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Etude de la participation du port de Cotonou à  l'essor économique du Bénin

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par HOUNSINOU Carlos et AMOUSSA Roukayath
Ecole Nationale d'Economie Appliquée et de Management ENEAM - Diplome de Technicien Supérieur 2009
  

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ANNEXES

Annexe 1: Détails de la méthodologie

Stationnarité :

Avant tout traitement économétrique, il convient de s'assurer de la stationnarité des variables retenues car la stationnarité constitue une condition nécessaire pour éviter les relations fallacieuses. Les tests de racine unitaire permettent de mettre en évidence le caractère stationnaire ou non d'une chronique par la détermination d'une tendance déterministe ou stochastique.

Un processus est dit stationnaire si tous ces moments sont invariants pour tout changement de l'origine du temps. Il existe deux types de processus non stationnaires. Les processus TS (Trend Stationnary Process) qui présentent une non stationnarité de type déterministe et les processus DS (Difference Stationnary Process) pour lesquels la stationnarité est de type aléatoire. Ces processus sont respectivement stationnarisés par écart à la tendance et par un filtre aux différences permettant de déterminer l'ordre d'intégration de la variable.

Les tests de Dickey-Fuller, Dickey-Fuller Augmenté et de Phillips-Perron permettent de rendre compte de la stationnarité ou non d'une série. Le test de Dickey-Fuller Augmenté a été proposé pour améliorer le test de Dickey-Fuller en prenant en compte le fait que les erreurs ne soient pas des bruits blancs mais puissent être corrélées. Le test de Phillips-Perron intègre en complément l'hétéroscédasticité des erreurs.

Afin de discriminer entre les deux types de processus et d'appliquer la méthode de stationnarité adéquate, nous utilisons le test de Dickey-Fuller (ADF) (qui permet de déterminer l'ordre de différentiation d'une série macro-économique suivant son évolution au cours du temps) et le test de Phillips-Perron (qui englobe les autres tests). Il faut bien noter que le test d'ADF a été mené en tenant compte des trois modèles suivantes :

Modèle (3) modèle avec constante et avec tendance:

,

Modèle (2) modèle avec constante et sans tendance:

, et le

Modèle (1) modèle sans constante et sans tendance :

.

Rappelons que avant tout traitement, il convient de déterminer le retard p optimal. Il s'agit de celui qui minimise les critères d'information d'Akaike (AIC) et de Schwartz. La connaissance de ce retard est en effet nécessaire pour les étapes suivantes.

Test de stationnarité

On teste l'hypothèse nulle ?=o (non stationnarité) contre l'hypothèse alternative ? < 0 en se référant aux valeurs tabulées par Dickey et Fuller. Dans la mesure où les valeurs critiques sont négatives, la règle de décision est la suivante :

- Si la valeur de la t-statistique associée à ? est inférieure à la valeur critique, on rejette l'hypothèse nulle de non stationnarité.

- Si la valeur calculée de la t-statistique associée à ? est supérieure à la valeur critique, on accepte l'hypothèse nulle de non stationnarité.

Il est fondamental de noter que l'on n'effectue pas le test sur les trois modèles. Il convient en effet d'appliquer le test de Dickey-Fuller à un seul des trois modèles.

Etape 1 : On estime le modèle 3. On commence par tester la significativité de la tendance. Deux cas peuvent se présenter :

- Si la tendance n'est pas significative, on passe au modèle 2.

- Si la tendance est significative, on a deux possibilités :

- Si l'on accepte l'hypothèse nulle, c'est-à-dire que est non stationnaire, dans ce cas, il faut la différencier et recommencer la procédure sur la série de différence première.

· Si l'on rejette l'hypothèse nulle, est stationnaire et dans ce cas, la procédure s'arrête. On a donc à faire à un processus TS (Trend Stationnary).

Etape 2 : Cette étape ne doit être abordée que si la tendance dans le modèle précédent n'est pas significative.

On estime le modèle et on commence par tester la significativité de la constante. Deux cas de figure peuvent se présenter :

- Si la constante n'est pas significative, on passe au modèle 1.

- Si la constante est significative, on passe au test.

- Si l'on accepte Ho, est non stationnaire. Dans ce cas, il faut différencier la série et recommencer la procédure sur la série en différence première.

- Si l'on rejette Ho, est stationnaire. Dans ce cas, la procédure de test s'arrête et on peut directement travailler sur la série.

Etape 3 : Cette étape ne doit être appliquée que si la tendance et la constante ne sont pas significatives.

