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Impact de l'entrainement pliométrique lors des divers créneaux intermittents courts-courts sur l'explosivité chez les jeunes Taekwondoïstes

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par Monoem Haddad
ISSEP Ksar Saîd Tunis - Maîtrsie d'education Physique 2008
  

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RESULTATS

1VitessemaximaleeAérobie(VMA)

Le tableau 3 ci-dessous p présente les résultats obtenus par le te est et le retest de VAMEVAL réalisé avec lle groupe expérimental et le groupe tém moin.

Tableau 3: Résultats du test de vite esse maximal aérobie (VAMEVAL) en mètre par seco onde (m/s)

 

N

T0

T3

T3-T0

I-J

Psig*

T1-T0

I-J

I

22

2,83#177;0,27

3,17#177;0,32

2,10#177;0,20*

 

PP<0,001

P<0,826 (NS)

J

30

2,9#177;0,2

3,0#177;0,2

0,60#177;0,04*

0,11#177;0,52

PP<0,001

*Différence significativ

ve entre les Tests Différence significatiive entre les deux groupes

I : Groupe expérimenta al I-J : Moyenne de différrence entre les deux groupes

J : Groupe témoin

N : Nombre de la popu ulation NS : Non significative Psig* : Point de signifi ication T0 : Test diagnostique avant l'expérimentation T1 : Le deuxième test a après le mode 10''/20'' T1-T0 : Moyenne de diffférence entre T1-T0 T2 : Le troisième test a après le mode 30''/30'' T2-T1 : Moyenne de diffférence entre T2-T1 T3 : Le quatrième et le dernier Test somatique après le mode 15''/300'' T3-T0 : Moyenne de la différence globale entre le test initial et final T3-T1 : Moyenne de la différence entre T3-T1

En se basant sur les données présentées dans le tableau n°3, la comparaison intragroupe montre que la moyenne de VMA de notre groupe expérimental est passée de 2,83#177;0,27m/s à 3,17#177;0 ,32 m/s. Une différence de 2,10m/s est observée, cette amélioration est hautement significative (p<0,001). Aussi la moyenne de la VMA du groupe témoin est passée de 2,9#177;0,2 m/s à 3,0#177;0,2m/s. Une différence de 0,60m/s est observée, cette amélioration est aussi hautement significative (p<0,001). Par contre, la différence entre les deux groupes est statistiquement non significative (p<0,05).

2VitessedeCoorddination

Le tableau 4 ci-dessous p présente les résultats obtenus par le te est et le retest de Vitesse coordination 5x1 10m réalisé avec le groupe expérimen ntal et le groupe témoin.

Tableau 4: Résultats du test de vite esse coordination 5 x 10m en seconde

 

N

T0

T1

T0-T1

I-J

Psig*

TT0-T1

I-J

I

22

15,52#177;1,51

13,57#177;1,28

1,94#177;0,12*

0,14#177;0,30

PP<0,001

P<0,05 (NS)

J

30

14,93#177;0,82

14,13#177;0,84

0,79#177;0,04*

(NS)

PP<0,001

*Différence significative NS : Différence non significat tive

D'après le tableau n°4, la a comparaison intragroupe montre que e la moyenne devitesse de coordination 55x10m de notre groupe expérimenta al est passée de15,52#177;1,51s à 13,57#177; 1,288s.Une différence de 1,94#177;0,,12s est observée, cette amélioration es st statistiquementsignificative (p<0,001).Aussi la moyenne de VMAA du témoin est passée de 14,93#177;0,82 à 14,13#177;0,84.Une différence de 0,14#177;0 0,30 est observée, cette amélioration es st statistiquementsignificative (p<0,001).Par contre, la différenc ce entre les deux groupes est statiistiquement nonsignificative (p<0,05).

3Explosivitédesccuissesdansuntempstrèscouurt(laqualitédedémarrage):

Le tableau 5 ci-dessous p résente les résultats obtenus par le testt et les retests de Squat Jump réalisé avec le e groupe expérimental et le groupe tém moin.

Tableau 5: Résultas du test de SQU UAT JUMP en centimètre (cm)

 

N

T0

T1

T1 -T0

T2

T2 -T1

T 3

T3 -T2

T3 -T0

I JI-J

Psig*

T1 -T0T2-T1 T3-T2

I-J

I

22

17,1#177;5 ,04*

18,5#177; 4,89

1,39#177; 2,24* #177; *

20,95#177; 4,94

2,43#177; 0,34*

21,94#177; 4,87

0,98#177; 0,27*

4,81#177; 0,49*

22,25 #177;

P<0,001

P<0,04

J

30

17,5#177;3 ,64

 
 

17,70#177; 3,62

0,17#177; 0,36 (NS)

18,02#177; 3,75

0,32#177; 0,27 (NS)

0,49#177; 0,44 (NS)

