WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

La communication interne de la Direction Générale des Impôts(DGI)

( Télécharger le fichier original )
par Elie KAYUWA
Université pédagogique nationale (UPN) - Diplome en science de l'information et de la communication 2009
  

Disponible en mode multipage

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

INTRODUCTION

I.PROBLEMATIQUE

La communication interne apprend à une entreprise d'entreprendre l'apprentissage d'une communication raisonnée en mobilisant quand cela est nécessaire, les technologies de l'information et de la communication.

En effet, comme l'affirmait déjà CLAUDE DUTERME dans son livre «communication interne en entreprise» que la communication interne émerge nécessairement et constamment dans l'entreprise1(*). Depuis le « bonjour» du matin jusqu'à l'assemblée générale avec le discours du PDG en passant par les ordres et les discussions autour du café.

Dans une entreprise, la communication est l'ensemble des techniques et moyens lui servant à se présenter elle-même son activité ou ses produits et services2(*).

Par ailleurs si l'on constate au regard de l'histoire de la pensée depuis ses origines, on découvre que la communication interne participe au bon fonctionnement de l'entreprise, en fournissant la cohérence, l'unité, des relations sociales harmonieuses, la pluralité et une culture commune.

Ce travail convient aujourd'hui dans la mesure où il permet d'identifier, d'analyser et d'évaluer les champs, les modalités et les stratégies de la communication de l'entreprise, ses modes de communication et ses stratégies de communication.

Au- delà des techniques qui leur sont communes, les grandes distinctions entre les différentes catégories de communication d'entreprise se font selon le public qu'elles visent et selon l'objet qui est le leur. En dépit de ce qui précède et pour arriver au but, notre étude repose autour de la question principale ci-après :

Est-ce que la communication peut-elle participer au bon fonctionnement de l'entreprise ?

De cette préoccupation déroulent les questions subsidiaires suivantes :

- Quelles sont les différentes techniques de la communication interne utilisées par la DGI ?

- Quelles sont les avantages qu'offre la communication pour la DGI ?

Dans les cas échéant, ces questions constituant le processus d'élaboration de notre travail d'étude de communication interne dans une entreprise.

II. HYPOTHESE

L'hypothèse est pour un chercheur ce qu'est la lampe pour un voyageur de nuit. Même dans un travail descriptif, ils s'avèrent important de se munir d'une hypothèse minimale dans la recherche des faits : «l'hypothèse est une proposition de réponse à la question posée(...) même plus ou moins précise, elle aide à sélectionner les faits observés (...) l'hypothèse suggère la procédure de recherche3(*)

Mongi Ferjani indique : «Quel que soit la nature d'activité de l'entreprise ; l'encadrement ne peut se détacher de ses fonctions essentielles à savoir la planification, l'organisation, la direction et le contrôle. C'est précisément autour de ces fonctions que le rôle de l'encadrement devrait être structuré4(*)

- la planification est une démarche rationnelle qui vise la réalisation d'objectifs préétablies à partir d'une situation actuelle. C'est un processus volontariste de fixation d'objectifs, de déterminations des moyens à mettre en oeuvre pour les réaliser et de définition des étapes à franchir pour les atteindre5(*).

- l'organisation applique la dotation de l'entreprise des méthodes de travail, tout en coordonnant les activités de chacun dans le cadre d'une structure donnée. Celle-ci peut être définie comme l'ensemble des moyens employés pour diviser le travail entre taches. Distinctes et pour, en suite assurer la coordination nécessaire entre ces taches6(*).

Afin d'atteindre les objectifs visés, par exemple l'introduction des nouvelles technologies de l'information et de la communication,

Précise Asma Harelli, Il est nécessaire que certaines actions soient entreprises «de la sensibilisation, à la diffusion de l'information, en passant par l'habilitation et en fin aux supports, par ces actions, le gestionnaire vise tous ceux qui sont impliques dans le changement7(*)

En réponse à la problématique qui guide notre recherche, nous formulons l'hypothèse de recherche suivante :

Pour sensibiliser son public interne sur les axes principaux du développement de l'entreprise conformément aux objectifs poursuivis, la DGI recourt aux techniques traditionnelles de diffusion de messages.

III.METHODE ET TECHNIQUE DU TRAVAIL

La méthode en soi peut être considérée comme un ensemble concerté d'opérations ; mises en oeuvre pour atteindre un à plusieurs objectifs, un corps de principes présidant à toute recherche organisée, un ensemble de normes permettant de sélectionner et de coordonner les techniques8(*).

La méthode est liée à une tentative d'explication. Ce travail qui se focalise sur une institution sociale en vue d'étudier les mécanismes de fonctionnement, se place sur la voie sociologique.

La technique, souligne le professeur OKOMBA, W. est comme la méthode, une réponse à «comment.» c'est un moyen d'atteindre un but mais elle se situe au niveau des faits ou des étapes pratiques : « la technique représente les étapes d'opérations limitées, liées à des éléments pratiques, concrets, adaptés à un but défini, alors que la méthode est une conception intellectuelle, coordonnant un ensemble d'opérations. En général plusieurs techniques». Dans le cadre de ce travail l'observation participante, l'analyse documentaire, l'interview et des entretiens ont été utilisées comme techniques de collecte des données.

