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Prise en charge d'un diabète

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par Roger Muzusangabo Karana
Universite Simon Kimbangu - Graduat 2015
  

Disponible en mode multipage

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REPUBLIQUE DE MOCRATIQUE DU CONGO

MINISTERE DE L'ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, INIVERSITAIRE ET RECHERCHE SCIENTIFIQUE

INSTITUT SUPERIEUR DES TECHNIQUES MEDICALES/KIMBANGUISTE

ISTM-K/BUKAVU

BP. 601/BUKAVU

FACULTE DE SCIENCENS DE LA SANTE

SECTION: SCIENCES INFIRMIERES

ORIENTATION: HOSPITALIERE

PRISE EN CHARGE INFIRMIERE DE DIABETE SUCRE A L'HOPITAL GENERAL DE REFERENCE DE NYANTENDE

Travail de fin de cycle, présenté en vue de l'obtention de diplômr de graduant en sciences infirmiere

Par: MUZUSANGABO KARANA Roger ( trouver moi ala facebook : Roger Karana )

Directeur: CT. Albert MUMBUMBU MASKINI

ANNEE ACADAMIQUE 2015-2016

DEDICACE

A mon Dieu tu es bon, dés mon enfence tu m'as assuré malgré mon empiré, une santé physique et mentale, je te dédie ce travail et le fruit de gratitude et l'effort humain.

A ma soeur MARHONYI BUHENDWA Jolie, toi qui est initiatrice de ce travail pour me faire crée que je sois aussi homme parmi les hommes scientifiques.

REMERCIEMENTS

Ce travail n'est pas l'apanage de la seule hauteur.

Nombreuses personnes ont contribué d'une manière ou d'une autre à sa réalisation.

C'est pour cela que nous nous trouvons dans l'obligation d'adresser non sincères remerciements à mon Grand frére IMANI BALAGIZI Bezo et sa femme MUSIMWA NTERERWA Jolie recevez les fruits de votre sacrifice pour effort que vous avez fournis pour mes études jusqu'à la réalisation de ce travail de fin du prèmier cycle de graduant j'attends l'épanouissement. Que Dieu vous bénisse.

Non remerciement d'adressent à mes parents BUHENDWA KARANA ROMAIN et sa femme ADELA CIREZI, Merci Pour Votre soutient morale et financier et voici les fruits de vos initiatives.

Non remerciement a vous ma Future Femme respective NEEMA NTERERWA à vous de m'exhorter à l'amour et à l'unité toutes fois que nous étions ensemble physiquement et mentalement juste dans le centre de mon coeur.

A ma Grande soeure : MARHONYI BUHENDWA Jolie

A mes petits frére : Bisimwa Adrien, Mushagalusa Andre, Cikuru Célestin.

A mon petit frére : Murhula Balagizi

A mes petites soeur : Musimwa Rogelline, Nsimire Adrienne, Kito Célestinne.

A tous mes compagnons de lutte et amis : prof JEAN-MARIE, WETECHE FURAHA THEOGENE et sa Fiance AIMEE, LUNANGA WAKILONGO, MULONDA KABU, CEDRICK, Dr SUBIRI BYAMUNGU Pascal, Dr IMARA, Dr STYVE, Infirmiére ESPERENCE, Kaka ANDRE, ASHUZA LAHERI, SOCRATE, FARIDJI FF JAY, Mon papa respective PAPA CARLOS KULUMU à Uvira, Et Mon Eglise CITE BETHELE à Uvira pour leur Prière en Christ.

Et autres mes connaissance.

Je suis Roger Karana pour la facebook si tu vait parler avec moi, pour le Diabète Je suis là pour vous aider.

INTRODUCTION

0.1. DEFINITION DES CONCEPTS

ü Prise en charge : Action de Prodiguer des soins à une personne présentant des symptômes dus à une maladie ou un accident.

ü Diabéte sucré: le diabéte sucré est un groupe de maladies métaboliques caractérisées par une hyperglycémie chronique résultant d'un défaut de la sécrétion de l'insuline ou de l'action de l'insuline ou de ces deux anomalies associées. L'hyperglycémie chronique est associée à terme avec des complications organiques spécifiques touchant particuliérement les yeux, les reins, les nerfs, le coeur et les vaisseaux ( P.DROUIN et al, 1999).

ü Diabéte de type2: Il corespond à l'ancienne terminologie de diabéte non insulinodépendant et associe :

ü une insulino-résistance dominante avec insulino-pénie relative,

ü ou une diminution prédominante de l'insulino-sécrétion associée ou à une insulino-résistance ( P. DROUIN et al, 1999).

0.2. PROBLEMATIQUE

Le diabéte sucré est une maladie trés rependue dans tous les pays du monde. Le diabéte est connu depuis l'antiquité comme un trouble avec ruine de miel. La déficience de la prise en charge provoque des complications particuliérement en limitant l'activité de la personne malade et conduit à la mort. Il est un probléme majeur de santé publique à l'échelle mondial. Son évolution est silencieuse et insidieuse jusqu'à l'apparition de complications lourdes de conséquences en terme de morbidité et de mortalité ( Dr. MANSOUR, 2012 ).

La maladie est aussi présentée au niveau du globe terrestre tout entier et une augmentation abusive et progressive est constatée au cours de vingt derniéres années faissant état d'une prévalence de 7% en 2009, cette derniére passera à 8% en 2012. Une faible augmentation d'1% se constante entre ces deux periodes;elle ne connaitra pas des redictions les années suivantes;par contre une augmentation en progression;car elle fut declarée à 9% en 2014 selon un rapport des experts de l'OMS.Selon l'OMS,347 millons de personnes sont diabetique dans le monde; ces nombre pourai bien doubler d'ici les vingt prochaines années(500 millon en 2030) selon la federation internationale du diabete(FID),le nombre des diabetiques agés de 20 à 79 ans dans la region MENA(Moyen orient et Afrique du nord passera de 24,5 millon en 2007 à44,5 millon en 2025. selon la même source, estimations statistiques démontrent que, le diabéte a tué 3,4 millions de personnes dans le monde en 2005 ( OMS, 2013). Plus des 80% des décès par diabéte se produisent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, la tranche d'age la plus atteinte est celle économiquement productive: 30 à 50 ans ( Dr MANSOUR, 2012 ). Selon l'OMS, la méconnaissance du diabéte, combinée à l'accès insuffisant aux services de santé et aux médicaments essentiels, peut entraîner des complicatios liées En 2010, les complications aboutissant à la cécité, à l'amputation et à l'insuffisance rénale. En 2010, les complications liées à la maladie ont été diagnostiquées chez 2,8% ( 11958 complications) des cas de diabétes enrégistrés ( 419663 cas) au niveau du système de surveillance épidémiologique national du diabéte ( Aoufi H, 2012).

Dans les pays développés, la situation est aussi déclarée, parfois avec une acuité de plus en plus remarquable car la réalité vécue est telle que dans ce cas, la maladie se trouve en progression arithmétique avec une augmentation des cas parfois galopante. En France par exemple, la prévalence du diabéte est élevée à cause de l'augmentation plus resources alimentaires qui ont permis une alimentation plus riche au sein de la population. Par contre, en Polynésie Française, la prévalence du diabéte oscille entre 30 et 50% et que dans les îles de Nauru en Micronésie, elle est supérieure à 50% en 2010 ( www.who/diabetes/fr/.net/ ). Le Canada n'échappe pas à l'épidémie mondiale de diabéte de type2: en 2005, 1,3 million de Canadiens, soit 4,9% de la population âgée de 12 ans et plus, étaient atteints de diabéte. 1 En outre, d'aprés l'Agence de la santé publique du Canada, prés de 60 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, soit un taux d'incidence de 2,6 cas pour 1000 résidents deplus de 12 ans( Public Health Agency of Canada, 1999). D'autres pays sont dénoncés par l'OMS au cours de ses projections pour l'année 2025; millions des diabétiques, selon la projection citée ci-haut, ce pays passera de ce chiffre à 69,9 millions des diabétiques en 2025. La Chine s'alignera en deuxième position avec 39,8 millions en 2007 à 59,3 millions des diabétiques en 2025. Le Brésil vivra une augmentation brusque lui permettant de quitter la huitième place qu'il occpait en 2007 à la quatriéme en 2025; soit 6,9% millions de personnes souffrant de diabéte en 2007 à 17,6 millions en 2025 ( FID 2006).

