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L'appui du PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) à  l'atteinte des objectifs du Millénaire pour le Développement

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par M.Emery . A. G. OWOLABI
Université d'Abomey-Calavi au Bénin - Licence en diplomatie et relations internationaless 2010
  

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ANNEXES

ANNEXE 1

Guide d'entretien

Avec les cadres du PNUD

Qu'est ce que le PNUD ? Et quel est son rôle ?

Quels sont les programmes développés par le PNUD ?

Comment le financement est t- il obtenu ?

Quelle est la contribution du Bénin ? Qu'en est-il du suivi évaluation des programmes

Le PNUD est-il confronté à des problèmes de financement ? Si oui quel en est la cause

L'atteinte des OMD est il possible ?

Comment améliorer l'appui du PNUD ? Quelles recommandations faites vous pour le renforcement de la coopération Bénin-PNUD ?

Avec les responsables de projets

Quel est le programme dont vous avez la charge ?

Quel en est le contenu et la compréhension ? Quelles sont les réalisations ?

Qu'en est-il du mécanisme de mise en oeuvre ? Quelles sont les difficultés rencontrées ?

Quel est l'apport du Bénin ?

Quels sont les solutions que vous préconisez et les perspectives pour l'amélioration du projet ?

GUIDE D'ENTRETIEN AVEC LE RESPONSABLE DE LA CELLULE NEX

1- Qu'est-ce que la cellule NEX ?

2- Quel est son rôle ?

3- 4- Quelles sont les difficultés rencontrées dans l'accomplissement de votre rôle ?

5- Quels sont les mécanismes de coordination que vous utilisez ?

5- Faites-vous aussi du suivi-évaluation ? Si oui quels sont vos mécanismes pour le suivi évaluation ?

7- Que recommandez-vous pour l'amélioration de cette situation ?

8- Que pensez-vous de la coopération BENIN-PNUD ?

9- Que recommandez-vous pour le renforcement de la coopération à BENIN-UNFPA ?

ANNEXE 2

Questionnaire

Identification de l'enquêté(e)

Nom : Prénoms :

Profession/Occupation :

Lieu : Date : Durée de l'entretien :

1- Quels sont les domaines dans lequel le PNUD développe t-il ses programmes ?

Pauvreté

Environnement

Gouvernance

Autres

Précisez : ___________________________________________________

2- A travers quel document la mise en oeuvre est-elle effectuée ?

____________________________________________________________

3- Quelles appréciations faites-vous des programmes du PNUD ?

Bonne Mauvaise

4- A quoi sont dus les obstacles rencontrés par ces programmes ?

Politiques Sociaux Culturels Financiers

5- Comment s'effectue le suivi des programmes ?

Evaluation partielle Evaluation finale Autres

Précisez :______________________________________________________

6- Le Bénin honore t-il toujour à ses engagements vis-à-vis des programmes ?

Oui Non

7- Sinon, pourquoi ? ________________________________________________________________________________________________________________________

8- Quels sont les différents partenaires au programme ?

______________________________________________________________

9- Les programmes développés par le PNUD permettront-ils d'atteindre les OMD d'ici 2015 ?

Oui Non

10- Que recommandez-vous pour une meilleure efficacité des programmes du PNUD ?

________________________________________________________________________________________________________________________

11- Que recommandez-vous pour le renforcement de la coopération BENIN-PNUD ?

________________________________________________________________________________________________________________________ANNEXE 3

Déclaration sur le droit au développement
Adoptée par l'Assemblée générale des Nations Unies
4 décembre 1986

Proclame la Déclaration sur le droit au développement ci-après:
Articlepremier
1. Le droit au développement est un droit inaliénable de l'homme en vertu duquel toute personne humaine et tous les peuples ont le droit de participer et de contribuer à un développement économique, social, culturel et politique dans lequel tous les droits de l'homme et toutes les libertés fondamentales puissent être pleinement réalisés, et de bénéficier de ce développement.
2. Le droit de l'homme au développement suppose aussi la pleine réalisation du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, qui comprend, sous réserve des dispositions pertinentes des deux Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, l'exercice de leur droit inaliénable à la pleine souveraineté sur toutes leurs richesses et leurs ressources naturelles.

Article2
1. L'être humain est le sujet central du développement et doit donc être le participant actif et le bénéficiaire du droit au développement.
2. Tous les êtres humains ont la responsabilité du développement individuellement et collectivement, compte tenu des exigences du plein respect de leurs droits de l'homme et de leurs libertés fondamentales et eu égard à leurs devoirs envers la communauté, qui seule peut assurer l'entier et libre épanouissement de l'être humain et qui doit donc promouvoir et protéger un ordre politique, social et économique propre à favoriser le développement.
3. Les États ont le droit et le devoir de formuler des politiques de développement national appropriées ayant pour but l'amélioration constante du bien-être de l'ensemble de la population et de tous les individus, fondée sur leur participation active, libre et utile au développement et à la répartition équitable des avantages qui en résultent.

