WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Les accords de Bâle et la gestion des risques bancaires

( Télécharger le fichier original )
par Mouna KOBAA
IHEC -  2006
  

précédent sommaire

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

Conclusion

Le ratio de solvabilité tel qu'il a été défini en 1988 par le Comité de Bâle avait l'avantage de sa simplicité et donc de sa facilité d'application ; cependant, cette simplicité est devenue trop simplificatrice au fil des années avec l'amélioration des techniques financières qui requièrent un ratio plus élaboré.

De ce fait, le Comité de Bâle sur le contrôle bancaire a décidé d'une réforme qui est en discussion depuis 1998. Le nouveau dispositif devrait reposer sur trois piliers :

« Des exigences minimales de fonds propres envisagées selon deux approches : 

· une méthode standard révisée, version affinée de la méthode définie en 1988 visant à mieux aligner les exigences de fonds propres sur les risques sous-jacents avec la possibilité de recourir à des évaluations externes du crédit fournies par des agences spécialisées.

· une méthode basée sur les notations internes des banques, ne s'appliquerait qu'aux établissements les plus avancés en matière d'évaluation interne du risque de crédit et après accord préalable de l'autorité de contrôle.

« Un processus de surveillance prudentiel de l'adéquation des fonds propres :

Processus novateur, permettant de s'assurer que les fonds propres des établissements sont bien proportionnels à leur profil global de risque et à leur stratégie et peut conduire, si nécessaire, les autorités de contrôle à imposer à certains établissements une norme de fonds propres supérieure aux exigences minimales.

« La discipline de marché :

Elle doit contribuer à renforcer la solidité du système bancaire. Elle repose notamment sur une publication, par les établissements, d'informations financières fiables et fréquentes relatives tant à la structure de leur capital qu'à leur exposition aux risques et à l'adéquation de leurs fonds propres.

L'accords, dit de Bâle II, dédié au secteur bancaire, intègre ainsi une évolution des modes de calcul des risques liés au crédit et au marché mais surtout la prise en compte des risques opérationnels (élargissement de l'assiette des risques) afin de déterminer le niveau du capital économique dont les banques doivent disposer à titre de garantie.

Le besoin de gérer les risques opérationnels de manière intégrée devient donc indispensable, obligeant à centraliser les données, les modèles et les méthodes.

La réforme du ratio de solvabilité devrait répondre aux attentes exprimées par les insuffisances du ratio Cooke actuel pour plusieurs raisons :

- Le ratio sera plus en adéquation avec les risques,

- Il existera moins de distorsions entre les établissements de crédit,

- Il permettra d'avoir accès à une meilleure information (pilier III),

- Les régulateurs auront une marge de manoeuvres beaucoup plus importante qu'avec le ratio actuel.

Etude de cas de l'Union Internationale des
Banques

Introduction

L'UIB se caractérise par une remarquable qualité se réseau d'agences, à l'instar de la STB, et par la motivation de son personnel. La prise de contrôle par la SOCIETE GENERALE est de nature à lui permettre de proposer des services aux sociétés aux capitaux étrangers qui constituent un nouveau segment d'activité pour l'UIB jusque là orientée vers les entreprises Tunisiennes. Toutefois, ces synergies sont contrecarrées par le lourd portefeuille de créances compromises qui influe négativement sur les résultats

En effet,l'activité principale des banques est l'octroi des crédits. Toutefois cette opération n'est pas démunie de risque, donc il est primordial de maîtriser toute étape constituant le processus de crédit afin de minimiser le risque de non remboursement. Toute banque met, à cet effet, une gestion de risque intégrée visant, à partir de l'analyse des données existantes et des éléments des prêts déjà accordés, à pronostiquer le comportement futur de sa clientèle ; c'est le crédit scoring.

Cette analyse permet de diminuer le montant des créances accrochées, mauvais indicateur de la santé financière d'une banque.

Le système bancaire tunisien est caractérisé par l'importance du poids des NPL ou crédits non performants ou encore crédits accrochés ce qui affecte négativement la qualité de l'actif ; principal problème. A cet effet, tous les efforts sont focalisés sur la résolution de la mauvaise qualité de l'actif.

I. Processus de crédit dans l'UIB et l'outil de gestion du risque de crédit

1. Processus de crédit

DEMANDE DE CREDIT Note (si elle existe)

Dossier de crédit (informations comptables,

Bancaires, issues du client...)

