN SORTIE

 
6. PRESENTATION DE L'ETAT EN SORTIE

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

7. CODIFICATION : Pour la codification, hormis les codes sources de l'état en sortie, consultation et connexion  nous allons présenter   que les codes sources de l'interface père et  de l'interface de jointure.

 

1. INTERFACE CLIENT

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A.BOUTON ENREGISTRER

Private Sub CMDENREGISTRER_Click ()

Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)

Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)

B.Index = "numcl"

B.Seek "=", NUMCL

Dim D As String

D = MsgBox("Voulez-vous enregistrer?", vbQuestion + vbYesNo, "Confirmer")

If B.NoMatch Then

B.AddNew

B.Fields("numcl") = NUMCL

B.Fields("codnat") = CODNAT

B.Fields("nomcl") = NOMCL

B.Fields("typcl") = typcl

B.Fields("pstcl") = PSTCL

B.Fields("adrcl") = ADRCL

B.Fields("sexcl") = SEXCL

B.Fields("telcl") = TELCL

B.Update

NUMCL = ""

CODNAT = ""

NOMCL = ""

typcl = ""

PSTCL = ""

ADRCL = ""

SEXCL = ""

TELCL = ""

NUMCL.SetFocus

MsgBox "Enregistrement avec succès", vbExclamation

Else

NUMCL = ""

CODNAT = ""

NOMCL = ""

typcl = ""

PSTCL = ""

ADRCL = ""

SEXCL = ""

TELCL = ""

NUMCL.SetFocus

MsgBox "Enregistrement existant déjà", vbInformation

NUMCL.SetFocus

End If

End Sub

 

B.BOUTON EFFACER

Private Sub CMDEFFACER_Click ()

NUMCL = ""

CODNAT = ""

NOMCL = ""

typcl = ""

PSTCL = ""

ADRCL = ""

SEXCL = ""

TELCL = ""

NUMCL.SetFocus

End Sub

 

C.BOUTON MODIFIER

Private Sub CMDMODIFIER_Click()

Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)

Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)

B.Index = "numcl"

B.Seek "=", numcl

Dim D As String

D = MsgBox("voulez-vous Modifier?", vbQuestion + vbYesNo, confirmation")

If D = vbYes Then

B.Edit

B.Fields("numcl") = numcl

B.Fields("codnat") = codnat

B.Fields("nomcl") = NOMCL

B.Fields("typcl") = typcl

B.Fields("pstcl") = PSTCL

B.Fields("adrcl") = ADRCL

B.Fields("sexcl") = SEXCL

B.Fields("telcl") = TELCL

B.Update

MsgBox "Modification avec succès", vbExclamation

NUMCL = ""

CODNAT = ""

NOMCL = ""

typcl = ""

PSTCL = ""

ADRCL = ""

SEXCL = ""

TELCL = ""

NUMCL.SetFocus

ElseIf D = vbNo Then

NUMCL.SetFocus

End If

End Sub

 

D. BOUTON RECHERCHER

 

Private Sub CMDRECHERCHER_Click()

Set MBULU= DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)

Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)

B.Index = "numcl"

B.Seek "=", NUMCL

If B.NoMatch Then

MsgBox "Enregistrement inexistant", vbInformation

NUMAS.SetFocus

Else

NUMCL = B.Fields("numcl")

CODNAT = B.Fields("codnat")

NOMCL = B.Fields("nomcl")

typcl = B.Fields("typcl")

PSTCL = B.Fields("pstcl")

typcl = B.Fields("typcl")

ADRCL = B.Fields("adrcl")

SEXCL = B.Fields("sexcl")

TELCL = B.Fields("telcl")

End If

End Sub

 

E. BOUTON SUPPRIMER

Private Sub CMDSUPPRIMER_Click()

Set MBULU = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)

Set GABRIEL = MBULU.OpenRecordset("Tclient", DB_OPEN_TABLE)

B.Index = "numcl"

B.Seek "=", NUMCL

Dim D As String

D = MsgBox("voulez-vous supprimer?", vbQuestion + vbYesNo, "confirmation")

If D = vbYes Then

B.Delete

NUMCL = ""

CODNAT = ""

NOMCL = ""

typcl = ""

PSTCL = ""

ADRCL = ""

SEXCL = ""

TELCL = ""

NUMCL.SetFocus

MsgBox "Suppression avec succès", vbInformation

ElseIf D = vbNo Then

NUMCL.SetFocus

End If

End Sub

 

F.BOUTON QUITTER

 

