WOW !! MUCH LOVE ! SO WORLD PEACE !
Fond bitcoin pour l'amélioration du site: 1memzGeKS7CB3ECNkzSn2qHwxU6NZoJ8o
  Dogecoin (tips/pourboires): DCLoo9Dd4qECqpMLurdgGnaoqbftj16Nvp


Home | Publier un mémoire | Une page au hasard

 > 

Rapport de stage en néonatalogie et pédiatrie au CME (Centre Mère et Enfant de la Fondation Chantal Biya) de Yaoundé

( Télécharger le fichier original )
par Augustin TALACFO
Université catholique d'Afrique Centrale - Licence 2010
  

précédent sommaire suivant

Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy

IV- DEROULEMENT DU STAGE

Tout commence le 05 Juillet 2010 au environ de 10H lorsque nous sommes reçu par la coordonatrice du centre Mère et Enfant. Après nous avoir adressé un mot de bienvenue accompagné des conseils et des instructions relatifs au stage, elle nous a promenés dans tout le centre pour une présentation générale. Pendant cette présentation elle confiait chaque groupe d'étudiant à un major de service. C'est ainsi que nous nous sommes retrouvé à la néonatologie B qui fut notre premier service de stage ensuite nous sommes allés en Néonatalogie A puis en Pédiatrie A.

IV-1 NEONATOLOGIE B ET A

Definition

La néonatalogie est la partie de la pédiatrie qui s'occupe du nouveau-né (NN). C'est la coopération entre le pédiatre et l'obstétricien qui permet de prévenir les malformations foetales et de traiter des maladies à la naissance.

La néonatologie B du Centre Mère et Enfant est le service qui accueil les nouveau-nés à terme, âgés de 0 à 2 mois malades. Elle a une capacité de 46 lits, 3 tables à chaleur radiante et 7couveuses.

Le Personnel est constitué de :

- Deux médecins permanents : un pédiatre et un généraliste.

- Un IDE qui est major de service et une IBA (Infirmier Brevetée Accoucheuse) qui sont permanents.

- 08 autres infirmiers qui font le roulement dont l'organisation de la manière suivante :

- J1/ 13h-18, J2 / 7h-13h, J3/ 18H-8h, J4 et J5 jours de repos et au 6ème jour le cycle recommence.

Le matériel utilisé : - les incubateurs - les tables à chaleur radiante - un aspirateur -des dispositifs à oxygène - plateaux - seringues - deux registres - sondes naso-gastriques - gants de soins - gants stériles - cathéters N°24.

Les différentes pathologies rencontrées à la Néonatologie B sont:

- L'ictère néo-natal,

- les infections néonatales.

Et parlant des infections néonatales nous dirons que ce sont des pathologies qui concernent 1% des nouveau-nés. Ce groupe constitue une cible privilégiée à cause de :

- Leur peau qui est fragile avec un pouvoir bactéricide faible du fait de leur PH alcalin,

- La muqueuse digestive est perméable chez eux,

- La phagocytose est moins efficace,

- L'immunité cellulaire ne s'installe que progressivement.

Tout constat fait, il ressort que trois grands modes de contaminations sont possibles : - La contamination Anténatale materno-foetale,

- La contamination pernatale,

- La contamination postnatale,

La contamination anténatale peut être :

- Précoce, par exemple transplacentaire et peut entrainer un avortement, un accouchement prématuré, une embryopathie ou une foetopathie.

- Tardive c'est-à-dire après 5 mois de grossesse et peut être soit hématogène ; bactériémie et/ou une septicémie chez la femme -et même amniotique.

La contamination Pernatale peut se faire:

- Par le liquide amniotique si la poche des eaux est rompue,

- Par la filière génitale.

La contamination Postnatale peut se faire par les germes provenant de la mère ou de l'environnement.

Quelques infections bactériennes par contamination anténatale ou pernatale.

