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Les relations internationales âpres la guerre froide: analyses et perspectives

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par Merveil Ilonga leka bilimba
Université pédagogique nationale - Licence 2011
  

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CONCLUSION

La fin de la guerre froide ne permet pas la mise en place d'un « nouvel ordre mondial » (Brett Scrowcroft, conseillé de Bush senior, avril 90) mais plutôt d'un désordre mondial provoqué par les replis identitaires qui sont à l'origine d'une multiplication des conflits et de nouvelles menaces pesant sur les grandes puissances.

La fin de la guerre froide a réveillé les identités culturelles - religieuses, nationales, linguistiques - aux quatre coins de la planète. La confrontation idéologique entre libéralisme et socialisme avait fait passer au second plan ces identités, qui reviennent sur le devant de la scène et se prêtent à toutes les manipulations politiques. La mondialisation, avec les craintes d'uniformisation culturelle qu'elle peut susciter, a aussi favorisé ces replis identitaires.

Le nationalisme fait un retour spectaculaire en Europe (pays basque, Ulster, Corse, unité de la Belgique et du Royaume-Uni). En Afrique, les ethnies constituent souvent la base de mouvements politiques qui luttent pour le pouvoir (presque un coup d'Etat par an entre 1960 et 1990), la religion peut aussi être instrumentalisée enfin les grandes puissances y jouent souvent un rôle actif.

L'islamisme, qui s'est développé depuis 1970, prétend revenir aux sources de l'islam en renversant des régimes jugés trop éloignés de la vraie foi et trop conciliants avec l'Occident. En Inde, le communautarisme engendre de nombreuses violences, surtout entre hindouismes et musulmans.

Ce réveil des identités tend à affaiblir les Etats en multipliant les tensions internes et les guerres civiles. En 2000, 68 conflits ont éclaté contre une moyenne annuelle de 35 conflits depuis 1945.

C'est le cas en Europe, avec l'implosion des Etats multiethniques qu'étaient l'URSS (guerres de Tchétchénie en 94-96 et depuis 99), la Tchécoslovaquie (scission le 31/12/92) et la Yougoslavie (90-95 guerre entre la Croatie, la Serbie et la Bosnie Herzégovine s'achevant avec les accords de Dayton ; 99 guerre pour le Kosovo).

C'est aussi nettement visible en Afrique, dans des Etats issus de la décolonisation, où le processus de construction nationale n'est pas encore achevé Les conflits interethniques se sont multipliés (Sierra Leone, Libéria, Côte d'Ivoire... faisant 7,5 millions de morts depuis 45), embrasant parfois toute une région comme celle des Grands Lacs. La lutte entre les Hutus et les Tutsis, en effet, a ensanglanté le Burundi, engendré un génocide au Rwanda

Le monde à l'aube du XXIe siècle paraît particulièrement divisé et l'on peut se demander si la dernière grande puissance, les Etats-Unis, va réussir à

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(1994), puis contribué à la déstabilisation de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre), (1996-1998).

La communauté internationale est restée relativement passive face à ces guerres, pour deux raisons. D'abord parce qu'elle peut difficilement intervenir : la plupart de ces conflits ont lieu à l'intérieur d'un Etat, alors que le droit international reste fondé sur la souveraineté nationale. Ensuite, parce qu'elle ne veut pas forcément agir : les grandes puissances ne s'intéressent plus qu'aux régions jugées vitales pour leur sécurité, alors qu'au temps de la guerre froide elles étaient obligées de maintenir partout un certain équilibre des forces.

C'est souvent dans ces Etats en décomposition ou failed states (Soudan, Somalie, Afghanistan), dans les « zones grises » de la planète, que les réseaux terroristes ou mafieux trouvent refuge. Ils savent utiliser les moyens modernes de communication. Le narcotrafic dégage d'énormes profits qui permettent de corrompre les gouvernements, de financer les guerres, de gangrener les économies (blanchiment de l'argent « sale »). Al Qaida est un réseau terroriste qui maîtrise les techniques de médiatisation ; il peut frapper l'Etat le plus puissant du monde, comme l'ont montré les attentats du 11 septembre 2001 contre le World Trade Center à New York et contre le Pentagone à Washington.