ANALYSE DU RISQUE

Analyse humaine et/ ou avec modèles

Note REDACTION DE CONTRATS Note

Sûretés...

Analyse

VIE DU CREDIT / SURVEILLANCE

Suivi du compte, des incidents, des changements...

Analyse

Note

FIN : Remboursement ou contentieux

2. Le scoring des crédits

Au sein de l'UIB, se pratiquent plusieurs méthodes de scoring adaptée chacune à la nature de crédit. Dans le cadre de ce mémoire, nous nous limitons au scoring des crédits à la consommation.

a. Définition et objectifs du scoring

Le SCORING consiste à donner à un client (prêteur) une qualification (score) sur son comportement sur la base des analyses de son historique (résultats de remboursement et des caractéristiques des prêts remboursés dans le passé, arriérés). Un score apparaît donc comme une note qui estime la probabilité de survenance d'un événement, par exemple la probabilité pour un client d'être classé en « mauvais payeur ».

Le scoring a pour objectif principal le pilotage du risque de crédit et donc l'optimisation de l'octroi des crédits.

Pour ce la cas de l'UIB, les objectifs spécifiques peuvent être résumés ainsi :

· Industrialiser le processus de vente des crédits à la consommation, en décentralisant davantage les décisions.

· Améliorer la productivité du montage des prêts, en permettant la consultation des dossiers de crédits sur les postes de travail

· Faire décroître le coût du risque grâce à un pilotage centralisé des critères d'octroi et du comportement des crédits en cours de remboursement

· Donner une réponse immédiate au client dans certains cas.

b. Logiciel utilisé TRANSACT

Pour le scroring des crédits à la consommation, l'UIB recourt au TRANSACT, outil d'aide à la décision. Il s'agit d'un logiciel automatisé dont la finalité réside dans l'attribution d'un score d'acceptation spécifiquement pour les crédits à la consommation. Il permet, à partir des données saisie par l'utilisateur relatives au compte du client et conditions du prêt recherché, de calculer un score permettant à la suite de consulter et d'afficher une décision suivant les règles d'acceptation définies préalablement par l'UIB.

L'utilisation de ce système est restreinte aux Rapid Crédits et les Crédits Auto, dont le montant ne dépassant pas 15.000 DT, destinés aux clients Particuliers ( salarié du public ou privé, retraité agé de moins de 65 ans, professionnels pour des besoins privés et bénéficiaires d'autres revenus). Une autre condition est la durée de crédit qui ne doit pas dépasser les 7 ans pour les Crédit auto pour toutes les catégories de Particulier et entre 3 et 5 ans pour le Rapid Crédit.

3. Implications

· Crédits clientèle

Les crédits à la clientèle, bruts de provisions et d'intérêts réservés, atteignent 1 450 MDT au 31/12/2004, en progression de 4,4% (61 MDT) par rapport au 31/12/2003.

Dans un souci de maîtrise de son risque de crédit, l'UIB a poursuivi sa politique de désengagement vis-à-vis de contreparties sensibles tout en développant de nouvelles relations.

Au total, les crédits performants se contractent de 2% (-17 MDT).

L'accroissement de 12% (78 MDT) des créances douteuses et litigieuses résulte principalement du déclassement de créances anciennes, notamment sous forme de découvert.

· Méthodes comptables appliquées

En matière d'évaluation des engagements et des provisions y afférentes, la BCT impose certaines directives édictées par sa circulaire du 17 Décembre 1991 et modifiée par la suite par deux circulaire celle du 19 Mars 1999 et du 4 Mai 2001.dans ces dites circulaires on mentionne les classes de risques suivantes :

A : actifs courants

B1 : actifs nécessitant un suivi particulier

B2 : actifs incertains

B3 : actifs préoccupants

B4 : actifs compromis

A cette classification s'ajoutent les taux de provisions proposés pour chaque classe de risque. Ainsi on y trouve :

B2 : actifs incertains 20%

B3 : actifs préoccupants 50%

B4 : actifs compromis 100%

· Taux de NPL et taux de couverture

Pour bien illustrer la contribution des exigences des autorités de contrôle bancaire et le défi de s'aligner aux standards internationaux en matière de réduction du risque de crédit, il y a lieu d'analyser deux taux sur une période de 1999-2005 à savoir : taux de NPL et taux de couverture pour bien mettre en évidence la stratégie envisagée par la banque envers ce challenge.