IV.CHOIX ET INTERET DU SUJET

Notre choix et notre intérêt portent sur la DGI d'une part parce que non seulement il faut maximaliser les recettes de l'état pour la reconstruction du pays, et d'autre part parce que la DGI est une des directions du ministère de finance de l'Etat, afin de réaliser les objectifs du budget de l'Etat.

Cette étude permet aussi d'étaler, dans l'élan d'une analyse objective, les différentes stratégies mises en place par l'institution soumise à l'examen en vue de juger son efficacité.

L'importance de l'étude est des lors inhérente à la découverte à laquelle elle conduit, laquelle découverte pouvait inviter éventuellement à un réajustement des mécanismes en fonction. Ceci en faveur de l'épanouissement de l'organisation.

V.DELIMITATION DU SUJET

Ce travail comme tout autre travail scientifique, est limité dans le temps et dans l'espace. Dans le temps, il se concentre sur les six derniers mois du fonctionnement de la direction. Du point de vue de l'espace, ce travail concerne la DGI.

VI.DIVISION DU TRAVAIL

Le présent travail est subdivisé en trois chapitres, précédé, rationnellement par une introduction et se terminant par une conclusion.

Le premier chapitre, donne les notions théoriques sur les quelles se base notre étude. Dans Le deuxième chapitre, il est question de la présentation de la DGI. Enfin, le troisième et dernier chapitre estconsacré à la vérification de l'hypothèse, fait l'analyse des donnés.

CHAPITRE I: CADRE CONCEPTUEL ET THEORIQUE

Dans ce premier chapitre, nous allons examiner essentiellement les concepts de communication et de communication interne qui demeurent au centre de notre étude.

I.1. la communication

I.1.1. approche définitionnelle

Le concept «communication» a fait l'objet depuis quelques années de plusieurs recherches.

Etymologiquement, la communication donne l'idée de la relation à l'autre. Selon jean lohisse9(*), elle définie comme action de communiquer avec quelqu'un ou encore un échange verbal entre locuteurs.

Comme le note G.A Miller, la communication est un besoin naturel, car tout le monde communique.

De son côté, Hovland affirme que la communication est un processus par lequel un individu (le communicateur) transmet des stimuli (souvent il s'agit de stimuli verbal) afin de modifier le comportement d'autres individus (des récepteurs)10(*).

Abraham molles la définit comme l'action de faire participer un individu ou un organisme située à une époque, à un point donné, aux expériences stimuli d'un environnement à une autre qu'elles ont eu en commun11(*).

Enfin, ce terme peut être compris comme le fait pour une personnalité, un organisme, une entreprise de se donner telle ou telle image vis-à-vis du public12(*).

Ces différentes définitions, données par des chercheurs, nous amènent à identifier plusieurs types de communication, notamment la communication écrite, orale, gestuelle, etc. ces modes de communication sont rencontrés dans la pratique communicationnelle courante dans la société, si bien que la règle consacrée par la théorie pragmatique, à savoir « on ne peut pas ne pas communiquer » se vérifie dans la vie communautaire. Au fait, la communication reste une pratique qui fonde la société.

Dr. Hesnenard dit de ce concept qu'il est un besoin qui constitue une condition première pour un être humain13(*).

Aussi pour exister, ajoute-t-il, il faut s'exprimer. D'autres chercheurs dans le domaine médical soulignent, pour leur part, le caractère vital que constitue, pour l'homme, tout acte de communiquer.

Paul watzlawick, un des ténors de l'école de PALO ALTO, soutient, quant à lui, qu'«un comportement n'a pas de contrainte ». En d'autres termes, cette observation signifie qu'il n'existe pas de nom comportement. Cette approche psychologique en rajoute à la valeur de communication pour l'être humain. Car, le comportement d'une personne demeure perceptible dans son mode de communiquer, d'entrer en relation avec les autres membres de la communauté ou l'environnement dans lequel il meut.

Le phénomène de communication a été aussi observé par d'autres scientifiques. C'est notamment le cas de Gilles willet, qui note que « depuis qu'il existe, le vivant ne fait que communiquer14(*)».

Par ailleurs, retraçant son historique, Yves Winkin affirme que le phénomène de communication a connu une évolution à travers le temps. Il rappelle que ce terme est apparu au cours de la 2e moitié du 14e siècle. A cette époque, renseigne-t-il, la communication signifiait «participer à mise en commun ». Deux siècle plus tard, c'est-à-dire vers la fin du 16eme siècle, communiquer, signifiant transmettre, devenait à la fois l'objet et les moyens de cette mise en commun ou de la transmission15(*).

I.1.2. Les éléments de la communication

Les recherches menées à partir de 1891 par Gregory Bateson, un anthropologue américain d'origine suisse, ont apporté un nouvel éclairage sur ce sujet. Avec une équipe de chercheurs placée sous sa direction, ils ont affirme que la communication ne se rapporte pas seulement à la transmission des messages verbaux, explicites et intentionnels. Mais, elle inclut également l'ensemble des processus par lesquels les sujets s'influencent mutuellement16(*). Il apparait clairement que cette définition se base sur l'idée que tout action et tout événement offrent des aspects communicatifs dès qu'ils sont perçus par un être humain.

