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les programmes d'ajustement structurel cas de la Mauritanie

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par med yahya ould sidi ahmed
Université de Nouakchott - Maitrise en économie publique 2007
  

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II : MYOPIE DANS LA CORRECTION DES PRIX RELATIFS.

La logique de l'ajustement structurel, en économie de marche, est d'accroître la compétitivité des activités d'exploitation aussi que la substitution à l'importation, autrement dit d'augmenter la rentabilité de ces activités de façon à les stimuler.

Cette rentabilité ne peut être qu'un

II.1 : L'USAGE DE LA DEVALUATION POUR LA CORRECTION DU PRIX RELATIFS.

La dévaluation dans la politique d'ajustement structurel à été conduite pour atteindre deux objectifs principaux : stabilisation de la demande et la correction des prix relatifs.

La dévaluation s'est faite en concurrence avec la recherche d'une amélioration de la productivité.

II.1.1 / CORRECTION DE LA DEMANDE PLUTOT QUE DES PRIX RELATIFS.

Un exemple frappant de la priorité donné à la stabilisation par rapport à la correction des prix relatifs apparaît dans la relation entre la dépréciation de change et l'évolution des prix réels payé au producteurs agricole. Alors qu'on attend généralement de la dépréciation de la monnaie nationale une augmentation des prix réels, ou une moindre diminution en cas de baisse des prix internationaux ce qui correspond à la conjoncture des années quatre-vingt, c'est au contraire dans les pays qui ont le plus déprécié leur monnaie que les prix ou producteur ont le plus baissé, et inversement dans les pays qui ont le moins déprécie celle-ci que les prix ont le moins baissé. Ce paradoxe ne s'explique pas par une baisse plus importante du prix international des produits agricole dans les pays ou la dépréciation du change a été la plus forte, mais pour deux raisons complémentaires. En premier lieu, l'effectivité de la dévaluation c'est-à-dire la mesure dans la quelle la dépréciation nominale s'est traduite par une dépréciation réelle c'est-à-dire n'a pas été compensé par la hausse de prix intérieur, tend a s'émousser avec l'ampleur de la durée de la dévaluation.

En seconde lieu, la hausse en monnaie nationale du prix des biens d'exportations, l'Etat y a vu un moyen facile a réduire le déficit budgétaire ainsi que les commerçants ont intermédiaire, lors qu'il n'était pas soumis à une concurrence suffisante. Les incitations à la production locales ont été aussi sacrifiée, en dépit de l'importance de la production interne pour développer le pays. C'est ce que suggère l'analyse économique de performance significativement moins bonnes dans les pays a dépréciation la plus rapide. Deux raisons principales explique ce résultat.

-L'acceptation de la dépréciation nominal comme moyen des PAS avec l'inflation induite qu'elle implique, est défavorable à la productivité. Les entreprises peut facilement défendre leur profil en augmentant leur prix et sont ainsi moins incités a accroître l'efficacité de leur gestion, alors que la contrainte de prix stable crée une incitation a réduire les couts. Une inflation rapide et irréguliére est d'une façon general défavorable a l'investissement et à la productivité, de plus elle tend a rénforcer les inégalité de revenu et de patrimoine a encourager la mentalité spéculative, a désagréger les sociétés et a provoquer l'instabilité sociale et politique. Or elle s'est considérablement accrue au cour des années quatre-vingt.

-La seconde raison pour le quelle le recoure a la dévaluation a pu s'avérer exessif a trait au effets négatifs déjà évoqué de la dépréciation du taux de change réel sur la production dans des pays a faibles revenues.

De tels effets ont pu se produire dans le secteur industriel ou la diminution des salaires réels a été telle quelle a affecté les motivations des salaires (découragement,absentéisme) ou même leur capacité de travail en raison d'une dégradations de leur situation sanitaire

II.2 : LIBERALISATION FINANCIER ET PRIX RELATIF.

La réglementation du système financier (notamment le libre accès à la profession bancaire) et la libéralisation des taux d'intérêts généralement administré à un niveau inférieur au taux d'inflation, avait pour but, en corrigeant une distorsion évidente dans le prix relatifs du capital, d'accroître l'épargne et sa mobilisation pour le secteur bancaire formel. On espérait aussi accroître le volume d'investissement privé et améliorer le choix même des investissements.

Il n'y avait ici apparemment pas d'incompatibilité entre la correction des prix relatifs et les objectifs de développement a long terme par l'investissement et l'accroissement de productivité. Les résultats desservants de cette politique est cependant une illustration de la difficulté d'utiliser les mécanismes du marché dans une économie peu développée

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