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Le Système d'Information Marketing (SIM) dans une compagnie aérienne: cas de Kenya Airways

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par Sédufia Yaovi DEKADJEVI
Centre africain d'études supérieures en gestion - Master professionnel en gestion d'entreprises 2010
  

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CENTRE AFRICAIN D'ETUDES SUPERIEURES EN GESTION

MEMOIRE DE FIN D'ETUDES

LE SYSTEME D'INFORMATION MARKETING

DANS UNE COMPAGNIE AERIENNE

CAS DE KENYA AIRWAYS

Mémoire de fin d'études :

Le système d'Information Marketing dans une compagnie aérienne : cas de Kenya Airways.

· Formulation de la question de recherche

· Justification du thème choisi

· Cadre théorique et conceptuel

· Méthodologie de recherche de l'information

· Ebauche de plan

INTRODUCTION

PREMIERE PARTIE: LE SIM, QU'EST-CE-QUE C'EST ?

CHAPITRE 1 : DEFINITION DE CONCEPTS

CHAPITRE 2 : DU SYSTEME D'INFORMATION AU SIM CHAPITRE 3 : EMPLOI ET ROLE DU SIM

DEUXIEME PARTIE : LES COMPOSANTES DU SIM A KENYA AIRWAYS CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU CADRE DE STAGE

I. Présentation de Kenya Airways

II. Tâches et missions

CHAPITRE 2 : LE SYSTEME COMPTABLE INTERNE

I. CYCLE COMMANDE-LIVRAISON-FACTURATION

II. LE RELEVE DE VENTES

CHAPITRE 2 : LE SYSTEME DE RENSEIGNEMENT MARKETING

I. LA FORCE DE VENTE

II. LA VEILLE CONCURRENCIELLE

CHAPITRE 3 : LE SYSTEME DE RECHERCHE MARKETING

CONCLUSION Bibliographie Annexes

Résumé et mots clés

INTRODUCTION

Dans un environnement de plus en plus complexe et turbulent, les chefs d'entreprises éprouvent de plus en plus le besoin de mieux maîtriser ce matériau aujourd'hui stratégique qu'est l'information. Acquérir et gérer une information qui facilite la prise de décision devient la condition nécessaire de l'élaboration des stratégies d'entreprise et des plans d'action marketing, que ce soit sur des marchés nationaux qu'internationaux. L'avantage concurrentiel se construit aussi sur la mise en place de système d'informations et d'intelligence marketing, et ce, d'autant plus facilement, que les outils utilisés ignorent les frontières et simplifient les études.

Le domaine de l'entreprenariat ne cesse de s'élargir de jour en jour. Les marchés, quelle que soient leur nature, deviennent de plus en plus saturés mettant les différentes entreprises les constituant à bâtir une politique de gestion aussi solide qu'efficace pour assurer leur survie. Dans cet environnement à concurrence exacerbée, le marketing fait figure de nos jours office d'arme redoutable et de loin non négligeable pour l'entreprise.

Ainsi, combinant le rôle plus que vital que joue la circulation de l'information dans l'entreprise à celui du marketing, il nous est paru opportun et bénéfique d'effectuer une étude poussée sur l'information marketing dans l'entreprise en prenant le cas spécifique de Kenya Airways, entreprise de transport aérien.

PREMIER PARTIE : LE SIM QU'EST-CE-QUE C'EST ?

Le marketing est une discipline qui regorge de plusieurs concepts qui aident à mieux cerner les contours et pratiques du domaine. Comme dans la plupart des domaines de gestion, ces mots ont très souvent la particularité d'avoir des sens différents selon le contexte et peuvent donc facilement porter à confusion lorsque leur contenu réel est mal apprécié.

Ce présent mémoire étant essentiellement consacré au domaine marketing, il a donc été jugé opportun de consacrer une partie de celui-ci à la définition de quelques concepts plus ou moins essentiels à sa compréhension.

CHAPITRE I : DEFINITION DE CONCEPTS

I. LA GESTION

La gestion désigne l'ensemble des techniques d'organisation des ressources qui sont mises en oeuvre pour l'administration d'une entité et donc la manière de diriger les Hommes dans une entreprise en vue de l'obtention de résultats optimaux souhaités.

Le terme de gestion plus utilisé sous l'anglicisme de management est une discipline relativement récente car apparue seulement vers la fin XIXe siècle. Le principal précurseur de la matière fut Frederick TAYLOR qui instaura dans le temps le principe de l'organisation scientifique du travail en proposant la décomposition de ce dernier en « gestes élémentaires chronométrés et organisés rationnellement pour former une chaîne de production ».

Des années plus tard et de manière parallèle, Henry Fayol instaura une nouvelle manière de penser management. Il fit ainsi remarquer que les critères qualitatifs en amont, lorsqu'ils sont pris en compte, valent autant et influent considérablement sur les résultats quantitatifs sur lesquels l'on se focalise le plus souvent. C'est ainsi qu'il compare les prix des approvisionnements, la fiabilité des outils de travail, la qualité de l'encadrement aux résultats quantitatifs dans l'entreprise.