Article3
1. Les États ont la responsabilité première de la création des conditions nationales et internationales favorables à la réalisation du droit au développement.
2. La réalisation du droit au développement suppose le plein respect des principes du droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les États conformément à la Charte des Nations Unies.
3. Les États ont le devoir de coopérer les uns avec les autres pour assurer le développement et éliminer les obstacles au développement. Les États doivent exercer leurs droits et s'acquitter de leurs devoirs de façon à promouvoir un nouvel ordre économique international fondé sur l'égalité souveraine, l'interdépendance, l'intérêt commun et la coopération entre tous les États et à encourager le respect et la jouissance des droits de l'homme.

Article4
1. Les États ont le devoir de prendre, séparément et conjointement, des mesures pour formuler des politiques internationales de développement en vue de faciliter la pleine réalisation du droit au développement.
2. Une action soutenue est indispensable pour assurer un développement plus rapide des pays en développement. En complément des efforts que les pays en développement accomplissent, une assistance internationale efficace est essentielle pour donner à ces pays les moyens de soutenir un développement global.

Article5
Les États prennent des mesures décisives pour éliminer les violations massives et flagrantes des droits fondamentaux des peuples et des êtres humains qui se ressentent de situations telles que celles qui résultent de l'apartheid, de toutes les formes de racisme et de discrimination raciale, du colonialisme, de la domination et de l'occupation étrangères, de l'agression, de l'intervention étrangère et de menaces contre la souveraineté nationale, l'unité nationale et l'intégrité territoriale, de la menace de guerre ainsi que du refus de reconnaître le droit fondamental des peuples à disposer d'eux-mêmes.

Article6
1. Tous les États doivent coopérer afin de promouvoir, d'encourager et de renforcer le respect universel et effectif de tous les droits de l'homme et des libertés fondamentales au profit de tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion.
2. Tous les droits de l'homme et toutes les libertés fondamentales sont indivisibles et interdépendantes; la réalisation, la promotion et la protection des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels doivent bénéficier d'une attention égale et être envisagées avec une égale urgence.
3. Les États doivent prendre des mesures pour éliminer les obstacles au développement résultant du non-respect des droits civils et politiques, ainsi que des droits économiques, sociaux et culturels.

Article7
Tous les États doivent promouvoir l'instauration, le maintien et le renforcement de la paix et de la sécurité internationales et doivent, à cette fin, faire tout leur possible pour réaliser le désarmement général et complet sous un contrôle international effectif et pour assurer que les ressources libérées à la suite de mesures effectives de désarmement soient employées aux fins du développement global, en particulier celui des pays en développement.

Article8
1. Les États doivent prendre, sur le plan national, toutes les mesures nécessaires pour la réalisation du droit au développement et ils assurent notamment l'égalité des chances de tous dans l'accès aux ressources de base, à l'éducation, aux services de santé, à l'alimentation, au logement, à l'emploi et à une répartition équitable du revenu. Des mesures efficaces doivent être prises pour assurer une participation active des femmes au processus de développement. Il faut procéder à des réformes économiques et sociales appropriées en vue d'éliminer toutes les injustices sociales.
2. Les États doivent encourager dans tous les domaines la participation populaire, qui est un facteur important du développement et de la pleine réalisation de tous les droits de l'homme.

Article9
1. Tous les aspects du droit au développement énoncés dans la présente Déclaration sont indivisibles et interdépendants et chacun d'eux doit être considéré compte tenu de l'ensemble.
2. Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée d'une manière qui serait contraire aux buts et aux principes des Nations Unies ou qui impliquerait qu'un État, un groupement ou un individu a le droit de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte ayant pour but la violation des droits énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et dans les Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme.

Article10
Des mesures doivent être prises pour assurer l'exercice intégral et un renforcement progressif du droit au développement, y compris la formulation, l'adoption et la mise en oeuvre de mesures politiques, législatives et autres sur les plans national et international

ANNEXE 4

COMMISSION DES DROITS DE L'HOMME

Soixante et deuxième session

Point 10 de l'ordre du jour provisoire

DROITS ÉCONOMIQUES, SOCIAUX ET CULTURELS

Exposé écrit* conjoint présenté par le Centre Europe - Tiers Monde, organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif général et l'Association Américaine de Juristes, organisation non gouvernementale dotée du statut consultatif spécial