UIB

2001

2002

2003

2004

2005

NPL

402873

402873

526923

630119

415626

Créances clientèles brutes

1 167 286

1 184 655

1386637

1451887

1282943

Provisions+agios réservés

164450

164450

189692

206679

216501

Taux de NPL

34%

34%

38%

43.4%

32.4%

Taux de couverture

40%

40%

36%

32.8%

52%

Source : TUNISIE VALEURS

Taux de NPL = NPL/ créances clientèles brutes

Taux de couverture = provisions + agios réservés / NPL

Sachant qu'en matière de couverture des créances classées, l'objectif est clairement affiché par la BCT : 70%. D'après le tableau l'UIB n'arrive pas à franchir cet objectif étant donné que les taux réalisés restent inférieurs à 70%.

Toutefois on remarque une amélioration de son taux de couverture qui atteint 52% en 2005. Ce résultat trouve son origine dans les axes de la politique instituée par l'UIB qui vise à augmenter davantage les provisions.

D'après le rapport annuel de Tunisie Valeurs (R e v u e / S e p t e m b r e 2 0 0 5), on constate que malgré les efforts déployés par les banques tunisiennes, on reste loin des standards internationaux et même les objectifs nationaux. La situation critique de l'UIB peut être due au manque de provisions significatives dont les insuffisances de provisions s'élèvent à 109MDt (-8.6MDt par rapport à 2003) soit 66% de ses fonds propres. Pourtant les récentes réflexions ont surtout porté sur la constitutions des provisions au dépend de la rentabilité affichée et de la rémunération des actionnaires. La réaction de l'UIB s'est matérialisée par la non distribution des dividendes dès 2003.

II. Analyse financière

1. La rentabilité

· Produit net bancaire PNB

Le produit net bancaire est la différence entre les produits et les charges d'exploitation bancaires hors intérêts sur créances douteuses mais y compris les dotations et reprises de provisions pour dépréciation des titres de placement. Il mesure la contribution spécifique des banques à l'augmentation de la richesse nationale et peut en cela être rapproché de la valeur ajoutée dégagée par les entreprises non financières

Le produit net bancaire (PNB) rend compte des l'ensemble des activités de l'établissement (produits - charges d'exploitation).

UIB

2001

2002

2003

2004

2005

PNB

72571

65712

58 495

65 748

33948

Progression

2,25%

-9,45%

-10,98%

12,39%

 

Evolution du PNB

D'après le graphe, on remarque une reprise du PNB après une baisse de 11% entre 2002 et 2003.on peut expliquer la variabilité du PNB par une analyse des poids de :

· Marge d'intérêts principalement les intérêts perçus sur les crédits octroyés à la clientèle.

· Marge sur commissions principalement les commissions facturées sur les opérations bancaires

· Les autres revenus constitués principalement des revenus du portefeuille titres et des revenus de l'activité de change.

Année

2001

2002

2003

2004

2005

Marge d'intérêts (%)

47.41

55,88

49,47

45,28

52.49

Marge sur Commissions (%)

28.94

20,57

24,72

32,97

34.76

Autres revenus (%)

23.65

23,54

25,81

21,75

12.75

PNB

100

100

100

100

100

Cette performance résulte d'une bonne maîtrise des marges clientèle et d'un meilleur recouvrement des crédits compromis.

Evolution des composantes du PNB

· Résultat d'exploitation

 

2001

2002

2003

2004

2005

Résultat d'exploitation

22130

6 399

1 554

553

(121)

On remarque une dégradation du résultat d'exploitation, ceci peut être du à la combinaison simultanée de deux facteurs : l'accroissement des charges d'exploitation notamment les postes de provision et des charges du personnel et une légère augmentation des produits d'exploitation. Mais les revenus supplémentaires n'ont pas pu couvrir les charges.

· Coefficient brut d'exploitation

CE = charges d'exploitation / produits d'exploitation18(*)

Il exprime le poids les dépenses d'exploitation dans les revenus d'exploitation dégagés par la banque dans l'exercice de son activité proprement bancaire. Il reflète le signe du PNB. Pour l'UIB, on remarque une certaine maîtrise de ses charges qui sont en baisse ce qui prouve la relance du PNB.

Evolution du coefficient brut d'exploitation

· La rentabilité financière de l'UIB

Rf = Bénéfice net / capitaux propres

Profil de la rentabilité financière

Ce ratio exprime la rentabilité de point de vue des actionnaires (rentabilité des fonds investis).