11,15

P<0,05

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes NS : Différence non significat tive

Les performances enregis strées lors du test SJ montrent au niiveau du groupe expérimental une évolution globale entre T0 et T3 de 4,81#177;0,49cm. Elle est statistiquement sign nificative comme toute les améliorations iintermédiaires T1-T0 (1,39#177;2,24cm), T2-T1 (2, ,43#177;0,34cm) et T3-T2 (0,98#177;0,27cm) à p<0,001. 0 Au niveau du groupe témoiin, les résultats enregistrés montrent une évolution globale entre T0 et T3 de 0,49#177;0,44ccm. Elle est statistiquement non significative comme toute les amélioratio ons intermédiaires T2-T0 (0,17#177;0,36cm) et T3-TT2 (0,32#177;0,27cm) à p<0,05. La différence entre les grou upes I et J est statistiquement significative e (2,25#177;1,15cm) à p<0,04.

4ExplosivitédesccuissesdansuntempspluslonngqueleSJ

Le tableau 6 ci-dessous prrésente les résultats obtenus par le test et les retests de Contremouvement Jump réa alisé avec le groupe expérimental et le gro oupe témoin.

Tableau 6: Résultats du test CMJ en n centimètre (cm)

 

N

T0

T1

T1 -T0

T2

T2 -T1

T 3

T3 -T2

T3 -T0

I-JI-J

Psig*

T1 -T0T2-T1 T3-T2

I-J

I

22

19,70 #177;5,41

21,06 #177;5,46

1,35#177; 0,22*

23,50 #177;5,90

2,44#177; 0,27*

24,55 #177;6,06

1,05#177; 0,193*

4,89#177; 0,40*

2,444 #177;#177;

P<0,001

P<0,05

J

30

19,96 #177;3,88

 
 

20,06 #177;3,74

0,10#177; 0,25 (NS)

20,38 #177;3,69

0,32#177; 0,25 (NS)

0,42#177; 0,36 (NS)

1,3 30

P<0,05

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes NS : Différence non significat tive

L'étude comparative intrag groupe montre, au niveau du test de CM MJ réalisé avec le groupe expérimental, une év volution globale entre T0 et T3 de 4,89#177;0,440cm. Elle est hautement significattive comme toutes les améliorations intermmédiaires T1-T0 (1,35#177; 0,22cm), T2-T1 (2,44#177;0,27cm

m) et T3-T2 (1,05#177;0,193cm) à p<0,001. Les résultats enregistrés au niveau du groupe témoin montrent une évolution globale entre T0 et T3 de 0,42#177;0,36c cm. Elle est statistiquement sign nificative comme toutes les améliorations iintermédiaires T2-T0 (0,10#177;0,25cm) et T3-T2 ((0,32#177;0,25cm) à p<0,05. La différence entre les grou upes I et J est statistiquement significative e (2,44#177;1,30cm) à p<0,05.

5Puissancedescuuisses

Le tableau 7 ci-dessous prrésente les résultats obtenus par le test et les retests de Contremouvement Jump Bras Libre réalisé avec le groupe expérimental et le groupe témoin.

Tableau 7: Résultats du test CMJ BL L en centimètre (cm)

 

N

T0

T1

T1 -T01 0

T2

T2 -T1

T 3

T3 -T2

T3 -T0

I-J

Psig*

T1 -T0T2-T1 T3-T2

I-J

I

22

24,51#177; 6,14

25,20#177; 6,15

0,68 #177; 0,14 8 4*

28,59#177; 6,12

3,38 #177; 0,38*

30,06#177; 6,53

1,47 #177; 0,46*

5,54 #177; 0,71*

3,87

P<0,001

P<0,01

J

30

23,34#177; 5,04

 
 

23,71#177; 4,91

0,37 #177; 0,24 (NS)

24,49#177; 5,07

0,77 #177; 0,32*

1,14 #177; 0,37*

#177; 1,52*

P<0,05

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes NS : Différence non significat tive

Lors du test CMJ BL, Lees résultats enregistrés montrent au n niveau du groupeexpérimental une évolutio on globale entre T0 et T3 de 5,54#177;0,71cmm.Elle est hautement signif ficative comme toute les amélioration ns intermédiairesT1-T0 (0,68#177;0,14cm), T2-TT1 (3,38#177;0,38cm) et T3-T2 (1,47#177;0,46ccm) à p<0,001.Les résultats enregistrés au niveau du groupe témoin montren nt une évolutionglobale entre T0 et T3 de 11,14#177;0,37cm.Elle est statistiquement siggnificative. Les améliorations interméddiaires ne le sontpas toutes. C'est le cas entre T2 et T0 (0,37#177;0,24cm) contra airement à T3-T0(0,77#177;0,32cm) à p<0,05.La différence entre les gro oupes I et J est très significative (3,87#177; #177;1,52) à p<0,01.