La lutte contre la pauvreté et les objectifs du millénaire pour le développement

Voilà bientôt quinze ans que la lutte contre la pauvreté a été mise à l'ordre du jour politique international. Et voilà dix ans - depuis le sommet social de l'ONU à Copenhague - qu'elle fait l'objet d'un consensus mondial. A l'occasion du dernier sommet de l'ONU à New York, en septembre 2005, les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) ont été solennellement confirmés. En 2015, la pauvreté extrême devrait être réduite de moitié. En réalité, que constatons-nous ? La coopération au développement s'est-elle adaptée aux nouveaux objectifs ? L'aide au développement a-t-elle augmentée ? Les organisations financières et commerciales internationales (le FMI, la Banque mondiale et l'OMC) ont-elles modifié leurs politiques et leurs structures ? Et les objectifs du millénaire sont-ils la réponse adéquate à la situation sociale du monde actuel ? Plus de la moitié de la population mondiale vivant dans la pauvreté, ces objectifs ne sont-ils pas un aveu d'échec après cinquante ans de « coopération » ? La libéralisation des marchés a-t-elle tenu ses promesses de « croissance pour tous » ou a-t-elle accentué les inégalités ? L'ambition des pays riches est-elle à la hauteur des défis ? Où est passé le développement économique et social ? Où sont passés les droits économiques, sociaux et culturels et le droit au développement ? Telles sont les questions que suscite l'examen de la réalité et qui nous amène à développer dix arguments critiques à l'endroit des OMD. Premièrement, force est de constater que les `objectifs du millénaire' sont extrêmement modestes, étant donné que l'on vise à réduire seulement de moitié le nombre d'`extrêmes' pauvres en 15 ans, l'autre moitié étant sacrifiée d'office. Il s'agit de 1,2 milliards de personnes, selon les calculs - arbitraires - de la Banque mondiale qui fixe le seuil d'extrême pauvreté à moins d'un dollar étasunien de revenu par jour. Comme si les trois milliards de personnes (pratiquement la moitié de l'humanité) qui vivent avec deux dollars étasuniens par jours s'en sortaient mieux!2 D'ailleurs, n'est-il pas très pernicieux d'établir cette catégorisation de pauvre et extrême-pauvre qui occulte l'ampleur gigantesque de la misère mondiale ? Deuxièmement, les OMD ignorent totalement les causes structurelles de la pauvreté. Si l'ensemble de l'aide au développement était consacré aux OMD, la pauvreté pourrait néanmoins continuer à augmenter. Le contexte mondial dans lequel la pauvreté émerge est totalement ignoré. Troisièmement, les objectifs du millénaire ont été imposés du haut vers le bas, en dépit de tous les discours sur l'appropriation (ownership) par les pays pauvres. Ces pays n'ont aucun choix à faire prévaloir. C'est pourquoi ils doivent acquérir d'urgence une autonomie politique afin de définir eux-mêmes leurs priorités de développement, tel que le conseille la CNUCED. Quatrièmement, les OMD n'ont rien à voir avec le développement. Dans des pays où le taux de pauvreté est supérieur à 50 %, il est impossible de réduire la pauvreté sans développement économique et social afin d'augmenter les capacités productives, de développer un marché intérieur, de réduire les inégalités et d'introduire des programmes de protection sociale. Aujourd'hui, les pays pauvres produisent en première instance pour l'exportation, sans possibilité de protéger leurs productions contre les importations à bas prix des pays riches.

Cinquièmement, la lutte contre la pauvreté imposée par les institutions de Bretton Woods continue de prôner la privatisation et la dérégulation. Ces politiques n'ont pas 32 encore produit de la croissance et encore moins réduit la pauvreté. Après vingt ans d'ajustements structurels, leur bilan économique et social est plutôt négatif.3 Sixièmement, si les OMD prévoient la création d'« emplois décents et productifs pour les jeunes », ils ne parlent pas du droit au travail. Pourtant, la Déclaration universelle des droits de l'homme stipule que « Toute personne a droit au travail, au libre choix de son travail, à des conditions équitables et satisfaisantes de travail et à la protection contre le chômage. (...) Quiconque travaille a droit à une rémunération équitable et satisfaisante lui assurant ainsi qu'à sa famille une existence conforme à la dignité humaine et complétée, s'il y a lieu, par tous autres moyens de protection sociale » (Art. 23). Quant au Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels, il précise que : « Les Etats parties au présent Pacte reconnaissent le droit au travail qui comprend le droit qu'a toute personne d'obtenir la possibilité de gagner sa vie par un travail librement choisi ou accepté, et prendront des mesures appropriées pour sauvegarder ce droit » (Art. 6.1). De plus, le récent rapport de l'OIT constate que « la croissance économique n'engendre pas de création d'emplois » et que les nouveaux emplois créés sont bien « en deçà de ce qu'on pourrait qualifier de travail productif et satisfaisant ».4 Septièmement, les pays pauvres, dit-on, n'ont pas de « bonne gouvernance ». C'est tout à fait vrai et c'est inévitable après vingt ans de politiques qui affaiblissent les Etats et qui réduisent leurs ressources. Mais, peut-on parler de bonne gouvernance sans dénoncer la mauvaise gouvernance généralisée, en particulier celle du G8, du FMI, de la Banque mondiale et de façon générale des pays riches dominants ?