On estime le modèle 1 et on commence le test

- Si l'on accepte l'hypothèse nulle, est non stationnaire. Dans ce cas, il faut différencier la série et recommencer la procédure sur la série différenciée.

- Si l'on rejette Ho, est stationnaire et la procédure s'arrête. On peut directement travailler sur la série.

Toutefois, il arrive que l'on souhaite travailler avec des variables plutôt en niveau qu'en différence première (donc plutôt avec des variables non stationnaires). Dans ce cas, comment régresser des variables non stationnaires et savoir si la régression obtenue n'est pas fallacieuse ?

C'est alors qu'intervient la notion de cointégration. Nous n'avons pas de régression fallacieuse lorsque les variables sont cointégrées.

La cointégration:

Engel et Granger ont montré que si on avait deux variables non stationnaires ( ~> I(1) et ~> I(1)), on pouvait avoir : - a - b = t ~> I(1) ou - a - b = t ~> I(0).

L'idée sous-jacente de la cointégration est la suivante : à court terme, et peuvent avoir une évolution divergente (elles sont toutes les deux non stationnaires) mais elles vont évoluer ensemble à long terme. Il existe alors une relation stable à long terme entre et La relation de long terme ou relation de cointégration est donnée par = a + b.

L'inconvénient de la méthode de Engle et Granger (1987) est qu'elle ne permet pas de distinguer plusieurs relations de cointégration. En effet, si on étudie simultanément N variables avec N > 2, on peut avoir jusqu'à (N-1) relations de cointégration. La méthode de Engle et Granger (1987) ne nous permet d'obtenir qu'une seule relation de cointégration.

Afin de pallier cette difficulté, Johansen (1988) a proposé une approche multivariée de la cointégration fondée sur la méthode du maximum de vraisemblance.

Cette méthode est intéressante car elle permet de donner le nombre de relations de cointégration estimés, ce qui n'était pas le cas dans la précédente méthode. La séquence du test de Johansen consiste à trouver le nombre de relations de cointégration (r) ; pour cela on utilise la méthode de maximum de vraisemblance.

1ére technique: Le test de la trace: on teste l'hypothèse suivante:

Avec r le nombre de relations de cointégration

Règle de décision: On accepte Ho si Trcal < Trtab, Sinon on accepte H1.

Si q = 0 et Trcal > Trtab, au seuil de 5%, alors on accepte H1 qui signifie qu'il y a au moins une relation de cointégration.

Si q=1 et Trca l < Trtab, au seuil de 5%, alors on accepte Ho qui signifie qu'il y a une seule relation de cointégration dans le modèle.

2ème technique: Le test de la valeur propre maximale: On teste l'hypothèse suivante :

On respecte la même règle que la précédente.

La cointégration est donc une notion de relation à long terme entre plusieurs variables non stationnaires, elle permet de définir une ou plusieurs tendances stochastiques communes c'est à dire, il s'agit de trouver une relation statique à long terme entre les variables étudiées.

Il est possible que deux séries soient divergentes à court terme mais évoluent d'une façon identique ou proportionnelle à long terme.

S'il n'existe pas de relation de cointégration, il est possible d'estimer un modèle VAR. Dans le cas contraire, on ne peut estimer un modèle ECM.

Ainsi, lorsque tous les coefficients sont significatifs dans la relation de cointégration, on peut faire une représentation ECM (Error Correction Model).

Le modèle à correction d'erreurs

Lorsque des séries sont non stationnaires et cointégrées, il convient d'estimer leurs relations au travers d'un modèle (ECM : Error Correction Model). Engel et Granger (1987) ont démontré que toutes les séries cointégrées peuvent être représentées par un ECM.

Lorsqu'on a décelé que les séries et sont I (1), il faut donc faire le test proposé par Granger et Engel avant d'établir la relation entre et . Ce test se fait en deux étapes :

1ère étape : On fait la régression de Y sur X et on récupère le résidu û

2ème étape : On fait le test de racine unitaire sur û

Si û est stationnaire, alors la relation est bonne.

Si û n'est pas stationnaire, on fait la régression Dy = â0+ â1 D x avec D, l'opérateur de différence première et â les élasticités.

Le test de Granger- Engel n'étant pas suffisante pour prendre des décisions, il faudra faire ce qu'on appelle le modèle à correction d'erreurs puisque Y et X sont cointégrées, c'est-à-dire qu'il existe une relation de long terme et statique16(*) entre Y et X.