La rentabilité financière de L'UIB est en train de baisser significativement jusqu'à s'annuler en 2004. Cette situation a pour origine l'affectation totale du bénéfice en réserve dans le but d'améliorer la solvabilité. De même au cours de cette période la mauvaise qualité de certains clients existant ou la conversion de certaines clientèles en douteuses a poussé l'UIB à constater plus de provisions pour pouvoir minimiser au maximum le risque.

UIB

2001

2002

2003

2004

2005

Provisions

11

105 518

104 774

110411

118909

Evolution des provisions

2. Evolution des capitaux propres et du total actif

· Capitaux propres

Les capitaux propres sont constitués de capital social, réserves et report à nouveau.

 

2001

2002

2003

2004

2005

CP

110874

126229

129 243

165 409

165495

Dans le cadre du plan d'assainissement financier, l'UIB a procédé, en décembre 2004, à l'augmentation en numéraire de son capital pour le porter de 70 à 106 millions de dinars.

Cette opération a rencontré un succès inégalé par le passé, enregistrant une forte participation des actionnaires de l'UIB et notamment de l'ensemble de ses principaux actionnaires. Cette augmentation de capital permet à l'UIB de se mettre en conformité avec les ratios prudentiels édictés par la Banque Centrale de Tunisie et d'assurer le succès des développements mis en oeuvre depuis sa privatisation en novembre 2002.

Evolution des capitaux propres

· Total actif

 

2001

2002

2003

2004

2005

Total actif

1706308

1746973

1681690

1681486

1550479

Le total de l'actif mesure la taille de la banque. Cet indicateur permet de reconnaître les ressources dont dispose l'UIB pour financer son activité d'intermédiation financière. D'après les statistiques, on conclut que ta taille est sujette d'une diminution à partir de 2003.

III. Conclusion

Les chantiers de remise à niveau, lancé en 2003, ciblent particulièrement l'informatique, la formation du personnel, la réorganisation du réseau d'agence, la rénovation de l'offre commerciale, l'assainissement financier de la Banque et la mobilisation des synergies entre l'UIB et la Société Générale.

L'application rigoureuse des nouvelles méthodes de travail permettra à l'UIB de maintenir le risque de contrepartie à un niveau maîtrisé. Pour consolider les travaux déjà accomplis en matière de recouvrement et de contentieux et améliorer les actions en cours, l'ensemble des procédures seront progressivement revues en capitalisant sur l'expertise du Groupe Société Générale et des cadres de l'UIB. La capacité bénéficiaire accrue de l'UIB permettra de réduire significativement le sous-provisionnement.

Cette action sera complétée par la poursuite des efforts en matière d'apurement des suspens comptables, de régularisation des garanties et des engagements par signature.

Concernant le portefeuille de crédits, les faits ont soulevé un besoin de consolidation de l'effort de provisionnement.

Plusieurs facteurs expliquent cette situation : la réévaluation de certaines garanties, un durcissement de la politique de gestion des impayés et une conjoncture économique difficile. S'ajoutent à ces facteurs, le passage à contentieux de quelques créances importantes et la prise en compte rigoureuse de certains risques juridiques et opérationnels.

Conclusion
Générale

Dans leur activité courante, les institutions bancaires sont exposées et appelées à gérer une diversité d'aléas.

En vue d'harmoniser les enjeux de la concurrence internationale et aider les banques à mieux gérer ses risques , assurant ainsi une stabilité de toute l'industrie bancaire nationale et internationale, un ratio de solvabilité internationale a été institué en 1988, répondant à tels objectifs.

L'adoption de ce ratio par la plupart des banques a généré des résultats aussi admissibles, toutefois et avec l'évolution de l'environnement bancaire ; le ratio de COOKE, est sujet à quelques insuffisances en matière des éléments inclus dans la mesure du risque ; ce qui constitue les limites de ces normes internationales.

Le comité de Bâle a toujours veillé à réviser les principes du premier accord, pour mieux adapter les exigences en fonds propres au profil du risque encouru par la banque ; ce qui a fait l'objet de la refonte du ratio de COOKE. Le nouveau dispositif est appelé à être plus flexible en fonction de la nature des activités et de l'expérience des établissements concernés.

Le principe central a été maintenu, sauf que l'innovation porte sur le panorama des méthodes de calcul des risques proposées par le comité à cet effet, partant du plus basique (comme celle prévue dans le premier accord) au plus avancée ; élargissant le périmètre des risques pris en compte. On aboutit à établir un nouveau ratio : Mc Donough fondé sur trois principaux piliers intégrant la mesure du risque opérationnel et produisant des conséquences importantes sur le pilotage stratégique et financier des banques et sur la perception, par le marché, de la structure de leur portefeuille d'activités, des risques et de la rentabilité.