Huitièmement, ces OMD ne seront pas réalisés faute de moyens. Selon Jeffrey

Sachs, le directeur du programme du millénaire de l'ONU, les pays riches devraient dépenser entre 0,45 et 0,54 % de leur revenu national brut des pays riches en tant qu'aide au développement. Malgré l'objectif de 0,7 % fixé par l'ONU il y a 30 ans, l'aide diminue chaque année. En 2003, les pays donateurs donnaient à peine 0,25 %. Plus de 60 % de cette aide n'a jamais atteint les bénéficiaires. Les pays du G7 n'ont consacré que 0,07 % de leur revenu national brut à l'aide internationale5. Bien entendu, quel que soit leur montant, les contributions financières seules ne sauront suffire pour éradiquer la pauvreté, si elles ne sont pas accompagnées de politiques de développement respectant la volonté des peuples concernés et rompant avec la voie néolibérale au niveau économique. Neuvièmement, les promesses des pays riches ne sont pas quantifiées, contrairement aux obligations des pays pauvres. Dixièmement, la « lutte contre la pauvreté » au Sud masque l'augmentation du chômage et de la misère dans des pays du Nord, les effets des politiques néolibérales se faisant de plus en plus sentir également dans ces pays. Sachant que l'économie mondiale est dominée par le Nord et que ces politiques néfastes sont élaborées dans ces pays, comment peut-on s'attendre à ce qu'ils « luttent » contre la pauvreté ?

La pauvreté : problème social et causes politiques6

Que peuvent signifier les OMD pour les centaines de milliers de travailleurs qui perdent leur revenu par la libéralisation du marché du textile ? Que peut faire la population du Niger des OMD quand les prix alimentaires montent en flèche ? Que fait le paysan mexicain qui ne peut plus vendre son maïs à cause de l'importation de maïs meilleur marché des Etats-Unis ? Les OMD pourraient contribuer à ce que les gens puissent apprendre à lire et écrire. Si, en même temps, ils perdent leur revenu, il n'y a que les statistiques sur le développement dit `humain' qui s'améliorent. De plus en plus, 33 la pauvreté est présentée comme étant un « problème multidimensionnel » et le revenu est éclipsé. L'inégalité des revenus prend des dimensions alarmantes. La pauvreté est-elle un problème des seuls individus pauvres ou est-elle un problème de l'ensemble de la société ou de la communauté internationale ? Les pays riches ne sont-ils pas responsables des politiques imposées aux pays pauvres ? La dette extérieure, les règles de l'OMC, la propriété intellectuelle, la libre circulation des capitaux, la dégradation de l'environnement ne sont-ils pas aussi à l'origine de la pauvreté extrême et des inégalités croissantes ? Comment justifier que 10 % de la population mondiale possède près de 80 % des richesses ? Chaque année, les pays pauvres remboursent au titre de la dette publique extérieure plus de 200 milliards de dollars étasuniens aux pays riches, cinq fois plus qu'ils n'en reçoivent sous forme d'aide au développement.

De moins en moins de droits, de plus en plus de philanthropie

Bono, le chantre de la « lutte contre la pauvreté » en Afrique a été proclamé « homme de l'année » par le magazine Time. Bill Gates finance la lutte contre le sida. Sharon Stone achète des moustiquaires pour lutter contre le paludisme. Les sociétés transnationales se déclarent en faveur de la « responsabilité sociale ». Les dons privés ne cessent d'augmenter. En même temps, les droits acquis sont démantelés. Progressivement, une indifférence à l'égard du respect des droits humains s'installe. Nous disposons de tous les moyens intellectuels, juridiques, institutionnels et matériels pour mettre fin à la pauvreté. Les droits ne sauraient être remplacés par la charité. En effet, au vu des progrès technologiques et des énormes capacités de production accumulées au cours de ces dernières décennies, la pauvreté est un scandale indicible. Elle pourrait être éradiquée totalement, tout en respectant, de façon réelle et non proclamatoire, le principe d'un développement durable. Mais pour cela il faut replacer la satisfaction des besoins humains fondamentaux de toutes et tous, de façon égalitaire, au centre de la politique mondiale de développement, et attribuer à cet objectif une priorité absolue sans les exigences de prétendue « croissance » que dictent au monde les sociétés transnationales à leur seul profit.

