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Aspects épidémiologiques de kyste de l'ovaire. Cas l'hôpital général de référence Charité maternelle de Goma, de 01/01/2008 au 31/12/2011

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par Pers MOBILE KASSA Alex
Université de Goma - Graduate en sciences biomédicales 2013
  

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B. Dystrophie macro-poly-kystique

1. Anatomie pathologique, étiologie et pathogénie

La présence de nombreux petits kystes intra ovariens peut être constatée chez des patientes atteintes des diverses affections pelviennes. (6)

Ils sont généralement plus gros que dans le syndrome de Stein-Leventhal, d'où le nom de dystrophie macropolykystique. Histologiquement, il s'agit des formations folliculaires à différent stade de leur développement, qui est anarchique. (6)

Les affections responsables comprennent : les infections pelviennes, aigues et surtout chroniques, salpingites en particulier ; les séquelles d'intervention (ovaire restant après une hystérectomie par exemple) la pathologie semble en rapport avec des troubles de la vascularisation. (6)

2. Symptomatologie

Le signe essentiel en est des douleurs pelviennes chroniques, caractérisées par leur recrudescence en seconde partie du cycle, et l'amélioration après les règles. Les cycles sont souvent longs, irréguliers, la fertilité diminuée. L'examen pelvien met en évidence, outre les éventuelles lésions associées, des ovaires gros et, semble avant les règles, normaux après elle (« ovaires accordéon »). (6)

3. Examens complémentaire

Biologiquement, l'hyper androgénie est pratiquement toujours absente. Echographie confirme la présence de multiples structures intra ovariennes. L'aspect réalisé est toute fois moins homogène que celui rencontré dans les dystrophies macropolikystiques. Ici les kystes sont de diamètre variable, et repartis dans la totalité du parenchyme ovarien. Le diagnostic peut être confirmé par la coelioscopie mais elle n'est pas indispensable. Elle permet en outre de faire le bilan des lésions pelviennes associées. (6)

4. Traitement

En l'absence de possibilité d'action sur la cause du trouble (cas le plus fréquent) il est symptomatique : mise au repos de l'ovaire par utilisation d'une association oestroprogestative type contraceptif oral dosé à 50ug d'éthinylestradiol, par exemple : Steridil. (6)

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"Il faut répondre au mal par la rectitude, au bien par le bien."   Confucius