Certains redoutent que des armes de destruction massive (nucléaires, chimiques ou bactériologiques) et des missiles ne tombent aux mains d'un mouvement terroriste ou d'Etats bellicistes.

Ainsi, on assiste à une prolifération nucléaire en Asie : le Pakistan et l'Inde sont devenus des puissances nucléaires en 98. Un Etat, comme la Corée du Nord, utilise d'ailleurs le chantage nucléaire pour obtenir une aide américaine (93-94) puis pour se protéger contre une éventuelle attaque des Etats-Unis (2003-2005). Le premier acte de terrorisme chimique est l'attentat au gaz sarin contre le métro de Tokyo perpétré en 1995 par le secte Aum. Les principales menaces, dans le monde actuel, ne sont plus les guerres « classiques » entre Etats.

La disparition du monde bipolaire et l'échec du « nouvel ordre mondial » américain permettent l'apparition de nouvelles menaces qui posent la question de l'avenir de la planète d'un point de vue politique.

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imposer sa domination ou si la direction du monde va être partagée entre plusieurs puissances.

La multiplication des conflits locaux, le développement de nouvelles menaces comme le terrorisme rendent nécessaire de repenser les questions de sécurité à l'échelle mondiale. Il faut aussi élargir la notion même de sécurité, en prenant en compte tous les problèmes qui pèsent sur l'avenir de l'humanité.

Mais pour imposer des règles aux Etats, il faut dépasser la souveraineté nationale, qui est encore la base du droit international. Cela n'est possible que si l'on parvient à définir des valeurs universelles, communes à une humanité ainsi considérée comme supérieure aux Etats.

Par ailleurs, la démocratie libérale est loin d'être considérée partout comme un modèle. Le marxisme inspire encore des Etats comme Cuba et la Corée du Nord.

Engagée depuis la fin des années 1970 dans un processus de modernisation, la Chine s'est ouverte aux investissements étrangers et a récupéré les enclaves capitalistes de Hong-Kong (1997) et de Macao (1999).

Mais le régime est toujours aux mains du parti communiste et refuse toute ouverture politique, comme l 'a montré la répression du « Printemps de Pékin » en 1989. Cette puissance nucléaire, spatiale, économique, marquée par un passé impérialiste, peut représenter une menace à la domination mondiale des Etats-Unis.

Les tensions Nord-Sud n'ont pas disparu. La domination des pays riches sur l'économie mondiale, à travers le G7 notamment, est dénoncée par les altermondialistes. Ils accusent l'OMC d'organiser la mondialisation au seul bénéfice du « club » des pays occidentaux. Beaucoup d'Etats du Sud refusent d'accepter des normes « universelles » qu'ils considèrent comme « occidentales ».

Cette méfiance à l'égard de l'Occident, en général, se double d'une peur des Etats-Unis, en particulier. Aucune puissance n'est capable aujourd'hui de rivaliser avec les Etats-Unis. On peut donc parler d'un monde unipolaire, dominé par l'hyperpuissance américaine.

Le « nouvel ordre mondial » est d'ailleurs une expression inventée par George Bush (père) en 1990 pour légitimer l'intervention contre l'Irak, coupable d'avoir annexé le Koweït. Cette guerre du Golfe s'est faite en janvier 1991 avec l'accord de l'ONU et la participation de nombreux Etats.

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Mais ce relatif consensus s'est vite dissipé. Jusqu'en 1992, les Etats-Unis veulent rester une grande puissance au milieu des petites nations et cherchent à observer une certaine retenue. Clinton (1991-2001) est partisan de la sécurité collective du monde mais sa volonté de préserver les intérêts américains provoque une évolution vers un « multilatéralisme dégradé » : il intervient au Kosovo malgré l'opposition de la Chine et de la Russie et opte pour une politique d'élargissement - promotion de la démocratie et de l'économie de marché.