En Afrique, on estime qu'environ 80% des personnes atteintes de diabéte ne sont pas diagnostiquées ( FID, 2011). Dans de nombreux pays, 5 à 10% du budget des soins de santé sont absorbés par les diabéte et plus de 50% de ces dépenses sont imputables aux complications du diabéte ( Beaglehole R et All, 2009). Selon la Fédération Internationale du Diabéte ( FID), le nombre des diabètiques âgés de 20 à 79 ans dans la région MENA ( Moyen Orient et Afrique du Nord ) passera de 24,5 millons en 2007 à 44,5 millions en 2025, et selon la même source de la prévalence du diabéte au Maroc en 2007 était de 7,1% atteindra 9,1% d'ici 2025 (FID, 2010). La même source poursuit en ces mots: toujours en Afrique, environ 280 000 décés en 2011 étaient imputables au diabéte. Sur le plan économique, la FID avait estimique que les de penses de la santé consancrées à la gestion du diabéte et à la prévention de ses complications au niveau de la région MENA, ont absorbé 14% des dépenses totales de santé en 2010 ( MENA, 2010).

Au Maroc, selon une étude récente; le coût moyen mensuel par malade est estimé à 1662,60 DH avec un coût annuel moyen par malade de 19 951,24 DH ( Hallab L et All, 2012).

La République Démocratique du Congo à l'instar des autres pays africains d'une part, et ceux du monde entier d'autre part n'est pas épargnée par cette pandémie. Selon une recherche réalisée à Kinshasa; la prévalence du diabéte était quasiment nulle il ya 40 ans; elle est passée brusquement à 5,8% sur l'étendue du pays entier et de 7% pour la simple ville de Kinshasa ( judith TEKE, 2003). La RDC compte actuellement plus de 8 millions des diabétiques dont 200 000 à Kinshasa a déclaré le Directeur national du programme national de lutte contre le diabéte au cours d'une revue de presse accordée à radio okapi en avril 2015.

www.radiookapi.net.actualité/2015/04/08/.

La province du Sud Kivu est de toute évidence touchée par cette situation, avec bien des cas non diagnostiqués, ce qui échappe aux agents de santé de pouvoir établir les statistiques réalistes par rapport à cette pandémie. Pour des données trouvées disponibles signalons que l'Hôpital Provincial Général de Références de Bukavu faisait état de 11,1% de prévalence pour le diabète déjà en 2007, avec un taux de létalité de 5,9% chez les patients admis en médecine interne. Alors qu'en 2010, la prévalence du diabète fut estimée à 5% dans la ville de Bukavu ( IPS S-K, 2010). La Zone de Santé de Nyantende, notre milieu d'étude est autant touchée par ce problème de santé à un certain niveau tant soin peu inquiétant car, elle comptait 186 diabétiques parmi les quesls elle a enregistré 19 mort en 2014 ; cette situation est aussi constatée pour la période de 2015-2016, où l'on a déjà enregistré 206 cas de diabéte avec 11 décès déjà. Cette situation a suscité une attention aux autorités sanitaires de cette structure qui disent que le constat réalisé fait étant d'une augmentation continuelle des cas.

Ce constat réalisé au cours de notre pré enquête à l'HGR de Nyantende a soulevé en nous des interrogation ; celles de savoir : Qu'est-ce qui serait à la base de l'augmentation de cas de diabéte dans la zone de santé de Nyantende? Et comment faire une meilleure prise en charge ?

0.3. HYPOTHESES

L'augmentation de ces cas de diabéte à l'HGR de Nyantende pourrait avoir des éléments explicatifs. Elle serait due :

Ø Aux faibles connaissances du personnel soignant sur la prise en charge du diabéte ;

A l'insatisfaction du personnel soignant sur leur rémunération et leur motivation ;

Ø A la rupture des stocks de médicaments et de matériel pour la prise en chaerge de diabètes.

0.4. OBJECTIFS DU TRAVAIL

v Objectif Général

Ce travail a pour objectif général d'évaluer la qualité de la prise en charge des malades diabètiques à l' Hopital Général de Référence de Nyantende.

v Objectifs spécifiques

Pour atteindre le but poursuivi par le présent travail, nous nous sommes proposé les objectifs spécifiques suivants :

Ø Evaluer le niveau de connaissances des personnels soignants sur la prise en charge des diabètique ;

Ø Déterminer le niveau de satisfaction financière et motivationnelle du personnel ;

Ø Vérifier s'il existe des ruptures en médicaments et matériels de soins utilisés pour la prise en charge des diabétiques à l'HGR de Nyantende.

0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET

Le choix de ce travail est justifié par le taux élevé de diabéte constaté dans la zone de santé deNyantende. Il nous permettra par ailleurs à comprendre les astuces de la prise en charge de cette maladie en fonction des normes acceptables et la réalité vécue au sein de la dite structure pour en déterminer la qualité de soins offerts aux patients.

Ce travail nous permettra aussi à déterminer tant soit peu les circonstances et/ou les facteurs de survenue de cette maladie au sein de la population de notre Milieu d'étude.

Cette étude nous permettra en fin d'acquérir des nouvelles connaissances qui auront un impact sur la performance sur notre bagage intellectuel.

0.6. DELIMITATION DU TRAVAIL

v Délimitation spatiale

Nous avons réalisé notre étude à l'Hôpital Général de Référence de Nyantende ; structure sanitaire se trouvant dans la zone de santé portant le même ; en province du sud-Kivu en République Démocratique du Congo.

v Délimitation thématique

Cette étude a été orientée dans la thématique du diabéte. Elle s'aligne dans la philosophie de la recherche des raisons probables de l'augmentation progressive des cas au sein de notre milieu d'étude d'une part ; la recherche de la découverte de la qualité de la prise en charge au sein de l'HGR de Nyantende d'autre part.

v Délimitation temporelle

Notre étude était réalisée au cours de l'année 2016. De sa conception, la récolte des données sur terrain, l'analyse des données jusqu'à sa rédaction, le travail s'est étendu sur une période allant de Mars en Juin de l'année précitée ; soit une durée de quatre mois.

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL

Hormis l'introduction, la conclusion, les duggestions et quelques annexes ; le présent travail s'est articulé sur trois principaux chapitres, à savoir :

Ø Chapitre I. Considérations théoriques sur le diabète;

Ø Chapitre II. Matériel et méthodes ; et

Ø Chapitre III. Présentation et interprétation des résultats.

CHAPITRE. I. CONSIDERATION THEORIQUE SUR LE DIABETE SUCRE

I.1. DEFINITION DU CONCEPT.

la diabéte sucré est une maladie métabolique chronique caracterisée par une hyper glycemie chronique ou permanent, suite à une carence absolue ou relative en INSULINE ou anomalie de l'action de l'insuline (insulino resistant).

Le caractère sucré des urines n'a été constaté en Europe qu'au 18ème siécle.Mais au paravant ancienne (10eme siécle aprés J.C) les courants actuels des recherches en matiére de diabéte sucré portent principalement sur les points suivants:

Ø Mode d'action de l'insuline;

Ø Liaison de l'insuline avec ses récepteurs membranaires et transmission du message intercellulaire;

Ø Prévention des complications vasculaires du diabéte et recherches de margeurs chez les sujets à risque dans ce domaine;

Ø Tentative de thérapeutique = définitive = du diabéte sucré;

Ø En particulier, l'insulinoprive par traitement immunodépresseur ou bien par prothése ( pancréas ).