Conclusion

Dans sa résolution E/CN.4/RES/1998/25, la Commission des droits de l'homme rappelait, conformément à la Déclaration universelle des droits de l'homme et aux Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, que « l'idéal de l'être humain libre, libéré de la crainte et de la misère, ne peut être réalisé que si sont créées les conditions permettant à chacun de jouir de ses droits économiques, sociaux et culturels aussi bien que de ses droits civils et politiques ». Ni la proclamation de la première Décennie pour l'élimination de la pauvreté par les Nations Unies (1997-2006), ni la nomination d'un expert indépendant sur la question des droits de l'homme et de l'extrême pauvreté par la Commission des droits de l'homme depuis 1998 n'ont contribué à éradiquer la pauvreté. Pour cause, la source fondamentale de la pauvreté réside dans l'organisation actuelle et l'orientation mêmes de la production, pourtant toujours plus abondante, et dans une répartition injuste de ses fruits. Tant qu'il n'y a pas de changement de politique, l'affirmation de la Commission des droits de l'homme selon laquelle : « l'extrême pauvreté et l'exclusion sociale sont des atteintes à la dignité humaine et, par conséquent, requièrent des actions urgentes, nationales et internationales, pour y mettre fin » risque de rester lettre morte. Il est temps de mettre fin à l'incohérence du système international. La politique doit 34 reprendre le pas sur l'économique et les Etats doivent assumer leurs responsabilités. Ces derniers ne peuvent, d'un côté prétendre la défense des droits humains, et de l'autre, appliquer des politiques économiques qui vont à l'encontre de ces mêmes droits.ANNEXE 5

Résultat du PNUAD

Résultat de l'EPP/PAPP

Résultat de l'EPP/PAPP

Objectif national

Résultat de l'EPP/PAPP Proclame la Déclaration sur le droit au développement ci-après:
Article premier
1. Le droit au développement est un droit inaliénable de l'homme en vertu duquel toute personne humaine et tous les peuples ont le droit de participer et de contribuer à un développement économique, social, culturel et politique dans lequel tous les droits de l'homme et toutes les libertés fondamentales puissent être pleinement réalisés, et de bénéficier de ce développement.
2. Le droit de l'homme au développement suppose aussi la pleine réalisation du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, qui comprend, sous réserve des dispositions pertinentes des deux Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme, l'exercice de leur droit inaliénable à la pleine souveraineté sur toutes leurs richesses et leurs ressources naturelles.

Article 2
1. L'être humain est le sujet central du développement et doit donc être le participant actif et le bénéficiaire du droit au développement.
2. Tous les êtres humains ont la responsabilité du développement individuellement et collectivement, compte tenu des exigences du plein respect de leurs droits de l'homme et de leurs libertés fondamentales et eu égard à leurs devoirs envers la communauté, qui seule peut assurer l'entier et libre épanouissement de l'être humain et qui doit donc promouvoir et protéger un ordre politique, social et économique propre à favoriser le développement.
3. Les États ont le droit et le devoir de formuler des politiques de développement national appropriées ayant pour but l'amélioration constante du bien-être de l'ensemble de la population et de tous les individus, fondée sur leur participation active, libre et utile au développement et à la répartition équitable des avantages qui en résultent.

Article 3
1. Les États ont la responsabilité première de la création des conditions nationales et internationales favorables à la réalisation du droit au développement.
2. La réalisation du droit au développement suppose le plein respect des principes du droit international touchant les relations amicales et la coopération entre les États conformément à la Charte des Nations Unies.
3. Les États ont le devoir de coopérer les uns avec les autres pour assurer le développement et éliminer les obstacles au développement. Les États doivent exercer leurs droits et s'acquitter de leurs devoirs de façon à promouvoir un nouvel ordre économique international fondé sur l'égalité souveraine, l'interdépendance, l'intérêt commun et la coopération entre tous les États et à encourager le respect et la jouissance des droits de l'homme.

Article 4
1. Les États ont le devoir de prendre, séparément et conjointement, des mesures pour formuler des politiques internationales de développement en vue de faciliter la pleine réalisation du droit au développement.
2. Une action soutenue est indispensable pour assurer un développement plus rapide des pays en développement. En complément des efforts que les pays en développement accomplissent, une assistance internationale efficace est essentielle pour donner à ces pays les moyens de soutenir un développement global.

Article 5
Les États prennent des mesures décisives pour éliminer les violations massives et flagrantes des droits fondamentaux des peuples et des êtres humains qui se ressentent de situations telles que celles qui résultent de l'apartheid, de toutes les formes de racisme et de discrimination raciale, du colonialisme, de la domination et de l'occupation étrangères, de l'agression, de l'intervention étrangère et de menaces contre la souveraineté nationale, l'unité nationale et l'intégrité territoriale, de la menace de guerre ainsi que du refus de reconnaître le droit fondamental des peuples à disposer d'eux-mêmes.