HaddadMonoem

6PuissanceDesMMollets

Le tableau 8 ci-dessous prrésente les résultats obtenus par le test et les retests de Réactivité réalisé avec le grooupe expérimental et le groupe témoin.

Tableau 8: Résultats du test de Réa activité en centimètre

 

N

T0

T1

T1 -T01 0

T2

T2 -T1

T 3

T3 -T2

T3 -T0

I-J

Psig*

T1 -T0T2-T1 T3-T2

I-J

I

22

19,85#177; 6,00*

21,10#177; 5,56*

1,25 #177; 0,35 5 5*

24,52#177; 6,91*

3,42 #177; 0,64*

25,52#177; 7,42*

0,99 #177; 0,31*

5,67 #177; 0,97*

2,06 #177;

P<0,004

P<0,05

J

30

20,32#177; 4,55

 
 

21,37#177; 4,36*

1,05 #177; 0,30*

22,01#177; 4,30*

0,64 #177; 0,17*

1,69 #177; 0,37*

1,49 (NS)

P<0,002

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes NS : Différence non significat tive

Les résultats du test de RRéactivité montrent, d'après le tableau 8, une évolutionglobale entre T0 et T3 de 55,67#177;0,97cm au niveau du groupe expé érimental.Elle est hautement signif ficative comme toute les amélioration ns intermédiairesT1-T0 (1,25#177;0,35cm), T2-TT1 (3,42#177;0,64cm) et T3-T2 (0,99#177;0,31ccmm) à p<0,004.Les résultats enregistrés au niveau du groupe témoin montren nt une évolutionglobale entre T0 et T3 de 1,69#177;0,37 cm.Aussi, elle est hautem ment significative comme toute le es améliorationsintermédiaires T2-T0 (1,0 05#177;0,30) et T3-T2 (0,98#177;0,27) à p<0,00 02.La différence entre les g groupes I et J (2,06#177;1,49cm) est stat tistiquement nonsignificative à p<0,05.

7Résistanceauxxsauts

Le tableau 9 ci-dessous prése ente les résultats obtenus par le test et les retests de 15 sauts réalisés avec le groupe expérim mental et le groupe témoin.

Tableau 9: Résultats du test 15 sautts (cm)

 

N

T0

T1

T1 -T0

T2

T2 -T1

T 3

T3 -T2

T3 -T0

I JI-J

Psig*

T1 -T0T2-T1 T3-T2

I-J

I

22

14,36 #177; 4,46

15,71 #177; 4,92

1,35 #177; 0,26* *

18,58 #177; 5,86

2,87 #177; 0,57*

19,35 #177; 6,07

0,77 #177; 0,16*

4,99 #177; 0,62*

1,,23 #177;

P<0,001

P<0,05

J

30

15,48 #177; 2,94

 
 

16,63 #177; 3,71

1,15 #177; 0,36*

16,49 #177; 3,82

-0,15 #177; 0,25 (NS)

1,00 #177; 0,43*

1, (N ,20 NS)

P<0,02

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes NS : Différence non significat tive

Les résultats enregistrés lors du test 15 sauts montrent au niiveau du groupeexpérimental une évolutio on globale entre T0 et T3 de 4,99#177;0,62cmm.Elle est hautement signif ficative comme toute les amélioration ns intermédiairesT1-T0 (1,35#177;0,26cm), T2-T1 (2,87#177;0,57cm) et T3-T2 (0,77#177;0,16 6cm) à p<0,001.Les résultats enregistrés aauu niveau du groupe témoin montrent unne évolutionglobale entre T0 et T3 de 11,00#177;0,43cm.Elle est très significat tive à comme l'amélioration inter rmédiaire T2-T1(1,15#177;0,36cm) p<0,02 conntrairement à T3 et T2 (-0,15#177;0,25cm) (p<0,05).La différence entre les groupes I et J est statistiquement nnon significative(1,23#177;1,20cm) à p<0,05.

8Vitessed'étiremment

Le tableau 10 ci-dessous préésente les résultats obtenus par le test et le e retest de DJ avec le groupe expérimental et le e groupe témoin.

Tableau 10: Résultats du test DJ (cm m)

*Différence significative entre e les tests Différence significative entre

e les deux groupes

NS : Différence non significat tive

 

23,00

 

22,50

 

22,00

 

21,50

 

21,00

 

20,50

 

20,00

 

19,50

 

19,00

 

18,50

 

18,00

 
 

T0

 

T1

 
 
 

Groupe Expérimenta al

 
 

DROP JUMP

 

Figure 40: Illustration graphique d de la comparaison des moyennes des hauteurs en DJ pour chaque groupe

Groupe Témoin

En se basant sur les donnnées présentées dans le tableau n°10,, la comparaison intragroupe montre que la moyenne de la hauteur en DJ dde notre groupe expérimental est passée dee 20,76#177;5,01 à 22,87#177;5,39. Une différence de 12,10#177; #177;0,45 est observée, cette amélioratio on est hautement significative à p<0,001. La moyenne de la hauteu ur en DJ du groupe témoin est passée de 19,83#177;3,35 à 20,70#177;0,75. Une différence de 0,87#177;0,,37 est observée, cette amélioration est t aussi hautement significative à p<0,001. La différence entre les d deux groupes est statistiquement non significative à p <0,05.