Le diabéte sucré est l'expression clinique hétérogéne mais dans la quasitotalité de cas, il se prensente comme une maladie chronique, de cause inconnue, de caractére familial, du taux de glycémie.

L'hyperglycémie qui. selon les cas manifeste en permanence absolue ou relative en insuline. Le diabéte sucré s'accompagne, au cours de son évolution des lésions nerveuses et surtout vasculaire touchant les artéres des gros et moyens valibres.

A cause des lésions de petits vaisseaux, certaines anomalies capullaires.

Les diabéte, aprés 20 à 30 jours d'évolution en moyenne, ne peut devenir une

affection trés inualidente. De solides arguments chiniques,biochimiques,et

experimentaux tendent à démontrér que la carence en insuline, l'hyperglycémie, leur conséquences sont resposables de l'évolution de lésions vasculaire de l'aggravation de l'athérome.

I. 2. ASPECTS CLINIQUES ET CLASSIFICATIONS

I. 2.1. Clinique

Les signes clinique dépendent le plus souvant de types de diabéte sucré:

v Diabéte sucré du type 1 : les signes cliniques sont d'installation brutale, avec une syndrome cardinal Diutétique:

- polyrie

- polyphagie

-polydisie.

Les autres signes peuvent être associer en fonction soit des complications ou des facteur deséquilibrans.

v Diabéte du type 2 : les signes sont soit absents, soit discrets et le mode d'instalation et progressif.

La plupart des patients consultent au stade des complication.

I. 2.2. Classification

il ya 4 types de diabéte sucré

* Type 1: Ds insulinodependant: diabéte du type 1 est surtout aux personnes âgés des 40 ans est plus, ici il ya 2 sous types â savoire:

- Type1:

a) - présence des Auto-anti corps (AC)= c'est une maladie auto-immuné.

b) - idiopathiques pas d'auto-AC.

v Type 2: DS non insulino dépant: plusieurs facteurs sont prédisposonet:

- Prédisposition génétique

- Obesité

- Malnutrition proteïno-calorique sevère

- Désequilibre nutritionnel : beau coup d'apport en calorie sucré d'absorption rapide le maniére prologé régime pauvre en fruit.

v Type 3: DS Gestationnel: qui survient seulement pendant la grossesse.

v Type 4: DS Sécondaire dont il ya:

a. une anomalie génetique de l'insuline

b. Maladie endocrinienne: ex:

- pheochromocytome: tumeur medilleo surénalienne secretant l'Adrenaline et la norodrenaline

- syndrom du LUSHING: tumeur sécretant le cotisol

- Acromegalie: liée à l'excés des hormone de croissance (GH)

- Hyper thyroïdie

c. Maladie de sur charge: ex: hémo chromatose, maladie de WILSON...

d. Atteintes pancreatiques: cancer du pancreas, pancreatite chronique, insuffisances pancreatique, ablation accidentelle du pancreas, ect...

e. Aux médicaments: corticoïde prologée, oestrogéne epillulle.

I.2.3. Les symptômes

Le diabéte gras, de l'adulte sans tendance spontanée à la cétose, sans amaigrissement, témoigne de la carence en insuline.

Dans à peu prés 80% de cas, le diabéte a un poids excessif ou bien, il a été obèse antérieurement. L'age d'apparition de la maladie est tardif, sur tout aprés 50 ans. Elle est plus fréquente chez la femme.

Les symptômes du diabéte proprement dit sont discrets:


· polyurie


· polydipsie


· Amaigrissement modéré passe souvent inaperçu ou absent.


· Augmentation de poids


· obésité


· grossesse.

La cétose spontanée survient trés rarement mais peut apparaitre à l'occasion

d'une affection intercurrente, le bilan azoté est est habituellement normal. Le diabéte sucré debutant à l'âge mûr représente 80% des cas de diabéte sucré dans notre pays.

I.3. COMPLICATION

Le diabéte peut être responsables de complications metaboliques aïguës caractérisees par un taux de sucré sanguin (glycémie) élevé, et un coma de type acido-cétosique ou hyperosmolaire.

Les atteintes des gras vaisseaux (macro angiopathie) sont dues à l'athérosclérose.

Par fois inaperçus, des accidents vasculaires cérébraux comme des accident ischémiques et de l'artériopathies inférieus. il est conseille aux diabétiques de faire électrocadiogramme une fois par an.

Les complications des petits vaisseaux ( microangiopathie) touchent:


· les yeux: par la rétinopaque ichémique ( sans formation de néo-vaisseaux) cécité, microanévrisme, oedéme musculaire. il est conseillé aux diabétiques de faire un fond d'oeil une fois par an.


· le réseau nerveux: la neuropathie diabétique est un trouble de la sensibilité épicritique et profonde par fois accompagné de douleurs neurpathiques principalement au niveau des membres inférieurs, ces troubles de la sensibilité peuvent entraîner un retard de prise en charge de plaies du pied.


· les reins: la néphropathie diabétique pouvant évoluer jusqu'a l'insuffisance rénale.

Differentes lésions peuvent atteindre le rein diabétique, sur tout les néphropathies glomérulaires et les néphropathies vasculaires.


· les plans cutanéo-muqueux: des difficultés de cicatrisation des plaies sous forme d'ulcéres sont perçues, ces derniers sont courants chez les diabétiques atteints d'artériopathie oblitérante des membres inférieurs ( mal perforant plantaire).

Sur le plan immunitaire, le milieu sucré profite à beau coup d'agents infectieux telles les candidoses par une atteinte de l'immunité cellulaire. il est associé à la maladie parodontale.

Enfin la grossesse d'une famme diabétique doit faire l'objet d'un suivi médical paticulier, de façon à limiter les risques de mal formations foetale .

II. 4. ASPECTS CLINIQUES MOINS SCHEMATIQUES

I.4. Les facteurs qui peuvent précipiter l'apparition d'un diabéte sucré parmi les sujets vraisemblablement prédisposés

* l'obésité est l'un des facteurs;

* la grossesse en est un autre, c'est la raison pour laquelle les cas de diabéte chez les hommes adultés;

* les caractéres héréditaires du diabéte dela maturité sont également observés;

* il existe aussi trés puissants, ainsi, chez les jumeaux homoxygotes, si l'un des sujets est diabétique de type2 l'autre de viendra ( presque ) inexorablement diabétique.

I. 5. PHYSIOPATHIE DU DIABETE SUCRE

Article détaillemé: Régulation de la glycémie.

La régulation de la glycémie par l'organisme est en grande partie liée à la capacité de la cellules à absorber le glucose, faisant ainsi baisser sa concentration dans le sang.

L'insuline est une hormone sécrétée par le pancréas, dont la fonction est d'augmenter l'entrée de glucose dans les cellules en cas d'hyperglycémie ( d'où son action hypogycémiante).

-La polyurie

- polydipsie ( litteralement « beau coup uriner et soif intense» ) est une

conséquence de l'hyperglycémie ( augmentation du taux de sucré sanguin ).

Les reins ne peuvent récuperer tout le glucose filtrée, qui passe dans les urines et par osmose appelle l'eau de l'urine primaire et provoque une perte d'eau importante dans les urines, ce qui entraîne une déshydratation et une soif permanente. Les malades doivent donc parce qu'ils urinent trop et non l'inverse.

