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Implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire aux humanités: Cas du complexe scolaire LEMFU

( Télécharger le fichier original )
par Elie Master BOSA KIYIKA
ISIPA - Graduat 2014
  

Disponible en mode multipage

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Epigraphe

« ...... Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu...... »

Romains 8:28

DEDICACE

À

Mes parents BASA Michel et BALEKA Marie

Pour les sacrifices consentis à nos égards ; pour leur confiance, leur amour en nous.

À

Mes frères et Soeurs

Qui m'ont soutenu par leurs sacrifices qui me sont inoubliables.

À

Mes camarades de la promotion

Pour leur bonne collaboration tout au long de notre formation.

À

Ma fiancée Laurie NSELIKE NDONGO

Qui ne cesse de me motiver du jour au jour.

À

Mes amis

En témoignage de mes sincères reconnaissances pour les efforts

Qu'ils ont fournis pour nous soutenir au cours de nos études.

Que Dieu nous garde toujours Un et Indivisible.

À

Mes collègues de la société ECLAT-TOUCH

Pour leurs soutiens soit matériel que financier.

À

Toutes les personnes qui nous ont aidés à réaliser ce projet.

Elie BOSA KIYIKA

REMERCIEMENTS

Nous remercions le Dieu tout-puissant de nous avoir permis d'arriver au terme de notre Travail de fin de cycle, qui est pour nous le soubassement d'une merveilleuse aventure, celle de la recherche, source de remise en cause permanent et de perfectionnement perpétuel.

Nos remerciements vont vers mes parents : mon père BASA Michel et ma mère BALEKA NZINU Marie, qui m'ont inculqué un esprit de combativité, de la foi et de persévérance et qui m'ont toujours poussé et motivé dans mes études.

Nos remerciements à Monsieur Benjamin OKITAPOYI, Assistant à l'Institut Supérieur d'Informatique Analyse et Programmation, le directeur du présent travail, nous tenons à vous dire que vos conseils et vos recommandations ont largement contribué à ce succès dont nous vous sommes largement redevables.

Nous exprimons notre profonde gratitude et nos sincères remerciements au prophète Elie NZAU de l'église Vie Abondante et l'Assistant Luz MPEMBA, qui nous ont aidé spirituellement et moralement devant certains problèmes.

Nos remerciements vont également aux enseignants qui nous ont assistés durant notre cursus universitaire.

Nos remerciements les plus vifs aux membres du jury qui accepteront d'honorer par leur jugement notre travail.

Elie BOSA KIYIKA

0. INTRODUCTION

0.1. Problématique

La gigantesque exposition des applications web a fait émerger des réalités ; dans le cadre de notre travail, le système d'information[1(*)] utilisait par nos établissements scolaires est manuel, et ne répond pas aux normes de la vie actuelle. Nos écoles regorgent un nombre élevé des élèves, et chaque fin d'année scolaire, elles procèdentà une publication des résultats,pourtant cette dernière est toujours manuelle etelle engendre trop d'imperfections aux élèves absents à la proclamation, aux parents ayant connu des empêchements pour savoir les résultats de leurs enfants. La gestion même de résultats devient pertinente pour l'école quand les parents viennent réclamer les fiches de cotes pour leurs enfants.

Le développement rapide de l'informatique et l'arrivée de l'Internet a donné à nos établissements la possibilité d'utiliser des moyens avancés et résistants pour gérer et exploiter de très grands volumes des données. Jadis, le domaine de la gestion informatique des données était réservé qu'aux informaticiens. Actuellement, les tendances aux seins des établissements ont changé de façon ce que tous les employés soient de plus en plus impliqués dans les différents procédés liés à la gestion et l'exploitation des données. De cette façon, un certain niveau de connaissance des principes et des outils standard de l'informatique est aujourd'hui requis pour la plupart des postes disponibles dans nos établissements.

Cela nous a conduit à nous dresser quelques interrogatoires telles que :

- Comment contourner la méthode traditionnelle de publication de résultats nécessitant la présence inévitable des élèves à l'école ?

- Vu l'apport de la NTIC à l'enseignement actuel, que faire pour consulter ses résultats à distance ?

- Comment automatiser la publication des résultats des élèves à la fin de l'année ?

- Comment un établissement scolaire pourra bien gérer ses résultats chaque année et en gardant des archives avec sécurité ?

- Que faire pour rendre le système flexible étant centré sur la publication de résultat des élèves « Just in time everywhere » comme disent les anglais ?

0.2. Hypothèse

Vu l'importance du sujet choisi qui fait l'objet de notre étude, le champ d'érudition de nos recherches se camperait autour des questions posées dans la problématique. L'Internet qui serait un réseau facilitant l'accès distant à n'importe quelles données, occuperait aujourd'hui des services important pour bien gérer nos systèmes d'information. La technologie web avec ses nombreuses applications faciliterait la bonne gestion des données en temps réel avec une sécurité accrue; d'où la mise en oeuvre d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire serait donc nécessaire pour nos établissements scolaires. L'Internet et le web faciliteraient la gestion et l'archivage des résultats de chaque année, donneraient l'opportunité aux parents et aux élèves d'accéder à tout moment et partout dans le système en ayant juste le matricule de l'élève en ordre avec l'établissement.

0.3. Objectif et intérêt du travail

L'objectif principal de ce travail est de développer un modèle de base de données client-serveur adapté au système actuel de la publication des résultats du complexe scolaire LEMFU et en proposant quelques stratégies d'amélioration de la circulation et de la qualité des données.

Ainsi, notre sujet s'intitule : «Implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire aux humanités.'' « Cas du Complexe Scolaire LEMFU» ; Car l'étude de l'évolution des applications web et de fonctionnement semble être un moyen efficace pour pouvoir dévoiler certains mystères sur le monde du web. Associer une étude effective sur les moyens, les processus et les techniques de ces applications qui peuvent tourner sur l'environnement client/serveur viendrait enchérir cette recherche.

0.4. Délimitation Du Travail

Il est fort impossible d'étudier, de parcourir tous les éléments influents jusqu'aux extrêmes limites de la terre et jusqu'au début de temps.

0.4.1. Délimitation dans l'espace

Le présent travail de l'implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année aux humanités particulièrement dans le complexe scolaire LEMFU.

0.4.2. Délimitation dans le temps

Dans le temps, ce travail couvre la période allant du mois de février 2012 au mois de mars 2014 car de temps en temps l'école subisse des modifications structurelles.

0.5. Méthodes et techniques utilisées

Chaque travail scientifique repose sur des méthodes et techniques appropriées pour atteindre le but poursuivi.

0.5.1. Méthodes

Une méthode désigne l'ensemble d'opérations intellectuelles par les quelles une discipline cherche à étudier les vérités qu'elle poursuit, les vérifiées et les démontrées.[2(*)]

Nous avons utilisé deux méthodes qui sont :

0.5.1.1. La Méthode Analytique

Elle nous a permis d'analyser les différentes étapes du système existant, les décomposer dans le but de définir et d'en dégager les spécifiés.

0.5.1.2. La Méthode Structuro-fonctionnaliste

Elle nous a permis de caractériser par la recherche des impératifs fonctionnels et structurels pour maintenir l'équilibre du système existant.

0.5.1.3. La Méthode Historique

Elle nous a permis de remonter dans le temps pour saisir le passé du complexe scolaire LEMFU comme source d'information en considérant l'expérience du passé comme moyen d'analyse.

0.5.2. Techniques

Une technique est un moyen par lequel on rend effectif les méthodes utilisées par les chercheurs.[3(*)]

Nous avons utilisé deux techniques suivantes :

0.5.2.1. La Technique d'Interview

Elle nous a permis de poser des questions concernant le scénario du système et d'échanger avec des personnes du domaine dont la contribution nous a été utile.

0.5.2.2. La Technique Documentaire

Elle nous a permis d'avoir plus de connaissance sur les systèmes en utilisant leurs documents.

0.6. Subdivision du Travail

Hormis l'introduction et la conclusion, notre travail a 3 chapitres, à savoir :

Chapitre premier : Considérationsgénérales et théoriques

Chapitre deuxième  :Cadre méthodologique

Chapitre troisième: Analyse et interprétation des résultats.

0.7. Difficultés rencontrées

Nous avons été victime de beaucoup d'obstacle lors de la récolte de données et lors de la recherche de document entre autre les rendez-vous non respectés, indisponibilité de nos interlocuteurs mais rien n'est facile dans la vie humaine. Malgré toutes ces difficultés nous avons été déterminé a récoltés les données pour rédiger le présent travail.

1. CHAPITRE PREMIER :

CONSIDERATIONS GENERALES ET THEORIQUES

2. Introduction

Au cours de ce chapitre, nous allons expliquer les différents concepts de base utilisées dans le cadre de l'élaboration de ce travail et enfin nous allons faire recours aux différents travaux antérieurs en rapport avec notre sujet, pour nous permettre de démarquer.

1.1. Définition opérationnelle des concepts clés utilisées

a. web 

Le World Wide Web (www), littéralement la «toile d'araignée mondiale», communément appelé le web, et parfois la toile, est un système hypertexte public fonctionnant sur internet qui permet de consulter avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites.[4(*)]

L'image de toile d'araignée vient des hyperliens qui lient les pages web entre elles.

Le web n'est qu'une des applications d'internet, d'autres applications sont le courrier électronique, la messagerie instantanée et Usenet. Le web a été inventé plusieurs années après Internet.[5(*)]

Ø Termes désignant le World Wide Web

Le World Wide Web est désigné par de nombreux noms et abréviations synonymes : World Wide Web, WoldWideWeb, World-Wide Web, Web, WWW, W3, Toile d'araignée mondiale, toile, certains ont disparu.

En inventant le Web Tim Berners-Lee[6(*)] avait aussi pensé à d'autres noms, comme Information Mesh (Maillage d'informations, Mine d'informations, dont le sigle serait Tim).

Le sigle WWW a été largement utilisé pour abréger World Wide Web avant que l'abréviation web ne prenne le pas. WWW se prononce souvent trois double V, triple double V, ou VéVéVé.

Ø Termes rattachés au Web

La terminologie propre au Web contient plusieurs dizaines de termes :

L'expression en Ligne signifie « Connecté à un réseau », en occurrence le réseau informatique Internet. Cette expression n'est pas propre au Web, on la retrouve à propos des téléphones.[7(*)]

Un Hôte est un ordinateur en ligne. Chaque hôte Internet est identifié par une adresse IP à la quelle correspondant Zéro, Un ou plusieurs noms d'hôte. Cette terminologie n'est pas propre au Web, mais à l'Internet.

Le World Wide Web (WWW) : le WWW est une application conçue initialement pour la consultation et l'exploration d'une documentation. Il est fondé sur les concepts de ressources reliées entre elles par des liens hypertexte, et mises à la disposition des utilisateurs par un hôte. Sur le réseau internet un programme spécifique sera interpréter les liens hypertextes et permettra à l'utilisateur de naviguer entre les différentes ressources disponibles.

Une Ressource du World Wide Web est une entité informatique (texte, image, forum, Usenet, boite à lettre etc. ...) accessible indépendamment d'autres ressources. Une ressource en accès public est librement accessible depuis Internet. Une ressource locale est présente sur l'ordinateur utilisé par opposition à une ressource distante (ou en ligne), accessible à travers un réseau.

On peut accéder à une ressource distante qu'en respectant le protocole de communication ; les fonctionnalités de chaque protocole varient : réception, envoi, voire l'échange continu d'informations.

HTTP (HyperText Transfer Protocol) est le protocole de communication communément utilisé pour transférer les ressources du Web. HTTPS est la variante sécurisée de ce protocole. Il définit la façon dont une page web est transmise du serveur au client. HTTPS[8(*)] est une variante sécurisée de HTTP, c'est-à-dire que les informations transmises sont cryptées pendant la transmission au lieu de voyager en clair.

Une URL (Uniform Ressource Locator) pointe sur une ressource. C'est une chaine de caractères permettant d'indiquer un protocole de communication et un emplacement pour toute ressource du Web.

Un Hyperlien (ou Lien) est un élément dans une ressource associé à une URL. Les hyperliens du Web sont orientés ; ils permettent d'aller d'une source à une destination seule la ressource à la source contient les données définissant l'Hyperlien, la ressource de destination n'en porte aucune trace.

HTML (HyperText MarkupLanguage) et XHTML (Extensible HypertextMarkupLanguage) sont les langages informatiques permettant de décrire le contenu d'un document (titre, paragraphe, disposition, des images etc. ...) et d'y inclure des hyperliens. Un document HTML est un document décrit avec le langage HTML. Les documents HTML sont les ressources les plus consultées du web dans un mode de communication client-serveur.

UnServeur est un hôte sur le quel fonctionne un logiciel serveur auquel peuvent se connecter des logiciels clients fonctionnant sur des hôtes clients.

DesServeurs sont de grosses machines d'un coût généralement élevé, conçues pour remplir des fonctions de service, pas pour être utilisées entant que postes de travail. Les serveurs remplacent bien souvent des mini-ordinateurs.

LogicielServeur est un composant qui permet à plusieurs utilisateurs (de quelques-uns à un très grand nombre) d'accéder à un même ressource, information ou matériel. Cet accès est personnel et se fait de manière ordonnée.

b. Les principaux logiciels serveurs

Le marché est dominé par deux logiciels principaux : Apache et IIS. Le premier est un logiciel libre, le second est un logiciel de serveur web Microsoft. Ces deux serveurs principaux sont souvent complets par un serveur de langage comme PHP, JSP (Java Server Pages) ou Python, ASP, spécifique à Microsoft est intégré à IIS. Le rôle de ce serveur de langage est d'étendre les possibilités des pages statiques à pages dynamiques qui changeront en fonction de la requête de l'utilisateur.

UnServeurWeb est un logiciel client http conçu pour accéder aux ressources du Web, sa fonction de base est de permettre la consultation des documents HTML disponibles sur les serveurs HTTP.[9(*)]

Une Page Web (ou page) est un document destiné à être consulté avec un navigateur web. Une page web est toujours constituée d'une ressource centrale (généralement un document HTML) et éventuelles ressources liées automatiquement accessibles typiquement des images.

UnEditeurHTML(ou Editeur) est un logiciel conçu pour faciliter l'écriture de documents HTML et de page web en général.

UnSiteWeb(ou Site) est un ensemble de pages web et d'éventuelles autres ressources, liées dans une structure cohérente, publiées par un propriétaire (une entreprise, une administration, une association, un particulier, etc. ...) et hébergées sur un ou plusieurs serveurs web.