Quatre grands tableaux illustrent les aspects cliniques :

La septicémie qui est caractérisée par :

- une altération majeure de l'état général - un teint gris - un collapsus - des oedèmes - une hypo ou hyperthermie - une hépato splénomégalie - un ictère, un purpura - le trouble du rythme respiratoire (polypnée, apnée) -l'hypotonie.

- La méningite, isolée ou associée à la septicémie.

Les signes d'appel sont différents de ceux que l'on retrouve chez l'adulte ou le grand enfant : - les convulsions- la fontanelle bombée - le geignement - le coma - le refus de boire et / ou vomissement.

Quelques tableaux focalisés qui peuvent être ajoutés ou isolés à la septicémie comme : - une infection urinaire (souvent accompagnée d'un ictère) - une entérocolite - une ostéoarthrite - une conjonctivite - une infection pulmonaire.

Quelques tableaux localisés comme portes d'entrée : - cutanée - infection ombilicale ou mammaire - Diarrhée, qui favorisent l'entrée des germes dans l'organisme.

Au Centre Mère et Enfant et plus précisément en néonatologie B, on reçoit les nouveau-nés présentant en majorité des signes d'ictère, comparativement aux signes d'infection néonatale. Face à ce constat nous allons nous rapprocher des spécialistes qui sont sur place et des documents qui sont mis à notre disposition pour comprendre la physiopathologie de l'ictère et sa prise en charge.

Plusieurs causes peuvent expliquer l'ictère du nouveau né.

L'ictère ou Jaunisse correspond à la coloration jaune des téguments (peau muqueuses : on parle d'ictère cutanéo-muqueux) due à l'accumulation anormale de bilirubine (pigment jaune), qui peut être libre ou conjuguée dans le sang ou les tissus. C'est pourquoi on distingue deux types d'ictère.

- Ictère à bilirubine libre et l'Ictère à bilirubine conjuguée.

La Physiopathologie de l'ictère

La bilirubine est le produit de dégradation de l'hème (constituant de l'hémoglobine) transporté dans le sang en association de l'albumine jusqu'au foie où il est capté par les cellules du foie (hépatocytes) puis conjugué et excrété dans la bile par celle-ci afin d'être ensuite éliminé dans les selles en stercobilinogène et en partie réabsorbée dans le sang pour être éliminée dans les urines sous forme d'urobiline.

Chez le NN particulièrement s'il est prématuré, divers facteurs concourent à l'apparition d'un ictère :

- La production accrue de bilirubine du fait d'une polyglobulie ou d'un processus hémolytique.

- L'immaturité de la glycuronyltransférase entrainant un déficit transitoire de la glycurocongjugaison.

La bilirubine est dont libre ou indirecte jusqu'à la conjugaison hépatique, puis conjuguée ou directe ensuite. La bilirubine conjuguée soluble, peut être filtrée par le rein .Un ictère à bilirubine conjuguée aura alors pour conséquence des urines foncées.

Les ictères à bilirubine libre (bilirubine indirecte).

L'ictère est dit physiologique lorsqu'il n'est dû qu'à l'immaturité du foie à la naissance. Le nouveau-né (NN) possède un très grand nombre de globules rouge (GR) contenant de l'hémoglobine foetale, globules qui doivent être remplacées par des GR chargés d'hémoglobine adulte, cela provoque une hémolyse importante en très peu de temps. Car le foie n'a pas encore bien développé son équipement enzymatique pour transformer toute la bilirubine libre qui est toxique et qui va alors s'accumuler et provoquer un ictère. Cette ictère physiologique apparaît le plus souvent vers le 3ème jour et peut disparaître vers le 6ème ou le 7ème jour, l'exposition de l'enfant au soleil ou sous photothérapie le fait disparaître.

Nous avons aussi l'ictère au lait de la mère qui est peu intense et qui est observé chez les enfants nourris au sein, et qui se prolonge toute la durée de l'allaitement maternel. On peut en faire le diagnostic en chauffant le lait maternel à 60° avant de le donner à l'enfant et l'ictère va disparaître.