I.5.1. Présentation commune du DS

a) le diabéte se caractérise par:


· une émission d'urine excessive( polyrie) entraînant une soif intense( polydipsie ),soit un diabéte proprement dit,


· un appetit anormalement augmenté ( polyphagie ).il a aussi pour conséquence un amaigrissement malgré une prise de nourriture abondante,


· par fois une acido-cétose diabétique avec dyspnée de Kossmaul.

b) les analyses de sang et d'urine montrent:


· une glycémie ( taux du sucré dans le sang ) superieures, à 1,26gramme/littre du sang à jeun ou 7 mmol ( valeur normale étant comprise de 0,8 et 1,10g/l, de 1,10 à 1,25, il est plutôt question d'intolérance au glucose).


· par fois une acétonurie [ présence d'acétone dans les urines, le seuil de passage de l'acétone dans les urines est une glycémie de 2,5g/l ] accompagnée d'une haleine de << pomme reinette>> caractéristique;


· une présence de sucre dans les urines ( glycosurie, le seuil du passage de sucre dans les urines est de 1,8 gramme];

I.6. PARACLIQUE

Recommande de l.OMS:

- glycémie à jeûn, - NFS,VS,CRP, - Culot urinaire et proteïnurie.

- urée,créatine, - HbA1C = Hb gliquée = glycosylée ( <6% )

- les Bilan lipidiques: HDL,LDL. Cholesterol, Triglycerides

Fo ( fond d'oeil ), - ECG ( életro cardiogramme )

- Rx thorax ( F&P ) ou foie et poumons.

Les autres examen peuvent être demander en fonction de l'Etat du patient ou pathologies suspectés.

I.7. SURVEILLANCE DU DIABETIQUE

Ø L'examen d'un diabétique doit être mené de façon réguliére et schématique une fois tous les 3 à 6 mois, la consultation sera l'occassion de mesurer les poids, la pouls au niveau postérieur, pouls pédieux.

Ø la tension artérielle est prises débout et couchés, pour recherches une hypertension orthostatique.

Ø l'auscultation du coeur, la pratique d'un életro-cadiogramme sont nécessaires au delà de 40 ans,

Ø Achaque examen, la recherche d'une abolition ou d'une diminution de la vivacité de

réflexes ostetendineux aux membres inférieures sera rechercheée.

Ø La sensibilité vibratoire au diapason peut être diminer dans les diabéte, en ca

de neuropathie. Elle se recherche particuliérement dans la Région dorsale de

pieds.

I.8. COMPLICATION.

Ø Trouble visuel;

Ø Neurologique;

Ø Destruction progressive de glomérule;

Ø Trouble métabolique;

Ø Névrite;

Ø Hypertention;

Ø Lésion cutanées;

Ø atteintes myocardiques.

I. 9. TRAITEMENT DU DIABETE SUCRE

Le traitement a pour but:

1) de supprimer les symptômes en corrigeant aussi que posible hyperglycémie en

évitant la cétose, maintenant un bilan azoté équilibre d'un poids normal stable;

2) d'évitant, chez les sujets dont l'espérance de vie le permettrait, le développement à long terme des complications chroniques du diabéte sucré;

3) Délimiter des incidents qui peuvent être entraînés par la thérapeutique elle-même;

4) comme dans toute maladie chronique, d'apprendre au sujet malade à connaître son affection et la façon de surveiller et de se traiter. La correction à court terme, des anomalies métaboliques normales « idéal »

I.9.1 Choix des moyens thérapeutiques

La thérapeutique du diabétique du diabéte sucré repose, dans tous les cas, sur un contrôle de l'alimentation et en autre, selon les formes de la maladie, et nécessité en ressent, sur l'administration d'insuline ou d'agent hypoglycémiant de synthése.

I.9.2. L'insulinothérapie

Il s'agit d'un traitement sur basse d'insuline il existe plusieurs types d'insulines qui ce distinguent sélon leur origine et leur durée d'action.

a) selon l'origine: on a l'insulines tracle du pancréas de boeuf, de port et de l'insuline humaine.

b) selon la durée d'action il ya les formes suivants:

1) insuline d'action Rapide ( insuline ordinaire ): ce sont de solution claires cristalline: la durée d'action est de 6 heures, pour traitement de cas urgent et de complication couvre cétose, l'hyperosmolaryte par voie intra veineuse ( IV ) ou par voie cutanée ( 3 à 4 injection par jour ).

2) insulines intermédiaire: ce sont des suspensions ( donc à agiter avant prélévement ) leur durée d'action est de 12 à 18 heures. 3) insulines lentes et ultra-lentes: sont aussi de suspension qui ont une action prolongée 36 heures. Elles sont utilisées ( ou une injection par 24 heures ) seules ou associées à l'insuline rapide ou intermédiaire (16)c) les hypoglycémiants oraux

il existe deux groupes principaux:

Ø les sulfamides ou sulfonylurie;

Ø les Baguanioles.

Les sulfamides hypoglycémiantes; les princimaux sulfamides commerce

Nom clinique

Nom commercial

Posologie

Charpopamide

Drapinése

250 mg

Gliglazide

Diamicrow

80 mg

Clibendamide

Daonil, englucow

5 mg ( comprime)

Tobitamide

rastiwow

500 mg

Glipizide

Glibernrce

5 mg

c.1. Indication

Seront indiqués chez les diabétiques de type II, non obéses poids inférieurs à 120 kg du poids idéal.

c.2. Contre indicatio

ils sont contre indiqués chez les femmes en ceintes, dans les cécités avec acidocétose. il stimule la secrétion et la liberation de l'insuline pour les buts de longesfians du pancréas.

CC.3. Les buguanides

Etaient au nombre de 3:

Ø La bufomine

Ø La moiformine; seule la méthomine reste commercialisée dans certains pays dont Belgique sous le nom de glycophage, com

C.4. Les aliments d'un diabétique

Ceci est trés important car rappelon-le, les diabétiques dévrant être capable de constituer tout seul ses ration alimentaires

En fait , pour garantir un fonctionnement normal de l'organisme.

Le régime alimentaire doit être équilibré, c'est - à - dire contenir quotidiennement et en quantité suffisante des aliments, appartenant à chacun de groupes présentés ci-aprés.

Nous mentionnons chaque fois leurs effets sur la glycémie:

a) Aliments énergétiques

Les bésoins énergétique évaluées environ 3000 kcal par jour pour un homme de référence (75kg) et de 2200 kcal pour la femme de référence 65kg\ sont essentiellement ouvert par le sucré appelé sucre glucide ou hydrates de carborne et les matiére graisses ou lipides

b) Aliments de construction

Ce sont les aliments riches en proteïnes la durée de leur digestion est environs 2heures.

Les besoins récommandés dit : bésion théorique de sécurité en proteïne sont de 0.75g par jour et par kilo de poids, corporel. Leurs aliments sources sont surtout le produit des animaux et le légumineuse: viande, poisson, volaille, oeuf, fromage, lait, les chenille.

Les proteïnes jouent un rôle important dans la réparation des tissus, la defense (antimicrobienne par la formation d'anti corps) ma croissance, par ailleurs, elle ralentissent le passage du sucré de l'intestin vers le sang.

Ce qui est particuliérement bénefique pour le diabétique mieux, en core les proteïne, influencent par la glycémie et peuvent donc rentrer largemment dans la composition de ration de diabétiques.

c) aliments de protection

Les aliments sont riches en vitamine, minéraux et fibres alimentaire les rôles des vitamines et des sels minéraux de l'organisme sont trés nombreux et d'inversifier et varient avec les types considérés, ils sont indispensables au bon fonctionnement de l'organisme qui n'en nécessite souvent que des quantités infinitesimales

Leur accés ou déficit peuvent être la base de déséquilibre alimentaire conduisant à des troubles plus ou moins graves, mémes montent, si l'équilibre n'est pas rétablie assez rapidement ( tout ça pour maintenir l'équilibre de glycémie ).