Private Sub CMDQUITTER_Click()

DoCmd.Close

End Sub

Private Sub Commande11_Click()

DoCmd.OpenForm "FCLIENT"

End Sub

 

2. INTERFACE ENREGISTRER

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A.BOUTON ENREGISTRER

 

Private Sub Cmdenregistrer_Click()

Set mbulu = DBEngine.Workspaces(0).Databases(0)

Set gabriel = mbulu.OpenRecordset("Acheter", DB_OPEN_TABLE)

Dim s As String

s = MsgBox("Voulez-vous enregistrer ?", vbQuestion + vbYesNo, "Confirmation")

If s = vbYes Then

cpa.AddNew

cpa.Fields("coddoc") = coddoc

cpa.Fields("matrag") = matrag

cpa.Fields("datenr") = datenr

cpa.Update

coddoc = ""

matrag = ""

datenr = ""

MsgBox "Enregistrement avec succès", vbExclamation, "G3 INFO JOUR"

coddoc.SetFocus

ElseIf s = vbNo Then

coddoc.SetFocus

End If

End Sub

B.bouton effacer

Private Sub CmdEffacer_Click()

coddoc = ""

matrag = ""

datenr = ""

coddoc.SetFocus

End Sub

 

C.BOUTON QUITTER

 

Private Sub CmdQuitter_Click()

DoCmd.Close

End Sub

 

D.CODES SOURCES CONSULTATION

Private Sub Commande47_Click()

DoCmd.OpenForm "consultationclient"

End Sub

 

E.CODES SOURCES DE L'INTERFACE CONNEXION

 

Private Sub CMDCONNEXION_Click()

If NU = UCase("PACIFICTRADING") And MP = "2013" Then

MsgBox "BIENVENUE DANS L'APPLICATION", vbOKOnly

DoCmd.Close

DoCmd.OpenForm "menu principal"

MsgBox "PACIFICTRADING"

Else

NU = ""

MP = ""

NU.SetFocus

End If

End Sub

 

F. QUITTER

Private Sub CMDDECONNEXION_Click()

DoCmd.Close

End Sub

 

G.CODES SOURCES DE  L'APPEL DE L'ETAT SORTIE LISTE DES CLIENTS PREFINANCES

 

Private Sub Option56_Click()

DoCmd.OpenReport "LISTE DE CL PREFN", acViewNormal

End Sub

Private Sub Commande44_Click()

DoCmd.OpenReport "liste de cl prefn", acViewReport

End Sub

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

CONCLUSION

 

Vaut mieux la fin d'une chose que son commencement, le présent travail est basé sur l'efficacité et l'efficience qu'apporte l'épanouissement informatique dans la gestion de n'importe quel système.  Notre thème de recherche s'intitule « Mise en oeuvre d'un système informatisé pour le suivi de paiement de préfinancement dans une agence en douane « Cas de Pacific Trading agence de Matadi.

Pour réaliser ce travail nous sommes partis de l'étude préalable qui a fait l'objet de notre première partie dont l'objectif s'est inscrit à présenter le cadre de l'étude en vue de faire ressortir les points forts et faibles y relatifs.

Les failles découvertes dans la première partie nous ont donné opportunité de choisir la solution informatique comme la plus meilleure. La deuxième partie quant à elle, a porté sur la conception d'un système d'information qui se subdivise en deux phases. La première phase parle de la conception  du système d'information organisationnelle (SIO) et comprend en son sein deux chapitres : Etape conceptuelle et Etape organisationnelle. La seconde est basée sur la conception du système d'information informatisé (SII) qui comprend aussi deux chapitres : Etape logique et Etape physique. La troisième partie  parle de la réalisation et l'exploitation de la base de données qui comprend aussi deux chapitres : l'implantation de la base de données et La « programmation » au cours de laquelle, nous avons conçu notre  programme qui a abouti à la concrétisation de notre projet en prenant en compte les besoins des utilisateurs. La réalisation de ce programme a été rendue possible grâce a l'utilisation d'un système de gestion de base de données ACCESS version 2007 et sa codification en Visual Basic for Application (VBA).

 

Nous affirmons avoir atteint notre objectif, celui d'aider les dirigeant de Pacific Trading /Matadi de faire confiance à notre Projet pour la bonne prise des décisions en temps opportun.