Il faut dire que ce sont les principes tirés de cette vision du management de la part d'Henry Fayol qui constitue ce que l'on appelle aujourd'hui le management moderne et a donc jeté les bases de la gestion que nous lui connaissons de nos jours. L'administration moderne est présente comme base de tout manuel de gestion. On entend par là que le management doit réaliser les fonctions de l'organisation par la gestion de la qualité, des fonctions financière et bien entendue de marketing (et de vente).

On reconnaît alors les principes de gestion POCCC (Prévoir-Organiser-CommanderCoordonner-Contrôler) aujourd'hui plus connus sous l'appellation PODC (Planifier-OrganiserDiriger-Contrôler)

Somme toute, les enjeux de la gestion de nos jours amènent à penser à comment diriger les ressources de l'organisation avec des outils non seulement économiques mais aussi psychologiques et sociologiques. Autrement dit, comment réussir à prendre en compte les représentations des intérêts de chaque partie prenante de l'organisation tout en restant dans une idée d'optimisation organisationnelle.

Le management moderne s'attèle de plus en plus de nos jours à la question de la motivation, de l'adhésion et de l'intégration des individus. Il a donc pour objectif de transformer la vision managériale et de répondre aux nouvelles exigences du management.

Malheureusement, force est de constater que le management Taylorien est encore trop présent dans nos organisations. Michel Nekourouh pense pour sa part que le modèle du management doit évoluer autant en douceur qu'en profondeur.

II. LE MARKETING

« Le marketing est une sorte de sociologie vénale, d'ethnologie de bazar dont le but est de savoir de quoi vous n'avez pas besoin et que l'on pourrait quand même vous vendre ». Cette pensée de Philippe Meyer donne tout son sens au marketing.

En effet, le principal but du marketing réside dans cet effort de déterminer les besoins et désirs exprimés ou non des populations afin de proposer dans une phase ultérieure, des biens et services pouvant satisfaire ces besoins ou désirs. Ainsi, le marketing peut être conçu comme le premier maillon créatif de l'organisation pouvant aboutir à des ventes et à la fidélisation d'une clientèle ciblée par le marketing stratégique. C'est alors que nous pourrons donc distinguer le marketing opérationnel ou encore « les 4P » à savoir la politique de prix, de produit, de publicité et celle de promotion.

De nos jours, le marketing est plus qu'un outil mis à la disposition de l'entreprise lui permettant de mieux vendre. Il oriente les ventes mais doit aussi veiller à ce qu'elles assurent les économies d'échelle (amortissent les coûts fixes). Nous pourrons même aller plus loin en parlant du marketing sociétal qui prône la protection de l'environnement.

Le marketing se retrouve dans plein de domaines aussi divers les un que les autres. On parle aujourd'hui de Marketing Bancaire alors qu'à l'origine, il était question du seul secteur commercial. Les Organisations Non Gouvernementales pratiquent le marketing aussi bien que celles à but caritatif.

Eu égard à tout cela, nous affirmerons sans aucune crainte de nous leurrer que le marketing est devenu de nos jours un concept incontournable dans l'entreprenariat. Il est devenu la clé de voûte de toute entreprise qu'elle soit personnelle que collective sans distinction de but ou de forme.

CHAPITRE 2 : DU SYSTEME D'INFORMATION AU SIM

Tout acte de gestion quelque peu rationnel qu'il soit, comporte les trois étapes suivantes : information - Décision - Contrôle. La collecte des informations constitue pour le marketing mais aussi pour tout autre compartiment de l'entreprise, un point essentiel dans le processus de résolution de problèmes. Dès lors qu'une difficulté est décelée, il faut aller à la collecte d'informations, les traiter puis en ressortir une décision qui sera mise en oeuvre. De ce fait, toute erreur survenue dans l'étape de collecte d'informations a vite fait de répercuter sur les autres phases du processus.

L'entreprise peut recueillir des informations commerciales auprès de trois sources que sont : les sources internes, documentaires et externes. (cf. fig. 1)

I. Le système d'information

a. Définition

On appelle système d'information, un ensemble d'éléments réunis de manière à déceler, gérer, contrôler puis utiliser les flux d'informations à la disposition d'une entreprise, pour l'adapter le plus efficacement possible à son environnement, en fonction des objectifs poursuivis.

Il est aussi un ensemble organisé de ressources (matériels, logiciels, personnel, données et procédures) qui permet de regrouper, de classifier, de traiter et de diffuser de l'information sur un phénomène donné

L'utilisation de moyens informatiques, électroniques et la télécommunication permettent d'automatiser et de dématérialiser les opérations telles que les procédures d'entreprise surtout en matière logistique. Ils sont aujourd'hui largement utilisés en lieu et place des moyens classiques tels que les formulaires sur papier et le téléphone et cette transformation est à l'origine de la notion de système d'information.

b. Composantes

Nous pouvons distinguer deux types de systèmes d'information selon les entreprises. Composition classique le modèle pyramidal

Dans les oeuvres des années 1980 - 1990, la composition « classique » des systèmes de l'information dans d'une entreprise était comme une pyramide des systèmes d'information qui reflétait la hiérarchie de l'entreprise

Les systèmes qui traitent les transactions fondamentales (TPS) au fond la pyramide, suivis par les systèmes pour la gestion de l'information (MIS), et après les systèmes de soutien des décisions (DSS) et se terminant par les systèmes d'information utilisés par la direction la plus supérieure (EIS), au sommet.

