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Le transport urbain de personne dans les ménages à  Bobo-Dioulasso

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par Aminata KABORE
Université de Ouagadougou - Maitrise 2010
  

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Tableau n° 26 : les opinions sur les deux roues à moteur

Opportunités

Taux des réponses

1

Pouvoir aller et venir n'importe quand

94

2

Dépenser peu d'argent

30

3

Etre à l'abri du vent et de la poussière

6

4

Pouvoir aller n'importe où

91

5

Se faire voir par les autres

55

6

Se sentir à l'abri des accidents ou des vols

3

7

Gagner le maximum de temps

70

8

Pouvoir se déplacer à plusieurs en même temps

88

9

Moyenne des réponses affirmatives

54,62

Source : Kabore A, enquêtes de terrain (juillet-août 2007)

L'analyse de ce tableau montre que deux roues à moteur constituent les moyens de transport les plus appréciés par les bobolais par rapport à la bicyclette. Cependant, 94% des enquêtés reconnaissent que les deux roues à moteur permettent d'aller et de venir n'importe quand et 91% pensent que ce moyen de transport individuel permet de pouvoir aller n'importe où. Seulement 30% disent qu'avec les engins à deux roues motorisés, ils dépensent peu d'argent. 70% des enquêtés apprécient les deux roues à moteur quant à leur rapidité et 55% disent que les engins à deux roues motorisés présentent une valorisation sociale pour son usager

Les seuls désavantages des deux roues à moteur son le coût d'usage, la non protection face aux intempéries et le fait qu'avec ce moyen de transport on est exposé aux accidents et aux vols. Seulement 6 % des enquêtés déclarent être à l'abri du vent et de la poussière, 3% disent qu'avec les deux roues à moteur, ils se sentent à l'abri des accidents ou des vols et 30% affirment qu'ils dépensent peu d'argent pour les deux roues à moteur. Enfin 88% des enquêtés pensent que les deux roues à moteur sont des moyens de transport qui permettent de se déplacer à plusieurs en même temps.

4.2.3- Les opinions sur la voiture particulière

Presque tous les jugements se font en faveur de la voiture particulière. Elle constitue un moyen de transport efficace et rapide. L'utilisation de la voiture particulière protège l'usager des risques d'accident ou de vols et des intempéries. Son seul désavantage est qu'elle coûte très chère, donc inabordable pour la grande majorité des bobolais.

Tableau n° 27 : les opinions sur la voiture particulière

Opportunités

Taux des réponses

1

Pouvoir aller et venir n'importe quand

93

2

Dépenser peu d'argent

03

3

Etre à l'abri du vent et de la poussière

100

4

Pouvoir aller n'importe où

88

5

Se faire voir par les autres

100

6

Se sentir à l'abri des accidents ou des vols

98

7

Gagner le maximum de temps

94

8

Pouvoir se déplacer à plusieurs en même temps

90

9

Moyenne des réponses affirmatives

83,25

Source : Kabore A, enquêtes de terrain (juillet-août 2007)

L'analyse de ce tableau montre que 93% des enquêtés affirment que la voiture particulière permet d'aller et de venir n'importe quand. 88% disent qu'avec ce moyen de transport on peut aller n'importe où. Ceux qui lui accordent cet avantage font allusion à son confort et à sa rapidité. Cependant, 98% des personnes enquêtées pensent qu'avec la voiture particulière on se sent à l'abri des accidents ou des vols et 94 % disent que le déplacement en voiture particulière permet de gagner le maximum de temps. 90% affirment qu'on peut se déplacer à plusieurs en même temps avec la voiture particulière.

Tous les enquêtés ont témoignés de la valorisation sociale qui se développe autour de la voiture particulière (« se faire voir par les autres ») soit 100% des enquêtés. Aussi 100% des personnes enquêtées s'accordent sur le fait que le déplacement en voiture particulière protège contre les intempéries (pluie et poussière). Cependant, les seuls désavantages de la voiture particulière résident au niveau des coûts d'acquisition et d'usage. Seulement 3% disent « dépenser peu d'argent » avec la voiture particulière.