I.1.3. DIFFERENCE ENTRE COMMUNICATION ET INFORMATION

Il nous parait nécessaire à ce niveau, de clarifier les concepts de communication et information qui sont souvent utilisés l'un à la place de l'autre. Selon Lohisse, le mot information vise les objectifs bien déterminés des nouvelles (news), des données (data) des savoirs (knowledge)17(*).

Ce concept est utilisé dans beaucoup de domaines. C'est ainsi que l'on parle de l'information judiciaire, de l'information journalistique, etc.

Des nos jours, l'information est également comme un élément de connaissance susceptible d'être codé pour être conservé, traité ou communiqué. C'est l'approche que le dictionnaire la Rousse donne à ce concept18(*).

Nous ne serions pas complets dans cette section sans parler de deux aspects que présente le concept communication, à savoir : le contenu et la relation. Au fait, la communication à appréhender dans ces deux dimensions. La relation entre les deux pôles engagés dans le processus communicationnel détermine le contenu de l'échange. De même que chaque contenu donné dans l'interlocution reflète la nature de la relation entre interlocuteurs.

I.1.4. COMMUNICATION ET LANGAGE

La communication, telle que définie et présentée dans les sections précédentes, n'est opérationnelle qu'au moyen d'un langage. Dans sa plus large acception, le langage est présenté comme un système cohérent des signes codés qui rende possible toute communication entre au moins deux instances. Ces signes peuvent être verbaux (parlé), graphique ou gestuels. A ces modes de langage correspondent différentes formes de communication : verbale, écrite et gestuelle rencontrées dans la société.

I.1.5. ARTICULATION «ORGANISATION ET COMMUNICATION

Il existe des liens entre la communication et l'organisation. L'organisation fait référence à l'institution qui est, selon Annie Bartoli, un ensemble organisé. Elle peut représente l'entreprise ou toute autre forme d'organisation19(*). Concrètement, l'organisation correspond à tout groupe d'homme constitué dans le but d'atteindre certains objectifs. Il ya lieu de noter ici que ce concept ne renvoie pas à n'importe quel regroupement humain. Il s'agit, comme le note Bartoli, « d'un ensemble structuré de composantes et d'interactions d'où résultent délibérément des caractéristiques que l'on ne trouve pas dans les éléments composants20(*)

C'est en ce rapportant à la définition de l'organisation qu'intervient la place de la communication dans ce concept. En effet, comme élément de jonction, c'est grâce à la communication que les composantes de l'organisation sont mises en relation. Ce lien organisation-communication reste très important dans une société du fait que celle-ci est en soi une « super » organisation et un ensemble d'organisations que sont les institutions et les structures qui la composent. La marche de la société et/ou de ses institutions est également liée au bon fonctionnement du processus communicationnel en son sien.

I.1.6. LES FONCTIONS DE LA COMMUNICATION

Comme souligne ci-haut, l'information reste un élément très déterminant de la cohésion sociale. Elle intervient à tous les niveaux de la sphère sociale. Aussi, remplit-elle des fonctions qu'Ekambo et Munkeni regroupent en huit catégories21(*).

I.1.6.1. FONCTION D'INFORMATION

L'information consiste en des données, des faits, des massages, des opinions, des nouvelles et des commentaires qui méritent d'être assemblés, stockés, traités et diffusés en vue de comprendre de manière intelligente et sans équivoque les situations individuelles, collectives, nationales et internationales. C'est grâce à la maitrise des faits et à leur compréhension que le récepteur prendra des décisions nécessaires qui vont modifier sa situation.

I.1.6.2. FONCTION DE SOCIALISATION

Cette fonction permet de constituer un fond commun de connaissances et d'idées permettant à tout individu des s'intégrer dans le contexte de la société dans laquelle il vit. Ces valeurs une fois acquises, l'individu devient apte à participer à la vie communautaire.

I.1.6.3. FONCTION DE MOTIVATION

C'est une fonction communicationnelle aidant l'individu vivant en société de poursuivre les objectifs immédiats et les finalités ultimes de sa communauté. Cette fonction appelle notamment une société permanente de la communication entre membres de la communauté.

I.1.6.4. FONCTION DE DIALOGUE ET DISCUTION

Par sa fonction de dialogue et discussion, la communication permet de fournir au récepteur les éléments pertinents, avec comme finalité le renforcement de son intérêt et sa participation aux problèmes locaux, nationaux et internationaux.

I.1.6.5. FONCTION D'EDUCATION

Cette fonction érige la communication en instance de transmission des connaissances nécessaires au développement de l'esprit, à la formation du caractère et à l'acquisition des compétences et des aptitudes à tous les périodes de la vie.

I.1.6.6. FONCTION DE PROMOTION CULTURELLE

La communication, ici permet de diffuser les oeuvres artistiques et culturelles pour préserver l'héritage du passé.

I.1.6.7. FONCTION DE DISTRACTION

Cette fonction consiste à diffuser, au moyen des signes, de symboles, des sons et des images, des activités individuelles ou collectives, telles que le théâtre, la dense, la littérature, la musique, le sport, le jeu.