58

INTERPRÉTATION

1VMA

L'évolution non significative de la VMA entre les deux groupes peut être expliquée par le fait que la pratique du Taekwondo est basée sur des efforts courts et explosifs répétés dans le temps et qui sont entrecoupés par de courtes durées de repos. Ils ont une influence impérative sur la composante aérobie de l'entrainement.

2VITESSECOORDINATION

Les gains importants et significatifs dans le groupe expérimental et le groupe témoin entre la situation de départ et la situation finale n'ont montrés aucune différence significative entre les deux groupes. Ceci est un problème expliqué par le caractère explosif du Taekwondo et la participation conséquente et inéluctable des fibres rapides en grand nombre. Dans ce cas le recourt à des exercices pliométriques inconsciemment ou implicitement peuvent être une explication possible. Les exercices pliométriques ont un effet sur le développement de la force et partant sur la vitesse d'après Roberto et coll. (2005).

3EXPLOSIVITÉDESCUISSESDANSUNTEMPSTRÈSCOURT(LAQUALITÉDEDÉMARRAGE):

La figure 42 présente la répartition du gain général enregistré par le groupe expérimental (I) au cours de chaque créneau au niveau du test SJ en pourcentage. Ce gain général est de l'ordre de 28,15% par rapport à T0. La figure 43 met en exergue cette répartition par rapport à celle en % de la charge d'entraiment globale observée lors des 4 mois et qui est de l'ordre de

13962,06 (au).

SQUAt JUMP

 

60,00

T1 -T0

T2 -T1

T33 -T2

50,00

 
 

40,00

 
 

%30,00

 
 
 

CE observée

20%

29%

 

20,00

 
 
 

SJ

 
 

10,00

 
 
 
 

51%

 

0,00

 
 
 
 
 
 
 

10''/20''

30''/30''

15''//30''

 

Figure 41: Répartition du gain gén néral en SJ au Figure 42: Comparaison de la charge e observée avec le gain niveau du groupe expérim mental obtenu en SJ lors de chaque mode au niveau du groupe expérimental

La simple référence aux g gains enregistrés peut dans un premier temps mettre en exergue l'apport importannt du mode 30''/30'' (51% du gain ggénéral). Ce qui prime cependant c'est la référence à la charge d'entraînement t qui va montrer l'impact réel qui nous inttéresse dans le cadre de cette étude. I Ici c'est le mode 10''/20''. Ces nuances s sont avancées pour rendre plus lisiblees les prochains graphes qui sont construit ts sur la même topographie. La mesure du SJ est une des variable permettant de faire un bi ilan de la détente et déterminant par la mêm me l'impact des cycles d'entrainement p programmés. L'amélioration observée eest bien meilleure au niveau du mode e 30''/30'' (51% du gain général en SJ) mmais par rapport à la charge observée lors de ce mode (53% de la charge globa ale observée), cette amélioration res ste moyenne. La même analyse est valable pour le mode 15''/30'' ou l'amélioratiion de la hauteur de SJ (20% du gain génééral en SJ) est plus faible que la cha arge observée au cours du même mode (2 24% de la charge globale observée). DDès lors pour le développement de l'expllosivité du quadriceps dans un temp ps très court, il semble que le mode de l' 'entrainement 10''/20'' est le plus favo orable puisque le pourcentage d'amélioratio on lors de ce mode (29% du gain gé énéral en SJ) est supérieur à celui de la cha arge observée lors de ce même mode (2 23% de la charge globale observée).

60

%

4EXPLOSIVITÉDESCCUISSESDANSUNTEMPSPLUSLONNGQUELESJLa figure 44 présente la r répartition au cours de chaque créneau u du gain général enregistré par le groupe ex xpérimental (I) au niveau du test CMJ een pourcentage. Ce gain général est de l'o ordre de 24,61% par rapport à T0. La ffigure 43 met en exergue cette répartition par rapport à celle en % de la char rge d'entraiment observée lors des 4 mois dd'entraînement.