Par ailleurs, les opinions des bobolais sur le transport en commun sont diverses. Mais d'une manière générale, les taxis sont moins appréciés par la population dans la ville de Bobo-Dioulasso. Parmi les enquêtés qui utilisent souvent le taxi comme moyen de transport, la majorité évoque l'état vétuste des véhicules. Ils affirment n'utiliser le taxi que lorsqu'ils ne disposent pas d'autres moyens de transport.

Parmi les moyens de transport individuel qui existent à Bobo-Dioulasso, les deux roues à moteur et la voiture particulière sont les plus appréciés. Presque 84% des réponses affirmatives se font en faveur de la voiture particulière, 55% des réponses affirmatives aux deux roues à moteur et seulement 37% des réponses affirmatives sont en faveur de la bicyclette.

Toutefois, il faut reconnaître que même si la voiture particulière et les deux roues à moteur présentent de nombreux avantages, la bicyclette demeure un moyen de transport propre non polluant et permet de se déplacer à moindre coût.

4.3- Les perspectives du secteur des transports urbains

A Bobo-Dioulasso, l'utilisation des véhicules individuels notamment les deux roues et voitures particulières connaîtront une progression rapidement dans les années à venir. Ces moyens de transport individuel présentent des avantages et donnent à leurs usagers une plus grande autonomie. Ainsi, les moyens individuels, particulièrement les deux roues à moteur resteront les moyens de transport les plus dominants. Mais l'extension rapide de l'espace bobolais suivi de l'éloignement continu des distances entre les lieux de résidence et les lieux de travail ainsi que le renchérissement du prix des hydrocarbures constitueront à long terme des limites pour l'usage des moyens de transport motorisés.

Aussi, l'utilisation de la bicyclette pourrait également connaître une hausse. Par contre, ce moyen sera plus utilisé par les scolaires (c'est-à-dire les enfants). En effet, les obstacles socio-culturels persisteront encore quant à l'usage de la bicyclette. Même si la bicyclette présente de réels avantages (non coûteuse et non polluante), il importe de signaler que son utilisation présente encore une image dévalorisante pour certaines personnes adultes. Le déplacement par bicyclette s'avère très pénible pour elles, surtout sur de longues distances.

L'utilisation de la voiture particulière pourra connaître une progression. Mais compte tenu des difficultés économiques auxquelles font face les individus dans un contexte de crise économique, certains propriétaires de voiture particulière utilisent de façon occasionnelle des deux roues à moteur pour certains de leurs déplacements. Cela pour minimiser les dépenses du ménage en transport.

Dans un contexte de croissance urbaine, les taxis pourraient également jouer un rôle de plus en plus important lié à la demande naturellement croissante. En effet, de plus en plus, la population fait appel aux taxis pour les déplacements à des fins sociaux (mariages, baptêmes, etc.). Le taxi restera le moyen de déplacement des captifs constitués principalement de femmes et des étrangers qui ne savent pas conduire sur deux roues.

Enfin, la part de la marche à pied dans les déplacements pourraient s'accroître mais en se limitant aux déplacements de proximité. Sur de longues distances, les individus pourraient utiliser plusieurs modes de transport pour effectuer un seul déplacement. Par exemple, un individu qui quitte son domicile à pied ou à vélo pourrait emprunter dans son parcours un taxi au centre ville pour aller à destination, si celui-ci se sent fatigué en cours de chemin.

La cohabitation de ces différents modes de transport sur des voies généralement étroites, posera de sérieux problèmes sur le plan de la sécurité routière.

Photographie n°04 : perturbation de la circulation à l'entrée de la gare routière STAF

Source : Prise de vue réalisée par KABORE Aminata en novembre 2010

De manière générale, le niveau d'équipement des bobolais en véhicules individuels déjà relativement important va s'accroître, surtout l'équipement en deux roues à moteur qui va s'étendre progressivement aux ménages non encore équipés.

Certes, la croissance du nombre de véhicules individuels dans la ville peut renflouer les caisses de la commune, créer des emplois et assurer une grande mobilité aux citadins bobolais. Mais au regard de l'insécurité grandissante, les pouvoirs publics de Bobo-Dioulasso devront mettre en place un transport en commun par autobus. Cela facilitera un temps soi peu les déplacements urbains et permettra à cette ville de jouer pleinement sa fonction de deuxième grande ville du pays.