Cependant, la population américaine est réticente à ses interventions coûteuses, financièrement et humainement, ce qui pousse les Etats-Unis à utiliser leurs alliés (financement de la guerre en Irak par le Japon et les pétromonarchies ou intervention militaire au Rwanda pour la France). Les attentats du 11 septembre changent la donne. Les Américains acceptent les sacrifices pour préserver leur territoire (« America first ») en développant une puissance militaire suffisante pour lutter contre le terrorisme et les Etats voyous (« Rogue state ») dans des guerres asymétriques (entre des puissances de forces inégales). Les Etats-Unis sont prêts à se passer de l'ONU quand celle-ci ne veut pas autoriser leur action. L'opération militaire menée en 2003 en Irak pour renverser le régime de Saddam Hussein est un exemple de cet unilatéralisme.

Beaucoup d'Etats qui se sont opposés à cette intervention souhaitent préserver le multilatéralisme et sortir l'ONU de la crise où elle est plongée. Une fois réformée, l'ONU pourrait représenter l'humanité et faire appliquer un droit d'ingérence qui lui permettrait d'intervenir dans une guerre civile.

Mais les Etats ne peuvent plus régler seuls tous les problèmes à l'heure de la mondialisation. Ils doivent prendre en compte les autres acteurs des relations internationales.

C'est l'idée d'une gouvernance globale, qui permettrait de régler les problèmes de la planète d'une manière plus démocratique. Les ONG sont en effet de plus en plus étroitement associées au fonctionnement des organisations internationales. Les organisations régionales semblent appelées à jouer un rôle croissant et l'ONU pourrait se « décentraliser » en s'appuyant dans chaque continent sur une organisation régionale qui disposerait d'une force militaire permanente, ce qui n'est pas le cas actuellement avec les Casques bleues.

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C'est peut-être aujourd'hui la solution la plus efficace pour assurer la paix dans une partie du monde : l'Europe en apporte la preuve. De la même façon, l'action de l'AIEA (Agence Internationale de l'Energie Atomique), dans le cadre du contrôle de la prolifération atomique (prix Nobel de la paix en 2005), montre l'utilité d'agences spécialisées. Enfin, l'espoir d'une justice internationale, capable de traquer les criminels contre l'humanité par-delà les frontières, s'est concrétisé avec la CPI (Cour pénale internationale) fondée en 1998 mais non ratifiée par les Etats-Unis, la Chine et les Etats du Proche-Orient.

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TABLE DES MATIERES

EPIGRAPHE I

IN MEMORIAM II

DEDICACE III

AVANT-PROPOS IV

INTRODUCTION 1

1. PROBLEMATIQUE 1

2. HYPOTHESES DU TRAVAIL 1

s. METHODE ET TECHNIQUE DU TRAVAIL 2

4. CHOIX ET INTERET DU SUJET s

5. DELIMITATION DU SUJET s

6. SUBDIVISION DU TRAVAIL 4

CHAPITRE I : HÉRITAGE DE LA GUERRE FROIDE 5

SECTION 1. LA CARACTERISTIQUE GENERALE DE LA GUER 5

FROIDE 5

§1. La naissance des deux blocs 7

§2. L'évolution de la guerre froide et les conflits localisés : 10

§3. La première phase de la guerre froide : 10

SECTION 2. LA PREMIERE CRISE DE BERLIN 10

SECTION s. LA CRISE DE LA COREE 12

SECTION 4. LA DEUXIEME CRISE DE BERLIN 14

SECTION 5. LA CRISE DU CUBA 15

SECTION 6. L'ECHEC DU MARXISME LENINISME ET LA FIN DE

LA GUERRE FROIDE 17

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"L'ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit"   Aristote