CONTREMOUVEMENT JUM MP 60,00
50,00

T1-T0 T2-T1 T3 --T240,00

30,00

CE observée

22% 28%

20,00

CMJ

10,0050%

0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''//30''

Figure 44: Répartition du gain gé énéral en Figure 43: Comparaison de la charge o observée avec le gain CMJ au niveau du groupe expériimental obtenu en CMJ lors de chaque mode a au niveau du groupe éi l

Cette variable est aussi uune des variables qui permet de faire e un bilan de la détente. L'effet observé d des modes d'entrainement selon les résuultats enregistrés est le même. L'amélioratiion de l'explosivité de quadriceps dan ns un temps plus long que le SJ est aussi o observée meilleure au niveau du mode e 30/30 (50% du gain général) mais, comm me au niveau de SJ, elle reste moyenne e par rapport à la charge observée lors du même mode. L'amélioration est bassse au niveau du mode 15''/30'' (22% du ggain général) aussi bien par rapport au u gain général en CMJ que par rapport à la ccharge observée au cours de ce mode. Le gain en mode 10''/20'' paraît faible pa ar rapport au gain général (28% du gain général en CMJ), il est cependant, le plus important par rapport à la charge observée lors de ce mode. Ce constat valo orise le mode 10''/20'' pour le travail l de l'explosivité des cuisses dans un temps s plus long que le SJ.

61

5PUISSANCEDESCUIISSES

La figure 46 présente la r répartition au cours de chaque créneau u du gain général enregistré par le groupe e expérimental (I) au niveau du te est CMJ BL en pourcentage. Ce gain gén néral est de l'ordre de 22,62% par ra apport à T0. La figure 45 met en exergue cette répartition par rapport à celle en n % de la charge d'entraiment observée lorss des 4 mois d'entraînement.

CONTREMOUVEMENT JUMP P 70,00 BRAS LIBRE

60,00 50,00 123 40,00

12%

%

CE observée

30,00

CMJ BL

20,00

27%

10,0061%

0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''/330''

Figure 46: Répartition du gain gén néral en Figure 45: Comparaison de la charge obser rvée avec le gain obtenu CMJ BL au niveau du groupe e en CMJ lors de chaque mode au niveau du u groupe expérimental

Comme les deux variabless précédentes, la hauteur en CMJ BL in ntervient dans la réalisation d'un bilan de la détente. L'amélioration observée es st bien meilleure au niveau de mode 30''/3 30'' aussi bien par rapport au gain géné éral de la hauteur en CMJ BL (61% du ga ain général en CMJ BL) que par rappport à la charge observée lors du même moode. Bien que moindre, L'améélioration au niveau du mode 15''/30 0'' (27% du gain général en CMJ BL) est a aussi élevée par rapport à la charge obsservée au niveau du même mode (24% de la charge globale observée). Par contrre l'amélioration observée au niveau du mo ode 10''/20'' est très basse (12% du gaiin général contre 23% du la charge globa al observée). Il semble que le mode e d'entrainement 30''/30'' est le plus fav vorable pour le développement de lla puissance des cuisses. Vient en deuxièm me lieu le mode 15''/30''.

62

6PUISSANCEDESMOLLLETS

La figure 48 présente la r répartition au cours de chaque créneau u du gain général enregistré par le groupe e expérimental (I) au niveau du tes st Réactivité en pourcentage. Ce gain gén néral est de l'ordre de 28,58% par ra apport à T0. La figure 47 met en exergue cette répartition par rapport à celle en n % de la charge d'entraiment observée lorss des 4 mois d'entraînement.

%

70,00

REACTIVITE

60,00

T1-T0 T2-T1 T3-TT2

50,00 40,00 CE observée

30,00 18% 22% REACTIVITE

20,0010,0060%

0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''//30''

Figure 47: Répartition du gain gé énéral Figure 48: Comparaison de la charge obser rvée avec le gain obtenu en Réactivité au niveau du grouupe en Réactivité lors de chaque mode au u niveau du groupe expérimental expérimental

La moyenne des sauts en RRéactivité est une des mesures qui com mplète le bilan de la détente. Comme pour les autres v variables, l'amélioration observée est b bien meilleure au niveau de mode 30''/30''' aussi bien par rapport au gain génér ral (60% du gain général) que par rapport au pourcentage de la charge observéee au cours de ce mode. Les deux autres modes préésentent pratiquement les mêmes pour rcentages du gain général par rapport au u pourcentage de la charge d'enttraînement, soit respectivement de 18% du gain général contre 24% de la charge globale observée pour le 15''/30 '' et 22% du gain général contre 23 3% de la charge globale observée pour le 1 10''/20''. Le mode 30''/30'' semble e le plus favorable pour améliorer la q qualité de rebond afin de conserver de la viitesse (Réactivité) ainsi que pour déve elopper la qualité de poussée et de démarrag ge (CMJ BL).