Aussi, si rien n'est fait en matière d'aménagement du réseau de la voirie, la croissance du nombre de véhicules va contribuer à l'augmentation de l'insécurité routière. En effet, l'étroitesse des voies urbaines, l'absence de pistes cyclables et l'insuffisance d'éclairages publics, ne facilitent pas la circulation à Bobo-Dioulasso. Par ailleurs la méconnaissance et/ou le non respect de la réglementation en matière de circulation par les usagers eux-mêmes n'est pas à négliger.

Conclusion partielle

Le niveau de mobilité élevé des bobolais qui est de 3,4 déplacements par personne et par jour peut s'expliquer par l'utilisation massive des véhicules individuels.

Les principaux motifs de déplacement sont les visites, le travail et les achats. Les déplacements sont à 95% des déplacements de proximité dont la durée est comprise entre 5 et 30 minutes.

Toutefois, cette mobilité est dépendante des caractéristiques socio-démographiques telles que le sexe, l'âge, la situation matrimoniale et des caractéristiques socio-économiques comme la catégorie socio-professionnelle, le revenu et le niveau d'étude de l'individu.

L'utilisation de ces moyens de transport engendre nécessairement d'énormes dépenses. Ce sont entre autres les dépenses pour l'acquisition et celles liées à l'usage du véhicule. Les dépenses pour l'usage des véhicules individuels à moteur (deux roues à moteur et voitures particulières) se résument aux dépenses pour le carburant, les coûts d'entretien de réparation et stationnement.

Les dépenses pour l'usage de la bicyclette et du taxi sont faibles. En moyenne mille cinq cent francs (1500 F CFA) par mois pour la première et deux mille francs (2000 F CFA) pour le second.

Il faut également noter que l'opinion des bobolais, qui se fait en faveur des transports individuels sur deux roues à moteur et la voiture particulière entraînera une augmentation rapide du niveau d'équipement en véhicules individuels dans la ville.

CONCLUSION GENERALE

La croissance démographique de la ville de Bobo-Dioulasso s'est accompagnée d'une croissance spatiale rapide de l'espace avec une faible densité d'occupation de l'espace urbain.

A Bobo-Dioulasso, on distingue une ville ancienne et une ville récente. La ville ancienne correspondant au centre-ville se distingue de la ville récente ou la périphérie par l'importance de ses équipements et infrastructures ainsi que le bon état de son réseau routier.

Nos recherches sur le système de transport de Bobo-Dioulasso montrent que le transport sur deux roues est dominant dans la ville. En effet, 60% des déplacements sont effectués en deux roues dont 43% en deux roues à moteur et 17% à bicyclette.

A Bobo-Dioulasso, le transport en commun est assuré par les taxis dont l'exploitation demeure artisanale. Il faut noter que ces taxis ont du mal à s'imposer à cause de l'importance des deux roues dans le trafic. Le service de transport des étudiants constitue également un moyen de transport collectif qui a vu le jour suite à la création de l'université de Nasso, située à une quinzaine de kilomètre de la ville de Bobo-Dioulasso.

La voiture particulière est utilisée par une minorité de personne (8% des déplacements), car l'usage de ce moyen de transport exige d'énormes dépenses.

Pour ce qui est des motifs de déplacement, les bobolais se déplacent généralement pour des raisons de visites, de travail ou d'achats. Ces déplacements sont en majorité de courte durée.

Le niveau de mobilité élevé par personne et par jour s'explique par le nombre important de véhicules individuels dans l'équipement des ménages.

Cependant, cette mobilité est fonction des caractéristiques socio-démographiques (sexe, âge...) et socio-économiques (niveau d'étude, revenu...).

En ce qui concerne le coût des déplacements, les dépenses pour l'acquisition et l'usage des véhicules individuels sont élevées. Les frais pour l'usage de la bicyclette sont en moyenne de 1500 FCFA le mois, les dépenses pour les deux roues à moteur s'élèvent en moyenne à 17 500FCFA le mois et l'usage de la voiture coûte en moyenne de 40 000FCFA par mois.

Les opinions des bobolais sont favorables aux moyens de transports individuels, surtout les deux roues à moteur et la voiture particulière.

BIBLIOGRAPHIE

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ANNEXES

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"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe leur portée"   François de la Rochefoucauld