ApplicationWeb (aussi appelée WEBAPP, de l'anglais) est une application manipulable grâce à un navigateur Web de la même manière que le site Web, une application Web est généralement des Widgets à l'aide d'un navigateur Web via un réseau informatique (Internet, Intranet, Réseau local etc. ...).

UnHébergeurWeb est une entreprise des services informatiques hébergeant (mettant en ligne) sur ses serveurs web les ressources constituant les sites web de ses clients.

UneAgenceWeb est une entreprise de services informatiques réalisant des sites web pour ses clients.

L'ExpressionSurferleWeb signifie « consulter le Web » ; elle a été inventée pour mettre l'accent sur le fait que consulter le web consiste à suivre de nombreux hyperliens de page en page. Elle est principalement utilisée par les medias ; elle n'appartient pas au vocabulaire technique.

UnPortailWeb est un site web tentant de regrouper la plus large palette d'informations et de services possibles dans un site web. Certains portails sont thématiques.

UnAgrégateurWeb est un site web qui sélectionne, organise et éventuellement valide des pages (URL) concernant un sujet précis et de les mettre en formes de façon attractive.

Un Service Web est une technologie Client-serveur basée sur les protocoles du web.

c. Les Protocoles

Un protocole informatique est exactement calqué sur son homonyme humain : il énonce des règles précises et rigides que chacun des deux interlocuteurs doit suivre pour être compris de l'autre. Un langage, un code, quels qu'ils soient, sont des protocoles.

Toute communication électronique est en fait une suite de protocoles, chacun réalisant une toute petite partie du chemin, chacun comprenant le signal reçu de celui qui se situe avant lui, puis transformant et traduisant ce signal pour le protocole qui le suit immédiatement. Ne sont évoqués ici, au bout de la chaîne de communication, que les protocoles dits de « Haut niveau », ceux qui sont directement perceptibles par l'utilisateur, mais on gardera présent à l'esprit que la simple transmission d'un signal élémentaire entre deux composants matériels du réseau obéit, elle aussi à un protocole, situé dans les premières couches du modèle de référence, OSI ou TCP/IP.

POP OU POP3 (Post Office Protocol « 3 » désignant simplement la version) : il précise la méthode de transmission des courriers électroniques.

SMTP (Simple Mail Transfer Protocol) : Protocole de courriels.[10(*)]

FTP (File Transfer Protocol) : explique comment de gros fichiers peuvent être transmis d'un système à un autre de la manière la plus efficace possible.

IMAP (Internet Message Access Protocol) : Protocole de messagerie électronique appelé à remplacer POP et SMTP. Il permet notamment le stockage et la consultation des messages sur le serveur plus performant et mieux sécurisé. Il devient rapidement le protocole standard de la messagerie électronique.[11(*)]

TCP/IP est une suite de protocoles (utilisés sur Internet), il signifie Transmission Control Protocol/Internet Protocol et il présente la façon dont les ordinateurs communiquent sur Internet pour cela il se base sur l'adressage IP, c'est-à-dire le fait de fournir un adressage IP à chaque machine du réseau à fin de pouvoir acheminer des paquets de données.[12(*)]

TCP (Transmission Control Protocol) est le premier utilisateur de protocole IP et offre les services classiques d'une couche, transport, établissement, maintien et fermeture des liaisons ; contrôle de flux d'erreurs ; séquencèrent des paquets.[13(*)]

IP (Internet Protocol) est un protocole réseau qui définit la mode d'échange élémentaire entre les ordinateurs participants du réseau en leur donnant une adresse unique sur le réseau. Ce protocole a connu une évolution en deux versions : la version IPV4 et IPV6.[14(*)]

d. Internet

L'Internet est stricto sensu, un réseau puisqu'il met en communication des terminaux informatiques. L'internet est un enjeu économique majeur et un critère de développement ; il représente aussi les exemples en ce sens abondent un enjeu hautement politique, par les informations qu'il véhicule et qu'il rend accessibles.[15(*)]

L'Internet est le réseau informatique mondial sur lequel un certain nombre d'applications fonctionnent. C'est une architecture de communication, construite sur une suite de protocoles précis et rigoureux la suite TCP/IP. Sur ce réseau, une série d'applications fonctionne. Les deux principales sont le World Wide Web (la Toile, le Net ...) et la messagerie électronique mais l'une et l'autre sont des applications d'Internet, pas Internet en lui-même. Il existe d'autres applications sur internet, la palette disponibilités ne cessant de s'élargir (télévision, téléphonie, etc. ...).[16(*)]

e. Autres applications sur internet

L'autre application majeure tournant sur internet est bien entendu la messagerie électronique. (Elle a été crée par Tom Linson en 1971 elle est donc bien antérieure au WWW), sur le réseau Arpanet. Nous devons également à Tom Linson l'utilisation du symbole @ pour séparer les deux parties d'une adresse de messagerie, le nom de l'utilisateur et l'ordinateur(le domaine) sur le quel se trouve la boîte de réception. Il a choisi ce symbole tout simplement parce qu'il était facilement accessible sur les claviers américains (il sera rendu accessible sur les autres par nécessité) et parce qu'il n'était pas utilisé dans les noms propres. D'autres applications d'internet sont par exemple le transfert de fichiers (FTP), Usenet (à la base des groupes de discussion via le protocole NNTPet ancêtre des forums de discussion). Plus récemment, la téléphonie avec le protocole VOIPest un exemple d'une nouvelle application du WWW.

Le Fournisseur d'accès à l'Internet ou FAI remplit plusieurs fonctions :

- Il met à disposition l'infrastructure technique qui permet à l'utilisateur de se connecter : les lignes, les rocades, dorsales et équipements d'interconnexion qu'il possède ces éléments en propre ou les loue à un opérateur ;

- Il peut fournir à l'utilisateur les matériels qui vont permettre sa connexion à l'internet ;

- Il lui propose un certain nombre de services plus ou moins variés en fonction des caractéristiques techniques de la connexion.

Pour cela, le FAI demande à l'utilisateur la souscription d'un abonnement. Celui-ci de droit privé et concurrentiel de ne pas souscrire à l'offre de matériel par exemple et de se le procurer par soi-même.

Langage de Programmation est un compilateur qui traduit les instructions écrites par les programmeurs.[17(*)]

f. Comprendre le problème

La création d'un site Internet consiste à écrire, à l'aide d'un langage de programmation spécifique des pages statiques ou interactives qui seront mises à la disposition des internautes (ou des utilisateurs internes dans le cas d'Intranet). Le langage d'écriture le plus couramment utilisé est HTML (HyperText MarkeupLanguage), langage construit sur un système de balises symboles encadrant les différents objets à traiter. Une balise <p> ouvrira par exemple un paragraphe et une balise </p> en indiquera la fin.

HTML permet de construire des pages statiques dont les informations ne changent pas, des pages dynamiques peuvent être construites avec d'autres langages tels que PHP ou ASP. Ces langages génèrent en fait un code HTML compréhensible par le logiciel client.

Implémentation est l'action de programmer une fonction particulière bien spécifiée. Elle est aussi la réalisation de la phase finale d'élaboration d'un système de manière à permettre au matériel, aux logiciels et aux procédures d'entrer en fonction.[18(*)]

Résultat est ce qui résulte d'une action, d'un fait, d'un principe etc. ...[19(*)]

Publication est l'effet de rendre public, c'est l'action de publier.[20(*)]

Ecole est un établissement où l'on accueille des individus appelés « Ecoliers » à fin que des professeurs leur dispensent un enseignement de façon collective.[21(*)]

1.2. Etat de la Question

La formidable évolution de l'informatique vers plus de puissance, d'économie de fonctionnement et des innovations a marqué la vie de l'humanité moderne. En effet l'informatique a pris une autre dimension, plus personnelle, plus intime : notre environnement s'est approprié donc d'un outil pour en faire un formidable moyen de socialisation, de dialogue, d'échanges et de découvertes. Une sorte de rêve moderne, qui a mis la notion de « partage », on « Twitte » ... et la différence n'est pas seulement sémantique.

Cette puissance de calcul toujours disponible, cette assistance en permanence à portée de main, cette masse gigantesque de savoirs et d'informations accessibles à tout instant, font parti de la source à la solution aux difficultés que connaissaient notre environnement. C'est ainsi que tout investigateur pourrait apporter une contribution aux problèmes aux quels se confronte sa société en proposant des solutions.

Il est probable qu'avant nous, d'autres investigateurs ont eu d'une manière ou d'une autre à réfléchir et à écrire sur une structure Web qui est notre objet d'étude ou recherche ; leurs travaux permettront à nous chercheurs de se situer par rapport au thème que nous voulons traiter. Sur ça nous pouvons citer quelques-uns comme :

ü CYANI Fiston et MUKEBA KALALA« mise en place d'un système informatise de publication des résultats des étudiants ». Cas de l'ISIPA, 2011-2012 à l'ISIPA.[22(*)]

Pour remédier à cette situation, leurs problématiques s'articulaient autour des questions suivantes :

§ Comment le jury procède-t-il pour publier les résultats aux étudiants ?

§ Comment le jury procède alors pour statuer sur les cotes de l'étudiant portées sur la grille de délibération ?

Ils ont affirmé à titred'hypothèses que :

§ la « Mise en place d'un système informatise de publication desrésultats des étudiants » serait une meilleure réponse à toutes les questions.

C'est dans ce cadre que s'inscrit notre spéculation de fin de cycle : `' L'implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire aux humanités''. A la seule divergence de nos prédécesseurs ci-haut cités, notre travail sera l'objet :

ü De réaliser une application web dynamique compréhensible par les non-informaticiens (utilisateurs) mais administrable en ligne.

ü De stocker et d'afficher des informations fiables dans la base de données tout en proposant un modèle de configuration d'un serveur web et un hébergement professionnel.

ü D'incorporer un système de recherche plus complexe, dynamique, sécurisé et rapide dans cette base de données.

ü D'archiver les informations chaque année scolaire et les rendre accessibles à tout instant, n'importe quand et n'importe où en toute sécurité.

3. CHAPITRE DEUXIEME :

CADRES METHODOLOGIQUES

2.0. Description de la Méthode

Merise est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels, organisationnels, logiques et physiques afin d'assurer une longévité au modèle.[23(*)]

En effet, on observe que les traitements sont plus susceptibles de changements. On parle ainsi de la description dynamique du système d'information tandis que l'agencement des données n'a pas à être souvent remanié, c'est à ce niveau que l'on parlera de la description statique du système d'information.

La méthode merise décrit l'aspect statique du système d'information par le modèle conceptuel de données qui peut être défini comme une représentation statique du système d'information de l'entreprise mettant en évidence sa sémantique et qui a pour but de décrire de façon formelle les données qui y seront utilisées.[24(*)]

Pour pouvoir dégager notre modèle conceptuel de données, nous garderons à l'esprit le diagramme de flux élaboré lors de la description fonctionnelle du système.

La connaissance du circuit d'information ainsi que les différents acteurs qui interviennent sera utile afin de ressortir les règles de gestion. Les règles de gestion découvertes seront d'un grand apport pour la formalisation de notre modèle conceptuel de données.

2.1. Etude du Préalable

2.1.1. Présentation de l'entreprise

2.1.1.1. Historique de l'entreprise

Le complexe scolaire LEMFU est un établissement d'enseignement scolaire privé agrée sous l'arrêté ministériel N°MINEPSP/CAB MIN/1778/95 BIS. Cela avec l'initiative de monsieur LEMBA Smith en association d'idées de son grand frère Bernard BANIKINA MATA étant précurseur dans le domaine l'enseignement.

C'est depuis le mois de septembre 1986 que le complexe scolaire LEMFU a vu le jour dans la commune de BUMBU sous l'appellation de `'EPIFRA'' qui veut dire `'Ecole Primaire d'Instructions Françaises''.

Au départ c'était qu'une école primaire en progression bien après les humanités, Il y a la section chimie-biologie et commerciale administrative.

Dix ans après, c'est-à-dire en 1996, il y a eu la naissance d'une succursale dans la commune de SELEMBAO, sur l'avenue MADIATA n°6, au quartier KINGU, cité Camping. Cette extension aussi a évolué, il y a la maternelle, le primaire, le secondaire général et les humanités d'où nous avons la section pédagogique, chimie-biologie, latin-philo, la coupe et couture et la commerciale informatique. Les deux LEMFU sont constitués des corps d'enseignants qualifiés.

2.1.1.2. Objectif du complexe scolaire LEMFU

L'objectif du complexe scolaire LEMFU est la socialisation technique et morale des enfants, il vise à préparer les jeunes à la vie adulte, en les informant au savoir et aux habiletés nécessaires à la vie professionnelle en les éduquant moralement en fonction des orientations à la base du statut d'adulte.

Il s'agit d'une organisation orienté vers un double mandat : Eduquer et Instruire, Socialiser et Former.

Les objectifs cités ci-haut le complexe scolaire LEMFU les regroupe en 3 grandes catégories sous tendue par la production :

1. La formation personnelle des apprenants tant physique que cognitive et morale ;

2. La formation sociale des apprenants ;

3. L'apprentissage des connaissances et des matières proprement scolaire.

Les 2 premières catégories renvoient à la mission de socialisation, de l'éducation de l'école et de la formation des jeunes congolais ; futurs cadres compétents et aptes à répondre aux besoins du pays, à être utile à eux-mêmes et à la société congolaise et pourquoi pas dans le monde tandis que la 3ème Correspond d'avantage à la mission d'instruire où mieux d'inculcation où Préval la mémorisation et la reproduction.

2.1.1.3. Situation géographique

Le complexe scolaire LEMFU est situé sur l'avenue LUYEYE au n°144 du quartier MATADI dans la commune de BUMBU dans la ville province de Kinshasa, pour plus de précision, le complexe scolaire LEMFU est limité :

ü Devant : le complexe scolaire TOYOKANI

ü A gauche : le collège saint Jean-Baptiste

ü A droite : l'avenue KIMPESE

ü Derrière : la grande avenue du marché de BUMBU la révolution justes aux approches de l'église catholique Saint Jean-Baptiste.

2.1.1.4. Organigramme général

Promoteur

Coordonnateur

Chef d'établissement

Conseiller pédagogique

Administrateur

Chargé du personnel

Sentinelle

Enseignant

Directeur de discipline

Secrétaire

Intendant

Réceptionniste

Source : Chef d'établissement

2.1.1.5. Description de l'organigramme

§ Promoteur

Le promoteur est le sommet de tous et il s'occupe de la promotion du complexe.

§ Administrateur

L'administrateur veille à l'évolution, au progrès de l'école, il élabore les projets du développement du complexe.