Parlant toujours de la bilirubine libre nous avons des ictères Hémolytiques chez les nouveau-nés qui peuvent avoir des causes pathologiques par exemples :

- l'accumulation de la bilirubine peut devenir neurotoxique c'est-à-dire à partir d'un certain taux, la bilirubine franchit la barrière hémato encéphalique qui n'a pas fini de se développer et touché gravement le cerveau, entraînant ainsi un ictère nucléaire par l'atteinte des noyaux gris centraux de l'encéphale.

- L'incompatibilité rhésus entre la mère et l'enfant : cas le plus à risque d'ictère intense. La mère est Rh- l'enfant Rh+ avec présence d'anticorps anti D chez la mère. Dans ce cas l'enfant développe une hémolyse à la suite du contact avec le sang maternel lors de l'accouchement. Le diagnostic repose sur le test de coombs, qui traduit l'existence dans le sang de l'enfant d'agglutinines dirigés contre ses propres hématies.

- L'incompatibilité ABO où la mère est du groupe O et l'enfant est A, AB, B. lié à l'existence chez la mère d'agglutinines anti-A ou anti-B,en général préexistantes à la grossesse, acquises lors d'infections ou de vaccination. Il s'agit d'agglutinines immunes, dites irrégulières, différentes d'agglutinines ant-A ou anti-B naturelles qui n'entrainent jamais d'hémolyse chez l'enfant.

- Le déficit en G6PD, maladie de Minkowski chauffard

Ajoutons que les nouveau-nés sont plus exposés à l'hyper bilirubinémie par ce que ne possèdent pas la bactérie intestinale qui facilite la décomposition et l'excrétion de la bilirubine dans les fèces. C'est ce qui explique en grande partie pourquoi les fèces des NN sont plus pâles que celles des adultes.

NB : Dans l'organisme humain normal, le taux de bilirubine libre est inférieur à 10mg/l ou inférieur à 17 umol/l.

Les ictères à bilirubines conjuguée (bilirubine directe)

La bilirubine libre lorsqu'elle arrive dans le foie, elle est transformée en bilirubine conjuguée comme nous l'avons plus haut et est non toxique.

Elle est transformée en sa forme non conjuguée par l'enzyme b- glucoronidase tandis qu'une grande partie est réabsorbée par la circulation entérohépatique c'est-à-dire la circulation de la bile entre le foie et l'intestinal grêle.

Dans le cas des ictères à bilirubine conjuguée nous avons les ictères cholestatiques, qui sont rares chez les NN et peuvent être dus notamment à :

- Une obstruction importante du conduit biliaire

- Une hépatite sévère

- Une lithiase du calcul cholédoque.

La bilirubine totale = bilirubine directe + bilirubine indirecte.

Comment reconnaître au cours des examens clinique et para clinique qu'un NN est ictérique ?

L'ictère ou jaunisse est repérable dans la sclère (le blanc des yeux) à partir de 30 à 50 uml/l de bilirubinémie et sur la peau à des niveaux plus élevés d'hyper bilirubinémie.

A l'examen chimique

- observer le NN à la lumière du jour par ce que l'ictère paraîtra plus grave s'il l'éclairage est mauvais.

- appuyer légèrement sur la peau avec un doigt enfin de révéler la couleur sous-jacente de la peau et du tissu sous-cutané.

- On peut évaluer la gravité de l'ictère en fonction du jour où il apparaît et de la partie du corps sur laquelle on l'observe par exemple : un ictère visible sur une partie du corps au Jour1, ou sur les mains et pieds en plus des bras et jambes au jour 2, est très grave et doit être traité immédiatement.

- Le test sanguin montre que la BC est soluble dans l'eau et réagit rapidement à l'ajout d'un colorant. Le produit obtenu est l'azobilirubine.

La BNC réagit lentement mais produit également l'azobilirubine on utilise de l'éthanol qui réagit avec toute la bilirubine présente puis on utilise le calcul :

bilirubine total- BC = BNC

Pour mieux comprendre les causes d'une augmentation de la bilirubinémie, il est généralement plus simple de procéder à d'autres tests hépatiques, à un frottis sanguin, ou de rechercher des traces d'une hépatite infectieuse (Hépatite, A, B, C, D, E).