Article 6
1. Tous les États doivent coopérer afin de promouvoir, d'encourager et de renforcer le respect universel et effectif de tous les droits de l'homme et des libertés fondamentales au profit de tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion.
2. Tous les droits de l'homme et toutes les libertés fondamentales sont indivisibles et interdépendantes; la réalisation, la promotion et la protection des droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels doivent bénéficier d'une attention égale et être envisagées avec une égale urgence.
3. Les États doivent prendre des mesures pour éliminer les obstacles au développement résultant du non-respect des droits civils et politiques, ainsi que des droits économiques, sociaux et culturels.

Article 7
Tous les États doivent promouvoir l'instauration, le maintien et le renforcement de la paix et de la sécurité internationales et doivent, à cette fin, faire tout leur possible pour réaliser le désarmement général et complet sous un contrôle international effectif et pour assurer que les ressources libérées à la suite de mesures effectives de désarmement soient employées aux fins du développement global, en particulier celui des pays en développement.

Article 8
1. Les États doivent prendre, sur le plan national, toutes les mesures nécessaires pour la réalisation du droit au développement et ils assurent notamment l'égalité des chances de tous dans l'accès aux ressources de base, à l'éducation, aux services de santé, à l'alimentation, au logement, à l'emploi et à une répartition équitable du revenu. Des mesures efficaces doivent être prises pour assurer une participation active des femmes au processus de développement. Il faut procéder à des réformes économiques et sociales appropriées en vue d'éliminer toutes les injustices sociales.
2. Les États doivent encourager dans tous les domaines la participation populaire, qui est un facteur important du développement et de la pleine réalisation de tous les droits de l'homme.

Article 9
1. Tous les aspects du droit au développement énoncés dans la présente Déclaration sont indivisibles et interdépendants et chacun d'eux doit être considéré compte tenu de l'ensemble.
2. Aucune disposition de la présente Déclaration ne peut être interprétée d'une manière qui serait contraire aux buts et aux principes des Nations Unies ou qui impliquerait qu'un État, un groupement ou un individu a le droit de se livrer à une activité ou d'accomplir un acte ayant pour but la violation des droits énoncés dans la Déclaration universelle des droits de l'homme et dans les Pactes internationaux relatifs aux droits de l'homme.

Article 10
Des mesures doivent être prises pour assurer l'exercice intégral et un renforcement progressif du droit au développement, y compris la formulation, l'adoption et la mise en oeuvre de mesures politiques, législatives et autres sur les plans national et international

Résultat de l'EPP/PAPP

Résultat du PNUAD

Hiérarchie des résultats du système des Nations Unies et des objectifs nationaux ANNEXE 6

Projets liés à la pauvreté

Titre ou période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

OMD-DSRP/DHD (ex SCRP, ex MDG-DSRP / RNDH) (2002-2008)33(*)

National

NEX /

MECEPDEAP & INSAE

2 800 000

Partenariats pour les OMD (2006-2008)

National

NEX /

ANCB

(dans OMD-DSRP)

Chantiers prioritaires (2006-2007)

National

NEX /

MECEPDEAP

1 217 000

Prolifération des armes légères (2007)

Régional

NEX /

Présidence

61 000

PADEx (2007-2008)34(*)

National

NEX /

MIC & MA

940 988

Source : PNUD, Note d'information sur le Bénin, février 2008.

Titre du projet

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

Microfinance (absorbée par le projet ADECOI)

National

-

(Sian'son)

--

PACOB (2004-2005) (activités non terminées absorbées par ADECOI)

National

NEX

--

ADECOI (2003-2007)

National

NEX /

MDGLAAT - Unité d'Appui Conseil

5 854 521

Emplois pour les jeunes (2007-2010)

National

NEX /

MMFPMEEJF

163 000

Projets liés à la gouvernance

Titre ou période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

Inventaire de la gouvernance en Afrique (1999-2007)

Régional

AGEX

*

PARMAN (2004-2007)35(*)

National

NEX /

Assemblée nationale

1 400 000

PAPE (2005-2007)36(*)

National

NEX /

HAAC

153 000

DSRP 2 - ANCB (2007-2010)37(*)

National

NEX /

ANCB & Social Watch

100 400

Gouvernance concertée (2007-2008)

National

NEX /

Présidence

500 000

Titre/période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

Élections présidentielles 2006

National

DEX

(CENA)

7 000 000

Soutien aux partis politiques en 2006

National

DEX

(Assemblée nationale)

--

Élections législatives de mars 2007

National

NEX /

CENA

1 184 000

Titre/Période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

ADECOI (2003-2007)

National

NEX /

MDGLAAT - Unité d'Appui Conseil

5 854 521

ADECOM38(*) (2005-2008)