§ Coordonnateur

Le coordonnateur coordonne les activités pédagogiques et financières de l'école, il s'occupe aussi des cas sociaux du personnel.

§ Chef d'établissement

Le chef d'établissement est la pièce maitresse de l'école, il s'occupe de la pédagogie, il fait le suivi de l'enseignement de l'école en fonction des instructions officielles de l'enseignement primaire, secondaire et professionnel.

§ Chargé du personnel

Le chargé du personnel est là pour l'engagement des nouveaux candidats enseignants par ses techniques, il juge la compétence de l'enseignant à engager. Il s'occupe aussi de tout paiement des frais des bureaux, gestionnaires des différents bureaux officiels.

§ Intendant

L'intendant est chargé de la gestion de patrimoine matériel de l'école, il veille à tous les manuels et matériels de l'école, c'est lui le chargé d'achat des matériels de construction.

§ Enseignant

L'enseignant est la personne chargé de transmettre des connaissances ou des méthodes de raisonnement à autrui dans les cadres d'une formation générale ou d'une formation spécifique à une matière, un domaine ou une discipline scolaire à fin de rendre l'apprenant utile pour sa vie, sa famille et pour la société.

§ Directeurdediscipline

Le directeur de discipline est le disciplinaire de l'école, il veille sur les heures d'entrées et de sorties mais aussi sur l'application du règlement d'ordre intérieur de l'école, il est le conseiller des élèves.

§ Sentinelle

La sentinelle est la personne qui fait le guet pour la veille et la protection du patrimoine de l'école et veille aussi à la propreté de cette dernière. Elle veille aussi aux entrées et sorties des élèves, des enseignants et de toutes les personnes étrangères, il refusera les entrées des personnes étrangères s'ils sont jugés suspects.

§ Secrétaire

Le secrétaire est la personne qui s'engage de saisir de tous les documents administratifs, faire le reportage des réunions que tienne le chef d'établissement ou le conseiller pédagogique et parfois les réunions organisées par le promoteur, garder les documents du patrimoine, coordonne aussi les activités financières de l'école, minuter les lettres de correspondances.

2.1.2. Description du système d'Information

2.1.2.1. Organigramme concerné

Chef d'établissement

Conseiller pédagogique

Secrétaire

Réceptionniste

Enseignant

Source : chef d'établissement

2.1.2.2. Description de l'organigramme concerné

§ Chef d'établissement

Il est le chef du service et à la fin de la journée il reçoit le rapport final qui lui sera donné par le conseiller pédagogique.

§ Enseignant

Il évalue, corrige, transcrit et transmet les fiches des côtes à au conseiller pédagogique.

§ Conseiller Pédagogique

Il dispose d'une équipe permettant de calculer les résultats et il reçoit les élèves en ordre aux règles de l'école donc en ordre avec les frais scolaires et les exhibe les résultats de fin d'année.

§ Secrétaire

Le secrétaire possède tous les documents dans lesquels il y a les modalités des payements pour toute l'école et vérifie si l'élève a soldé. Il donne le jeton témoignant son solde et perçoit l'argent auprès de l'élève qui n'est pas aux règles et lui établit un reçu.

§ Réceptionniste

Il est chargé d'accueillir les élèves aux jours de la publication des résultats et il les guide vers le secrétaire.

2.1.2.3. Narration

L'année scolaire dans le niveau humanitaire se divise en périodes et en semestres pendant lesquelsles élèves sont soumisaux évaluations (interrogations et examens) par rapport aux matières dispensées par des enseignants.

Les évaluations sont surveillées par les enseignants et chaque fin de période, ils sont censés de transcrire et d'apporter les fiches des côtes des élèves au conseiller pédagogique pour les calculs des résultats (pourcentages). Après les calculs le conseiller pédagogique transcrira les fiches des résultats pour les distribuer le jour de la publication.

A la date de la publication des résultats de fin d'année, l'élève vient à l'école pour s'enquérir du sort de ses résultats.

Une fois qu'ilarrive à l'école, il se présente à la réception et le réceptionniste lui orientera avant tout chez le secrétaire pour vérifier si l'élève à solder ses frais scolaires de toute l'année.S'il est en ordre le secrétaire lui remettra un jeton justifiant sa solvabilitéet il lui orientera vers le conseiller pédagogique qui détient tous les résultats de l'école.

L'élève donnera le jeton au conseiller pédagogique et ce dernierlui remettra le billet des vacances et la fiche des résultats.

A la fin de la journée le conseiller pédagogique établira un rapport qui sera donné auchef d'établissement.

N.B : il n'ya pas des titulaires des classes. Les calculs des résultats se font par le conseiller pédagogique et les membres de son bureau pour raison de transparence et le bulletin est donné à l'élève qui veut quitter(ne nous concerne pas).

2.1.2.4. Diagramme de contexte

1. But

Il a pour but de représenter les flux d'information entre l'organisation et les acteurs externes selon une représentation standard dans laquelle chaque objet porte un nom [25(*)]:

ü Un grand rectangle représentant l'organisation

ü Des ellipses en pointillés représentant les différents acteurs externes

ü Les flux d'information sont représentés par des flèches dont l'orientation désigne le sens du flux d'information.

Elève

Evaluation

Transcription

Calcul de pourcentage

Publication

2.1.3. Modèle Conceptuel de Communication (MCC)

2.1.3.1. Concepts de bases

1.Définition

Diagramme de flux : appelé aussi modèle conceptuel de communication permet de compléter le diagramme de contexte en décomposant l'organisation en une série d'acteurs internes. Dans ce diagramme la représentation standard est la suivante :

ü Les acteurs internes sont représentés par des ellipses ;

ü Les messages internes sont représentés par des flèches.[26(*)]

2.Quelques vocabulaires

Domaine d'étude : est un sous -ensemble cohérent de l'entreprise ou de l'organisme, bien délimité et formant le contenu du sujet à étudier ;

Acteur : un acteur est un émetteur ou un récepteur d'un flux d'information lié à une activité au sein du système d'information. Selon le cas, il peut s'agir d'une catégorie de personne, d'un service ou d'un système d'information d'une autre organisation. Un reçoit un flux d'information, qui lui permet d'agir en transformant l'information et envoyant un ou plusieurs autre flux d'information à d'autres acteurs sont présentés par leur rôle dans l'activité étudiée.[27(*)]

Acteur interne : un acteur interne moral ou physique capable d'émettre ou de recevoir des informations des agents actifs appartenant au système d'information étudié ;

Acteur externe :Un acteur externe est un élément émetteur ou récepteur de données, situé hors du système d'information étudié ;

Domaine connexe :Un domaine connexe est un composant du système d'information interagissant avec le domaine d'étude. C'est un acteur interne à l'entreprise, mais externe au domaine d'étude ;

Activité :L'activité est un ensemble de traitements homogènes qui transforment ou manipulent des données. Une activité peut souvent être vue comme un sous -domaine d'étude, un morceau du domaine d'étude ;

Flux de données :Un flux est un transfert d'informations entre composants du système. Le composant peut être un domaine, une activité ou un acteur externe.[28(*)]

En d'autre terme, le flux représente un échange entre deux acteurs, les flux peuvent être classés en cinq catégories :

Manière qui est transformée en consommé ;

Ø Finance ;

Ø Personnel ;

Ø Actifs (matériel ou savoir-faire nécessaire pour exercer l'activité)

Ø Information, un flux est émis par un acteur à destination d'un autre acteur.

N.B : dans l'utilisation de l'analyse des flux par la méthode Merise, on s'intéressera principalement aux flux d'informations. Les autres types de flux peuvent représenter un intérêt majeur devront donc être explicités en flux d'information (information-représentation).[29(*)]

2.1.3.2. Présentation du diagramme de flux

Le diagramme de flux est un schéma qui nous indique comment les différentes informations ou les différents documents sont inter changés entre les différents services.

FLUX 8 Rapport

FLUX 3 Orientation

Elève

Secrétaire

Conseiller pédagogique

Chef d'établissement

FLUX2 Demande

Réceptionniste

Flux 4 Doléance + Reçu

Flux 5 Vérification Remise Reçu + Jeton

Enseignant

FLUX 1Fiche des côtes

2.1.3.3. Matrice de flux

Le matrice de flux est un tableau à double entré dans lequel d'un côté où représente le poste émetteur et de l'autre côté où représente le poste récepteur.

RECEPTEUR 

EMETTEUR

ELEVE

RECEPTIONNISTE

CONSEILLER PEDAGOGIQUE

SECRETAIRE

CHEF D'ETABLISSEMENT

ENSEIGNANT

Elève

 

FLUX 2

Jeton

FLUX 6

Reçu

FLUX 4

 
 

Réceptionniste

FLUX 3

 
 
 
 
 

Conseiller pédagogique

Billet des vacances + Fiche des résultats

FLUX 7

 
 
 

Rapport

FLUX 8

 

Secrétaire

Reçu + Jeton

FLUX 5

 
 
 
 
 

Chef d'établissement

 
 
 
 
 
 

Enseignant

 
 

Fiche des côtes

FLUX1

 
 
 

2.1.3.4. Description des flux

Acteur Emetteur

Acteur Récepteur

Document

Distance

1

Enseignant

Conseiller pédagogique

Fiche des côtes

#177;1m

2

Elève

Réceptionniste

-

#177;1m

3

Elève

Secrétaire

-

#177;1m

4

Secrétaire

Elève

Jeton

#177;1m

5

Elève

Conseiller pédagogique

Jeton

#177;1m

6

Conseiller pédagogique

Elève

Fiche des résultats +

Billet de vacance

#177;1m

7

Conseiller pédagogique

Chef d'établissement

rapport

#177;1m

2.1.3.5. Description des documents

ü Jeton

Rôle : permet d'affirmer la solvabilité de l'élève, après la vérification par le secrétaire.

Description :

Code

Description

Type

Taille

Nom

Postn

Pren

Datrec

Class

Opt

Sect

Montpay

Observ

Restpay

Annescol

Nom de l'élève

Post nom de l'élève

Prénom de l'élève

Date réception

Classe

Option

Section

Montant payer

Observation

Reste à payer

Année scolaire

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

15
15
15
14
6
20
20
10
50
10

11

ü Reçu

Rôle : il est une preuve de paiement.

Description :

Code

Description

Type

Taille

Nom

Postn

Pren

Datpaie

Class

Opt

Sect

Montpaych

Montpaylet

Motipaie

Observ

Restpay

Annescol

Nom de l'élève

Post nom de l'élève

Prénom de l'élève

Date paiement

Classe

Option

Section

Montant payer en chiffre

Montant payer en lettre

Motif du paiement

Observation

Reste à payer

Année scolaire

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

15
15
15
14
6
20
20
10

50

20
50
10

11

ü Fiche des résultats

Rôle : permet la publication des résultats par élève.

Description

Code

Description

Type

Taille

Nom

Postn

Pren

Datpub

Class

Opt

Sect

Totpoinobt

Pourcent

Place

Appli

Decis

Annescol

Nom de l'élève

Post nom de l'élève

Prénom de l'élève

Date publication

Classe

Option

Section

Total point obtenu

Pourcentage

Place

Application

Decision

Année scolaire

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

An

15
15
15
14
6
20
20
10

5

3
20
30

11

ü Billet des vacances

Rôle : permet d'officialiser la date de la rentrée scolaire et de déclarer les différents fournitures et frais qui seront utilisé l'année suivante.

Description

Code

Description

Type

Taille

Annescol

Class

sect

Opt

fourscol

accomfraisco

fraiconx

datrentscol

Année scolaire

Classe de l'élève

Section

Option

Fournitures scolaires

Acomptes frais scolaires

Frais connexes

Date de la rentrée scolaire

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

AN

11
5
20
20
2000
20
20
10

2.1.4. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT)

2.1.4.1. Notions

Le modèle conceptuel de traitement est un modèle permettant de représenter de façon schématique l'activité d'un système d'information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens d'exécutions. C'est à dire qu'il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand comment et où.[30(*)]

Etat de la base d'information

Faits et événements

Processeur d'information

Base d'information

La démarche de MERISE soutient que tout système d'information est composé d'une base d'information et d'un processeur d'information qui représente respectivement sa statique et sa dynamique.

2.1.4.2. Evénement

L'événement matérialise un fait qui, en se produisant, doit déclencher une réaction du système. Plus précisément, cette notion couvre deux aspects :

1. le fait qui survient et sa perception.

2. Le compte rendu de cette perception faite auprès du système d'information.

Seul le second aspect est pris en compte dans la dynamique du système d'information et correspond à la définition de l'événement. Du fait de cette restriction, l'événement doit obligatoirement être digéré par le système d'information, sans quoi il ne répondrait pas à ses objectifs. Parmi les événements on distingue :

Ø Lesévénements internes : sont des événements émis par un acteur externe

Ø Les événements externes : sont des événements qui surviennent lorsqu'une opération se termine.

Certains événements externes sont liés au temps. Les occurrences d'événement ne seront pas modélisées par contre la capacité d'un événement qui est le nombre maximum d'occurrence acceptée par le processeur d'information et la fréquence d'apparition des occurrences le sont.[31(*)]

2.1.4.3. Opération

La réponse à l'arrivé d'un événement est le déclenchement d'un ensemble de traitement appelé opération.

Lors de son exécution, une opération ne peut pas être interrompue par l'attente d'un événement externe. L'exécution d'une action élémentaire s'effectuée sur les événement (s) déclencheur (s). Ces actions élémentaire portant sur des occurrences d'entités ou d'association du MCD et peuvent appartenir à l'un de quatre types :

Ø Insertion

Ø La modification

Ø L'effacement

Ø La recherche...

La logique d'enchaînement des actions élémentaire n'est pas toujours séquentielle et peut faire intervenir des structures alternatives (si oui....alors.....si non) ou itératives (tant que......répéter.....pour).[32(*)]

C'est aussi un ensemble d'actions accomplis par le système d'information en réaction à un évènement ou à une conjonction d'évènements et non interruptibles par un évènement externe.[33(*)]

2.1.4.4. Synchronisation

La synchronisation d'une pré-condition ou déclenchement d'une opération. Elle peut faire intervenir plusieurs événements.