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MEMOIREDEFIND'ETUDESSUUPERIEURES

7RÉSISTANCEAUXSAAUTS

La figure 50 présente la r répartition au cours de chaque créneau u du gain général enregistré par le groupe expérimental (I) au niveau du test 155s sauts en pour cent. Ce gain général est de l'ordre de 34,78% par rapport à T0. La figure 49 met en exergue cette rrépartition par rapport à celle en %% de la charge d'entraiment observée lorss des 4 mois.

70,00

15 SAUTS

60,00

1

2

3

50,00

15%

 
 

40,00

%

CE observée

30,00

15 SAUTS

27%

20,00 10,00 58%

0,00 10''/20'' 30''/30'' 15''/330''

Figure 50: Répartition du gain géné éral Figure 49: Comparaison de la charge observée e avec le gain obtenu en en 15 sauts au niveau du group pe 15sauts lors de chaque mode au niveau du u groupe expérimental expérimental

C'est une autre variable q qui permet de faire un bilan pliométriq que et de tirer des indices pour quantifier la perte en fin d'enchainement. EEncore une fois, l'amélioration observée esst bien meilleure au niveau du mode 300''/30'' (58% du gain général). Elle est ba asse au niveau du mode 15/30 (15% d du gain général). Pour développer la résisstance aux sauts, il semble donc qque le mode de l'entrainement 30''/30'' eest le plus favorable.

8VITESSED'ÉTIREMEENT

Les résultats enregistrés m montrent un gain de 10,16% au niveau u de notre groupe expérimental (I) contre 4, 39% pour le groupe témoin. CCette différence significative à p<0,1 est a accompagnée d'une amélioration de la hauteur de chute passant de 20cm en moyeenne à 40cm pour le groupe expérimeental. Le groupe témoin n'enregistre aucun n progrès au niveau de cet indice et sttagne à 20cm de hauteur de chute. Ce con nstat prouve que les athlètes du grou upe expérimental arrivent à augmenter leeur vitesse d'étirement d'une haut teur plus haute améliorant par la même le eur indice de pliométrie.

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Au terme de cette analyse les résultats de la batterie de test expérimentée dans le cadre de l'intermittent et à travers des créneaux 10''/20'',30''/30'' et 15''/30'' nous ont permis, non seulement d'avoir une vue d'ensemble de l'impact de ces créneaux sur les différents paramètres prépondérants dans la construction de l'explosivité chez le jeune Taekwondoïste mais surtout de calculer les indices relatifs à cette explosivité et qui ont une importance capitale quant à l'évaluation objective des qualités physiques du jeune Taekwondoïste, condition sine-qua-none pour une planification harmonieuse et une programmation adéquate de programmes d'entrainement pour un Taekwondo dont l'objectif final reste la santé et la performance.

L'analyse statistique montre une amélioration significative au niveau de ce test à p<0,04 par rapport au groupe témoin. Ce résultat ainsi que les performances sont en accord avec ceux obtenus par Bosco (1998) et Cometti (2007).

Le calcul statistique montre aussi que lors de ce test on enregistre une amélioration significative à p <0,05 par rapport au groupe témoin. L'amélioration est certes moindre mais comme ce paramètre explique désormais la force et non l'élasticité des membres inférieurs on peut penser éventuellement que l'explosivité dans un temps très court se développe plus que celle dans un temps plus long que celui du SJ. Ce qui répond plus à la spécificité du Taekwondo où l'explosivité brève est plus demandée. Les résultats obtenus en CMJ correspondent à ceux trouvés par Bosco (1998) lors de son étude sur l'évolution de la performance de la détente (CMJ) chez l'enfant.

L'évolution des résultats a montré à ce niveau une différence très significative. Les meilleurs athlètes en CMJ BL ont réalisé les meilleurs résultats au niveau de test aérobie ainsi qu'au niveau de la vitesse de coordination. Nos résultats corroborent avec les travaux de Colli et coll. (2005) qui ont travaillé sur la progression des résultats au test navette et au test Cooper en fonction de la performance en CMJ BL. Ils concluent que la qualité de détente détermine les autres qualités et que les meilleurs en détente sont les meilleurs aux tests « quantitatifs ». Améliorer la qualité de détente semble donc aboutir à une amélioration des autres qualités et va dans le même sens que les travaux de Cometti (2007).

Les résultats enregistrés correspondent aux résultats trouvés par Basco 1989 qui a travaillé sur l'évolution du DJ en fonction de l'âge mettant en relation la hauteur de chute et la hauteur du saut.

Ici aussi, les résultats enregistrés montrent une différence hautement significative au niveau de chaque groupe ce qui a entrainé par la même une différence non significative entre les deux groupes . Ce constat confirme que la pratique du Taekwondo est un sport en jambe et surtout un sport qui sollicite dans une grande proportion le triceps sural, une des deux manières d'exécution des exercices pliométriques selon Piron cité par Cometti (2007).