Bien que le modèle pyramidal reste utile, un certain nombre de nouvelles technologies étaient développées et certaines nouvelles catégories de systèmes d'information ont apparues qui ne correspondent plus facilement dans le modèle pyramidal.

Composition actuelle

Dans un système d'information d'une grande entreprise, on trouve fréquemment :

· un ERP - Enterprise Resource Planning (en français : PGI pour progiciel de gestion intégré) - qui intègre tous les systèmes informatisés permettant de soutenir le fonctionnement de l'entreprise ;

· des systèmes appelés « spécifiques » (ou encore : non standards, de conception « maison », développés sur mesure, que l'on ne trouve pas sur le marché, ...), où l'on rencontrera davantage d'applications dans les domaines du calcul de coûts, de la facturation, de l'aide à la production, ou de fonctions annexes.

La proportion entre ERP et systèmes spécifiques est très variable d'une entreprise à l'autre. L'urbanisation traite de la cartographie des systèmes de l'entreprise et donc de son système d'information.

Dans les ERP, on trouve des modules couvrant différents domaines d'activité (comme la gestion de la production, la gestion de la relation commerciale avec la clientèle, la gestion des ressources humaines, la comptabilité, ...) autour d'une base de données commune.

Il est fréquent qu'une entreprise soit équipée de plusieurs progiciels différents selon ses domaines d'activité. Dans ce cas, les progiciels ne sont pas totalement intégrés comme dans un PGI, mais interfacés entre eux ainsi qu'avec des applications spécifiques. On trouvera par exemple des applications de :

· CRM - Customer Relationship Management (en français : GRC pour Gestion de la relation client) : regroupe toutes les fonctions permettant d'intégrer les clients dans le système d'information de l'entreprise

· XRM - eXtended Relationship Management (en français : Gestion de la Relation Tiers) : est un système d'information d'entreprise, imaginé par Nelis XRM en 2005, dont les processus relationnels constituent le socle de l'organisation de l'information.

· SCM - Supply Chain Management (en français : GCL pour Gestion de la chaîne logistique) : regroupe toutes les fonctions permettant d'intégrer les fournisseurs et la logistique au système d'information de l'entreprise

· HRM - Human Resource Management (en français : SIRH pour la GRH)

· PDM - Product Data Management (en français : SGDT pour Système de gestion de données techniques) : fonctions d'aide au stockage et à la gestion des données techniques. Surtout utilisé par les bureaux d'études.

II. Le S.I.M

Dans le cadre d'un Système d'Information Marketing (SMI), il s'agit donc de toute information ayant trait et utilisable pour la mise en oeuvre des actions marketing.

Un système d'information marketing (ou système d'information mercatique,) peut être défini comme « un système dans lequel l'information marketing est formellement recueillie, stockée, analysée et distribuée aux gestionnaires en fonction de leurs besoins d'information»

D'aucun diront que c'est un ensemble de personnes, équipements et procédures mises en oeuvre pour rassembler, trier, évaluer et distribuer l'information précise et nécessaire aux décideurs marketing.

Dans ces deux définitions le constat est que la notion de SIM est dynamique. L'information marketing doit circuler et parvenir à la bonne personne afin que cette dernière puisse s'en servir de manière adéquate.

Remarquons qu'il est souvent informatisé et destiné à être utilisé par l'Homme de Marketing pour résoudre des problèmes d'ordre commercial. Un SIM est disponible pour fournir des informations quand, où et comment le gestionnaire l'exige. Les données sont tirées de l'environnement marketing et transférés dans l'information que les responsables du marketing peuvent utiliser dans leurs processus décisionnels.

Le système d'information marketing (SIM) repose sur trois éléments principaux :

· un ensemble de données internes,

On entend par « données internes » toutes les informations disponibles au sein de l'entreprise. Par exemple, le système d'information comptable d'une entreprise ne sert pas uniquement à l'analyse financière; c'est aussi une importante source de données internes où le spécialiste en marketing peut puiser des renseignements très utiles.

· un ensemble de données externes publiées par des firmes privées ou des organismes gouvernementaux.

· un ensemble de données externes que l'entreprise recueille elle-même.

CHAPITRE 3 : EMPLOI ET ROLE DU SIM

Le Système d'Information Marketing dans l'entreprise intervient dans diverses décisions marketing aussi importantes les unes que les autres. Ainsi nous pouvons faire ressortir différents domaines marketing où l'Homme du marketing s'en sert à des fin diverses.