Etant donné que la science informatique est en plein essor, nous demeurons ouvert aux critiques, aux ajouts des uns et des autres pour améliorer le dit travail et sollicitons l'indulgence des lecteurs pour les  imperfections entachées à toute oeuvre humaine.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

BIBLIOGRAPHIE

A. OUVRAGES

 

1. ABINAL-JR., Ce date sémantique, in k-k 74, Paris, éd, 2006, P.32.

2. BERGERON-G., la gestion moderne, théorie et cas, éd., eska sprl ,Paris, 1983, P.138.

3. BOUCHE M., la démarche objet : concepts et outils, afnor, 1994, P.351.

4. CASTELLANI, X., méthode général d'analyse d'une application informatique, hasson, Paris, 1995, P.54.

5. COCHE, C., analyse informatique de gestion, bordas, Paris, 1975, P.25.

6. CARREZ.C., des structures aux bases de données, bordas, Paris, 1990, P.135.

7. DOMINIQUE M., langage de programmation VBA, éd, Microsoft Paris, 2002, P.6.

8. DIONIS, D., l'essentiel sur merise, éd organisation, 1995, P.63.

9. DIGALO F, méthodologie  merise-cours du cycle B  du cenam.tiré en 2001, P.23.

10. GARDARIN G., les systèmes et leurs langages, éd, Eyroles, Paris, 1989, P.79.

11. GEDEON, le système d'information organisationnel, France, éd .geanan moviv, 1986 P.26.

12. HAINAUT., mitre les bases de données inter, éd, 1994, P.30.

13. ESCOLANO J, al. , gestion des opérations d'import-export, P.16.

14. JOLIVE ET REBOULG.G., informatique appliquée à la gestion, 1ére éd, tome1, 1986, P.19.

15. JACQUES G., guide d'analyse informatique, éd, des organisations, Paris, 1988, P.129.

16. KOTLER P., marketing management, 12eme éd, Paris, 1971,  P.97.

17. LOKA-NE-KONGO., schème de travail scientifique, in les problèmes sociaux zaïrois, 1970, P.86.

18. LAURENT  I., management des entreprises, éd, Paris, 2010, P.27.

20. MADEILINE G, précis de science&sociales, éd., daccoz, Paris, 1969, P.311.

21. ROCHEFELD C., méthodes merise et outils, éd. Organisation, 1986, P.10.

22. MATHERON, J., comprendre merise, outils conceptuels et organisationnels, éd, Eyrolles, 1988, P.68.

23. MBIKAYI J-M., modéliser un système d'information avec approche systémique merise deuxième génération, éd, criss, kin 2013, P.54.

24. NANCY, D&EPINASSE., Ingénieure des systèmes d'informations Merise 2eme génération ,4 ed.vuibert, Paris, 2001, P.37.

25. REIX R., l'analyse en informatique de gestion, éd, Paris, 1971, P.126.

26. VIRGA&MESTER, J-P., le nouveau dictionnaire de micro informatique, éd, maraboute, Bruxelles, 1990, P.212.

27. YVES, T., de l'autre coté de merise, éd, d'organisation, Paris 1986, P.125.

 

 

 

B. NOTES DE COURS

 

A. KINKELA  J -k., Notes de cours méthodes de recherche en science sociales L1, science sociales unikin, 2012-2013.

B. NDEBALONGI R., Notes de cours de méthode d'analyse informatique G3 Gestion Informatiques ISC-Matadi 2012-2013.

C. MBIKAYI J -M., notes de cours de méthode d'analyse informatique G3 Gestion Informatique  ISC-Matadi 2011-2012.

 

C. WEBOGRAPHIES

 

I. Problématique. Site http://fr.wikipedia.org/wkip/prob

II. www.wikipedia.org.

III.www.commentçamarche.net

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE                                                                                                                                                    

DEDICACE                                                                                                                                                    

AVANT  PROPOS                                                                                                                                            

1. ABREVIATION  ET SIGLES UTILISES................................................................................................

2. LISTE DES SYMBOLES UTILISES......................................................................................................

3. LISTE DES TABLEAUX ET LES FIGURES UTILISES ........................................................................

0. INTRODUCTION.................................................................................................................................

0.1. PROBLEMATIQUE ET HYPOTHESE..............................................................................................

0.2. HYPOTHESE....................................................................................................................................

0.3. CHOIX ET INTERET DU SUJET......................................................................................................

0.2.1 .CHOIX DU SUJET.........................................................................................................................

0.3.2. INTERET DU SUJET.....................................................................................................................

0.4. DELIMITATION DU SUJET.............................................................................................................

0.5. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES....................................................................................