National

NEX /

APIDA

3 761 488

Titre/Période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

MAEP (2005-2007)39(*)

National

DEX

1 200 000

PARAI (2007-2008) 40(*)

National

NEX /

MRAI

470 000

PARPF (2007) 41(*)

National

NEX /

MFE

150 000

Projets liés à l'environnement

Titre/Période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

Bassin du Niger (2004-2009), composante du Bénin

Régional

ONGEX

2 000 000

NERICA 1, 2 & 3 (2005-2008)

National

ONGEX

1 200 000

PAMO-PNGE (2004-2008) 42(*)

National

NEX /

MEPN

800 000

PANA (2005-2007) 43(*)

National

NEX /

MEPN

200 000

Zones arides (2006-2009)

National

NEX /

MEPN

600 000

ANCR-GEM (2006-2008) 44(*)

National

NEX /

MEPN

250 000

PMF-FEM (2006-2010) 45(*)

National

AGEX

400 000/an

2e Communication sur le changement climatique (2007-2009)

National

NEX /

MEPN

480 000

Projets liés à la santé et l'éducation

Titre/Période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

Mise en oeuvre de la politique nationale de promotion des droits humains (2004-2006)

National

NEX /

MJLDH

--

Vulgarisation et promotion des droits humains (2005-2008)

National

NEX /

Social Watch

--

Habilitation juridique des pauvres (2006-2008)

National

AGEX

--

Projet lié au SIDA

Projet

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires en $ É.U.

PASNALS46(*) (Intégration dans le DSRP 2) (2004-2008)

National

NEX /

CNLS

17 320 000

Projet lié à l'apprentissage informatique

Titre/Période

Type

Modalité d'exécution / Partenaire d'exécution

Estimations budgétaires ($ É.U.)

PASINTIC47(*)

National

--

--

ANNEXE 7

Carte : zones prioritaires pour lutter contre toutes les formes de pauvretéANNEXE 8

LES OBJECTIFS DU MILLENAIRE POUR LE

DEVELOPPEMENT

Les OMD en général

La Déclaration du Millénaire a consacré l'adoption de 8 objectifs et 18 cibles à atteindre, d'ici à 2015, pour lutter contre la pauvreté, la faim, le VIH/SIDA, le paludisme, l'analphabétisme, la dégradation de l'environnement, la mortalité infantile et maternelle et la discrimination à l'égard des femmes. Ces objectifs sont dénommés « Objectifs du Millénaire pour le Développement » (OMD) et se déclinent comme suit :

Objectif 1 : Faire disparaître l'extrême pauvreté et la faim

Cible 1 : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015, la proportion de la population dont le revenu est inférieur à un dollar par jour.

Cible 2 : Réduire de moitié, entre 1990 et 2015 la proportion de la population souffrant de la faim.

Objectif 2 : Garantir à tous une éducation primaire

Cible 3 : D'ci à 2015, donner à tous les garçons et filles, partout dans le monde, les moyens d'achever un cycle complet d'études primaires ;

Objectif 3 : Promouvoir l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes

Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d'ici à 2005, et à tous les niveaux de l'enseignement en 2015, au plus tard.

Objectif 4 : Réduire la mortalité infantile

Cible 5 : Réduire de deux tiers, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité des enfants de moins de cinq ans.

Objectif 5 : Améliorer la santé maternelle

Cible 6 : Réduire de trois quarts, entre 1990 et 2015, le taux de mortalité maternelle.

Objectif 6 : Combattre le VIH/SIDA, le paludisme et d'autres maladies

Cible 7 : D'ici à 2015, enrayer la propagation du VIH/SIDA et commencer à inverser la tendance actuelle ;

Cible 8 : D'ici à 2015, enrayer la propagation du paludisme et d'autres graves maladies et commencer à inverser la tendance actuelle ;

Objectif 7 : Assurer un environnement durable

Cible 9 : Intégrer les principes du développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales

Cible 10 : D'ici à 2015, réduire de moitié le pourcentage de la population privée d'un accès régulier à l'eau potable ;

Cible 11 : Parvenir, d'ici à 2020, à améliorer sensiblement la vie d'au moins 100 millions d'habitants de taudis ;

Objectif 8 : Mettre en place un partenariat mondial pour le développement

Cible 12 : Instaurer un système commercial et financier plus ouvert, fondé sur des règles prévisibles et non discriminatoires, ce qui implique un engagement en faveur de la bonne gouvernance, du développement et de la lutte contre la pauvreté aussi bien au niveau national qu'international ;

Cible 13 : Subvenir aux besoins spécifiques des pays les moins avancés, ce qui suppose l'admission en franchise et hors contingents de leurs exportations, un programme renforcé d'allègement de la dette et l'annulation de la dette publique bilatérale ainsi qu'une aide publique au développement plus généreuse aux pays qui démontrent leur volonté de lutter contre la pauvreté ;