· La publicité et la promotion :

Pour une gestion adéquate des ressources et atteindre des résultats optimaux, l'entreprise se doit de minimiser les coûts à tous les niveaux et donc les frais de publicité. Pour ce faire, SIM va permettre de recueillir des informations sur les études de marché pour aider au choix des media, à l'attribution des ressources financières ou à la vérification des différents résultats.

· La prévision des ventes :

L'Homme du marketing a souvent recours aux données des études de marché pour effectuer des prévisions à court et long terme.

· Les études de marché :

Les systèmes d'information d'étude de marché fournissent de l'information sur le marketing pour aider les chefs d'entreprise à prendre de meilleures décisions. Ces systèmes leur permettent d'avoir l'information nécessaire pour la planification et le contrôle des projets d'étude de marché de l'entreprise. Les ordinateurs, qui sont un des systèmes les plus utilisés, aident les gestionnaires à ramasser, à analyser et à mettre à jour une énorme quantité de données portant sur les tendances d'un marché cible qui est constamment en train d'évoluer. Ces données se rapportent aux clients, aux perspectives, aux consommateurs, aux concurrents et aux tendances économiques du marché. Ces systèmes, notamment l'ordinateur, peuvent aussi collecter des informations grâce à des techniques de télémarketing.

Par ailleurs, le SIM nous permet :

· de repérer les étapes de la prise de décision des différentes catégories de clientèle

· D'établir des profils type de clientèle et de comportements d'achat.

· De s'adresser, de façon spécifique, aux différents types de clients.

· De déterminer, par analogie avec la clientèle actuelle, des cibles de prospects à démarcher ou à faire parrainer par les clients actuels.

· De fidéliser la clientèle acquise.

· De rentabiliser et d'optimiser des campagnes de publicité et de gérer commercialement les retours coupons.

· De disposer de statistiques utiles pour analyser les actions passées et orienter la stratégie à venir.

Il a pour objectif :

· L'acquisition des données

· La traduction éventuelle des données et leur numérisation

· L'analyse des données enregistrées

· Le traitement des données et leur transformation en information

· La coordination des décisions

DEUXIEME PARTIE : LES COMPOSANTES DU SIM A KENYA AIRWAYS

Les contours du concept étant définis, il paraît opportun d'analyser son application au cadre de stage et y sortir les différentes observations.

CHAPITRE 1 : PRESENTATION DU CADRE DE STAGE

Avant d'aborder les différents éléments du SIM applicables à Kenya Airways, nous avons jugé utile qu'il faille nous familiariser un peu plus avec la compagnie et aller à la découverte de son historique ; puis il sera question des tâches proprement dites accomplies tout au long du stage.

I. Présentation de Kenya Airways

Kenya Airways est une compagnie aérienne Kenyane qui dessert plusieurs destinations aussi bien en Afrique qu'en Europe, en Asie et dans le monde entier.

KLM possède 26 % des parts de la compagnie (qui appartient donc au groupe Air FranceKLM). Son président est Dinesh Kapila et son CEO est Titus Naikuni. Les autres actions sont détenues par des détenteurs kényans individuels (32,5 %), par le gouvernement kényan (22 %), par des investisseurs kényans (15,7 %). Depuis dix ans, contrairement à de nombreuses compagnies, elle réalise des bénéfices nets. Pour l'année fiscale qui s'est terminée le 31 mars 2005, elle a enregistré des bénéfices nets record de 3,882 millions de KES (environ 50 millions de dollars Américains).

Elle pratique le partage de code avec Air Malawi, KLM et Rwandair Express.

En 2011, la compagnie possède une flotte composée de :

· 4 Boeing 777-200ER

· 6 Boeing 767-300ER

· 6 Boeing 737-300

· 4 Boeing 737-700

· 5 Boeing 737-800

· 5 Embraer 170LR

· 2 Embraer 190

II. Tâches et missions

L'apprentissage à Kenya Airways a été effectué en tant qu'assistant administratif et Marketing. Toutefois, au-delà des tâches qui afférentes à ce poste, nous avons été amené à intervenir dans bien d'autres domaines élargissant le champ d'action.

Ainsi, à l'origine, la principale mission qui était la mienne était la gestion du portefeuille client d'une part et toutes les autres tâches de nature administrative notamment la gestion de courrier d'autre part.

Les autres tâches qui ont été la mienne se résument comme suit :

· La réservation de vol

· Traitement de plaintes de la part de la clientèle et fourniture d'information sur un vol, une destination, des tarifs...

· Contact de passagers suite aux décalages ou annulations de vols. Réservation d'Hôtels pour le staff et quelques clients privilégiés.

CHAPITRE 2 : LE SYSTEME COMPTABLE INTERNE

Il s'agit des données secondaires internes : une source d'information très riche. Elles correspondent à des données opérationnelles : rapports des ventes par produit, par secteur, par vendeur. On peut faire des comparaisons par année. Il est important de bien définir en amont les critères que l'on souhaite retenir, les ratios recherchés car une surcharge d'informations est vite arrivée. Ces informations peuvent être traitées graphiquement et données lieu à des prévisions à court terme.