Nous ne saurons donc clore sur l'ictère sans porter de sa prise en charge globale et plus particulière de cette pratique au CME de la FCB.

De nombreux enfants et en particulier les enfants petits c'est-à-dire ayant moins de 2,5 kg à la naissance ou nés avant 37 semaines de grossesse, qui arrive au CME présentent un ictère au cours de la première semaine de vie. Dans la plupart des cas, la concentration de bilirubine qui provoque l'ictère n'est pas dangereuse et ne devrait nécessiter aucun traitement à mon avis si non une exposition aux rayons solaires. Toutefois, tout ictère visible au cours des premières 24 heures de vie doit être considéré comme grave.

Pour une bonne prise en charge du NN ictérique après diagnostic, les conditions suivantes sont à respecter :

- Démarrer la photothérapie si l'ictère est classé comme étant grave,

- Vérifier que l'enfant présente les facteurs de risque suivants,

- Moins de 2,5 kg à la naissance,

- Né avant 37 SA de grossesse,

- Hémolyse ou état septique,

- Faire un prélèvement de sang et mesurer la bilirubine sérique (si possible) et l'hémoglobine, déterminer le GS de l'enfant et effectuer un test de coombs,

- Si la bilirubine sérique est inférieure à la concentration nécessitant une photothérapie, interrompre la photothérapie,

- Si la bilirubine sérique est égale ou supérieure à la concentration nécessitant une photothérapie, poursuivre la photo thérapie,

- Si le facteur rhésus et le GS n'indiquent pas une cause d'hémolyse ou s'il ya des antécédents familiaux de déficit en G6PD, dans la mesure du possible, faire un dépistage de G6PD. (enzyme de la glycolyse responsable de la plus répandue des enzymopathies érythrocytaire,

- Si l'ictère est Hémolytique, c'est-à-dire provoqué par une incompatibilité AB0 ou un déficit en G6PD poursuivre la photothérapie ou faire une exsanguino transfusion( une transfusion d'échange comme le propose l'académie de médecine dans le dictionnaire de médecine Flammarion 7e édition),

- En cas du choix de la transfusion d'échange prélever le sang de la mère et celui de l'enfant pour le laboratoire,

- Si hémoglobine est inférieur à 10g/dl (hématocrite inférieur à 30%) pratiquer une transfusion sanguine,

- Si la mère présente une infection ou sérologie de la syphilis positive, traité comme une syphilis congénitale. C'est-à-dire faire une ponction lombaire,

- Faire une numération dans le (LCR) afin de savoir s'il ya atteinte du (SNC) (plus de 25 leucocytes/mm3),

- Si le SNC est attient ou si la PL n'est pas possible ou encore s'il ya présence de sang de le LCR, administrer de la Benzylpénicilline par IV ou IM pendant 10 jours selon la dose suivante : 30 mg/kg/12h soit 0, 2m5 l/kg/12h,

- Si le SNC n'est pas atteint donner la procaÏne benzylpénicilline (ou de la benzathine benzylpénicilline) par voie IM selon la dose suivante 75 mg/kg dose unique. Soit 0,2 ml/kg une fois par jour,

- Si l'enfant à moins de 3 jours de vie, le garder 24h, après l'arrêt de la photothérapie. N'oublions pas qu'en néonatalogie B nous avons non seulement acquis des connaissances théoriques mais aussi des connaissances pratiques telles :

- Le nettoyage d'un incubateur,

- Le prélèvement sur un enfant d'un jour,

- Le placement d'une voie veineuse sur un enfant d'un jour,

- La pose d'une sonde naso-gastrique chez un NN

A la deuxième semaine du stage nous sommes passé de la néonatologie B à la néonatalogie A. Celle là qui réservée pour les NN de petits poids à la naissance. Nous comprendrons pourquoi le nombre de couveuse va être multiple par deux. Les enfants qui y arrivent ont beaucoup plus besoins de la chaleur et de l'alimentation. Donc nos principales soins en néonatologie A étaient le gavage et la surveillance des paramètres : la température, le poids, et leur capacité de succion.

