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Création des entreprises au Maroc : cas Moukawalati

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par Adnane BOUAAOUI
Université Cadi Ayyad de Marrakech - Licence fondamentale en sciences de gestion 2009
  

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Conclusion générale:

Le programme MOUKAWALATI, n'a certes pas aboutit à l'objectif tracé au début, à savoir : la création de 30 000 TPE à l'horizon 2008, les bâtons dans les roues étaient nombreux comme je l'ai cité tout au long du quatrième chapitre de la seconde partie de ce modeste travail.

Les enseignements en sont tirés, et un plan de relance a été adopté par les autorités compétentes, aujourd'hui et plus que jamais, le gouvernement s'attache au programme.

Compte tenu que l'initiative personnelle est locomotive du développement, le gouvernement et les différentes parties prenantes du programme MOUKAWALATI chacun à sa façon et en fonction de ses moyens, font des efforts colossaux pour que la roue du développement durable tourne, que la croissance continue, le taux de chômage diminue, la valeur ajoutée s'accumule, l'état de santé de notre économie s'améliore et notre tissu économique se renforce.

La conjoncture internationale, impose récession et crise même dans plusieurs pays, surtout les pays riches ; industrialisés et qui sont nos clients.

Autrement dit, la crise nous touche, indirectement, mais nous touche, les E/ses nationales ont donc intérêt à s'adapter, se développer, innover et à pratiquer des Mix-marketing flexibles et adaptables, peur être qu'il faut se retourner vers le marché national, pour pallier aux pertes qui seront considérable chez les exportateurs.

Les jeunes quant à eux doivent penser et croire en ce qu'il pense, puisque à chaque chose il y'a un début, il faut oser, faire travailler les neurones et défendre leurs projets personnels, sinon juste oser et chercher d'autre objet de création d'E/ses, telle les franchises, les sous- traitantes et autres, et ne pas rester dans cette vocation de devenir salarié, ou même s'incliner au Léviathan* « le chômage ».

Il convient aussi, que l'enseignement fasse beaucoup plus d'effort et commence à instaurer le sens d'entreprenariat, au lieu du sens de consommation du savoir dans lequel il baigne.

Les banques quant à elles, doivent aussi contribuer au développement et à la concrétisation du programme, et respecter les cahiers de charges et

Les conventions signées entre elles, le comité national MOUKAWALATI, et le ministère de l'EFP.

D'autres questions se posent mutuellement :

Est-ce que cette nouvelle approche parviendra à sauver ce qui reste à sauver ?

Les jeunes, auront-ils plus de confiance en eux, et parviendront-ils à se concrétiser ?

Le programme développera t-il une image plus meilleure ?

Des questions, dont les réponses sont à venir, d'ici là je croise les doigts et espère que ça marchera, et que je parviendrai aussi à créer mon E/se très prochainement.

Documents Annexes

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