L'erreur û est appelée erreur de long terme ou erreur d'équilibre. Cependant, l'une des séries peut s'écarter de cet équilibre. On parle de dynamique à court terme. C'est la modélisation de cet équilibre à court terme qui constitue le modèle à correction d'erreurs.

1ère étape : On réalise un MCO de l'équation :

y = â0+ â1 x

2ème étape : On récupère le résidu û et on génère le résidu ût-1. On réalise la régression :

Dy = â0+ â1 D x + â2 ût-1 + åt avec åt ~>BB (Bruit Blanc)

3ème étape : On regarde le t-student associé à â2 et son signe. Si â2 < 0 et
statistiquement significatif17(*), alors on a un ECM et l'équation

Dy = â0+ â1 D x + â2 ût-1 + åt avec åt ~>BB

est appelée dynamique de court terme et â2 est appelé coefficient de rappel vers l'équilibre. C'est le coefficient de correction d'erreur.

La variation de Y entre deux périodes est affectée non seulement par la variation de X mais aussi par un choc de la période précédente.

Lorsque â2 < 0 et statistiquement significatif, alors â2 représente la force qu'il faut exercer sur le choc de la période Pt-1 pour ramener X et Y en équilibre.Annexe 2: Résultats des tests de stationnarité (test de ADF)

Ø Le PIB réel

Null Hypothesis: D(LPIBR) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 1 (Automatic based on AIC, MAXLAG=6)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-2.031676

 0.0423

Test critical values:

1% level

 

-2.653401

 
 

5% level

 

-1.953858

 
 

10% level

 

-1.609571

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LPIBR,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/17/09 Time: 17:07

 
 

Sample (adjusted): 1982 2008

 
 

Included observations: 27 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LPIBR(-1))

-0.327886

0.161387

-2.031676

0.0529

D(LPIBR(-1),2)

-0.245925

0.185123

-1.328446

0.1960

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.282417

    Mean dependent var

-0.001344

Adjusted R-squared

0.253713

    S.D. dependent var

0.041284

S.E. of regression

0.035665

    Akaike info criterion

-3.758124

Sum squared resid

0.031799

    Schwarz criterion

-3.662136

Log likelihood

52.73468

    Durbin-Watson stat

2.070859

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø La production agricole

Null Hypothesis: D(LPIBA) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=12)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-3.429709

 0.0013

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LPIBA,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/14/09 Time: 18:00

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LPIBA(-1))

-0.635373

0.185256

-3.429709

0.0020

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.302215

    Mean dependent var

0.006221

Adjusted R-squared

0.302215

    S.D. dependent var

0.149979

S.E. of regression

0.125283

    Akaike info criterion

-1.281425

Sum squared resid

0.423786

    Schwarz criterion

-1.233846

Log likelihood

18.93994

    Durbin-Watson stat

2.060088

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø La formation brute du capital fixe

Null Hypothesis: D(LFBCF) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=3)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-4.392632

 0.0001

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LFBCF,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/17/09 Time: 17:20

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LFBCF(-1))

-0.714037

0.162553

-4.392632

0.0002

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.413826

    Mean dependent var

-0.010219

Adjusted R-squared

0.413826

    S.D. dependent var

0.146082

S.E. of regression

0.111844

    Akaike info criterion

-1.508371

Sum squared resid

0.337742

    Schwarz criterion

-1.460792

Log likelihood

22.11719

    Durbin-Watson stat

2.100169

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Le trafic portuaire

Null Hypothesis: D(LTP,2) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 3 (Automatic based on AIC, MAXLAG=11)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-6.543842

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-2.664853

 
 

5% level

 

-1.955681

 
 

10% level

 

-1.608793

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LTP,3)

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/14/09 Time: 18:19

 
 

Sample (adjusted): 1985 2008

 
 

Included observations: 24 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LTP(-1),2)

-3.421849

0.522911

-6.543842

0.0000

D(LTP(-1),3)

1.696643

0.402218

4.218212

0.0004

D(LTP(-2),3)

1.133528

0.278238

4.073945

0.0006

D(LTP(-3),3)

0.584374

0.168455

3.469018

0.0024

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.841527

    Mean dependent var

-0.014919

Adjusted R-squared

0.817756

    S.D. dependent var

0.279730

S.E. of regression

0.119417

    Akaike info criterion

-1.261376

Sum squared resid

0.285209

    Schwarz criterion

-1.065034

Log likelihood

19.13652

    Durbin-Watson stat

2.237288

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Les recettes fiscales

 