I.1.6.8. FONCTION D'INTEGRATION

La communication dans ce cas précis, cherche à favoriser l'accès à la diversité des messages dont toute personne, groupe ou nation a besoin pour se connaitre et se comprendre mutuellement, pour apprendre les conditions, les points de vue et les aspirations des autres.

I.1.7. PROCESSUS DE COMMUNICATION

Selon le dictionnaire Robert, le processus « est un ensemble actif des phénomènes organisés dans le temps, une suite ordonnée d'opérations22(*).» En communication, le processus renvoie au déroulement de l'acte communicationnel. Ce dernier meut dans la réunion de cinq principaux éléments, à savoir : l'émetteur, le récepteur, le message, le canal et le contexte. La réussite de l'acte communicationnel est tributaire de la prise en compte, moment de l'élaboration et du déroulement, des principes qui régissent chacun de ces éléments.

L'émetteur et le récepteur sont présents comme les acteurs du processus communicationnel. Ils sont les deux pôles de la communication, l'un comme point de départ du message et l'autre comme son point d'arrivée.

Il y a communication entre ces deux pôles lorsque les deux acteurs baignent dans un même contexte, partage le même code et sont liés par un canal.

Dans son cours d'expression orale et écrite, Mbelolo ya Mpiku23(*), qualifie le message comme l'information que l'émetteur transmet au récepteur. Il constitue, selon lui, l'objet de la communication. Tandis que le code est la forme que prend l'information. Il s'agit des mots, des images ou des signes. Le canal pour sa part reste l'instrument ou le moyen par lequel le massage part de l'encodeur vers le décodeur. Le contexte est défini comme l'ensemble des circonstances, des occasions, des dispositions qui font que l'émetteur envoie son message et qui aide le message à être bien décodé.

La relation entre ces facteurs de la communication peut être représentée comme suit :

I.2. LA COMMUNICATION INTERNE

I.2.1. NOTION SUR LA COMUNICATION INTERNE

La communication interne est l'ensemble des actions de communication mis en oeuvre au sein d'une entreprise ou organisation en destination de ses salariés.

La communication interne s'inspire de plus en plus souvent des techniques de communication marketing. Elle est une composante d'un système global d'organisation de flux d'information et des échanges. Sa particularité réside moins dans les techniques de communication utilisées que la cible visée, soit l'ensemble de salariés d'une entreprise et dans les objectifs particuliers qui sont poursuivis.

En entreprise plus qu'ailleurs, l'information qui est la matière première de décision, n'est pas donnée mais elle est construite. La communication interne remplit de multiples fonctions :

- exposer des résultats,

- transmettre des informations,

- expliquer une nouvelle orientation,

- motiver les collaborateurs ou les salariés,

- rassembler les acteurs d'un projet d'entreprise.

M.H WESTPHALEN, affirme qu' «on ne peut demander à des hommes de participer à une oeuvre collective en aveugle24(*).» la communication interne s'inscrit aussi dans une démarche sociale qui répond aux attentes légitimes de salariés ou collaborateurs en matière d'information. « On ne peut bien travailler des employés, les mobiliser que s'ils ont conscience de ce à quoi sert leur travail ; s'ils connaissent et acceptent les finalités, les objectifs de l'entreprise»

Aujourd'hui les salariés ont besoins d'être informés sur l'état de santé de l'entreprise, ses succès, mais aussi ses échecs25(*).» le but de la communication interne est donc d'informer pour motiver et impliquer le personnel dans la vie de l'entreprise, résoudre ou atténuer les difficultés d'ordre organisationnel, social ou de management. La communication interne est la condition primordiale pour assurer la cohérence avec son image de marque.

I.2.2. LES OBJECTIFS DE LA COMMUNICATION INTERNE

La communication interne a pour objectif, «d'informer, impliquer et motiver26(*)», la communication interne à de multiples fonctions. Rappelons d'abords ce qui devrait être une évidence on ne peut pas bien communiquer en externe si on ne communique pas bien en interne. Dans les entreprises qui réussissent, les agents communiquent entre eux.

Les fonctions de base de la communication sont :

1. Informer : c'est transmettre et faire circuler l'information ou le (message) qu'elle soit l'ordre décisionnel, opérationnel ou général. L'objectivité de l'information (prévisions, budgets, programmes, contrôles...) est une condition absolue ; elle implique des instruments de mesure suffisamment élaborés et pose aussi la question de la «veille technologique», ou comment faire circuler l'information sans trahir des secrets dans un contexte économique de plus en plus concurrentiel.

2. Impliquer et motiver

Il s'agit de développer le sentiment «d'appartenance» de créer un esprit d'entreprise, d'entretenir un climat de confiance et d'estime, de permettre au salarié de s'accomplir, de se développer dans son travail. Pour atteindre ces objectifs, une bonne connaissance de l'entreprise par le personnel s'avère indispensable. Si la satisfaction du besoin social, du besoin d'estime et du besoin de réalisation de soi, dépend en partie de la qualité de la communication interne, cette qualité repose quant à elle sur la volonté réelle de communication de dirigeants. Cela implique non seulement la mise en oeuvre de moyen dynamique, mais aussi l'allocation à la communication d'un budget.

Difficile à réaliser, à maitriser, la communication contribue fortement à la fonction d'une image de marque dynamique, mais elle exige également une cohérence entre ses branches externe et interne.