La synchronisation est aussi une condition booléenne (ET/OU) traduisant les règles de gestion que doivent respecter les événements pour déclencher une opération.[34(*)]

2.1.4.5. Description des événements

E1 : Réception de la fiche des côtes

E2 : Transcription

E3 : Attente

E4 : Dépôt de la fiche des côtes

E5 : Calcul de pourcentage

E6 : Transcription de la fiche des résultats

E7 : Arrivé

E8 : Présentation

E9 : Réception

E10 : Orientation

E11 : Réception

E12 : Vérification du solde

E13 : Etablissement jeton et remise

E14 : Réception jeton et orientation

E15 : Présentation et réception

E16 : Remise jeton et vérification

E17 : Etablissement billet de vacance

E18 : Remise billet de vacance + fiche des résultats

E19 : Etablissement rapport

E20 : Envoie rapport au chef d'établissement

2.1.4.6. S5

OP9 OP10

S1

OP1 OP2

S2

OP3OP4

OP7 OP8

E1

E2

E3

E9

E3

E7

E6

E8

E3

E10

E11

E5

E4

E3

S4

S3

OP5 OP6

E3

S9

OP17 OP18

OP15 OP16

E17

E16

E18

E19

S8

E3

E3

E20

A

OP13OP14

S7

A

E12

E13

OP11 OP12

E3

E14

S6

E3

Présentation du MCT

E15

2.1.5. Modèle Conceptuel des données Brut (MCDB)

2.1.5.1. Notions

Merise est basée sur la séparation des données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels, organisationnels, logiques et physiques afin d'assurer une longévité au modèle.

En effet, on observe que les traitements sont plus susceptibles de changements. On parle ainsi de la description dynamique du système d'information tandis que l'agencement des données n'a pas à être souvent remanié, c'est ce niveau que l'on parle de la description statique du système d'information.

La méthode merise décrit l'aspect statique du système d'information par le modèle conceptuel de données qui peut être défini comme une représentation statique du système d'information de l'entreprise mettant en évidence sa sémantique et qui a pour but de décrire de façon formelle les données qui y seront utilisées.

Quelques concepts de base du modèle conceptuel de données :

Ø La priorité est une information élémentaire, c'est-à-dire non déductible d'autres informations, qui présentent un intérêt pour le domaine étudié.

Ø L'occurrence est la valeur prise par une propriété

Ø L'entité est la représentation d'un élément matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l'on désire décrire

Ø L'identifiant est un ensemble de propriétés (une ou plusieurs) permettant de designer une et une seule entité. L'identifiant est une propriété particulière d'un objet telle qu'il n'existe pas deux occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur.

Ø Une association est un lien sémantique entre plusieurs entités. Elle est aussi appelé relation.

Ø Les cardinalités permettent de caractériser le lien qui existe entre une entité et la relation à laquelle est reliée. La cardinalité d'une relation est composée d'une coupe comportant une borne maximale et une borne minimale, intervalle dans lequel la cardinalité d'une entité peut prendre sa valeur.

2.1.5.2. Règles de gestions

Une règle de gestion est un élément de description globale du fonctionnement de l'organisation. Les règles de gestion peuventporter sur les données manipulées par l'organisation ou sur les traitements.[35(*)]

Ces sont aussi des informations de commande ou d'instruction qui définissent la suite des opérations à effectuer pour passer des données de bases aux résultats. Elles permettent aussi de déterminer les cardinalités entre objets et relations :

Règle 1 :

- 1 enseignant possède 1 nationalité

- 1 nationalité est possédée par 1, n enseignants

Règle 2 :

- 1 élève possède 1 nationalité

- 1 nationalité est possédée par 1, n élèves

Règle 3 :

- 1 évaluation est passée par 1, n élèves au cours d'une année scolaire

- Au cours d'1 année scolaire1 élève passe 1, n évaluations

Règle 4 :

- 1 évaluationappartientà 1 période

- A 1 périodeappartiennent par 1, n évaluations

Règle 5 :

- Pour 1 matière sont passés 1, n évaluations

- A 1 évaluation sont passées pour 1, n matières

Règle 6 :

- 1 matière est dispensée par 1, n enseignants

- 1 enseignant dispense 1, n matières

Règle 7 :

- 1 enseignant fréquente 1, n classes au cours d'1,n années scolaires

- Au cours d'1 année scolaire 1 classe est fréquentée par 1, n enseignants

Règle 8 :

- 1 évaluation appartient à 1 type évaluation

- A 1 type évaluation appartiennent 1, n évaluations

Règle 9 :

- 1 période est contenuedans 1 semestre

- Dans 1 semestresont contenues 1, n périodes

Règle 10 :

- 1 classe appartient à 1 option

- A 1 option appartiennent 1, n classes

Règle 11 :

- 1 option se trouve dans 1 section

- Dans une section se trouvent 1, n options

Règle 12 :

- 1 élève fréquente 1, n classes au cours d'1,n années scolaires

- Au cours d'1 année scolaire 1 classe est fréquentée par 1, n élèves

Règle 13 :

- 1 enseignant possède 0, 1 grade

- 1 grade est possédé par 1, n enseignants

2.1.5.3. Recensement et description des entités

A. Entité

- Elève

- Enseignant

- Nationalité

- Evaluation

- Classe

- Matière

- Grade

- Option

- Période

- Semestre

- Section

- Année scolaire

- Type évaluation

B.Description des entités

1. Elève

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Matrielev

Matricule élève

AN

7

Identifiant

Nom

Nom

AN

15

-

Postn

Post nom

AN

15

-

Pren

Prénom

AN

15

-

Sex

Sexe

AN

1

-

Tel

Téléphone

AN

14

-

Adres

Adresse

AN

20

-

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Matriens

Matricule enseignant

AN

7

Identifiant

Nom

Nom

AN

15

-

Postn

Post nom

AN

15

-

Pren

Prénom

AN

15

-

Sex

Sexe

AN

1

-

Tel

Téléphone

AN

14

-

Adres

Adresse

AN

20

-

2. Enseignant

3. Nationalité

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codenat

Code nationalité

AN

5

Identifiant

Libnat

Libellé nationalité

AN

15

-

4. Evaluation

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codevalu

Code évaluation

AN

5

Identifiant

Libevalu

Libellé évaluation

AN

15

-

Datevalu

Date évaluation

AN

10

-

cotmax

Côte maximum

N

4

-

5. Classe

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codeclas

Code classe

AN

5

Identifiant

Libclas

Libellé classe

AN

15

-

6. Matière

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codemat

Code matière

AN

5

Identifiant

Libmat

Libellé matière

AN

15

-

7. Grade

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codgrad

Code grade

AN

5

Identifiant

Libgrad

Libellé grade

AN

15

-

8. Option

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codopt

Code option

AN

5

Identifiant

Libopt

Libellé option

AN

15

-

9. Section

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codsec

Code section

AN

5

Identifiant

Libsec

Libellé section

AN

15

-

10. Période

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codeper

Code période

AN

5

Identifiant

Libper

Libellé période

AN

15

-

11. Semestre

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codesem

Code semestre

AN

5

Identifiant

Libsem

Libellé semestre

AN

15

-

12. Année scolaire

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codann

Code année

AN

5

Identifiant

Andeb

Année début

N

4

-

Anfin

Année fin

N

4

-

13. Type évaluation

CODE

LIBELLE

TYPE

TAILLE

OBSERVATION

Codtypevalu

Code type évaluation

AN

5

Identifiant

libtypevalu

Libellé type évaluation

AN

15

-

2.1.5.4. Recensement et Description des associations

A. Recensement des associations

Une association est un lien entre deux ou plusieurs entités. On doit lui donner un nom, le plus souvent un verbe, qui caractérise le type de relation existante entre les entités. Une association possède parfois des propriétés.

- Appartenir 1

- Appartenir 2

- Appartenir 3

- contenir

- Dispenser

- Fréquenter

- Passer

- Posséder 1

- Posséder 2

- Posséder 3

- Se trouver

Nom

Associations liées

Cardinalité

Dimension

1

Posséder3

Enseignant - Grade

0,1-1,n

2

2

Posséder1

Enseignant - Nationalité

1,1-1,n

2

3

Posséder2

Nationalité - Elève

1,n-1,1

2

4

Passer

Elève - Evaluation - Matière - Année scolaire

1,n-1,n-1,n-1,n

4

5

Appartenir3

Evaluation - période

1,1-1,n

2

6

contenir

Période - Semestre

1,n-1,1

2

7

Dispenser

Enseignant - Matière

1,n-1,n

2

8

Fréquenter

Enseignant - Classer - Elève - Année scolaire

1,n-1,n-1,n-1,n

4

9

Appartenir1

Classe - Option

1,1-1,n

2

10

Se trouver

Option - Section

1,1-1,n

2

11

Appartenir2

Evaluation - Type évaluation

1,1-1,n

2

B. Description des Associations

2.1.5.5. Dictionnaire des Données

Le dictionnaire des données constitue l'ensemble d'opérations utilisées aux différents niveaux d'analyse et de conception. Il contient en général les définitions des termes utilisés et classés par ordre alphabétique, il représente les sigles, les codes ou les symboles employés dans ce document précisément les synonymes et il permet également de définir la structure des données composées avec une notation syntaxique stricte.

CODE

LIBELLE

TYPE

TAIILE

OBSERVATION

Matrielev

Matricule élève

AN

7

Identifiant

Nom

Nom

AN

15

-

Postn

Post nom

AN

15

-

Pren

Prénom

AN

15

-

Sex

Sexe

AN

1

-

Tel

Téléphone

AN

14

-

Adres

Adresse

AN

20

-

Matriens

Matricule enseignant

AN

7

Identifiant

Nom

Nom

AN

15

-

Postn

Post nom

AN

15

-

Pren

Prénom

AN

15

-

Sex

Sexe

AN

1

-

Tel

Téléphone

AN

14

-

Adres

Adresse

AN

20

-

Codenat

Code nationalité

AN

5

Identifiant

Libnat

Libellé nationalité

AN

15

-

codevalu

codeévaluation

AN

6

Identifiant

Libevalu

Libellé examen

AN

15

-

Datevalu

Date examen

AN

10

-

cotmax

Point Maximum

N

4

-

Codeclas

Code classe

AN

5

Identifiant

Libclas

Libellé classe

AN

15

-

Codemat

Code matière

AN

5

Identifiant

Libmat

Libellé matière

AN

15

-

Codgrad

Code grade

AN

5

Identifiant

Libgrad

Libellé grade

AN

15

-

Codopt

Code option

AN

5

Identifiant

Libopt

Libellé option

AN

15

-

Codesec

Code section

AN

5

Identifiant

Libsec

Libellé section

AN

15

-

Codeper

Code période

AN

5

Identifiant

Libper

Libellé période

AN

15

-

Codesem

Code semestre

AN

5

Identifiant

Libsem

Libellé semestre

AN

15

-

Codann

Code année

AN

5

Identifiant

Andeb

Année début

N

4

-

Anfin

Année fin

N

4

-

codtypeva

Code type évaluation

AN

5

Identifiant

libtypeva

Libellé type évaluation

AN

15

-

2.1.5.6. Présentation du Modèle Conceptuel de Données Brut (MCDB)

Contenir

1,n

1,1

1,n

1,1

Période

Codper

libper

Evaluation

codevalu

Libevalu

Datevalu

Cotmax

Semestre

Codsem

libsem

Appartenir 3

Classe

codclas

libgclas

Passer

cotobt

1,1

1,n

1,n

1,1

1,n

1,n

1,n

0,1

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,1

1,1

1,n

codsec

libsec

Section

Se trouver

Option

codopt

libopt

Année scolaire

Codann

andeb

anfin

Appartenir 1

Fréquenter

Nationalité

Codnat

libnat

Elève

Matrielev

Nom

Postn

Pren

Sex

adres

Posséder 2

Matière

Codemat

libmat

Dispenser

Posséder 1

Grade

codegrad

libgrad

Posséder 3

Enseignant

Matriens

Nom

Postn

Pren

Sex

adres

Type évaluation

Codtypeva

libtypeva

Appartenir 2

1,n

1,1

2.1.6. Description des moyens

A. Moyens Humains

Poste

Nombre de personnes

Niveau d'étude

Ancienneté

Chef d'établissement

1

L2

7 ans

Conseiller pédagogique

1

G3

1 an

Secrétaire

1

G3

17 ans

Réceptionniste

1

G3

3 ans

B. Moyens Matériels

Nom matériel

Marque

Nombre par poste

Année d'acquisition

Etat

Ordinateur

Dell

4

2012

Bon

Imprimante

HP Jet d'encre

2

2012

Bon

photocopieuse

HP A5

1

2012

Bon

2.1.7. Critique de l'existant

Le complexe scolaire LEMFU ne dispose pas d'un système informatique efficace, toute fois, il ne doit pas être considéré comme point obligatoire pour la réalisation du présent projet.

En effet, ça sera mieux de définir les objectifs de la concrétisation du projet actuel et ce dernier ne sera focaliser que sur un système de publication électronique des résultats.

A. Aspects Positifs

En tenant compte des interviews des agents trouvés sur terrain ; nous avons fait les constats suivants :

- La délibération peut se faire après la publication des ; résultats pour certains élèves ;

- Les enseignants ont la facilité de modifier leurs côtes ;

- Les élèves bénéficient sur place des conseils oraux de leur conseiller pédagogique après la publication.

B. Aspects Négatifs

Pendant les recherches nous avons constaté les faits suivants :

- La désorganisation des documents qui contiennent les résultats ;

- La perte de temps ou feuilletage lors de la recherche des résultats de l'élève ;

- La lassitude du conseiller pédagogique après quelques heures de travail ;

- Le risque des pertes de documents après la publication ;

- Le risque de fraude ;

- L'impatience des certains élèves et parents aux jours de la publication causé par une longue durée d'attente ;

- L'inexactitude dans les calculs lors de l'élaboration des points.

2.1.8. Proposition et choix d'une solution

Le but de cette étape est de proposer une ou plusieurs solutions capables de créer un système ou d'améliorer la qualité du système existant.

Ainsi dans le cadre de notre étude, nous proposons deux solutions qui permettraient d'améliorer le système existant.

A. Solution manuelle réorganisé

A ce fait, nous suggérons une bonne organisation de la conservation des documents dans le but de pouvoir bien garder les résultats, afin d'une consultation ultérieure ; tout en prévoyant une offre en armoire qui va permettre d'un lieu d'archivage sûr des différents documents liés à cette gestion.

B. Solution informatique

Nous proposons une application web pour la publication des résultats en temps réelaprès la délibération ;facilitantles élèves de consulter leurs résultatsà n'importe quel endroit via l'internet.

Cette application :

- Apporte à l'école une nouvelle technologie(NTIC) ;

- Nécessite la création d'une BDD en ligne pour la publication des résultats ;

- Favorise une consultation très simplifiée des élèves avec un système de recherche flexible;

- Archive les résultats et les autres informations avec une sécurité accrue.