Null Hypothesis: D(LR_F) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=12)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-3.018083

 0.0039

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LR_F,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/14/09 Time: 18:23

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LR_F(-1))

-0.505729

0.167566

-3.018083

0.0055

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.252259

    Mean dependent var

0.000239

Adjusted R-squared

0.252259

    S.D. dependent var

0.166322

S.E. of regression

0.143822

    Akaike info criterion

-1.005416

Sum squared resid

0.558491

    Schwarz criterion

-0.957837

Log likelihood

15.07582

    Durbin-Watson stat

2.119602

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø L'importation

Null Hypothesis: D(LIMP) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=3)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-4.779721

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LIMP,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/25/09 Time: 22:15

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LIMP(-1))

-0.916262

0.191698

-4.779721

0.0001

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.458328

    Mean dependent var

-0.000512

Adjusted R-squared

0.458328

    S.D. dependent var

0.370868

S.E. of regression

0.272953

    Akaike info criterion

0.276027

Sum squared resid

2.011591

    Schwarz criterion

0.323606

Log likelihood

-2.864378

    Durbin-Watson stat

1.786920

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Le taux de change effectif réel

Null Hypothesis: D(TCER) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on SIC, MAXLAG=7)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-7.480322

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(TCER,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/30/09 Time: 14:38

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(TCER(-1))

-1.349240

0.180372

-7.480322

0.0000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.674495

    Mean dependent var

0.008762

Adjusted R-squared

0.674495

    S.D. dependent var

0.962333

S.E. of regression

0.549040

    Akaike info criterion

1.673770

Sum squared resid

8.139015

    Schwarz criterion

1.721349

Log likelihood

-22.43278

    Durbin-Watson stat

2.040946

Ø La population active

Null Hypothesis: LPA has a unit root

 

Exogenous: Constant, Linear Trend

 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=7)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-19.39079

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-4.309824

 
 

5% level

 

-3.574244

 
 

10% level

 

-3.221728

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LPA)

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 10/29/09 Time: 12:20

 
 

Sample (adjusted): 1980 2008

 
 

Included observations: 29 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LPA(-1)

-0.687414

0.035451

-19.39079

0.0000

C

9.736106

0.498971

19.51237

0.0000

@TREND(1979)

0.021185

0.001180

17.95054

0.0000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.945789

    Mean dependent var

0.038775

Adjusted R-squared

0.941619

    S.D. dependent var

0.031114

S.E. of regression

0.007518

    Akaike info criterion

-6.845384

Sum squared resid

0.001469

    Schwarz criterion

-6.703940

Log likelihood

102.2581

    F-statistic

226.8041

Durbin-Watson stat

2.096730

    Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 
 
 

Ø Le taux de change effectif réel

Null Hypothesis: D(TCEN) has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on SIC, MAXLAG=7)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-7.480322

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-2.650145

 
 

5% level

 

-1.953381

 
 

10% level

 

-1.609798

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(TCER,2)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 09/30/09 Time: 14:38

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(TCER(-1))

-1.349240

0.180372

-7.480322

0.0000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.674495

    Mean dependent var

0.008762

Adjusted R-squared

0.674495

    S.D. dependent var

0.962333

S.E. of regression

0.549040

    Akaike info criterion

1.673770

Sum squared resid

8.139015

    Schwarz criterion

1.721349

Log likelihood

-22.43278

    Durbin-Watson stat

2.040946

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Résultats des tests de causalité de Granger

Pairwise Granger Causality Tests

Date: 09/18/09 Time: 14:55

Sample: 1979 2008

 

Lags: 3

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

  Null Hypothesis:

Obs

F-Statistic

Probability

 
 
 
 
 
 
 
 

  LR_F does not Granger Cause LTP

27

 1.66985

 0.20544

  LTP does not Granger Cause LR_F

 4.60111

 0.01320

 
 
 
 
 
 
 
 

  LPIBT does not Granger Cause LTP

27

 0.93955

 0.44010

  LTP does not Granger Cause LPIBT

 1.03413

 0.39879

 
 
 
 
 
 
 
 

  LPIBS does not Granger Cause LTP

27

 0.63191

 0.60300

  LTP does not Granger Cause LPIBS

 7.17474

 0.00186

 
 
 
 
 
 
 
 