Chapitre II. MATERIELS ET METHODES

II.1. DESCRIPTION DU MILIEU D'ETUDE

II.1.1. Aperçu historique

Vers les années 1975 a existé à Nyantende un dispensaire qui fonctionnait tout d'abord dans un bâtiment de la paroisse de Nyantende. Ce petit dispensaire était sous dépendance total du centre «OLAME» qui est une institution qui s'occupait des oeuvres médicales de l'archidiocèse catholique de Bukavu .

De cette formation médicale primitive va naître le centre de santé juste à l'arrivée des soeurs missionnaires de la communauté de Franciscairs du christ-roi. La construction a été financée par organisme allemand « MISEREOR » et les travaux ont été réalisés par l'archidiocése de Bukavu sous la supervision du Bukavu de Développement du District ; trés rapidement ce centre va prendre l'essor, il sera ainsi centre hospitalier lors du conseil d'administration de la zone de santé.

De mars 1999 à nos jours, il s'implique dant la politique de soins de santé primaires organisés par les hôpitaux ; maintenant ce centre hospitalier fonctionne comme un Hôpital Général de Référence à partir de l'année 2000 avec comme premier Médecin Directeur ; le Dr Vincent CIBANYUNY RURHEGE

II.1.2. Limites géographiques

La zone d'installation de l'Hôpital Général de Référence de Nyantende se trouve limitée de manière suivante:

Ø Au Nord-est : par l'HGR de PANZI et de Kabare ;

Ø Au Sud : par le CS de Kalagane dans la collectivité de Mumosho ;

Ø A l'Est : par la rivière RUZIZI

Ø A llOuet : par la zone de santé de Nyangenzi.

Sa surperficie n'est pas connue ; son relief est caractèrisé par petites collines surplombant les vallées. Son niveau d'altitude est de 313 m par rapport au niveau de la mer.

II.1.3 Données démographiques

La population de la zone de santé rurale de Nyantende comprend ennviron 120 milles habitants au cours de l'année 2015. La population est forte densité, mais non chiffrée. Cette population est urbaon-rurale répartie sur plusieurs aires de santé, à savoire :

- Aire de santé de Buhozi ;

- Aire de santé d'Ihemba ;

- Aire de santé de Mudusa ;

- Aire de santé de Kalagane ;

- Aire de santé de Chirhegera ;

- Aire de santé d'Igoki ;

- Aire de santé d'Ishungu.

Chaque aire de santé est coordonnée par un Centre de santé. Trois postes de santé sont aussi fonctionnels dans trois aires de santé.

II.1.4. Situation socio culturelle et économique

La population est à grande majorité uni-catholique cultivatrice et pratique un peu d'élevage. Bien que l'activité principale soit la culture vivriére, certains font des petits commerces et d'autres vivent des travaux journaliers du seuil de pauvreté. On y constate un analphabétisme à outrance suite à la pauvreté, pas de bibliothéque dans le milieu, ni de centre culturel,...

II.2. METHODOLOGIE

Nous étude est descriptive transversale au vu de sa méthodologie constant à décrire les compétence est personnels soignants sur la qualité de la prise en charge des diabètiques.

II.2. 1. Materiels

Pour la collecte des données de terrain, l'analyse et le traitement des de cés derniéres, il nous a été utile d'utiliser quelques matériels comme ;

Ø Un questionnaire d'enquête : celui-ci fut l'élément majeur pour la récolte des informations issues de nos enquêtés;

Ø Un ordinateur : celui-ci fut l'outil d'analyse et traitement des données ; il a aussi servi de l'outil de saisie du travail proprement dit après sa rédaction ;

Ø Une grille d'observation : Cette fiche est un outil d'appui au questionnaire d'enquête pour la complétude de certaines données nécessaires pour le travail ;

Ø L'internet : Réseau de recherche en ligne pour constituer la littérature importante par rapport au travail ;

Ø Les diabétiques de l'HGR de Nyantende : il ont servi des unités statistiques au prés des quelles nous avons vollecté les informations nécessaires pour la réalisation du présent travail.

II.2.3. Techniques

Nous nous sommes servi de :

Revue documentaire

Cette techinique nous a permis de consulter différents travaux réalisés par d'autres Chercheurs en rapport avec notre étude pour en élaborer une problématique et une vue de la litérature réalistes en fonctions des avis émis par les prédécesseurs.

Observation directe

Pour cette technique, il a été question de descendre sur terrain pour observer les actes et les attitudes posés par les personnels soignants d'une part ; et d'autre part vérifier les habitudes des patients par rapports aux activités préventives et au respect de régime au quel ils étaient soumis.

Interview participative

Celle- ci faisait l'objet de la collecte proprement dite des données sur terrain. Elle consistait à mettre en situation d'échange verbal entre un enquêteur et un enquêté (diabétique), guidée par une série de questions (questionnaire) en rapport avec la thématique de la prise en charge de diabète. Celle-ci fut le moyen le plus efficace pour collecter les informations utiles pour la réalisation de notre étude.

Echantillonnage

Choix

Au cour de notre, un échatillon probabiliste par convenance à été utiltsé ; et pour déterminer la taille de notre échantillon, nous avons utilisé la formule de l'OMS en prenant 20% de la population d'étude pour permettre une bonne représentativité.

Il s'agit de :

e= N×20:100 avec :

e= taille de l'échantillon ;

N= la population d'étude (206 diabétiques) ;

20%= la proportion de la population d'étude soumise à l'étude.

Taille d'échantillon

La taille de l'échantillon est donc calculée comme suit : e=206×20 / 100 : 41,2 ; la taille de notre échantiollon est de 41 diabétiques.

II.2.4. Traitement des données

Aprés collecte des données au cours d'enquête sur terrain à l'aide d'un questionnaire administré aux patients diabètiques de l'HGR de Nyantende, l'analyse et le traitement ont été faites dans le logiciel sphinx plus². Les résultats ainsi obtenus ont été présentés dans les tableaux de fréquence en déterminant la moyenne en pourcentage. L'intervalle de confiance est de 95% et une marge d'erreur de 5%.

II.2.5. Considération éthique et mode de communication des résultats

La considération de nos enquêtés était soulignée car le questionnaire fut anonyme et faisait l'objet d'un consentement libre et éclairé. Personne n'a été obligé à participer à l'étude que s'il donnait son consentement. Les informations issues de nos enquêtés n'ont servi que pour cette étude et non pas pour de fins abusives.

Nos résultats ont été présentés sous forme d'un Travail de Cycle (TFC) et mis disponibles en deux exemplaires dans la bibliothéque de l'Université Simon Kimbangu de Bukavu.

Chapitre III. PRESENTATION ET INTERPRETATION DES RESULTATS

II.1. PRESENTATION DES RESULTATS

A. RESULTATS POUR PERSONNEL DE PRISE EN CHARGE DES DIABETIQUE ( RPS )

Tableau 1. Données socio démographiques du personnel soignant

VARIABLES

EFFECTIF

POURCENTAGE

SEXE

 
 

Masculin

4

80

Féminin

1

20

AGE

 
 

20-30 ans

0

0

31-40 ans

3

60

31-50 ans

1

20

51-60 ans

1

20

61 ans et plus

0

0

ETAT CIVIL

 
 

Célibataire

0

0

Maré(e)

4

80

Divorcé(e)

0

0

Veuf (ve)

1

20

NIVEAU D'ETUDES

 
 

A0

0

0

A1

1

20

A2

4

80

A3

0

0

ANCIENNETE

 
 

1-5 ans

2

40

6-10 ans

2

40

11 ans et plus

1

20

Les personnels soignant de l'HGR de Nyantende est mojoritairement de sexe masculin ; la tranche de 31-40 ans est plus représentée que les autres ; la grande mojorité à plus de ¾ est composée des mariés, de même niveau d'études est largement dominé par le niveau A2 ; enfin, les agents soignants ont une ancienneté qui varie entre 1-5 ans de service pour 40%, même pourcentage pour ceux ayant une de 6-10 ans.