Les résultats enregistrés sont dans leur signification identiques à ceux observés au niveau du test de Réactivité et viennent corroborer ceux concernant les tests de la vitesse de coordination et celle maximale aérobie concordant dans le même sens avec les travaux de Colli et coll. (2005) quant aux rapports qui doivent exister entre l'évolution de la vitesse et de l'endurance. Le développement de la vitesse peut entrainer des répercussions favorables sur la qualité d'endurance .La réciproque n'est pas vraie.

Cette conclusion est aussi valable pour les paramètres de la VMA et de la vitesse de coordination. De nombreuses études ont porté sur des entraînements d'endurance et de vitesse-force. Aucune étude ne montre un gain de force ou de vitesse grâce à un travail aérobie. Par contre de nombreuses études mentionnent une influence d'entrainement de type force avec charges lourdes (Hickson et coll. 1988 ; McCarthy et coll. 1995) ou de type « explosif » (Paavolainen et coll. 1999) sur l'efficacité des efforts de type aérobie. Cometti (2007) montre qu'un entraînement de vitesse-force peut améliorer les performances ce qui prouver par nos résultats lors d'une amélioration hautement significative à p<0,001 au niveau du test VAMEVAL et vitesse coordination.

Fort des résultats enregistrés, il nous est maintenant possible de calculer les indices qui vont nous permettre d'affirmer ou d'infirmer notre hypothèse de départ.

Le SJ et le CMJ permetteent de mesurer l'indice de puissance d des extenseurs de la jambe qui est la diffé érence entre les deux. Il est de l'ordr re de 2,61cm au niveau de notre populaation d'étude. Il était de l'ordre de 2,58 avant l'expérimentation (T0). CCette différence restant toujours faible e montre que les athlètes entrainés sont exp eaucoup de force

plosifs. Ils sont aptes à développer be dans peu du temps (Come etti, 2007). Le Taekwondo est bien un ssport explosif.

La différence entre la hau uteur de CMJ BL et la hauteur moyennne des sauts en Réactivité a diminué en pa assant de 4,66cm à 4,51 cm. L'égalité parfaite n'est pas souhaitable comme le préco onise Vittori. La différence doit rester tou ujours inférieure à 06cm. Une différence entre 6cm et 10cm sera à corriger (Cometti, 20007). Les athlètes sont donc pluss puissants des cuisses mais un travail pllus orienté sur les mollets est encore souhaita able dans le cadre du Taekwondo qui exxige beaucoup de

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steps sur les points des pieeds aussi bien au cours de l'entraineme ent que lors de la compétition.

La différance entre la hau uteur de CMJ BL et CMJ présente une e amélioration au cours de l'expérimentatio on passant de 4,81 cm à 5,50 cm. Ce ette amélioration confirme la nécessaire pa articipation des bras qu'apporte le trav vail pliométrique et dont a besoin et bénéficcie la pratique du Taekwondo.

e l'Indice d'utilisation CMJ BL et de DJ au niveau du groupe expérimental d'un pré-éétirement

Cet indice, le résultat de la différence entre les hauteurs enreeggistrées du CMJ BL et du DJ; (passé de 3, ,75cm à 7,19cm) prouve que « la vites sse d'étirement » s'est améliorée. Il mo ontre surtout l'importante contributtion du travail pliométrique au développ pement des qualités physique de l'athl lète pratiquant le Taekwondo.

C'est un indice importantt pour mettre en évidence la capacité à produire une force explosive sur la fatiggue. Capacité primordiale pour un bon n Taekwondoïste. Il correspond à la moyen nne des 15 sauts divisés par la haute eur du CMJ. Cet indice indique une améliioration significative passant de 72,89 9% au niveau de T0 à 78,84% au niveau u de T3. Il montre éventuellement l''amélioration de l'endurance de la force explosive. Il confirme par la même que le travail intermittent est efficace a aussi bien pour le développement de ll'explosivité que pour l'amélioration de l'enndurance de cette explosivité. Le progrès réalisé au nive eau de l'indice reste cependant faible paar rapport à celui mentionné dans les travau ux de Bosco 1982.

Tous les indices que nouss venons de passer en revue concorde ent sur un fait: la réalisation d'une améliorration au niveau de tous les param mètres impliqués. Certes les différences n'é étaient pas statistiquement toujours sig gnificatives mais pour des raisons physiologgiques ou spécifiques à la spécialité du u Taekwondo les données étaient explicites et plausibles pour confirmer notre hyp pothèse de départ qui repose sur le travail d de la qualité `force' dans la quantité ` `endurance' pour améliorer simultanément les qualités physiques déterminantes dans la pratique chez le jeune Taekwondoïïste.