I. CYCLE COMMANDE-LIVRAISON-FACTURATION

Ce sont les agences de voyages non accréditées ou encore nouvellement installées qui se servent des bons de commandent pour acheter des billets d'avion pour leurs clients devant voyager sur Kenya Airways. A la fin de chaque mois une situation est faite donnant l'Etat des ventes de billets issus de bons de commande. Cet état permet de faire ressortir les agences de voyages dans lesquelles les billets Kenya Airways sont les plus vendus et d'éventuelles mesures d'accompagnement comme fourniture d'autocollants, de gadgets, de panneaux sont prises pour motiver les agents commerciaux.

La livraison dans ce domaine-ci s'apparente à l'émission du billet d'avion au client. Cette émission peut se faire de deux façons.

· Emission du billet avec pochette : c'est la situation où le client se présent à l'agence pour procéder à l'achat de son billet. Une fois les formalités effectives et les coordonnées délivrées, le billet lui est imprimé sur du papier puis inclus dans une pochette Kenya Airways et lui est remis

· Le billet électronique : il est le fruit des évolutions des NTIC. Dans ce cas, le billet n'est pas imprimé et est ainsi envoyé au client (dans une boîte électronique) qui peut s'en servir juste en l'imprimant. On en délivre souvent aux clients situés à une distance éloignée et non-désireuses de se déplacer.

Il est souvent établi à Kenya Airways des factures Pro forma pour des clients qui en expriment le besoin. La plupart de ces derniers sont des entreprises. De même, des factures définitives sont établies au besoin.

Ce sont les agents de comptoir qui dressent les factures et les font viser par le chef comptable ou au cas échéant le Directeur commercial.

Somme toute, le circuit commande-livraison-facture n'est complet que dans le cas où le client en face de l'agent est muni d'un bon de commande (parce qu'étant envoyé par une entreprise ou étant une agence de voyage non accréditée). Ainsi, le billet est émis est accompagné d'une facture délivrée en deux exemplaires, un à classer et un autre remis au client.

III. LE RELEVE DE VENTES

Par définition, ce document permet d'effectuer le suivi des ventes réalisées pour le compte de l'entreprise soit par ses commerciaux ou d'autres agents externes cette fois-ci mais vendent des billets de la compagnie.

A Kenya Airways, ce document est appelé le BSP Sales et peut être analysé comme suit :

· Le code de la compagnie, le nom, le mois puis l'année figurent à l'en-tête du papier

· Le nombre d'agences souvent 34, mentionné sous le nom de « found records » à l'extrême gauche

· La première colonne importante contient le chiffre d'affaires réalisé par l'agence pour le compte de Kenya Airways

· Une autre colonne importante (la 6e) contient les ventes totales réalisées par l'agence sur la période.

· La dernière colonne mentionne donc le pourcentage obtenu en faisant le rapport entre les deux données précédentes.

Une analyse approfondie de ce document donne l'état sur les points de vente de nos billets. Des actions marketing diverses peuvent donc être menées selon le cas :

1. Une baise du chiffre d'affaires réalisé pour KQ corrélée à une hausse du chiffre d'affaires global : dans ce cas il paraît évident que les vendeurs ne mettent pas assez l'accent sur nos produits. Nous nous devons donc d'aller aux informations, les analyser puis entreprendre des actions visant à motiver les différents vendeurs. Cette rencontre doit se faire avec le responsable de l'agence.

2. Une hausse du chiffre d'affaires réalisé pour KQ corrélée+ à une évolution moins importante du Chiffre d'affaires global : il est important d'encourager l'effort mené et d'exhorter à le maintenir. La politique de motivation adoptée peut aller de la distribution de cadeaux gadgets à un dîner ou déjeuner tête-à-tête avec le responsable de l'agence.

3. Il serait aussi profitable à Kenya Airways d'adresser des coups de fil ou rendre visite aux différentes agences partenaires à la veille des périodes d'affluence (période des vacances).

CHAPITRE 2 : LE SYSTEME DE RENSEIGNEMENT MARKETING

Il est composé des informations collectées sur la concurrence et l'environnement et provenant de l'interne. Elles portent sur de nombreux thèmes tels que l'environnement économique, social ou politique.

I. LA FORCE DE VENTE

La force de vente à Kenya Airways comme dans la plupart des compagnies aériennes d'ailleurs peut être regroupée en deux parties :

1. Les agents de comptoir :

Il s'agit de salariés de l'entreprise, installés au comptoir et qui assurent diverses taches commerciales. Parmi celles-ci, nous identifierons :

· Le renseignement de la clientèle : la plupart du temps, certains clients ont besoin d'informations allant des jours, heures de vols aux tarifs et autres réductions. Les agents de comptoir se doivent de les satisfaire avec le plus de précision possible. Nous prendrons comme exemple, cette cliente qui a une conférence à GUANGZHOU au mois de juillet et qui se rend à la compagnie pour se renseigner sur les jours et heures de vol vers la dite destination.

