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La liberté d'expression chez les jeunes casablancais

( Télécharger le fichier original )
par Bennani saadia , Saidy hind Eddahbi mustapha , Essalki brahim
Institut Polytechnique Privé de casablanca -  2007
  

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Section 2- Représentation, analyse des graphiques.

Age

Moins de 20

18

De 20 à 22

18

De 22 à 24

20

De 24 à 26

16

De 26 à 28

12

De 28 à 30

9

30 et plus

6

 

Non réponse

1

Brevet des

Collèges

1

Bac général

12

Bac+1

14

Bac+2

16

Bac+3

16

Bac+4

14

Bac+5 et plus

24

Sans diplôme

1

Diplôme

0

24

Jugement de liberté d'expression

50

2

2

12

50

35

Non réponse

Oui

Non

Ne sait pas

Le développement de la L.E au Maroc

67

2

Sans réponse

Oui

Non

Un peu

Jugement sur la liberté et la presse

Sans réponse

1

Mediocre

38

Passable

35

Assez-Bonne

24

Bonne

1

Section 3 : Interprétation des résultats questionnaires.

Notre échantillon représentatif de la population mère est constitué de 100 personnes, 48% d'entre eux sont de sexe féminin, et 52% sont de sexe masculin. Un faible écart subsiste entre les deux sexes.

Leur age varie entre 18 et 30 ans, avec une moyenne de 23,19 années. On observe par ailleurs une proportion importante des jeunes âgés de 22 à 24 ans (20%).

Comme prévus, la majorité des personnes interrogées sont célibataires (63 personnes), suivi des mariés, devant une faible représentation des divorcés, veufs et séparés.

D'autre part, notre échantillon est diversifié en terme de niveau de formation. Celui-ci est faible auprès de la catégorie sans diplôme, ainsi que les brevets de collège, mais nous notons une importante part des jeunes ayant un bac+5.

La majorité des jeunes pensent que le développement est nécessaire pour exercer la liberté d'expression, comme la majorité d'entre eux pensent également qu'elle est le socle de la démocratie.

Une part importante de l'échantillon questionné pense que l'exercice de la liberté d'expression n'est pas donné à tout le monde. Cela rejoint l'idée de la présence d'une conscience derrière cette liberté (60 personnes).

Cependant, ce facteur conscience résolu, la majorité des jeunes pensent qu'il n'est pas admis de juger la liberté d'expression quelque soit sa forme (50 personnes). Ils la conçoivent ainsi comme absolu et sans limites.

Mais lorsqu'on demande à l'échantillon de prouver la validité de concept au Maroc, seul 19 personnes prétendent que la liberté d'expression existe bel et bien au Maroc, contre 45 personnes qui n'y voient pas la moindre trace.

Dans le même esprit 69 pensent que la liberté d'expression est en stagnation au Maroc. Alors qu'ils sont 60 à penser qu'elle devrait être sans limites dans notre pays, et qu'ils sont 58 à vouloir la défendre à tout prix.

L'étude portée sur notre échantillon révèle également que 52 personnes se déclarent être pour le développement des lois de liberté d'expression au Maroc, alors que seulement 28 d'entre eux se déclarent contre celles-ci.

D'autre part, notre cible utilise plusieurs méthodes pour s'exprimer. En effet la presse, les médias et les associations sont représentés à proportions égales.

Quant à la liberté de la presse, elle est jugée insuffisante par la majorité de l'échantillon (73 personnes), ce qui rejoint les rapports établis par « Reporters sans frontières ».

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