Le personnel en Néonatologie A comme en B est constitué de 5 équipes de 2 (un infirmier et un aide soignant) qui font le roulement plus 2 permanents (2m IDE major assisté d'un IBA.

En néonatologie A nous avons une capacité de 28 lits 2 tables à chaleur radiante et 13 couveuses.

Matériel pour une sonde naso-gastrique

- Disposer d'un sonde n°6mm de diamètre de préférence,

- Disposer des gants de soins propres et du liquide pour lubrifier la sonde,

- Une seringue,

- Un stéthoscope pour vérifier la position de la sonde dans l'estomac,

- Une bande adhésive,

- Un marker pour identifier la longueur de la sonde à introduire.

Technique de pose d'une sonde gastrique

- Après rassemblement du matériel, se laver aseptiquement les mains et mettre des gants de soins propres en estimant quelle longueur doit couvrir la sonde,

- la tenir sur toute la longueur qu'elle va suivre une fois introduite et faire une marque sur la sonde avec un marker ou un morceau de bande adhésive,

- Fléchir légèrement la tête de l'enfant vers l'arrière et introduire doucement la sonde par la bouche,

- Maintenir la sonde en place avec une bande adhésive,

- Confirmer que la sonde est bien en place dans l'estomac en remplissant une seringue de 1 à 2ml d'air que l'on va libérer dans la sonde. A l'aide d'un stéthoscope, écouter au niveau de l'estomac le bruit de l'air qui est rapidement injecté dans la sonde,

- Si l'on entend un sifflement dans le stéthoscope lorsque l'air est injecté, cela signifie que l'extrémité de la sonde est correctement positionnée dans l'estomac,

- Si l'on n'entend pas le sifflement, cela signifie que la sonde n'est pas correctement positionnée. Le retirer puis la réintroduire,

- Autrement, tester l'acidité des produits d'aspiration à l'aide du papier tournesol bleu,

- Si le papier tournesol bleu vire au rose cela signifie que le produit d'inspiration est acide et que l'extrémité ou la sonde est bien positionnée dans l'estomac.

NB : Remplacer la sonde tous les 3 jours, ou plus tôt si elle a été retirée ou si elle se bouche, la nettoyer et la stériliser ou lui faire subir une désinfection.

La procédure de gavage

- Les mains sont aseptiquement lavée, la maman à fini de tirer le lait et placer dans un gobelet,

- La sonde est placée,

- Un cylindre de seringues est adopté à l'extrémité de la sonde faisant office d'entonnoir,

- A l'aide d'une autre seringue, nous prélevons la quantité de lait nécessaire et adapté à l'âge de l'enfant que nous introduisons dans l'entonnoir,

- A l'aide d'un piston nous donnons en pression au liquide pour le permettre de descendre dans l'estomac.

- Lorsque le cylindre ayant servi d'entonnoir est vide, nous fermons la sonde et notons : l'heure - la quantité administrée puis nous observons les comportements de l'enfant pendant quelques instant pour éliminer un cas de réaction ou d'allergie,

- Le gavage se fait au moins toutes les 3 heures,

- Pour éviter à l'enfant l'inhalation, mettre un petit cousin au niveau des épaules.

Il n'y avait pas que gavage et surveillance des paramètres, mais il y avait aussi :

- Le lavage des couveuses, des lits, des pieds à sérum, des dispositifs à chaleur radiante à nettoyer après chaque patient,

- Il y avait aussi des prélèvements à faire ou des voies à placer et l'administration des ATB après dilation.

précédent sommaire suivant






Bitcoin is a swarm of cyber hornets serving the goddess of wisdom, feeding on the fire of truth, exponentially growing ever smarter, faster, and stronger behind a wall of encrypted energy








"Le doute est le commencement de la sagesse"   Aristote