0.5.1. METHODES........................................................................................................................  .........

0.5.2. TECHNIQUES................................................................................................................................

0.5 .DIFFICULTES RENCONTREES.......................................................................................................

0.6. DIVISION DU TRAVAIL..................................................................................................................

PREMIERE PARTIE : ETUDE PREALABLE..........................................................................................

Chapitre premier : PRESENTATION DE L'AGENCE PACIFIC TRADING S.P.R.L......................................

I.1. HISTORIQUE DE L'AGENCE...........................................................................................................

1.1.2. SITUATION GEOGRAPHIQUE....................................................................................................

I.1.3.FORME JURIDIQUE.......................................................................................................................

I.1.4 .MISSION.........................................................................................................................................

I.1.5. FONCTIONNEMENT....................................................................................................................

I.2. PRESENTATION DE L'AGENCE DE MATADI................................................................................

I.2.1 .SITUATION GEOGRAPHIQUE.....................................................................................................

I.3.STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ET FONCTIONNELLE........................................................

I.3.1.Organigramme de l'agence de Matadi........................................................................................

I.3.2 .FONCTIONNEMENT....................................................................................................................

I.3. PRESENTATION DE SERVICE DE COMPTABILITE......................................................................

I.3.1 .ORGANIGRAMME........................................................................................................................

I.3.2 .STRUCTURE ORGANISATIONNELLE.........................................................................................

I.3.2.1 .CHEF COMPTABLE...................................................................................................................

I.3.2.2. COMPTABLE.............................................................................................................................

I.3.2.3 .CAISSIER...................................................................................................................................

I.4. DESCRIPTION DES POSTES DE TRAVAIL....................................................................................

    Chapitre deuxième : ANALYSE DE L'EXISTAT................................................................................

    II.1. ETUDE DES DOCUMENTS.........................................................................................................

2. INVENTAIRE DES DOCUMENTS......................................................................................................

II.3 .DESCRIPTION DES DOCUMENTS.................................................................................................

II.3. ETUDE DES MOYENS DE TRAITEMENT DES INFORMATIONS.................................................

II.3 .1.LES MOYENS HUMAINS.............................................................................................................

II.3.2.LES MOYENS MATERIELS..........................................................................................................

II.3.3. LES MOYENS FINANCIERS........................................................................................................

II.3.4. LE MODELE DE CONCEPTUEL DE LA COMMUNICATION(MCC)............................................

II.3.5. LE DIAGRAMME DE FLUX.............................................................................................................

II.3.5.1 LE DIAGRAMME OU GRAPHE DE FLUX..................................................................................

1. PRESENTATION DU GRAPHE DE FLUX...........................................................................................

II. 3. 5. 2. DIAGRAMME DE CONTEXTE...............................................................................................

2.  PRESENTATION DE DIAGRAMME  DE CONTEXTE......................................................................

II .3. 6. LA MATRICE DE FLUX.............................................................................................................

3. PRESENTATION DE LA MATRICE DE FLUX...................................................................................

II .4. ETUDE DE FLUX D'INFORMATION.............................................................................................

II .4.1. DISCOURS SUR LE DEROULEMENT DES ACTIVITES DES DOMAINES ETUDIE....................

II .4 .3 SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATION...................................................................

II. 4.5 COMMENTAIRES DU SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS..............................

II .5 CRITIQUE DE L'EXISTANT........................................................................................................ ...

II.5.1 CRITIQUE SUR LES MOYENS HUMAINS....................................................................................

II.5.2 CRITIQUE SUR DES MOYENS MATERIELS........................................... .....................................

II.5.3 CRITIQUE SUR LES MOYENS FINANCIERS...............................................................................

II. 6 PROPOSITION  DES  SOLUTIONS.................................................................................................

II.6.1 .SOLUTION MANUELLE..............................................................................................................

II.6.1.1. AVANTAGES.............................................................................................................................

II.6.1.2. INCONVENIENTS.......................................................................................................................

II.6.2. SOLUTION INFORMATIQUE......................................................................................................

II.6.2.1 .AVANTAGES............................................................................................................................

II.6.2.2. DESAVANTAGE.......................................................................................................................

II.6.3. CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION.....................................................................................

DEUXIEME PARTIE : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION FUTUR..................................

PHASE I : CONCEPTION DU SYSTEME D'INFORMATION ORGANISATIONNEL(S.I.O)....................

Chapitre Première : ETAPE CONCEPTUELLE....................................................................................

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