  LPIBR does not Granger Cause LTP

27

 2.25274

 0.11351

  LTP does not Granger Cause LPIBR

 3.43676

 0.03654

 
 
 
 
 
 
 
 

  LPIBC does not Granger Cause LTP

27

 0.89313

 0.46181

  LTP does not Granger Cause LPIBC

 3.81817

 0.02591

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

  LPIBB does not Granger Cause LTP

16

 0.62471

 0.61680

  LTP does not Granger Cause LPIBB

 3.21570

 0.07573

 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Résidu issu de l'estimation des recettes fiscales

Null Hypothesis: RESID1 has a unit root

 

Exogenous: None

 
 

Lag Length: 0 (Automatic based on AIC, MAXLAG=7)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-6.178257

 0.0000

Test critical values:

1% level

 

-2.647120

 
 

5% level

 

-1.952910

 
 

10% level

 

-1.610011

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(RESID1)

 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/17/09 Time: 00:02

 
 

Sample (adjusted): 1980 2008

 
 

Included observations: 29 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

RESID1(-1)

-1.146471

0.185565

-6.178257

0.0000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.576597

    Mean dependent var

-0.001875

Adjusted R-squared

0.576597

    S.D. dependent var

0.077564

S.E. of regression

0.050471

    Akaike info criterion

-3.100980

Sum squared resid

0.071324

    Schwarz criterion

-3.053832

Log likelihood

45.96421

    Durbin-Watson stat

2.021411

 
 
 
 
 

Ø Le Pib nominal

Null Hypothesis: LPIBN has a unit root

 

Exogenous: Constant, Linear Trend

 

Lag Length: 7 (Automatic based on AIC, MAXLAG=8)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

t-Statistic

  Prob.*

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Augmented Dickey-Fuller test statistic

-4.485693

 0.0091

Test critical values:

1% level

 

-4.440739

 
 

5% level

 

-3.632896

 
 

10% level

 

-3.254671

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

*MacKinnon (1996) one-sided p-values.

 

Augmented Dickey-Fuller Test Equation

 

Dependent Variable: D(LPIBN)

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/17/09 Time: 23:29

 
 

Sample (adjusted): 1987 2008

 
 

Included observations: 22 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LPIBN(-1)

-0.464411

0.103532

-4.485693

0.0007

C

2.495711

0.559471

4.460839

0.0008

@TREND(1979)

0.039991

0.008354

4.787122

0.0004

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.842444

    Mean dependent var

0.074754

Adjusted R-squared

0.724277

    S.D. dependent var

0.084660

S.E. of regression

0.044454

    Akaike info criterion

-3.085747

Sum squared resid

0.023714

    Schwarz criterion

-2.589819

Log likelihood

43.94322

    F-statistic

7.129256

Durbin-Watson stat

2.467529

    Prob(F-statistic)

0.001249

 
 
 
 
 

Annexe 3 : Résultats des tests de cointégration

Ø Estimation du modèle des recettes fiscales

Date: 10/16/09 Time: 18:26

 
 

Sample (adjusted): 1980 2004

 
 

Included observations: 25 after adjustments

 

Trend assumption: Linear deterministic trend

 

Series: LR_F LTP LPIBR LIMP TCEN 

 
 

Lags interval (in first differences): No lags

 
 
 
 
 
 

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Hypothesized

 

Trace

0.05

 

No. of CE(s)

Eigenvalue

Statistic

Critical Value

Prob.**

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

None *

 0.714091

 75.50690

 69.81889

 0.0164

At most 1

 0.587772

 44.20483

 47.85613

 0.1057

At most 2

 0.423727

 22.05037

 29.79707

 0.2957

At most 3

 0.268914

 8.271032

 15.49471

 0.4369

At most 4

 0.017463

 0.440443

 3.841466

 0.5069

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 Trace test indicates 1 cointegrating eqn(s) at the 0.05 level

 * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

 **MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

 
 
 
 
 
 

Ø Estimation du modèle de la croissance

Date: 10/16/09 Time: 17:54

 
 

Sample (adjusted): 1981 2008

 
 

Included observations: 28 after adjustments

 

Trend assumption: Linear deterministic trend

 

Series: LPIBR LFBCF LTP 

 
 

Lags interval (in first differences): 1 to 1

 
 
 
 
 
 

Unrestricted Cointegration Rank Test (Trace)

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Hypothesized

 

Trace

0.05

 

No. of CE(s)