En la matière, les banques tunisiennes sont en train de travailler sur les préalables afin de pouvoir appliques les nouveaux accords de Bâle II dans les meilleures conditions, à travers la modernisation des systèmes d'information, la formation et la mise en conformité de leur systèmes de gestion aux règles de la transparence financière en vigueur imposée le troisième pilier de ce dit accord.

Les banques tunisiennes sont appelées à se mettre au diapason de ces profondes mutations qui sont en train de façonner la finance internationale de l'horizon 2010.

Plusieurs économistes soulignent que l'industrie bancaire en Tunisie est dans une situation nettement meilleure aujourd'hui. On assiste à une prolifération de plus en plus marquante des normes prudentielles, des ratios de solvabilité, des créances accrochées ; ce qui n'était pas le cas il y a douze ou quatorze ans. La progression est très sensible en matière de qualité du portefeuille et de filière risques et elle due à des politiques clairvoyantes mises en place par chaque institution bancaire.

Bibliographie

Sites Internet

www.abi.snv.jussieu.fr

www.eduscol.education.fr

www.cerefia.univ-rennes1.fr

www.marches-financiers.net

www.apbt.org.tn

www.sciencedirect.com

www.infotunisie.com

www.jeuneafrique.com

www.imf.org

www.tunisievaleurs.com

www.fitchrating.com

www.bvmt.com.tn

Articles

· « le banquier et le risque des crédits à court terme » La Tunisie Economique- Mars 1998

· « La banque est une entreprise comme une autre » La Tunisie Economique- Mars 1998

· « Un nouveau ratio de solvabilité en 2004» BanqueMagazine - Février 2001

· « Les plans de continuité d'activité un élément important de Bâle II » BanqueMagazine - Mai 2003

· « Le nouveau rôle des agences de rating » BanqueMagazine - Mars 2001

· «  En bonne posture malgré les risques » La Tunisie Economique - Juillet 2004

· «  La rentabilité ajustée des risques » BanqueMagazine - Novembre 2003

· «  Le suivi du risque opérationnel »BanqueMagazine - Novembre 2003

· «  De nouvelles opportunités de pilotage » BanqueMagazine - Novembre 2003

· «  la validation des systèmes de notation interne dans le cadre de Bâle II » BanqueMagazine - Mars 2003

· « La gestion du risque de crédit » BanqueMagazine - Mai 2004

· «  Le chantier du nouveau ratio de solvabilité » BanqueMagazine - Mars 2001

· « Risques opérationnels : de la définition à la gestion » BanqueMagazine - Juin 2000

· «  » Finances & développement - Juin 1999

· «Banque et passage à Bâle II : Une triple exigence » le Renouveau - Mardi 7 Février 2006

· «  Risques opérationnels : les derniers enseignements du Comité de Bâle » BanqueMagazine Janvier 2003

· « Pour gérer le risque opérationnel » BanqueMagazine - Avril 2001

· « Intégrer les nouveaux outils de risk management » BanqueMagazine - Mars 2001

Travaux

· «  la mise en place d'une fonction de scoring dans le cadre des nouveaux accords de Bâle » mastère spécialisée finance d'entreprise et de marché. Mai 2004

· « La réforme du système bancaire tunisien »

Références

· « Le système bancaire Tunisien - 2003 »Maghreb rating -18 novembre 2003

· Rapport annuel 2004 de l'UIB

· Rapport annuel 2003 de l'UIB

· « Principes directeurs pour la mise en oeuvre transfrontière du nouvel accord » Août 2003 ; Banque des règlements internationaux.

· « Panorama des pratiques observées dans les systèmes internes de notation des risques » Bâle Janvier 2000 ;

· «  Mesure et contrôle des grands risques de crédit » janvier 1991

· « Principes fondamentaux pour un contrôle bancaire efficace » Bâle Septembre 1997.

· « International convergence of capital measurement and capital standards » Bâle Juillet 1988.

· «  Modalités de calcul du ratio international de solvabilité » Service des Affaires Internationales Actualisation du 1er Janvier 2006.

Annexes

* 18 Il s'agit des charges et des produits d'exploitation bancaires

précédent sommaire






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années"   Corneille