Diverses formules sont mises en places pour motiver le personnel :

a. Plaquette d'entreprise ;

b. Livret d'accueil ;

c. Journal d'entreprise ;

d. Cercles de qualité ;

e. Projets d'entreprise (mode de penser et d'agir, grands objectifs de l'entreprise) ;

f. Elaboration de groupes d'expression ;

g. Aménagement communication ascendantes (réunions de travail de groupe de réflexion...) ;

h. Participation institutionnelle ;

i. Audit inde la communication interne dans sa globalité ou sur une action déterminée ;

j. Expression directe, dialogue in formel ou réunions périodiques ;

k. Boite à idées.

CHAPITRE II : PRESENTATION DE LA DIRECTION

GENERALE DES IMPOTS27(*)

Ce chapitre présente la Direction Générale des Impôts, lieu de nos investigations. Pour cette direction, les points à décrire sont : la situation géographique, l'aperçus historique, l'objet social et la nature juridique, l'organisation administrative et fonctionnelle.

II.1 .SITUATION GEOGRAPHIQUE

La Direction Générale est située au croisement des avenues de marais et de la province orientale (Direction nouvelle banque de Kinshasa) l'hôtel des impôts est un immeuble de sept niveaux, malheureusement inachevé les services du building Reine Astrid, sur l'avenue du port, c'est-à-dire deux se trouvent dans la commune de la GOMBE.

II.2. APERCUS HISTORIQUE

Dans cette partie, nous contentons de donner juste l'historique de la Direction Générale des Impôts dans ses trois grandes étapes de son évolution à savoir :

- La période pendant laquelle les impôts étaient géré par la direction du secrétaire du ministère des finances, elle se situe entre 1960-1988 ;

- La période de la création de la Direction Générale de contribution, elles se situent entre 1988-2003 ;

- La période de la création de la Directions Générale des Impôts (DGI) ayant vu le jour le 02 mars 2003 jusqu'à ce jour.

Avant 1988 la Direction Générale des Impôts n'était qu'une Direction au sein du Secrétaire Générale des finances. Elle avait pour mission d'assurer la gestion de la matière fiscale, c'est-a-dire cette direction avait toutes les missions d'évoluer à toute administration fiscale à savoir :

- La taxation ;

- Le contrôle fiscal ;

- Le recouvrement fiscal.

Au fil du temps, il s'est avéré que cette structure n'a pas permis à l'administration fiscal d'atteindre les objectif qui lui on été assignés en dépit de la perception des bonnes recettes favorisées sur tout par l'environnement politique et économique serin de cette époque.

Cette situation est due au disfonctionnement d'ordre administratif et organique caractérisé par les faits ci - âpres :

- L'existence de plusieurs autres des décisions pour inciter des missions de contrôle auprès des contribuables ;

- La manque de coordination des activités fiscales sur l'ensemble de fertaire national dû à l'existence de plusieurs centres d'impulsion et des décisions ceci procédait du fait que les bureaux provinciaux des contributions relevaient de la compétence du chef de division provinciaux de finances le directeur chef de service des contributions n'exerçants sur les bureaux qu'une telle technique ;

- Les difficultés d'adaptation de la législation à l'évolution de la conjoncture économique ;

- La dépendance de la direction des contributions à l'autorité du secrétaire général aux finances qui entrainait la lourdeur dans le fonctionnement de cet important service et conduisaient à une manque d'efficacité ;

- La manque de motivation des agents étais mis sous un même barème salarial que ce de fonction politique ;

- L'insuffisance des crédits alloués à ce service.

En outre, cette direction dépendait d'un même budget que les autres directions du Ministère des finances et les services régionaux des contributions étaient placés sous l'autorité de chef de division régionale des finances, donc ils ne relevaient pas de l'autorité du directeur de contribution(DGI).

Ainsi, ce disfonctionnement administratif réduisait sensiblement l'efficacité de la direction des contributions et l'empêchait de fonctionner de manière adéquate.

Eu égard aux impératifs de la contribution nationale par l'apport de tous ces contribuables congolais ou résidents requiert une intense sur le caractère obligatoire des droits dus au trésor public.

Il s'avère que dans sa quasi - totale des Etats du monde, le concept«Impôt» est usage, le maintient du terme«contribution» dans notre langage fiscal ne facilite pas toujours la compréhension de nos partenaires bilatéraux.

Les taxes qui régissent la fiscalité de la République Démocratique du Congo étaient réunis dans «le code de contribution» chacun de ces textes comportais ses propres procédures.

Par ailleurs, certains aspects de cette procédure sont devenus archaïques et ne permettent pas une gestion moderne de l'impôt.

En effet, la création récente de la Direction Générale des Impôts (DGI) en lieu et place de la direction générale de contribution(DGC) par décret n° 17/2003 du 2 mars 2003 portant création de la direction générale des impôts (DGI) répond à une double préoccupation :

Une volonté de mobilisation effective des recettes en agissant sur le concept à cause de sa force de persuasion ;

Un concept sociologique de terme impliquant la responsabilité devant l'Etat en payant l'impôt parce qu'il s'impose.