Eigenvalue

Statistic

Critical Value

Prob.**

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

None

 0.469688

 24.81179

 29.79707

 0.1683

At most 1

 0.222633

 7.051687

 15.49471

 0.5716

At most 2

 2.96E-06

 8.30E-05

 3.841466

 0.9936

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 Trace test indicates no cointegration at the 0.05 level

 * denotes rejection of the hypothesis at the 0.05 level

 **MacKinnon-Haug-Michelis (1999) p-values

 
 
 
 
 
 

Annexe 4 : Résultats de l'estimation du modèle MCE

Ø La croissance économique

Dependent Variable: LPIBR

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 10/26/09 Time: 09:59

 
 

Sample: 1979 2008

 
 

Included observations: 30

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LTP

0.184806

0.025700

7.190778

0.0000

LFBCF

0.398842

0.044767

8.909229

0.0000

D84

0.272880

0.030954

8.815612

0.0000

C

14.16794

0.824986

17.17356

0.0000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.988646

    Mean dependent var

27.12710

Adjusted R-squared

0.987336

    S.D. dependent var

0.329690

S.E. of regression

0.037101

    Akaike info criterion

-3.626770

Sum squared resid

0.035789

    Schwarz criterion

-3.439944

Log likelihood

58.40155

    F-statistic

754.6618

Durbin-Watson stat

1.259388

    Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Ø Test de validité du modèle

White Heteroskedasticity Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

0.823158

    Probability

0.545462

Obs*R-squared

4.391612

    Probability

0.494515

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

2.137740

    Probability

0.139835

Obs*R-squared

4.536241

    Probability

0.103507

 
 
 
 
 


Ø Les recettes fiscales (modèle de long terme)

Dependent Variable: LR_F

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/05/09 Time: 10:30

 
 

Sample: 1979 2008

 
 

Included observations: 30

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

LPIBN

0.959664

0.118847

8.074790

0.0000

LTP

0.384924

0.053602

7.181089

0.0000

TCEN

-0.012279

0.013460

-0.912265

0.3707

LIMP

0.141162

0.048906

2.886430

0.0081

C

-11.09674

1.126166

-9.853550

0.0000

D84

-0.090842

0.033096

-2.744775

0.0113

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.997301

    Mean dependent var

4.585839

Adjusted R-squared

0.996739

    S.D. dependent var

0.974134

S.E. of regression

0.055632

    Akaike info criterion

-2.763265

Sum squared resid

0.074278

    Schwarz criterion

-2.483026

Log likelihood

47.44898

    F-statistic

1773.556

Durbin-Watson stat

2.269260

    Prob(F-statistic)

0.000000

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


Ø Test de validité du modèle de long terme

Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

0.283637

    Probability

0.755752

Obs*R-squared

0.754110

    Probability

0.685878

 
 
 
 
 


White Heteroskedasticity Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

1.805421

    Probability

0.129976

Obs*R-squared

13.44772

    Probability

0.143371

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 




Ø Les recettes fiscales (Modèle de court terme)

Dependent Variable: D(LR_F)

 
 

Method: Least Squares

 
 

Date: 11/10/09 Time: 12:37

 
 

Sample (adjusted): 1980 2008

 
 

Included observations: 29 after adjustments

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Variable

Coefficient

Std. Error

t-Statistic

Prob.  

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

D(LTP)

0.296436

0.138884

2.134421

0.0432

RESID1 (-1)

-0.926597

0.320500

-2.891099

0.0080

D(LIMP)

0.267227

0.064754

4.126842

0.0004

D(TCEN)

0.001180

0.015693

0.075179

0.9407

D84

0.060990

0.022737

2.682342

0.0130

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

R-squared

0.635730

    Mean dependent var

0.098426

Adjusted R-squared

0.575019

    S.D. dependent var

0.130173

S.E. of regression

0.084860

    Akaike info criterion

-1.940031

Sum squared resid

0.172831

    Schwarz criterion

-1.704290

Log likelihood

33.13045

    Durbin-Watson stat

1.727110

 
 
 
 
 

Ø Resultats des tests de validités du modèle de court terme

White Heteroskedasticity Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

0.829719

    Probability

0.597762

Obs*R-squared

8.181992

    Probability

0.515915

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Breusch-Godfrey Serial Correlation LM Test:

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

F-statistic

0.293353

    Probability

0.748630

Obs*R-squared

0.737057

    Probability

0.691751

 
 
 
 
 

* 16 _ Résultat du test de Granger- Engel.

* 17 _ Significativement différent de zéro au seuil statistique de 5%.

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