Tableau 2. Connaissance des signes cliniques du diabéte sucré

VARIABLES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 5 100

Non 0 0

Total 5 100

La totalité de non enquêtés déclarent qu'ils connaissent les signes cliniques du diabéte sucré.

Tableau 3. Enumération de ses signes cliniques du diabéte

VARIABLES EFFECTIF POURCENTAGE

Polyurie 5 100

Polyphagie 5 100

Polyosides 3 60

Obésité 1 20

Coma diabétique 2 40

La polyurie et la polyphagie sont reconnues à 100% par les personnels soignants comme signes cliniques du diabéte ; par contre, les polyosides et le coma diabéte à leur tour sont connus respectivement par 60% et 40% d'agents soignants.

Tableau 4. Connaissances des matériels de prélévement de la glycémie

MADALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 5 100

Non 0 0

Total 5 100

Dans ce tableau on constate une déclaration à 100% des agents soigant sur la connaissance des matériels de prélevement de la glycémie.

Tableau 5. Enumération des matériels de prélèvement de la glycémie

OBSERVATIONS EFFECTIF POURCENTAGE

Glycométre 5 100

Tigrtte 4 80

Seringue 2 40

Tampon 4 80

Aiguilles 3 60

Il ressort de ce tableau que le glycomètre est le seul matériel de prélèvement connu de tous les angents soignants, la tigette et le tampon sont connus par 80% de ces derniers, pendant que les autres matériels ne sont reconnus qu'à 60 et 40%.

Tableau 6. Conditions pour administrer l'insuline au Diabéte

MADALITES EFFECTIF POURCENTAGE

S'assurer de son alimentation

l'administration 1 20

Connaître sa valeur glycémique 1 20

S'assurer de son alimentation et connaître

sa valeur glycémique 3 60

Rien faire et administrer directement

l'insuline 0 0

Total 5 100

Seulement 60% d'agents soignants connaissent les conditions requises pour administrer l'insuline à un diabétique.

Tableau 7. Peut-on adminidtrer le sérum glucosé à un diabétique ?

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 4 80

Non 1 20

Total 5 100

80% d'agents soignants admettent qu'on peut administrer du sérum glucosé à un diabétique ; pendant 20% d'entre eux disent le contraire.

Tableau 8. Examens cluniques et para cliniques pour un diabétique

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Glycosurie, glycémie, urée 1 20

Glycosurie, glycémie, urée, géatinine, ionogramme, autres 3 60

Glycosurie, glycémie, urée, géatinine 1 20

Total 5 100

A 60%, les agents soignants connaissent les examens cliniques nécessaires pour un diabétique.

Tableau 9. Connaissance des complications du diabéte sucré

MADALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 5 100

Non 0 0

Tatal 5 100

Au sujet des complications dues au diabéte sucré, la totalité de nos enquêtés renseignent avoir une connaissance sur ces dernières.

Tableau 10. Enumération des complications du diabéte

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Complications neurologiques 3 60

Complications rénales 5 100

Complications vasculaires 3 60

Complications hormonales 4 80

Hépatite 1 20

Les complications rénales sont énumérées par 100% d'enquêtés ; les complications hormonales sont, quant à elles dénoncées à 80% de cas, par ailleurs, les autres types des complicatios sont, à la connaissance de 60, 40 ou 20% seulement de non enquêtés.

Tableau 11. Connaissance de la valeur normale de la glycémie

VALEURS GLYCEMIQUES EFFECTIF POURCENTAGE

60-120 mg/dl 3 60

80-120 mg/dl 2 40

60-129 mg/dl 0 0

Total 5 100

Dans ce tableau on constate que 60% disent que la valeur normale de la glycémie se situe entre 60-120 mg/dl, alors que 40% disent qu'il s'agit de 40%.

Tableau 12. Satisfaction des agents sur le salaire perçu

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 0 0

Non 5 100

Total 5 100

100% d'agents ne sont pas satisfaits par le salaire qu'ils perçoivent pour le service qu'ils rendent.

Tableau 13. Réception réguliére du salaire

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 0 0

Non 5 100

Total 5 100

La totalité de nos enquêtés déclarent qu'ils ne reçoivent pas leur salaire de maniére régulière.

Tableau 14. Réception des motivations pour les services rendus

Le constat fait dans ce tableau est que 80% d'enquêtés ne sont pas motivés en dehors de leur salaire en fontion du service qu'ils rendent.

Tableau 15. Difficultés rencontrées dans la prise en charge des diabétiques

OBSERVATIONS EFFECTIF POURCENTAGE

Non respect de régime alimentaire 4 80

Ignorance et négligence sur la prise des médicaments

Pauvreté et mauvaises croyances 0 0

Total 5 100

Dans ce tableau constaton que le non respect de régime alimentaire est la plus grande difficulté rencontrée par les agents dans la prise en charge des diabétiques, à 80% selon leurs déclarations.

B. RESULTATS POUR LES DIABETIQUES ( RMD)

Tableau 1. Données socio démigraphiques

VARIABLES EFFECTIF POURCENTAGE

SEXE

Masculin 12 29,2

Fémunin 29 70,7

AGE

= 15 ans 0 0

16-30 ans 3 7,3

31-45 ans 10 24,4

46-60 ans 22 53,6

61 ans et plus 6 14,6

ETAT Civil

Célibataire 5 12,2

Maré(e) 29 70,7

Divorcé(e) 0 0

Veuf (ve) 3 7,3

Séparé(e) 4 9,8

NIVEAU D'ETUDES

Aucun 11 26,8

Primaire 3 7,3

Secondaire 24 58,5

Supérieur/Universitaire 3 7,3

PROFESSION

Sans profession 12 29,2

Salarié(e) 5 12,2

Commerçant(e) 17 41,5

Artisan(e) 7 17,1

Les diabétiques enquêtés sont plus des femmes (70,7) que des hommes ; ils sont âgés de 41-60 ans à plus de la moitié ; la plupart eux sont mariés et ont un niveau d'études secondaire (58,5), suivis de ceux n'ayant aucun niveau d'études ; par ailleurs, une faible majorité de ces derniers pratique le commerce comme profession.

Tableau 2. Accès régulier au traitement

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 33 80,5

Non 8 19,5

Total 41 100

Plus de ¾ des enquêtés déclarent que le traitement est régulier au sein de leur structure de prise en charge.

Tableau 3. Accession facile aux médicaments

MODALITES EFFETIF POURCENTAGE

Oui 20 48,8

Non 21 51,2

Total 41 100

Nous constatons dans ce tableau un partage presqu'égal d'avis car, 48,8% des diabétiques disent qu'il ont accès facilement aux médicaments, penfant 51,2% disent le contraire.

Tableau 4. Constat des ruptures des stocks au sein de l'institutiin

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 41 100

Non 0 0

Total 41 100

La totalité des malades diabétiques ont déclaré qu'ils constatent des ruptures des stocks de médicaments au sein de l'institution qui les prend en charge.

Tableau 5. Fréquence des ruptures des stocks des médicaments

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Habituellement 16 39

Occasionnellement 25 60,9

Total 41 100

A peu prés 60% des diabétiques déclarent que les ruptures des stocks interviennent occasionnellement, alors que 39% disent cette situation est constatée habituellement.

Tableau 6. Les soins assurés, sont- ils de meilleure qualité ?

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Oui 26 63,4

Non 15 36,6

Total 41 100

Plus de la moitié dit que les soins assurés par l'HGR de Nyantende sont de meilleure qualité ; ils sont cependant contredits par 36,6% qui dissent le contraire.

