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Dépenses de prestations sociales prises en charge par la CNPS (Caisse Nationale de Protection Sociale) et croissance économique au Cameroun

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par BELL IV
Institut sous-régional de la statistique et d'économie aplliquée (ISSEA) Cameroun - Ingénieur d'application de la statistique 2011
  

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Annexe C : Resultats stochastiques des

series du modèle

C1. Caractéristiques stochastiques de la série LPIB RH

Evolution de la série LPIBRH et corrélogramme de la série D(LPIBRH)

1980 1985 1990 1995 2000 2005

LPIB_RH

13.4

13.3

13.2

13.1

13.0

12.9

12.8

Source : Sortie Eviews

Test ADF réalisé sur logiciel R de la série LPIBRH

Test PP réalisé sur logiciel R de la série LPIBRH

. Caractéristiques stochastiques de la série LINV P

Evolution de la série LINVP et corrélogramme de la série D(LINVP)

28.6

28.4

28.2

28.0

27.8

27.6

27.4

27.2

LINV_P

1980 1985 1990 1995 2000 2005

Source : sortie Eviews

Test ADF sur le logiciel R de la série LINVP

Test PP sur le logiciel R de la série LINVP

C3. Caractéristiques stochastiques de la série LPREST TOT

Evolution de LPRESTTOT et corrélogramme de D(LPRESTTOT)

25.0 24.5 24.0 23.5 23.0 22.5 22.0

 
 
 

1980 1985 1990 1995 2000 2005

 
 

LPREST_TOT

 

Source : sortie Eviews

Test ADF réalisé sur logiciel R de la série LPRESTTOT

Test PP réalisé sur logiciel R de la série LPRESTTOT

C4. Caractéristiques stochastiques de la série LREC TOT

25.6

25.2

24.8

24.4

24.0

23.6

23.2

Evolution de LRECTOT et corrélogramme de D(LRECTOT)

1980 1985 1990 1995 2000 2005

LREC_TOT

Source : Sortie Eviews
Test ADF réalisé sur logiciel R de la série LRECTOT

Test PP sur le logiciel R de la série LRECTOT

IX

Annexe D : Cointégration et Modèle a`

correction d'erreur par la méthode de

Johansen

EncadréD1 : La notion de cointégration

Cette notion a étéintroduite dès 1974 par Engle et Newbold, sous le nom de »spurious regressions», ou regression fallacieuse, puis formalisée par Engle et Granger en 1987, et enfin par Johansen en 1991 et 1995.

1. Définition de la cointégration

Deux séries Xt et Yt sont cointégrées si :

- Xt et Yt sont intégrés d'ordre d ;

- il existe une combinaison linéaire de ces séries qui soit intégrée d'ordre strictement inférieur a` d, notéd-b;

2. Modèles a` correction d'erreur (ECM)

On considère deux variables (Xt) et (Yt) cointégrées d'ordre 1 et soit [â, -1] le vecteur de cointégration. L'idée des modèles a` correction d'erreur est de considérer des relations de la forme :

ÄYt = ëÄXt + u[Yt_1 - âXt_1] + St (1)

Ce qui revient a` décomposer un processus stationnaire (ÄYt) en une somme de deux processus stationnaires (ÄXt et (Yt_1 - âXt_1)). De facon plus générale que (1), ces modèles s'écrivent :

ÄYt = u + Pp i=1 aiÄYt_i + Pq j=0 biÄXt_i + c[Yt_1 - âXt_1] + çt

o`u les variables interviennent soit a` travers leurs différences premièressuposées stationnaires, soit a` travers un terme d'écart a` la cible a` long terme, a` la période précédentequi doit être stationnaire si la théorie économique sous-jacente est pertinente.

Source : Charpentier A., Séries temporelles et applications.

EncadréD2 : Cointégration entre plusieurs variables: L'approche de Johansen

La cointégration selon l'approche de Johansen vient généraliser celle de Engle et Granger formalisée en 1987. La procédure de test de cointégration et d'estimation du VECM par Johansen, se résume en cing étapes.

Etape 1 : Test de stationnaritésur les séries pour déterminer s'il y a possibilitéde cointégration ou non.

Etape 2 : Si le test de stationnaritémontre que les séries sont intégrées d'un même ordre, il y a alors risque de cointégration. On peut envisager l'estimation d'un modèle VECM. Pour ce faire, on commence par déterminer le nombre de retards p du modèle VAR(p) a` l'aide des critères d'information.

Etape 3 : Mise en place du test de Johansen permettant de connaàýtre le nombre de relations de cointégration.

Etape 4 : Identification des relations de cointégration, c'est a` dire des relations de long terme entre les variables.

Etape 5 : Estimation du modèle VECM et validation des tests usuels : Significativitédes coefficients, vérification que les résidus sont bruits blancs, etc.

Source : Hamisultane H., Modèle a` correction d'erreur et application.

La détermination du retard optimal p* se fait au moyen des critères d'information. Elle est préalable a` l'estimation des paramètres du modèle. La littérature en propose au moins cinq.

- Le sequential modified likelihood ratio LR = (T-m) {ln |11p-1| - ln|11p|} ~ ÷2(k2) o`u m est le nombre de paramètres a` estimer et T la longueur des séries. On teste l'hypothèse nulle de nullitéconjointe des coefficients.

[ ]

+ 2k2p

- L'Akaike Information Criterion AIC(p) = ln det 11à T

[ ] + 2k2p ln(T )

- Le Schwarz Information Criterion SC(p) = ln det 11à T

[ ] + 2k2p ln(ln(T ))

- L'Hannan-Quinn Information criterion HQ(p) = ln det 11à T

Le Final Prediction Error FPE(p) = det

ip

11à hT +kp+1

T +kp-1

Pour les quatre derniers critères, le retard optimal est celui qui minimise le critère d'information.

Source : KEMOE L. (2010), p119

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"Soit réservé sans ostentation pour éviter de t'attirer l'incompréhension haineuse des ignorants"   Pythagore