· La réservation de place : il s'agit d'une opération qui précède souvent l'achat du billet d'avion. Cette opération s'avère d'autant plus importante que le passager n'a pas une place garantie sur le vol a moins qu'il ne soit en possession d'un billet d'avion émis par la compagnie. Parfois le client n'est pas sûr de sa date de départ et pour éviter tout désagrément, il passe réserver une place sur le vol en vue d'une éventuelle confirmation. Soulignons aussi que les réservations ne sont pas éternelles. Elles ont un délai passé le quel elles sont annulées pour libérer de la place à d'autres clients convaincus de leur voyage et de l'achat du billet.

· L'émission de billet d'avion : cette opération est comparable à un achat de marchandise dans l'acte de commerce. Elle fait souvent suite à une opération de réservation ou peut intervenir indépendamment de moment où le client est convaincu de sa décision. L'agent de comptoir est habilité à émettre le billet, conformément au système Amadeus utilisé à Kenya Airways.

2. Les agences de voyage :

Une agence de voyages est une entreprise commerciale qui compose et vend des offres de voyages à ses clients. Elle joue le rôle d'intermédiaire et/ou d'agrégateur de services entre les clients et les différents prestataires sur le marché du tourisme : compagnies aériennes, hôteliers, loueurs de voiture, compagnies d'assurances, etc.

L'agence de voyages remplit le rôle de conseil en s'assurant ou en avertissant des formalités nécessaires à l'entrée dans un pays. Elle ferme également les destinations à la vente selon les recommandations du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes (pour la France) et gère avec ses fournisseurs les problèmes pouvant être rencontrés. Elle peut être agence distributrice, agence réceptive ou voyagiste (tour-operator).On estime à 5 000 le nombre d'agences de voyages en France.

,Elles jouent le rôle de courtiers ou d'intermédiaires. Une agence de voyage est habilitée à vendre des billets appartenant à plusieurs compagnies. Ceci dénote de la concurrence qui s'y installe et surtout de la nécessité à les suivre et à adopter une politique de motivation adéquate afin de représenter le premier choix auprès de l'agent commercial à chaque fois qu'une situation de pluralité de choix se présente. Cette situation s'explique par le fait que sur une destination donnée, plusieurs compagnies peuvent se positionner en concurrentes. Ainsi, si nous prenons le cas de trajet Dakar- Dubaï, Kenya Airways se trouve en concurrence avec Ethiopian Airlines, Bruxelles Airlines et bien d'autres encore. Il urge donc de constituer dans l'esprit de l'agent le premier choix.

Les agences de voyage signent souvent des accords de partenariat avec les compagnies définissant les pourcentages de commissions perçues sur chaque billet vendu.

A Kenya Airways, il a été institué un jeu dénommé SIMBA CHALLENGE. Le but principal recherché est la motivation de la force de vente constituée par les agences de voyages. PRINCIPE : nous attribuons des points pour chaque billet vendu en fonction des destinations.

Ainsi pour un billet Dakar Bamako par exemple, le commercial peut gagner 10 points et 20 points pour un autre billet Dakar-Dubaï. Des critères définis en amont expliquent l'importance des points. Pour chaque fin du mois, les points sont totalisés et une note attribuée à chaque commercial. En fonction de ce total et des intervalles de gains, un commercial peut être récompensé par un bon d'achat, des gadgets Kenya Airways et même un billet d'avion pour partir en congé.

II. LE SYSTEME DE VEILLE

Martinet et Ribaut ont identifié en 1989 quatre grands types de système de veille encore valables de nos jours. (Fig. no3)

a. La veille technologique

L?entreprise souhaite être informée en permanence sur les évolutions prévisibles en matière de nouvelles technologies, nouveaux matériaux ou nouveaux procédés de fabrication provenant de la recherche fondamentale et appliquée. Elle cherche à obtenir des précisions sur les produits, les services et procédures de production. Elle doit être particulièrement active sur les technologies dites sensibles (technologies de substitution comme le développement de la fibre optique; technologies diffusantes, technologies émergentes comme les biotechnologies, technologies duales utilisées dans l?industrie militaire et l'industrie civile...).

Ces nouvelles technologies déterminent les futurs standards qui seront le fonds sédimentaire de l'offre de la profession tout entière.

Cette veille, traditionnellement assurée par les ingénieurs et les chercheurs, s'effectue sur les brevets, les publications, les normes, les labels, les matériaux, les produits.

Elle permet de connaître :

- les principaux axes de recherche fondamentale sur les produits et les matières

- les domaines de recherche appliquée (notamment au niveau des phases de test des Prototypes)

- les mises en oeuvre de nouveaux procédés de fabrication

- les projets de délocalisation ou de construction de nouveaux sites industriels - les projets d'alliance ou de partenariat industriels

b. La veille concurrentielle

La veille concurrentielle consiste à surveiller de manière légale, toutes les informations publiées, diffusées ou disponibles sur un ou plusieurs concurrents.