Tableau 7. Type de payement effectué pour les soins

MODALITES EFFECTIF POURCENTAGE

Payement assuré par le malade lui- même 33 80,5

Payement assuré par une mutuelle de santé 8 19,5

Total 41 100

La grande majorité ; plus de ¾ ont assuré le payement eux-mêmes par dévoursement de fond propre, pour être soigbés de leur pathologie, seulement 19,5% des cas ont été assurés par une mutuelle de santé.

III.2. INTERPRETATION DES RESULTTS

Rappelons que notre étude portait sur la prise en charge infirmiere de diabète sucré à l'Hopital Général de Référence de NYANTENDE ; elle avait pour objectif général d'évaluer la qualité de la prise en charge des malades diabétiques à l'HGR de Nyantende. Cet objectif fut vérifié par trois objectifs specifiques, à savoir :

- Evaluer le niveau de connaisances des personnels soignants sur la prise en charge des diabétiques ;

- Déterminer le niveau de satisfaction financière et motivationnelle du personnel ;

- Vérifier s'il existe des ruptures en médicaments et materiels de soins utilisés pour la prise en charge des diabétiques à l'HGR de Nyantende.

Aprés collecte de la littérature, élaboration de la problématique, énonciation des hypothèses, et mise en place des objectifs pour la réalisation de ce travail, il a été question de descendre sur terrain pour récolter les données nécessaires aux de malades diabétiques à l'HGR de Nyantende ainsi qu'aux agents de cette même structure.

Ainsi donc, aprés récolte des données sur terrain, les résultats suivants ont été observé ; la majorité d'agents était de sexe masculin, avec une légère majorité de l'age de 31-40 ans ; ils sont à 80% mariés et sont de niveau A2 au même pourcentage, en suite, 80% d'entre eux ne dépassent pas 10 ans d'expérience au service, à raison de 40% pour une ancienneté de 1-5 ans et les 40% autres pour 6-10 ans ( tableau 1 RPS). Tous les agents soignants avaient déclaré qu'ils connaissaient les signes cliniques de diabéte sucré ; par contre en vérification de leur déclaration, nous nous sommes rendu compte que seules la polyurie et polyphagie restent les signes connus par tous les agents soignants ( tableau 2 et 3 RPS) ; ces connaissances nous semblent limitées au regard de beaucoup d'autres d'entre ces signes qui n'ont été cités que par une minorité de non enquêtés.

La totalité de nos enquêtés ont répondu favorablement à la connaissance des matériels de prélèvement de la glycémie ; faisant énumération de ces matériels, ils dépencent à 100% le glycomètre, la tigette et le tampon à 80% ; alors que les seringues et les aiguilles furent citées par 60 et 40% seulement de nos enquêtés ( tableau 4 et 5 RPS). Seulement 60% connaissent les conditions requises pour administrer l'insuline à un diabètique et 80% d'enquêtés reconnaissent qu'on peut administrer du sérum glucosé à un malade diabétique ; par ailleurs, 60% seulement connaissent les examens cliniques et para cliniques nécessaires pour un diabétique ( tableau 6, 7 et 8 RPS). Ils ont encore déclare qu'ils connaissent tous les complications du diabéte sucré ; toutefois, les complications rénales restent le seul type des coplications connus de tous les agents, suivie des complications hormonales citées par 80% d'enquêtés, les complications neurologiques et vasculaires 60% ( tableau 9 et 10 RPS).

Les avis de nos enquêtés sont partagés au sujet de la valeur normale de la glycémie, car 60% d'entre eux disent qu'il s'agit de 60-120 mg/dl alors 40% disent 80-120 mg/dl ; pour ce qui concerne la rémunération, aucun d'entre eux n'a déclaré être rémunéré car tous ont dit qu'ils sont non satisfaits par leur salaire, en plus de cet aspect, ils ont signalé que leur salaire n'est pas régulier ; en dehors du salaire, 80% renseignent aussi qu'il n'existe pas d'autres motivations en fonctions de services rendus ( tableau 11,12,13 &14 RPS ). En fin pour les agents soignants, le non respect de régime alimentaire chez les diabétiques est souligné comme étant la plus grande difficulté qu'ils rencontrent dans la prise en charge des diabétiques ; ceci est suivi par la négligence de diabétiques sur la prise des médicaments.

Au regard des résultats issus des malades diabétiques ; une dominance du sexe feminin a été constatée (70,7%) comparativement au sexe masculin qui représentait 29,3% des tous les diabétiques enqêté, 53,6% étaient issus de la tranche d'âge de 46-60 ans ; à 70,7% les diabétiques enquêtés étaient mariés, non enquêtés présentaient une faible majorité de niveau secondaire, toutefois on a signalé une proportion non négligeable des diabétiques illettrés, soit 26,8%. Ceci peut d'une façon ou d'une autre être explicatif en matière des comportements de ces derniers face aux habitudes alimentaires d'une part, et de la prise de médicaments d'autre part ; à 41,5% ils pratiquent le commerce ; cette activité prédispose certains d'entre eux au sédentarisme. Mais aussi, 29,2% il vivent sans profession, situation qui lee prédisposerait à une difficulté de payement de leurs frais de soins( tableau 1 RMD ).

Les malades diabétiques ont reconnu à 80,5% qu'ils ont un accès régulier au traitement, pendant que 51,2% d'entre eux ont déclaré qu'ils n'accèdent pas facilement aux médicaments pour leur prise en charge. Poursuivante cette série des résultats on constate même que 100% ont précisent qu'ils constatent des ces ruptures, les malades se sont partagés d'avis car 60,9% disaient que la situation se présente occasionnellement, pendant 39% disaient qu'elle est habituelle ( tableau 2, 3, 4& RMD).

Les soins de santé destinés aux diabétiques ont été jugés être de meilleure qualité par une proportion de 63,4% des diabétiques dans la prise en charge à l'HGR NYANTENDE ; oposés à 36,6% qui ont déclaré le contraire. Les soins des diabétiques sont assurés en majorité, ( 80,5%) par les individus eux-mêmes et ceci fait sentir à ces derniers une lourde charge qui pourrait à un certain niveau déterminer la qualité de leur prise en charge ( tableau 6&7 RMD).

CONCLUSION

Considérent les résultats issus des investigations de terrain effectuées dans le cadre de la réalisation de cette étude, nous dirons d'entrée de jeu que notre but principal fut atteint ; il n'est autre que celui d'évaluer la qualité de la prise en charge des malades diabétiques à l'Hôpital Général de Référence de NYANTENDE. Cet objectif poursuivi au cours de notre étude ne s'est pas réalisé par le hasard ; par contre, il a fallut une recherche des composantes trop déterminantes pour y arriver. Signalons par ailleurs que ces investigations n'ont pas été dirigées uniquement vers les personnels soignants, par contre il a été question de vérifier aussi certains aspects de la part des malades prise en charge par les précités.

Pour ce faire, notre atterrissage s'est orienté sur base des différents aspects condensés dans les phrases qui suivent. De la part des personnels soignant nous avons constaté une abondance d'agents à un faible niveau d'études, le faible taux de maitrise des signes cliniques de diabéte sucré ; faible fréquence de maitrise des conditions requises pour administrer l'insuline, les lacunes sur la connaissance de la valeur normale de la glycémie.

De la part des malades, on pouvait noter les aspects les ruptures des stocks, que ce soit occasionnelles ou habituelles ; l'accès difficile aux soins ( médicaments ) ; la négligence de ces derniers sur la prise de leurs médicaments.