C. Choix d'une solution

Dans le cadre de la solution à choisir, nous portons notre choix sur la solution informatique, car c'est elle qui va répondre à toutes les problématiques, difficultés et aspects soulevés dans cette gestion.

Une fois la solution informatique est appliquée, il y aura comme avantage :

- Circulation élargie des informations à travers le monde par le canal du web;

- Réduction de temps de publication grâce à l'internet.

2.2. Etude détaillée

2.2.1. Généralité sur l'étude détaillée

L'étude détaillée consiste d'une part à affiner les solutions conçues lors de l'étude préalable et d'autre part à rédiger, pour chaque procédure mettre en oeuvre, un dossier de spécifications détaillé décrivant les supports (maquettes d'états ou d'écran) ainsi que les algorithmes associés aux règles de gestion... A l'issue de cette étude, il est possible de définir le cahier des charges utilisateurs qui constitue la base de l'engagement que prend le concepteur vis à vis des utilisateurs. Le fonctionnement détaillé du futur système, du point de vue de l'utilisateur, y est entièrement spécifié.[36(*)]

2.2.2. Validation du Modèle Conceptuel de Données (MCDV)

C'est un procédé qui permet d'éliminer les redondances dans le MCD brut. Deux éléments essentiels vont nous permettre de procéder à l'épuration du MCD brut en occurrence de :

ü la normalisation

ü la vérification

2.2.2.1. Vérification

Deux éléments sont essentiels :

ü la polysémie : est une forme de redondance due au fait qu'un mot ou une propriété a plusieurs sens

ü la synonymie : une redondance due à l'utilisation.

2.2.2.2. Normalisation

Celle-ci nous donne un certain nombre de règles, à savoir :

1ere forme normale : Un objet est en première forme normale, si toutes ses propriétés sont élémentaires et peuvent accepter un identifiant.

2e forme normale : un objet passe en deuxième forme normale, s'il est déjà en première forme normale et si toutes ses propriétés dépendent pleinement de l'identifiant.

3e forme normale : un objet passe en troisième forme normale, s'il est déjà en deuxième forme normale et si toutes ses propriétés dépendent directement de l'identifiant.

§ Les Contraintes d'intégrité

ü La contrainte d'intégrité fonctionnelle (CIF)

Le CIF sont transformés en relation du type père fils ils disparaissent et le père envoie la clé au fils et cette dernière devient une clé étrangère (type de relation) :0,1-1, n ; 0,1-0, n ; 1,1-0, n ; 0,1-1, n ; 1,1-1,1.

ü Les contraintes d'intégrité multiples (CIM)

Les relations à CIM deviennent les tables et prennent les identifiants de deux entités associées (type de relation) : 0, n-1, n ; 0, n-0, n ; n, m-n, m.

§ La Contrainte d'inclusion

La contrainte d'inclusion s'exprime entre une ou plusieurs associations sources appelées portéeet une seule association destination appelée cible. Si le pivot n'est pas précisé graphiquement (au moyen de traits en pointillés), il est nécessaire de le déterminer en appliquant la règle suivante : il est constitué des entités communes aux associations de la portée et de la cible. La contrainte d'inclusion garantit alors que Ens(Pivot,Portée) est inclus dans Ens(Pivot,Cible). Dans l'exemple suivant le pivot est implicite et correspond aux entitésELEVE et CLASSE. On a donc les deux égalités suivantes :

Ens(Pivot,Portée) = Ens(Principal)

Ens(Pivot,Cible) = Ens(Intervenir)

Exemple :La contrainte d'inclusion assure que tout professeur principal d'une classe intervient dans la classe.

2.2.3. Validation portée par les concepts étendus

§ Les Concepts Etendus (Merise 2)

Le modèle entité-association retenu par la méthode Merise date des années 70. Or les concepts de ce modèle peuvent s'avérer insuffisants pour modéliser certaines situations ou contraintes et l'on est obligé dans ce cas d'ajouter des commentaires pour en faire mention. Les extensions au modèle individuel remédient aux faiblesses du formalisme de base.

§ Le concept d'héritage

Quand le concepteur s'aperçoit que plusieurs entités, proches mais distinctes, partagent un ensemble de caractéristiques, il doit mettre en oeuvre un processus de création d'entités génériques (ou entités sur-types) et d'entités spécialisées (ou entités sous-types) appelé «héritage ». Ce concept qui permet de représenter le lien « est-un » ou « IS-A » entre deux entités A et B (une occurrence de A est une occurrence de B) est représenté graphiquement par une flèche double allant de A vers B.

On dit qu'il y a héritage simple quand un sous-type n'a qu'un seul sur-type. Dans ce cas, toutes les occurrences du sous-type sont en même temps des occurrences de son sur-type.

Cela n'implique pas que toutes les occurrences du sur-type soient des occurrences de l'un des sous-types. Le schéma suivant illustre l'inclusion des ensembles d'occurrences des sous-types dans l'ensemble des occurrences du sur-type.

Le sous-type hérite de toutes les propriétés de son sur-type y compris de son identifiant. Ce mécanisme qui correspond à l'héritage par spécialisation est utilisé dans le modèle suivant pour décrire l'univers du discours de notre travail.

2.2.4. Présentation du Modèle Conceptuel de Données Valide (MCDV)

1,1

Acteur

#matriens

#codemat

#codclas, #codann, #matrielev #matriens

Numacteur

Nom

Postn

Pren

Sex

Tel

Numparc

Av

Quart

Com

1,n

1,n

1,n

1,n

1,n

1,1

1,n

0,1

Matière

Codemat

libmat

Dispenser

1,n

1,1

1,n

1,n

1,1

CIF

CIF

Cotobt #matrielev

#codevalu

#codmat#codann

1,n

1,n

Passer

1,1

1,n

1,1

1,n

1,n

1,n

codsec

libsec

Section

CIF

C IF

Année scolaire

Codann

andeb

anfin

Fréquenter

CIF

1,n

1,n

1,1

1,n

Nationalité

Codnat

libnat

CIF

CIF

Grade

codegrad

libgrad

Enseignant

Matriens

Elève

Matrielev

CIF

Option

codopt

libopt

Classe

codclas

libclas

Evaluation

Codevalu

Libevalu

Jourevalu

Moisevalu

Annevalu

Cotmax

Semestre

Codsem

libsem

Période

Codper

libper

Type évaluation

Codtypeva

libtypeva

2.2.5. Passage du MCDV au Modèle Logique de Données (MLD)

2.2.5.1. Structuration des futures tables

a. Tables sémantiques

- Acteur : {Numact, Nom, postn, pren, sexe, tél, numparc, av, quart, com}

- Elève : {matrielev, #numact, #codnat}

- Enseignant : {matriens, #numact, #codnat, #codegrad}

- Nationalité : {codnat, libnat}

- Evaluation : {codevalu, libevalu, jourevalu, moisevalu, annevalu,cotmax,#codtypeva, #codper}

- Semestre : {codsem, libsem}

- Période : {codrper, libper, #codsem}

- Matière : {codmat, libmat}

- Grade : {codegrad, libgrad}

- Classe : {codclas, libclas, #codopt}

- Option : {codopt, libopt, #codsec}

- Section : {codsec, libsec}

- Année scolaire : {codann, andeb, anfin}

- Type évaluation : {codtypeva, libtypeva}

b. Tables Relationnelles

- Passer : {Cotobt, #matrielev, #codevalu, #codmat, #codann}

- Fréquenter : {#codclas, #codann, #matrielev, #matriens}

- Dispenser : {#matriens, #codemat}

2.2.5.2. Conception des états

§ Liste des élèves par classe

§ Liste des examens présentés par élève

§ liste des enseignants intervenant dans une classe par année scolaire

§ Historique de résultats par classe par année scolaire

MATRICULENOMPOSTNOMPRENOMSEXE

TOTAL GENERAL : 9999

DATE : XX/XX/XXXX

PAGE : 99

Complexe scolaire LEMFU

LISTE DES ELEVES PAR CLASSE

SECTION  :XXXXXX OPTION  :XXXXXX

ANNEE-SCOLAIRE  :XXXXXX CLASSE  :XXXXXX

MATRICULE NOMPOSTNOMPRENOMSEXETELEPHONE GRADE

TOTAL ENSINTCLA/ANSCOR : 9999

TOTAL GENERAL: 9999

COMPLEXE SCOLAIRE LEMFU

DATE XX/XX /XXXX

PAGE : 99

LISTE DES ENSEIGNANTS INTERVENANT DANS UNE CLASSE PAR ANNEE SCOLAIRE

SECTION  :XXXXXX OPTION  :XXXXXX

CLASSE  :XXXXXXANNEE SCOLAIRE :XXXXXX

NUMERO EXAMEN DATE EXAMEN LIBELLE MATIERE

Complexe scolaire LEMFU

DATE XX/XX/XXXX

PAGE : 99

LISTE DES EXAMENS PRESENTES A UNSEMESTRE PAR CLASSE

SECTION :XXXXXX OPTION  :XXXXXX

CLASSE  :XXXXXX SEMESTRE :XXXXXX

ANNEE - SCOLAIRE :XXXXXX

TOTAL EXAM /CLASSE: 9999

TOTAL GENERAL :9999

ssss

NOM POSTNOM LIBELLEMATIERECOTMAXCOTOBTENUMENTION

DATE XX/XX/XXXX

PAGE : 99

Complexe scolaire LEMFU

HISTORIQUE DES RESULTATS PAR CLASSE PAR ANNEE SCOLAIRE

SECTION : XXXXXX OPTION : XXXXXX

CLASSE  : XXXXXX ANNEE SCOLAIRE : XXXXXX

NBRE DE REUSSITE : 9999

NBRE D'ECHEC : 9999

TOTAL GENERAL : 9999

2.2.6. Administration de la base de données

2.2.6.1. Tableau des privilèges sur les états

Nom état

Poste

1

Liste des élèves par classe

Conseiller pédagogique

Chef d'établissement

2

liste des enseignants intervenant dans une classe par année scolaire

Conseiller pédagogique

Chef d'établissement

3

Liste des examens passés à un semestre par classe

Conseiller pédagogique

4

Historique de résultats par classe par année scolaire

Conseiller pédagogique

2.2.7. Passage du Modèle Conceptuel de Traitements au Modèle Organisationnel de Traitement (MCT au MOT)

Le MOT modélise les activités du domaine, compte tenu de l'organisation et des ressources (qui, où, quand, comment). Ainsi, chaque activité (nommée tâche ou phase) est homogène en terme de finalité, degré d'informatisation, poste, instant de réalisation, ressources. Cette exigence conduit naturellement à la décomposition de l'opération (conceptuelle) en de nombreuses tâches (organisationnelles).

Il y a, de fait, corrélation entre le changement de niveau (du conceptuel à l'organisationnel) et l'accroissement du degré de détail.
Le MOT décrit ce que font les gens du métier (leurs tâches ou phases) dont certaines sont informatisées. Il ne décrit pas comment marche l'application (partie informatisée) qui sert les tâches.

2.2.7.1. Règles de passage du MCT au MOT

Le Modèle Organisationnel de Traitement (MOT) s'attache à décrire les propriétés des traitements non traités par le Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) c'est - à - dire le temps, les ressources et le lieu. Le MOT consiste donc à la représentation du MCT dans un tableau dont les colonnes sont : la durée, le lieu, les responsables et les ressources nécessaires à une action.[37(*)]

2.2.7.2. Présentation du Modèle Organisationnel de Traitement

Chronologie

Enchainement des procédures

Nature

Poste

Grade

Classe

Acteur

Section

Grade

E2

E1

E1

E2

Fréquenter

Année Scolaire

Evaluation

Option

Année Sco.

Matière

Elève

Passer

Examen

Semestre

Fréquenter

Elève

Acteur

Enseignant

Fréquenter

Année Scolaire

Classe

Section

Option

E3

Fréquenter

Passer

E4

Type évaluation

PF1

PF2

 

S.A

S.A

Conseiller pédagogique

Chef d'établissement

 

2.3. Etude technique

2.3.1. Notions sur la base de données

4. Définition

Une base de données est une collection de données sur un domaine d'application particulier. Elle est aussi définie comme étant un ensemble d'informations exhaustives et non redondant nécessaire à une série d'applications automatisées et conçues par un système logique qui assure la gestion.[38(*)]

5. Importance

Une base de données permet de mettre des données à la disposition d'utilisateurs pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s'assurant des droits accordés à ces derniers. Cela est d'autant plus utile que les données informatiques sont de plus en plus nombreuses.

Une base de données peut être locale, c'est-à-dire utilisable sur une machine par un utilisateur, ou bien répartie, c'est-à-dire que les informations sont stockées sur des machines distantes et accessibles par réseau.

2.3.2. Type de base de données

Les bases de données sont apparues à la fin des années 60, à une époque où la nécessité d'un système de gestion de l'information souple se faisait ressentir. Il existe cinq modèles, différenciés selon la représentation des données qu'elle contient :

§ Le modèle hiérarchique : les données sont classées hiérarchiquement, selon une arborescence descendante. Ce modèle utilise des pointeurs entre les différents enregistrements. Il s'agit du premier modèle de SGBD.

§ Le modèle réseau : comme le modèle hiérarchique ce modèle utilise des pointeurs vers des enregistrements. Toutefois la structure n'est plus forcément arborescente dans le sens descendant.

§ Le modèle relationnel (SGBDR) : Système de gestion de bases de données relationnelles) : les données sont enregistrées dans des tableaux à deux dimensions (lignes et colonnes). La manipulation de ces données se fait selon la théorie mathématique des relations.

§ Le modèle déductif : les données sont représentées sous forme de table, mais leur manipulation se fait par calcul de prédicats.

§ Le modèle objet (SGBDO, Système de gestion de bases de données objet) : les données sont stockées sous forme d'objets, c'est-à-dire de structures appelées classes présentant des données membres. Les champs sont des instances de ces classes.

2.3.3. Caractéristiques

L'architecture à trois niveaux définie par le standard ANSI/SPARC permet d'avoir une indépendance entre les données et les traitements. D'une manière générale un SGBD doit avoir les caractéristiques suivantes :

§ Indépendance physique :le niveau physique peut être modifié indépendamment du niveau conceptuel. Cela signifie que tous les aspects matériels de la base de données n'apparaissent pas pour l'utilisateur, il s'agit simplement d'une structure transparente de représentation des informations

§ Indépendance logique :le niveau conceptuel doit pouvoir être modifié sans remettre en cause le niveau physique, c'est-à-dire que l'administrateur de la base doit pouvoir la faire évoluer sans que cela gêne les utilisateurs

§ Manipulabilité :des personnes ne connaissant pas la base de données doivent être capables de décrire leur requête sans faire référence à des éléments techniques de la base de données

§ Rapidité des accès :le système doit pouvoir fournir les réponses aux requêtes le plus rapidement possibles, cela implique des algorithmes de recherche rapides.