Pour répondre aux attentes du public, l'autorité publique assigne à la direction générale des impôts toutes les missions et prérogatives en matière fiscale notamment celles concernant l'assiette, le contrôle, le recouvrement et le contentieux des impôts, taxes, redevances et prélèvent à caractères fiscal.

II.3.OBJET SOCIAL ET NATURE JURIDIQUE

En date du 10 mars 1988 fut publié l'ordonnance loi n° 88 - 039 stipulant en l'article 1er ce qui suis «il est crée au sein du Ministère des finances, un service doté d'une autonomie administrative et finances, dénommé la direction générale des impôts (DGI)»

La direction générale des impôts, une cellule étatique émanant du Ministère des finances vise sans doute dans la mesure du possible, la maximisation des recettes pouvant couvrir la charges publiques de la procuration à la puissance publique des recettes qu'elle estime nécessaire et aussi à prévoir le montant des recettes avec la plus grande prévision possible.

Afin d'éviter que l'Etat n'ait à faire à des difficultés des trésoreries et pour qu'il puisse connaitre les ressources dont il disposera pour financer sa politique. C'est ainsi que la direction générale des impôts doit assurer la gestion de la matière fiscale à travers une administration fiscale seine.

La création de la direction générale des impôts avait pour objectif d'améliorer les rendements des services des impôts, en vue de donner au gouvernement les moyens nécessaires à sa politique en supprimant les insuffisances qui handicapaient dans le fonctionnement de services des contributions de l'ancienne organisation.

II.4. ORGANISATION ADMINISTRATIVE ET FONCTIONNELLE

Les succès d'une entreprise nécessitent l'emplacement d'une organisation qui met en exergue les taches et les missions de chaque personnel afin de concrétiser un résultat favorable. La direction générale des impôts respecte cette norme.

II.4.1.ORGANISATION ADMINISTRATIVE

La direction générale des impôts est coordonnée par un directeur général suivi d'un directeur adjoint en exerçant ses taches, le directeur général délégué ses qualités en partie ou entièreté au directeur général adjoint et, enfin le dernier est substitué provisoirement dans l'exercice de ses fonctions par un directeur choisi par le ministre.

La direction générale des impôts est composée d'une part de l'administration centrale.

II.4.1.1. ADMINISTRATION CENTRALE

Par sa lettre n° 755/CAB/MIN/FIN/97 du 10 novembre 1997, par MAWAMPANGA MWANA NAGA la direction générale des impôts comprend actuellement huit directions qui sont :

1. la direction de l'inspecteur général de services ;

2. la direction de ressources humaines ;

3. la direction des études et informatique ;

4. la direction de gestion financière et services généraux ;

5. la direction de contrôle fiscal et recherche ;

6. la direction de recouvrement ;

7. la direction de contentieux

II.4.1.2. ADMINISTRATION PROVINCIALE

Notre pays est composé de onze provinces fiscales et chacune d'elles est coordonnée par un directeur provincial des impôts.

Cette administration renferme tous services installés à la direction centrale et à la réserve des études informatiques.

A ce titre, la direction se transforme en une division et, par ailleurs, nous énonçons les divisions qui sont opérationnelles :

- La division de l'inspection provinciale ;

- La division de gestion des ressources humaines et services généraux ;

- La division de taxation et de service généraux,

- La division de recherche et contrôle fiscal ;

- La division de recouvrement ;

- La division de contentieux.

II.4.2.ORGANISATION FONCTIONNELLE

II.4.2.1.ADMINISTRATION CENTRALE

a. La direction de l'inspection générale des services

Cette direction a pour mission le contrôle de tous les organismes fonctionnels considérés comme une structure de la direction générale des impôts. C'est donc un cadre des surveillances, un qui met en pratique le suivi des textes, gestion, de contre vérification.

C'est une direction essentielle pour les succès de la direction générale des impôts.

b. La direction de ressources humaines

Elle gère le personnel, a également pour mission d'organiser le recrutement, des formés les agents, les stagiaires.

Cette direction renferme deux divisions :

- La division de ressources humaines ;

- La division des affaires sociales.

c. La direction des études et informatique

Cette direction a pour mission de centraliser, examiner les statistiques fiscales, d'établir et de donner des propositions sur le projet de textes fiscaux et l'instruction du dossier soumis au directeur général.

Elle coordonne la conception des applications informatiques, la programmation de ces applications et leurs pratiques.

d. la direction de gestion financière et services généraux

C'est la direction qui s'occupe de la gestion financière, de la fourniture du matériel de l'immeuble et meuble, ainsi que les engagements de la direction générale des impôts.

Elle comprend deux divisions qui sont :

- La division de gestion financière ;

- La division de services généraux.

e. La division de taxation et de service généraux

C'est une direction qui est chargé d'élaborer de programme de contrôle au niveau de l'exécution des opérations de contrôle au niveau national. Elle assure aussi les travaux des recherches et recensement des contribuables et des matières imposables.

Cette direction renferme trois divisions :

- La division de programmation ;

- La division de recherche et recouvrement ;

- La division de contrôle fiscal.

f. La direction de recouvrement

Elle est chargée des opérations de recouvrement à l' égard des contribuables. Les plus important de l'élaboration de la coordination, de la supervision des procédures en territoire congolaise.