Bref, la mauvaise prise en charge des malades diabétiques passe par une responsabilité partagée à trois niveaux :


· premièrement elle est due par les attitudes des personnels soignants dans leurs connaissances et leurs actes vis-à-vis de leurs patients ;


· Deuxièmement elle relève de la compétence du gouvernement congolais par le biais du ministère de la santé publique. A cette il faut souligner la notion de l'assurance qualité, consistant à mettre l'homme qu'il faut à la place qu'il faut, d'une part et d'autre cette situation s'explique par la faible rémunération des agents de santé. ;


· Troisièmement, il s'agit de l'auto responsabilité des diabétiques eux-mêmes sur la négligence des ces derniers sur la prise des médicaments et surtouut le non respect de leur régime alimentaire.

La mauvaise qualité de la prise en charge des diabétiques est donc un problème multisectoriel touchant d'une façon concomitante l'Etat, les personnels et les malades diabétiques eux-mêmes, et ceci nous pousse à confirmer nos hypothèses émises au début de cette ébauche !!!

SUGGESTIONS

° Aux autorités politico-administratives, particulièrement celles du ministère de la santé publique :

- De tenir compte de l'aspect « assurance qualité » en mettant l'homme qu'il faut à la place qu'il faut ;

- De bien rémunérer les personnels soignants en vue de permettre à ces derniers de rendre service à la population de façon normale ;

- De prévoir et accorder des motivations aux agents de santé pour les amener à gaire mieux qu'avant.

° Aux personnels soignants de donner le meilleur d'eux-mêmes pour maitriser les notions importantes sur la prise en charge de diabète sucré, tout en évitant la négligence de certains aspects.

° Aux malades diabétiques ;

- D'éviter la négligence dans la prise des médicaments destinés à leur prise en charge médicale ;

- De comprendre l'importance du respect de leur régime alimentaire, en vue d'assurer par leur propre comportement une part non négligeable de la réussite de leur prise en charge.

En fin, pour clore, nous ne sommes pas le premier à aborder ce sujet comme problème soumis à l'étude ; de ce fait nous reconnaissons n'avoir pas touché au coeur de la science. Ainsi, nous demandons aux autres chercheurs soucieux de réaliser des études dans domaine de pouvoir nous compléter !!!

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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www.who.int/mediacentre/factsheets/fs312/fr/

2. Dr MANSOUR Khadija, Etude des facteurs associés aux complications Chez les diabétiques du RSSB : préfecture des arrondissements de Ben Msik Année 2012

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4. The Expert Committee on the Diagnosis and Classification of Diabetes Mellitus. Report of the Expert Committee on the diagnosis and classification of diabetes mellitus. Diabetes Care, 1997,20,1183-97.

5. Aoufi H. Evaluation du système de surveillance du diabète au maroc. INAS 2012. Non publié.

6. Public Health Agency of Canada. Diabetes in canada. Health Canada. Ottawa, 1999.

7. Fédération Internationale du Diabéte. Diabetes Atlas troisième édition. FID. Bruxelles, 2006.

8. Fédération Internationale du Diabéte : Feuille de route du diabète pour le Sommet des Nations Unies sur les Maladies Non Transmissibles ( MNT ) Septembre 2011, s.p.

9. Beaglehole R, Lefebvre P. Agisson contre le diabéte, Initiative de l'Organisation mondiale de la Santé et de la Fédération Internationale du Diabéte. Suisse, s.d, 19 p.

10. Site officiel du Ministère de la Santé. Maroc. www.srweb.sante.gov.ma/revuepresse/Dossiersanté/Documents/Programme%20Diabète.pdf

11. Fédération Internationale du Diabète : Atlas du diabète. 4ème Edition. Bruxelles, Belgique ; 2009.

12. MENA Diabetes Leadership Forum : Le diabéte dans la régino MENA, Impact socioéconomique. Dubaï ; juillet 2010.

13. Hallab L, Nsame D, Chadli A, El Aziz S, Ghoumari H, Farouqi A. Analyse rétrospective du coût de la prise en charge hospitalière du diabète au Maroc à propos de 103 cas. Chu Ibn Rochd.,Casablanca, Maroc,2012.

14. Judith Nadège TEKE B. Profil épidémo-clinique des complications métaboliques aigües du diabéte sucré à l'Hôpital Général de Référence de Kinshasa, ville de Kinshasa, 2003.

15. IPS Sud-Kivu, Rapport annuel de diabète, Bukavu, 2010.

16. Jean Pierre Augustin, BLOOB, Paris, 1999, P121.

17. P. DROUIN et al,diagnostic et classification du diabète les nouveaux ; Vol. 25, n° 1, 1999.

SIGNES, SIGLES ET ABREVIATIONS

< : Inférieur

> : Supérieur

= : Inférieur ou égal

= : Supérieur ou égal

% : Pourcentage

A0 : Licencié en Sciences Infirmières

A1 : Gradué en Sciences Infirmières

A2 : Diplômé en Sciences Infirmières ( Infirmièr polyvalent)

A3 : Personne rodée en techniques de soins de santé ; ( pratiquant )

AVC : Accidents Vasculaires Cérébraux

AS : Aires de Santé

CPN : Consultation Prénatale

CPS : Consultation Préscolaire

CS : Centre de Santé

DS : Diabéte Sucré

FID : Fédération Internationale de Diabète

HAS : Haute Autorité de Santé

HGT : Hôpital Général de Référence

HTA : Hypertension Artérielle

IM : Intra Musculaire

IPS : Inspection Provinciale de la Santé

IV : Intra Veineuse

MCZ : Médecin Chef de Zone

MENA : Moyen Orient et Afrique du Nord

MNT : Maladies non Transmissibles

OMS : Organisation Mondiale de la Santé

PF : Planification Familiale

RDC : République Démocratique du Congo

RGC : Région du Grand Casablanca

RMD : Résultats Malades Diabétiques

RPS : Résultats Personnels Soignants

SK : Sud-Kivu

TFC : Travail de Fin de Cycle

USK : Université Simon Kimbangu

ZS : Zone de Santé

TABLE DES MATIERES

DEDICACE.........................................................................................1

REMERCIEMENTS.............................................................................2

INTRODUCTION................................................................................3

0.1. DEFINITIONS DES CONCEPTS...................................................4

0.2. PROBLEMATIQUE......................................................................5

0.3. HYPOTHESES..............................................................................7

0.4. OBJECTIFS DU TRAVAIL........................................,....................8

0.5. CHOIX ET INTERET DU SUJET....................................................9

0.6. DELIMITATION DU SUJET..........................................................10

0.7. SUBDIVISION DU TRAVAIL........................................................11

Chapitre I. CONSIDERATIONS THEORIQUES SUR LE DIABETE.......12

I.1. DEFINITION DU CONCEPT..........................................................12

I.2. ASPECTS CLINIQUES ET CLASSIFICATIONS...............................13

I.3. COMPLICATIONS.........................................................................14

I.4. ASPECTS CLINIQUES MOINS SCHEMATIQUES...........................15

I.5. PHYSIOPATHIE DU DIABETE SUCRE...........................................16

I.6. PARACLINIQUES...........................................................................17

I.7. SURVEILLANCE DU DIABETIQUE................................................19

I8. COMPLICATIONS...........................................................................20

I.9. TRAITEMENT DU DIABETE SUCRE...............................................21

Chapitre II. MATERIELS ET METHODES...........................................24

II.1. DESCRIPTION DU MILIEU D'ETUDE..................................................24

II.2. METHODOLOGIE................................................................................25

Chapitre III. PRESENTATION ET INTERPRETATION DES RESULTATS.....30

III.1. PRESSENTATION DES RESULTATS....................................................31

III.2. INTERPRETATION DES RESULTATS...................................................40

CONCLUSION...............................................................................................41

SUGGESTIONS.............................................................................................42

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES............................................................43

ANNEXES

Je suis Roger Karana pour la facebook je suis là pour vous aider â savoir

quoi faire pour le Diabète...






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"Entre deux mots il faut choisir le moindre"   Paul Valery