§ Administration centralisée :le SGBD doit permettre à l'administrateur de pouvoir manipuler les données, insérer des éléments, vérifier son intégrité de façon centralisée.

*

§ Limitation de la redondance : le SGBD doit pouvoir éviter dans la mesure du possible des informations redondantes, afin d'éviter d'une part un gaspillage d'espace mémoire mais aussi des erreurs.

§ Vérification de l'intégrité : les données doivent être cohérentes entre elles, de plus lorsque des éléments font référence à d'autres, ces derniers doivent être présents.

§ Partage des données :le SGBD doit permettre l'accès simultané à la base de données par plusieurs utilisateurs.

§ Sécurité des données :le SGBD doit présenter des mécanismes permettant de gérer les droits d'accès aux données selon les utilisateurs.

2.3.4. Choix du système de gestion de base des données

Parmi les différents modèles de système de gestion de base de données, notre choix s'est porté sur le système de gestion de base de données relationnel PhpMyadmin, qui permet de manipuler facilement et avec beaucoup de souplesse un très important volume de données.

2.3.4.1. Présentation de PhpMyadmin

PhpMyAdmin est une interface conviviale qui permet de gérer très facilement une base de données, sans nécessiter une connaissance avancée des requêtes SQL. Le fait que l'interface soit développée en PHP la rend parfaitement adaptée à l'utilisation conjointe d'une base MySQL et d'un moteur de scripts PHP. Elle peut donc fonctionner directement sur le serveur Web et être accessible par le biais d'un simple navigateur, ce qui explique sa présence sur la plupart des sites dynamiques distants (actuellement, PhpMyAdmin est le gestionnaire de bases de données préconisé par la majorité des hébergeurs proposant des serveurs qui prennent en charge MySQL/PHP). On peut ainsi créer avec la même facilité des bases de données et des tables en local comme sur le serveur distant.

PhpMyAdmin étant un SGBD a comme fonction :

ü Fonction utilisateur :

Permettre la désignation, l'accès (avec la particularité de manipuler), l'ajout, la suppression et la modification en manipulant les données et les liaisons.

ü Fonction administrateur :

Permettre les charges de la base, sa restauration en cas de panne, sa réorganisation pour améliorer les performances, sa restriction pour l'adapter aux évolutions des utilisateurs et des techniques. Il offre les moyens des surveillances des activités de la base.

Avec le gestionnaire de bases de données phpMyAdmin, vous pourrez rapidement :

· créer et supprimer des bases de données ;

· créer, copier, supprimer et modifier des tables ;

· supprimer, éditer et ajouter des champs ;

· exécuter des requêtes SQL ;

· importer et exporter des données au format CSV ;

· créer et exploiter des sauvegardes de tables.

2.3.4.2. La composition de PhpMyadmin

PhpMyAdmin est composé de :

ü Table : c'est un fichier contenant des enregistrements ;

ü Requêtes : sont des demandes qui permettent d'obtenir certaines situations à partir d'une ou plusieurs tables. C'est l'objet qui permet d'interroger la base de données ;

ü Etats : document à imprimer ou à afficher.

2.3.4.3. Mysql

MySQL (MyStructuredQueryLanguage) est un type de BDD très répandu sur Internet car très simple d'utilisation et compatible avec la grande majorité des scripts PHP disponibles en téléchargement libre sur le Net (OsCommerce, phpBB, Joomla...). Elle répond au langage SQL (StructuredQueryLanguage). Il existe des interfaces graphiques permettant la gestion en ligne d'une BDD MySQL comme le plus connu PHPMyAdmin ou encore Eskuel. Ces interfaces permettent à l'utilisateur de la BDD de voir et de modifier celle-ci comme il le souhaite (création de tables, modification et suppression des données...) sans avoir à connaitre le langage SQL permettant de manipuler la base.

2.3.5. Création de tables

1. Table acteur

2. Table année scolaire

3. Table classe

4. Table dispenser

5. Table élève

6. Table enseignant

7. Table évaluation

8. Table fréquenter

9. Table grade

10. Tablematière

11. Tablenationalité

12. Table option

13. Tablepasser

14. Tablepériode

15. Table section

16. Table semestre

17. Table Type évaluation

2.3.6. Présentation des quelques interfaces de saisie et de recherche des données

a. Interfaces de saisie de données pour l'administrateur

- Formulaire d'enregistrement des acteurs

- Formulaire d'enregistrement des examens

- Recherche de la pondération

- Recherche de l'élève

6. Chapitre troisième :

ANALYSES ET INTERPRETATION DES RESULTATS

3.1. Conception du Réseau (Description des paramètres fonctionnels du Réseau)

1. Type de réseau : Sans-fil (Wifi)

2. Technologie du réseau: 802.11g (fréquence=2,4 Mhz ; débit = 54 Mb/s)

3. Classification du réseau : WWAN

4. Architecture : Client/serveur

5. Topologie : ESS (Extended Service Set)

6. Mode de liaison : Full Duplex

7. Modulation : DSSS (Direct Sequence Spread Spectrum)

3.2. Organisation du réseau (Présentation organisée des équipements du réseau)

1. Les Postes

Ordinateurs

Quantité

Caractéristiques

Système d'exploitation

Fonction

Protocoles

Serveur

1

CPU : 6 Ghz 

RAM :12 Go

HDD : 2 TO

NIC : 100 Mb/s

Windows 2008 Server

WEB et Base de données

- TCP/IP

- SPX/IPX

PC

5

CPU : 2,6 Ghz

RAM : 4 Go

HDD : 500 G0

NIC : 100 Mb/s

Windows 7 pro

Clientes

- TCP/IP

- SPX/IPX

2. Matériels d'interconnexion

Matériels

Quantité

Caractéristiques

Fonctionnalités

Routeur wireless/modem

1

802.11 g

54 Mb/s

1 port WAN

4 ports RJ-45

Câble/xDSL

Firewall incorporé

Switch (access point)

1

802.11 g

12 ports RJ-45

Manageable

3. Autres matériels

Matériels

Quantité

Caractéristiques

Fonctionnalités

Imprimante

2

33 ppm ;

Duplex print

Onduleur

5

1,5 kva

 

3.3. Réalisation du réseau (installation et paramétrage)

3.3.1. Chez l'élève

Serveur BDD/Web

Direction d'étude

Réception

192.168.0.4

192.168.0.7

192.168.0.8

192.168.0.9

192.168.0.2

192.168.0. 3

Routeur/Modem

Pare feu

192.168.0.1

1

192.168.0.6

192.168.0.5

INTERNET

Schéma fonctionnel du réseau

3.3.2. Installation du réseau

Tous les ordinateurs seront donc dotés d'une carte réseau 802.11g etils seront installés dans les différents postes retenus pour l'informatisation dans un rayon de moins de 100m.

Ensuite les ordinateurs seront démarrés ainsi que le switch et le routeur.

3.3.3. Configuration du réseau

1. sur le serveur :

§ Clic sur le bouton démarrer,

§ Clic sur «  Panneau de configuration»,

§ Dans la fenêtre ouverte, cliquer sur Sous Réseau et Internet, clic sur Afficher l'état et la gestion du réseau

§ Clic sur Réseau et Internet

§ Ensuite clic sur Centre Réseau et partage

§ La fenêtre suivante s'affichera

§ Clic sur Configurer une nouvelle connexion ou un nouveau réseau pour lancer l'assistant pour un routeur ou point d'accès.

§ Sélectionnez l'option Configurer une nouvelle connexion réseau, puis cliquez sur Suivant.

§ Sélectionnez une option de connexion Suivez les instructions qui s'affichent à l'écran pour configurer un réseau.

§ Clic sur connexion au réseau local, puis sur suivant,

§ Sélection du mode de connexion (ici, nous prendrons cet ordinateur appartient à un réseau ayant une connexion Internet)

§ Description et nom du PC

§ Nommage du groupe de travail,

§ Activation du partage de fichier et d'imprimante.

Nous allons partager les ressources suivantes :

· Disque dur local

· Lecteur DVD

· Imprimante

2. sur les postes :

§ Désactivez tout logiciel pare-feu. Les logiciels pare-feu peuvent gêner la configuration du réseau. Une fois l'installation terminée, le pare-feu pourra être réactivé.

§ Cliquez sur le bouton démarrer,

§ Cliquez sur «  Panneau de configuration»,

§ Dans la fenêtre ouverte, cliquer sur Sous Réseau et Internet, cliquez sur Afficher l'état et la gestion du réseau

§ Clic sur Réseau et Internet

§ Ensuite cliquez sur Centre Réseau et partage

§ Cliquez sur Configurer une nouvelle connexion ou un nouveau réseau pour lancer l'assistant pour un routeur ou point d'accès.

§ Sélectionnez l'option Configurer une nouvelle connexion réseau, puis cliquez sur Suivant.

§ Sélectionnez une option de connexion Suivez les instructions qui s'affichent à l'écran pour configurer un réseau.

§ Cliquez sur connexion au réseau local, puis sur suivant,

§ Sélectionnez le mode de connexion (ici, nous prendrons cet ordinateur appartient à un réseau ayant une connexion Internet)

§ Description et nom du PC

§ Nommage du groupe de travail,

§ Activation du partage de fichier et d'imprimante.

Sur ce, nous allons créer un disque d'installation du réseau, qui sera exécuté sur les deux autres.

3.4. Plan d'adressage du réseau

Nom

Site/poste

Adresse IP

Passerelle

Masque de sous réseau

PC 1

Réception

192.168.0.3

192.168.0.4

192.168.0.1

192.168.0.1

255.255.255.0

P

Direction d'étude

192.168.0.7

192.168.0.8

192.168.0.9

192.168.0.1

192.168.0.1

192.168.0.1

255.255.255.0

255.255.255.0

PC3

Elève

192.168.0.5

192.168.0.1

255.255.255.0

3.5. Sécurité du réseau

Le niveau de sécurité ne sera pas le même si le réseau est considéré comme une extension interne au réseau local ou un WLAN autonome avec accès ou non à Internet par exemple.


· L'interception de données

Cela consiste à écouter les transmissions des utilisateurs pour intercepter des données confidentielles pour éviter cela, le standard 802.11 intègre un mécanisme de chiffrement de données, le WEP (Wired Equivalent Privacy).

· Intrusion au réseau

Le standard 802 est une solution de sécurisation permettant d'authentifier un utilisateur souhaitant accéder à un réseau grâce à un serveur d'authentification.

3.6. Estimation des Couts

Matériel

Quantité nécessaire

Quantité existante

Quantité à acheter

PU ($)

PT ($)

1

2

3

4

5

Serveur

Ordinateur

Routeur/Modem

Switch

Imprimante

1

5

1

1

2

0

1

0

0

1

1

4

1

1

1

3500

500

175

55

250

3500

2000

175

55

250

14

Frais conception du logiciel

3500

15

Frais de formation des utilisateurs appelés à utiliser le logiciel

2500

16

S/total

12980

17

Main d'oeuvre (30% du S/total)

3279

 

16850 $

Total

3.7. Notion sur l'Internet

Le terme Internet est d'origine Américaine qui désigne le nom Inter network sa première utilisation remonte à Octobre 1972, par Robert au cours de la première ICC (International Conference on Computer Communication) à Washington.

L'historique de la création d'Internet fait l'étalage de plusieurs noms qui sont parfois considères comme ancêtres du concept Internet, ce sont : Interetting, Internnected networks, Internet Working, Internet Works, International interconnected network, intenet, International network ; toutes fois les origines exactes du concept internet restent déterminer.

Néanmoins nous savons que c'est le 1er janvier 1983 que le nom Internet, déjà en usage pour designer ensemble d'ARPANET (Advanced Research Project Agency) et des réseaux, est devenu officiel ; notons qu'en passant qu'ARPANET était un programme à usage militaire conçu vers 1962 pour faciliter les télécommunications entre chercheurs en cas d'attaques.

Au fil du temps inspirée par l'expansion des concepts du réseau et du développement des réseaux hétérogènes dans le monde, les chercheurs ont donc décides de relier ces réseaux entre eux en utilisant des protocoles ayant permis la communication de tous ces réseaux pour former les réseaux des réseaux, formant petit à petit une gigantesque toile d'araignée(en anglais `'web'') constituant le réseau le plus vaste, puisque contenant tous les réseaux, appelés aujourd'hui Internet. Il est un réseau informatique qui se repose sur le protocole IP (Internet Protocol) et qui permet l'accessibilité des services comme le courrier électronique et le Web, le transfert (FTP), le forum(News), Telnet etc. ... Tous sont accessibles au public.

3.8. L'architecture Internet

L'architecture Internet se fonde sur une idée simple : demander à tous les réseaux qui veulent en faire partie de transporter un type unique de paquet, d'un format déterminé parle protocole IP. De plus, ce paquet IP doit transporter une adresse définie avec suffisamment de généralité pour pouvoir identifier chacun des ordinateurs et des terminaux dispersés à travers le monde. Cette architecture est illustrée à la figure suivante.

3.8.1. Fonctionnalités de l'internet

L'internet fonctionne selon plusieurs protocoles et utilise plusieurs classes d'adresses ou protocole TCP/IP aux nouvelles générations de protocoles Internet ; les fonctionnalités évoluent selon les versions pour s'adapter aux besoins des utilisateurs, ces derniers étant de plus en plus nombreux, les concepteurs d'Internet sont maintenant confrontés aux problèmes d'adressage des nouveaux utilisateurs.

En effet, l'adressage IP codé sur quatre octets autorise plus de milliards de combinaisons, quantité suffisante pour référencer toute la planète, la répartition de cette dernière étant important. Pour accéder à la masse d'information distribué par Internet, le micro- ordinateur et son modem associe constituent habillement un allié de choix.

L'internet est techniquement composé d'une multitude des réseaux répartis dans le monde entier. Chaque réseau est rattaché à une entité propre (Université, entreprise, organisation, Fournisseur d'accès à l'Internet, Armée) et se voit attribuer un identifiant unique appelé Autonomous System(AS) ; pour pouvoir communiquer entre eux les réseaux s'échangent les données, soit en établissant une liaison directe soit en se rattachant à un noeud d'échange (point de Peering).

Il y en plusieurs, toutes basées sur un protocole de base, nommé TCP/IP (IP pour Internet Protocol). TCP/IP est le langage commun des machines sur Internet.