Pour Daniel Rouach, « elle permet aussi de pister les démarches actives, déploiements vers d'autres secteurs d'activités, fausses pistes et leurres destinés à égarer les curieux, intrusions diverses, dépôts de brevets, travaux de recherche, et ce de la part de concurrents directs et indirects ».

C'est un outil de benchmarking, technique qui consiste à identifier un concurrent (ou un autre acteur du marché) comme référence, pour mener des comparaisons rapprochées entre produits, services ou méthodes de production.

Elle a plusieurs objectifs qui sont entre autres

· Connaître les évolutions et les choix stratégiques de ses concurrents,

· Etre informé des innovations, des mouvements des cadres dirigeants, des bilans financiers,

· Surveiller les contenus publiés par ses concurrents (communiqués, blogs, etc.),

· Se positionner par rapport à ses concurrents (par exemple en termes de produit, de stratégie de communication ou encore de développement géographique).

· Ne pas être pris au dépourvu.

Pour y arriver, l'entreprise dispose de plusieurs moyens :

· L'internet : site web officiel, blogs, réseaux sociaux, actualités en ligne, sites d'offres d'emploi, etc.

· La presse écrite : même si aujourd'hui la frontière entre presse écrite et journaux en ligne est de moins en moins visible, il est important de mettre en place une pige presse sur ses concurrents, notamment dans la presse spécialisée

· Les salons et les rencontres professionnelles : ces rendez-vous sont souvent l'occasion de présenter de nouveaux produits, on peut y récolter de nombreuses informations.

Il est très important de vérifier les sources et les informations collectées, principalement pour celles disponibles sur internet.

Il s?agit d?une recherche active et organisée des informations concernant la concurrence actuelle et potentielle, sur leurs intentions, leurs motivations, leurs objectifs, leur situation.

Ce type de surveillance est à la base de la création de cellules de veille dans toutes les entreprises exposées sur les marchés mondiaux. Elle cible plus particulièrement :

· les actions d'études, de test, de pré-lancement, de promotion, de communication mises
en oeuvre par les concurrents sur les marchés ou segments de marché de l'entreprise

· les politiques de niche ou de créneau entreprises par les concurrents directs

· l'évolution des positionnements et axes de communication des concurrents

· la surveillance des entrants potentiels

· l'émergence de produits substituts en lien avec la veille technologique

Cet acteur fera l'objet d'une opération renforcée (benchmark) pendant deux ou trois mois à l'issue desquels il faudra agir si cette intrusion représente une menace pour l?entreprise. L'entreprise doit être capable de percer à jour les intentions des concurrents et d'anticiper leurs réactions par rapport aux décisions qu'elle est amenée à prendre.

c. La veille commerciale

Elle se préoccupe des fournisseurs (produits, capital, travail, et des clients revendeurs ou Consommateurs). Elle cherche à connaître :

· Pour les clients

o l'évolution des besoins des clients à long terme (trendologie) o les déclinaisons de gamme

o les procédés d'emballage et de conditionnement

o l'évolution de la relation client/fournisseur

o la solvabilité des clients

· Pour les fournisseurs

o l'évolution de l'offre de produits nouveaux

o l'évolution de la relation fournisseur/entreprise et des relations avec o l'ensemble des partenaires commerciaux amont

o la capacité des fournisseurs à livrer au moindre coût

· Pour le marché du travail

o l'évolution des compétences

o l'évolution du pouvoir du marché du travail

o les insatisfactions

d. La veille globale

Elle s?applique au reste de l?environnement de l?entreprise (politique, juridique, social, culturel...) et s?intéresse plus spécifiquement aux évolutions et aux tendances. Il s?agit de ne pas mésestimer les facteurs, non pris en compte par les veilles précédentes, qui peuvent venir contrecarrer les stratégies mises en oeuvre par l?entreprise.

CHAPITRE 3 : LE SYSTEME DE RECHERCHE MARKETING

Afin de canaliser des informations continues sur l?environnement en général et sur la concurrence en particulier, des techniques nouvelles ont vu le jour. Ces techniques, peu formalisées car peu formelles, ont été regroupées sous le nom d?intelligence marketing (ou recherche marketing).

Au début limitées à l?environnement technologique qu'?elle se contentaient de balayer, ces techniques se sont ouvertes à tous les types d?informations pour créer, à l'échelon planétaire, un système stratégique durable, flexible et continu.

On s'oriente vers ce système lorsque les informations obtenues précédemment sont insuffisantes.

On distingue trois cas principaux :

· L'aide à la compréhension : il s'agit d'une opération qui consiste à décrire et à
analyser l'information. Ensuite, viennent les activités de mesure et de prévision.

· L'aide à la décision : il sera question d'identifier les moyens de conquête de cette demande

· L'aide au contrôle : analyse des performances et des résultats obtenus.

CONCLUSION

Les évolutions environnementales et technologiques transforment le rôle de la recherche marketing et conduisent maintenant les entreprises à intégrer les outils de collecte, de traitement et de diffusion de l'information dans leur démarche stratégique.