Cible 14 : Subvenir aux besoins spécifiques des pays enclavés et des petits

Etats insulaires en développement en appliquant le Programme d'action pour le développement durable des petits Etats insulaires en développement et les conclusions de la 22ème session extraordinaire de l'Assemblée Générale ;

Cible 15 : Engager une démarche globale pour régler le problème de la dette des pays en développement par des mesures nationales et internationales propres à rendre cet endettement supportable à long terme ;

Cible 16 : En coopération avec les pays en développement, imaginer et appliquer des stratégies de nature à créer des emplois productifs décents pour les jeunes ;

Cible 17 : En collaboration avec les laboratoires pharmaceutiques, proposer des médicaments essentiels accessibles à tous dans les pays en développement ;

Cible 18 : En coopération avec le secteur privé, mettre à la disposition de tous les bienfaits des nouvelles technologies notamment celles de l'information et des communications

Les objectifs et les cibles pour le Bénin

1- ELIMINER L'EXTREME PAUVRETE ET LA FAIM

Cible 1 : réduire de 50% la proportion de la population béninoise vivant en dessous du seuil de pauvreté en faisant passer l'indice de pauvreté à 15%

Cible 2 : Réduire de 50% le nombre de personnes souffrant de malnutrition.

2 - ASSURER UNE EDUCATION PRIMAIRE POUR TOUS

Cible 3 : Assurer l'instruction primaire à tous les enfants en âge d'aller à l'école.

3- PROMOUVOIR L'EGALITE DES SEXES ET L'AUTONOMISATION

DES FEMMES

Cible 4 : Eliminer les disparités entre les sexes dans les enseignements primaire et secondaire d'ici à 2005 et, à tous les niveaux de l'enseignement en 2015 au plus tard.

4- REDUIRE LA MORTALITE INFANTILE

Cible 5 : Réduire le taux de mortalité maternelle de 498 en 1996 à 390 pour cent mille naissances vivantes en 2015.

5- AMELIORER LA SANTE MATERNELLE

Cible 6 : Réduire le taux de mortalité infanto juvénile de 168,5 pour mille en 1996 à 90 pour mille en 2015.

6- COMBATTRE LE VIH/SIDA, LE PALUDISME ET AUTRES

MALADIES

Cible 7 : Réduire la prévalence des IST/VIH/SIDA

Cible 8 : Maîtriser le paludisme et les autres grandes maladies et commencer à inverser la tendance actuelle.

7- ASSURER UN ENVIRONNEMENT DURABLE

Cible 9 : Intégrer les principes du développement durable dans les politiques nationales et inverser la tendance actuelle à la déperdition des ressources environnementales.

Cible 10 : Réduire de moitié le pourcentage de la population qui n'a pas accès de façon durable à un approvisionnement en eau potable.

Cible 11 : Réussir à améliorer sensiblement la condition d'au moins 2/3 des béninois vivants dans les taudis.

8- METTRE EN PLACE UN PARTENARIAT MONDIAL POUR LE

DEVELOPPEMENT

Cible 12 : S'attaquer aux besoins particuliers des pays les moins avancés.

* 33 Projet d'appui à l'opérationnalisation des OMD et de la DSRP/droits humains

* 34 Programme d'appui aux exportations

* 35 Projet d'appui au renforcement et à la modernisation de l'Assemblée nationale

* 36 Projet d'appui à la presse écrite béninoise

* 37 Appui au Programme de Renforcement de Capacités des Communes et de l'ANCB pour la mise en oeuvre du DSRP2

* 38 Projet de développement local et d'appui aux communes de l'Alibori.

* 39 Projet d'Appui à la bonne gouvernance et à la consolidation de la démocratie à travers la mise en oeuvre du Mécanisme africain d'évaluation par les pairs

* 40 Projet d'appui à la réforme administrative et institutionnelle.

* 41 Projet d'Appui à la consolidation de la démocratie à travers le renforcement de la représentation des femmes dans les instances de prise de décision publique et politique.

* 42 Projet d'appui à la mise en oeuvre du Programme national de gestion de l'environnement.

* 43 Programme d'action national d'adaptation aux changements climatiques.

* 44 Auto-évaluation des capacités nationales à renforcer pour la gestion de l'environnement mondial.

* 45 Programme de micro financement du Fonds pour l'environnement mondial.

* 46 Projet d'appui à la mise en oeuvre du Plan stratégique national de lutte contre le VIH/sida

* 47 Projet d'appui à la stratégie d'implantation des nouvelles technologies de l'information et de la communication.

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"Un démenti, si pauvre qu'il soit, rassure les sots et déroute les incrédules"   Talleyrand