La direction de recouvrement comprend deux divisions :

- La division de recouvrement ;

- La division de statistique et apurement.

g. La direction de contentieux

C'est la direction qui a pour mission d'instruire toutes les affaires contentieuses des activités de la direction générale des impôts.

Elle comprend ;

- la division des contentieux

- la division des régimes fiscaux d'exception

II.4.2.2. Administration provinciale

La direction de l'inspection provinciale des services comme celle de l'administration, elle s'occupe de la contre vérification des services provinciaux sur demande du directeur provincial.

La division de taxation et documentation

La division de recherche et contrôle fiscale

La division de recouvrement

La division de contentieux

II.4.2.3. La catégorie des agents

Conformément à l'article 18 du statut de la fonction publique, la structure administrative de la direction générale est subdivisée en trois catégories d'emploi à savoir ;

a. Les emplois de commandement

- le directeur général

- le directeur général adjoint

- le directeur

- le chef de division

- le chef de bureau

b. Les emplois de collaborations

- l'attache du bureau de 1ere classe

- l'attache du bureau de 2eme classe

- l'attache du bureau de 3eme classe

c. Les emplois d'exécution

- l'agent de bureau de 2eme classe

- l'agent auxiliaire de 1ere classe

- l'agent auxiliaire de 2eme classe

- l'huissier.

Ces personnes relevant de la direction générale des impôts sont soumises aux dispositions générales des statuts du personnel de la carrière de services publics de l'état.

CHAPITRE III: ANALYSE DES DONNEES

Ce troisième chapitre de notre travail est consacré à la vérification de l'hypothèse. Pour ce faire, nous dressons le protocole d'analyse des données recueillies sur le terrain dans la première section, avant de procéder à l'analyse proprement dite de ces derniers dans la deuxième section.

III.1. PROTOCOLE D'ANALYSE

Nous avons retenu comme hypothèse de notre travail que «pour sensibiliser son public interne sur les axes principaux du développement de l'entreprise conformément aux objectifs poursuivis la DGI recourt aux techniques traditionnelles de diffusion des massages».

De cette hypothèse nous retenons les concepts suivants qui doivent être opérationnalisés :

Sensibiliser, axe du développement conformément aux objectifs poursuivis, DGI., technique traditionnelle de diffusion de message. L'opérationnalisation de ces concepts nous permettra de vérifier leurs indicateurs sur terrain.

1 Sensibiliser

En plus de l'idée de diffusion de quelque chose, ce verbe adopte plus une approche de responsabilisation. Sensibiliser signifie responsabiliser.

Il peut être opérationnaliser comme suit :

2 Axes principaux du développement.

Par axe principaux du développement, nous entendons les objectifs poursuivis ou visés par la DGI. Et pour lesquels elle sensibilise son public interne, diffuse les informations pour les impliquer dans le changement.

3 DIRECTION GENERALE D'IMPOTS

Ce concept, comme défini précédemment, est la structure qui définit les axes principaux de développement(les objectifs) et qui s'occupe de son application. Dans le processus de communication soumis à l'étude, il est l'instance par laquelle part le message, donc l'émetteur.

4 Techniques traditionnelles de diffusion de message

Ce concept renvoie concrètement, dans le présent travail, aux différents supports employés par la Direction Générale des Impôts. Il est à noter que l'emploi de ces techniques ainsi que leur efficacité sont largement tributaires des moyens financiers mis en place.

La DGI recourt principalement à l'exécution, qui est amplifié par les notes de service et le bulletin flash Impôt

III.2. ANALYSE

Dans cette partie du troisième chapitre, nous nous employons à analyser les différentes données en vue de révéler l'efficacité des actions menées par la DGI. Pour sensibiliser son public interne sur les axes principaux de développement. Cette analyse se fait en même temps que l'interpellation des données.

Pour plus de commodité, nous avons regroupé ces données en deux catégories : la technique employée et le message diffusé. La réussite de l'acte communicationnel dépend de certains paramètres liés à chacune de ces catégories.

1 Technique de diffusion

Nous avons indiqué que la DGI utilise les notes de service et le bulletin flash impôts pour communiquer son message.

2 Message transmis

Une analyse pragmatique du discours renseigne que les actes accomplis par les propositions relevées sont des actes regulatifs. En effet, il s'agit des invitations à adopter des attitudes précises que l'émetteur lance aux récepteurs. Les actes regulatifs modifient le comportement du destinataire du message sous certaines conditions notamment l'intérêt que doit revêtir le message et la volonté de la part du destinataire à y obtempérer. La réunion de ces conditions révèle de la compétence de l'acteur du message qui doit donner à son message les caractéristiques propre à obtenir une modification du comportement chez le destinataire. Pour, ce faire, pensons-nous, le travail de la DGI sur le terrain devrait bénéficier d'un apport d'experts en communication.

CONCLUSION

Parti du fait que dans une entreprise, la communication est l'ensemble des techniques et moyens lui servant à se présenter elles même son activité ou ses produits et services et aussi du fait qu'au-delà des techniques qui leur sont communes, les grandes distinctions entre les différentes catégories de communication d'entreprise se font selon le public qu'elles visent et selon l'objet qui est le leur, cette étude a cherché à connaitre les différentes techniques de la communication interne utilisées pour la DGI. La DGI qu'a pour mission de maximalisé les recettes de l'état, utilise des techniques traditionnelles de diffusion de message pour ce faire.