L'étude des marchés internationaux permet d'identifier, dans un environnement de plus en plus instable, les éventuels risques à venir mais aussi les nouvelles opportunités de marché.

Le système d?intelligence marketing doit déboucher, en ce début de troisième millénaire, sur un système d?intelligence stratégique. En effet, l?égalisation de l?accès aux ressources informationnelles et la réduction des marges de manoeuvre en matière de performances tactiques contraignent les entreprises à rechercher d?autres sources d?avantages concurrentiels.

La recherche marketing est passée d?une approche descriptive ou explicative à une optique prospective ou prédictive. Il s?agit d?une véritable révolution qui conduit à une mutation des conditions dans lesquelles s?effectueront désormais les études, en prenant en compte à la fois les couples produits marchés actuels et futurs mais aussi les réactions des autres acteurs.

L?intelligence stratégique se caractérisera donc par l?élargissement de l?horizon du décideur en matière de collecte d?informations, par sa capacité à ajouter de la valeur à cette information incomplète et incertaine en la rendant intelligible et utile pour la prise de décision.

BIBLIOGRAPHIE et WEBOGRAPHIE:

· MARKETING, Jean-Pierre HELFER & Jacques ORSONI Editions VUIBERT 9e édition

· Le marketing international, support de cours marketing IUT-GESTION / Université de Lomé

· www.google.com

· www.marketing-etufiant.com

· www.wikipedia.com

GLOSSAIRE

PNR : Il s'agit d'un code alphanumérique de 6 caractères qui constituent en quelques sortes l'adresse d'un dossier client dans le système AMADEUS, utilisé à Kenya Airways.

Contremarque : document qui remplace le billet lors de vols charters.

Correspondance : changement d'appareil et parfois de compagnie sur un aéroport intermédiaire entre celui de départ et d'arrivée.

Escales : arrêts techniques et/ou commerciaux. Seuls les vols directs non-stop sont sans escale.

Forfait : ensemble de produits vendus à un client par une agence pouvant comprendre le transport plus diverses prestations au choix (hébergement, restauration, véhicule, visite, etc.).

Franchise bagages : poids et/ou quantité de bagages transportés gratuitement. I.A.T.A. : en français « Association Internationale du Transport Aérien ». Regroupe et réglemente presque toutes les compagnies du monde.

J-7 ou J-15 : billets soldés à 7 ou 15 jours d'un départ.

Long-courrier (également moyen ou court-courrier) : liaison longue distance, en gros plus de 4 h de vol (moyen-courrier de 1 à 4 h et court-courrier moins d'une heure).

No show : se dit d'un passager qui ne s'est pas présenté à l'embarquement.

Non endossable, non reroutable : mentions souvent marquées sur un billet indiquant qu'il n'est pas utilisable sur une autre compagnie et qu'aucun changement d'itinéraire n'est possible.

Open : billet pour lequel on peut fixer librement sa date retour dans la limite de sa validité.

Pass aérien : forfait permettant plusieurs déplacements dans un ou plusieurs pays.

Prix d'appel : tarif intéressant sur lequel repose la publicité d'une agence ou d'une compagnie pour une destination.

Stop-over : possibilité d'arrêt pendant plus de 24 heures à une escale de sa destination finale.

Surbooking : vente de plus de places qu'il n'y a dans l'avion.

Tarif négocié ou tarif discount : prix négocié entre voyagistes et compagnies pour des vols charters ou autres.

Terminal : les gros aéroports disposent de différents terminaux réservés chacun à différentes compagnies et à leurs comptoirs.

Transit : période ou zone réservée aux passagers concernés lors d'une escale.

Vol direct : vol effectué sur le même avion et sous le même numéro de vol, mais il peut y avoir quand même des escales techniques et/ou commerciales.

Vol non-stop : vol effectué sans arrêt. Vol sec : billet vendu seul sans prestation.

Voyagiste ou tour-opérateur : en matière d'aérien, il négocie les prix ou affrète les avions. À l'opposé, l'agence de voyages n'effectue que des ventes et perçoit une commission.

Sources internes ventes

Actions marketing Vendeurs

Distributeurs

Coûts

Sources documentaires Internet

Administrations Organismes professionnels Organismes privés

Presse

Sources externes Etudes qualitatives

Panels

Fig.1 : les sources d'information

Fig.2 : processus de décision à base de l'information

fig.3 : les types de veille

AITA KQ

 

OACI KQA

 

Indicatif d'appel

Kenya

Repères historiques

Date de 1977

création

Générali tés

Basée à

Autres bases

Programme de fidélité

Alliance

Aéroport international Jomo Kenyatta -

Flying Blue

SkyTeam (1er septembre 2007)

Taille de la 29 flotte

Nombre de 46 destinations

Siège social Kenya Nairobi

Société -

mère

Dirigeants Titus Naikuni (CEO), Neil Canty (CFO)

Site www.kenya-airways.com

internet






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"Des chercheurs qui cherchent on en trouve, des chercheurs qui trouvent, on en cherche !"   Charles de Gaulle