3.9. Notion sur hébergement

Un hébergeur web (ou hébergeur internet) est une entité ayant pour vocation de mettre à disposition des internautes des sites web conçus et gérés par des tiers.[39(*)]

Il donne ainsi accès à tous les internautes au contenu déposé dans leurs comptes par les webmestres souvent via un logiciel FTP ou un gestionnaire de fichiers. Pour cela, il maintient des ordinateurs allumés et connectés 24 heures sur 24 à Internet (des serveurs web par exemple) par une connexion à très haut débit (plusieurs centaines de Mb/s), sur lesquels sont installés des logiciels : serveur HTTP (souvent Apache), serveur de messagerie, de base de données...

3.9.1. Activité

La principale activité de l'hébergeur web consiste à installer ses serveurs, à les sécuriser (par une alimentation électrique ondulée, secourue par un groupe électrogène, une salle climatisée équipée de dispositifs anti-incendie), à les tenir à jour en installant les mises à jour de sécurité pour éviter les attaques malveillantes, à les réparer en cas de panne, à y installer les technologies logicielles souhaitées par les clients ou qu'il souhaite leur offrir (comme les langages de programmation internet et les modules supplémentaires de ces langages).

L'hébergement Internet trouve sa justification par diverses raisons parmi lesquelles :

Ø la nécessité de sécuriser le service hébergé,

Ø La mise à disposition par le prestataire de ressources conséquentes ( bande passante en téléchargement...),

Ø le conseil et les services de support associés.

3.9.2. IP et DNS

Lorsqu'un visiteur demande une page à son navigateur Web, celui-ci interroge des serveurs DNS pour connaître l' adresse IP du serveur hébergeant ce site. Dès qu'il obtient la réponse, le navigateur va interroger ce serveur et lui demander cette page. Le serveur web va alors chercher la page sur son ou ses disques durs (s'il s'agit d'une page statique), ou la fabriquer à l'aide d'un script (s'il s'agit d'une page dynamique), puis l'envoyer au navigateur, qui l'affiche sur l'écran du visiteur.

Il peut être important de localiser l'endroit où l'hébergeur a ses serveurs. La plupart des moteurs de recherches se basent aussi sur la localisation des serveurs afin d'effectuer le référencement d'un site Web.

3.9.3. Catégories d'hébergement

La plupart des offres d'hébergement sont regroupées en grandes catégories :

§ Les hébergements partagés ou mutualisés : Chaque serveur héberge plusieurs sites, jusqu'à plusieurs milliers, et ce dans le but de mutualiser les coûts. Le principal avantage est le prix, le principal inconvénient est que le client mutualisé n'est pas l'administrateur du serveur, il est donc souvent tributaire du bon vouloir de l'hébergeur s'il souhaite une technologie particulière ;

§ Les hébergements dédiés : Le client dispose alors de son propre serveur, et peut en général l'administrer comme il le souhaite, ce qui est le principal avantage de ce type d'offre. Le fournisseur du serveur reste cependant propriétaire du serveur. Les inconvénients sont : le prix beaucoup plus élevé que les hébergements mutualisés, et le besoin de compétences pour administrer la machine correctement ;

§ L'hébergement virtuel dédié via un hyperviseur qui offre au client la souplesse d'un dédié (le client administre sa machine à sa convenance) en lui fournissant une machine virtuelle qui utilise une partie des ressources d'un serveur (physique) par des techniques de virtualisation (informatique) ;

§ Les hébergements dédiés dits « managés », avec «  serveur dédié infogéré » ou « clés en main » : Le client dispose de son propre serveur mais les techniciens de l'hébergeur s'occupent de sa gestion système. Cette solution est parfaite si vous n'avez aucune connaissance technique sur son administration. Il suffit simplement de déposer son site. Ce type d'hébergement cherche à s'adapter aux besoins ;

§ La colocation : L'hébergeur met, dans son centre de traitement de données, un espace à disposition du client, de sorte qu'il puisse placer son propre serveur à l'intérieur (La plupart du temps dans des armoires spéciales nommées racks ou « baies »). L'hébergeur met également à disposition du client un câble d'alimentation électrique et un câble Ethernet pour qu'il puisse alimenter et connecter son serveur à Internet. Ce système est censé coûter moins cher, puisque la location du serveur n'est pas comprise, mais les systèmes de sécurité et des badges dans les centres de traitement de données peuvent coûter plus cher que la location.

La plupart des hébergeurs sont payants. Il reste néanmoins quelques hébergeurs gratuits. Dans ce cas, les prestations gratuites sont souvent des offres d'appel pour les prestations payantes, plus riches en fonctionnalités et plus performantes.

Les entreprises font face à de nombreux challenges au niveau de l'hébergement de leurs infrastructures et applications informatiques. Tiraillées entre des exigences de performance vitales pour leur activité et des contraintes en termes de dépenses et d'investissements, elles se tournent le plus souvent vers des solutions privilégiant mutualisation et industrialisation. La virtualisation, l'«  informatique dans les nuages » et les applications en mode SaaS sont de plus en plus envisagées comme des alternatives à l'hébergement interne.

3.9.4. Hébergement d'applications

En 2009, selon une étude menée par MARKESS International auprès de 150 entreprises, les domaines applicatifs les plus concernés par l'hébergement externe sont les sites web et les portails, suivis des applications de gestion de la relation client, de ressources humaines, et les extranets. Dans une moindre proportion, car plus souvent gérées en direct par les directions informatiques, se trouvent les applications de messagerie, de sécurité, de stockage et sauvegarde. Ensuite viennent par ordre décroissant de citations mais très dépendants des secteurs d'activité concernés :

§ Les applications de commerce électronique (e-commerce), les intranets et applications collaboratives incluant non seulement des fonctionnalités de messagerie mais aussi d'agenda, de gestion de tâches, etc., et les applications de gestion de contenus ;

§ Les applications de gestion commerciale et de gestion des forces de vente, les PGI (Progiciel de Gestion Intégré), les applications de finance, de production, et les plates-formes de développement applicatif.

3.10. Production du logiciel

3.10.1. Notion sur la programmation

a. Présentation

Programmation, langage de, langage informatique composé d'une série d'instructions pouvant être interprétées et exécutées par un ordinateur. Ces instructions se composent de caractères, de symboles, et de règles permettant de les assembler.

b. Traduction d'un langage

Un ordinateur représente toutes les informations (programmes et données) par des suites de « 0 » et de « 1 » (forme binaire). Néanmoins, pour qu'un programme puisse être exécuté, il est nécessaire que les instructions qui le composent soient comprises par le processeur. L'ensemble des instructions comprises et directement exécutables par le processeur forme ce que l'on appelle le langage machine.

Ce processus de conversion du code source (instructions écrites dans un langage manipulable par un opérateur humain) en code objet (assimilable par l'ordinateur) est assuré par un programme capable de traduire un jeu de symboles en un autre, par application de règles de syntaxe et de sémantique.

b.1. Langages compilés

Les langages compilés sont des langages où toutes les instructions sont traduites en code objet avant d'être exécutées. Cette conversion s'effectue au moyen d'un compilateur (voir compilation).

b.2. Langages interprétés

Les langages interprétés sont des langages décodés et exécutés instruction par instruction lors de l'exécution du programme, à l'aide d'un programme appelé interpréteur.

c. Niveau d'un langage

Il existe différents types de langages, allant du plus rudimentaire au plus complexe, que l'on classe généralement en deux familles : les langages de bas niveau et les langages évolués. On y ajoute parfois une autre catégorie, les langages de quatrième génération.

c.1. Langages de bas niveau

Les langages de bas niveau sont des langages proches du langage machine ou des langages offrant peu d'instructions et de types de données.

Langage machine : Le langage machine représente le langage dans lequel s'exprime le résultat final d'une compilation de langage assembleur ou d'un langage de haut niveau quelconque. Constitué de « 0 » et de « 1 », ce langage est chargé et exécuté par le microprocesseur.

Langage assembleur : Le langage assembleur est un langage de programmation de bas niveau, où chaque instruction correspond à une instruction machine unique.

c.2. Langages évolués

Les langages évolués, dits aussi de haut niveau ou de troisième génération, sont des langages informatiques offrant un certain niveau d'abstraction par rapport au langage machine, et manipulant des structures syntaxiques telles que les déclarations, les instructions de contrôle, etc.

Langages procéduraux : Les langages procéduraux sont des langages où la procédure (suite d'instructions) constitue l'élément de base. La plupart des langages évolués sont des langages procéduraux.

Langage FORTRAN : Premier langage de programmation de haut niveau, le FORTRAN (acronyme de FORMULA TRANSLATION) a été développé entre 1954 et 1958 par John Backus d'IBM. Malgré de nombreuses et récentes améliorations, le FORTRAN est de moins en moins utilisé.

Langage COBOL : Acronyme de COMMON BUSINESS-ORIENTED LANGUAGE, le COBOL est un langage compilé proche de l'anglais, développé entre 1959 et 1961. Les programmes écrits en COBOL comportent quatre sections : le champ Identification, qui fournit le nom du programme et celui de l'auteur, ainsi que toutes les informations annexes que ce dernier estime nécessaires ; le champ Environnent, qui indique le modèle d'ordinateur cible, ainsi que les fichiers utilisés en entrée comme en sortie ; le champ Data, qui décrit les données traitées par le programme ; et enfin le champ Procédure, qui contient l'ensemble des sous-programmes définissant les actions du programme.

Langage BASIC : Acronyme de Beginner's ALL-PURPOSE SYMBOLIC INSTRUCTION Code, le langage BASIC est un langage de programmation de haut niveau, développé vers le milieu des années 1960 au Dartmouth College par John Kemeny et Thomas Kurtz.

Langage Ada : Mis au point entre 1967 et 1971 par NiklausWirth, le langage Pascal est un langage structuré et compilé, dérivé du langage ALGOL. Destiné à traiter des données informatiques, il simplifie la syntaxe d'ALGOL tout en y ajoutant des types et des structures de données supplémentaires, tels que les types énumérés, les fichiers, les enregistrements et les ensembles.

Langage C :Succédant au langage B (d'où son nom), le langage C a été développé en 1972 par Dennis Ritchie dans les laboratoires Bell de la société AT&T. Bien que le langage C s'apparente à un langage assembleur indépendant de la machine plutôt qu'à un langage de haut niveau.

c.3. Langages orientés-objets

Les langages orientés objets sont des langages adaptés à la programmation orientée objet, type de programmation où chaque programme est considéré comme un ensemble d'objets distincts, ces objets constituant eux-mêmes des ensembles de structures de données et de procédures intégrées.

Aujourd'hui, les langages orientés objets, comme C++, Java, OBJECTPASCAL, OBJECTIF-C, EIFFEL ou SMALLTALK, sont devenus les outils des développeurs.

3.10.2. Choix du langage de programmation

Nous avons choisi de travailler sur le langage de programmationPHP en utilisant le logicielEasyPHP-14.1 VC9.

1. Utilisation d'Easy PHP

Libre et gratuit, EasyPHP est une excellente plateforme de développement web. L'environnement de développement Web/PHP/MySQL le plus simple à mettre en oeuvre et à peu de choses le plus abouti est à la portée de tous.

EasyPHP se chargera d'installer et de configurer automatiquement un environnement de travail complet permettant de mettre en oeuvre toute la puissance et la souplesse qu'offre le langage dynamique PHP pour support efficace des bases de données. EasyPHP intègre le serveur Apache, la base de données MySQL, le langage PHP ainsi que le SGBD PhpMyAdmin.[40(*)]

Après installation du logiciel, il suffit de démarrer les serveurs Apache et MySQL, par un simple clic, pour que l'environnent soit prêt. Il vous sera alors possible d'accéder aux bases de données par l'intermédiaire de l'excellent PhpMyAdmin et de retrouver votre site web en local via l'adresse «http://localhost»

Puis cliquez sur WEB LOCAL pour le lancer du logiciel et puis cliquez sur le nom du site nomme : « TFC_Logiciel »

Image de la page d'accueil du site sera affichée

2. Utilisation de l'éditeur Dreamweaver

2.1.Présentation

Dreamweaver est un éditeur WYSIWYG (whatyouseeiswhatyouget, ce que vous voyez est ce que vous obtenez) destiné à la conception, au codage et au développement de sites, de pages et d'applications Web. Quel que soit l'environnement de travail utilisé, Dreamweaver propose des outils qui nous aident à créer des applications Web. Ce logiciel est édité par Adobe.

Les fonctions d'édition visuelle de Dreamweaver nous permettent de créer rapidement des pages sans rédiger une seule ligne de code. Si nous préférons faire appel au codage manuel, Dreamweaver intègre également de nombreux outils et fonctions de codage. Avec Dreamweaver, nous pouvons créer des applications Web dynamiques reposant sur des bases de données à l'aide de langages serveur tels qu'ASP, ColdFusion, JSP et PHP.

Pour simplifier au maximum nous parlerons que sur quelques points essentiels pour réaliser notre application. Avant de commencer, regardons bien notre fenêtre. Elle contient 3 zones plus une barre de menu.

Zone 1: Fenêtre principale : C'est sur cette zone que ce dessinera notre site internet à la place de la présentation générale de DWCS6.

Zone 2: Fenêtre Propriété : C'est sur cette zone que ce trouve la propriété de nos éléments sélectionnés dans la Zone 1

Zone 3: Fenêtre de navigation : Dans cette zone, nous trouverons toutes les fonctionnalités associées à notre site internet.

3.10.3. Enchainement des menus

PAGE PRINCIPALE

Déconnexion

Mise à jour

1. Ajout d'un Acteur

2. Ajout d'un Enseignant

3. Ajout d'Elève

4. Ajout d'une Section

5. Ajout d'une Option

6. Ajout d'un Examen

7. Ajout d'un Semestre

8. Ajout d'une Classe

9. Ajout d'un Grade

10. Ajout d'une Matière

11. Ajout d'une

Nationalité

12. Ajout d'une Période

13. Ajout d'une Année

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Accueil

Recherche

1. Recherche d'une pondération d'une matière

2. Recherche d'un élève par Année scolaire

3. Recherche d'un Résultats par élève

4. Recherche des examens présentés par élève

Déconnexion

Impression

1. Liste des élèves par classe

2. Liste des examens présentés par élève

3. Liste des toutes les matières par option

4. Liste des examens présentés à un semestre par classe

5. Historique de résultats par classe par année scolaire

6. Liste des classes par Option

8. Liste de résultats par élève

1. Programmes des Cours

2. S'exercer en ligne

Identification Administrateur

Impression

1. Liste des élèves par classe

2. Liste des examens présentés par élève

3. Liste des toutes les matières par option

4. Liste des examens présentés à un semestre par classe

5. Liste des enseignants

6. Historique de résultats par classe par année scolaire

7. Liste des classes par Option

8. Liste des enseignants intervenant dans une classe par année scolaire

9. Liste des enseignants par grade

10. Fiche de cotation par classe

11. Liste de résultats par élève

Recherche

1. Recherche d'une pondération d'une matière

2. Recherche d'un élève par Année scolaire

Identification Elève

CONCLUSION

Le présent travail de fin de fin de cycle intitulé « Implémentation d'une application web pour la publication des résultats de fin d'année scolaire aux humanités »casdu complexe scolaire LEMFU. Nous pensons avoir apporté une solution aux difficultés rencontrés pour la publication des résultats.