Telle est l'hypothèse de travail, que nous avons pu vérifier à travers toute l'étude, avant d'avoir indiqué la méthode de travail, sociologique, l'intérêt du sujet et la limite du travail, qui s'est subdivisé, par ailleurs en trois parties.

Le chapitre premier a donné l'approche théorique de la question. Il s'est agit de préciser les notions de la communication et de la communication interne sur lesquelles s'est basés notre étude.

Le deuxième chapitre a présenté la Direction Générale des Impôts. L'exposé historique de cette direction nous a permis d'en connaitre son origine.

Le troisième chapitre a porté sur la vérification. Nous avons ici, épinglé deux catégories de données, notamment la technique employée et message émis.

Notre travail s'est achevé pou une conclusion générale.

BIBLIOGRAPHIE

I.OUVRAGE

1. BATESON, Communication et organisation pour une politique générale cohérente, paris, organisation, 1990 ;

2. Claude DUTERME, LA COMMUNICATION INTERNE EN ENTREPRISE éd. 2002 ;

3. GRAWITZ, N., Méthode des sciences sociales, paris, Dallas, 3e éd., 1976 ;

4. HESNENARD, Communication modélisée, Ottawa, éd. du renouveau pédagogique, 1992 ;

5. LOHISSE, J., La communication : de la transmission à la relation bruxelles, de Boeck-université, 2001 ;

6. N. Aldosa, M. le Bihan et M. Monin, information, communication, organisation 2e édition, 2003 ;

7. WINKIN, Y, 3 anthropologie de la communication : de la théorie au terrain, bruxelles, de boeck université, 1996 ;

II. TFC ET MEMOIRE

1. KIVULA MBELA Malu, les stratégies de communication de l'hôtel de ville de Kinshasa dans la lutte contre l'insalubrité publique, Kinshasa, IFASIC 2002.

2. NTONDA P., La communication persuasive pour un changement des pratiques comportementales en RDC, Kinshasa 2001 ;

III. NOTES DE COURS

1. ASMA HARELLI, Le changement organisationnel, université centrale de Tunis/Tunisie, 2008, séminaire 3e cycle inédit

2. MONGI FERJANI, Habilite en management, université centrale de Tunis 2008, séminaire 3e cycle inédit 

3. NTONDA P., cours de Théorie de la communication, G3 SIC., UPN

4. OKOMBO, W., Méthodologie de recherche en sciences sociales et technique D'investigation Kinshasa 1996.

* 1 _ Claude DUTERME «la communication interne en entreprise» Ed.2002 p.9

* 2 _ Idem p.21

* 3 _ Grawitz, N., Méthode des sciences sociales, paris, Dalloz, 3eme édition, 1976, p.593

* 4 _ Mongi Ferjani ; Habilite en management, séminaire 3e cycle, université centrale de Tunis 2008

* 5 _ Idem p.12 inédit, p.1

* 6 _ Idem, p.3

* 7 _ Asma Harelli ; le changement organisationnel, séminaire 3e cycle université central de Tunis/Tunisie, 2008

* 8 _ Okombo, W. Méthodologie de recherche en sciences sociales et techniques d'investigation en communication institutionnelle/ Ifasic Kinshasa 1996

* 9 _ Lohisse, J, «la communication: de la transmission à la relation», Bruxelles, de Boeck université, 2001

* 10 _ Ntonda P. «théorie de la communication»cours dispensé en troisième graduat, UPN. 2009

* 11 _ Idem

* 12 _ Idem

* 13 _ Hesnenard, cité par Gilles, «communication modélisé», Ottawa, éd. de renouveau pédagogique, 1992

* 14 _ Gille, op. Cité p.2

* 15 _ Winkin, Y, 3 Anthropologie de la communication : « de la théorie au terrain», Bruxelles, de Boeck, 1996 p.3

* 16 _ Bateson, cité par Bartoli, A «communication et organisation : pour une politique générale cohérente» paris, organisation, 1990

* 17 _ Ntonda, p, «la communication persuasive pour un changement des pratiques comportementales en RDC.» Mémoire, IFASIC. Kinshasa 2001.

* 18 _ Ekambo, D. «communication et développement» cours de troisième graduat

* 19 _ Larousse Bordas, éd. 1996, France.

* 20 _ Kivula Mbela Malu, «les stratégies de communication de l'hôtel de ville de Kinshasa dans la lutte contre l'instabilité publique», Kinshasa IFASIC. 2002

* 21 _ Idem

* 22 _ Idem (19)

* 23 _ Mbelolo ya Mpiku «expression orale et écrite» cours dispensé en deuxième graduat

* 24 _ Westphalen M.H. «LE DICOM» paru le 1/11/1992 aux éditions triangle

* 25 _ N. Aldosa, M. le Bihan et M. Monin, «information, communication, organisation» 2e édition, 2003.

* 26 _ Idem

* 27 _ Monsieur Adrian directeur du bureau formation






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Un démenti, si pauvre qu'il soit, rassure les sots et déroute les incrédules"   Talleyrand