L'objectif de notre recherche est de mettre en évidence l'impact d'un entraînement intermittent en créneaux court-court sur l'explosivité du jeune Taekwondoïste. La population est composée de 52 athlètes répartis en 2 groupes l'un expérimental et l'autre témoin. Après la période d'expérimentation qui a duré 16 semaines, les résultats recueillis montrent des progrès statistiquement significatifs au niveau des protocoles suivants : SJ, CMJ, CMJ BL. Alors qu'au niveau de la VMA, de la vitesse-coordination et du Drop Jump, 15sauts et réactivité, les résultats, malgré une haute signification statistique à l'intérieur du groupe, sont non significatifs entre les groupes. Cette variation s'explique par la spécificité de la discipline qui, est en elle même et en dehors du mode d'entraînement utilisé, se base bel et bien sur les sauts, les Jumps, les actions rapides, la force et la vitesse: les 2 composantes de l'explosivité. Ceci va dans le même sens que les travaux menés par Bouhlele et al. (2006) quant à l'analyse faite sur les caractéristiques internes et externes de la pratique du Taekwondo en Tunisie.

De même les variations enregistrées au niveau des indices calculés et qui sont des rapports entre les déterminants de la batterie des tests utilisés démontrent que les jeunes testés tendent vers un équilibre pliométrique: le rapport harmonieux entre la force des membres inférieurs et la qualité des exercices pliométriques dans le cadre de transfert de force adéquate et spécifique vers la pratique sportive .Ce qui confirme les études de Cometti (2007), Bosco (1998), Bosco(1985) et Bosco (1982). Enfin, nous pouvons remarquer que les meilleurs athlètes dans les tests aussi bien qualitatifs que quantitatifs, sont enfin de bilan, ceux qui avaient enregistrés les meilleurs résultats dans les tests quantitatifs (force et vitesse). Ceci corrobore avec les travaux de Cometti (2007), Colli et coll. (2005), Paavolainen et coll. (1999) et Gacon (1993).

On peut se demander enfin si le choix opté pour l'utilisation de différentes méthodes et modes d'entrainement était efficace et judicieux ? La réponse à la question devait résider dans l'interprétation et la comparaison des données recueillies. Nous l'avons juste abordé dans le cadre de ce mémoire de fin d'études comme nous avons mentionné le contrôle de la charge d'entraînement par la méthode RPE et dont les résultats sont renvoyés en annexes pour ne pas alourdir ce travail d'initiation à la recherche.

Un fait est certain, nous avons évité, tout le long de l'expérimentation, comme Cometti (2007) le recommandait toujours l'installation d'une barrière que cela soit de force ou de vitesse et qui risquait de constituer un frein énorme sur le chemin de la performance. Aborder ces sujets intéressants et complément nécessaires pour notre formation est l'objectif que nous nous fixons pour une formation et des études nouvelles.

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MEMOIREDEFIND'ETUDESSUPERIEURES

Institut Supérieur du Sport et de l'Education Physique de Ksar-Saïd

Mémoiredefind'EtudesSupérieurespourl'obtensiondelamaîtriseenEduducationPhysique

L'objectif de notre recherche est de mettre en évidence l'impact d'un entraînement intermittent en créneaux court-court sur l'explosivité du jeune Taekwondoïste. Notre étude porte sur 52 jeunes athlètes âgés de 09 à 15ans répartis en 02 groupes l'un expérimental I (22 athlètes) et l'autre témoin J (30 athlètes) pratiquant le taekwondo à raison d'une heure trente minutes par séance et ce à une fréquence de trois fois par semaine durant quatre mois. La dernière semaine de chaque mois étant consacrée à l'affûtage. L'entraînement était dispensé sous trois formes d'intermittent pratiquées continuellement dans l'ordre suivant : force, vitesse et mixte et selon les modes : 10''/20'', 30''/30'' et enfin 15''/30''. Une batterie de test a été utilisée pour évaluer : La VAM et la vitesse de coordination ainsi que les 6 tests de détente de base préconisés par Bosco (1982). Les résultats enregistrés vont dans le sens d'une amélioration statistiquement significative inter groupe et concernant les tests de SJ, CMJ, CMJBL. une amélioration positive a été aussi observée au niveau des indices : de puissance, de Vittori, d'utilisation d'un pré-étirement , d'utilisation des bras et enfin celui d'endurance de la force explosive. Les résultats enregistrés au niveau de la VMA et de vitesse de coordination sont contrairement au précédent statistiquement non significatif inter groupes a cause justement des améliorations hautement significatives enregistrées au niveau des deux groupes. Ce constat nous permet d'avancer que ces résultats vont dans le même sens que les études de Cometti (2007), Bosco (1998), Bosco (1985) et Bosco (1982). Et corroborent avec les travaux de Cometti (2007), Colli et coll. (2005), Paavolainen et coll. (1999) et Gacon (1993). La contradiction observée réside dans la spécificité de la pratique sportive objet de notre recherche qui est le Taekwondo.

Motsclefs:Enfant, Taekwondo, Intermittent, explosivité

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