Au regard à notre sujet, nous nous sommes posé les questions suivantes :

- Comment contourner la méthode traditionnelle de publication de résultats nécessitant la présence inévitable des élèves à l'école ?

- Vu l'apport de la NTIC à l'enseignement actuel, que faire pour consulter ses résultats à distance ?

- Comment un établissement scolaire pourra bien gérer ses résultats chaque année et en gardant des archives avec sécurité ?

- Que faire pour rendre le système flexible étant centré sur la publication de résultat des élèves « Just in time everywhere » comme disent les anglais ?

Sur ce, la mise en oeuvre d'une application web pour la publication des résultats serait une solution appropriée pour résoudre tous les problèmes cités ci-haut.

Au cours de ce travail, nous avons présenté les différentes étapes de la conception avec la méthode MERISEainsi que la réalisation de l'application en PHP via MYSQL pour la base des données.

Pour but de satisfaire les besoins des utilisateurs, nous avons utilisé le DreamweaverCS6pour leur fournir une interface conviviale.

Ce projet a une ambition intéressante de façon à améliorer nos connaissances et nos compétences dans le domaine de la programmation web.

Ainsiau travers de cette application, la publication électronique des résultats de fin d'année scolaire devient possible et cette dernière pourra offrir à notre école une chance d'entrer de plein pied dans le monde compétitif de la communication.

A nos lecteurs, nous rappelons que ce travail n'est pas un modèle unique et parfait. C'est pourquoi, nous restons ouverts à toutes critiques et nous sommes prêts à recevoir toutes les suggestions et remarques tendant à améliorer d'avantage cette étude, étant donné que tout travail informatique a été toujours une oeuvre d'équipe.

BIBLIOGRAPHIE

1. Ouvrages

§ ACSIOME,Modélisation dans laconceptiondes systèmes d'information, éd. Masson,Paris1989.

§ Carlos colonel, Steven Morris et Peter Rob, Database systems: Design, Implementation, and management, cengage learning-2012.

§ De Courcy R., les systèmes d'information en réadaptation, Québec, Réseau international CIDHI et facteurs environnementaux, 1992.

§ Di Gallo Frederick, méthodologie merise, 2001, paris.

§ DOUDOUXJean-Michel,DévelopponsenJava.

§ KAYAMBA, T, Méthode d'analyse et de conception en informatique, Edition feu torrent, isipa, 2012.

§ Le petit Larousse illustré, édition Larousse, Paris, 2010.

§ M. GRAWITS, méthode des sciences sociales, édition, paris Dalloz

§ Marc Romano, 50 fiches pour comprendre l'univers informatique, ed. Bréal.

§ Michel Divine, merise, 60 affaires classées, Editions du phénomène, 1998.

§ NgangBiloung, JJ, Méthode de conception des systèmes d'information, 2005.

§ NOYEDidier,Pourfidéliserlesclients,éd.INSEPConsulting,2004,125pages.

§ Olivier Hertel, PHP 5 développer un site web dynamique et interactif, éditions ENI, 2005.

§ S. SI-SAID CHERFI, méthodologie de conception des systèmes d'information/ la méthode Merise, Ed. CNAM-Paris, 2006

§ S.N.L Dictionnaire Petit Robert-107, Parmentier-paris (11ème) ,1972.

2. Note des cours

§ Henry, F, Cours De Management, isipa, 2010.

§ HYANGANGA OKITAPOYI, Notes de cours PHP2, Kinshasa, 2014.

§ ILUNGA, T, Cours de SQL serveur, isipa, 2013.

§ KAYAMBA Toussaint, support de Dbase III+, isipa, 2011.

§ KIKUATI NTOTILA, C, Syllabus de Microsoft Access, édition 2008-2009, Kinshasa.

§ MATETA, W, Cours d'informatique générale, isipa, 2012.

§ MATETA, W, cours de Ms Access, isipa, 2013.

§ MONTSONGO MOLANGALA Fils, Cours de PHP II, isipa, 2014.

§ René KALONDA, cours de la Méthode de recherche scientifique, isipa, 2013

3. Application

§ Le Micro Robert, Dictionnaire d'apprentissage de la langue française, édition mise à jour, paris, 1993

4. Travail de fin de cycle et mémoire

§ MATEMPA M'BONGO Junior, gestion en ligne d'exposition des offres automobiles, Isipa, Kinshasa, 2012-2013.

§ MULAMBA KALALA, étude et solutions d'implémentation des points d'échanges internet, mémoire Unikin, Kinshasa, 2010-2011.

§ CYANI Fiston et MUKEBA KALALA,mise en place d'un système informatise de publication des résultats des étudiants, ed. 2011-2012 à l'ISIPA

§ YOWA KASONGO, Mise en place d'un système informatisé de suivi de réservation et d'occupation des salles des fêtes, Isipa, Kinshasa, 2009-2010.

§ ZOHAIER ECHAOUCH, Développement d'un site web dynamique d'annonce gratuit pour la société méditerranéenne de service, mémoire, inédit, 2009-2010.

5. Webographie

§ http://www.caida.org

§ http:// www.celog.fr

§ http:// www.commentçamarche.net

§ http:// www.labo-microsoft.org

§ http:// www.labo-microsoft.org

§ http:// www.merise.developper.com

§ http:// www.rafale.worldnet.net

§ http:// www.Sites-des-savoirs.com

§ http:// www.wikipedia.org/merise

Table des matières

0. Introduction 1

0.1. Problématique 1

0.2. Hypothèse 2

0.3. Objectif et intérêt du travail 2

0.4. Délimitation Du Travail 2

0.5. Méthodes et techniques utilisées 3

0.5.1. Méthodes 3

0.5.1.1. La Méthode Analytique 3

0.5.1.2. La Méthode Structuro-fonctionnaliste 3

0.5.1.3. La Méthode Historique 3

0.5.2. Techniques 3

0.5.2.1. La Technique d'Interview 3

0.5.2.2. La Technique Documentaire 3

0.6. Subdivision du Travail 4

0.7. Difficultés rencontrées 4

CHAPITRE PREMIER : 5

CONSIDERATIONS GENERALES ET THEORIQUES 5

1.0. Introduction 5

1.1. Définition opérationnelle des concepts clés utilisées 5

1.2. Etat de la Question 11

CHAPITRE DEUXIEME  CADRES METHODOLOGIQUES 13

2.0. Description de la Méthode 13

2.1. Etude du Préalable 13

2.1.1. Présentation de l'entreprise 13

2.1.1.1. Historique de l'entreprise 13

2.1.1.2. Objectif du complexe scolaire LEMFU 14

2.1.1.3. Situation géographique 14

2.1.1.4. Organigramme général 15

2.1.1.5. Description de l'organigramme 16

2.1.2. Description du système d'Information 17

2.1.2.1. Organigramme concerné 17

2.1.2.2. Description de l'organigramme concerné 17

2.1.2.3. Narration 18

2.1.2.4. Diagramme de contexte 19

2.1.3. Modèle Conceptuel de Communication (MCC) 20

2.1.3.1. Concepts de bases 20

2.1.3.2. Présentation du diagramme de flux 22

2.1.3.3. Matrice de flux 23

2.1.3.4. Description des flux 24

2.1.3.5. Description des documents 24

2.1.4. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) 26

2.1.4.1. Notions 26

2.1.4.2. Evénement 27

2.1.4.3. Opération 27

2.1.4.4. Synchronisation 28

2.1.4.5. Description des événements 28

2.1.4.6. Présentation du MCT 29

2.1.5. Modèle Conceptuel des données Brut (MCDB) 30

2.1.5.1. Notions 30

2.1.5.2. Règles de gestions 30

2.1.5.3. Recensement et description des entités 32

2.1.5.4. Recensement et Description des associations 35

2.1.5.5. Dictionnaire des Données 36

2.1.5.6. Présentation du Modèle Conceptuel de Données Brut (MCDB) 38

2.1.6. Description des moyens 39

2.1.7. Critique de l'existant 39

2.1.8. Proposition et choix d'une solution 40

2.2. Etude détaillée 42

2.2.1. Généralité sur l'étude détaillée 42

2.2.2. Validation du Modèle Conceptuel de Données (MCDV) 42

2.2.2.1. Vérification 42

2.2.2.2. Normalisation 42

2.2.3. Validation portée par les concepts étendus 43

2.2.4. Présentation du Modèle Conceptuel de Données Valide (MCDV) 45

2.2.5. Passage du MCDV au Modèle Logique de Données (MLD) 46

2.2.5.1. Structuration des futures tables 46

2.2.5.2. Conception des états 46

2.2.6. Administration de la base de données 47

2.2.6.1. Tableau des privilèges sur les états 48

2.2.7. Passage du Modèle Conceptuel de Traitements au Modèle Organisationnel de Traitement (MCT au MOT) 48

2.2.7.1. Règles de passage du MCT au MOT 48

2.2.7.2. Présentation du Modèle Organisationnel de Traitement 49

2.3. Etude technique 50

2.3.1. Notions sur la base de données 50

2.3.2. Type de base de données 50

2.3.3. Caractéristiques 51

2.3.4. Choix du système de gestion de base des données 52

2.3.4.1. Présentation de PhpMyadmin 52

2.3.4.2. La composition de PhpMyadmin 53

2.3.4.3. Mysql 53

2.3.5. Création de tables 53

2.3.6. Présentation des quelques interfaces de saisie et de recherche des données 57

Chapitre troisième  ANALYSES ET INTERPRETATION DES RESULTATS 59

3.1. Conception du Réseau (Description des paramètres fonctionnels du Réseau) 59

3.2. Organisation du réseau (Présentation organisée des équipements du réseau) 59

3.3. Réalisation du réseau (installation et paramétrage) 60

3.3.1. Schéma fonctionnel du réseau 60

3.3.2. Installation du réseau 61

3.3.3. Configuration du réseau 61

3.4. Plan d'adressage du réseau 62

3.5. Sécurité du réseau 62

3.6. Estimation des Couts 63

3.7. Notion sur l'Internet 63

3.8. L'architecture Internet 64

3.8.1. Fonctionnalités de l'internet 64

3.9. Notion sur hébergement 65

3.9.1. Activité 65

3.9.2. IP et DNS 65

3.9.3. Catégories d'hébergement 66

3.9.4. Hébergement d'applications 67

3.10. Production du logiciel 67

3.10.1. Notion sur la programmation 67

1. Utilisation d'Easy PHP 70

2. Utilisation de l'éditeur Dreamweaver 71

2.1. Présentation 71

3.10.3. Enchainement des menus 73

CONCLUSION 74

BIBLIOGRAPHIE 75

Table des matières 77

§ Fiche des résultats

§ Reçu

§ Billet de vacances

* [1] Système d'information définit et décrit les méthodes, procédures, circuits, traitements et moyens de traitements de l'information/ D. Courcy R., les systèmes d'information en réadaptation, Québec, Réseau international CIDHI et facteurs environnementaux, 1992.

* [2] René KALONDA, note de cours de la Méthode de Recherche Scientifique 2012-2013

* [3] Idem

* [4] Marc Romano, 50 fiches pour comprendre l'univers informatique, ed. Bréal, page76

* [5] Centre européen de recherche nucléaire: le Web n'est qu'une application d'internet.

* [6] Physicien anglais, chercheur au CERN, aujourd'hui président du W3C, organisme de gestion des standards du Web/Marc Romano op. cit. page79

* [7] www.rafale.worldnet.net

* [8] HTTPS:HyperText Transfer Protocol Security

* [9] www.Sites-des-savoirs.com

* [10] Marc Romano, op. cit

* [11] Idem

* [12] MINZONZA BANTIKO Dior, cours de réseau informatique 2, ISIPA 2013

* [13] MULAMBA KALALA, mémoire Unikin, Kinshasa, 2010-2011

* [14] www.commentçamarche.net

* [15] CAIDA (Cooperative Association for Internet Data Analysis - http://www.caida.org)

* [16] www.labo-microsoft.org

* [17] www.développer.com, 25/07/2014, 09h34

* [18] Application Dictionnaire le Grand Robert

* [19] Carlos colonel, Steven Morris, Cengage learning-2012.

* [20]Le Micro Robert, édition mise à jour, paris, 1993

* [21] Dictionnaire Petit Robert-107, Parmentier-Paris

* [22]cyanyi fils et mukebakalala, TFC, isipa, 2011-2012

* [23] DIGALLO Frédéric, Méthodologie de système d'information merise cours de cycle probatoire, CNAM Angoulême page15

* [24] Idem

* [25]KayambaIlembejeka, Note de cours de MERISE, G3 informatique de gestion, Kinshasa, 2011-2012, Page8

* [26] KAYAMBA Ilembejaka, Op Cit, Page13

* [27] Fr.wikipedia.org/wiki/modèle, 12/03/2014, 12h45

* [28]Christine Gaubert-M, Cour de merise.2010-2011, page9

* [29] KAYAMBA Ilembejaka, Op Cit, Page13

* [30] Commentcamarche.net, 12/02/2013, mardi, 20h30.

* [31 ] S. SI-SAID CHERFI, la méthode Merise, Ed. CNAM-Paris, 2006

* [32] KIKUATI C, Op. Cit, Page1

* [33] www.wikiauto.org/index.php/merise, 12/02/2013, mardi, 20h30

* [34]KayambaIlebemjaka, Op Cit, Page13

* [35] ACSIOME,Modélisation dans laconceptiondes systèmes d'information, éd. Masson,Paris1989.

* [36]DIGALLO F, Op Cit, P11

* [37]YowaKasongo, TFC, Kinshasa, 2009-2010,P.56

* [38 ] CIANYI KAYEMBE et MUKEBA KALALA, TFC, publication en ligne des résultats des étudiants, ISIPA, Septembre 2012.

* [39] Olivier Hertel, PHP 5 développer un site web dynamique et interactif, éditions ENI, 2005

* [40]HYANGANGA OKITAPOYI, Notes de cours PHP2, Kinshasa, 2014






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